« Lol OST - Little Sister. »

Les vacances c’est trop cool, et oui, c’est bien Moïra qui dit ça. Et là, ET LA, elle passait les vacances chez les Sanders. Normalement ça aurait dû être Nolan qui aurait du venir chez les River, mais une impossibilité technique que Moïra n’avait pas vraiment comprise avait empêché la chose de se produire. Pugnace et déterminée à passer des vacances avec son copain, Moïra avait décrété que puisque c’est comme ça, elle irait chez les Sanders. Refus catégorique des parents. Il avait fallu toute la patience et la bonne volonté du monde pour que l’aiglonne persuade ses deux parents de changer d’avis, et une fois l’accord arraché des deux côtés – ou des quatre, il faut l’accord des parents Sanders aussi – elle avait transplané pour rejoindre son chéri chez lui <3. Au départ, elle ne devait passer qu’une semaine chez les Sanders, mais ils l’avaient trouvé tellement polie et raffinée qu’ils avaient accepté de la garder un petit peu plus. Eh oui, les River sont les meilleurs mes poussins ! En une semaine, ils avaient eu le temps de faire pas mal de choses. Visites de musées, bals de charité où elle était BIEN EVIDEMMENT la cavalière de Nolan – faut pas pousser, propriétés privée là les filles, allez ouste on va voir ailleurs ! – rencontres de puissants qu’elle connaissait déjà, discussion avec des gens où elle montrait son intelligence mordante et où elle pouvait se vanter en tout bien tout honneur que oui, messieurs-dames, c’est bien moi la nouvelle préfète en chef de Poudlard. Elle avait aussi du expliquer assez rapidement au nymphomane servant de frère à son petit ami que non, coucher avec lui ne l’intéressait absolument pas et qu’elle se fichait de ce qu’elle ratait. Et que s’il continuait elle préviendrait Nolan. Et face aux insistances du bonhomme, elle était allée prévenir son petit ami, qui était entré dans une colère folle et qui était allé éclater la tête de son frangin pour lui expliquer la vie. On t’avait prévenu, petit Sanders.

Le seul truc qui semblait gêner Nolan était le problème de la nuit. En effet, ils dormaient chacun de leur côté, Moïra ayant été placée dans une chambre d’amis coquette et classe, et Nolan ayant été prié de rester dans sa chambre. Dès le premier jour d’ailleurs, les choses semblaient avoir été étalées assez clairement sur le tapis sans que la préfète (EN CHEF !) n’ait eu besoin de s’en mêler. Ainsi, la première nuit, et toutes les autres d’ailleurs, Nolan n’était pas venu squatter sa chambre pour des câlins nocturnes, et Moïra avait fait pareil de son côté. Depuis qu’ils sortaient ensemble, et ça allait faire presque quatre mois, ils s’en tenaient à cette relation assez distante, d’ailleurs. Nolan n’était pas aller vagabonder du côté d’autres demoiselles qui auraient été ravies de coucher avec lui, et restait étrangement fidèle. Etrangement, parce qu’au départ l’aiglonne voulait juste le tester, voir s’il résisterait. Déjà qu’il n’avait fréquenté personne depuis leur dispute, un mois avant qu’ils ne se mettent ensemble … Et il avait tenu. Un mois. Puis un second. Puis un troisième. Puis un quatrième. Il semblait étrangement résigné même. Il ne lui demandait pas, elle ne lui demandait pas, il se contentait de se la jouer mec carrément romantique et elle … Fondait. Ah c’est une fille, le romantisme ça fait fondre les filles mes petits rouleaux de printemps. Elle fondait misérablement, lamentablement, mais ne lui montrait pas – et puis quoi encore ! – et ne lui proposait toujours pas de franchir le pas. Pauvre petite aussi, elle n’y connaît rien. Elle avait bien demandé des précisions à son frère, mais ce dernier était brusquement devenu tout rouge, s’était mis à bafouiller, et au bout de dix minutes d’incompréhension totale, elle avait fini par laisser tomber, au grand soulagement d’un Tom qui ne savait plus où se mettre. Ok, je vais me débrouiller toute seule alors. Sauf que voilà, après quatre mois de tergiversations et une semaine à se demander si elle le faisait ou pas, elle avait décidé que merde, allez on le fait, et puis voilà d’abord.

Raison pour laquelle elle avait les yeux grands ouverts à deux heures du matin XD. Elle était assise dans son lit, dans la chambre d’amis, et contemplait avec un regard hostile et méfiant la nuisette violette super classe qu’Aleera lui avait envoyée quand, désespérée, Moïra lui avait demandé de l’aide. Non mais, et puis quoi encore, elle ne va pas se trimballer en nuisette non plus. Le petit mot de la russe – et écrit en russe – restait gravé en lettres de feu dans son esprit. Essaie ça, ça marche à tous les coups. Non mais pour quoi elle va passer encore, sérieux. Et en plus de ça, la russe lui avait aussi envoyé des sous-vêtements pile poil à sa taille en ajoutant que ça faisait super bien avec. Putain, sérieux Lee, dès qu’on rentre à Poudlard Moïra te tue. Avec un soupir résigné, l’aiglonne enleva ses fringues pour enfiler ceux que son amie lui avait envoyés. C’est tout doux, c’est au moins de la soie. N’empêche que ça ne tient pas chaud ces merdes … Ok message reçu 8D. Quittant son lit, elle sortit de la chambre à pas de loups et se dirigea vers la chambre de Nolan en traversant silencieusement les couloirs. Héhé, comme si elle ne savait pas où se trouve la chambre de son copain, vous la prenez pour qui là franchement. Poussant la porte, elle la referma doucement, rassurée d’entendre le souffle régulier de Nolan qui dormait. Plus pour longtemps (a). S’approchant doucement, elle caressa du bout du doigt le bras de Nolan, rougissant légèrement en pensant à sa tenue et en voyant qu’il dormait en caleçon. La pauvre XD. Avant qu’il ne se mette à hurler, elle se pencha et l’embrassa doucement, le faisant immédiatement taire. Oh la jolie vue plongeante sur la poitrine de ta copine /VLAN/. Bon allez il fait froid è_é. Avec fluidité, l’aiglonne se glissa dans le lit du griffon et se colla contre lui. Ouiii là c’est carrément mieux quoi <3. Avec un espèce de vieux sourire taquin, elle lui attrapa la main et laissa tomber quelque chose dedans. Un préservatif. OUI PARCE QUE LEE LUI A AUSSI ENVOYE DES CAPOTES XD.

« Chiche que tu ne l’ouvres pas, Sanders … »

Déjà qu’il avait l’air gravement choqué de la voir débarquer en nuisette XD. Retenant un vieux rire hystérique et stressé en voyant la tête de son copain – ah bah oui elle stresse à mort là XD – elle s’avança pour l’embrasser, passant une main dans son dos, lui laissant les capotes en main. Et tout doucement, elle commença à caresser le dos du Gryffondor, laissant glisser sa main de haut en bas, pendant qu’elle posait son autre main sur son ventre. Hé, garde pas cette tête Nolan, déjà qu’elle flippe XD.

« Alors, cap ou pas cap ? »

CA VA CHIER XD.

[Messages :]

« Lol OST - Little Sister. »

Les vacances c’est trop cool, et oui, c’est bien Moïra qui dit ça. Et là, ET LA, elle passait les vacances chez les Sanders. Normalement ça aurait dû être Nolan qui aurait du venir chez les River, mais une impossibilité technique que Moïra n’avait pas vraiment comprise avait empêché la chose de se produire. Pugnace et déterminée à passer des vacances avec son copain, Moïra avait décrété que puisque c’est comme ça, elle irait chez les Sanders. Refus catégorique des parents. Il avait fallu toute la patience et la bonne volonté du monde pour que l’aiglonne persuade ses deux parents de changer d’avis, et une fois l’accord arraché des deux côtés – ou des quatre, il faut l’accord des parents Sanders aussi – elle avait transplané pour rejoindre son chéri chez lui <3. Au départ, elle ne devait passer qu’une semaine chez les Sanders, mais ils l’avaient trouvé tellement polie et raffinée qu’ils avaient accepté de la garder un petit peu plus. Eh oui, les River sont les meilleurs mes poussins ! En une semaine, ils avaient eu le temps de faire pas mal de choses. Visites de musées, bals de charité où elle était BIEN EVIDEMMENT la cavalière de Nolan – faut pas pousser, propriétés privée là les filles, allez ouste on va voir ailleurs ! – rencontres de puissants qu’elle connaissait déjà, discussion avec des gens où elle montrait son intelligence mordante et où elle pouvait se vanter en tout bien tout honneur que oui, messieurs-dames, c’est bien moi la nouvelle préfète en chef de Poudlard. Elle avait aussi du expliquer assez rapidement au nymphomane servant de frère à son petit ami que non, coucher avec lui ne l’intéressait absolument pas et qu’elle se fichait de ce qu’elle ratait. Et que s’il continuait elle préviendrait Nolan. Et face aux insistances du bonhomme, elle était allée prévenir son petit ami, qui était entré dans une colère folle et qui était allé éclater la tête de son frangin pour lui expliquer la vie. On t’avait prévenu, petit Sanders.

Le seul truc qui semblait gêner Nolan était le problème de la nuit. En effet, ils dormaient chacun de leur côté, Moïra ayant été placée dans une chambre d’amis coquette et classe, et Nolan ayant été prié de rester dans sa chambre. Dès le premier jour d’ailleurs, les choses semblaient avoir été étalées assez clairement sur le tapis sans que la préfète (EN CHEF !) n’ait eu besoin de s’en mêler. Ainsi, la première nuit, et toutes les autres d’ailleurs, Nolan n’était pas venu squatter sa chambre pour des câlins nocturnes, et Moïra avait fait pareil de son côté. Depuis qu’ils sortaient ensemble, et ça allait faire presque quatre mois, ils s’en tenaient à cette relation assez distante, d’ailleurs. Nolan n’était pas aller vagabonder du côté d’autres demoiselles qui auraient été ravies de coucher avec lui, et restait étrangement fidèle. Etrangement, parce qu’au départ l’aiglonne voulait juste le tester, voir s’il résisterait. Déjà qu’il n’avait fréquenté personne depuis leur dispute, un mois avant qu’ils ne se mettent ensemble … Et il avait tenu. Un mois. Puis un second. Puis un troisième. Puis un quatrième. Il semblait étrangement résigné même. Il ne lui demandait pas, elle ne lui demandait pas, il se contentait de se la jouer mec carrément romantique et elle … Fondait. Ah c’est une fille, le romantisme ça fait fondre les filles mes petits rouleaux de printemps. Elle fondait misérablement, lamentablement, mais ne lui montrait pas – et puis quoi encore ! – et ne lui proposait toujours pas de franchir le pas. Pauvre petite aussi, elle n’y connaît rien. Elle avait bien demandé des précisions à son frère, mais ce dernier était brusquement devenu tout rouge, s’était mis à bafouiller, et au bout de dix minutes d’incompréhension totale, elle avait fini par laisser tomber, au grand soulagement d’un Tom qui ne savait plus où se mettre. Ok, je vais me débrouiller toute seule alors. Sauf que voilà, après quatre mois de tergiversations et une semaine à se demander si elle le faisait ou pas, elle avait décidé que merde, allez on le fait, et puis voilà d’abord.

Raison pour laquelle elle avait les yeux grands ouverts à deux heures du matin XD. Elle était assise dans son lit, dans la chambre d’amis, et contemplait avec un regard hostile et méfiant la nuisette violette super classe qu’Aleera lui avait envoyée quand, désespérée, Moïra lui avait demandé de l’aide. Non mais, et puis quoi encore, elle ne va pas se trimballer en nuisette non plus. Le petit mot de la russe – et écrit en russe – restait gravé en lettres de feu dans son esprit. Essaie ça, ça marche à tous les coups. Non mais pour quoi elle va passer encore, sérieux. Et en plus de ça, la russe lui avait aussi envoyé des sous-vêtements pile poil à sa taille en ajoutant que ça faisait super bien avec. Putain, sérieux Lee, dès qu’on rentre à Poudlard Moïra te tue. Avec un soupir résigné, l’aiglonne enleva ses fringues pour enfiler ceux que son amie lui avait envoyés. C’est tout doux, c’est au moins de la soie. N’empêche que ça ne tient pas chaud ces merdes … Ok message reçu 8D. Quittant son lit, elle sortit de la chambre à pas de loups et se dirigea vers la chambre de Nolan en traversant silencieusement les couloirs. Héhé, comme si elle ne savait pas où se trouve la chambre de son copain, vous la prenez pour qui là franchement. Poussant la porte, elle la referma doucement, rassurée d’entendre le souffle régulier de Nolan qui dormait. Plus pour longtemps (a). S’approchant doucement, elle caressa du bout du doigt le bras de Nolan, rougissant légèrement en pensant à sa tenue et en voyant qu’il dormait en caleçon. La pauvre XD. Avant qu’il ne se mette à hurler, elle se pencha et l’embrassa doucement, le faisant immédiatement taire. Oh la jolie vue plongeante sur la poitrine de ta copine /VLAN/. Bon allez il fait froid è_é. Avec fluidité, l’aiglonne se glissa dans le lit du griffon et se colla contre lui. Ouiii là c’est carrément mieux quoi <3. Avec un espèce de vieux sourire taquin, elle lui attrapa la main et laissa tomber quelque chose dedans. Un préservatif. OUI PARCE QUE LEE LUI A AUSSI ENVOYE DES CAPOTES XD.

« Chiche que tu ne l’ouvres pas, Sanders … »

Déjà qu’il avait l’air gravement choqué de la voir débarquer en nuisette XD. Retenant un vieux rire hystérique et stressé en voyant la tête de son copain – ah bah oui elle stresse à mort là XD – elle s’avança pour l’embrasser, passant une main dans son dos, lui laissant les capotes en main. Et tout doucement, elle commença à caresser le dos du Gryffondor, laissant glisser sa main de haut en bas, pendant qu’elle posait son autre main sur son ventre. Hé, garde pas cette tête Nolan, déjà qu’elle flippe XD.

« Alors, cap ou pas cap ? »

CA VA CHIER XD.

[Points :]

« Lol OST - Little Sister. »

Les vacances c’est trop cool, et oui, c’est bien Moïra qui dit ça. Et là, ET LA, elle passait les vacances chez les Sanders. Normalement ça aurait dû être Nolan qui aurait du venir chez les River, mais une impossibilité technique que Moïra n’avait pas vraiment comprise avait empêché la chose de se produire. Pugnace et déterminée à passer des vacances avec son copain, Moïra avait décrété que puisque c’est comme ça, elle irait chez les Sanders. Refus catégorique des parents. Il avait fallu toute la patience et la bonne volonté du monde pour que l’aiglonne persuade ses deux parents de changer d’avis, et une fois l’accord arraché des deux côtés – ou des quatre, il faut l’accord des parents Sanders aussi – elle avait transplané pour rejoindre son chéri chez lui <3. Au départ, elle ne devait passer qu’une semaine chez les Sanders, mais ils l’avaient trouvé tellement polie et raffinée qu’ils avaient accepté de la garder un petit peu plus. Eh oui, les River sont les meilleurs mes poussins ! En une semaine, ils avaient eu le temps de faire pas mal de choses. Visites de musées, bals de charité où elle était BIEN EVIDEMMENT la cavalière de Nolan – faut pas pousser, propriétés privée là les filles, allez ouste on va voir ailleurs ! – rencontres de puissants qu’elle connaissait déjà, discussion avec des gens où elle montrait son intelligence mordante et où elle pouvait se vanter en tout bien tout honneur que oui, messieurs-dames, c’est bien moi la nouvelle préfète en chef de Poudlard. Elle avait aussi du expliquer assez rapidement au nymphomane servant de frère à son petit ami que non, coucher avec lui ne l’intéressait absolument pas et qu’elle se fichait de ce qu’elle ratait. Et que s’il continuait elle préviendrait Nolan. Et face aux insistances du bonhomme, elle était allée prévenir son petit ami, qui était entré dans une colère folle et qui était allé éclater la tête de son frangin pour lui expliquer la vie. On t’avait prévenu, petit Sanders.

Le seul truc qui semblait gêner Nolan était le problème de la nuit. En effet, ils dormaient chacun de leur côté, Moïra ayant été placée dans une chambre d’amis coquette et classe, et Nolan ayant été prié de rester dans sa chambre. Dès le premier jour d’ailleurs, les choses semblaient avoir été étalées assez clairement sur le tapis sans que la préfète (EN CHEF !) n’ait eu besoin de s’en mêler. Ainsi, la première nuit, et toutes les autres d’ailleurs, Nolan n’était pas venu squatter sa chambre pour des câlins nocturnes, et Moïra avait fait pareil de son côté. Depuis qu’ils sortaient ensemble, et ça allait faire presque quatre mois, ils s’en tenaient à cette relation assez distante, d’ailleurs. Nolan n’était pas aller vagabonder du côté d’autres demoiselles qui auraient été ravies de coucher avec lui, et restait étrangement fidèle. Etrangement, parce qu’au départ l’aiglonne voulait juste le tester, voir s’il résisterait. Déjà qu’il n’avait fréquenté personne depuis leur dispute, un mois avant qu’ils ne se mettent ensemble … Et il avait tenu. Un mois. Puis un second. Puis un troisième. Puis un quatrième. Il semblait étrangement résigné même. Il ne lui demandait pas, elle ne lui demandait pas, il se contentait de se la jouer mec carrément romantique et elle … Fondait. Ah c’est une fille, le romantisme ça fait fondre les filles mes petits rouleaux de printemps. Elle fondait misérablement, lamentablement, mais ne lui montrait pas – et puis quoi encore ! – et ne lui proposait toujours pas de franchir le pas. Pauvre petite aussi, elle n’y connaît rien. Elle avait bien demandé des précisions à son frère, mais ce dernier était brusquement devenu tout rouge, s’était mis à bafouiller, et au bout de dix minutes d’incompréhension totale, elle avait fini par laisser tomber, au grand soulagement d’un Tom qui ne savait plus où se mettre. Ok, je vais me débrouiller toute seule alors. Sauf que voilà, après quatre mois de tergiversations et une semaine à se demander si elle le faisait ou pas, elle avait décidé que merde, allez on le fait, et puis voilà d’abord.

Raison pour laquelle elle avait les yeux grands ouverts à deux heures du matin XD. Elle était assise dans son lit, dans la chambre d’amis, et contemplait avec un regard hostile et méfiant la nuisette violette super classe qu’Aleera lui avait envoyée quand, désespérée, Moïra lui avait demandé de l’aide. Non mais, et puis quoi encore, elle ne va pas se trimballer en nuisette non plus. Le petit mot de la russe – et écrit en russe – restait gravé en lettres de feu dans son esprit. Essaie ça, ça marche à tous les coups. Non mais pour quoi elle va passer encore, sérieux. Et en plus de ça, la russe lui avait aussi envoyé des sous-vêtements pile poil à sa taille en ajoutant que ça faisait super bien avec. Putain, sérieux Lee, dès qu’on rentre à Poudlard Moïra te tue. Avec un soupir résigné, l’aiglonne enleva ses fringues pour enfiler ceux que son amie lui avait envoyés. C’est tout doux, c’est au moins de la soie. N’empêche que ça ne tient pas chaud ces merdes … Ok message reçu 8D. Quittant son lit, elle sortit de la chambre à pas de loups et se dirigea vers la chambre de Nolan en traversant silencieusement les couloirs. Héhé, comme si elle ne savait pas où se trouve la chambre de son copain, vous la prenez pour qui là franchement. Poussant la porte, elle la referma doucement, rassurée d’entendre le souffle régulier de Nolan qui dormait. Plus pour longtemps (a). S’approchant doucement, elle caressa du bout du doigt le bras de Nolan, rougissant légèrement en pensant à sa tenue et en voyant qu’il dormait en caleçon. La pauvre XD. Avant qu’il ne se mette à hurler, elle se pencha et l’embrassa doucement, le faisant immédiatement taire. Oh la jolie vue plongeante sur la poitrine de ta copine /VLAN/. Bon allez il fait froid è_é. Avec fluidité, l’aiglonne se glissa dans le lit du griffon et se colla contre lui. Ouiii là c’est carrément mieux quoi <3. Avec un espèce de vieux sourire taquin, elle lui attrapa la main et laissa tomber quelque chose dedans. Un préservatif. OUI PARCE QUE LEE LUI A AUSSI ENVOYE DES CAPOTES XD.

« Chiche que tu ne l’ouvres pas, Sanders … »

Déjà qu’il avait l’air gravement choqué de la voir débarquer en nuisette XD. Retenant un vieux rire hystérique et stressé en voyant la tête de son copain – ah bah oui elle stresse à mort là XD – elle s’avança pour l’embrasser, passant une main dans son dos, lui laissant les capotes en main. Et tout doucement, elle commença à caresser le dos du Gryffondor, laissant glisser sa main de haut en bas, pendant qu’elle posait son autre main sur son ventre. Hé, garde pas cette tête Nolan, déjà qu’elle flippe XD.

« Alors, cap ou pas cap ? »

CA VA CHIER XD.

[Avatar :]

« Lol OST - Little Sister. »

Les vacances c’est trop cool, et oui, c’est bien Moïra qui dit ça. Et là, ET LA, elle passait les vacances chez les Sanders. Normalement ça aurait dû être Nolan qui aurait du venir chez les River, mais une impossibilité technique que Moïra n’avait pas vraiment comprise avait empêché la chose de se produire. Pugnace et déterminée à passer des vacances avec son copain, Moïra avait décrété que puisque c’est comme ça, elle irait chez les Sanders. Refus catégorique des parents. Il avait fallu toute la patience et la bonne volonté du monde pour que l’aiglonne persuade ses deux parents de changer d’avis, et une fois l’accord arraché des deux côtés – ou des quatre, il faut l’accord des parents Sanders aussi – elle avait transplané pour rejoindre son chéri chez lui <3. Au départ, elle ne devait passer qu’une semaine chez les Sanders, mais ils l’avaient trouvé tellement polie et raffinée qu’ils avaient accepté de la garder un petit peu plus. Eh oui, les River sont les meilleurs mes poussins ! En une semaine, ils avaient eu le temps de faire pas mal de choses. Visites de musées, bals de charité où elle était BIEN EVIDEMMENT la cavalière de Nolan – faut pas pousser, propriétés privée là les filles, allez ouste on va voir ailleurs ! – rencontres de puissants qu’elle connaissait déjà, discussion avec des gens où elle montrait son intelligence mordante et où elle pouvait se vanter en tout bien tout honneur que oui, messieurs-dames, c’est bien moi la nouvelle préfète en chef de Poudlard. Elle avait aussi du expliquer assez rapidement au nymphomane servant de frère à son petit ami que non, coucher avec lui ne l’intéressait absolument pas et qu’elle se fichait de ce qu’elle ratait. Et que s’il continuait elle préviendrait Nolan. Et face aux insistances du bonhomme, elle était allée prévenir son petit ami, qui était entré dans une colère folle et qui était allé éclater la tête de son frangin pour lui expliquer la vie. On t’avait prévenu, petit Sanders.

Le seul truc qui semblait gêner Nolan était le problème de la nuit. En effet, ils dormaient chacun de leur côté, Moïra ayant été placée dans une chambre d’amis coquette et classe, et Nolan ayant été prié de rester dans sa chambre. Dès le premier jour d’ailleurs, les choses semblaient avoir été étalées assez clairement sur le tapis sans que la préfète (EN CHEF !) n’ait eu besoin de s’en mêler. Ainsi, la première nuit, et toutes les autres d’ailleurs, Nolan n’était pas venu squatter sa chambre pour des câlins nocturnes, et Moïra avait fait pareil de son côté. Depuis qu’ils sortaient ensemble, et ça allait faire presque quatre mois, ils s’en tenaient à cette relation assez distante, d’ailleurs. Nolan n’était pas aller vagabonder du côté d’autres demoiselles qui auraient été ravies de coucher avec lui, et restait étrangement fidèle. Etrangement, parce qu’au départ l’aiglonne voulait juste le tester, voir s’il résisterait. Déjà qu’il n’avait fréquenté personne depuis leur dispute, un mois avant qu’ils ne se mettent ensemble … Et il avait tenu. Un mois. Puis un second. Puis un troisième. Puis un quatrième. Il semblait étrangement résigné même. Il ne lui demandait pas, elle ne lui demandait pas, il se contentait de se la jouer mec carrément romantique et elle … Fondait. Ah c’est une fille, le romantisme ça fait fondre les filles mes petits rouleaux de printemps. Elle fondait misérablement, lamentablement, mais ne lui montrait pas – et puis quoi encore ! – et ne lui proposait toujours pas de franchir le pas. Pauvre petite aussi, elle n’y connaît rien. Elle avait bien demandé des précisions à son frère, mais ce dernier était brusquement devenu tout rouge, s’était mis à bafouiller, et au bout de dix minutes d’incompréhension totale, elle avait fini par laisser tomber, au grand soulagement d’un Tom qui ne savait plus où se mettre. Ok, je vais me débrouiller toute seule alors. Sauf que voilà, après quatre mois de tergiversations et une semaine à se demander si elle le faisait ou pas, elle avait décidé que merde, allez on le fait, et puis voilà d’abord.

Raison pour laquelle elle avait les yeux grands ouverts à deux heures du matin XD. Elle était assise dans son lit, dans la chambre d’amis, et contemplait avec un regard hostile et méfiant la nuisette violette super classe qu’Aleera lui avait envoyée quand, désespérée, Moïra lui avait demandé de l’aide. Non mais, et puis quoi encore, elle ne va pas se trimballer en nuisette non plus. Le petit mot de la russe – et écrit en russe – restait gravé en lettres de feu dans son esprit. Essaie ça, ça marche à tous les coups. Non mais pour quoi elle va passer encore, sérieux. Et en plus de ça, la russe lui avait aussi envoyé des sous-vêtements pile poil à sa taille en ajoutant que ça faisait super bien avec. Putain, sérieux Lee, dès qu’on rentre à Poudlard Moïra te tue. Avec un soupir résigné, l’aiglonne enleva ses fringues pour enfiler ceux que son amie lui avait envoyés. C’est tout doux, c’est au moins de la soie. N’empêche que ça ne tient pas chaud ces merdes … Ok message reçu 8D. Quittant son lit, elle sortit de la chambre à pas de loups et se dirigea vers la chambre de Nolan en traversant silencieusement les couloirs. Héhé, comme si elle ne savait pas où se trouve la chambre de son copain, vous la prenez pour qui là franchement. Poussant la porte, elle la referma doucement, rassurée d’entendre le souffle régulier de Nolan qui dormait. Plus pour longtemps (a). S’approchant doucement, elle caressa du bout du doigt le bras de Nolan, rougissant légèrement en pensant à sa tenue et en voyant qu’il dormait en caleçon. La pauvre XD. Avant qu’il ne se mette à hurler, elle se pencha et l’embrassa doucement, le faisant immédiatement taire. Oh la jolie vue plongeante sur la poitrine de ta copine /VLAN/. Bon allez il fait froid è_é. Avec fluidité, l’aiglonne se glissa dans le lit du griffon et se colla contre lui. Ouiii là c’est carrément mieux quoi <3. Avec un espèce de vieux sourire taquin, elle lui attrapa la main et laissa tomber quelque chose dedans. Un préservatif. OUI PARCE QUE LEE LUI A AUSSI ENVOYE DES CAPOTES XD.

« Chiche que tu ne l’ouvres pas, Sanders … »

Déjà qu’il avait l’air gravement choqué de la voir débarquer en nuisette XD. Retenant un vieux rire hystérique et stressé en voyant la tête de son copain – ah bah oui elle stresse à mort là XD – elle s’avança pour l’embrasser, passant une main dans son dos, lui laissant les capotes en main. Et tout doucement, elle commença à caresser le dos du Gryffondor, laissant glisser sa main de haut en bas, pendant qu’elle posait son autre main sur son ventre. Hé, garde pas cette tête Nolan, déjà qu’elle flippe XD.

« Alors, cap ou pas cap ? »

CA VA CHIER XD.

[Crédits :]

« Lol OST - Little Sister. »

Les vacances c’est trop cool, et oui, c’est bien Moïra qui dit ça. Et là, ET LA, elle passait les vacances chez les Sanders. Normalement ça aurait dû être Nolan qui aurait du venir chez les River, mais une impossibilité technique que Moïra n’avait pas vraiment comprise avait empêché la chose de se produire. Pugnace et déterminée à passer des vacances avec son copain, Moïra avait décrété que puisque c’est comme ça, elle irait chez les Sanders. Refus catégorique des parents. Il avait fallu toute la patience et la bonne volonté du monde pour que l’aiglonne persuade ses deux parents de changer d’avis, et une fois l’accord arraché des deux côtés – ou des quatre, il faut l’accord des parents Sanders aussi – elle avait transplané pour rejoindre son chéri chez lui <3. Au départ, elle ne devait passer qu’une semaine chez les Sanders, mais ils l’avaient trouvé tellement polie et raffinée qu’ils avaient accepté de la garder un petit peu plus. Eh oui, les River sont les meilleurs mes poussins ! En une semaine, ils avaient eu le temps de faire pas mal de choses. Visites de musées, bals de charité où elle était BIEN EVIDEMMENT la cavalière de Nolan – faut pas pousser, propriétés privée là les filles, allez ouste on va voir ailleurs ! – rencontres de puissants qu’elle connaissait déjà, discussion avec des gens où elle montrait son intelligence mordante et où elle pouvait se vanter en tout bien tout honneur que oui, messieurs-dames, c’est bien moi la nouvelle préfète en chef de Poudlard. Elle avait aussi du expliquer assez rapidement au nymphomane servant de frère à son petit ami que non, coucher avec lui ne l’intéressait absolument pas et qu’elle se fichait de ce qu’elle ratait. Et que s’il continuait elle préviendrait Nolan. Et face aux insistances du bonhomme, elle était allée prévenir son petit ami, qui était entré dans une colère folle et qui était allé éclater la tête de son frangin pour lui expliquer la vie. On t’avait prévenu, petit Sanders.

Le seul truc qui semblait gêner Nolan était le problème de la nuit. En effet, ils dormaient chacun de leur côté, Moïra ayant été placée dans une chambre d’amis coquette et classe, et Nolan ayant été prié de rester dans sa chambre. Dès le premier jour d’ailleurs, les choses semblaient avoir été étalées assez clairement sur le tapis sans que la préfète (EN CHEF !) n’ait eu besoin de s’en mêler. Ainsi, la première nuit, et toutes les autres d’ailleurs, Nolan n’était pas venu squatter sa chambre pour des câlins nocturnes, et Moïra avait fait pareil de son côté. Depuis qu’ils sortaient ensemble, et ça allait faire presque quatre mois, ils s’en tenaient à cette relation assez distante, d’ailleurs. Nolan n’était pas aller vagabonder du côté d’autres demoiselles qui auraient été ravies de coucher avec lui, et restait étrangement fidèle. Etrangement, parce qu’au départ l’aiglonne voulait juste le tester, voir s’il résisterait. Déjà qu’il n’avait fréquenté personne depuis leur dispute, un mois avant qu’ils ne se mettent ensemble … Et il avait tenu. Un mois. Puis un second. Puis un troisième. Puis un quatrième. Il semblait étrangement résigné même. Il ne lui demandait pas, elle ne lui demandait pas, il se contentait de se la jouer mec carrément romantique et elle … Fondait. Ah c’est une fille, le romantisme ça fait fondre les filles mes petits rouleaux de printemps. Elle fondait misérablement, lamentablement, mais ne lui montrait pas – et puis quoi encore ! – et ne lui proposait toujours pas de franchir le pas. Pauvre petite aussi, elle n’y connaît rien. Elle avait bien demandé des précisions à son frère, mais ce dernier était brusquement devenu tout rouge, s’était mis à bafouiller, et au bout de dix minutes d’incompréhension totale, elle avait fini par laisser tomber, au grand soulagement d’un Tom qui ne savait plus où se mettre. Ok, je vais me débrouiller toute seule alors. Sauf que voilà, après quatre mois de tergiversations et une semaine à se demander si elle le faisait ou pas, elle avait décidé que merde, allez on le fait, et puis voilà d’abord.

Raison pour laquelle elle avait les yeux grands ouverts à deux heures du matin XD. Elle était assise dans son lit, dans la chambre d’amis, et contemplait avec un regard hostile et méfiant la nuisette violette super classe qu’Aleera lui avait envoyée quand, désespérée, Moïra lui avait demandé de l’aide. Non mais, et puis quoi encore, elle ne va pas se trimballer en nuisette non plus. Le petit mot de la russe – et écrit en russe – restait gravé en lettres de feu dans son esprit. Essaie ça, ça marche à tous les coups. Non mais pour quoi elle va passer encore, sérieux. Et en plus de ça, la russe lui avait aussi envoyé des sous-vêtements pile poil à sa taille en ajoutant que ça faisait super bien avec. Putain, sérieux Lee, dès qu’on rentre à Poudlard Moïra te tue. Avec un soupir résigné, l’aiglonne enleva ses fringues pour enfiler ceux que son amie lui avait envoyés. C’est tout doux, c’est au moins de la soie. N’empêche que ça ne tient pas chaud ces merdes … Ok message reçu 8D. Quittant son lit, elle sortit de la chambre à pas de loups et se dirigea vers la chambre de Nolan en traversant silencieusement les couloirs. Héhé, comme si elle ne savait pas où se trouve la chambre de son copain, vous la prenez pour qui là franchement. Poussant la porte, elle la referma doucement, rassurée d’entendre le souffle régulier de Nolan qui dormait. Plus pour longtemps (a). S’approchant doucement, elle caressa du bout du doigt le bras de Nolan, rougissant légèrement en pensant à sa tenue et en voyant qu’il dormait en caleçon. La pauvre XD. Avant qu’il ne se mette à hurler, elle se pencha et l’embrassa doucement, le faisant immédiatement taire. Oh la jolie vue plongeante sur la poitrine de ta copine /VLAN/. Bon allez il fait froid è_é. Avec fluidité, l’aiglonne se glissa dans le lit du griffon et se colla contre lui. Ouiii là c’est carrément mieux quoi <3. Avec un espèce de vieux sourire taquin, elle lui attrapa la main et laissa tomber quelque chose dedans. Un préservatif. OUI PARCE QUE LEE LUI A AUSSI ENVOYE DES CAPOTES XD.

« Chiche que tu ne l’ouvres pas, Sanders … »

Déjà qu’il avait l’air gravement choqué de la voir débarquer en nuisette XD. Retenant un vieux rire hystérique et stressé en voyant la tête de son copain – ah bah oui elle stresse à mort là XD – elle s’avança pour l’embrasser, passant une main dans son dos, lui laissant les capotes en main. Et tout doucement, elle commença à caresser le dos du Gryffondor, laissant glisser sa main de haut en bas, pendant qu’elle posait son autre main sur son ventre. Hé, garde pas cette tête Nolan, déjà qu’elle flippe XD.

« Alors, cap ou pas cap ? »

CA VA CHIER XD.

[Age RPG :]

« Lol OST - Little Sister. »

Les vacances c’est trop cool, et oui, c’est bien Moïra qui dit ça. Et là, ET LA, elle passait les vacances chez les Sanders. Normalement ça aurait dû être Nolan qui aurait du venir chez les River, mais une impossibilité technique que Moïra n’avait pas vraiment comprise avait empêché la chose de se produire. Pugnace et déterminée à passer des vacances avec son copain, Moïra avait décrété que puisque c’est comme ça, elle irait chez les Sanders. Refus catégorique des parents. Il avait fallu toute la patience et la bonne volonté du monde pour que l’aiglonne persuade ses deux parents de changer d’avis, et une fois l’accord arraché des deux côtés – ou des quatre, il faut l’accord des parents Sanders aussi – elle avait transplané pour rejoindre son chéri chez lui <3. Au départ, elle ne devait passer qu’une semaine chez les Sanders, mais ils l’avaient trouvé tellement polie et raffinée qu’ils avaient accepté de la garder un petit peu plus. Eh oui, les River sont les meilleurs mes poussins ! En une semaine, ils avaient eu le temps de faire pas mal de choses. Visites de musées, bals de charité où elle était BIEN EVIDEMMENT la cavalière de Nolan – faut pas pousser, propriétés privée là les filles, allez ouste on va voir ailleurs ! – rencontres de puissants qu’elle connaissait déjà, discussion avec des gens où elle montrait son intelligence mordante et où elle pouvait se vanter en tout bien tout honneur que oui, messieurs-dames, c’est bien moi la nouvelle préfète en chef de Poudlard. Elle avait aussi du expliquer assez rapidement au nymphomane servant de frère à son petit ami que non, coucher avec lui ne l’intéressait absolument pas et qu’elle se fichait de ce qu’elle ratait. Et que s’il continuait elle préviendrait Nolan. Et face aux insistances du bonhomme, elle était allée prévenir son petit ami, qui était entré dans une colère folle et qui était allé éclater la tête de son frangin pour lui expliquer la vie. On t’avait prévenu, petit Sanders.

Le seul truc qui semblait gêner Nolan était le problème de la nuit. En effet, ils dormaient chacun de leur côté, Moïra ayant été placée dans une chambre d’amis coquette et classe, et Nolan ayant été prié de rester dans sa chambre. Dès le premier jour d’ailleurs, les choses semblaient avoir été étalées assez clairement sur le tapis sans que la préfète (EN CHEF !) n’ait eu besoin de s’en mêler. Ainsi, la première nuit, et toutes les autres d’ailleurs, Nolan n’était pas venu squatter sa chambre pour des câlins nocturnes, et Moïra avait fait pareil de son côté. Depuis qu’ils sortaient ensemble, et ça allait faire presque quatre mois, ils s’en tenaient à cette relation assez distante, d’ailleurs. Nolan n’était pas aller vagabonder du côté d’autres demoiselles qui auraient été ravies de coucher avec lui, et restait étrangement fidèle. Etrangement, parce qu’au départ l’aiglonne voulait juste le tester, voir s’il résisterait. Déjà qu’il n’avait fréquenté personne depuis leur dispute, un mois avant qu’ils ne se mettent ensemble … Et il avait tenu. Un mois. Puis un second. Puis un troisième. Puis un quatrième. Il semblait étrangement résigné même. Il ne lui demandait pas, elle ne lui demandait pas, il se contentait de se la jouer mec carrément romantique et elle … Fondait. Ah c’est une fille, le romantisme ça fait fondre les filles mes petits rouleaux de printemps. Elle fondait misérablement, lamentablement, mais ne lui montrait pas – et puis quoi encore ! – et ne lui proposait toujours pas de franchir le pas. Pauvre petite aussi, elle n’y connaît rien. Elle avait bien demandé des précisions à son frère, mais ce dernier était brusquement devenu tout rouge, s’était mis à bafouiller, et au bout de dix minutes d’incompréhension totale, elle avait fini par laisser tomber, au grand soulagement d’un Tom qui ne savait plus où se mettre. Ok, je vais me débrouiller toute seule alors. Sauf que voilà, après quatre mois de tergiversations et une semaine à se demander si elle le faisait ou pas, elle avait décidé que merde, allez on le fait, et puis voilà d’abord.

Raison pour laquelle elle avait les yeux grands ouverts à deux heures du matin XD. Elle était assise dans son lit, dans la chambre d’amis, et contemplait avec un regard hostile et méfiant la nuisette violette super classe qu’Aleera lui avait envoyée quand, désespérée, Moïra lui avait demandé de l’aide. Non mais, et puis quoi encore, elle ne va pas se trimballer en nuisette non plus. Le petit mot de la russe – et écrit en russe – restait gravé en lettres de feu dans son esprit. Essaie ça, ça marche à tous les coups. Non mais pour quoi elle va passer encore, sérieux. Et en plus de ça, la russe lui avait aussi envoyé des sous-vêtements pile poil à sa taille en ajoutant que ça faisait super bien avec. Putain, sérieux Lee, dès qu’on rentre à Poudlard Moïra te tue. Avec un soupir résigné, l’aiglonne enleva ses fringues pour enfiler ceux que son amie lui avait envoyés. C’est tout doux, c’est au moins de la soie. N’empêche que ça ne tient pas chaud ces merdes … Ok message reçu 8D. Quittant son lit, elle sortit de la chambre à pas de loups et se dirigea vers la chambre de Nolan en traversant silencieusement les couloirs. Héhé, comme si elle ne savait pas où se trouve la chambre de son copain, vous la prenez pour qui là franchement. Poussant la porte, elle la referma doucement, rassurée d’entendre le souffle régulier de Nolan qui dormait. Plus pour longtemps (a). S’approchant doucement, elle caressa du bout du doigt le bras de Nolan, rougissant légèrement en pensant à sa tenue et en voyant qu’il dormait en caleçon. La pauvre XD. Avant qu’il ne se mette à hurler, elle se pencha et l’embrassa doucement, le faisant immédiatement taire. Oh la jolie vue plongeante sur la poitrine de ta copine /VLAN/. Bon allez il fait froid è_é. Avec fluidité, l’aiglonne se glissa dans le lit du griffon et se colla contre lui. Ouiii là c’est carrément mieux quoi <3. Avec un espèce de vieux sourire taquin, elle lui attrapa la main et laissa tomber quelque chose dedans. Un préservatif. OUI PARCE QUE LEE LUI A AUSSI ENVOYE DES CAPOTES XD.

« Chiche que tu ne l’ouvres pas, Sanders … »

Déjà qu’il avait l’air gravement choqué de la voir débarquer en nuisette XD. Retenant un vieux rire hystérique et stressé en voyant la tête de son copain – ah bah oui elle stresse à mort là XD – elle s’avança pour l’embrasser, passant une main dans son dos, lui laissant les capotes en main. Et tout doucement, elle commença à caresser le dos du Gryffondor, laissant glisser sa main de haut en bas, pendant qu’elle posait son autre main sur son ventre. Hé, garde pas cette tête Nolan, déjà qu’elle flippe XD.

« Alors, cap ou pas cap ? »

CA VA CHIER XD.

[Sang :]

« Lol OST - Little Sister. »

Les vacances c’est trop cool, et oui, c’est bien Moïra qui dit ça. Et là, ET LA, elle passait les vacances chez les Sanders. Normalement ça aurait dû être Nolan qui aurait du venir chez les River, mais une impossibilité technique que Moïra n’avait pas vraiment comprise avait empêché la chose de se produire. Pugnace et déterminée à passer des vacances avec son copain, Moïra avait décrété que puisque c’est comme ça, elle irait chez les Sanders. Refus catégorique des parents. Il avait fallu toute la patience et la bonne volonté du monde pour que l’aiglonne persuade ses deux parents de changer d’avis, et une fois l’accord arraché des deux côtés – ou des quatre, il faut l’accord des parents Sanders aussi – elle avait transplané pour rejoindre son chéri chez lui <3. Au départ, elle ne devait passer qu’une semaine chez les Sanders, mais ils l’avaient trouvé tellement polie et raffinée qu’ils avaient accepté de la garder un petit peu plus. Eh oui, les River sont les meilleurs mes poussins ! En une semaine, ils avaient eu le temps de faire pas mal de choses. Visites de musées, bals de charité où elle était BIEN EVIDEMMENT la cavalière de Nolan – faut pas pousser, propriétés privée là les filles, allez ouste on va voir ailleurs ! – rencontres de puissants qu’elle connaissait déjà, discussion avec des gens où elle montrait son intelligence mordante et où elle pouvait se vanter en tout bien tout honneur que oui, messieurs-dames, c’est bien moi la nouvelle préfète en chef de Poudlard. Elle avait aussi du expliquer assez rapidement au nymphomane servant de frère à son petit ami que non, coucher avec lui ne l’intéressait absolument pas et qu’elle se fichait de ce qu’elle ratait. Et que s’il continuait elle préviendrait Nolan. Et face aux insistances du bonhomme, elle était allée prévenir son petit ami, qui était entré dans une colère folle et qui était allé éclater la tête de son frangin pour lui expliquer la vie. On t’avait prévenu, petit Sanders.

Le seul truc qui semblait gêner Nolan était le problème de la nuit. En effet, ils dormaient chacun de leur côté, Moïra ayant été placée dans une chambre d’amis coquette et classe, et Nolan ayant été prié de rester dans sa chambre. Dès le premier jour d’ailleurs, les choses semblaient avoir été étalées assez clairement sur le tapis sans que la préfète (EN CHEF !) n’ait eu besoin de s’en mêler. Ainsi, la première nuit, et toutes les autres d’ailleurs, Nolan n’était pas venu squatter sa chambre pour des câlins nocturnes, et Moïra avait fait pareil de son côté. Depuis qu’ils sortaient ensemble, et ça allait faire presque quatre mois, ils s’en tenaient à cette relation assez distante, d’ailleurs. Nolan n’était pas aller vagabonder du côté d’autres demoiselles qui auraient été ravies de coucher avec lui, et restait étrangement fidèle. Etrangement, parce qu’au départ l’aiglonne voulait juste le tester, voir s’il résisterait. Déjà qu’il n’avait fréquenté personne depuis leur dispute, un mois avant qu’ils ne se mettent ensemble … Et il avait tenu. Un mois. Puis un second. Puis un troisième. Puis un quatrième. Il semblait étrangement résigné même. Il ne lui demandait pas, elle ne lui demandait pas, il se contentait de se la jouer mec carrément romantique et elle … Fondait. Ah c’est une fille, le romantisme ça fait fondre les filles mes petits rouleaux de printemps. Elle fondait misérablement, lamentablement, mais ne lui montrait pas – et puis quoi encore ! – et ne lui proposait toujours pas de franchir le pas. Pauvre petite aussi, elle n’y connaît rien. Elle avait bien demandé des précisions à son frère, mais ce dernier était brusquement devenu tout rouge, s’était mis à bafouiller, et au bout de dix minutes d’incompréhension totale, elle avait fini par laisser tomber, au grand soulagement d’un Tom qui ne savait plus où se mettre. Ok, je vais me débrouiller toute seule alors. Sauf que voilà, après quatre mois de tergiversations et une semaine à se demander si elle le faisait ou pas, elle avait décidé que merde, allez on le fait, et puis voilà d’abord.

Raison pour laquelle elle avait les yeux grands ouverts à deux heures du matin XD. Elle était assise dans son lit, dans la chambre d’amis, et contemplait avec un regard hostile et méfiant la nuisette violette super classe qu’Aleera lui avait envoyée quand, désespérée, Moïra lui avait demandé de l’aide. Non mais, et puis quoi encore, elle ne va pas se trimballer en nuisette non plus. Le petit mot de la russe – et écrit en russe – restait gravé en lettres de feu dans son esprit. Essaie ça, ça marche à tous les coups. Non mais pour quoi elle va passer encore, sérieux. Et en plus de ça, la russe lui avait aussi envoyé des sous-vêtements pile poil à sa taille en ajoutant que ça faisait super bien avec. Putain, sérieux Lee, dès qu’on rentre à Poudlard Moïra te tue. Avec un soupir résigné, l’aiglonne enleva ses fringues pour enfiler ceux que son amie lui avait envoyés. C’est tout doux, c’est au moins de la soie. N’empêche que ça ne tient pas chaud ces merdes … Ok message reçu 8D. Quittant son lit, elle sortit de la chambre à pas de loups et se dirigea vers la chambre de Nolan en traversant silencieusement les couloirs. Héhé, comme si elle ne savait pas où se trouve la chambre de son copain, vous la prenez pour qui là franchement. Poussant la porte, elle la referma doucement, rassurée d’entendre le souffle régulier de Nolan qui dormait. Plus pour longtemps (a). S’approchant doucement, elle caressa du bout du doigt le bras de Nolan, rougissant légèrement en pensant à sa tenue et en voyant qu’il dormait en caleçon. La pauvre XD. Avant qu’il ne se mette à hurler, elle se pencha et l’embrassa doucement, le faisant immédiatement taire. Oh la jolie vue plongeante sur la poitrine de ta copine /VLAN/. Bon allez il fait froid è_é. Avec fluidité, l’aiglonne se glissa dans le lit du griffon et se colla contre lui. Ouiii là c’est carrément mieux quoi <3. Avec un espèce de vieux sourire taquin, elle lui attrapa la main et laissa tomber quelque chose dedans. Un préservatif. OUI PARCE QUE LEE LUI A AUSSI ENVOYE DES CAPOTES XD.

« Chiche que tu ne l’ouvres pas, Sanders … »

Déjà qu’il avait l’air gravement choqué de la voir débarquer en nuisette XD. Retenant un vieux rire hystérique et stressé en voyant la tête de son copain – ah bah oui elle stresse à mort là XD – elle s’avança pour l’embrasser, passant une main dans son dos, lui laissant les capotes en main. Et tout doucement, elle commença à caresser le dos du Gryffondor, laissant glisser sa main de haut en bas, pendant qu’elle posait son autre main sur son ventre. Hé, garde pas cette tête Nolan, déjà qu’elle flippe XD.

« Alors, cap ou pas cap ? »

CA VA CHIER XD.

[Camp :]

« Lol OST - Little Sister. »

Les vacances c’est trop cool, et oui, c’est bien Moïra qui dit ça. Et là, ET LA, elle passait les vacances chez les Sanders. Normalement ça aurait dû être Nolan qui aurait du venir chez les River, mais une impossibilité technique que Moïra n’avait pas vraiment comprise avait empêché la chose de se produire. Pugnace et déterminée à passer des vacances avec son copain, Moïra avait décrété que puisque c’est comme ça, elle irait chez les Sanders. Refus catégorique des parents. Il avait fallu toute la patience et la bonne volonté du monde pour que l’aiglonne persuade ses deux parents de changer d’avis, et une fois l’accord arraché des deux côtés – ou des quatre, il faut l’accord des parents Sanders aussi – elle avait transplané pour rejoindre son chéri chez lui <3. Au départ, elle ne devait passer qu’une semaine chez les Sanders, mais ils l’avaient trouvé tellement polie et raffinée qu’ils avaient accepté de la garder un petit peu plus. Eh oui, les River sont les meilleurs mes poussins ! En une semaine, ils avaient eu le temps de faire pas mal de choses. Visites de musées, bals de charité où elle était BIEN EVIDEMMENT la cavalière de Nolan – faut pas pousser, propriétés privée là les filles, allez ouste on va voir ailleurs ! – rencontres de puissants qu’elle connaissait déjà, discussion avec des gens où elle montrait son intelligence mordante et où elle pouvait se vanter en tout bien tout honneur que oui, messieurs-dames, c’est bien moi la nouvelle préfète en chef de Poudlard. Elle avait aussi du expliquer assez rapidement au nymphomane servant de frère à son petit ami que non, coucher avec lui ne l’intéressait absolument pas et qu’elle se fichait de ce qu’elle ratait. Et que s’il continuait elle préviendrait Nolan. Et face aux insistances du bonhomme, elle était allée prévenir son petit ami, qui était entré dans une colère folle et qui était allé éclater la tête de son frangin pour lui expliquer la vie. On t’avait prévenu, petit Sanders.

Le seul truc qui semblait gêner Nolan était le problème de la nuit. En effet, ils dormaient chacun de leur côté, Moïra ayant été placée dans une chambre d’amis coquette et classe, et Nolan ayant été prié de rester dans sa chambre. Dès le premier jour d’ailleurs, les choses semblaient avoir été étalées assez clairement sur le tapis sans que la préfète (EN CHEF !) n’ait eu besoin de s’en mêler. Ainsi, la première nuit, et toutes les autres d’ailleurs, Nolan n’était pas venu squatter sa chambre pour des câlins nocturnes, et Moïra avait fait pareil de son côté. Depuis qu’ils sortaient ensemble, et ça allait faire presque quatre mois, ils s’en tenaient à cette relation assez distante, d’ailleurs. Nolan n’était pas aller vagabonder du côté d’autres demoiselles qui auraient été ravies de coucher avec lui, et restait étrangement fidèle. Etrangement, parce qu’au départ l’aiglonne voulait juste le tester, voir s’il résisterait. Déjà qu’il n’avait fréquenté personne depuis leur dispute, un mois avant qu’ils ne se mettent ensemble … Et il avait tenu. Un mois. Puis un second. Puis un troisième. Puis un quatrième. Il semblait étrangement résigné même. Il ne lui demandait pas, elle ne lui demandait pas, il se contentait de se la jouer mec carrément romantique et elle … Fondait. Ah c’est une fille, le romantisme ça fait fondre les filles mes petits rouleaux de printemps. Elle fondait misérablement, lamentablement, mais ne lui montrait pas – et puis quoi encore ! – et ne lui proposait toujours pas de franchir le pas. Pauvre petite aussi, elle n’y connaît rien. Elle avait bien demandé des précisions à son frère, mais ce dernier était brusquement devenu tout rouge, s’était mis à bafouiller, et au bout de dix minutes d’incompréhension totale, elle avait fini par laisser tomber, au grand soulagement d’un Tom qui ne savait plus où se mettre. Ok, je vais me débrouiller toute seule alors. Sauf que voilà, après quatre mois de tergiversations et une semaine à se demander si elle le faisait ou pas, elle avait décidé que merde, allez on le fait, et puis voilà d’abord.

Raison pour laquelle elle avait les yeux grands ouverts à deux heures du matin XD. Elle était assise dans son lit, dans la chambre d’amis, et contemplait avec un regard hostile et méfiant la nuisette violette super classe qu’Aleera lui avait envoyée quand, désespérée, Moïra lui avait demandé de l’aide. Non mais, et puis quoi encore, elle ne va pas se trimballer en nuisette non plus. Le petit mot de la russe – et écrit en russe – restait gravé en lettres de feu dans son esprit. Essaie ça, ça marche à tous les coups. Non mais pour quoi elle va passer encore, sérieux. Et en plus de ça, la russe lui avait aussi envoyé des sous-vêtements pile poil à sa taille en ajoutant que ça faisait super bien avec. Putain, sérieux Lee, dès qu’on rentre à Poudlard Moïra te tue. Avec un soupir résigné, l’aiglonne enleva ses fringues pour enfiler ceux que son amie lui avait envoyés. C’est tout doux, c’est au moins de la soie. N’empêche que ça ne tient pas chaud ces merdes … Ok message reçu 8D. Quittant son lit, elle sortit de la chambre à pas de loups et se dirigea vers la chambre de Nolan en traversant silencieusement les couloirs. Héhé, comme si elle ne savait pas où se trouve la chambre de son copain, vous la prenez pour qui là franchement. Poussant la porte, elle la referma doucement, rassurée d’entendre le souffle régulier de Nolan qui dormait. Plus pour longtemps (a). S’approchant doucement, elle caressa du bout du doigt le bras de Nolan, rougissant légèrement en pensant à sa tenue et en voyant qu’il dormait en caleçon. La pauvre XD. Avant qu’il ne se mette à hurler, elle se pencha et l’embrassa doucement, le faisant immédiatement taire. Oh la jolie vue plongeante sur la poitrine de ta copine /VLAN/. Bon allez il fait froid è_é. Avec fluidité, l’aiglonne se glissa dans le lit du griffon et se colla contre lui. Ouiii là c’est carrément mieux quoi <3. Avec un espèce de vieux sourire taquin, elle lui attrapa la main et laissa tomber quelque chose dedans. Un préservatif. OUI PARCE QUE LEE LUI A AUSSI ENVOYE DES CAPOTES XD.

« Chiche que tu ne l’ouvres pas, Sanders … »

Déjà qu’il avait l’air gravement choqué de la voir débarquer en nuisette XD. Retenant un vieux rire hystérique et stressé en voyant la tête de son copain – ah bah oui elle stresse à mort là XD – elle s’avança pour l’embrasser, passant une main dans son dos, lui laissant les capotes en main. Et tout doucement, elle commença à caresser le dos du Gryffondor, laissant glisser sa main de haut en bas, pendant qu’elle posait son autre main sur son ventre. Hé, garde pas cette tête Nolan, déjà qu’elle flippe XD.

« Alors, cap ou pas cap ? »

CA VA CHIER XD.

[Vie du personnage :]

« Lol OST - Little Sister. »

Les vacances c’est trop cool, et oui, c’est bien Moïra qui dit ça. Et là, ET LA, elle passait les vacances chez les Sanders. Normalement ça aurait dû être Nolan qui aurait du venir chez les River, mais une impossibilité technique que Moïra n’avait pas vraiment comprise avait empêché la chose de se produire. Pugnace et déterminée à passer des vacances avec son copain, Moïra avait décrété que puisque c’est comme ça, elle irait chez les Sanders. Refus catégorique des parents. Il avait fallu toute la patience et la bonne volonté du monde pour que l’aiglonne persuade ses deux parents de changer d’avis, et une fois l’accord arraché des deux côtés – ou des quatre, il faut l’accord des parents Sanders aussi – elle avait transplané pour rejoindre son chéri chez lui <3. Au départ, elle ne devait passer qu’une semaine chez les Sanders, mais ils l’avaient trouvé tellement polie et raffinée qu’ils avaient accepté de la garder un petit peu plus. Eh oui, les River sont les meilleurs mes poussins ! En une semaine, ils avaient eu le temps de faire pas mal de choses. Visites de musées, bals de charité où elle était BIEN EVIDEMMENT la cavalière de Nolan – faut pas pousser, propriétés privée là les filles, allez ouste on va voir ailleurs ! – rencontres de puissants qu’elle connaissait déjà, discussion avec des gens où elle montrait son intelligence mordante et où elle pouvait se vanter en tout bien tout honneur que oui, messieurs-dames, c’est bien moi la nouvelle préfète en chef de Poudlard. Elle avait aussi du expliquer assez rapidement au nymphomane servant de frère à son petit ami que non, coucher avec lui ne l’intéressait absolument pas et qu’elle se fichait de ce qu’elle ratait. Et que s’il continuait elle préviendrait Nolan. Et face aux insistances du bonhomme, elle était allée prévenir son petit ami, qui était entré dans une colère folle et qui était allé éclater la tête de son frangin pour lui expliquer la vie. On t’avait prévenu, petit Sanders.

Le seul truc qui semblait gêner Nolan était le problème de la nuit. En effet, ils dormaient chacun de leur côté, Moïra ayant été placée dans une chambre d’amis coquette et classe, et Nolan ayant été prié de rester dans sa chambre. Dès le premier jour d’ailleurs, les choses semblaient avoir été étalées assez clairement sur le tapis sans que la préfète (EN CHEF !) n’ait eu besoin de s’en mêler. Ainsi, la première nuit, et toutes les autres d’ailleurs, Nolan n’était pas venu squatter sa chambre pour des câlins nocturnes, et Moïra avait fait pareil de son côté. Depuis qu’ils sortaient ensemble, et ça allait faire presque quatre mois, ils s’en tenaient à cette relation assez distante, d’ailleurs. Nolan n’était pas aller vagabonder du côté d’autres demoiselles qui auraient été ravies de coucher avec lui, et restait étrangement fidèle. Etrangement, parce qu’au départ l’aiglonne voulait juste le tester, voir s’il résisterait. Déjà qu’il n’avait fréquenté personne depuis leur dispute, un mois avant qu’ils ne se mettent ensemble … Et il avait tenu. Un mois. Puis un second. Puis un troisième. Puis un quatrième. Il semblait étrangement résigné même. Il ne lui demandait pas, elle ne lui demandait pas, il se contentait de se la jouer mec carrément romantique et elle … Fondait. Ah c’est une fille, le romantisme ça fait fondre les filles mes petits rouleaux de printemps. Elle fondait misérablement, lamentablement, mais ne lui montrait pas – et puis quoi encore ! – et ne lui proposait toujours pas de franchir le pas. Pauvre petite aussi, elle n’y connaît rien. Elle avait bien demandé des précisions à son frère, mais ce dernier était brusquement devenu tout rouge, s’était mis à bafouiller, et au bout de dix minutes d’incompréhension totale, elle avait fini par laisser tomber, au grand soulagement d’un Tom qui ne savait plus où se mettre. Ok, je vais me débrouiller toute seule alors. Sauf que voilà, après quatre mois de tergiversations et une semaine à se demander si elle le faisait ou pas, elle avait décidé que merde, allez on le fait, et puis voilà d’abord.

Raison pour laquelle elle avait les yeux grands ouverts à deux heures du matin XD. Elle était assise dans son lit, dans la chambre d’amis, et contemplait avec un regard hostile et méfiant la nuisette violette super classe qu’Aleera lui avait envoyée quand, désespérée, Moïra lui avait demandé de l’aide. Non mais, et puis quoi encore, elle ne va pas se trimballer en nuisette non plus. Le petit mot de la russe – et écrit en russe – restait gravé en lettres de feu dans son esprit. Essaie ça, ça marche à tous les coups. Non mais pour quoi elle va passer encore, sérieux. Et en plus de ça, la russe lui avait aussi envoyé des sous-vêtements pile poil à sa taille en ajoutant que ça faisait super bien avec. Putain, sérieux Lee, dès qu’on rentre à Poudlard Moïra te tue. Avec un soupir résigné, l’aiglonne enleva ses fringues pour enfiler ceux que son amie lui avait envoyés. C’est tout doux, c’est au moins de la soie. N’empêche que ça ne tient pas chaud ces merdes … Ok message reçu 8D. Quittant son lit, elle sortit de la chambre à pas de loups et se dirigea vers la chambre de Nolan en traversant silencieusement les couloirs. Héhé, comme si elle ne savait pas où se trouve la chambre de son copain, vous la prenez pour qui là franchement. Poussant la porte, elle la referma doucement, rassurée d’entendre le souffle régulier de Nolan qui dormait. Plus pour longtemps (a). S’approchant doucement, elle caressa du bout du doigt le bras de Nolan, rougissant légèrement en pensant à sa tenue et en voyant qu’il dormait en caleçon. La pauvre XD. Avant qu’il ne se mette à hurler, elle se pencha et l’embrassa doucement, le faisant immédiatement taire. Oh la jolie vue plongeante sur la poitrine de ta copine /VLAN/. Bon allez il fait froid è_é. Avec fluidité, l’aiglonne se glissa dans le lit du griffon et se colla contre lui. Ouiii là c’est carrément mieux quoi <3. Avec un espèce de vieux sourire taquin, elle lui attrapa la main et laissa tomber quelque chose dedans. Un préservatif. OUI PARCE QUE LEE LUI A AUSSI ENVOYE DES CAPOTES XD.

« Chiche que tu ne l’ouvres pas, Sanders … »

Déjà qu’il avait l’air gravement choqué de la voir débarquer en nuisette XD. Retenant un vieux rire hystérique et stressé en voyant la tête de son copain – ah bah oui elle stresse à mort là XD – elle s’avança pour l’embrasser, passant une main dans son dos, lui laissant les capotes en main. Et tout doucement, elle commença à caresser le dos du Gryffondor, laissant glisser sa main de haut en bas, pendant qu’elle posait son autre main sur son ventre. Hé, garde pas cette tête Nolan, déjà qu’elle flippe XD.

« Alors, cap ou pas cap ? »

CA VA CHIER XD.

[Doubles-Comptes :]

« Lol OST - Little Sister. »

Les vacances c’est trop cool, et oui, c’est bien Moïra qui dit ça. Et là, ET LA, elle passait les vacances chez les Sanders. Normalement ça aurait dû être Nolan qui aurait du venir chez les River, mais une impossibilité technique que Moïra n’avait pas vraiment comprise avait empêché la chose de se produire. Pugnace et déterminée à passer des vacances avec son copain, Moïra avait décrété que puisque c’est comme ça, elle irait chez les Sanders. Refus catégorique des parents. Il avait fallu toute la patience et la bonne volonté du monde pour que l’aiglonne persuade ses deux parents de changer d’avis, et une fois l’accord arraché des deux côtés – ou des quatre, il faut l’accord des parents Sanders aussi – elle avait transplané pour rejoindre son chéri chez lui <3. Au départ, elle ne devait passer qu’une semaine chez les Sanders, mais ils l’avaient trouvé tellement polie et raffinée qu’ils avaient accepté de la garder un petit peu plus. Eh oui, les River sont les meilleurs mes poussins ! En une semaine, ils avaient eu le temps de faire pas mal de choses. Visites de musées, bals de charité où elle était BIEN EVIDEMMENT la cavalière de Nolan – faut pas pousser, propriétés privée là les filles, allez ouste on va voir ailleurs ! – rencontres de puissants qu’elle connaissait déjà, discussion avec des gens où elle montrait son intelligence mordante et où elle pouvait se vanter en tout bien tout honneur que oui, messieurs-dames, c’est bien moi la nouvelle préfète en chef de Poudlard. Elle avait aussi du expliquer assez rapidement au nymphomane servant de frère à son petit ami que non, coucher avec lui ne l’intéressait absolument pas et qu’elle se fichait de ce qu’elle ratait. Et que s’il continuait elle préviendrait Nolan. Et face aux insistances du bonhomme, elle était allée prévenir son petit ami, qui était entré dans une colère folle et qui était allé éclater la tête de son frangin pour lui expliquer la vie. On t’avait prévenu, petit Sanders.

Le seul truc qui semblait gêner Nolan était le problème de la nuit. En effet, ils dormaient chacun de leur côté, Moïra ayant été placée dans une chambre d’amis coquette et classe, et Nolan ayant été prié de rester dans sa chambre. Dès le premier jour d’ailleurs, les choses semblaient avoir été étalées assez clairement sur le tapis sans que la préfète (EN CHEF !) n’ait eu besoin de s’en mêler. Ainsi, la première nuit, et toutes les autres d’ailleurs, Nolan n’était pas venu squatter sa chambre pour des câlins nocturnes, et Moïra avait fait pareil de son côté. Depuis qu’ils sortaient ensemble, et ça allait faire presque quatre mois, ils s’en tenaient à cette relation assez distante, d’ailleurs. Nolan n’était pas aller vagabonder du côté d’autres demoiselles qui auraient été ravies de coucher avec lui, et restait étrangement fidèle. Etrangement, parce qu’au départ l’aiglonne voulait juste le tester, voir s’il résisterait. Déjà qu’il n’avait fréquenté personne depuis leur dispute, un mois avant qu’ils ne se mettent ensemble … Et il avait tenu. Un mois. Puis un second. Puis un troisième. Puis un quatrième. Il semblait étrangement résigné même. Il ne lui demandait pas, elle ne lui demandait pas, il se contentait de se la jouer mec carrément romantique et elle … Fondait. Ah c’est une fille, le romantisme ça fait fondre les filles mes petits rouleaux de printemps. Elle fondait misérablement, lamentablement, mais ne lui montrait pas – et puis quoi encore ! – et ne lui proposait toujours pas de franchir le pas. Pauvre petite aussi, elle n’y connaît rien. Elle avait bien demandé des précisions à son frère, mais ce dernier était brusquement devenu tout rouge, s’était mis à bafouiller, et au bout de dix minutes d’incompréhension totale, elle avait fini par laisser tomber, au grand soulagement d’un Tom qui ne savait plus où se mettre. Ok, je vais me débrouiller toute seule alors. Sauf que voilà, après quatre mois de tergiversations et une semaine à se demander si elle le faisait ou pas, elle avait décidé que merde, allez on le fait, et puis voilà d’abord.

Raison pour laquelle elle avait les yeux grands ouverts à deux heures du matin XD. Elle était assise dans son lit, dans la chambre d’amis, et contemplait avec un regard hostile et méfiant la nuisette violette super classe qu’Aleera lui avait envoyée quand, désespérée, Moïra lui avait demandé de l’aide. Non mais, et puis quoi encore, elle ne va pas se trimballer en nuisette non plus. Le petit mot de la russe – et écrit en russe – restait gravé en lettres de feu dans son esprit. Essaie ça, ça marche à tous les coups. Non mais pour quoi elle va passer encore, sérieux. Et en plus de ça, la russe lui avait aussi envoyé des sous-vêtements pile poil à sa taille en ajoutant que ça faisait super bien avec. Putain, sérieux Lee, dès qu’on rentre à Poudlard Moïra te tue. Avec un soupir résigné, l’aiglonne enleva ses fringues pour enfiler ceux que son amie lui avait envoyés. C’est tout doux, c’est au moins de la soie. N’empêche que ça ne tient pas chaud ces merdes … Ok message reçu 8D. Quittant son lit, elle sortit de la chambre à pas de loups et se dirigea vers la chambre de Nolan en traversant silencieusement les couloirs. Héhé, comme si elle ne savait pas où se trouve la chambre de son copain, vous la prenez pour qui là franchement. Poussant la porte, elle la referma doucement, rassurée d’entendre le souffle régulier de Nolan qui dormait. Plus pour longtemps (a). S’approchant doucement, elle caressa du bout du doigt le bras de Nolan, rougissant légèrement en pensant à sa tenue et en voyant qu’il dormait en caleçon. La pauvre XD. Avant qu’il ne se mette à hurler, elle se pencha et l’embrassa doucement, le faisant immédiatement taire. Oh la jolie vue plongeante sur la poitrine de ta copine /VLAN/. Bon allez il fait froid è_é. Avec fluidité, l’aiglonne se glissa dans le lit du griffon et se colla contre lui. Ouiii là c’est carrément mieux quoi <3. Avec un espèce de vieux sourire taquin, elle lui attrapa la main et laissa tomber quelque chose dedans. Un préservatif. OUI PARCE QUE LEE LUI A AUSSI ENVOYE DES CAPOTES XD.

« Chiche que tu ne l’ouvres pas, Sanders … »

Déjà qu’il avait l’air gravement choqué de la voir débarquer en nuisette XD. Retenant un vieux rire hystérique et stressé en voyant la tête de son copain – ah bah oui elle stresse à mort là XD – elle s’avança pour l’embrasser, passant une main dans son dos, lui laissant les capotes en main. Et tout doucement, elle commença à caresser le dos du Gryffondor, laissant glisser sa main de haut en bas, pendant qu’elle posait son autre main sur son ventre. Hé, garde pas cette tête Nolan, déjà qu’elle flippe XD.

« Alors, cap ou pas cap ? »

CA VA CHIER XD.

MOIRA && NOLAN



Moïra serait bien venue dormir dès la première nuit dans le lit de son copain. Sauf que voilà, elle connaissait son penchant naturel pour la, euh, débauche, et ne souhaitait pas spécialement en faire les frais alors qu’elle voulait simplement dormir avec lui. En nuisette. Un peu plus épaisse que le truc hyper transparent que lui avait envoyé Aleera, mais quand même. Elle était donc gentiment restée dans la chambre d’amis où on l’avait casée, bizarrement pas très loin de la chambre de monsieur l’héritier Sanders – le plus vieux, SON COPAIN QUOI – et avait résisté à la tentation. Et maintenant, après un appel à l’aide éploré à une roskove allumeuse qui était un peu une de ses amies proches, elle allait franchir le pas. Oh mon Dieu oh mon Dieu OH MON DIEU. Allez arrête de flipper, c’est juste un coup à prendre, normal que la première fois fasse un peu peur. Discrète et silencieuse l’aiglonne qui commençait à angoisser légèrement se glissa dans la chambre de Nolan, beaucoup moins bordellique que ce qu’il laissait entendre pour qu’elle n’y rentre pas. Ca va, à côté de la chambre de Thomas, pardon le souk qui avait élu domicile dans la chambre de Thomas – avec les bruits en moins – elle était rodée au bazar. Quand elle quittait sa chambre pour aller squatter le lit de son frère qui n’était jamais contre, elle traversait ce gros bordel et elle ne cassait rien. Ce n’était pas la chambre de son copain qui allait la terroriser vraiment, vu le rapport au bazar perpétuel qu’elle avait avec son frère. Même dans la tête de son frère régnait un gros bazar … Enfin bref, stop la philosophie, ce n’est pas qu’elle commence à avoir un peu froid à cause de la fenêtre grande ouverte, mais si en fait. Coupant court à ses tergiversations inintéressantes, elle glissa doucement jusqu’au lit de son copain, souriant d’un air attendri en le regardant dormir. Il a l’air tellement fragile <3. Elle tiqua légèrement en voyant que monsieur dormait en caleçon – comme son frère mais c’pas pareil vous comprenez – et se glissa sous les draps en esquissant un sourire nerveux. Calme ma fille, calme.

Nolan fut surpris. Très surpris. Tellement surpris qu’il en sursauta et qu’il faillit tomber de son lit. Surprise elle aussi par sa réaction, elle coupa court à son envie de rire assez hystérique et embrassa son griffon, sans que ce dernier ne daigne réagir. Comme lui rendre son baiser, ou quelque chose quoi ! Non, il le rompit, laissant l’aiglonne désœuvrée plantée là avec son malaise persistant. Il la repoussait en fait, c’est ça ?! Avant même que l’idée ne fasse le chemin jusqu’à son cerveau et qu’elle se lève d’un air vexé et gêné, le préfet avait replacé une de ses mèches folles derrière son oreille, lui caressant la joue au passage. Oh, bon en fait elle n’est pas rejetée. D’accord, pas de soucis. Bon alors qu’est-ce qu’il lui arrive ? Le griffon la fixait, laissant sa main immobile sur sa joue, et la laissant surtout très mal à l’aise. Si dans cinq secondes tu n’as pas parlé, je me lève et je m’enfuis. Cinq. Quatre. Trois. Deux. Deux et demi ? AH MERCI TU PARLES. Oui, mais si c’est pour lui demander ce qu’elle fait … De la tarte à la rhubarbe, ça ne se voit pas ? Très calme mais aussi très stressée, l’aiglonne évita de lui répondre avec ironie pour ne pas se mettre à rire toute seule. La pauvre, c’est trop de pression là, sérieux. Pour éviter de répondre, et donc d’éclater de rire comme une folle, elle se calfeutra dans ses bras avec beaucoup de douceur, se calant contre lui en fermant les yeux. Semblant se contenter de son absence de réponse, le griffon effleura doucement son bras, lui tirant un léger frisson et un fin sourire. Il avait toujours le préservatif en main, et ça, elle essayait de ne pas y penser. Sinon, elle allait recommencer à angoisser, et il valait mieux éviter. Pauvre petit aiglonne. Au lieu de l’embrasser comme elle s’y attendait, il reprit la parole d’un ton légèrement anxieux. Il voulait quoi cette fois-ci ? Ah, qu’elle soit sûre. Oh c’est tellement mignon. Esquissant un léger sourire attendri, elle cala sa tête contre son cou tout en recommençant à balader sa main dans son dos, plus en confiance.

« Ce n’est pas bientôt fini, l’interrogatoire, monsieur Sanders ? »

Elle était moqueuse. Oh, juste légèrement. C’était juste pour dissimuler son propre trac d’une manière assez pitoyable, il faut l’avouer. Bon, elle n’avait qu’à se répéter en boucle qu’il n’allait rien se passer. Des câlins, et ça ne va pas plus loin. C’est beau l’innocence ouais XD. Bah pour son petit esprit ingénu, elle l’avait mis au défi de ne pas ouvrir la capote, donc il n’allait pas le faire. Très logique. Sinon elle allait paniquer et s’en aller vite fait, et pas seulement de la chambre, mais peut-être aussi de la maison. Pourtant il la tenait toujours à la main, faisant monter le stress de la petite aiglonne. Sérieux sois mignon et pose ça sur ta table de nuit quoi. Fermant les yeux un court instant, elle cessa son petit manège, mal à l’aise. Inspire expire, ça va passer. Moïra, la seule fille qui réussit à être en confiance et mal à l’aise, les deux en même temps. Oui elle est bizarre, je ne le nie pas. Allez, à moi la question conne !

« Bah alors, qu’est-ce que tu fais Nolan ? »

Pitié que mon anxiété ne s’entende pas. En effet, le Gryffondor ne bougeait plus du tout, et l’aiglonne commençait à vraiment paniquer. Même pas un bisou, même pas une caresse, il restait de marbre. Et là, elle commençait vraiment à se poser des questions, et peut-être pas les bonnes. Finalement prise de panique, l’aiglonne cessa finalement son manège, vaincue par son impression de malaise grandissant. Elle n’avait absolument rien à faire dans cette chambre. Retourne dormir, et écris demain à Aleera que ça n’a pas marché, et basta. Allez, fuite, repli stratégique. Elle recula brusquement, manquant de tomber du lit au passage, ne se rattrapant que Dieu seul sait comment, et gicla du lit pour se remettre debout et s'éloigner d'un pas, mécaniquement. Elle était complètement perdue, mais surtout complètement paniquée, et le pire c’est que ça devait se voir.

« Euuuh, je … »

Tu PEUX le faire, Moïra, on croit en toi.

« … Je crois que … Que je vais m’en aller, hein. »

[Messages :]

MOIRA && NOLAN



Moïra serait bien venue dormir dès la première nuit dans le lit de son copain. Sauf que voilà, elle connaissait son penchant naturel pour la, euh, débauche, et ne souhaitait pas spécialement en faire les frais alors qu’elle voulait simplement dormir avec lui. En nuisette. Un peu plus épaisse que le truc hyper transparent que lui avait envoyé Aleera, mais quand même. Elle était donc gentiment restée dans la chambre d’amis où on l’avait casée, bizarrement pas très loin de la chambre de monsieur l’héritier Sanders – le plus vieux, SON COPAIN QUOI – et avait résisté à la tentation. Et maintenant, après un appel à l’aide éploré à une roskove allumeuse qui était un peu une de ses amies proches, elle allait franchir le pas. Oh mon Dieu oh mon Dieu OH MON DIEU. Allez arrête de flipper, c’est juste un coup à prendre, normal que la première fois fasse un peu peur. Discrète et silencieuse l’aiglonne qui commençait à angoisser légèrement se glissa dans la chambre de Nolan, beaucoup moins bordellique que ce qu’il laissait entendre pour qu’elle n’y rentre pas. Ca va, à côté de la chambre de Thomas, pardon le souk qui avait élu domicile dans la chambre de Thomas – avec les bruits en moins – elle était rodée au bazar. Quand elle quittait sa chambre pour aller squatter le lit de son frère qui n’était jamais contre, elle traversait ce gros bordel et elle ne cassait rien. Ce n’était pas la chambre de son copain qui allait la terroriser vraiment, vu le rapport au bazar perpétuel qu’elle avait avec son frère. Même dans la tête de son frère régnait un gros bazar … Enfin bref, stop la philosophie, ce n’est pas qu’elle commence à avoir un peu froid à cause de la fenêtre grande ouverte, mais si en fait. Coupant court à ses tergiversations inintéressantes, elle glissa doucement jusqu’au lit de son copain, souriant d’un air attendri en le regardant dormir. Il a l’air tellement fragile <3. Elle tiqua légèrement en voyant que monsieur dormait en caleçon – comme son frère mais c’pas pareil vous comprenez – et se glissa sous les draps en esquissant un sourire nerveux. Calme ma fille, calme.

Nolan fut surpris. Très surpris. Tellement surpris qu’il en sursauta et qu’il faillit tomber de son lit. Surprise elle aussi par sa réaction, elle coupa court à son envie de rire assez hystérique et embrassa son griffon, sans que ce dernier ne daigne réagir. Comme lui rendre son baiser, ou quelque chose quoi ! Non, il le rompit, laissant l’aiglonne désœuvrée plantée là avec son malaise persistant. Il la repoussait en fait, c’est ça ?! Avant même que l’idée ne fasse le chemin jusqu’à son cerveau et qu’elle se lève d’un air vexé et gêné, le préfet avait replacé une de ses mèches folles derrière son oreille, lui caressant la joue au passage. Oh, bon en fait elle n’est pas rejetée. D’accord, pas de soucis. Bon alors qu’est-ce qu’il lui arrive ? Le griffon la fixait, laissant sa main immobile sur sa joue, et la laissant surtout très mal à l’aise. Si dans cinq secondes tu n’as pas parlé, je me lève et je m’enfuis. Cinq. Quatre. Trois. Deux. Deux et demi ? AH MERCI TU PARLES. Oui, mais si c’est pour lui demander ce qu’elle fait … De la tarte à la rhubarbe, ça ne se voit pas ? Très calme mais aussi très stressée, l’aiglonne évita de lui répondre avec ironie pour ne pas se mettre à rire toute seule. La pauvre, c’est trop de pression là, sérieux. Pour éviter de répondre, et donc d’éclater de rire comme une folle, elle se calfeutra dans ses bras avec beaucoup de douceur, se calant contre lui en fermant les yeux. Semblant se contenter de son absence de réponse, le griffon effleura doucement son bras, lui tirant un léger frisson et un fin sourire. Il avait toujours le préservatif en main, et ça, elle essayait de ne pas y penser. Sinon, elle allait recommencer à angoisser, et il valait mieux éviter. Pauvre petit aiglonne. Au lieu de l’embrasser comme elle s’y attendait, il reprit la parole d’un ton légèrement anxieux. Il voulait quoi cette fois-ci ? Ah, qu’elle soit sûre. Oh c’est tellement mignon. Esquissant un léger sourire attendri, elle cala sa tête contre son cou tout en recommençant à balader sa main dans son dos, plus en confiance.

« Ce n’est pas bientôt fini, l’interrogatoire, monsieur Sanders ? »

Elle était moqueuse. Oh, juste légèrement. C’était juste pour dissimuler son propre trac d’une manière assez pitoyable, il faut l’avouer. Bon, elle n’avait qu’à se répéter en boucle qu’il n’allait rien se passer. Des câlins, et ça ne va pas plus loin. C’est beau l’innocence ouais XD. Bah pour son petit esprit ingénu, elle l’avait mis au défi de ne pas ouvrir la capote, donc il n’allait pas le faire. Très logique. Sinon elle allait paniquer et s’en aller vite fait, et pas seulement de la chambre, mais peut-être aussi de la maison. Pourtant il la tenait toujours à la main, faisant monter le stress de la petite aiglonne. Sérieux sois mignon et pose ça sur ta table de nuit quoi. Fermant les yeux un court instant, elle cessa son petit manège, mal à l’aise. Inspire expire, ça va passer. Moïra, la seule fille qui réussit à être en confiance et mal à l’aise, les deux en même temps. Oui elle est bizarre, je ne le nie pas. Allez, à moi la question conne !

« Bah alors, qu’est-ce que tu fais Nolan ? »

Pitié que mon anxiété ne s’entende pas. En effet, le Gryffondor ne bougeait plus du tout, et l’aiglonne commençait à vraiment paniquer. Même pas un bisou, même pas une caresse, il restait de marbre. Et là, elle commençait vraiment à se poser des questions, et peut-être pas les bonnes. Finalement prise de panique, l’aiglonne cessa finalement son manège, vaincue par son impression de malaise grandissant. Elle n’avait absolument rien à faire dans cette chambre. Retourne dormir, et écris demain à Aleera que ça n’a pas marché, et basta. Allez, fuite, repli stratégique. Elle recula brusquement, manquant de tomber du lit au passage, ne se rattrapant que Dieu seul sait comment, et gicla du lit pour se remettre debout et s'éloigner d'un pas, mécaniquement. Elle était complètement perdue, mais surtout complètement paniquée, et le pire c’est que ça devait se voir.

« Euuuh, je … »

Tu PEUX le faire, Moïra, on croit en toi.

« … Je crois que … Que je vais m’en aller, hein. »

[Points :]

MOIRA && NOLAN



Moïra serait bien venue dormir dès la première nuit dans le lit de son copain. Sauf que voilà, elle connaissait son penchant naturel pour la, euh, débauche, et ne souhaitait pas spécialement en faire les frais alors qu’elle voulait simplement dormir avec lui. En nuisette. Un peu plus épaisse que le truc hyper transparent que lui avait envoyé Aleera, mais quand même. Elle était donc gentiment restée dans la chambre d’amis où on l’avait casée, bizarrement pas très loin de la chambre de monsieur l’héritier Sanders – le plus vieux, SON COPAIN QUOI – et avait résisté à la tentation. Et maintenant, après un appel à l’aide éploré à une roskove allumeuse qui était un peu une de ses amies proches, elle allait franchir le pas. Oh mon Dieu oh mon Dieu OH MON DIEU. Allez arrête de flipper, c’est juste un coup à prendre, normal que la première fois fasse un peu peur. Discrète et silencieuse l’aiglonne qui commençait à angoisser légèrement se glissa dans la chambre de Nolan, beaucoup moins bordellique que ce qu’il laissait entendre pour qu’elle n’y rentre pas. Ca va, à côté de la chambre de Thomas, pardon le souk qui avait élu domicile dans la chambre de Thomas – avec les bruits en moins – elle était rodée au bazar. Quand elle quittait sa chambre pour aller squatter le lit de son frère qui n’était jamais contre, elle traversait ce gros bordel et elle ne cassait rien. Ce n’était pas la chambre de son copain qui allait la terroriser vraiment, vu le rapport au bazar perpétuel qu’elle avait avec son frère. Même dans la tête de son frère régnait un gros bazar … Enfin bref, stop la philosophie, ce n’est pas qu’elle commence à avoir un peu froid à cause de la fenêtre grande ouverte, mais si en fait. Coupant court à ses tergiversations inintéressantes, elle glissa doucement jusqu’au lit de son copain, souriant d’un air attendri en le regardant dormir. Il a l’air tellement fragile <3. Elle tiqua légèrement en voyant que monsieur dormait en caleçon – comme son frère mais c’pas pareil vous comprenez – et se glissa sous les draps en esquissant un sourire nerveux. Calme ma fille, calme.

Nolan fut surpris. Très surpris. Tellement surpris qu’il en sursauta et qu’il faillit tomber de son lit. Surprise elle aussi par sa réaction, elle coupa court à son envie de rire assez hystérique et embrassa son griffon, sans que ce dernier ne daigne réagir. Comme lui rendre son baiser, ou quelque chose quoi ! Non, il le rompit, laissant l’aiglonne désœuvrée plantée là avec son malaise persistant. Il la repoussait en fait, c’est ça ?! Avant même que l’idée ne fasse le chemin jusqu’à son cerveau et qu’elle se lève d’un air vexé et gêné, le préfet avait replacé une de ses mèches folles derrière son oreille, lui caressant la joue au passage. Oh, bon en fait elle n’est pas rejetée. D’accord, pas de soucis. Bon alors qu’est-ce qu’il lui arrive ? Le griffon la fixait, laissant sa main immobile sur sa joue, et la laissant surtout très mal à l’aise. Si dans cinq secondes tu n’as pas parlé, je me lève et je m’enfuis. Cinq. Quatre. Trois. Deux. Deux et demi ? AH MERCI TU PARLES. Oui, mais si c’est pour lui demander ce qu’elle fait … De la tarte à la rhubarbe, ça ne se voit pas ? Très calme mais aussi très stressée, l’aiglonne évita de lui répondre avec ironie pour ne pas se mettre à rire toute seule. La pauvre, c’est trop de pression là, sérieux. Pour éviter de répondre, et donc d’éclater de rire comme une folle, elle se calfeutra dans ses bras avec beaucoup de douceur, se calant contre lui en fermant les yeux. Semblant se contenter de son absence de réponse, le griffon effleura doucement son bras, lui tirant un léger frisson et un fin sourire. Il avait toujours le préservatif en main, et ça, elle essayait de ne pas y penser. Sinon, elle allait recommencer à angoisser, et il valait mieux éviter. Pauvre petit aiglonne. Au lieu de l’embrasser comme elle s’y attendait, il reprit la parole d’un ton légèrement anxieux. Il voulait quoi cette fois-ci ? Ah, qu’elle soit sûre. Oh c’est tellement mignon. Esquissant un léger sourire attendri, elle cala sa tête contre son cou tout en recommençant à balader sa main dans son dos, plus en confiance.

« Ce n’est pas bientôt fini, l’interrogatoire, monsieur Sanders ? »

Elle était moqueuse. Oh, juste légèrement. C’était juste pour dissimuler son propre trac d’une manière assez pitoyable, il faut l’avouer. Bon, elle n’avait qu’à se répéter en boucle qu’il n’allait rien se passer. Des câlins, et ça ne va pas plus loin. C’est beau l’innocence ouais XD. Bah pour son petit esprit ingénu, elle l’avait mis au défi de ne pas ouvrir la capote, donc il n’allait pas le faire. Très logique. Sinon elle allait paniquer et s’en aller vite fait, et pas seulement de la chambre, mais peut-être aussi de la maison. Pourtant il la tenait toujours à la main, faisant monter le stress de la petite aiglonne. Sérieux sois mignon et pose ça sur ta table de nuit quoi. Fermant les yeux un court instant, elle cessa son petit manège, mal à l’aise. Inspire expire, ça va passer. Moïra, la seule fille qui réussit à être en confiance et mal à l’aise, les deux en même temps. Oui elle est bizarre, je ne le nie pas. Allez, à moi la question conne !

« Bah alors, qu’est-ce que tu fais Nolan ? »

Pitié que mon anxiété ne s’entende pas. En effet, le Gryffondor ne bougeait plus du tout, et l’aiglonne commençait à vraiment paniquer. Même pas un bisou, même pas une caresse, il restait de marbre. Et là, elle commençait vraiment à se poser des questions, et peut-être pas les bonnes. Finalement prise de panique, l’aiglonne cessa finalement son manège, vaincue par son impression de malaise grandissant. Elle n’avait absolument rien à faire dans cette chambre. Retourne dormir, et écris demain à Aleera que ça n’a pas marché, et basta. Allez, fuite, repli stratégique. Elle recula brusquement, manquant de tomber du lit au passage, ne se rattrapant que Dieu seul sait comment, et gicla du lit pour se remettre debout et s'éloigner d'un pas, mécaniquement. Elle était complètement perdue, mais surtout complètement paniquée, et le pire c’est que ça devait se voir.

« Euuuh, je … »

Tu PEUX le faire, Moïra, on croit en toi.

« … Je crois que … Que je vais m’en aller, hein. »

[Avatar :]

MOIRA && NOLAN



Moïra serait bien venue dormir dès la première nuit dans le lit de son copain. Sauf que voilà, elle connaissait son penchant naturel pour la, euh, débauche, et ne souhaitait pas spécialement en faire les frais alors qu’elle voulait simplement dormir avec lui. En nuisette. Un peu plus épaisse que le truc hyper transparent que lui avait envoyé Aleera, mais quand même. Elle était donc gentiment restée dans la chambre d’amis où on l’avait casée, bizarrement pas très loin de la chambre de monsieur l’héritier Sanders – le plus vieux, SON COPAIN QUOI – et avait résisté à la tentation. Et maintenant, après un appel à l’aide éploré à une roskove allumeuse qui était un peu une de ses amies proches, elle allait franchir le pas. Oh mon Dieu oh mon Dieu OH MON DIEU. Allez arrête de flipper, c’est juste un coup à prendre, normal que la première fois fasse un peu peur. Discrète et silencieuse l’aiglonne qui commençait à angoisser légèrement se glissa dans la chambre de Nolan, beaucoup moins bordellique que ce qu’il laissait entendre pour qu’elle n’y rentre pas. Ca va, à côté de la chambre de Thomas, pardon le souk qui avait élu domicile dans la chambre de Thomas – avec les bruits en moins – elle était rodée au bazar. Quand elle quittait sa chambre pour aller squatter le lit de son frère qui n’était jamais contre, elle traversait ce gros bordel et elle ne cassait rien. Ce n’était pas la chambre de son copain qui allait la terroriser vraiment, vu le rapport au bazar perpétuel qu’elle avait avec son frère. Même dans la tête de son frère régnait un gros bazar … Enfin bref, stop la philosophie, ce n’est pas qu’elle commence à avoir un peu froid à cause de la fenêtre grande ouverte, mais si en fait. Coupant court à ses tergiversations inintéressantes, elle glissa doucement jusqu’au lit de son copain, souriant d’un air attendri en le regardant dormir. Il a l’air tellement fragile <3. Elle tiqua légèrement en voyant que monsieur dormait en caleçon – comme son frère mais c’pas pareil vous comprenez – et se glissa sous les draps en esquissant un sourire nerveux. Calme ma fille, calme.

Nolan fut surpris. Très surpris. Tellement surpris qu’il en sursauta et qu’il faillit tomber de son lit. Surprise elle aussi par sa réaction, elle coupa court à son envie de rire assez hystérique et embrassa son griffon, sans que ce dernier ne daigne réagir. Comme lui rendre son baiser, ou quelque chose quoi ! Non, il le rompit, laissant l’aiglonne désœuvrée plantée là avec son malaise persistant. Il la repoussait en fait, c’est ça ?! Avant même que l’idée ne fasse le chemin jusqu’à son cerveau et qu’elle se lève d’un air vexé et gêné, le préfet avait replacé une de ses mèches folles derrière son oreille, lui caressant la joue au passage. Oh, bon en fait elle n’est pas rejetée. D’accord, pas de soucis. Bon alors qu’est-ce qu’il lui arrive ? Le griffon la fixait, laissant sa main immobile sur sa joue, et la laissant surtout très mal à l’aise. Si dans cinq secondes tu n’as pas parlé, je me lève et je m’enfuis. Cinq. Quatre. Trois. Deux. Deux et demi ? AH MERCI TU PARLES. Oui, mais si c’est pour lui demander ce qu’elle fait … De la tarte à la rhubarbe, ça ne se voit pas ? Très calme mais aussi très stressée, l’aiglonne évita de lui répondre avec ironie pour ne pas se mettre à rire toute seule. La pauvre, c’est trop de pression là, sérieux. Pour éviter de répondre, et donc d’éclater de rire comme une folle, elle se calfeutra dans ses bras avec beaucoup de douceur, se calant contre lui en fermant les yeux. Semblant se contenter de son absence de réponse, le griffon effleura doucement son bras, lui tirant un léger frisson et un fin sourire. Il avait toujours le préservatif en main, et ça, elle essayait de ne pas y penser. Sinon, elle allait recommencer à angoisser, et il valait mieux éviter. Pauvre petit aiglonne. Au lieu de l’embrasser comme elle s’y attendait, il reprit la parole d’un ton légèrement anxieux. Il voulait quoi cette fois-ci ? Ah, qu’elle soit sûre. Oh c’est tellement mignon. Esquissant un léger sourire attendri, elle cala sa tête contre son cou tout en recommençant à balader sa main dans son dos, plus en confiance.

« Ce n’est pas bientôt fini, l’interrogatoire, monsieur Sanders ? »

Elle était moqueuse. Oh, juste légèrement. C’était juste pour dissimuler son propre trac d’une manière assez pitoyable, il faut l’avouer. Bon, elle n’avait qu’à se répéter en boucle qu’il n’allait rien se passer. Des câlins, et ça ne va pas plus loin. C’est beau l’innocence ouais XD. Bah pour son petit esprit ingénu, elle l’avait mis au défi de ne pas ouvrir la capote, donc il n’allait pas le faire. Très logique. Sinon elle allait paniquer et s’en aller vite fait, et pas seulement de la chambre, mais peut-être aussi de la maison. Pourtant il la tenait toujours à la main, faisant monter le stress de la petite aiglonne. Sérieux sois mignon et pose ça sur ta table de nuit quoi. Fermant les yeux un court instant, elle cessa son petit manège, mal à l’aise. Inspire expire, ça va passer. Moïra, la seule fille qui réussit à être en confiance et mal à l’aise, les deux en même temps. Oui elle est bizarre, je ne le nie pas. Allez, à moi la question conne !

« Bah alors, qu’est-ce que tu fais Nolan ? »

Pitié que mon anxiété ne s’entende pas. En effet, le Gryffondor ne bougeait plus du tout, et l’aiglonne commençait à vraiment paniquer. Même pas un bisou, même pas une caresse, il restait de marbre. Et là, elle commençait vraiment à se poser des questions, et peut-être pas les bonnes. Finalement prise de panique, l’aiglonne cessa finalement son manège, vaincue par son impression de malaise grandissant. Elle n’avait absolument rien à faire dans cette chambre. Retourne dormir, et écris demain à Aleera que ça n’a pas marché, et basta. Allez, fuite, repli stratégique. Elle recula brusquement, manquant de tomber du lit au passage, ne se rattrapant que Dieu seul sait comment, et gicla du lit pour se remettre debout et s'éloigner d'un pas, mécaniquement. Elle était complètement perdue, mais surtout complètement paniquée, et le pire c’est que ça devait se voir.

« Euuuh, je … »

Tu PEUX le faire, Moïra, on croit en toi.

« … Je crois que … Que je vais m’en aller, hein. »

[Crédits :]

MOIRA && NOLAN



Moïra serait bien venue dormir dès la première nuit dans le lit de son copain. Sauf que voilà, elle connaissait son penchant naturel pour la, euh, débauche, et ne souhaitait pas spécialement en faire les frais alors qu’elle voulait simplement dormir avec lui. En nuisette. Un peu plus épaisse que le truc hyper transparent que lui avait envoyé Aleera, mais quand même. Elle était donc gentiment restée dans la chambre d’amis où on l’avait casée, bizarrement pas très loin de la chambre de monsieur l’héritier Sanders – le plus vieux, SON COPAIN QUOI – et avait résisté à la tentation. Et maintenant, après un appel à l’aide éploré à une roskove allumeuse qui était un peu une de ses amies proches, elle allait franchir le pas. Oh mon Dieu oh mon Dieu OH MON DIEU. Allez arrête de flipper, c’est juste un coup à prendre, normal que la première fois fasse un peu peur. Discrète et silencieuse l’aiglonne qui commençait à angoisser légèrement se glissa dans la chambre de Nolan, beaucoup moins bordellique que ce qu’il laissait entendre pour qu’elle n’y rentre pas. Ca va, à côté de la chambre de Thomas, pardon le souk qui avait élu domicile dans la chambre de Thomas – avec les bruits en moins – elle était rodée au bazar. Quand elle quittait sa chambre pour aller squatter le lit de son frère qui n’était jamais contre, elle traversait ce gros bordel et elle ne cassait rien. Ce n’était pas la chambre de son copain qui allait la terroriser vraiment, vu le rapport au bazar perpétuel qu’elle avait avec son frère. Même dans la tête de son frère régnait un gros bazar … Enfin bref, stop la philosophie, ce n’est pas qu’elle commence à avoir un peu froid à cause de la fenêtre grande ouverte, mais si en fait. Coupant court à ses tergiversations inintéressantes, elle glissa doucement jusqu’au lit de son copain, souriant d’un air attendri en le regardant dormir. Il a l’air tellement fragile <3. Elle tiqua légèrement en voyant que monsieur dormait en caleçon – comme son frère mais c’pas pareil vous comprenez – et se glissa sous les draps en esquissant un sourire nerveux. Calme ma fille, calme.

Nolan fut surpris. Très surpris. Tellement surpris qu’il en sursauta et qu’il faillit tomber de son lit. Surprise elle aussi par sa réaction, elle coupa court à son envie de rire assez hystérique et embrassa son griffon, sans que ce dernier ne daigne réagir. Comme lui rendre son baiser, ou quelque chose quoi ! Non, il le rompit, laissant l’aiglonne désœuvrée plantée là avec son malaise persistant. Il la repoussait en fait, c’est ça ?! Avant même que l’idée ne fasse le chemin jusqu’à son cerveau et qu’elle se lève d’un air vexé et gêné, le préfet avait replacé une de ses mèches folles derrière son oreille, lui caressant la joue au passage. Oh, bon en fait elle n’est pas rejetée. D’accord, pas de soucis. Bon alors qu’est-ce qu’il lui arrive ? Le griffon la fixait, laissant sa main immobile sur sa joue, et la laissant surtout très mal à l’aise. Si dans cinq secondes tu n’as pas parlé, je me lève et je m’enfuis. Cinq. Quatre. Trois. Deux. Deux et demi ? AH MERCI TU PARLES. Oui, mais si c’est pour lui demander ce qu’elle fait … De la tarte à la rhubarbe, ça ne se voit pas ? Très calme mais aussi très stressée, l’aiglonne évita de lui répondre avec ironie pour ne pas se mettre à rire toute seule. La pauvre, c’est trop de pression là, sérieux. Pour éviter de répondre, et donc d’éclater de rire comme une folle, elle se calfeutra dans ses bras avec beaucoup de douceur, se calant contre lui en fermant les yeux. Semblant se contenter de son absence de réponse, le griffon effleura doucement son bras, lui tirant un léger frisson et un fin sourire. Il avait toujours le préservatif en main, et ça, elle essayait de ne pas y penser. Sinon, elle allait recommencer à angoisser, et il valait mieux éviter. Pauvre petit aiglonne. Au lieu de l’embrasser comme elle s’y attendait, il reprit la parole d’un ton légèrement anxieux. Il voulait quoi cette fois-ci ? Ah, qu’elle soit sûre. Oh c’est tellement mignon. Esquissant un léger sourire attendri, elle cala sa tête contre son cou tout en recommençant à balader sa main dans son dos, plus en confiance.

« Ce n’est pas bientôt fini, l’interrogatoire, monsieur Sanders ? »

Elle était moqueuse. Oh, juste légèrement. C’était juste pour dissimuler son propre trac d’une manière assez pitoyable, il faut l’avouer. Bon, elle n’avait qu’à se répéter en boucle qu’il n’allait rien se passer. Des câlins, et ça ne va pas plus loin. C’est beau l’innocence ouais XD. Bah pour son petit esprit ingénu, elle l’avait mis au défi de ne pas ouvrir la capote, donc il n’allait pas le faire. Très logique. Sinon elle allait paniquer et s’en aller vite fait, et pas seulement de la chambre, mais peut-être aussi de la maison. Pourtant il la tenait toujours à la main, faisant monter le stress de la petite aiglonne. Sérieux sois mignon et pose ça sur ta table de nuit quoi. Fermant les yeux un court instant, elle cessa son petit manège, mal à l’aise. Inspire expire, ça va passer. Moïra, la seule fille qui réussit à être en confiance et mal à l’aise, les deux en même temps. Oui elle est bizarre, je ne le nie pas. Allez, à moi la question conne !

« Bah alors, qu’est-ce que tu fais Nolan ? »

Pitié que mon anxiété ne s’entende pas. En effet, le Gryffondor ne bougeait plus du tout, et l’aiglonne commençait à vraiment paniquer. Même pas un bisou, même pas une caresse, il restait de marbre. Et là, elle commençait vraiment à se poser des questions, et peut-être pas les bonnes. Finalement prise de panique, l’aiglonne cessa finalement son manège, vaincue par son impression de malaise grandissant. Elle n’avait absolument rien à faire dans cette chambre. Retourne dormir, et écris demain à Aleera que ça n’a pas marché, et basta. Allez, fuite, repli stratégique. Elle recula brusquement, manquant de tomber du lit au passage, ne se rattrapant que Dieu seul sait comment, et gicla du lit pour se remettre debout et s'éloigner d'un pas, mécaniquement. Elle était complètement perdue, mais surtout complètement paniquée, et le pire c’est que ça devait se voir.

« Euuuh, je … »

Tu PEUX le faire, Moïra, on croit en toi.

« … Je crois que … Que je vais m’en aller, hein. »

[Age RPG :]

MOIRA && NOLAN



Moïra serait bien venue dormir dès la première nuit dans le lit de son copain. Sauf que voilà, elle connaissait son penchant naturel pour la, euh, débauche, et ne souhaitait pas spécialement en faire les frais alors qu’elle voulait simplement dormir avec lui. En nuisette. Un peu plus épaisse que le truc hyper transparent que lui avait envoyé Aleera, mais quand même. Elle était donc gentiment restée dans la chambre d’amis où on l’avait casée, bizarrement pas très loin de la chambre de monsieur l’héritier Sanders – le plus vieux, SON COPAIN QUOI – et avait résisté à la tentation. Et maintenant, après un appel à l’aide éploré à une roskove allumeuse qui était un peu une de ses amies proches, elle allait franchir le pas. Oh mon Dieu oh mon Dieu OH MON DIEU. Allez arrête de flipper, c’est juste un coup à prendre, normal que la première fois fasse un peu peur. Discrète et silencieuse l’aiglonne qui commençait à angoisser légèrement se glissa dans la chambre de Nolan, beaucoup moins bordellique que ce qu’il laissait entendre pour qu’elle n’y rentre pas. Ca va, à côté de la chambre de Thomas, pardon le souk qui avait élu domicile dans la chambre de Thomas – avec les bruits en moins – elle était rodée au bazar. Quand elle quittait sa chambre pour aller squatter le lit de son frère qui n’était jamais contre, elle traversait ce gros bordel et elle ne cassait rien. Ce n’était pas la chambre de son copain qui allait la terroriser vraiment, vu le rapport au bazar perpétuel qu’elle avait avec son frère. Même dans la tête de son frère régnait un gros bazar … Enfin bref, stop la philosophie, ce n’est pas qu’elle commence à avoir un peu froid à cause de la fenêtre grande ouverte, mais si en fait. Coupant court à ses tergiversations inintéressantes, elle glissa doucement jusqu’au lit de son copain, souriant d’un air attendri en le regardant dormir. Il a l’air tellement fragile <3. Elle tiqua légèrement en voyant que monsieur dormait en caleçon – comme son frère mais c’pas pareil vous comprenez – et se glissa sous les draps en esquissant un sourire nerveux. Calme ma fille, calme.

Nolan fut surpris. Très surpris. Tellement surpris qu’il en sursauta et qu’il faillit tomber de son lit. Surprise elle aussi par sa réaction, elle coupa court à son envie de rire assez hystérique et embrassa son griffon, sans que ce dernier ne daigne réagir. Comme lui rendre son baiser, ou quelque chose quoi ! Non, il le rompit, laissant l’aiglonne désœuvrée plantée là avec son malaise persistant. Il la repoussait en fait, c’est ça ?! Avant même que l’idée ne fasse le chemin jusqu’à son cerveau et qu’elle se lève d’un air vexé et gêné, le préfet avait replacé une de ses mèches folles derrière son oreille, lui caressant la joue au passage. Oh, bon en fait elle n’est pas rejetée. D’accord, pas de soucis. Bon alors qu’est-ce qu’il lui arrive ? Le griffon la fixait, laissant sa main immobile sur sa joue, et la laissant surtout très mal à l’aise. Si dans cinq secondes tu n’as pas parlé, je me lève et je m’enfuis. Cinq. Quatre. Trois. Deux. Deux et demi ? AH MERCI TU PARLES. Oui, mais si c’est pour lui demander ce qu’elle fait … De la tarte à la rhubarbe, ça ne se voit pas ? Très calme mais aussi très stressée, l’aiglonne évita de lui répondre avec ironie pour ne pas se mettre à rire toute seule. La pauvre, c’est trop de pression là, sérieux. Pour éviter de répondre, et donc d’éclater de rire comme une folle, elle se calfeutra dans ses bras avec beaucoup de douceur, se calant contre lui en fermant les yeux. Semblant se contenter de son absence de réponse, le griffon effleura doucement son bras, lui tirant un léger frisson et un fin sourire. Il avait toujours le préservatif en main, et ça, elle essayait de ne pas y penser. Sinon, elle allait recommencer à angoisser, et il valait mieux éviter. Pauvre petit aiglonne. Au lieu de l’embrasser comme elle s’y attendait, il reprit la parole d’un ton légèrement anxieux. Il voulait quoi cette fois-ci ? Ah, qu’elle soit sûre. Oh c’est tellement mignon. Esquissant un léger sourire attendri, elle cala sa tête contre son cou tout en recommençant à balader sa main dans son dos, plus en confiance.

« Ce n’est pas bientôt fini, l’interrogatoire, monsieur Sanders ? »

Elle était moqueuse. Oh, juste légèrement. C’était juste pour dissimuler son propre trac d’une manière assez pitoyable, il faut l’avouer. Bon, elle n’avait qu’à se répéter en boucle qu’il n’allait rien se passer. Des câlins, et ça ne va pas plus loin. C’est beau l’innocence ouais XD. Bah pour son petit esprit ingénu, elle l’avait mis au défi de ne pas ouvrir la capote, donc il n’allait pas le faire. Très logique. Sinon elle allait paniquer et s’en aller vite fait, et pas seulement de la chambre, mais peut-être aussi de la maison. Pourtant il la tenait toujours à la main, faisant monter le stress de la petite aiglonne. Sérieux sois mignon et pose ça sur ta table de nuit quoi. Fermant les yeux un court instant, elle cessa son petit manège, mal à l’aise. Inspire expire, ça va passer. Moïra, la seule fille qui réussit à être en confiance et mal à l’aise, les deux en même temps. Oui elle est bizarre, je ne le nie pas. Allez, à moi la question conne !

« Bah alors, qu’est-ce que tu fais Nolan ? »

Pitié que mon anxiété ne s’entende pas. En effet, le Gryffondor ne bougeait plus du tout, et l’aiglonne commençait à vraiment paniquer. Même pas un bisou, même pas une caresse, il restait de marbre. Et là, elle commençait vraiment à se poser des questions, et peut-être pas les bonnes. Finalement prise de panique, l’aiglonne cessa finalement son manège, vaincue par son impression de malaise grandissant. Elle n’avait absolument rien à faire dans cette chambre. Retourne dormir, et écris demain à Aleera que ça n’a pas marché, et basta. Allez, fuite, repli stratégique. Elle recula brusquement, manquant de tomber du lit au passage, ne se rattrapant que Dieu seul sait comment, et gicla du lit pour se remettre debout et s'éloigner d'un pas, mécaniquement. Elle était complètement perdue, mais surtout complètement paniquée, et le pire c’est que ça devait se voir.

« Euuuh, je … »

Tu PEUX le faire, Moïra, on croit en toi.

« … Je crois que … Que je vais m’en aller, hein. »

[Sang :]

MOIRA && NOLAN



Moïra serait bien venue dormir dès la première nuit dans le lit de son copain. Sauf que voilà, elle connaissait son penchant naturel pour la, euh, débauche, et ne souhaitait pas spécialement en faire les frais alors qu’elle voulait simplement dormir avec lui. En nuisette. Un peu plus épaisse que le truc hyper transparent que lui avait envoyé Aleera, mais quand même. Elle était donc gentiment restée dans la chambre d’amis où on l’avait casée, bizarrement pas très loin de la chambre de monsieur l’héritier Sanders – le plus vieux, SON COPAIN QUOI – et avait résisté à la tentation. Et maintenant, après un appel à l’aide éploré à une roskove allumeuse qui était un peu une de ses amies proches, elle allait franchir le pas. Oh mon Dieu oh mon Dieu OH MON DIEU. Allez arrête de flipper, c’est juste un coup à prendre, normal que la première fois fasse un peu peur. Discrète et silencieuse l’aiglonne qui commençait à angoisser légèrement se glissa dans la chambre de Nolan, beaucoup moins bordellique que ce qu’il laissait entendre pour qu’elle n’y rentre pas. Ca va, à côté de la chambre de Thomas, pardon le souk qui avait élu domicile dans la chambre de Thomas – avec les bruits en moins – elle était rodée au bazar. Quand elle quittait sa chambre pour aller squatter le lit de son frère qui n’était jamais contre, elle traversait ce gros bordel et elle ne cassait rien. Ce n’était pas la chambre de son copain qui allait la terroriser vraiment, vu le rapport au bazar perpétuel qu’elle avait avec son frère. Même dans la tête de son frère régnait un gros bazar … Enfin bref, stop la philosophie, ce n’est pas qu’elle commence à avoir un peu froid à cause de la fenêtre grande ouverte, mais si en fait. Coupant court à ses tergiversations inintéressantes, elle glissa doucement jusqu’au lit de son copain, souriant d’un air attendri en le regardant dormir. Il a l’air tellement fragile <3. Elle tiqua légèrement en voyant que monsieur dormait en caleçon – comme son frère mais c’pas pareil vous comprenez – et se glissa sous les draps en esquissant un sourire nerveux. Calme ma fille, calme.

Nolan fut surpris. Très surpris. Tellement surpris qu’il en sursauta et qu’il faillit tomber de son lit. Surprise elle aussi par sa réaction, elle coupa court à son envie de rire assez hystérique et embrassa son griffon, sans que ce dernier ne daigne réagir. Comme lui rendre son baiser, ou quelque chose quoi ! Non, il le rompit, laissant l’aiglonne désœuvrée plantée là avec son malaise persistant. Il la repoussait en fait, c’est ça ?! Avant même que l’idée ne fasse le chemin jusqu’à son cerveau et qu’elle se lève d’un air vexé et gêné, le préfet avait replacé une de ses mèches folles derrière son oreille, lui caressant la joue au passage. Oh, bon en fait elle n’est pas rejetée. D’accord, pas de soucis. Bon alors qu’est-ce qu’il lui arrive ? Le griffon la fixait, laissant sa main immobile sur sa joue, et la laissant surtout très mal à l’aise. Si dans cinq secondes tu n’as pas parlé, je me lève et je m’enfuis. Cinq. Quatre. Trois. Deux. Deux et demi ? AH MERCI TU PARLES. Oui, mais si c’est pour lui demander ce qu’elle fait … De la tarte à la rhubarbe, ça ne se voit pas ? Très calme mais aussi très stressée, l’aiglonne évita de lui répondre avec ironie pour ne pas se mettre à rire toute seule. La pauvre, c’est trop de pression là, sérieux. Pour éviter de répondre, et donc d’éclater de rire comme une folle, elle se calfeutra dans ses bras avec beaucoup de douceur, se calant contre lui en fermant les yeux. Semblant se contenter de son absence de réponse, le griffon effleura doucement son bras, lui tirant un léger frisson et un fin sourire. Il avait toujours le préservatif en main, et ça, elle essayait de ne pas y penser. Sinon, elle allait recommencer à angoisser, et il valait mieux éviter. Pauvre petit aiglonne. Au lieu de l’embrasser comme elle s’y attendait, il reprit la parole d’un ton légèrement anxieux. Il voulait quoi cette fois-ci ? Ah, qu’elle soit sûre. Oh c’est tellement mignon. Esquissant un léger sourire attendri, elle cala sa tête contre son cou tout en recommençant à balader sa main dans son dos, plus en confiance.

« Ce n’est pas bientôt fini, l’interrogatoire, monsieur Sanders ? »

Elle était moqueuse. Oh, juste légèrement. C’était juste pour dissimuler son propre trac d’une manière assez pitoyable, il faut l’avouer. Bon, elle n’avait qu’à se répéter en boucle qu’il n’allait rien se passer. Des câlins, et ça ne va pas plus loin. C’est beau l’innocence ouais XD. Bah pour son petit esprit ingénu, elle l’avait mis au défi de ne pas ouvrir la capote, donc il n’allait pas le faire. Très logique. Sinon elle allait paniquer et s’en aller vite fait, et pas seulement de la chambre, mais peut-être aussi de la maison. Pourtant il la tenait toujours à la main, faisant monter le stress de la petite aiglonne. Sérieux sois mignon et pose ça sur ta table de nuit quoi. Fermant les yeux un court instant, elle cessa son petit manège, mal à l’aise. Inspire expire, ça va passer. Moïra, la seule fille qui réussit à être en confiance et mal à l’aise, les deux en même temps. Oui elle est bizarre, je ne le nie pas. Allez, à moi la question conne !

« Bah alors, qu’est-ce que tu fais Nolan ? »

Pitié que mon anxiété ne s’entende pas. En effet, le Gryffondor ne bougeait plus du tout, et l’aiglonne commençait à vraiment paniquer. Même pas un bisou, même pas une caresse, il restait de marbre. Et là, elle commençait vraiment à se poser des questions, et peut-être pas les bonnes. Finalement prise de panique, l’aiglonne cessa finalement son manège, vaincue par son impression de malaise grandissant. Elle n’avait absolument rien à faire dans cette chambre. Retourne dormir, et écris demain à Aleera que ça n’a pas marché, et basta. Allez, fuite, repli stratégique. Elle recula brusquement, manquant de tomber du lit au passage, ne se rattrapant que Dieu seul sait comment, et gicla du lit pour se remettre debout et s'éloigner d'un pas, mécaniquement. Elle était complètement perdue, mais surtout complètement paniquée, et le pire c’est que ça devait se voir.

« Euuuh, je … »

Tu PEUX le faire, Moïra, on croit en toi.

« … Je crois que … Que je vais m’en aller, hein. »

[Camp :]

MOIRA && NOLAN



Moïra serait bien venue dormir dès la première nuit dans le lit de son copain. Sauf que voilà, elle connaissait son penchant naturel pour la, euh, débauche, et ne souhaitait pas spécialement en faire les frais alors qu’elle voulait simplement dormir avec lui. En nuisette. Un peu plus épaisse que le truc hyper transparent que lui avait envoyé Aleera, mais quand même. Elle était donc gentiment restée dans la chambre d’amis où on l’avait casée, bizarrement pas très loin de la chambre de monsieur l’héritier Sanders – le plus vieux, SON COPAIN QUOI – et avait résisté à la tentation. Et maintenant, après un appel à l’aide éploré à une roskove allumeuse qui était un peu une de ses amies proches, elle allait franchir le pas. Oh mon Dieu oh mon Dieu OH MON DIEU. Allez arrête de flipper, c’est juste un coup à prendre, normal que la première fois fasse un peu peur. Discrète et silencieuse l’aiglonne qui commençait à angoisser légèrement se glissa dans la chambre de Nolan, beaucoup moins bordellique que ce qu’il laissait entendre pour qu’elle n’y rentre pas. Ca va, à côté de la chambre de Thomas, pardon le souk qui avait élu domicile dans la chambre de Thomas – avec les bruits en moins – elle était rodée au bazar. Quand elle quittait sa chambre pour aller squatter le lit de son frère qui n’était jamais contre, elle traversait ce gros bordel et elle ne cassait rien. Ce n’était pas la chambre de son copain qui allait la terroriser vraiment, vu le rapport au bazar perpétuel qu’elle avait avec son frère. Même dans la tête de son frère régnait un gros bazar … Enfin bref, stop la philosophie, ce n’est pas qu’elle commence à avoir un peu froid à cause de la fenêtre grande ouverte, mais si en fait. Coupant court à ses tergiversations inintéressantes, elle glissa doucement jusqu’au lit de son copain, souriant d’un air attendri en le regardant dormir. Il a l’air tellement fragile <3. Elle tiqua légèrement en voyant que monsieur dormait en caleçon – comme son frère mais c’pas pareil vous comprenez – et se glissa sous les draps en esquissant un sourire nerveux. Calme ma fille, calme.

Nolan fut surpris. Très surpris. Tellement surpris qu’il en sursauta et qu’il faillit tomber de son lit. Surprise elle aussi par sa réaction, elle coupa court à son envie de rire assez hystérique et embrassa son griffon, sans que ce dernier ne daigne réagir. Comme lui rendre son baiser, ou quelque chose quoi ! Non, il le rompit, laissant l’aiglonne désœuvrée plantée là avec son malaise persistant. Il la repoussait en fait, c’est ça ?! Avant même que l’idée ne fasse le chemin jusqu’à son cerveau et qu’elle se lève d’un air vexé et gêné, le préfet avait replacé une de ses mèches folles derrière son oreille, lui caressant la joue au passage. Oh, bon en fait elle n’est pas rejetée. D’accord, pas de soucis. Bon alors qu’est-ce qu’il lui arrive ? Le griffon la fixait, laissant sa main immobile sur sa joue, et la laissant surtout très mal à l’aise. Si dans cinq secondes tu n’as pas parlé, je me lève et je m’enfuis. Cinq. Quatre. Trois. Deux. Deux et demi ? AH MERCI TU PARLES. Oui, mais si c’est pour lui demander ce qu’elle fait … De la tarte à la rhubarbe, ça ne se voit pas ? Très calme mais aussi très stressée, l’aiglonne évita de lui répondre avec ironie pour ne pas se mettre à rire toute seule. La pauvre, c’est trop de pression là, sérieux. Pour éviter de répondre, et donc d’éclater de rire comme une folle, elle se calfeutra dans ses bras avec beaucoup de douceur, se calant contre lui en fermant les yeux. Semblant se contenter de son absence de réponse, le griffon effleura doucement son bras, lui tirant un léger frisson et un fin sourire. Il avait toujours le préservatif en main, et ça, elle essayait de ne pas y penser. Sinon, elle allait recommencer à angoisser, et il valait mieux éviter. Pauvre petit aiglonne. Au lieu de l’embrasser comme elle s’y attendait, il reprit la parole d’un ton légèrement anxieux. Il voulait quoi cette fois-ci ? Ah, qu’elle soit sûre. Oh c’est tellement mignon. Esquissant un léger sourire attendri, elle cala sa tête contre son cou tout en recommençant à balader sa main dans son dos, plus en confiance.

« Ce n’est pas bientôt fini, l’interrogatoire, monsieur Sanders ? »

Elle était moqueuse. Oh, juste légèrement. C’était juste pour dissimuler son propre trac d’une manière assez pitoyable, il faut l’avouer. Bon, elle n’avait qu’à se répéter en boucle qu’il n’allait rien se passer. Des câlins, et ça ne va pas plus loin. C’est beau l’innocence ouais XD. Bah pour son petit esprit ingénu, elle l’avait mis au défi de ne pas ouvrir la capote, donc il n’allait pas le faire. Très logique. Sinon elle allait paniquer et s’en aller vite fait, et pas seulement de la chambre, mais peut-être aussi de la maison. Pourtant il la tenait toujours à la main, faisant monter le stress de la petite aiglonne. Sérieux sois mignon et pose ça sur ta table de nuit quoi. Fermant les yeux un court instant, elle cessa son petit manège, mal à l’aise. Inspire expire, ça va passer. Moïra, la seule fille qui réussit à être en confiance et mal à l’aise, les deux en même temps. Oui elle est bizarre, je ne le nie pas. Allez, à moi la question conne !

« Bah alors, qu’est-ce que tu fais Nolan ? »

Pitié que mon anxiété ne s’entende pas. En effet, le Gryffondor ne bougeait plus du tout, et l’aiglonne commençait à vraiment paniquer. Même pas un bisou, même pas une caresse, il restait de marbre. Et là, elle commençait vraiment à se poser des questions, et peut-être pas les bonnes. Finalement prise de panique, l’aiglonne cessa finalement son manège, vaincue par son impression de malaise grandissant. Elle n’avait absolument rien à faire dans cette chambre. Retourne dormir, et écris demain à Aleera que ça n’a pas marché, et basta. Allez, fuite, repli stratégique. Elle recula brusquement, manquant de tomber du lit au passage, ne se rattrapant que Dieu seul sait comment, et gicla du lit pour se remettre debout et s'éloigner d'un pas, mécaniquement. Elle était complètement perdue, mais surtout complètement paniquée, et le pire c’est que ça devait se voir.

« Euuuh, je … »

Tu PEUX le faire, Moïra, on croit en toi.

« … Je crois que … Que je vais m’en aller, hein. »

[Vie du personnage :]

MOIRA && NOLAN



Moïra serait bien venue dormir dès la première nuit dans le lit de son copain. Sauf que voilà, elle connaissait son penchant naturel pour la, euh, débauche, et ne souhaitait pas spécialement en faire les frais alors qu’elle voulait simplement dormir avec lui. En nuisette. Un peu plus épaisse que le truc hyper transparent que lui avait envoyé Aleera, mais quand même. Elle était donc gentiment restée dans la chambre d’amis où on l’avait casée, bizarrement pas très loin de la chambre de monsieur l’héritier Sanders – le plus vieux, SON COPAIN QUOI – et avait résisté à la tentation. Et maintenant, après un appel à l’aide éploré à une roskove allumeuse qui était un peu une de ses amies proches, elle allait franchir le pas. Oh mon Dieu oh mon Dieu OH MON DIEU. Allez arrête de flipper, c’est juste un coup à prendre, normal que la première fois fasse un peu peur. Discrète et silencieuse l’aiglonne qui commençait à angoisser légèrement se glissa dans la chambre de Nolan, beaucoup moins bordellique que ce qu’il laissait entendre pour qu’elle n’y rentre pas. Ca va, à côté de la chambre de Thomas, pardon le souk qui avait élu domicile dans la chambre de Thomas – avec les bruits en moins – elle était rodée au bazar. Quand elle quittait sa chambre pour aller squatter le lit de son frère qui n’était jamais contre, elle traversait ce gros bordel et elle ne cassait rien. Ce n’était pas la chambre de son copain qui allait la terroriser vraiment, vu le rapport au bazar perpétuel qu’elle avait avec son frère. Même dans la tête de son frère régnait un gros bazar … Enfin bref, stop la philosophie, ce n’est pas qu’elle commence à avoir un peu froid à cause de la fenêtre grande ouverte, mais si en fait. Coupant court à ses tergiversations inintéressantes, elle glissa doucement jusqu’au lit de son copain, souriant d’un air attendri en le regardant dormir. Il a l’air tellement fragile <3. Elle tiqua légèrement en voyant que monsieur dormait en caleçon – comme son frère mais c’pas pareil vous comprenez – et se glissa sous les draps en esquissant un sourire nerveux. Calme ma fille, calme.

Nolan fut surpris. Très surpris. Tellement surpris qu’il en sursauta et qu’il faillit tomber de son lit. Surprise elle aussi par sa réaction, elle coupa court à son envie de rire assez hystérique et embrassa son griffon, sans que ce dernier ne daigne réagir. Comme lui rendre son baiser, ou quelque chose quoi ! Non, il le rompit, laissant l’aiglonne désœuvrée plantée là avec son malaise persistant. Il la repoussait en fait, c’est ça ?! Avant même que l’idée ne fasse le chemin jusqu’à son cerveau et qu’elle se lève d’un air vexé et gêné, le préfet avait replacé une de ses mèches folles derrière son oreille, lui caressant la joue au passage. Oh, bon en fait elle n’est pas rejetée. D’accord, pas de soucis. Bon alors qu’est-ce qu’il lui arrive ? Le griffon la fixait, laissant sa main immobile sur sa joue, et la laissant surtout très mal à l’aise. Si dans cinq secondes tu n’as pas parlé, je me lève et je m’enfuis. Cinq. Quatre. Trois. Deux. Deux et demi ? AH MERCI TU PARLES. Oui, mais si c’est pour lui demander ce qu’elle fait … De la tarte à la rhubarbe, ça ne se voit pas ? Très calme mais aussi très stressée, l’aiglonne évita de lui répondre avec ironie pour ne pas se mettre à rire toute seule. La pauvre, c’est trop de pression là, sérieux. Pour éviter de répondre, et donc d’éclater de rire comme une folle, elle se calfeutra dans ses bras avec beaucoup de douceur, se calant contre lui en fermant les yeux. Semblant se contenter de son absence de réponse, le griffon effleura doucement son bras, lui tirant un léger frisson et un fin sourire. Il avait toujours le préservatif en main, et ça, elle essayait de ne pas y penser. Sinon, elle allait recommencer à angoisser, et il valait mieux éviter. Pauvre petit aiglonne. Au lieu de l’embrasser comme elle s’y attendait, il reprit la parole d’un ton légèrement anxieux. Il voulait quoi cette fois-ci ? Ah, qu’elle soit sûre. Oh c’est tellement mignon. Esquissant un léger sourire attendri, elle cala sa tête contre son cou tout en recommençant à balader sa main dans son dos, plus en confiance.

« Ce n’est pas bientôt fini, l’interrogatoire, monsieur Sanders ? »

Elle était moqueuse. Oh, juste légèrement. C’était juste pour dissimuler son propre trac d’une manière assez pitoyable, il faut l’avouer. Bon, elle n’avait qu’à se répéter en boucle qu’il n’allait rien se passer. Des câlins, et ça ne va pas plus loin. C’est beau l’innocence ouais XD. Bah pour son petit esprit ingénu, elle l’avait mis au défi de ne pas ouvrir la capote, donc il n’allait pas le faire. Très logique. Sinon elle allait paniquer et s’en aller vite fait, et pas seulement de la chambre, mais peut-être aussi de la maison. Pourtant il la tenait toujours à la main, faisant monter le stress de la petite aiglonne. Sérieux sois mignon et pose ça sur ta table de nuit quoi. Fermant les yeux un court instant, elle cessa son petit manège, mal à l’aise. Inspire expire, ça va passer. Moïra, la seule fille qui réussit à être en confiance et mal à l’aise, les deux en même temps. Oui elle est bizarre, je ne le nie pas. Allez, à moi la question conne !

« Bah alors, qu’est-ce que tu fais Nolan ? »

Pitié que mon anxiété ne s’entende pas. En effet, le Gryffondor ne bougeait plus du tout, et l’aiglonne commençait à vraiment paniquer. Même pas un bisou, même pas une caresse, il restait de marbre. Et là, elle commençait vraiment à se poser des questions, et peut-être pas les bonnes. Finalement prise de panique, l’aiglonne cessa finalement son manège, vaincue par son impression de malaise grandissant. Elle n’avait absolument rien à faire dans cette chambre. Retourne dormir, et écris demain à Aleera que ça n’a pas marché, et basta. Allez, fuite, repli stratégique. Elle recula brusquement, manquant de tomber du lit au passage, ne se rattrapant que Dieu seul sait comment, et gicla du lit pour se remettre debout et s'éloigner d'un pas, mécaniquement. Elle était complètement perdue, mais surtout complètement paniquée, et le pire c’est que ça devait se voir.

« Euuuh, je … »

Tu PEUX le faire, Moïra, on croit en toi.

« … Je crois que … Que je vais m’en aller, hein. »

[Doubles-Comptes :]

MOIRA && NOLAN



Moïra serait bien venue dormir dès la première nuit dans le lit de son copain. Sauf que voilà, elle connaissait son penchant naturel pour la, euh, débauche, et ne souhaitait pas spécialement en faire les frais alors qu’elle voulait simplement dormir avec lui. En nuisette. Un peu plus épaisse que le truc hyper transparent que lui avait envoyé Aleera, mais quand même. Elle était donc gentiment restée dans la chambre d’amis où on l’avait casée, bizarrement pas très loin de la chambre de monsieur l’héritier Sanders – le plus vieux, SON COPAIN QUOI – et avait résisté à la tentation. Et maintenant, après un appel à l’aide éploré à une roskove allumeuse qui était un peu une de ses amies proches, elle allait franchir le pas. Oh mon Dieu oh mon Dieu OH MON DIEU. Allez arrête de flipper, c’est juste un coup à prendre, normal que la première fois fasse un peu peur. Discrète et silencieuse l’aiglonne qui commençait à angoisser légèrement se glissa dans la chambre de Nolan, beaucoup moins bordellique que ce qu’il laissait entendre pour qu’elle n’y rentre pas. Ca va, à côté de la chambre de Thomas, pardon le souk qui avait élu domicile dans la chambre de Thomas – avec les bruits en moins – elle était rodée au bazar. Quand elle quittait sa chambre pour aller squatter le lit de son frère qui n’était jamais contre, elle traversait ce gros bordel et elle ne cassait rien. Ce n’était pas la chambre de son copain qui allait la terroriser vraiment, vu le rapport au bazar perpétuel qu’elle avait avec son frère. Même dans la tête de son frère régnait un gros bazar … Enfin bref, stop la philosophie, ce n’est pas qu’elle commence à avoir un peu froid à cause de la fenêtre grande ouverte, mais si en fait. Coupant court à ses tergiversations inintéressantes, elle glissa doucement jusqu’au lit de son copain, souriant d’un air attendri en le regardant dormir. Il a l’air tellement fragile <3. Elle tiqua légèrement en voyant que monsieur dormait en caleçon – comme son frère mais c’pas pareil vous comprenez – et se glissa sous les draps en esquissant un sourire nerveux. Calme ma fille, calme.

Nolan fut surpris. Très surpris. Tellement surpris qu’il en sursauta et qu’il faillit tomber de son lit. Surprise elle aussi par sa réaction, elle coupa court à son envie de rire assez hystérique et embrassa son griffon, sans que ce dernier ne daigne réagir. Comme lui rendre son baiser, ou quelque chose quoi ! Non, il le rompit, laissant l’aiglonne désœuvrée plantée là avec son malaise persistant. Il la repoussait en fait, c’est ça ?! Avant même que l’idée ne fasse le chemin jusqu’à son cerveau et qu’elle se lève d’un air vexé et gêné, le préfet avait replacé une de ses mèches folles derrière son oreille, lui caressant la joue au passage. Oh, bon en fait elle n’est pas rejetée. D’accord, pas de soucis. Bon alors qu’est-ce qu’il lui arrive ? Le griffon la fixait, laissant sa main immobile sur sa joue, et la laissant surtout très mal à l’aise. Si dans cinq secondes tu n’as pas parlé, je me lève et je m’enfuis. Cinq. Quatre. Trois. Deux. Deux et demi ? AH MERCI TU PARLES. Oui, mais si c’est pour lui demander ce qu’elle fait … De la tarte à la rhubarbe, ça ne se voit pas ? Très calme mais aussi très stressée, l’aiglonne évita de lui répondre avec ironie pour ne pas se mettre à rire toute seule. La pauvre, c’est trop de pression là, sérieux. Pour éviter de répondre, et donc d’éclater de rire comme une folle, elle se calfeutra dans ses bras avec beaucoup de douceur, se calant contre lui en fermant les yeux. Semblant se contenter de son absence de réponse, le griffon effleura doucement son bras, lui tirant un léger frisson et un fin sourire. Il avait toujours le préservatif en main, et ça, elle essayait de ne pas y penser. Sinon, elle allait recommencer à angoisser, et il valait mieux éviter. Pauvre petit aiglonne. Au lieu de l’embrasser comme elle s’y attendait, il reprit la parole d’un ton légèrement anxieux. Il voulait quoi cette fois-ci ? Ah, qu’elle soit sûre. Oh c’est tellement mignon. Esquissant un léger sourire attendri, elle cala sa tête contre son cou tout en recommençant à balader sa main dans son dos, plus en confiance.

« Ce n’est pas bientôt fini, l’interrogatoire, monsieur Sanders ? »

Elle était moqueuse. Oh, juste légèrement. C’était juste pour dissimuler son propre trac d’une manière assez pitoyable, il faut l’avouer. Bon, elle n’avait qu’à se répéter en boucle qu’il n’allait rien se passer. Des câlins, et ça ne va pas plus loin. C’est beau l’innocence ouais XD. Bah pour son petit esprit ingénu, elle l’avait mis au défi de ne pas ouvrir la capote, donc il n’allait pas le faire. Très logique. Sinon elle allait paniquer et s’en aller vite fait, et pas seulement de la chambre, mais peut-être aussi de la maison. Pourtant il la tenait toujours à la main, faisant monter le stress de la petite aiglonne. Sérieux sois mignon et pose ça sur ta table de nuit quoi. Fermant les yeux un court instant, elle cessa son petit manège, mal à l’aise. Inspire expire, ça va passer. Moïra, la seule fille qui réussit à être en confiance et mal à l’aise, les deux en même temps. Oui elle est bizarre, je ne le nie pas. Allez, à moi la question conne !

« Bah alors, qu’est-ce que tu fais Nolan ? »

Pitié que mon anxiété ne s’entende pas. En effet, le Gryffondor ne bougeait plus du tout, et l’aiglonne commençait à vraiment paniquer. Même pas un bisou, même pas une caresse, il restait de marbre. Et là, elle commençait vraiment à se poser des questions, et peut-être pas les bonnes. Finalement prise de panique, l’aiglonne cessa finalement son manège, vaincue par son impression de malaise grandissant. Elle n’avait absolument rien à faire dans cette chambre. Retourne dormir, et écris demain à Aleera que ça n’a pas marché, et basta. Allez, fuite, repli stratégique. Elle recula brusquement, manquant de tomber du lit au passage, ne se rattrapant que Dieu seul sait comment, et gicla du lit pour se remettre debout et s'éloigner d'un pas, mécaniquement. Elle était complètement perdue, mais surtout complètement paniquée, et le pire c’est que ça devait se voir.

« Euuuh, je … »

Tu PEUX le faire, Moïra, on croit en toi.

« … Je crois que … Que je vais m’en aller, hein. »