Bon Dieu, que ces trois derniers jours avaient été les plus ennuyants de toute sa vie ! Après la manifestation qui avait finit en bain de sang, il avait été installé à l’infirmerie. Je vous laisse imaginer la grand « Oh non. » dans sans esprit quand l’infirmière lui avait dit qu’il en avait pour une semaine au lit. Sauf que Mal’, lui, il avait un truc de prévu avec Mel’, et il ne voulait surtout pas rater ça. Alors pendant trois jours, il avait bu cet horrible remède pour remettre les os de son genou en place. Restait le problème que la guérison durait une semaine minimum. Alors, il tanna Mademoiselle Weasley de le laisser sortir juste un petit jour. Ce ne fut pas aisé, car elle tenait bon, mais lui était très convaincant, lui offrant son plus beau sourire, de bons arguments, promettant de prendre son médicament et de ne pas courir – d’un côté il n’aurait pas pu. Alors elle accepta, à une condition. Allez, dis-nous laquelle, tata Kachi’ ! D’accord, d’accord. A condition de se déplacer avec une béquille : elle affirmait qu’il en aurait besoin, son rétablissement n’étant pas terminé. Evidemment, il n’était pas très motivé. Une béquille, pour un rendez-vous avec une fille, ça ne le fait pas trop, vous savez ? Mais voilà, quand le matin du jour de son rencard, il tenta de se lever sans rien, dès qu’il s’appuya sur sa jambe, et donc son genou, il dut se rattraper au lit pour ne pas tomber, surpris par la douleur qui faillit lui arracher un gémissement. Way bon, la béquille, désormais c’était obligé, elle lui permettrait de ne pas trop faire travailler les os abimés par les fractures. Beuh.

Le visage de l’aiglon était empreint de déception. Il ne risquait pas de faire très bonne impression comme ça, au revoir courir dans les rues, dévaler les escaliers avec son petit serpent à lui. A lui, oui, à lui é__è Enfin bon, c’était mieux que de ne pas y aller du tout, Mme Weasley aurait pu lui refuser cette sortie. Etant du genre à toujours voir le côté positif des choses, Malcolm inspira un grand coup, mit sa gêne de côté, s’assit sur le bord du lit pour s’emparer des vêtements qu’il avait demandé à son meilleur ami Albus de lui apporter la veille. Avec quelques difficultés, il réussit à enfiler son jean sans trop s’arracher de grimace. Quoi ? Il n’a pas mit un autre sous-vêtement ? Eh oh, je ne vais quand même pas vous décrire le passage où il change de slip, non mais, bande de petits pervers ! Vint le tour de son tee-shirt blanc, puis de son sweat-shirt préféré, gris ligné de blanc. Il passa cinq bonnes minutes à essayer de se coiffer correctement, mais sans succès, il ne pouvait pas retenir ses mèches rebelles, rendre sa tignasse moins ‘sauvage’, rien à faire. Alors il enfila ses converses grises – way, Mal’, il aime le gris :D -, s’empara de sa béquille en réprimant un grognement de mécontentement.

Il avait rendez-vous à 14h30 devant l’entrée de Pré-au-Lard, mais étant ralentit, il partit un peu plus tôt pour arriver dix minutes à l’avance, histoire d’être sur de ne pas être en retard. Au fur et à mesure qu’il approchait de sa destination, un soleil léger réchauffant son visage, il sentait son excitation monter en lui, en plus d’une petite dose de timidité. Les événements d’il y avait quelques jours les avaient rapprochés plus qu’il ne l’avait espéré, ils avaient été jusqu’à s’embrasser, alors bon, c’était un très, très bon départ : il ne se sentait plus gêné près d’elle, non, désormais c’était de l’excitation, du bonheur, et surtout, il était très intimidé et légèrement hésitant en sa présence, donc le fait de rougir n’était pas prêt de le quitter. Lors de la ‘bataille’, ils avaient été dans le feu de l’action, dans les hurlements et la souffrance, leur corps plein d’adrénaline, lui n’avait donc pas vraiment réfléchit quant à oui ou non lui prendre la main, la serrer dans ses bras, et tout ça. Maintenant, ce n’était plus du tout la même situation, il ne savait pas vraiment quand il devait faire ceci ou cela. Concernant user de sa voix, ce n’était plus un problème, il était tout à fait capable de tenir une conversation à sa manière, sans de ‘heu’, comme s’il parlait à n’importe qui. Bon, c’est sur que si le sujet avait à dévier vers des choses genre déclarations d’amour et autre tralala, il risquait de rougir et se remettre à bégayer à moitié.

Ce ne fut que quand Mal’ sortit de ses pensées qu’il se rendit compte qu’il n’était qu’à quelques pas de l’entrée. Ravi, il s’en approcha le plus vite qu’il le pouvait, avant de s’appuyer contre le mur, et de poser sa béquille juste à côté de lui. D’un côté, il était bien content qu’elle soit-là : il avait toujours mal en marchant, mais au moins il pouvait se déplacer, et c’était moins douloureux que sans. Le jeune homme plongea ses mains dans ses poches et fixa le ciel bleu, les zoiseaux volant dans celui-ci, les jolis nuages blancs et le soleil. Une bonne journée en perspective, sans oublier la personne avec qui il allait la partager. Un sourire apparut sur le visage de l’aiglon alors qu’il pensait à elle. Mélanie. Une très bonne journée, paisible, pour oublier tous ses soucis.

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Bon Dieu, que ces trois derniers jours avaient été les plus ennuyants de toute sa vie ! Après la manifestation qui avait finit en bain de sang, il avait été installé à l’infirmerie. Je vous laisse imaginer la grand « Oh non. » dans sans esprit quand l’infirmière lui avait dit qu’il en avait pour une semaine au lit. Sauf que Mal’, lui, il avait un truc de prévu avec Mel’, et il ne voulait surtout pas rater ça. Alors pendant trois jours, il avait bu cet horrible remède pour remettre les os de son genou en place. Restait le problème que la guérison durait une semaine minimum. Alors, il tanna Mademoiselle Weasley de le laisser sortir juste un petit jour. Ce ne fut pas aisé, car elle tenait bon, mais lui était très convaincant, lui offrant son plus beau sourire, de bons arguments, promettant de prendre son médicament et de ne pas courir – d’un côté il n’aurait pas pu. Alors elle accepta, à une condition. Allez, dis-nous laquelle, tata Kachi’ ! D’accord, d’accord. A condition de se déplacer avec une béquille : elle affirmait qu’il en aurait besoin, son rétablissement n’étant pas terminé. Evidemment, il n’était pas très motivé. Une béquille, pour un rendez-vous avec une fille, ça ne le fait pas trop, vous savez ? Mais voilà, quand le matin du jour de son rencard, il tenta de se lever sans rien, dès qu’il s’appuya sur sa jambe, et donc son genou, il dut se rattraper au lit pour ne pas tomber, surpris par la douleur qui faillit lui arracher un gémissement. Way bon, la béquille, désormais c’était obligé, elle lui permettrait de ne pas trop faire travailler les os abimés par les fractures. Beuh.

Le visage de l’aiglon était empreint de déception. Il ne risquait pas de faire très bonne impression comme ça, au revoir courir dans les rues, dévaler les escaliers avec son petit serpent à lui. A lui, oui, à lui é__è Enfin bon, c’était mieux que de ne pas y aller du tout, Mme Weasley aurait pu lui refuser cette sortie. Etant du genre à toujours voir le côté positif des choses, Malcolm inspira un grand coup, mit sa gêne de côté, s’assit sur le bord du lit pour s’emparer des vêtements qu’il avait demandé à son meilleur ami Albus de lui apporter la veille. Avec quelques difficultés, il réussit à enfiler son jean sans trop s’arracher de grimace. Quoi ? Il n’a pas mit un autre sous-vêtement ? Eh oh, je ne vais quand même pas vous décrire le passage où il change de slip, non mais, bande de petits pervers ! Vint le tour de son tee-shirt blanc, puis de son sweat-shirt préféré, gris ligné de blanc. Il passa cinq bonnes minutes à essayer de se coiffer correctement, mais sans succès, il ne pouvait pas retenir ses mèches rebelles, rendre sa tignasse moins ‘sauvage’, rien à faire. Alors il enfila ses converses grises – way, Mal’, il aime le gris :D -, s’empara de sa béquille en réprimant un grognement de mécontentement.

Il avait rendez-vous à 14h30 devant l’entrée de Pré-au-Lard, mais étant ralentit, il partit un peu plus tôt pour arriver dix minutes à l’avance, histoire d’être sur de ne pas être en retard. Au fur et à mesure qu’il approchait de sa destination, un soleil léger réchauffant son visage, il sentait son excitation monter en lui, en plus d’une petite dose de timidité. Les événements d’il y avait quelques jours les avaient rapprochés plus qu’il ne l’avait espéré, ils avaient été jusqu’à s’embrasser, alors bon, c’était un très, très bon départ : il ne se sentait plus gêné près d’elle, non, désormais c’était de l’excitation, du bonheur, et surtout, il était très intimidé et légèrement hésitant en sa présence, donc le fait de rougir n’était pas prêt de le quitter. Lors de la ‘bataille’, ils avaient été dans le feu de l’action, dans les hurlements et la souffrance, leur corps plein d’adrénaline, lui n’avait donc pas vraiment réfléchit quant à oui ou non lui prendre la main, la serrer dans ses bras, et tout ça. Maintenant, ce n’était plus du tout la même situation, il ne savait pas vraiment quand il devait faire ceci ou cela. Concernant user de sa voix, ce n’était plus un problème, il était tout à fait capable de tenir une conversation à sa manière, sans de ‘heu’, comme s’il parlait à n’importe qui. Bon, c’est sur que si le sujet avait à dévier vers des choses genre déclarations d’amour et autre tralala, il risquait de rougir et se remettre à bégayer à moitié.

Ce ne fut que quand Mal’ sortit de ses pensées qu’il se rendit compte qu’il n’était qu’à quelques pas de l’entrée. Ravi, il s’en approcha le plus vite qu’il le pouvait, avant de s’appuyer contre le mur, et de poser sa béquille juste à côté de lui. D’un côté, il était bien content qu’elle soit-là : il avait toujours mal en marchant, mais au moins il pouvait se déplacer, et c’était moins douloureux que sans. Le jeune homme plongea ses mains dans ses poches et fixa le ciel bleu, les zoiseaux volant dans celui-ci, les jolis nuages blancs et le soleil. Une bonne journée en perspective, sans oublier la personne avec qui il allait la partager. Un sourire apparut sur le visage de l’aiglon alors qu’il pensait à elle. Mélanie. Une très bonne journée, paisible, pour oublier tous ses soucis.

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Bon Dieu, que ces trois derniers jours avaient été les plus ennuyants de toute sa vie ! Après la manifestation qui avait finit en bain de sang, il avait été installé à l’infirmerie. Je vous laisse imaginer la grand « Oh non. » dans sans esprit quand l’infirmière lui avait dit qu’il en avait pour une semaine au lit. Sauf que Mal’, lui, il avait un truc de prévu avec Mel’, et il ne voulait surtout pas rater ça. Alors pendant trois jours, il avait bu cet horrible remède pour remettre les os de son genou en place. Restait le problème que la guérison durait une semaine minimum. Alors, il tanna Mademoiselle Weasley de le laisser sortir juste un petit jour. Ce ne fut pas aisé, car elle tenait bon, mais lui était très convaincant, lui offrant son plus beau sourire, de bons arguments, promettant de prendre son médicament et de ne pas courir – d’un côté il n’aurait pas pu. Alors elle accepta, à une condition. Allez, dis-nous laquelle, tata Kachi’ ! D’accord, d’accord. A condition de se déplacer avec une béquille : elle affirmait qu’il en aurait besoin, son rétablissement n’étant pas terminé. Evidemment, il n’était pas très motivé. Une béquille, pour un rendez-vous avec une fille, ça ne le fait pas trop, vous savez ? Mais voilà, quand le matin du jour de son rencard, il tenta de se lever sans rien, dès qu’il s’appuya sur sa jambe, et donc son genou, il dut se rattraper au lit pour ne pas tomber, surpris par la douleur qui faillit lui arracher un gémissement. Way bon, la béquille, désormais c’était obligé, elle lui permettrait de ne pas trop faire travailler les os abimés par les fractures. Beuh.

Le visage de l’aiglon était empreint de déception. Il ne risquait pas de faire très bonne impression comme ça, au revoir courir dans les rues, dévaler les escaliers avec son petit serpent à lui. A lui, oui, à lui é__è Enfin bon, c’était mieux que de ne pas y aller du tout, Mme Weasley aurait pu lui refuser cette sortie. Etant du genre à toujours voir le côté positif des choses, Malcolm inspira un grand coup, mit sa gêne de côté, s’assit sur le bord du lit pour s’emparer des vêtements qu’il avait demandé à son meilleur ami Albus de lui apporter la veille. Avec quelques difficultés, il réussit à enfiler son jean sans trop s’arracher de grimace. Quoi ? Il n’a pas mit un autre sous-vêtement ? Eh oh, je ne vais quand même pas vous décrire le passage où il change de slip, non mais, bande de petits pervers ! Vint le tour de son tee-shirt blanc, puis de son sweat-shirt préféré, gris ligné de blanc. Il passa cinq bonnes minutes à essayer de se coiffer correctement, mais sans succès, il ne pouvait pas retenir ses mèches rebelles, rendre sa tignasse moins ‘sauvage’, rien à faire. Alors il enfila ses converses grises – way, Mal’, il aime le gris :D -, s’empara de sa béquille en réprimant un grognement de mécontentement.

Il avait rendez-vous à 14h30 devant l’entrée de Pré-au-Lard, mais étant ralentit, il partit un peu plus tôt pour arriver dix minutes à l’avance, histoire d’être sur de ne pas être en retard. Au fur et à mesure qu’il approchait de sa destination, un soleil léger réchauffant son visage, il sentait son excitation monter en lui, en plus d’une petite dose de timidité. Les événements d’il y avait quelques jours les avaient rapprochés plus qu’il ne l’avait espéré, ils avaient été jusqu’à s’embrasser, alors bon, c’était un très, très bon départ : il ne se sentait plus gêné près d’elle, non, désormais c’était de l’excitation, du bonheur, et surtout, il était très intimidé et légèrement hésitant en sa présence, donc le fait de rougir n’était pas prêt de le quitter. Lors de la ‘bataille’, ils avaient été dans le feu de l’action, dans les hurlements et la souffrance, leur corps plein d’adrénaline, lui n’avait donc pas vraiment réfléchit quant à oui ou non lui prendre la main, la serrer dans ses bras, et tout ça. Maintenant, ce n’était plus du tout la même situation, il ne savait pas vraiment quand il devait faire ceci ou cela. Concernant user de sa voix, ce n’était plus un problème, il était tout à fait capable de tenir une conversation à sa manière, sans de ‘heu’, comme s’il parlait à n’importe qui. Bon, c’est sur que si le sujet avait à dévier vers des choses genre déclarations d’amour et autre tralala, il risquait de rougir et se remettre à bégayer à moitié.

Ce ne fut que quand Mal’ sortit de ses pensées qu’il se rendit compte qu’il n’était qu’à quelques pas de l’entrée. Ravi, il s’en approcha le plus vite qu’il le pouvait, avant de s’appuyer contre le mur, et de poser sa béquille juste à côté de lui. D’un côté, il était bien content qu’elle soit-là : il avait toujours mal en marchant, mais au moins il pouvait se déplacer, et c’était moins douloureux que sans. Le jeune homme plongea ses mains dans ses poches et fixa le ciel bleu, les zoiseaux volant dans celui-ci, les jolis nuages blancs et le soleil. Une bonne journée en perspective, sans oublier la personne avec qui il allait la partager. Un sourire apparut sur le visage de l’aiglon alors qu’il pensait à elle. Mélanie. Une très bonne journée, paisible, pour oublier tous ses soucis.

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Le visage de l’aiglon était empreint de déception. Il ne risquait pas de faire très bonne impression comme ça, au revoir courir dans les rues, dévaler les escaliers avec son petit serpent à lui. A lui, oui, à lui é__è Enfin bon, c’était mieux que de ne pas y aller du tout, Mme Weasley aurait pu lui refuser cette sortie. Etant du genre à toujours voir le côté positif des choses, Malcolm inspira un grand coup, mit sa gêne de côté, s’assit sur le bord du lit pour s’emparer des vêtements qu’il avait demandé à son meilleur ami Albus de lui apporter la veille. Avec quelques difficultés, il réussit à enfiler son jean sans trop s’arracher de grimace. Quoi ? Il n’a pas mit un autre sous-vêtement ? Eh oh, je ne vais quand même pas vous décrire le passage où il change de slip, non mais, bande de petits pervers ! Vint le tour de son tee-shirt blanc, puis de son sweat-shirt préféré, gris ligné de blanc. Il passa cinq bonnes minutes à essayer de se coiffer correctement, mais sans succès, il ne pouvait pas retenir ses mèches rebelles, rendre sa tignasse moins ‘sauvage’, rien à faire. Alors il enfila ses converses grises – way, Mal’, il aime le gris :D -, s’empara de sa béquille en réprimant un grognement de mécontentement.

Il avait rendez-vous à 14h30 devant l’entrée de Pré-au-Lard, mais étant ralentit, il partit un peu plus tôt pour arriver dix minutes à l’avance, histoire d’être sur de ne pas être en retard. Au fur et à mesure qu’il approchait de sa destination, un soleil léger réchauffant son visage, il sentait son excitation monter en lui, en plus d’une petite dose de timidité. Les événements d’il y avait quelques jours les avaient rapprochés plus qu’il ne l’avait espéré, ils avaient été jusqu’à s’embrasser, alors bon, c’était un très, très bon départ : il ne se sentait plus gêné près d’elle, non, désormais c’était de l’excitation, du bonheur, et surtout, il était très intimidé et légèrement hésitant en sa présence, donc le fait de rougir n’était pas prêt de le quitter. Lors de la ‘bataille’, ils avaient été dans le feu de l’action, dans les hurlements et la souffrance, leur corps plein d’adrénaline, lui n’avait donc pas vraiment réfléchit quant à oui ou non lui prendre la main, la serrer dans ses bras, et tout ça. Maintenant, ce n’était plus du tout la même situation, il ne savait pas vraiment quand il devait faire ceci ou cela. Concernant user de sa voix, ce n’était plus un problème, il était tout à fait capable de tenir une conversation à sa manière, sans de ‘heu’, comme s’il parlait à n’importe qui. Bon, c’est sur que si le sujet avait à dévier vers des choses genre déclarations d’amour et autre tralala, il risquait de rougir et se remettre à bégayer à moitié.

Ce ne fut que quand Mal’ sortit de ses pensées qu’il se rendit compte qu’il n’était qu’à quelques pas de l’entrée. Ravi, il s’en approcha le plus vite qu’il le pouvait, avant de s’appuyer contre le mur, et de poser sa béquille juste à côté de lui. D’un côté, il était bien content qu’elle soit-là : il avait toujours mal en marchant, mais au moins il pouvait se déplacer, et c’était moins douloureux que sans. Le jeune homme plongea ses mains dans ses poches et fixa le ciel bleu, les zoiseaux volant dans celui-ci, les jolis nuages blancs et le soleil. Une bonne journée en perspective, sans oublier la personne avec qui il allait la partager. Un sourire apparut sur le visage de l’aiglon alors qu’il pensait à elle. Mélanie. Une très bonne journée, paisible, pour oublier tous ses soucis.

[Crédits :]

Bon Dieu, que ces trois derniers jours avaient été les plus ennuyants de toute sa vie ! Après la manifestation qui avait finit en bain de sang, il avait été installé à l’infirmerie. Je vous laisse imaginer la grand « Oh non. » dans sans esprit quand l’infirmière lui avait dit qu’il en avait pour une semaine au lit. Sauf que Mal’, lui, il avait un truc de prévu avec Mel’, et il ne voulait surtout pas rater ça. Alors pendant trois jours, il avait bu cet horrible remède pour remettre les os de son genou en place. Restait le problème que la guérison durait une semaine minimum. Alors, il tanna Mademoiselle Weasley de le laisser sortir juste un petit jour. Ce ne fut pas aisé, car elle tenait bon, mais lui était très convaincant, lui offrant son plus beau sourire, de bons arguments, promettant de prendre son médicament et de ne pas courir – d’un côté il n’aurait pas pu. Alors elle accepta, à une condition. Allez, dis-nous laquelle, tata Kachi’ ! D’accord, d’accord. A condition de se déplacer avec une béquille : elle affirmait qu’il en aurait besoin, son rétablissement n’étant pas terminé. Evidemment, il n’était pas très motivé. Une béquille, pour un rendez-vous avec une fille, ça ne le fait pas trop, vous savez ? Mais voilà, quand le matin du jour de son rencard, il tenta de se lever sans rien, dès qu’il s’appuya sur sa jambe, et donc son genou, il dut se rattraper au lit pour ne pas tomber, surpris par la douleur qui faillit lui arracher un gémissement. Way bon, la béquille, désormais c’était obligé, elle lui permettrait de ne pas trop faire travailler les os abimés par les fractures. Beuh.

Le visage de l’aiglon était empreint de déception. Il ne risquait pas de faire très bonne impression comme ça, au revoir courir dans les rues, dévaler les escaliers avec son petit serpent à lui. A lui, oui, à lui é__è Enfin bon, c’était mieux que de ne pas y aller du tout, Mme Weasley aurait pu lui refuser cette sortie. Etant du genre à toujours voir le côté positif des choses, Malcolm inspira un grand coup, mit sa gêne de côté, s’assit sur le bord du lit pour s’emparer des vêtements qu’il avait demandé à son meilleur ami Albus de lui apporter la veille. Avec quelques difficultés, il réussit à enfiler son jean sans trop s’arracher de grimace. Quoi ? Il n’a pas mit un autre sous-vêtement ? Eh oh, je ne vais quand même pas vous décrire le passage où il change de slip, non mais, bande de petits pervers ! Vint le tour de son tee-shirt blanc, puis de son sweat-shirt préféré, gris ligné de blanc. Il passa cinq bonnes minutes à essayer de se coiffer correctement, mais sans succès, il ne pouvait pas retenir ses mèches rebelles, rendre sa tignasse moins ‘sauvage’, rien à faire. Alors il enfila ses converses grises – way, Mal’, il aime le gris :D -, s’empara de sa béquille en réprimant un grognement de mécontentement.

Il avait rendez-vous à 14h30 devant l’entrée de Pré-au-Lard, mais étant ralentit, il partit un peu plus tôt pour arriver dix minutes à l’avance, histoire d’être sur de ne pas être en retard. Au fur et à mesure qu’il approchait de sa destination, un soleil léger réchauffant son visage, il sentait son excitation monter en lui, en plus d’une petite dose de timidité. Les événements d’il y avait quelques jours les avaient rapprochés plus qu’il ne l’avait espéré, ils avaient été jusqu’à s’embrasser, alors bon, c’était un très, très bon départ : il ne se sentait plus gêné près d’elle, non, désormais c’était de l’excitation, du bonheur, et surtout, il était très intimidé et légèrement hésitant en sa présence, donc le fait de rougir n’était pas prêt de le quitter. Lors de la ‘bataille’, ils avaient été dans le feu de l’action, dans les hurlements et la souffrance, leur corps plein d’adrénaline, lui n’avait donc pas vraiment réfléchit quant à oui ou non lui prendre la main, la serrer dans ses bras, et tout ça. Maintenant, ce n’était plus du tout la même situation, il ne savait pas vraiment quand il devait faire ceci ou cela. Concernant user de sa voix, ce n’était plus un problème, il était tout à fait capable de tenir une conversation à sa manière, sans de ‘heu’, comme s’il parlait à n’importe qui. Bon, c’est sur que si le sujet avait à dévier vers des choses genre déclarations d’amour et autre tralala, il risquait de rougir et se remettre à bégayer à moitié.

Ce ne fut que quand Mal’ sortit de ses pensées qu’il se rendit compte qu’il n’était qu’à quelques pas de l’entrée. Ravi, il s’en approcha le plus vite qu’il le pouvait, avant de s’appuyer contre le mur, et de poser sa béquille juste à côté de lui. D’un côté, il était bien content qu’elle soit-là : il avait toujours mal en marchant, mais au moins il pouvait se déplacer, et c’était moins douloureux que sans. Le jeune homme plongea ses mains dans ses poches et fixa le ciel bleu, les zoiseaux volant dans celui-ci, les jolis nuages blancs et le soleil. Une bonne journée en perspective, sans oublier la personne avec qui il allait la partager. Un sourire apparut sur le visage de l’aiglon alors qu’il pensait à elle. Mélanie. Une très bonne journée, paisible, pour oublier tous ses soucis.

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Bon Dieu, que ces trois derniers jours avaient été les plus ennuyants de toute sa vie ! Après la manifestation qui avait finit en bain de sang, il avait été installé à l’infirmerie. Je vous laisse imaginer la grand « Oh non. » dans sans esprit quand l’infirmière lui avait dit qu’il en avait pour une semaine au lit. Sauf que Mal’, lui, il avait un truc de prévu avec Mel’, et il ne voulait surtout pas rater ça. Alors pendant trois jours, il avait bu cet horrible remède pour remettre les os de son genou en place. Restait le problème que la guérison durait une semaine minimum. Alors, il tanna Mademoiselle Weasley de le laisser sortir juste un petit jour. Ce ne fut pas aisé, car elle tenait bon, mais lui était très convaincant, lui offrant son plus beau sourire, de bons arguments, promettant de prendre son médicament et de ne pas courir – d’un côté il n’aurait pas pu. Alors elle accepta, à une condition. Allez, dis-nous laquelle, tata Kachi’ ! D’accord, d’accord. A condition de se déplacer avec une béquille : elle affirmait qu’il en aurait besoin, son rétablissement n’étant pas terminé. Evidemment, il n’était pas très motivé. Une béquille, pour un rendez-vous avec une fille, ça ne le fait pas trop, vous savez ? Mais voilà, quand le matin du jour de son rencard, il tenta de se lever sans rien, dès qu’il s’appuya sur sa jambe, et donc son genou, il dut se rattraper au lit pour ne pas tomber, surpris par la douleur qui faillit lui arracher un gémissement. Way bon, la béquille, désormais c’était obligé, elle lui permettrait de ne pas trop faire travailler les os abimés par les fractures. Beuh.

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Il avait rendez-vous à 14h30 devant l’entrée de Pré-au-Lard, mais étant ralentit, il partit un peu plus tôt pour arriver dix minutes à l’avance, histoire d’être sur de ne pas être en retard. Au fur et à mesure qu’il approchait de sa destination, un soleil léger réchauffant son visage, il sentait son excitation monter en lui, en plus d’une petite dose de timidité. Les événements d’il y avait quelques jours les avaient rapprochés plus qu’il ne l’avait espéré, ils avaient été jusqu’à s’embrasser, alors bon, c’était un très, très bon départ : il ne se sentait plus gêné près d’elle, non, désormais c’était de l’excitation, du bonheur, et surtout, il était très intimidé et légèrement hésitant en sa présence, donc le fait de rougir n’était pas prêt de le quitter. Lors de la ‘bataille’, ils avaient été dans le feu de l’action, dans les hurlements et la souffrance, leur corps plein d’adrénaline, lui n’avait donc pas vraiment réfléchit quant à oui ou non lui prendre la main, la serrer dans ses bras, et tout ça. Maintenant, ce n’était plus du tout la même situation, il ne savait pas vraiment quand il devait faire ceci ou cela. Concernant user de sa voix, ce n’était plus un problème, il était tout à fait capable de tenir une conversation à sa manière, sans de ‘heu’, comme s’il parlait à n’importe qui. Bon, c’est sur que si le sujet avait à dévier vers des choses genre déclarations d’amour et autre tralala, il risquait de rougir et se remettre à bégayer à moitié.

Ce ne fut que quand Mal’ sortit de ses pensées qu’il se rendit compte qu’il n’était qu’à quelques pas de l’entrée. Ravi, il s’en approcha le plus vite qu’il le pouvait, avant de s’appuyer contre le mur, et de poser sa béquille juste à côté de lui. D’un côté, il était bien content qu’elle soit-là : il avait toujours mal en marchant, mais au moins il pouvait se déplacer, et c’était moins douloureux que sans. Le jeune homme plongea ses mains dans ses poches et fixa le ciel bleu, les zoiseaux volant dans celui-ci, les jolis nuages blancs et le soleil. Une bonne journée en perspective, sans oublier la personne avec qui il allait la partager. Un sourire apparut sur le visage de l’aiglon alors qu’il pensait à elle. Mélanie. Une très bonne journée, paisible, pour oublier tous ses soucis.

[Sang :]

Bon Dieu, que ces trois derniers jours avaient été les plus ennuyants de toute sa vie ! Après la manifestation qui avait finit en bain de sang, il avait été installé à l’infirmerie. Je vous laisse imaginer la grand « Oh non. » dans sans esprit quand l’infirmière lui avait dit qu’il en avait pour une semaine au lit. Sauf que Mal’, lui, il avait un truc de prévu avec Mel’, et il ne voulait surtout pas rater ça. Alors pendant trois jours, il avait bu cet horrible remède pour remettre les os de son genou en place. Restait le problème que la guérison durait une semaine minimum. Alors, il tanna Mademoiselle Weasley de le laisser sortir juste un petit jour. Ce ne fut pas aisé, car elle tenait bon, mais lui était très convaincant, lui offrant son plus beau sourire, de bons arguments, promettant de prendre son médicament et de ne pas courir – d’un côté il n’aurait pas pu. Alors elle accepta, à une condition. Allez, dis-nous laquelle, tata Kachi’ ! D’accord, d’accord. A condition de se déplacer avec une béquille : elle affirmait qu’il en aurait besoin, son rétablissement n’étant pas terminé. Evidemment, il n’était pas très motivé. Une béquille, pour un rendez-vous avec une fille, ça ne le fait pas trop, vous savez ? Mais voilà, quand le matin du jour de son rencard, il tenta de se lever sans rien, dès qu’il s’appuya sur sa jambe, et donc son genou, il dut se rattraper au lit pour ne pas tomber, surpris par la douleur qui faillit lui arracher un gémissement. Way bon, la béquille, désormais c’était obligé, elle lui permettrait de ne pas trop faire travailler les os abimés par les fractures. Beuh.

Le visage de l’aiglon était empreint de déception. Il ne risquait pas de faire très bonne impression comme ça, au revoir courir dans les rues, dévaler les escaliers avec son petit serpent à lui. A lui, oui, à lui é__è Enfin bon, c’était mieux que de ne pas y aller du tout, Mme Weasley aurait pu lui refuser cette sortie. Etant du genre à toujours voir le côté positif des choses, Malcolm inspira un grand coup, mit sa gêne de côté, s’assit sur le bord du lit pour s’emparer des vêtements qu’il avait demandé à son meilleur ami Albus de lui apporter la veille. Avec quelques difficultés, il réussit à enfiler son jean sans trop s’arracher de grimace. Quoi ? Il n’a pas mit un autre sous-vêtement ? Eh oh, je ne vais quand même pas vous décrire le passage où il change de slip, non mais, bande de petits pervers ! Vint le tour de son tee-shirt blanc, puis de son sweat-shirt préféré, gris ligné de blanc. Il passa cinq bonnes minutes à essayer de se coiffer correctement, mais sans succès, il ne pouvait pas retenir ses mèches rebelles, rendre sa tignasse moins ‘sauvage’, rien à faire. Alors il enfila ses converses grises – way, Mal’, il aime le gris :D -, s’empara de sa béquille en réprimant un grognement de mécontentement.

Il avait rendez-vous à 14h30 devant l’entrée de Pré-au-Lard, mais étant ralentit, il partit un peu plus tôt pour arriver dix minutes à l’avance, histoire d’être sur de ne pas être en retard. Au fur et à mesure qu’il approchait de sa destination, un soleil léger réchauffant son visage, il sentait son excitation monter en lui, en plus d’une petite dose de timidité. Les événements d’il y avait quelques jours les avaient rapprochés plus qu’il ne l’avait espéré, ils avaient été jusqu’à s’embrasser, alors bon, c’était un très, très bon départ : il ne se sentait plus gêné près d’elle, non, désormais c’était de l’excitation, du bonheur, et surtout, il était très intimidé et légèrement hésitant en sa présence, donc le fait de rougir n’était pas prêt de le quitter. Lors de la ‘bataille’, ils avaient été dans le feu de l’action, dans les hurlements et la souffrance, leur corps plein d’adrénaline, lui n’avait donc pas vraiment réfléchit quant à oui ou non lui prendre la main, la serrer dans ses bras, et tout ça. Maintenant, ce n’était plus du tout la même situation, il ne savait pas vraiment quand il devait faire ceci ou cela. Concernant user de sa voix, ce n’était plus un problème, il était tout à fait capable de tenir une conversation à sa manière, sans de ‘heu’, comme s’il parlait à n’importe qui. Bon, c’est sur que si le sujet avait à dévier vers des choses genre déclarations d’amour et autre tralala, il risquait de rougir et se remettre à bégayer à moitié.

Ce ne fut que quand Mal’ sortit de ses pensées qu’il se rendit compte qu’il n’était qu’à quelques pas de l’entrée. Ravi, il s’en approcha le plus vite qu’il le pouvait, avant de s’appuyer contre le mur, et de poser sa béquille juste à côté de lui. D’un côté, il était bien content qu’elle soit-là : il avait toujours mal en marchant, mais au moins il pouvait se déplacer, et c’était moins douloureux que sans. Le jeune homme plongea ses mains dans ses poches et fixa le ciel bleu, les zoiseaux volant dans celui-ci, les jolis nuages blancs et le soleil. Une bonne journée en perspective, sans oublier la personne avec qui il allait la partager. Un sourire apparut sur le visage de l’aiglon alors qu’il pensait à elle. Mélanie. Une très bonne journée, paisible, pour oublier tous ses soucis.

[Camp :]

Bon Dieu, que ces trois derniers jours avaient été les plus ennuyants de toute sa vie ! Après la manifestation qui avait finit en bain de sang, il avait été installé à l’infirmerie. Je vous laisse imaginer la grand « Oh non. » dans sans esprit quand l’infirmière lui avait dit qu’il en avait pour une semaine au lit. Sauf que Mal’, lui, il avait un truc de prévu avec Mel’, et il ne voulait surtout pas rater ça. Alors pendant trois jours, il avait bu cet horrible remède pour remettre les os de son genou en place. Restait le problème que la guérison durait une semaine minimum. Alors, il tanna Mademoiselle Weasley de le laisser sortir juste un petit jour. Ce ne fut pas aisé, car elle tenait bon, mais lui était très convaincant, lui offrant son plus beau sourire, de bons arguments, promettant de prendre son médicament et de ne pas courir – d’un côté il n’aurait pas pu. Alors elle accepta, à une condition. Allez, dis-nous laquelle, tata Kachi’ ! D’accord, d’accord. A condition de se déplacer avec une béquille : elle affirmait qu’il en aurait besoin, son rétablissement n’étant pas terminé. Evidemment, il n’était pas très motivé. Une béquille, pour un rendez-vous avec une fille, ça ne le fait pas trop, vous savez ? Mais voilà, quand le matin du jour de son rencard, il tenta de se lever sans rien, dès qu’il s’appuya sur sa jambe, et donc son genou, il dut se rattraper au lit pour ne pas tomber, surpris par la douleur qui faillit lui arracher un gémissement. Way bon, la béquille, désormais c’était obligé, elle lui permettrait de ne pas trop faire travailler les os abimés par les fractures. Beuh.

Le visage de l’aiglon était empreint de déception. Il ne risquait pas de faire très bonne impression comme ça, au revoir courir dans les rues, dévaler les escaliers avec son petit serpent à lui. A lui, oui, à lui é__è Enfin bon, c’était mieux que de ne pas y aller du tout, Mme Weasley aurait pu lui refuser cette sortie. Etant du genre à toujours voir le côté positif des choses, Malcolm inspira un grand coup, mit sa gêne de côté, s’assit sur le bord du lit pour s’emparer des vêtements qu’il avait demandé à son meilleur ami Albus de lui apporter la veille. Avec quelques difficultés, il réussit à enfiler son jean sans trop s’arracher de grimace. Quoi ? Il n’a pas mit un autre sous-vêtement ? Eh oh, je ne vais quand même pas vous décrire le passage où il change de slip, non mais, bande de petits pervers ! Vint le tour de son tee-shirt blanc, puis de son sweat-shirt préféré, gris ligné de blanc. Il passa cinq bonnes minutes à essayer de se coiffer correctement, mais sans succès, il ne pouvait pas retenir ses mèches rebelles, rendre sa tignasse moins ‘sauvage’, rien à faire. Alors il enfila ses converses grises – way, Mal’, il aime le gris :D -, s’empara de sa béquille en réprimant un grognement de mécontentement.

Il avait rendez-vous à 14h30 devant l’entrée de Pré-au-Lard, mais étant ralentit, il partit un peu plus tôt pour arriver dix minutes à l’avance, histoire d’être sur de ne pas être en retard. Au fur et à mesure qu’il approchait de sa destination, un soleil léger réchauffant son visage, il sentait son excitation monter en lui, en plus d’une petite dose de timidité. Les événements d’il y avait quelques jours les avaient rapprochés plus qu’il ne l’avait espéré, ils avaient été jusqu’à s’embrasser, alors bon, c’était un très, très bon départ : il ne se sentait plus gêné près d’elle, non, désormais c’était de l’excitation, du bonheur, et surtout, il était très intimidé et légèrement hésitant en sa présence, donc le fait de rougir n’était pas prêt de le quitter. Lors de la ‘bataille’, ils avaient été dans le feu de l’action, dans les hurlements et la souffrance, leur corps plein d’adrénaline, lui n’avait donc pas vraiment réfléchit quant à oui ou non lui prendre la main, la serrer dans ses bras, et tout ça. Maintenant, ce n’était plus du tout la même situation, il ne savait pas vraiment quand il devait faire ceci ou cela. Concernant user de sa voix, ce n’était plus un problème, il était tout à fait capable de tenir une conversation à sa manière, sans de ‘heu’, comme s’il parlait à n’importe qui. Bon, c’est sur que si le sujet avait à dévier vers des choses genre déclarations d’amour et autre tralala, il risquait de rougir et se remettre à bégayer à moitié.

Ce ne fut que quand Mal’ sortit de ses pensées qu’il se rendit compte qu’il n’était qu’à quelques pas de l’entrée. Ravi, il s’en approcha le plus vite qu’il le pouvait, avant de s’appuyer contre le mur, et de poser sa béquille juste à côté de lui. D’un côté, il était bien content qu’elle soit-là : il avait toujours mal en marchant, mais au moins il pouvait se déplacer, et c’était moins douloureux que sans. Le jeune homme plongea ses mains dans ses poches et fixa le ciel bleu, les zoiseaux volant dans celui-ci, les jolis nuages blancs et le soleil. Une bonne journée en perspective, sans oublier la personne avec qui il allait la partager. Un sourire apparut sur le visage de l’aiglon alors qu’il pensait à elle. Mélanie. Une très bonne journée, paisible, pour oublier tous ses soucis.

[Vie du personnage :]

Bon Dieu, que ces trois derniers jours avaient été les plus ennuyants de toute sa vie ! Après la manifestation qui avait finit en bain de sang, il avait été installé à l’infirmerie. Je vous laisse imaginer la grand « Oh non. » dans sans esprit quand l’infirmière lui avait dit qu’il en avait pour une semaine au lit. Sauf que Mal’, lui, il avait un truc de prévu avec Mel’, et il ne voulait surtout pas rater ça. Alors pendant trois jours, il avait bu cet horrible remède pour remettre les os de son genou en place. Restait le problème que la guérison durait une semaine minimum. Alors, il tanna Mademoiselle Weasley de le laisser sortir juste un petit jour. Ce ne fut pas aisé, car elle tenait bon, mais lui était très convaincant, lui offrant son plus beau sourire, de bons arguments, promettant de prendre son médicament et de ne pas courir – d’un côté il n’aurait pas pu. Alors elle accepta, à une condition. Allez, dis-nous laquelle, tata Kachi’ ! D’accord, d’accord. A condition de se déplacer avec une béquille : elle affirmait qu’il en aurait besoin, son rétablissement n’étant pas terminé. Evidemment, il n’était pas très motivé. Une béquille, pour un rendez-vous avec une fille, ça ne le fait pas trop, vous savez ? Mais voilà, quand le matin du jour de son rencard, il tenta de se lever sans rien, dès qu’il s’appuya sur sa jambe, et donc son genou, il dut se rattraper au lit pour ne pas tomber, surpris par la douleur qui faillit lui arracher un gémissement. Way bon, la béquille, désormais c’était obligé, elle lui permettrait de ne pas trop faire travailler les os abimés par les fractures. Beuh.

Le visage de l’aiglon était empreint de déception. Il ne risquait pas de faire très bonne impression comme ça, au revoir courir dans les rues, dévaler les escaliers avec son petit serpent à lui. A lui, oui, à lui é__è Enfin bon, c’était mieux que de ne pas y aller du tout, Mme Weasley aurait pu lui refuser cette sortie. Etant du genre à toujours voir le côté positif des choses, Malcolm inspira un grand coup, mit sa gêne de côté, s’assit sur le bord du lit pour s’emparer des vêtements qu’il avait demandé à son meilleur ami Albus de lui apporter la veille. Avec quelques difficultés, il réussit à enfiler son jean sans trop s’arracher de grimace. Quoi ? Il n’a pas mit un autre sous-vêtement ? Eh oh, je ne vais quand même pas vous décrire le passage où il change de slip, non mais, bande de petits pervers ! Vint le tour de son tee-shirt blanc, puis de son sweat-shirt préféré, gris ligné de blanc. Il passa cinq bonnes minutes à essayer de se coiffer correctement, mais sans succès, il ne pouvait pas retenir ses mèches rebelles, rendre sa tignasse moins ‘sauvage’, rien à faire. Alors il enfila ses converses grises – way, Mal’, il aime le gris :D -, s’empara de sa béquille en réprimant un grognement de mécontentement.

Il avait rendez-vous à 14h30 devant l’entrée de Pré-au-Lard, mais étant ralentit, il partit un peu plus tôt pour arriver dix minutes à l’avance, histoire d’être sur de ne pas être en retard. Au fur et à mesure qu’il approchait de sa destination, un soleil léger réchauffant son visage, il sentait son excitation monter en lui, en plus d’une petite dose de timidité. Les événements d’il y avait quelques jours les avaient rapprochés plus qu’il ne l’avait espéré, ils avaient été jusqu’à s’embrasser, alors bon, c’était un très, très bon départ : il ne se sentait plus gêné près d’elle, non, désormais c’était de l’excitation, du bonheur, et surtout, il était très intimidé et légèrement hésitant en sa présence, donc le fait de rougir n’était pas prêt de le quitter. Lors de la ‘bataille’, ils avaient été dans le feu de l’action, dans les hurlements et la souffrance, leur corps plein d’adrénaline, lui n’avait donc pas vraiment réfléchit quant à oui ou non lui prendre la main, la serrer dans ses bras, et tout ça. Maintenant, ce n’était plus du tout la même situation, il ne savait pas vraiment quand il devait faire ceci ou cela. Concernant user de sa voix, ce n’était plus un problème, il était tout à fait capable de tenir une conversation à sa manière, sans de ‘heu’, comme s’il parlait à n’importe qui. Bon, c’est sur que si le sujet avait à dévier vers des choses genre déclarations d’amour et autre tralala, il risquait de rougir et se remettre à bégayer à moitié.

Ce ne fut que quand Mal’ sortit de ses pensées qu’il se rendit compte qu’il n’était qu’à quelques pas de l’entrée. Ravi, il s’en approcha le plus vite qu’il le pouvait, avant de s’appuyer contre le mur, et de poser sa béquille juste à côté de lui. D’un côté, il était bien content qu’elle soit-là : il avait toujours mal en marchant, mais au moins il pouvait se déplacer, et c’était moins douloureux que sans. Le jeune homme plongea ses mains dans ses poches et fixa le ciel bleu, les zoiseaux volant dans celui-ci, les jolis nuages blancs et le soleil. Une bonne journée en perspective, sans oublier la personne avec qui il allait la partager. Un sourire apparut sur le visage de l’aiglon alors qu’il pensait à elle. Mélanie. Une très bonne journée, paisible, pour oublier tous ses soucis.

[Truc en plus :]

Bon Dieu, que ces trois derniers jours avaient été les plus ennuyants de toute sa vie ! Après la manifestation qui avait finit en bain de sang, il avait été installé à l’infirmerie. Je vous laisse imaginer la grand « Oh non. » dans sans esprit quand l’infirmière lui avait dit qu’il en avait pour une semaine au lit. Sauf que Mal’, lui, il avait un truc de prévu avec Mel’, et il ne voulait surtout pas rater ça. Alors pendant trois jours, il avait bu cet horrible remède pour remettre les os de son genou en place. Restait le problème que la guérison durait une semaine minimum. Alors, il tanna Mademoiselle Weasley de le laisser sortir juste un petit jour. Ce ne fut pas aisé, car elle tenait bon, mais lui était très convaincant, lui offrant son plus beau sourire, de bons arguments, promettant de prendre son médicament et de ne pas courir – d’un côté il n’aurait pas pu. Alors elle accepta, à une condition. Allez, dis-nous laquelle, tata Kachi’ ! D’accord, d’accord. A condition de se déplacer avec une béquille : elle affirmait qu’il en aurait besoin, son rétablissement n’étant pas terminé. Evidemment, il n’était pas très motivé. Une béquille, pour un rendez-vous avec une fille, ça ne le fait pas trop, vous savez ? Mais voilà, quand le matin du jour de son rencard, il tenta de se lever sans rien, dès qu’il s’appuya sur sa jambe, et donc son genou, il dut se rattraper au lit pour ne pas tomber, surpris par la douleur qui faillit lui arracher un gémissement. Way bon, la béquille, désormais c’était obligé, elle lui permettrait de ne pas trop faire travailler les os abimés par les fractures. Beuh.

Le visage de l’aiglon était empreint de déception. Il ne risquait pas de faire très bonne impression comme ça, au revoir courir dans les rues, dévaler les escaliers avec son petit serpent à lui. A lui, oui, à lui é__è Enfin bon, c’était mieux que de ne pas y aller du tout, Mme Weasley aurait pu lui refuser cette sortie. Etant du genre à toujours voir le côté positif des choses, Malcolm inspira un grand coup, mit sa gêne de côté, s’assit sur le bord du lit pour s’emparer des vêtements qu’il avait demandé à son meilleur ami Albus de lui apporter la veille. Avec quelques difficultés, il réussit à enfiler son jean sans trop s’arracher de grimace. Quoi ? Il n’a pas mit un autre sous-vêtement ? Eh oh, je ne vais quand même pas vous décrire le passage où il change de slip, non mais, bande de petits pervers ! Vint le tour de son tee-shirt blanc, puis de son sweat-shirt préféré, gris ligné de blanc. Il passa cinq bonnes minutes à essayer de se coiffer correctement, mais sans succès, il ne pouvait pas retenir ses mèches rebelles, rendre sa tignasse moins ‘sauvage’, rien à faire. Alors il enfila ses converses grises – way, Mal’, il aime le gris :D -, s’empara de sa béquille en réprimant un grognement de mécontentement.

Il avait rendez-vous à 14h30 devant l’entrée de Pré-au-Lard, mais étant ralentit, il partit un peu plus tôt pour arriver dix minutes à l’avance, histoire d’être sur de ne pas être en retard. Au fur et à mesure qu’il approchait de sa destination, un soleil léger réchauffant son visage, il sentait son excitation monter en lui, en plus d’une petite dose de timidité. Les événements d’il y avait quelques jours les avaient rapprochés plus qu’il ne l’avait espéré, ils avaient été jusqu’à s’embrasser, alors bon, c’était un très, très bon départ : il ne se sentait plus gêné près d’elle, non, désormais c’était de l’excitation, du bonheur, et surtout, il était très intimidé et légèrement hésitant en sa présence, donc le fait de rougir n’était pas prêt de le quitter. Lors de la ‘bataille’, ils avaient été dans le feu de l’action, dans les hurlements et la souffrance, leur corps plein d’adrénaline, lui n’avait donc pas vraiment réfléchit quant à oui ou non lui prendre la main, la serrer dans ses bras, et tout ça. Maintenant, ce n’était plus du tout la même situation, il ne savait pas vraiment quand il devait faire ceci ou cela. Concernant user de sa voix, ce n’était plus un problème, il était tout à fait capable de tenir une conversation à sa manière, sans de ‘heu’, comme s’il parlait à n’importe qui. Bon, c’est sur que si le sujet avait à dévier vers des choses genre déclarations d’amour et autre tralala, il risquait de rougir et se remettre à bégayer à moitié.

Ce ne fut que quand Mal’ sortit de ses pensées qu’il se rendit compte qu’il n’était qu’à quelques pas de l’entrée. Ravi, il s’en approcha le plus vite qu’il le pouvait, avant de s’appuyer contre le mur, et de poser sa béquille juste à côté de lui. D’un côté, il était bien content qu’elle soit-là : il avait toujours mal en marchant, mais au moins il pouvait se déplacer, et c’était moins douloureux que sans. Le jeune homme plongea ses mains dans ses poches et fixa le ciel bleu, les zoiseaux volant dans celui-ci, les jolis nuages blancs et le soleil. Une bonne journée en perspective, sans oublier la personne avec qui il allait la partager. Un sourire apparut sur le visage de l’aiglon alors qu’il pensait à elle. Mélanie. Une très bonne journée, paisible, pour oublier tous ses soucis.

[Doubles-Comptes :]

Bon Dieu, que ces trois derniers jours avaient été les plus ennuyants de toute sa vie ! Après la manifestation qui avait finit en bain de sang, il avait été installé à l’infirmerie. Je vous laisse imaginer la grand « Oh non. » dans sans esprit quand l’infirmière lui avait dit qu’il en avait pour une semaine au lit. Sauf que Mal’, lui, il avait un truc de prévu avec Mel’, et il ne voulait surtout pas rater ça. Alors pendant trois jours, il avait bu cet horrible remède pour remettre les os de son genou en place. Restait le problème que la guérison durait une semaine minimum. Alors, il tanna Mademoiselle Weasley de le laisser sortir juste un petit jour. Ce ne fut pas aisé, car elle tenait bon, mais lui était très convaincant, lui offrant son plus beau sourire, de bons arguments, promettant de prendre son médicament et de ne pas courir – d’un côté il n’aurait pas pu. Alors elle accepta, à une condition. Allez, dis-nous laquelle, tata Kachi’ ! D’accord, d’accord. A condition de se déplacer avec une béquille : elle affirmait qu’il en aurait besoin, son rétablissement n’étant pas terminé. Evidemment, il n’était pas très motivé. Une béquille, pour un rendez-vous avec une fille, ça ne le fait pas trop, vous savez ? Mais voilà, quand le matin du jour de son rencard, il tenta de se lever sans rien, dès qu’il s’appuya sur sa jambe, et donc son genou, il dut se rattraper au lit pour ne pas tomber, surpris par la douleur qui faillit lui arracher un gémissement. Way bon, la béquille, désormais c’était obligé, elle lui permettrait de ne pas trop faire travailler les os abimés par les fractures. Beuh.

Le visage de l’aiglon était empreint de déception. Il ne risquait pas de faire très bonne impression comme ça, au revoir courir dans les rues, dévaler les escaliers avec son petit serpent à lui. A lui, oui, à lui é__è Enfin bon, c’était mieux que de ne pas y aller du tout, Mme Weasley aurait pu lui refuser cette sortie. Etant du genre à toujours voir le côté positif des choses, Malcolm inspira un grand coup, mit sa gêne de côté, s’assit sur le bord du lit pour s’emparer des vêtements qu’il avait demandé à son meilleur ami Albus de lui apporter la veille. Avec quelques difficultés, il réussit à enfiler son jean sans trop s’arracher de grimace. Quoi ? Il n’a pas mit un autre sous-vêtement ? Eh oh, je ne vais quand même pas vous décrire le passage où il change de slip, non mais, bande de petits pervers ! Vint le tour de son tee-shirt blanc, puis de son sweat-shirt préféré, gris ligné de blanc. Il passa cinq bonnes minutes à essayer de se coiffer correctement, mais sans succès, il ne pouvait pas retenir ses mèches rebelles, rendre sa tignasse moins ‘sauvage’, rien à faire. Alors il enfila ses converses grises – way, Mal’, il aime le gris :D -, s’empara de sa béquille en réprimant un grognement de mécontentement.

Il avait rendez-vous à 14h30 devant l’entrée de Pré-au-Lard, mais étant ralentit, il partit un peu plus tôt pour arriver dix minutes à l’avance, histoire d’être sur de ne pas être en retard. Au fur et à mesure qu’il approchait de sa destination, un soleil léger réchauffant son visage, il sentait son excitation monter en lui, en plus d’une petite dose de timidité. Les événements d’il y avait quelques jours les avaient rapprochés plus qu’il ne l’avait espéré, ils avaient été jusqu’à s’embrasser, alors bon, c’était un très, très bon départ : il ne se sentait plus gêné près d’elle, non, désormais c’était de l’excitation, du bonheur, et surtout, il était très intimidé et légèrement hésitant en sa présence, donc le fait de rougir n’était pas prêt de le quitter. Lors de la ‘bataille’, ils avaient été dans le feu de l’action, dans les hurlements et la souffrance, leur corps plein d’adrénaline, lui n’avait donc pas vraiment réfléchit quant à oui ou non lui prendre la main, la serrer dans ses bras, et tout ça. Maintenant, ce n’était plus du tout la même situation, il ne savait pas vraiment quand il devait faire ceci ou cela. Concernant user de sa voix, ce n’était plus un problème, il était tout à fait capable de tenir une conversation à sa manière, sans de ‘heu’, comme s’il parlait à n’importe qui. Bon, c’est sur que si le sujet avait à dévier vers des choses genre déclarations d’amour et autre tralala, il risquait de rougir et se remettre à bégayer à moitié.

Ce ne fut que quand Mal’ sortit de ses pensées qu’il se rendit compte qu’il n’était qu’à quelques pas de l’entrée. Ravi, il s’en approcha le plus vite qu’il le pouvait, avant de s’appuyer contre le mur, et de poser sa béquille juste à côté de lui. D’un côté, il était bien content qu’elle soit-là : il avait toujours mal en marchant, mais au moins il pouvait se déplacer, et c’était moins douloureux que sans. Le jeune homme plongea ses mains dans ses poches et fixa le ciel bleu, les zoiseaux volant dans celui-ci, les jolis nuages blancs et le soleil. Une bonne journée en perspective, sans oublier la personne avec qui il allait la partager. Un sourire apparut sur le visage de l’aiglon alors qu’il pensait à elle. Mélanie. Une très bonne journée, paisible, pour oublier tous ses soucis.

- Maaaaaaaaal' !

Ah que keuwaaa ? O__O L’aiglon fut soudainement tiré de ses pensées par la jeune fille qui hurlait son nom, et courait vers lui comme une tarée. C’était assez étrange comme scène, mais surtout vraiment amusant. Mal’ était heureux de voir le bonheur sur le visage de sa petite amie – wah, que ça faisait bizarre de penser ça ! – si bien que un sourire éclatant se peignit très rapidement sur le sien. Il était content, très content. Elle fut rapidement devant lui et le fixa intensément, les yeux dans les yeux. Mélanie en avait de très beaux elle aussi, si bien qu’il eut du mal à s’en détacher. Cela dura quelques secondes, et avant que Malcolm n’ait eut le temps de faire ou dire quoi que ce soit, elle l’embrassa en guise de bonjour. Bon, c’était sur, il n’avait plus besoin de penser à s’il avait le droit ou non de l’embrasser, ça semblait plus que clair. Roh, que c’était bien de découvrir les effets d’un baiser. Dire que son tout premier avait été lors de la manifestation ! Oui, Mal’ étant très timide avec les filles, et surtout très sélectif, ne souhaitant pas être juste la victime d’une chasseuse, si vous voyez ce que je veux dire, il ne s’était jamais engagé jusqu’alors, et n’avait donc jamais embrassé personne. Pas même pour le fun.

- Bonjour chevalier servant. Enfin chevalier servant avec sa béquille ! Elle lui sourit un instant, avant d’ajouter : Bon ok, c'était nul, mais que veux-tu, quand je suis avec toi, c'est comme ça.

« Dans ce cas : bonjour, princesse, vous êtes ravissante aujourd’hui ! »

Il lui offrit un sourire, pas du tout vexé – way, Mal’ il est trop cooool -, posa un court instant ses lèvres contre les siennes avant de lui prendre la main, comme pour dire ‘c’est partit’ ! De l’autre il s’empara de sa béquille – grah, sale chose, je te hais é__è – pour commencer à marcher en regardant la rue ou sorciers et sorcières se promenaient. A toute vitesse, il réfléchissait au programme de l’après-midi, à ce qui leur conviendrait le mieux. Une visite au magasin de bonbons, farces et attrapes des Weasley semblait obligatoire : elle lui avait envoyé des bonbons par courrier, donc sûrement qu’elle adorerait passer par là. Ils pouvaient également aller boire une bière au beurre, ou simplement faire du lèche-vitrine, quoi que ce ne soit pas trop son genre. Une chose était sûre : ils allaient parler, et probablement beaucoup.

« Par quoi préfères-tu commencer ? On pourrait aller dans les magasins que tu veux et si tu souhaites vraiment quelque chose, demande-moi, ça me ferait très plaisir ! Nathan m’a dit que tu voudrais des Docs Martens : je ne sais pas s’il y en a par ici, mais on ne sait jamais ... On pourrait terminer par un bar et prendre quelque chose à manger, qu’est-ce que tu en dis ? Moi je te suis, c’est moi qui offre ! »

Il tenait beaucoup à ce que tout se passe pour le mieux et qu’elle passe un bon moment. C’était le principal. Peu importe ce qu’elle choisirait de faire, de toute façon, son plaisir à lui, c’était de lui faire passer une excellente après-midi et d’avoir du bon temps avec elle. Mon Dieu ce qu’il pouvait l’aimer ! Il la couvait de ses yeux verts, pleins de douceur. Vraiment, si Mel’ cherchait dans le doux, gentil et attentionné, elle avait trouvé son homme !

Le Serdaigle remarqua alors que Mel’ ne portait qu’un simple tee-shirt. Certes, c’était le printemps, mais il faisait sacrément frais. Lui avait fait de même, mais il avait mis un sweatshirt pour être sur de ne pas frissonner. Ce que elle, faisait déjà. Ralala, comme quoi ce ne sont pas toujours les mecs qui ne savent pas s’habiller selon la météo ! Tout au long de son enfance, le jeune homme avait appris la galanterie et la politesse, alors il n’hésita pas une seconde à s’arrêter, s’appuyer seulement sur sa jambe droite pour ne pas faire souffrir sa gauche, posa sa béquille au sol et retira son sweatshirt en ignorant royalement les regards attendris ou amusés qui se posaient sur eux. Il frissonna un instant au contact de l’air froid sur sa peau. Mal’ se rabaissa pour récupérer son appui, se tourna vers sa Serpentarde et, le regard à la fois sérieux et doux, lui tendit son vêtement.

« C’est probablement trop grand, mais j’insiste ... Non, en fait c’est un ordre ! Hors de question que tu attrapes une saleté. »

Quel gentleman ♥





[ Moi j'aime ta façon d'écrire =) C'est marrant xD ]

[Messages :]

- Maaaaaaaaal' !

Ah que keuwaaa ? O__O L’aiglon fut soudainement tiré de ses pensées par la jeune fille qui hurlait son nom, et courait vers lui comme une tarée. C’était assez étrange comme scène, mais surtout vraiment amusant. Mal’ était heureux de voir le bonheur sur le visage de sa petite amie – wah, que ça faisait bizarre de penser ça ! – si bien que un sourire éclatant se peignit très rapidement sur le sien. Il était content, très content. Elle fut rapidement devant lui et le fixa intensément, les yeux dans les yeux. Mélanie en avait de très beaux elle aussi, si bien qu’il eut du mal à s’en détacher. Cela dura quelques secondes, et avant que Malcolm n’ait eut le temps de faire ou dire quoi que ce soit, elle l’embrassa en guise de bonjour. Bon, c’était sur, il n’avait plus besoin de penser à s’il avait le droit ou non de l’embrasser, ça semblait plus que clair. Roh, que c’était bien de découvrir les effets d’un baiser. Dire que son tout premier avait été lors de la manifestation ! Oui, Mal’ étant très timide avec les filles, et surtout très sélectif, ne souhaitant pas être juste la victime d’une chasseuse, si vous voyez ce que je veux dire, il ne s’était jamais engagé jusqu’alors, et n’avait donc jamais embrassé personne. Pas même pour le fun.

- Bonjour chevalier servant. Enfin chevalier servant avec sa béquille ! Elle lui sourit un instant, avant d’ajouter : Bon ok, c'était nul, mais que veux-tu, quand je suis avec toi, c'est comme ça.

« Dans ce cas : bonjour, princesse, vous êtes ravissante aujourd’hui ! »

Il lui offrit un sourire, pas du tout vexé – way, Mal’ il est trop cooool -, posa un court instant ses lèvres contre les siennes avant de lui prendre la main, comme pour dire ‘c’est partit’ ! De l’autre il s’empara de sa béquille – grah, sale chose, je te hais é__è – pour commencer à marcher en regardant la rue ou sorciers et sorcières se promenaient. A toute vitesse, il réfléchissait au programme de l’après-midi, à ce qui leur conviendrait le mieux. Une visite au magasin de bonbons, farces et attrapes des Weasley semblait obligatoire : elle lui avait envoyé des bonbons par courrier, donc sûrement qu’elle adorerait passer par là. Ils pouvaient également aller boire une bière au beurre, ou simplement faire du lèche-vitrine, quoi que ce ne soit pas trop son genre. Une chose était sûre : ils allaient parler, et probablement beaucoup.

« Par quoi préfères-tu commencer ? On pourrait aller dans les magasins que tu veux et si tu souhaites vraiment quelque chose, demande-moi, ça me ferait très plaisir ! Nathan m’a dit que tu voudrais des Docs Martens : je ne sais pas s’il y en a par ici, mais on ne sait jamais ... On pourrait terminer par un bar et prendre quelque chose à manger, qu’est-ce que tu en dis ? Moi je te suis, c’est moi qui offre ! »

Il tenait beaucoup à ce que tout se passe pour le mieux et qu’elle passe un bon moment. C’était le principal. Peu importe ce qu’elle choisirait de faire, de toute façon, son plaisir à lui, c’était de lui faire passer une excellente après-midi et d’avoir du bon temps avec elle. Mon Dieu ce qu’il pouvait l’aimer ! Il la couvait de ses yeux verts, pleins de douceur. Vraiment, si Mel’ cherchait dans le doux, gentil et attentionné, elle avait trouvé son homme !

Le Serdaigle remarqua alors que Mel’ ne portait qu’un simple tee-shirt. Certes, c’était le printemps, mais il faisait sacrément frais. Lui avait fait de même, mais il avait mis un sweatshirt pour être sur de ne pas frissonner. Ce que elle, faisait déjà. Ralala, comme quoi ce ne sont pas toujours les mecs qui ne savent pas s’habiller selon la météo ! Tout au long de son enfance, le jeune homme avait appris la galanterie et la politesse, alors il n’hésita pas une seconde à s’arrêter, s’appuyer seulement sur sa jambe droite pour ne pas faire souffrir sa gauche, posa sa béquille au sol et retira son sweatshirt en ignorant royalement les regards attendris ou amusés qui se posaient sur eux. Il frissonna un instant au contact de l’air froid sur sa peau. Mal’ se rabaissa pour récupérer son appui, se tourna vers sa Serpentarde et, le regard à la fois sérieux et doux, lui tendit son vêtement.

« C’est probablement trop grand, mais j’insiste ... Non, en fait c’est un ordre ! Hors de question que tu attrapes une saleté. »

Quel gentleman ♥





[ Moi j'aime ta façon d'écrire =) C'est marrant xD ]

[Points :]

- Maaaaaaaaal' !

Ah que keuwaaa ? O__O L’aiglon fut soudainement tiré de ses pensées par la jeune fille qui hurlait son nom, et courait vers lui comme une tarée. C’était assez étrange comme scène, mais surtout vraiment amusant. Mal’ était heureux de voir le bonheur sur le visage de sa petite amie – wah, que ça faisait bizarre de penser ça ! – si bien que un sourire éclatant se peignit très rapidement sur le sien. Il était content, très content. Elle fut rapidement devant lui et le fixa intensément, les yeux dans les yeux. Mélanie en avait de très beaux elle aussi, si bien qu’il eut du mal à s’en détacher. Cela dura quelques secondes, et avant que Malcolm n’ait eut le temps de faire ou dire quoi que ce soit, elle l’embrassa en guise de bonjour. Bon, c’était sur, il n’avait plus besoin de penser à s’il avait le droit ou non de l’embrasser, ça semblait plus que clair. Roh, que c’était bien de découvrir les effets d’un baiser. Dire que son tout premier avait été lors de la manifestation ! Oui, Mal’ étant très timide avec les filles, et surtout très sélectif, ne souhaitant pas être juste la victime d’une chasseuse, si vous voyez ce que je veux dire, il ne s’était jamais engagé jusqu’alors, et n’avait donc jamais embrassé personne. Pas même pour le fun.

- Bonjour chevalier servant. Enfin chevalier servant avec sa béquille ! Elle lui sourit un instant, avant d’ajouter : Bon ok, c'était nul, mais que veux-tu, quand je suis avec toi, c'est comme ça.

« Dans ce cas : bonjour, princesse, vous êtes ravissante aujourd’hui ! »

Il lui offrit un sourire, pas du tout vexé – way, Mal’ il est trop cooool -, posa un court instant ses lèvres contre les siennes avant de lui prendre la main, comme pour dire ‘c’est partit’ ! De l’autre il s’empara de sa béquille – grah, sale chose, je te hais é__è – pour commencer à marcher en regardant la rue ou sorciers et sorcières se promenaient. A toute vitesse, il réfléchissait au programme de l’après-midi, à ce qui leur conviendrait le mieux. Une visite au magasin de bonbons, farces et attrapes des Weasley semblait obligatoire : elle lui avait envoyé des bonbons par courrier, donc sûrement qu’elle adorerait passer par là. Ils pouvaient également aller boire une bière au beurre, ou simplement faire du lèche-vitrine, quoi que ce ne soit pas trop son genre. Une chose était sûre : ils allaient parler, et probablement beaucoup.

« Par quoi préfères-tu commencer ? On pourrait aller dans les magasins que tu veux et si tu souhaites vraiment quelque chose, demande-moi, ça me ferait très plaisir ! Nathan m’a dit que tu voudrais des Docs Martens : je ne sais pas s’il y en a par ici, mais on ne sait jamais ... On pourrait terminer par un bar et prendre quelque chose à manger, qu’est-ce que tu en dis ? Moi je te suis, c’est moi qui offre ! »

Il tenait beaucoup à ce que tout se passe pour le mieux et qu’elle passe un bon moment. C’était le principal. Peu importe ce qu’elle choisirait de faire, de toute façon, son plaisir à lui, c’était de lui faire passer une excellente après-midi et d’avoir du bon temps avec elle. Mon Dieu ce qu’il pouvait l’aimer ! Il la couvait de ses yeux verts, pleins de douceur. Vraiment, si Mel’ cherchait dans le doux, gentil et attentionné, elle avait trouvé son homme !

Le Serdaigle remarqua alors que Mel’ ne portait qu’un simple tee-shirt. Certes, c’était le printemps, mais il faisait sacrément frais. Lui avait fait de même, mais il avait mis un sweatshirt pour être sur de ne pas frissonner. Ce que elle, faisait déjà. Ralala, comme quoi ce ne sont pas toujours les mecs qui ne savent pas s’habiller selon la météo ! Tout au long de son enfance, le jeune homme avait appris la galanterie et la politesse, alors il n’hésita pas une seconde à s’arrêter, s’appuyer seulement sur sa jambe droite pour ne pas faire souffrir sa gauche, posa sa béquille au sol et retira son sweatshirt en ignorant royalement les regards attendris ou amusés qui se posaient sur eux. Il frissonna un instant au contact de l’air froid sur sa peau. Mal’ se rabaissa pour récupérer son appui, se tourna vers sa Serpentarde et, le regard à la fois sérieux et doux, lui tendit son vêtement.

« C’est probablement trop grand, mais j’insiste ... Non, en fait c’est un ordre ! Hors de question que tu attrapes une saleté. »

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Ah que keuwaaa ? O__O L’aiglon fut soudainement tiré de ses pensées par la jeune fille qui hurlait son nom, et courait vers lui comme une tarée. C’était assez étrange comme scène, mais surtout vraiment amusant. Mal’ était heureux de voir le bonheur sur le visage de sa petite amie – wah, que ça faisait bizarre de penser ça ! – si bien que un sourire éclatant se peignit très rapidement sur le sien. Il était content, très content. Elle fut rapidement devant lui et le fixa intensément, les yeux dans les yeux. Mélanie en avait de très beaux elle aussi, si bien qu’il eut du mal à s’en détacher. Cela dura quelques secondes, et avant que Malcolm n’ait eut le temps de faire ou dire quoi que ce soit, elle l’embrassa en guise de bonjour. Bon, c’était sur, il n’avait plus besoin de penser à s’il avait le droit ou non de l’embrasser, ça semblait plus que clair. Roh, que c’était bien de découvrir les effets d’un baiser. Dire que son tout premier avait été lors de la manifestation ! Oui, Mal’ étant très timide avec les filles, et surtout très sélectif, ne souhaitant pas être juste la victime d’une chasseuse, si vous voyez ce que je veux dire, il ne s’était jamais engagé jusqu’alors, et n’avait donc jamais embrassé personne. Pas même pour le fun.

- Bonjour chevalier servant. Enfin chevalier servant avec sa béquille ! Elle lui sourit un instant, avant d’ajouter : Bon ok, c'était nul, mais que veux-tu, quand je suis avec toi, c'est comme ça.

« Dans ce cas : bonjour, princesse, vous êtes ravissante aujourd’hui ! »

Il lui offrit un sourire, pas du tout vexé – way, Mal’ il est trop cooool -, posa un court instant ses lèvres contre les siennes avant de lui prendre la main, comme pour dire ‘c’est partit’ ! De l’autre il s’empara de sa béquille – grah, sale chose, je te hais é__è – pour commencer à marcher en regardant la rue ou sorciers et sorcières se promenaient. A toute vitesse, il réfléchissait au programme de l’après-midi, à ce qui leur conviendrait le mieux. Une visite au magasin de bonbons, farces et attrapes des Weasley semblait obligatoire : elle lui avait envoyé des bonbons par courrier, donc sûrement qu’elle adorerait passer par là. Ils pouvaient également aller boire une bière au beurre, ou simplement faire du lèche-vitrine, quoi que ce ne soit pas trop son genre. Une chose était sûre : ils allaient parler, et probablement beaucoup.

« Par quoi préfères-tu commencer ? On pourrait aller dans les magasins que tu veux et si tu souhaites vraiment quelque chose, demande-moi, ça me ferait très plaisir ! Nathan m’a dit que tu voudrais des Docs Martens : je ne sais pas s’il y en a par ici, mais on ne sait jamais ... On pourrait terminer par un bar et prendre quelque chose à manger, qu’est-ce que tu en dis ? Moi je te suis, c’est moi qui offre ! »

Il tenait beaucoup à ce que tout se passe pour le mieux et qu’elle passe un bon moment. C’était le principal. Peu importe ce qu’elle choisirait de faire, de toute façon, son plaisir à lui, c’était de lui faire passer une excellente après-midi et d’avoir du bon temps avec elle. Mon Dieu ce qu’il pouvait l’aimer ! Il la couvait de ses yeux verts, pleins de douceur. Vraiment, si Mel’ cherchait dans le doux, gentil et attentionné, elle avait trouvé son homme !

Le Serdaigle remarqua alors que Mel’ ne portait qu’un simple tee-shirt. Certes, c’était le printemps, mais il faisait sacrément frais. Lui avait fait de même, mais il avait mis un sweatshirt pour être sur de ne pas frissonner. Ce que elle, faisait déjà. Ralala, comme quoi ce ne sont pas toujours les mecs qui ne savent pas s’habiller selon la météo ! Tout au long de son enfance, le jeune homme avait appris la galanterie et la politesse, alors il n’hésita pas une seconde à s’arrêter, s’appuyer seulement sur sa jambe droite pour ne pas faire souffrir sa gauche, posa sa béquille au sol et retira son sweatshirt en ignorant royalement les regards attendris ou amusés qui se posaient sur eux. Il frissonna un instant au contact de l’air froid sur sa peau. Mal’ se rabaissa pour récupérer son appui, se tourna vers sa Serpentarde et, le regard à la fois sérieux et doux, lui tendit son vêtement.

« C’est probablement trop grand, mais j’insiste ... Non, en fait c’est un ordre ! Hors de question que tu attrapes une saleté. »

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[Crédits :]

- Maaaaaaaaal' !

Ah que keuwaaa ? O__O L’aiglon fut soudainement tiré de ses pensées par la jeune fille qui hurlait son nom, et courait vers lui comme une tarée. C’était assez étrange comme scène, mais surtout vraiment amusant. Mal’ était heureux de voir le bonheur sur le visage de sa petite amie – wah, que ça faisait bizarre de penser ça ! – si bien que un sourire éclatant se peignit très rapidement sur le sien. Il était content, très content. Elle fut rapidement devant lui et le fixa intensément, les yeux dans les yeux. Mélanie en avait de très beaux elle aussi, si bien qu’il eut du mal à s’en détacher. Cela dura quelques secondes, et avant que Malcolm n’ait eut le temps de faire ou dire quoi que ce soit, elle l’embrassa en guise de bonjour. Bon, c’était sur, il n’avait plus besoin de penser à s’il avait le droit ou non de l’embrasser, ça semblait plus que clair. Roh, que c’était bien de découvrir les effets d’un baiser. Dire que son tout premier avait été lors de la manifestation ! Oui, Mal’ étant très timide avec les filles, et surtout très sélectif, ne souhaitant pas être juste la victime d’une chasseuse, si vous voyez ce que je veux dire, il ne s’était jamais engagé jusqu’alors, et n’avait donc jamais embrassé personne. Pas même pour le fun.

- Bonjour chevalier servant. Enfin chevalier servant avec sa béquille ! Elle lui sourit un instant, avant d’ajouter : Bon ok, c'était nul, mais que veux-tu, quand je suis avec toi, c'est comme ça.

« Dans ce cas : bonjour, princesse, vous êtes ravissante aujourd’hui ! »

Il lui offrit un sourire, pas du tout vexé – way, Mal’ il est trop cooool -, posa un court instant ses lèvres contre les siennes avant de lui prendre la main, comme pour dire ‘c’est partit’ ! De l’autre il s’empara de sa béquille – grah, sale chose, je te hais é__è – pour commencer à marcher en regardant la rue ou sorciers et sorcières se promenaient. A toute vitesse, il réfléchissait au programme de l’après-midi, à ce qui leur conviendrait le mieux. Une visite au magasin de bonbons, farces et attrapes des Weasley semblait obligatoire : elle lui avait envoyé des bonbons par courrier, donc sûrement qu’elle adorerait passer par là. Ils pouvaient également aller boire une bière au beurre, ou simplement faire du lèche-vitrine, quoi que ce ne soit pas trop son genre. Une chose était sûre : ils allaient parler, et probablement beaucoup.

« Par quoi préfères-tu commencer ? On pourrait aller dans les magasins que tu veux et si tu souhaites vraiment quelque chose, demande-moi, ça me ferait très plaisir ! Nathan m’a dit que tu voudrais des Docs Martens : je ne sais pas s’il y en a par ici, mais on ne sait jamais ... On pourrait terminer par un bar et prendre quelque chose à manger, qu’est-ce que tu en dis ? Moi je te suis, c’est moi qui offre ! »

Il tenait beaucoup à ce que tout se passe pour le mieux et qu’elle passe un bon moment. C’était le principal. Peu importe ce qu’elle choisirait de faire, de toute façon, son plaisir à lui, c’était de lui faire passer une excellente après-midi et d’avoir du bon temps avec elle. Mon Dieu ce qu’il pouvait l’aimer ! Il la couvait de ses yeux verts, pleins de douceur. Vraiment, si Mel’ cherchait dans le doux, gentil et attentionné, elle avait trouvé son homme !

Le Serdaigle remarqua alors que Mel’ ne portait qu’un simple tee-shirt. Certes, c’était le printemps, mais il faisait sacrément frais. Lui avait fait de même, mais il avait mis un sweatshirt pour être sur de ne pas frissonner. Ce que elle, faisait déjà. Ralala, comme quoi ce ne sont pas toujours les mecs qui ne savent pas s’habiller selon la météo ! Tout au long de son enfance, le jeune homme avait appris la galanterie et la politesse, alors il n’hésita pas une seconde à s’arrêter, s’appuyer seulement sur sa jambe droite pour ne pas faire souffrir sa gauche, posa sa béquille au sol et retira son sweatshirt en ignorant royalement les regards attendris ou amusés qui se posaient sur eux. Il frissonna un instant au contact de l’air froid sur sa peau. Mal’ se rabaissa pour récupérer son appui, se tourna vers sa Serpentarde et, le regard à la fois sérieux et doux, lui tendit son vêtement.

« C’est probablement trop grand, mais j’insiste ... Non, en fait c’est un ordre ! Hors de question que tu attrapes une saleté. »

Quel gentleman ♥





[ Moi j'aime ta façon d'écrire =) C'est marrant xD ]

[Age RPG :]

- Maaaaaaaaal' !

Ah que keuwaaa ? O__O L’aiglon fut soudainement tiré de ses pensées par la jeune fille qui hurlait son nom, et courait vers lui comme une tarée. C’était assez étrange comme scène, mais surtout vraiment amusant. Mal’ était heureux de voir le bonheur sur le visage de sa petite amie – wah, que ça faisait bizarre de penser ça ! – si bien que un sourire éclatant se peignit très rapidement sur le sien. Il était content, très content. Elle fut rapidement devant lui et le fixa intensément, les yeux dans les yeux. Mélanie en avait de très beaux elle aussi, si bien qu’il eut du mal à s’en détacher. Cela dura quelques secondes, et avant que Malcolm n’ait eut le temps de faire ou dire quoi que ce soit, elle l’embrassa en guise de bonjour. Bon, c’était sur, il n’avait plus besoin de penser à s’il avait le droit ou non de l’embrasser, ça semblait plus que clair. Roh, que c’était bien de découvrir les effets d’un baiser. Dire que son tout premier avait été lors de la manifestation ! Oui, Mal’ étant très timide avec les filles, et surtout très sélectif, ne souhaitant pas être juste la victime d’une chasseuse, si vous voyez ce que je veux dire, il ne s’était jamais engagé jusqu’alors, et n’avait donc jamais embrassé personne. Pas même pour le fun.

- Bonjour chevalier servant. Enfin chevalier servant avec sa béquille ! Elle lui sourit un instant, avant d’ajouter : Bon ok, c'était nul, mais que veux-tu, quand je suis avec toi, c'est comme ça.

« Dans ce cas : bonjour, princesse, vous êtes ravissante aujourd’hui ! »

Il lui offrit un sourire, pas du tout vexé – way, Mal’ il est trop cooool -, posa un court instant ses lèvres contre les siennes avant de lui prendre la main, comme pour dire ‘c’est partit’ ! De l’autre il s’empara de sa béquille – grah, sale chose, je te hais é__è – pour commencer à marcher en regardant la rue ou sorciers et sorcières se promenaient. A toute vitesse, il réfléchissait au programme de l’après-midi, à ce qui leur conviendrait le mieux. Une visite au magasin de bonbons, farces et attrapes des Weasley semblait obligatoire : elle lui avait envoyé des bonbons par courrier, donc sûrement qu’elle adorerait passer par là. Ils pouvaient également aller boire une bière au beurre, ou simplement faire du lèche-vitrine, quoi que ce ne soit pas trop son genre. Une chose était sûre : ils allaient parler, et probablement beaucoup.

« Par quoi préfères-tu commencer ? On pourrait aller dans les magasins que tu veux et si tu souhaites vraiment quelque chose, demande-moi, ça me ferait très plaisir ! Nathan m’a dit que tu voudrais des Docs Martens : je ne sais pas s’il y en a par ici, mais on ne sait jamais ... On pourrait terminer par un bar et prendre quelque chose à manger, qu’est-ce que tu en dis ? Moi je te suis, c’est moi qui offre ! »

Il tenait beaucoup à ce que tout se passe pour le mieux et qu’elle passe un bon moment. C’était le principal. Peu importe ce qu’elle choisirait de faire, de toute façon, son plaisir à lui, c’était de lui faire passer une excellente après-midi et d’avoir du bon temps avec elle. Mon Dieu ce qu’il pouvait l’aimer ! Il la couvait de ses yeux verts, pleins de douceur. Vraiment, si Mel’ cherchait dans le doux, gentil et attentionné, elle avait trouvé son homme !

Le Serdaigle remarqua alors que Mel’ ne portait qu’un simple tee-shirt. Certes, c’était le printemps, mais il faisait sacrément frais. Lui avait fait de même, mais il avait mis un sweatshirt pour être sur de ne pas frissonner. Ce que elle, faisait déjà. Ralala, comme quoi ce ne sont pas toujours les mecs qui ne savent pas s’habiller selon la météo ! Tout au long de son enfance, le jeune homme avait appris la galanterie et la politesse, alors il n’hésita pas une seconde à s’arrêter, s’appuyer seulement sur sa jambe droite pour ne pas faire souffrir sa gauche, posa sa béquille au sol et retira son sweatshirt en ignorant royalement les regards attendris ou amusés qui se posaient sur eux. Il frissonna un instant au contact de l’air froid sur sa peau. Mal’ se rabaissa pour récupérer son appui, se tourna vers sa Serpentarde et, le regard à la fois sérieux et doux, lui tendit son vêtement.

« C’est probablement trop grand, mais j’insiste ... Non, en fait c’est un ordre ! Hors de question que tu attrapes une saleté. »

Quel gentleman ♥





[ Moi j'aime ta façon d'écrire =) C'est marrant xD ]

[Sang :]

- Maaaaaaaaal' !

Ah que keuwaaa ? O__O L’aiglon fut soudainement tiré de ses pensées par la jeune fille qui hurlait son nom, et courait vers lui comme une tarée. C’était assez étrange comme scène, mais surtout vraiment amusant. Mal’ était heureux de voir le bonheur sur le visage de sa petite amie – wah, que ça faisait bizarre de penser ça ! – si bien que un sourire éclatant se peignit très rapidement sur le sien. Il était content, très content. Elle fut rapidement devant lui et le fixa intensément, les yeux dans les yeux. Mélanie en avait de très beaux elle aussi, si bien qu’il eut du mal à s’en détacher. Cela dura quelques secondes, et avant que Malcolm n’ait eut le temps de faire ou dire quoi que ce soit, elle l’embrassa en guise de bonjour. Bon, c’était sur, il n’avait plus besoin de penser à s’il avait le droit ou non de l’embrasser, ça semblait plus que clair. Roh, que c’était bien de découvrir les effets d’un baiser. Dire que son tout premier avait été lors de la manifestation ! Oui, Mal’ étant très timide avec les filles, et surtout très sélectif, ne souhaitant pas être juste la victime d’une chasseuse, si vous voyez ce que je veux dire, il ne s’était jamais engagé jusqu’alors, et n’avait donc jamais embrassé personne. Pas même pour le fun.

- Bonjour chevalier servant. Enfin chevalier servant avec sa béquille ! Elle lui sourit un instant, avant d’ajouter : Bon ok, c'était nul, mais que veux-tu, quand je suis avec toi, c'est comme ça.

« Dans ce cas : bonjour, princesse, vous êtes ravissante aujourd’hui ! »

Il lui offrit un sourire, pas du tout vexé – way, Mal’ il est trop cooool -, posa un court instant ses lèvres contre les siennes avant de lui prendre la main, comme pour dire ‘c’est partit’ ! De l’autre il s’empara de sa béquille – grah, sale chose, je te hais é__è – pour commencer à marcher en regardant la rue ou sorciers et sorcières se promenaient. A toute vitesse, il réfléchissait au programme de l’après-midi, à ce qui leur conviendrait le mieux. Une visite au magasin de bonbons, farces et attrapes des Weasley semblait obligatoire : elle lui avait envoyé des bonbons par courrier, donc sûrement qu’elle adorerait passer par là. Ils pouvaient également aller boire une bière au beurre, ou simplement faire du lèche-vitrine, quoi que ce ne soit pas trop son genre. Une chose était sûre : ils allaient parler, et probablement beaucoup.

« Par quoi préfères-tu commencer ? On pourrait aller dans les magasins que tu veux et si tu souhaites vraiment quelque chose, demande-moi, ça me ferait très plaisir ! Nathan m’a dit que tu voudrais des Docs Martens : je ne sais pas s’il y en a par ici, mais on ne sait jamais ... On pourrait terminer par un bar et prendre quelque chose à manger, qu’est-ce que tu en dis ? Moi je te suis, c’est moi qui offre ! »

Il tenait beaucoup à ce que tout se passe pour le mieux et qu’elle passe un bon moment. C’était le principal. Peu importe ce qu’elle choisirait de faire, de toute façon, son plaisir à lui, c’était de lui faire passer une excellente après-midi et d’avoir du bon temps avec elle. Mon Dieu ce qu’il pouvait l’aimer ! Il la couvait de ses yeux verts, pleins de douceur. Vraiment, si Mel’ cherchait dans le doux, gentil et attentionné, elle avait trouvé son homme !

Le Serdaigle remarqua alors que Mel’ ne portait qu’un simple tee-shirt. Certes, c’était le printemps, mais il faisait sacrément frais. Lui avait fait de même, mais il avait mis un sweatshirt pour être sur de ne pas frissonner. Ce que elle, faisait déjà. Ralala, comme quoi ce ne sont pas toujours les mecs qui ne savent pas s’habiller selon la météo ! Tout au long de son enfance, le jeune homme avait appris la galanterie et la politesse, alors il n’hésita pas une seconde à s’arrêter, s’appuyer seulement sur sa jambe droite pour ne pas faire souffrir sa gauche, posa sa béquille au sol et retira son sweatshirt en ignorant royalement les regards attendris ou amusés qui se posaient sur eux. Il frissonna un instant au contact de l’air froid sur sa peau. Mal’ se rabaissa pour récupérer son appui, se tourna vers sa Serpentarde et, le regard à la fois sérieux et doux, lui tendit son vêtement.

« C’est probablement trop grand, mais j’insiste ... Non, en fait c’est un ordre ! Hors de question que tu attrapes une saleté. »

Quel gentleman ♥





[ Moi j'aime ta façon d'écrire =) C'est marrant xD ]

[Camp :]

- Maaaaaaaaal' !

Ah que keuwaaa ? O__O L’aiglon fut soudainement tiré de ses pensées par la jeune fille qui hurlait son nom, et courait vers lui comme une tarée. C’était assez étrange comme scène, mais surtout vraiment amusant. Mal’ était heureux de voir le bonheur sur le visage de sa petite amie – wah, que ça faisait bizarre de penser ça ! – si bien que un sourire éclatant se peignit très rapidement sur le sien. Il était content, très content. Elle fut rapidement devant lui et le fixa intensément, les yeux dans les yeux. Mélanie en avait de très beaux elle aussi, si bien qu’il eut du mal à s’en détacher. Cela dura quelques secondes, et avant que Malcolm n’ait eut le temps de faire ou dire quoi que ce soit, elle l’embrassa en guise de bonjour. Bon, c’était sur, il n’avait plus besoin de penser à s’il avait le droit ou non de l’embrasser, ça semblait plus que clair. Roh, que c’était bien de découvrir les effets d’un baiser. Dire que son tout premier avait été lors de la manifestation ! Oui, Mal’ étant très timide avec les filles, et surtout très sélectif, ne souhaitant pas être juste la victime d’une chasseuse, si vous voyez ce que je veux dire, il ne s’était jamais engagé jusqu’alors, et n’avait donc jamais embrassé personne. Pas même pour le fun.

- Bonjour chevalier servant. Enfin chevalier servant avec sa béquille ! Elle lui sourit un instant, avant d’ajouter : Bon ok, c'était nul, mais que veux-tu, quand je suis avec toi, c'est comme ça.

« Dans ce cas : bonjour, princesse, vous êtes ravissante aujourd’hui ! »

Il lui offrit un sourire, pas du tout vexé – way, Mal’ il est trop cooool -, posa un court instant ses lèvres contre les siennes avant de lui prendre la main, comme pour dire ‘c’est partit’ ! De l’autre il s’empara de sa béquille – grah, sale chose, je te hais é__è – pour commencer à marcher en regardant la rue ou sorciers et sorcières se promenaient. A toute vitesse, il réfléchissait au programme de l’après-midi, à ce qui leur conviendrait le mieux. Une visite au magasin de bonbons, farces et attrapes des Weasley semblait obligatoire : elle lui avait envoyé des bonbons par courrier, donc sûrement qu’elle adorerait passer par là. Ils pouvaient également aller boire une bière au beurre, ou simplement faire du lèche-vitrine, quoi que ce ne soit pas trop son genre. Une chose était sûre : ils allaient parler, et probablement beaucoup.

« Par quoi préfères-tu commencer ? On pourrait aller dans les magasins que tu veux et si tu souhaites vraiment quelque chose, demande-moi, ça me ferait très plaisir ! Nathan m’a dit que tu voudrais des Docs Martens : je ne sais pas s’il y en a par ici, mais on ne sait jamais ... On pourrait terminer par un bar et prendre quelque chose à manger, qu’est-ce que tu en dis ? Moi je te suis, c’est moi qui offre ! »

Il tenait beaucoup à ce que tout se passe pour le mieux et qu’elle passe un bon moment. C’était le principal. Peu importe ce qu’elle choisirait de faire, de toute façon, son plaisir à lui, c’était de lui faire passer une excellente après-midi et d’avoir du bon temps avec elle. Mon Dieu ce qu’il pouvait l’aimer ! Il la couvait de ses yeux verts, pleins de douceur. Vraiment, si Mel’ cherchait dans le doux, gentil et attentionné, elle avait trouvé son homme !

Le Serdaigle remarqua alors que Mel’ ne portait qu’un simple tee-shirt. Certes, c’était le printemps, mais il faisait sacrément frais. Lui avait fait de même, mais il avait mis un sweatshirt pour être sur de ne pas frissonner. Ce que elle, faisait déjà. Ralala, comme quoi ce ne sont pas toujours les mecs qui ne savent pas s’habiller selon la météo ! Tout au long de son enfance, le jeune homme avait appris la galanterie et la politesse, alors il n’hésita pas une seconde à s’arrêter, s’appuyer seulement sur sa jambe droite pour ne pas faire souffrir sa gauche, posa sa béquille au sol et retira son sweatshirt en ignorant royalement les regards attendris ou amusés qui se posaient sur eux. Il frissonna un instant au contact de l’air froid sur sa peau. Mal’ se rabaissa pour récupérer son appui, se tourna vers sa Serpentarde et, le regard à la fois sérieux et doux, lui tendit son vêtement.

« C’est probablement trop grand, mais j’insiste ... Non, en fait c’est un ordre ! Hors de question que tu attrapes une saleté. »

Quel gentleman ♥





[ Moi j'aime ta façon d'écrire =) C'est marrant xD ]

[Vie du personnage :]

- Maaaaaaaaal' !

Ah que keuwaaa ? O__O L’aiglon fut soudainement tiré de ses pensées par la jeune fille qui hurlait son nom, et courait vers lui comme une tarée. C’était assez étrange comme scène, mais surtout vraiment amusant. Mal’ était heureux de voir le bonheur sur le visage de sa petite amie – wah, que ça faisait bizarre de penser ça ! – si bien que un sourire éclatant se peignit très rapidement sur le sien. Il était content, très content. Elle fut rapidement devant lui et le fixa intensément, les yeux dans les yeux. Mélanie en avait de très beaux elle aussi, si bien qu’il eut du mal à s’en détacher. Cela dura quelques secondes, et avant que Malcolm n’ait eut le temps de faire ou dire quoi que ce soit, elle l’embrassa en guise de bonjour. Bon, c’était sur, il n’avait plus besoin de penser à s’il avait le droit ou non de l’embrasser, ça semblait plus que clair. Roh, que c’était bien de découvrir les effets d’un baiser. Dire que son tout premier avait été lors de la manifestation ! Oui, Mal’ étant très timide avec les filles, et surtout très sélectif, ne souhaitant pas être juste la victime d’une chasseuse, si vous voyez ce que je veux dire, il ne s’était jamais engagé jusqu’alors, et n’avait donc jamais embrassé personne. Pas même pour le fun.

- Bonjour chevalier servant. Enfin chevalier servant avec sa béquille ! Elle lui sourit un instant, avant d’ajouter : Bon ok, c'était nul, mais que veux-tu, quand je suis avec toi, c'est comme ça.

« Dans ce cas : bonjour, princesse, vous êtes ravissante aujourd’hui ! »

Il lui offrit un sourire, pas du tout vexé – way, Mal’ il est trop cooool -, posa un court instant ses lèvres contre les siennes avant de lui prendre la main, comme pour dire ‘c’est partit’ ! De l’autre il s’empara de sa béquille – grah, sale chose, je te hais é__è – pour commencer à marcher en regardant la rue ou sorciers et sorcières se promenaient. A toute vitesse, il réfléchissait au programme de l’après-midi, à ce qui leur conviendrait le mieux. Une visite au magasin de bonbons, farces et attrapes des Weasley semblait obligatoire : elle lui avait envoyé des bonbons par courrier, donc sûrement qu’elle adorerait passer par là. Ils pouvaient également aller boire une bière au beurre, ou simplement faire du lèche-vitrine, quoi que ce ne soit pas trop son genre. Une chose était sûre : ils allaient parler, et probablement beaucoup.

« Par quoi préfères-tu commencer ? On pourrait aller dans les magasins que tu veux et si tu souhaites vraiment quelque chose, demande-moi, ça me ferait très plaisir ! Nathan m’a dit que tu voudrais des Docs Martens : je ne sais pas s’il y en a par ici, mais on ne sait jamais ... On pourrait terminer par un bar et prendre quelque chose à manger, qu’est-ce que tu en dis ? Moi je te suis, c’est moi qui offre ! »

Il tenait beaucoup à ce que tout se passe pour le mieux et qu’elle passe un bon moment. C’était le principal. Peu importe ce qu’elle choisirait de faire, de toute façon, son plaisir à lui, c’était de lui faire passer une excellente après-midi et d’avoir du bon temps avec elle. Mon Dieu ce qu’il pouvait l’aimer ! Il la couvait de ses yeux verts, pleins de douceur. Vraiment, si Mel’ cherchait dans le doux, gentil et attentionné, elle avait trouvé son homme !

Le Serdaigle remarqua alors que Mel’ ne portait qu’un simple tee-shirt. Certes, c’était le printemps, mais il faisait sacrément frais. Lui avait fait de même, mais il avait mis un sweatshirt pour être sur de ne pas frissonner. Ce que elle, faisait déjà. Ralala, comme quoi ce ne sont pas toujours les mecs qui ne savent pas s’habiller selon la météo ! Tout au long de son enfance, le jeune homme avait appris la galanterie et la politesse, alors il n’hésita pas une seconde à s’arrêter, s’appuyer seulement sur sa jambe droite pour ne pas faire souffrir sa gauche, posa sa béquille au sol et retira son sweatshirt en ignorant royalement les regards attendris ou amusés qui se posaient sur eux. Il frissonna un instant au contact de l’air froid sur sa peau. Mal’ se rabaissa pour récupérer son appui, se tourna vers sa Serpentarde et, le regard à la fois sérieux et doux, lui tendit son vêtement.

« C’est probablement trop grand, mais j’insiste ... Non, en fait c’est un ordre ! Hors de question que tu attrapes une saleté. »

Quel gentleman ♥





[ Moi j'aime ta façon d'écrire =) C'est marrant xD ]

[Truc en plus :]

- Maaaaaaaaal' !

Ah que keuwaaa ? O__O L’aiglon fut soudainement tiré de ses pensées par la jeune fille qui hurlait son nom, et courait vers lui comme une tarée. C’était assez étrange comme scène, mais surtout vraiment amusant. Mal’ était heureux de voir le bonheur sur le visage de sa petite amie – wah, que ça faisait bizarre de penser ça ! – si bien que un sourire éclatant se peignit très rapidement sur le sien. Il était content, très content. Elle fut rapidement devant lui et le fixa intensément, les yeux dans les yeux. Mélanie en avait de très beaux elle aussi, si bien qu’il eut du mal à s’en détacher. Cela dura quelques secondes, et avant que Malcolm n’ait eut le temps de faire ou dire quoi que ce soit, elle l’embrassa en guise de bonjour. Bon, c’était sur, il n’avait plus besoin de penser à s’il avait le droit ou non de l’embrasser, ça semblait plus que clair. Roh, que c’était bien de découvrir les effets d’un baiser. Dire que son tout premier avait été lors de la manifestation ! Oui, Mal’ étant très timide avec les filles, et surtout très sélectif, ne souhaitant pas être juste la victime d’une chasseuse, si vous voyez ce que je veux dire, il ne s’était jamais engagé jusqu’alors, et n’avait donc jamais embrassé personne. Pas même pour le fun.

- Bonjour chevalier servant. Enfin chevalier servant avec sa béquille ! Elle lui sourit un instant, avant d’ajouter : Bon ok, c'était nul, mais que veux-tu, quand je suis avec toi, c'est comme ça.

« Dans ce cas : bonjour, princesse, vous êtes ravissante aujourd’hui ! »

Il lui offrit un sourire, pas du tout vexé – way, Mal’ il est trop cooool -, posa un court instant ses lèvres contre les siennes avant de lui prendre la main, comme pour dire ‘c’est partit’ ! De l’autre il s’empara de sa béquille – grah, sale chose, je te hais é__è – pour commencer à marcher en regardant la rue ou sorciers et sorcières se promenaient. A toute vitesse, il réfléchissait au programme de l’après-midi, à ce qui leur conviendrait le mieux. Une visite au magasin de bonbons, farces et attrapes des Weasley semblait obligatoire : elle lui avait envoyé des bonbons par courrier, donc sûrement qu’elle adorerait passer par là. Ils pouvaient également aller boire une bière au beurre, ou simplement faire du lèche-vitrine, quoi que ce ne soit pas trop son genre. Une chose était sûre : ils allaient parler, et probablement beaucoup.

« Par quoi préfères-tu commencer ? On pourrait aller dans les magasins que tu veux et si tu souhaites vraiment quelque chose, demande-moi, ça me ferait très plaisir ! Nathan m’a dit que tu voudrais des Docs Martens : je ne sais pas s’il y en a par ici, mais on ne sait jamais ... On pourrait terminer par un bar et prendre quelque chose à manger, qu’est-ce que tu en dis ? Moi je te suis, c’est moi qui offre ! »

Il tenait beaucoup à ce que tout se passe pour le mieux et qu’elle passe un bon moment. C’était le principal. Peu importe ce qu’elle choisirait de faire, de toute façon, son plaisir à lui, c’était de lui faire passer une excellente après-midi et d’avoir du bon temps avec elle. Mon Dieu ce qu’il pouvait l’aimer ! Il la couvait de ses yeux verts, pleins de douceur. Vraiment, si Mel’ cherchait dans le doux, gentil et attentionné, elle avait trouvé son homme !

Le Serdaigle remarqua alors que Mel’ ne portait qu’un simple tee-shirt. Certes, c’était le printemps, mais il faisait sacrément frais. Lui avait fait de même, mais il avait mis un sweatshirt pour être sur de ne pas frissonner. Ce que elle, faisait déjà. Ralala, comme quoi ce ne sont pas toujours les mecs qui ne savent pas s’habiller selon la météo ! Tout au long de son enfance, le jeune homme avait appris la galanterie et la politesse, alors il n’hésita pas une seconde à s’arrêter, s’appuyer seulement sur sa jambe droite pour ne pas faire souffrir sa gauche, posa sa béquille au sol et retira son sweatshirt en ignorant royalement les regards attendris ou amusés qui se posaient sur eux. Il frissonna un instant au contact de l’air froid sur sa peau. Mal’ se rabaissa pour récupérer son appui, se tourna vers sa Serpentarde et, le regard à la fois sérieux et doux, lui tendit son vêtement.

« C’est probablement trop grand, mais j’insiste ... Non, en fait c’est un ordre ! Hors de question que tu attrapes une saleté. »

Quel gentleman ♥





[ Moi j'aime ta façon d'écrire =) C'est marrant xD ]

[Doubles-Comptes :]

- Maaaaaaaaal' !

Ah que keuwaaa ? O__O L’aiglon fut soudainement tiré de ses pensées par la jeune fille qui hurlait son nom, et courait vers lui comme une tarée. C’était assez étrange comme scène, mais surtout vraiment amusant. Mal’ était heureux de voir le bonheur sur le visage de sa petite amie – wah, que ça faisait bizarre de penser ça ! – si bien que un sourire éclatant se peignit très rapidement sur le sien. Il était content, très content. Elle fut rapidement devant lui et le fixa intensément, les yeux dans les yeux. Mélanie en avait de très beaux elle aussi, si bien qu’il eut du mal à s’en détacher. Cela dura quelques secondes, et avant que Malcolm n’ait eut le temps de faire ou dire quoi que ce soit, elle l’embrassa en guise de bonjour. Bon, c’était sur, il n’avait plus besoin de penser à s’il avait le droit ou non de l’embrasser, ça semblait plus que clair. Roh, que c’était bien de découvrir les effets d’un baiser. Dire que son tout premier avait été lors de la manifestation ! Oui, Mal’ étant très timide avec les filles, et surtout très sélectif, ne souhaitant pas être juste la victime d’une chasseuse, si vous voyez ce que je veux dire, il ne s’était jamais engagé jusqu’alors, et n’avait donc jamais embrassé personne. Pas même pour le fun.

- Bonjour chevalier servant. Enfin chevalier servant avec sa béquille ! Elle lui sourit un instant, avant d’ajouter : Bon ok, c'était nul, mais que veux-tu, quand je suis avec toi, c'est comme ça.

« Dans ce cas : bonjour, princesse, vous êtes ravissante aujourd’hui ! »

Il lui offrit un sourire, pas du tout vexé – way, Mal’ il est trop cooool -, posa un court instant ses lèvres contre les siennes avant de lui prendre la main, comme pour dire ‘c’est partit’ ! De l’autre il s’empara de sa béquille – grah, sale chose, je te hais é__è – pour commencer à marcher en regardant la rue ou sorciers et sorcières se promenaient. A toute vitesse, il réfléchissait au programme de l’après-midi, à ce qui leur conviendrait le mieux. Une visite au magasin de bonbons, farces et attrapes des Weasley semblait obligatoire : elle lui avait envoyé des bonbons par courrier, donc sûrement qu’elle adorerait passer par là. Ils pouvaient également aller boire une bière au beurre, ou simplement faire du lèche-vitrine, quoi que ce ne soit pas trop son genre. Une chose était sûre : ils allaient parler, et probablement beaucoup.

« Par quoi préfères-tu commencer ? On pourrait aller dans les magasins que tu veux et si tu souhaites vraiment quelque chose, demande-moi, ça me ferait très plaisir ! Nathan m’a dit que tu voudrais des Docs Martens : je ne sais pas s’il y en a par ici, mais on ne sait jamais ... On pourrait terminer par un bar et prendre quelque chose à manger, qu’est-ce que tu en dis ? Moi je te suis, c’est moi qui offre ! »

Il tenait beaucoup à ce que tout se passe pour le mieux et qu’elle passe un bon moment. C’était le principal. Peu importe ce qu’elle choisirait de faire, de toute façon, son plaisir à lui, c’était de lui faire passer une excellente après-midi et d’avoir du bon temps avec elle. Mon Dieu ce qu’il pouvait l’aimer ! Il la couvait de ses yeux verts, pleins de douceur. Vraiment, si Mel’ cherchait dans le doux, gentil et attentionné, elle avait trouvé son homme !

Le Serdaigle remarqua alors que Mel’ ne portait qu’un simple tee-shirt. Certes, c’était le printemps, mais il faisait sacrément frais. Lui avait fait de même, mais il avait mis un sweatshirt pour être sur de ne pas frissonner. Ce que elle, faisait déjà. Ralala, comme quoi ce ne sont pas toujours les mecs qui ne savent pas s’habiller selon la météo ! Tout au long de son enfance, le jeune homme avait appris la galanterie et la politesse, alors il n’hésita pas une seconde à s’arrêter, s’appuyer seulement sur sa jambe droite pour ne pas faire souffrir sa gauche, posa sa béquille au sol et retira son sweatshirt en ignorant royalement les regards attendris ou amusés qui se posaient sur eux. Il frissonna un instant au contact de l’air froid sur sa peau. Mal’ se rabaissa pour récupérer son appui, se tourna vers sa Serpentarde et, le regard à la fois sérieux et doux, lui tendit son vêtement.

« C’est probablement trop grand, mais j’insiste ... Non, en fait c’est un ordre ! Hors de question que tu attrapes une saleté. »

Quel gentleman ♥





[ Moi j'aime ta façon d'écrire =) C'est marrant xD ]

Innocence
[ On sent la fan de Avril Lavigne \o/ ]

Non mais regardez-la. Regardez-le. Complètement fous l'un de l'autre, un jeune couple qui a encore tellement de choses à vivre. Mal' la couvait des yeux. Elle était son premier amour et il était fort loin de s'en lasser. Non, il était le genre de type qui attend de sentir que son affection viens du coeur avant de se lancer. Et c'était Mélanie que son coeur avait choisie - c'est trop romantique ça. Il ne cessait de sourire, parfaitement heureux. Absolument rien ne pourrait gâcher cette journée. Quand il lui tendit son sweat shirt, elle eut l'air d'être ... touchée ? L'aiglon ne put s'empêcher de se dire que ça devait être bon signe, non ? Elle finit par le prendre et l'enfila. Ravi, il souria. Mais arrête tu vas avoir des crampes ! Le vêtement lui allait plutôt bien, en fait. Il était un peu grand dans la longueur, mais le tour de taille était convenable.

Bref, résumons : pas de Docs Martens donc, tant pis, il lui en acheterait en cachette ! 8D Le programme lui convenait, mais elle voulait marcher en amoureux en plus - bien sur ma chérie <3 - et n'avait qu'une seule condition à ce qu'il reste en t-shirt : qu'ils se fassent pleins de câlins. Trop mignon, et voilà qui n'était pas pour déplaire à l'aiglon. Déjà que passer du temps avec elle lui faisait plaisir, mais alors des séances câlins-bisous ... Wahou ! D'ailleurs, Mélanie l'embrassa - j'ai arrêté de compter, là xD - et lui serra la main. Malcolm, lui, ne la quittait pas des yeux. Il n'y arrivait pas, en fait. Mais bon, pour marcher sans se planter, il faudra bien ! Allez, comprenez-le, il est sur un petit nuage et n'en croit pas sa chance.

« J'oubliais une chose : parler. Beaucoup. On doit apprendre à mieux se connaître, non ? Tu es la dame, demandes-moi ce que tu veux. Je sais pas, mon genre de musique, ma famille, mes loisirs, n'importe quoi ! »

Ah bah oui hein, pour être un bon couple, faut savoir des choses sur son ou sa partenaire, non mais ! Bref, ils recommencèrent à marcher main dans la main, tandis qu'il attendait qu'elle exprime par quoi elle voulait commencer, ainsi que son interrogatoire. Elle va y passer aussi, rassurez-vous. En cet après-midi de mars, il n'y avait pas grand monde dans la rue. Les quelques personnes qui avaient pu admirer leur petit manège s'étaient éloignées. Mal' ne s'était pas du tout dit 'la honte', à vrai dire, il avait l'impression d'être dans un monde à part, loin des problèmes, du Ministère, de l'école, des bouquins et des cours. Dans un monde nouveau, à explorer. Un endroit dans lequel il n'avait encore jamais mis les pieds. Sa première fois. Où au fond, chaque pas peut mener vers le haut comme vers le bas. Un terrain à la fois tellement merveilleux et dangeureux. Parce que c'est ça, l'amour : un chemin fleuri sous lequel se cachent des mines sur lesquelles il ne faut pas marcher. Un rien pour tout gâcher. Un malentendu, une erreur, ... Mais eux, l'aigle et le ragondin, relèveront les défis et survivront aux bombes, n'est-ce-pas ? En tout cas, lui, il ne la laissera pas partir comme ça. Ah non.

Après ce petit passage poétique - ou pas - revenont à la situation présente, qui à vrai dire, n'est pas vraiment pleine d'action puisque les deux tourtereaux marchaient simplement, silencieux. Enfin, plus pour très longtemps. Sérieux, vous vous attendiez à les voir enlever leurs vêtements pour gambader avec les lapins et finir dans les buissons ? Je vous verrai bien faire ça, vous, avec une saleté de béquille ! Note : Malcolm n'a pas du tout ce genre de pensées, merci.

« Waaah *___* »

Hum ? Quoi ? Non, non, non, s'il-te-plait pas ça ! La nouvelle édition du Manuel de Métamorphose, là, en vitriiiine. Il eut du mal à le quitter des yeux. Et voilà le côté soif de savoir du jeune homme qui ressort. Mélanie, bonne chance, la vie avec quelqu'un comme ça, c'est pas toujours de tout repos. Voilà, tu sais une nouvelle chose sur Malichou : complètement dingue de ce cours. D'autres aussi, mais celui-là, wahou.






[ Beaucoup de retard et complètemet nul, désolée T___T Je voulais plus te faire attendre. ]

[Messages :]

Innocence
[ On sent la fan de Avril Lavigne \o/ ]

Non mais regardez-la. Regardez-le. Complètement fous l'un de l'autre, un jeune couple qui a encore tellement de choses à vivre. Mal' la couvait des yeux. Elle était son premier amour et il était fort loin de s'en lasser. Non, il était le genre de type qui attend de sentir que son affection viens du coeur avant de se lancer. Et c'était Mélanie que son coeur avait choisie - c'est trop romantique ça. Il ne cessait de sourire, parfaitement heureux. Absolument rien ne pourrait gâcher cette journée. Quand il lui tendit son sweat shirt, elle eut l'air d'être ... touchée ? L'aiglon ne put s'empêcher de se dire que ça devait être bon signe, non ? Elle finit par le prendre et l'enfila. Ravi, il souria. Mais arrête tu vas avoir des crampes ! Le vêtement lui allait plutôt bien, en fait. Il était un peu grand dans la longueur, mais le tour de taille était convenable.

Bref, résumons : pas de Docs Martens donc, tant pis, il lui en acheterait en cachette ! 8D Le programme lui convenait, mais elle voulait marcher en amoureux en plus - bien sur ma chérie <3 - et n'avait qu'une seule condition à ce qu'il reste en t-shirt : qu'ils se fassent pleins de câlins. Trop mignon, et voilà qui n'était pas pour déplaire à l'aiglon. Déjà que passer du temps avec elle lui faisait plaisir, mais alors des séances câlins-bisous ... Wahou ! D'ailleurs, Mélanie l'embrassa - j'ai arrêté de compter, là xD - et lui serra la main. Malcolm, lui, ne la quittait pas des yeux. Il n'y arrivait pas, en fait. Mais bon, pour marcher sans se planter, il faudra bien ! Allez, comprenez-le, il est sur un petit nuage et n'en croit pas sa chance.

« J'oubliais une chose : parler. Beaucoup. On doit apprendre à mieux se connaître, non ? Tu es la dame, demandes-moi ce que tu veux. Je sais pas, mon genre de musique, ma famille, mes loisirs, n'importe quoi ! »

Ah bah oui hein, pour être un bon couple, faut savoir des choses sur son ou sa partenaire, non mais ! Bref, ils recommencèrent à marcher main dans la main, tandis qu'il attendait qu'elle exprime par quoi elle voulait commencer, ainsi que son interrogatoire. Elle va y passer aussi, rassurez-vous. En cet après-midi de mars, il n'y avait pas grand monde dans la rue. Les quelques personnes qui avaient pu admirer leur petit manège s'étaient éloignées. Mal' ne s'était pas du tout dit 'la honte', à vrai dire, il avait l'impression d'être dans un monde à part, loin des problèmes, du Ministère, de l'école, des bouquins et des cours. Dans un monde nouveau, à explorer. Un endroit dans lequel il n'avait encore jamais mis les pieds. Sa première fois. Où au fond, chaque pas peut mener vers le haut comme vers le bas. Un terrain à la fois tellement merveilleux et dangeureux. Parce que c'est ça, l'amour : un chemin fleuri sous lequel se cachent des mines sur lesquelles il ne faut pas marcher. Un rien pour tout gâcher. Un malentendu, une erreur, ... Mais eux, l'aigle et le ragondin, relèveront les défis et survivront aux bombes, n'est-ce-pas ? En tout cas, lui, il ne la laissera pas partir comme ça. Ah non.

Après ce petit passage poétique - ou pas - revenont à la situation présente, qui à vrai dire, n'est pas vraiment pleine d'action puisque les deux tourtereaux marchaient simplement, silencieux. Enfin, plus pour très longtemps. Sérieux, vous vous attendiez à les voir enlever leurs vêtements pour gambader avec les lapins et finir dans les buissons ? Je vous verrai bien faire ça, vous, avec une saleté de béquille ! Note : Malcolm n'a pas du tout ce genre de pensées, merci.

« Waaah *___* »

Hum ? Quoi ? Non, non, non, s'il-te-plait pas ça ! La nouvelle édition du Manuel de Métamorphose, là, en vitriiiine. Il eut du mal à le quitter des yeux. Et voilà le côté soif de savoir du jeune homme qui ressort. Mélanie, bonne chance, la vie avec quelqu'un comme ça, c'est pas toujours de tout repos. Voilà, tu sais une nouvelle chose sur Malichou : complètement dingue de ce cours. D'autres aussi, mais celui-là, wahou.






[ Beaucoup de retard et complètemet nul, désolée T___T Je voulais plus te faire attendre. ]

[Points :]

Innocence
[ On sent la fan de Avril Lavigne \o/ ]

Non mais regardez-la. Regardez-le. Complètement fous l'un de l'autre, un jeune couple qui a encore tellement de choses à vivre. Mal' la couvait des yeux. Elle était son premier amour et il était fort loin de s'en lasser. Non, il était le genre de type qui attend de sentir que son affection viens du coeur avant de se lancer. Et c'était Mélanie que son coeur avait choisie - c'est trop romantique ça. Il ne cessait de sourire, parfaitement heureux. Absolument rien ne pourrait gâcher cette journée. Quand il lui tendit son sweat shirt, elle eut l'air d'être ... touchée ? L'aiglon ne put s'empêcher de se dire que ça devait être bon signe, non ? Elle finit par le prendre et l'enfila. Ravi, il souria. Mais arrête tu vas avoir des crampes ! Le vêtement lui allait plutôt bien, en fait. Il était un peu grand dans la longueur, mais le tour de taille était convenable.

Bref, résumons : pas de Docs Martens donc, tant pis, il lui en acheterait en cachette ! 8D Le programme lui convenait, mais elle voulait marcher en amoureux en plus - bien sur ma chérie <3 - et n'avait qu'une seule condition à ce qu'il reste en t-shirt : qu'ils se fassent pleins de câlins. Trop mignon, et voilà qui n'était pas pour déplaire à l'aiglon. Déjà que passer du temps avec elle lui faisait plaisir, mais alors des séances câlins-bisous ... Wahou ! D'ailleurs, Mélanie l'embrassa - j'ai arrêté de compter, là xD - et lui serra la main. Malcolm, lui, ne la quittait pas des yeux. Il n'y arrivait pas, en fait. Mais bon, pour marcher sans se planter, il faudra bien ! Allez, comprenez-le, il est sur un petit nuage et n'en croit pas sa chance.

« J'oubliais une chose : parler. Beaucoup. On doit apprendre à mieux se connaître, non ? Tu es la dame, demandes-moi ce que tu veux. Je sais pas, mon genre de musique, ma famille, mes loisirs, n'importe quoi ! »

Ah bah oui hein, pour être un bon couple, faut savoir des choses sur son ou sa partenaire, non mais ! Bref, ils recommencèrent à marcher main dans la main, tandis qu'il attendait qu'elle exprime par quoi elle voulait commencer, ainsi que son interrogatoire. Elle va y passer aussi, rassurez-vous. En cet après-midi de mars, il n'y avait pas grand monde dans la rue. Les quelques personnes qui avaient pu admirer leur petit manège s'étaient éloignées. Mal' ne s'était pas du tout dit 'la honte', à vrai dire, il avait l'impression d'être dans un monde à part, loin des problèmes, du Ministère, de l'école, des bouquins et des cours. Dans un monde nouveau, à explorer. Un endroit dans lequel il n'avait encore jamais mis les pieds. Sa première fois. Où au fond, chaque pas peut mener vers le haut comme vers le bas. Un terrain à la fois tellement merveilleux et dangeureux. Parce que c'est ça, l'amour : un chemin fleuri sous lequel se cachent des mines sur lesquelles il ne faut pas marcher. Un rien pour tout gâcher. Un malentendu, une erreur, ... Mais eux, l'aigle et le ragondin, relèveront les défis et survivront aux bombes, n'est-ce-pas ? En tout cas, lui, il ne la laissera pas partir comme ça. Ah non.

Après ce petit passage poétique - ou pas - revenont à la situation présente, qui à vrai dire, n'est pas vraiment pleine d'action puisque les deux tourtereaux marchaient simplement, silencieux. Enfin, plus pour très longtemps. Sérieux, vous vous attendiez à les voir enlever leurs vêtements pour gambader avec les lapins et finir dans les buissons ? Je vous verrai bien faire ça, vous, avec une saleté de béquille ! Note : Malcolm n'a pas du tout ce genre de pensées, merci.

« Waaah *___* »

Hum ? Quoi ? Non, non, non, s'il-te-plait pas ça ! La nouvelle édition du Manuel de Métamorphose, là, en vitriiiine. Il eut du mal à le quitter des yeux. Et voilà le côté soif de savoir du jeune homme qui ressort. Mélanie, bonne chance, la vie avec quelqu'un comme ça, c'est pas toujours de tout repos. Voilà, tu sais une nouvelle chose sur Malichou : complètement dingue de ce cours. D'autres aussi, mais celui-là, wahou.






[ Beaucoup de retard et complètemet nul, désolée T___T Je voulais plus te faire attendre. ]

[Avatar :]

Innocence
[ On sent la fan de Avril Lavigne \o/ ]

Non mais regardez-la. Regardez-le. Complètement fous l'un de l'autre, un jeune couple qui a encore tellement de choses à vivre. Mal' la couvait des yeux. Elle était son premier amour et il était fort loin de s'en lasser. Non, il était le genre de type qui attend de sentir que son affection viens du coeur avant de se lancer. Et c'était Mélanie que son coeur avait choisie - c'est trop romantique ça. Il ne cessait de sourire, parfaitement heureux. Absolument rien ne pourrait gâcher cette journée. Quand il lui tendit son sweat shirt, elle eut l'air d'être ... touchée ? L'aiglon ne put s'empêcher de se dire que ça devait être bon signe, non ? Elle finit par le prendre et l'enfila. Ravi, il souria. Mais arrête tu vas avoir des crampes ! Le vêtement lui allait plutôt bien, en fait. Il était un peu grand dans la longueur, mais le tour de taille était convenable.

Bref, résumons : pas de Docs Martens donc, tant pis, il lui en acheterait en cachette ! 8D Le programme lui convenait, mais elle voulait marcher en amoureux en plus - bien sur ma chérie <3 - et n'avait qu'une seule condition à ce qu'il reste en t-shirt : qu'ils se fassent pleins de câlins. Trop mignon, et voilà qui n'était pas pour déplaire à l'aiglon. Déjà que passer du temps avec elle lui faisait plaisir, mais alors des séances câlins-bisous ... Wahou ! D'ailleurs, Mélanie l'embrassa - j'ai arrêté de compter, là xD - et lui serra la main. Malcolm, lui, ne la quittait pas des yeux. Il n'y arrivait pas, en fait. Mais bon, pour marcher sans se planter, il faudra bien ! Allez, comprenez-le, il est sur un petit nuage et n'en croit pas sa chance.

« J'oubliais une chose : parler. Beaucoup. On doit apprendre à mieux se connaître, non ? Tu es la dame, demandes-moi ce que tu veux. Je sais pas, mon genre de musique, ma famille, mes loisirs, n'importe quoi ! »

Ah bah oui hein, pour être un bon couple, faut savoir des choses sur son ou sa partenaire, non mais ! Bref, ils recommencèrent à marcher main dans la main, tandis qu'il attendait qu'elle exprime par quoi elle voulait commencer, ainsi que son interrogatoire. Elle va y passer aussi, rassurez-vous. En cet après-midi de mars, il n'y avait pas grand monde dans la rue. Les quelques personnes qui avaient pu admirer leur petit manège s'étaient éloignées. Mal' ne s'était pas du tout dit 'la honte', à vrai dire, il avait l'impression d'être dans un monde à part, loin des problèmes, du Ministère, de l'école, des bouquins et des cours. Dans un monde nouveau, à explorer. Un endroit dans lequel il n'avait encore jamais mis les pieds. Sa première fois. Où au fond, chaque pas peut mener vers le haut comme vers le bas. Un terrain à la fois tellement merveilleux et dangeureux. Parce que c'est ça, l'amour : un chemin fleuri sous lequel se cachent des mines sur lesquelles il ne faut pas marcher. Un rien pour tout gâcher. Un malentendu, une erreur, ... Mais eux, l'aigle et le ragondin, relèveront les défis et survivront aux bombes, n'est-ce-pas ? En tout cas, lui, il ne la laissera pas partir comme ça. Ah non.

Après ce petit passage poétique - ou pas - revenont à la situation présente, qui à vrai dire, n'est pas vraiment pleine d'action puisque les deux tourtereaux marchaient simplement, silencieux. Enfin, plus pour très longtemps. Sérieux, vous vous attendiez à les voir enlever leurs vêtements pour gambader avec les lapins et finir dans les buissons ? Je vous verrai bien faire ça, vous, avec une saleté de béquille ! Note : Malcolm n'a pas du tout ce genre de pensées, merci.

« Waaah *___* »

Hum ? Quoi ? Non, non, non, s'il-te-plait pas ça ! La nouvelle édition du Manuel de Métamorphose, là, en vitriiiine. Il eut du mal à le quitter des yeux. Et voilà le côté soif de savoir du jeune homme qui ressort. Mélanie, bonne chance, la vie avec quelqu'un comme ça, c'est pas toujours de tout repos. Voilà, tu sais une nouvelle chose sur Malichou : complètement dingue de ce cours. D'autres aussi, mais celui-là, wahou.






[ Beaucoup de retard et complètemet nul, désolée T___T Je voulais plus te faire attendre. ]

[Crédits :]

Innocence
[ On sent la fan de Avril Lavigne \o/ ]

Non mais regardez-la. Regardez-le. Complètement fous l'un de l'autre, un jeune couple qui a encore tellement de choses à vivre. Mal' la couvait des yeux. Elle était son premier amour et il était fort loin de s'en lasser. Non, il était le genre de type qui attend de sentir que son affection viens du coeur avant de se lancer. Et c'était Mélanie que son coeur avait choisie - c'est trop romantique ça. Il ne cessait de sourire, parfaitement heureux. Absolument rien ne pourrait gâcher cette journée. Quand il lui tendit son sweat shirt, elle eut l'air d'être ... touchée ? L'aiglon ne put s'empêcher de se dire que ça devait être bon signe, non ? Elle finit par le prendre et l'enfila. Ravi, il souria. Mais arrête tu vas avoir des crampes ! Le vêtement lui allait plutôt bien, en fait. Il était un peu grand dans la longueur, mais le tour de taille était convenable.

Bref, résumons : pas de Docs Martens donc, tant pis, il lui en acheterait en cachette ! 8D Le programme lui convenait, mais elle voulait marcher en amoureux en plus - bien sur ma chérie <3 - et n'avait qu'une seule condition à ce qu'il reste en t-shirt : qu'ils se fassent pleins de câlins. Trop mignon, et voilà qui n'était pas pour déplaire à l'aiglon. Déjà que passer du temps avec elle lui faisait plaisir, mais alors des séances câlins-bisous ... Wahou ! D'ailleurs, Mélanie l'embrassa - j'ai arrêté de compter, là xD - et lui serra la main. Malcolm, lui, ne la quittait pas des yeux. Il n'y arrivait pas, en fait. Mais bon, pour marcher sans se planter, il faudra bien ! Allez, comprenez-le, il est sur un petit nuage et n'en croit pas sa chance.

« J'oubliais une chose : parler. Beaucoup. On doit apprendre à mieux se connaître, non ? Tu es la dame, demandes-moi ce que tu veux. Je sais pas, mon genre de musique, ma famille, mes loisirs, n'importe quoi ! »

Ah bah oui hein, pour être un bon couple, faut savoir des choses sur son ou sa partenaire, non mais ! Bref, ils recommencèrent à marcher main dans la main, tandis qu'il attendait qu'elle exprime par quoi elle voulait commencer, ainsi que son interrogatoire. Elle va y passer aussi, rassurez-vous. En cet après-midi de mars, il n'y avait pas grand monde dans la rue. Les quelques personnes qui avaient pu admirer leur petit manège s'étaient éloignées. Mal' ne s'était pas du tout dit 'la honte', à vrai dire, il avait l'impression d'être dans un monde à part, loin des problèmes, du Ministère, de l'école, des bouquins et des cours. Dans un monde nouveau, à explorer. Un endroit dans lequel il n'avait encore jamais mis les pieds. Sa première fois. Où au fond, chaque pas peut mener vers le haut comme vers le bas. Un terrain à la fois tellement merveilleux et dangeureux. Parce que c'est ça, l'amour : un chemin fleuri sous lequel se cachent des mines sur lesquelles il ne faut pas marcher. Un rien pour tout gâcher. Un malentendu, une erreur, ... Mais eux, l'aigle et le ragondin, relèveront les défis et survivront aux bombes, n'est-ce-pas ? En tout cas, lui, il ne la laissera pas partir comme ça. Ah non.

Après ce petit passage poétique - ou pas - revenont à la situation présente, qui à vrai dire, n'est pas vraiment pleine d'action puisque les deux tourtereaux marchaient simplement, silencieux. Enfin, plus pour très longtemps. Sérieux, vous vous attendiez à les voir enlever leurs vêtements pour gambader avec les lapins et finir dans les buissons ? Je vous verrai bien faire ça, vous, avec une saleté de béquille ! Note : Malcolm n'a pas du tout ce genre de pensées, merci.

« Waaah *___* »

Hum ? Quoi ? Non, non, non, s'il-te-plait pas ça ! La nouvelle édition du Manuel de Métamorphose, là, en vitriiiine. Il eut du mal à le quitter des yeux. Et voilà le côté soif de savoir du jeune homme qui ressort. Mélanie, bonne chance, la vie avec quelqu'un comme ça, c'est pas toujours de tout repos. Voilà, tu sais une nouvelle chose sur Malichou : complètement dingue de ce cours. D'autres aussi, mais celui-là, wahou.






[ Beaucoup de retard et complètemet nul, désolée T___T Je voulais plus te faire attendre. ]

[Age RPG :]

Innocence
[ On sent la fan de Avril Lavigne \o/ ]

Non mais regardez-la. Regardez-le. Complètement fous l'un de l'autre, un jeune couple qui a encore tellement de choses à vivre. Mal' la couvait des yeux. Elle était son premier amour et il était fort loin de s'en lasser. Non, il était le genre de type qui attend de sentir que son affection viens du coeur avant de se lancer. Et c'était Mélanie que son coeur avait choisie - c'est trop romantique ça. Il ne cessait de sourire, parfaitement heureux. Absolument rien ne pourrait gâcher cette journée. Quand il lui tendit son sweat shirt, elle eut l'air d'être ... touchée ? L'aiglon ne put s'empêcher de se dire que ça devait être bon signe, non ? Elle finit par le prendre et l'enfila. Ravi, il souria. Mais arrête tu vas avoir des crampes ! Le vêtement lui allait plutôt bien, en fait. Il était un peu grand dans la longueur, mais le tour de taille était convenable.

Bref, résumons : pas de Docs Martens donc, tant pis, il lui en acheterait en cachette ! 8D Le programme lui convenait, mais elle voulait marcher en amoureux en plus - bien sur ma chérie <3 - et n'avait qu'une seule condition à ce qu'il reste en t-shirt : qu'ils se fassent pleins de câlins. Trop mignon, et voilà qui n'était pas pour déplaire à l'aiglon. Déjà que passer du temps avec elle lui faisait plaisir, mais alors des séances câlins-bisous ... Wahou ! D'ailleurs, Mélanie l'embrassa - j'ai arrêté de compter, là xD - et lui serra la main. Malcolm, lui, ne la quittait pas des yeux. Il n'y arrivait pas, en fait. Mais bon, pour marcher sans se planter, il faudra bien ! Allez, comprenez-le, il est sur un petit nuage et n'en croit pas sa chance.

« J'oubliais une chose : parler. Beaucoup. On doit apprendre à mieux se connaître, non ? Tu es la dame, demandes-moi ce que tu veux. Je sais pas, mon genre de musique, ma famille, mes loisirs, n'importe quoi ! »

Ah bah oui hein, pour être un bon couple, faut savoir des choses sur son ou sa partenaire, non mais ! Bref, ils recommencèrent à marcher main dans la main, tandis qu'il attendait qu'elle exprime par quoi elle voulait commencer, ainsi que son interrogatoire. Elle va y passer aussi, rassurez-vous. En cet après-midi de mars, il n'y avait pas grand monde dans la rue. Les quelques personnes qui avaient pu admirer leur petit manège s'étaient éloignées. Mal' ne s'était pas du tout dit 'la honte', à vrai dire, il avait l'impression d'être dans un monde à part, loin des problèmes, du Ministère, de l'école, des bouquins et des cours. Dans un monde nouveau, à explorer. Un endroit dans lequel il n'avait encore jamais mis les pieds. Sa première fois. Où au fond, chaque pas peut mener vers le haut comme vers le bas. Un terrain à la fois tellement merveilleux et dangeureux. Parce que c'est ça, l'amour : un chemin fleuri sous lequel se cachent des mines sur lesquelles il ne faut pas marcher. Un rien pour tout gâcher. Un malentendu, une erreur, ... Mais eux, l'aigle et le ragondin, relèveront les défis et survivront aux bombes, n'est-ce-pas ? En tout cas, lui, il ne la laissera pas partir comme ça. Ah non.

Après ce petit passage poétique - ou pas - revenont à la situation présente, qui à vrai dire, n'est pas vraiment pleine d'action puisque les deux tourtereaux marchaient simplement, silencieux. Enfin, plus pour très longtemps. Sérieux, vous vous attendiez à les voir enlever leurs vêtements pour gambader avec les lapins et finir dans les buissons ? Je vous verrai bien faire ça, vous, avec une saleté de béquille ! Note : Malcolm n'a pas du tout ce genre de pensées, merci.

« Waaah *___* »

Hum ? Quoi ? Non, non, non, s'il-te-plait pas ça ! La nouvelle édition du Manuel de Métamorphose, là, en vitriiiine. Il eut du mal à le quitter des yeux. Et voilà le côté soif de savoir du jeune homme qui ressort. Mélanie, bonne chance, la vie avec quelqu'un comme ça, c'est pas toujours de tout repos. Voilà, tu sais une nouvelle chose sur Malichou : complètement dingue de ce cours. D'autres aussi, mais celui-là, wahou.






[ Beaucoup de retard et complètemet nul, désolée T___T Je voulais plus te faire attendre. ]

[Sang :]

Innocence
[ On sent la fan de Avril Lavigne \o/ ]

Non mais regardez-la. Regardez-le. Complètement fous l'un de l'autre, un jeune couple qui a encore tellement de choses à vivre. Mal' la couvait des yeux. Elle était son premier amour et il était fort loin de s'en lasser. Non, il était le genre de type qui attend de sentir que son affection viens du coeur avant de se lancer. Et c'était Mélanie que son coeur avait choisie - c'est trop romantique ça. Il ne cessait de sourire, parfaitement heureux. Absolument rien ne pourrait gâcher cette journée. Quand il lui tendit son sweat shirt, elle eut l'air d'être ... touchée ? L'aiglon ne put s'empêcher de se dire que ça devait être bon signe, non ? Elle finit par le prendre et l'enfila. Ravi, il souria. Mais arrête tu vas avoir des crampes ! Le vêtement lui allait plutôt bien, en fait. Il était un peu grand dans la longueur, mais le tour de taille était convenable.

Bref, résumons : pas de Docs Martens donc, tant pis, il lui en acheterait en cachette ! 8D Le programme lui convenait, mais elle voulait marcher en amoureux en plus - bien sur ma chérie <3 - et n'avait qu'une seule condition à ce qu'il reste en t-shirt : qu'ils se fassent pleins de câlins. Trop mignon, et voilà qui n'était pas pour déplaire à l'aiglon. Déjà que passer du temps avec elle lui faisait plaisir, mais alors des séances câlins-bisous ... Wahou ! D'ailleurs, Mélanie l'embrassa - j'ai arrêté de compter, là xD - et lui serra la main. Malcolm, lui, ne la quittait pas des yeux. Il n'y arrivait pas, en fait. Mais bon, pour marcher sans se planter, il faudra bien ! Allez, comprenez-le, il est sur un petit nuage et n'en croit pas sa chance.

« J'oubliais une chose : parler. Beaucoup. On doit apprendre à mieux se connaître, non ? Tu es la dame, demandes-moi ce que tu veux. Je sais pas, mon genre de musique, ma famille, mes loisirs, n'importe quoi ! »

Ah bah oui hein, pour être un bon couple, faut savoir des choses sur son ou sa partenaire, non mais ! Bref, ils recommencèrent à marcher main dans la main, tandis qu'il attendait qu'elle exprime par quoi elle voulait commencer, ainsi que son interrogatoire. Elle va y passer aussi, rassurez-vous. En cet après-midi de mars, il n'y avait pas grand monde dans la rue. Les quelques personnes qui avaient pu admirer leur petit manège s'étaient éloignées. Mal' ne s'était pas du tout dit 'la honte', à vrai dire, il avait l'impression d'être dans un monde à part, loin des problèmes, du Ministère, de l'école, des bouquins et des cours. Dans un monde nouveau, à explorer. Un endroit dans lequel il n'avait encore jamais mis les pieds. Sa première fois. Où au fond, chaque pas peut mener vers le haut comme vers le bas. Un terrain à la fois tellement merveilleux et dangeureux. Parce que c'est ça, l'amour : un chemin fleuri sous lequel se cachent des mines sur lesquelles il ne faut pas marcher. Un rien pour tout gâcher. Un malentendu, une erreur, ... Mais eux, l'aigle et le ragondin, relèveront les défis et survivront aux bombes, n'est-ce-pas ? En tout cas, lui, il ne la laissera pas partir comme ça. Ah non.

Après ce petit passage poétique - ou pas - revenont à la situation présente, qui à vrai dire, n'est pas vraiment pleine d'action puisque les deux tourtereaux marchaient simplement, silencieux. Enfin, plus pour très longtemps. Sérieux, vous vous attendiez à les voir enlever leurs vêtements pour gambader avec les lapins et finir dans les buissons ? Je vous verrai bien faire ça, vous, avec une saleté de béquille ! Note : Malcolm n'a pas du tout ce genre de pensées, merci.

« Waaah *___* »

Hum ? Quoi ? Non, non, non, s'il-te-plait pas ça ! La nouvelle édition du Manuel de Métamorphose, là, en vitriiiine. Il eut du mal à le quitter des yeux. Et voilà le côté soif de savoir du jeune homme qui ressort. Mélanie, bonne chance, la vie avec quelqu'un comme ça, c'est pas toujours de tout repos. Voilà, tu sais une nouvelle chose sur Malichou : complètement dingue de ce cours. D'autres aussi, mais celui-là, wahou.






[ Beaucoup de retard et complètemet nul, désolée T___T Je voulais plus te faire attendre. ]

[Camp :]

Innocence
[ On sent la fan de Avril Lavigne \o/ ]

Non mais regardez-la. Regardez-le. Complètement fous l'un de l'autre, un jeune couple qui a encore tellement de choses à vivre. Mal' la couvait des yeux. Elle était son premier amour et il était fort loin de s'en lasser. Non, il était le genre de type qui attend de sentir que son affection viens du coeur avant de se lancer. Et c'était Mélanie que son coeur avait choisie - c'est trop romantique ça. Il ne cessait de sourire, parfaitement heureux. Absolument rien ne pourrait gâcher cette journée. Quand il lui tendit son sweat shirt, elle eut l'air d'être ... touchée ? L'aiglon ne put s'empêcher de se dire que ça devait être bon signe, non ? Elle finit par le prendre et l'enfila. Ravi, il souria. Mais arrête tu vas avoir des crampes ! Le vêtement lui allait plutôt bien, en fait. Il était un peu grand dans la longueur, mais le tour de taille était convenable.

Bref, résumons : pas de Docs Martens donc, tant pis, il lui en acheterait en cachette ! 8D Le programme lui convenait, mais elle voulait marcher en amoureux en plus - bien sur ma chérie <3 - et n'avait qu'une seule condition à ce qu'il reste en t-shirt : qu'ils se fassent pleins de câlins. Trop mignon, et voilà qui n'était pas pour déplaire à l'aiglon. Déjà que passer du temps avec elle lui faisait plaisir, mais alors des séances câlins-bisous ... Wahou ! D'ailleurs, Mélanie l'embrassa - j'ai arrêté de compter, là xD - et lui serra la main. Malcolm, lui, ne la quittait pas des yeux. Il n'y arrivait pas, en fait. Mais bon, pour marcher sans se planter, il faudra bien ! Allez, comprenez-le, il est sur un petit nuage et n'en croit pas sa chance.

« J'oubliais une chose : parler. Beaucoup. On doit apprendre à mieux se connaître, non ? Tu es la dame, demandes-moi ce que tu veux. Je sais pas, mon genre de musique, ma famille, mes loisirs, n'importe quoi ! »

Ah bah oui hein, pour être un bon couple, faut savoir des choses sur son ou sa partenaire, non mais ! Bref, ils recommencèrent à marcher main dans la main, tandis qu'il attendait qu'elle exprime par quoi elle voulait commencer, ainsi que son interrogatoire. Elle va y passer aussi, rassurez-vous. En cet après-midi de mars, il n'y avait pas grand monde dans la rue. Les quelques personnes qui avaient pu admirer leur petit manège s'étaient éloignées. Mal' ne s'était pas du tout dit 'la honte', à vrai dire, il avait l'impression d'être dans un monde à part, loin des problèmes, du Ministère, de l'école, des bouquins et des cours. Dans un monde nouveau, à explorer. Un endroit dans lequel il n'avait encore jamais mis les pieds. Sa première fois. Où au fond, chaque pas peut mener vers le haut comme vers le bas. Un terrain à la fois tellement merveilleux et dangeureux. Parce que c'est ça, l'amour : un chemin fleuri sous lequel se cachent des mines sur lesquelles il ne faut pas marcher. Un rien pour tout gâcher. Un malentendu, une erreur, ... Mais eux, l'aigle et le ragondin, relèveront les défis et survivront aux bombes, n'est-ce-pas ? En tout cas, lui, il ne la laissera pas partir comme ça. Ah non.

Après ce petit passage poétique - ou pas - revenont à la situation présente, qui à vrai dire, n'est pas vraiment pleine d'action puisque les deux tourtereaux marchaient simplement, silencieux. Enfin, plus pour très longtemps. Sérieux, vous vous attendiez à les voir enlever leurs vêtements pour gambader avec les lapins et finir dans les buissons ? Je vous verrai bien faire ça, vous, avec une saleté de béquille ! Note : Malcolm n'a pas du tout ce genre de pensées, merci.

« Waaah *___* »

Hum ? Quoi ? Non, non, non, s'il-te-plait pas ça ! La nouvelle édition du Manuel de Métamorphose, là, en vitriiiine. Il eut du mal à le quitter des yeux. Et voilà le côté soif de savoir du jeune homme qui ressort. Mélanie, bonne chance, la vie avec quelqu'un comme ça, c'est pas toujours de tout repos. Voilà, tu sais une nouvelle chose sur Malichou : complètement dingue de ce cours. D'autres aussi, mais celui-là, wahou.






[ Beaucoup de retard et complètemet nul, désolée T___T Je voulais plus te faire attendre. ]

[Vie du personnage :]

Innocence
[ On sent la fan de Avril Lavigne \o/ ]

Non mais regardez-la. Regardez-le. Complètement fous l'un de l'autre, un jeune couple qui a encore tellement de choses à vivre. Mal' la couvait des yeux. Elle était son premier amour et il était fort loin de s'en lasser. Non, il était le genre de type qui attend de sentir que son affection viens du coeur avant de se lancer. Et c'était Mélanie que son coeur avait choisie - c'est trop romantique ça. Il ne cessait de sourire, parfaitement heureux. Absolument rien ne pourrait gâcher cette journée. Quand il lui tendit son sweat shirt, elle eut l'air d'être ... touchée ? L'aiglon ne put s'empêcher de se dire que ça devait être bon signe, non ? Elle finit par le prendre et l'enfila. Ravi, il souria. Mais arrête tu vas avoir des crampes ! Le vêtement lui allait plutôt bien, en fait. Il était un peu grand dans la longueur, mais le tour de taille était convenable.

Bref, résumons : pas de Docs Martens donc, tant pis, il lui en acheterait en cachette ! 8D Le programme lui convenait, mais elle voulait marcher en amoureux en plus - bien sur ma chérie <3 - et n'avait qu'une seule condition à ce qu'il reste en t-shirt : qu'ils se fassent pleins de câlins. Trop mignon, et voilà qui n'était pas pour déplaire à l'aiglon. Déjà que passer du temps avec elle lui faisait plaisir, mais alors des séances câlins-bisous ... Wahou ! D'ailleurs, Mélanie l'embrassa - j'ai arrêté de compter, là xD - et lui serra la main. Malcolm, lui, ne la quittait pas des yeux. Il n'y arrivait pas, en fait. Mais bon, pour marcher sans se planter, il faudra bien ! Allez, comprenez-le, il est sur un petit nuage et n'en croit pas sa chance.

« J'oubliais une chose : parler. Beaucoup. On doit apprendre à mieux se connaître, non ? Tu es la dame, demandes-moi ce que tu veux. Je sais pas, mon genre de musique, ma famille, mes loisirs, n'importe quoi ! »

Ah bah oui hein, pour être un bon couple, faut savoir des choses sur son ou sa partenaire, non mais ! Bref, ils recommencèrent à marcher main dans la main, tandis qu'il attendait qu'elle exprime par quoi elle voulait commencer, ainsi que son interrogatoire. Elle va y passer aussi, rassurez-vous. En cet après-midi de mars, il n'y avait pas grand monde dans la rue. Les quelques personnes qui avaient pu admirer leur petit manège s'étaient éloignées. Mal' ne s'était pas du tout dit 'la honte', à vrai dire, il avait l'impression d'être dans un monde à part, loin des problèmes, du Ministère, de l'école, des bouquins et des cours. Dans un monde nouveau, à explorer. Un endroit dans lequel il n'avait encore jamais mis les pieds. Sa première fois. Où au fond, chaque pas peut mener vers le haut comme vers le bas. Un terrain à la fois tellement merveilleux et dangeureux. Parce que c'est ça, l'amour : un chemin fleuri sous lequel se cachent des mines sur lesquelles il ne faut pas marcher. Un rien pour tout gâcher. Un malentendu, une erreur, ... Mais eux, l'aigle et le ragondin, relèveront les défis et survivront aux bombes, n'est-ce-pas ? En tout cas, lui, il ne la laissera pas partir comme ça. Ah non.

Après ce petit passage poétique - ou pas - revenont à la situation présente, qui à vrai dire, n'est pas vraiment pleine d'action puisque les deux tourtereaux marchaient simplement, silencieux. Enfin, plus pour très longtemps. Sérieux, vous vous attendiez à les voir enlever leurs vêtements pour gambader avec les lapins et finir dans les buissons ? Je vous verrai bien faire ça, vous, avec une saleté de béquille ! Note : Malcolm n'a pas du tout ce genre de pensées, merci.

« Waaah *___* »

Hum ? Quoi ? Non, non, non, s'il-te-plait pas ça ! La nouvelle édition du Manuel de Métamorphose, là, en vitriiiine. Il eut du mal à le quitter des yeux. Et voilà le côté soif de savoir du jeune homme qui ressort. Mélanie, bonne chance, la vie avec quelqu'un comme ça, c'est pas toujours de tout repos. Voilà, tu sais une nouvelle chose sur Malichou : complètement dingue de ce cours. D'autres aussi, mais celui-là, wahou.






[ Beaucoup de retard et complètemet nul, désolée T___T Je voulais plus te faire attendre. ]

[Truc en plus :]

Innocence
[ On sent la fan de Avril Lavigne \o/ ]

Non mais regardez-la. Regardez-le. Complètement fous l'un de l'autre, un jeune couple qui a encore tellement de choses à vivre. Mal' la couvait des yeux. Elle était son premier amour et il était fort loin de s'en lasser. Non, il était le genre de type qui attend de sentir que son affection viens du coeur avant de se lancer. Et c'était Mélanie que son coeur avait choisie - c'est trop romantique ça. Il ne cessait de sourire, parfaitement heureux. Absolument rien ne pourrait gâcher cette journée. Quand il lui tendit son sweat shirt, elle eut l'air d'être ... touchée ? L'aiglon ne put s'empêcher de se dire que ça devait être bon signe, non ? Elle finit par le prendre et l'enfila. Ravi, il souria. Mais arrête tu vas avoir des crampes ! Le vêtement lui allait plutôt bien, en fait. Il était un peu grand dans la longueur, mais le tour de taille était convenable.

Bref, résumons : pas de Docs Martens donc, tant pis, il lui en acheterait en cachette ! 8D Le programme lui convenait, mais elle voulait marcher en amoureux en plus - bien sur ma chérie <3 - et n'avait qu'une seule condition à ce qu'il reste en t-shirt : qu'ils se fassent pleins de câlins. Trop mignon, et voilà qui n'était pas pour déplaire à l'aiglon. Déjà que passer du temps avec elle lui faisait plaisir, mais alors des séances câlins-bisous ... Wahou ! D'ailleurs, Mélanie l'embrassa - j'ai arrêté de compter, là xD - et lui serra la main. Malcolm, lui, ne la quittait pas des yeux. Il n'y arrivait pas, en fait. Mais bon, pour marcher sans se planter, il faudra bien ! Allez, comprenez-le, il est sur un petit nuage et n'en croit pas sa chance.

« J'oubliais une chose : parler. Beaucoup. On doit apprendre à mieux se connaître, non ? Tu es la dame, demandes-moi ce que tu veux. Je sais pas, mon genre de musique, ma famille, mes loisirs, n'importe quoi ! »

Ah bah oui hein, pour être un bon couple, faut savoir des choses sur son ou sa partenaire, non mais ! Bref, ils recommencèrent à marcher main dans la main, tandis qu'il attendait qu'elle exprime par quoi elle voulait commencer, ainsi que son interrogatoire. Elle va y passer aussi, rassurez-vous. En cet après-midi de mars, il n'y avait pas grand monde dans la rue. Les quelques personnes qui avaient pu admirer leur petit manège s'étaient éloignées. Mal' ne s'était pas du tout dit 'la honte', à vrai dire, il avait l'impression d'être dans un monde à part, loin des problèmes, du Ministère, de l'école, des bouquins et des cours. Dans un monde nouveau, à explorer. Un endroit dans lequel il n'avait encore jamais mis les pieds. Sa première fois. Où au fond, chaque pas peut mener vers le haut comme vers le bas. Un terrain à la fois tellement merveilleux et dangeureux. Parce que c'est ça, l'amour : un chemin fleuri sous lequel se cachent des mines sur lesquelles il ne faut pas marcher. Un rien pour tout gâcher. Un malentendu, une erreur, ... Mais eux, l'aigle et le ragondin, relèveront les défis et survivront aux bombes, n'est-ce-pas ? En tout cas, lui, il ne la laissera pas partir comme ça. Ah non.

Après ce petit passage poétique - ou pas - revenont à la situation présente, qui à vrai dire, n'est pas vraiment pleine d'action puisque les deux tourtereaux marchaient simplement, silencieux. Enfin, plus pour très longtemps. Sérieux, vous vous attendiez à les voir enlever leurs vêtements pour gambader avec les lapins et finir dans les buissons ? Je vous verrai bien faire ça, vous, avec une saleté de béquille ! Note : Malcolm n'a pas du tout ce genre de pensées, merci.

« Waaah *___* »

Hum ? Quoi ? Non, non, non, s'il-te-plait pas ça ! La nouvelle édition du Manuel de Métamorphose, là, en vitriiiine. Il eut du mal à le quitter des yeux. Et voilà le côté soif de savoir du jeune homme qui ressort. Mélanie, bonne chance, la vie avec quelqu'un comme ça, c'est pas toujours de tout repos. Voilà, tu sais une nouvelle chose sur Malichou : complètement dingue de ce cours. D'autres aussi, mais celui-là, wahou.






[ Beaucoup de retard et complètemet nul, désolée T___T Je voulais plus te faire attendre. ]

[Doubles-Comptes :]

Innocence
[ On sent la fan de Avril Lavigne \o/ ]

Non mais regardez-la. Regardez-le. Complètement fous l'un de l'autre, un jeune couple qui a encore tellement de choses à vivre. Mal' la couvait des yeux. Elle était son premier amour et il était fort loin de s'en lasser. Non, il était le genre de type qui attend de sentir que son affection viens du coeur avant de se lancer. Et c'était Mélanie que son coeur avait choisie - c'est trop romantique ça. Il ne cessait de sourire, parfaitement heureux. Absolument rien ne pourrait gâcher cette journée. Quand il lui tendit son sweat shirt, elle eut l'air d'être ... touchée ? L'aiglon ne put s'empêcher de se dire que ça devait être bon signe, non ? Elle finit par le prendre et l'enfila. Ravi, il souria. Mais arrête tu vas avoir des crampes ! Le vêtement lui allait plutôt bien, en fait. Il était un peu grand dans la longueur, mais le tour de taille était convenable.

Bref, résumons : pas de Docs Martens donc, tant pis, il lui en acheterait en cachette ! 8D Le programme lui convenait, mais elle voulait marcher en amoureux en plus - bien sur ma chérie <3 - et n'avait qu'une seule condition à ce qu'il reste en t-shirt : qu'ils se fassent pleins de câlins. Trop mignon, et voilà qui n'était pas pour déplaire à l'aiglon. Déjà que passer du temps avec elle lui faisait plaisir, mais alors des séances câlins-bisous ... Wahou ! D'ailleurs, Mélanie l'embrassa - j'ai arrêté de compter, là xD - et lui serra la main. Malcolm, lui, ne la quittait pas des yeux. Il n'y arrivait pas, en fait. Mais bon, pour marcher sans se planter, il faudra bien ! Allez, comprenez-le, il est sur un petit nuage et n'en croit pas sa chance.

« J'oubliais une chose : parler. Beaucoup. On doit apprendre à mieux se connaître, non ? Tu es la dame, demandes-moi ce que tu veux. Je sais pas, mon genre de musique, ma famille, mes loisirs, n'importe quoi ! »

Ah bah oui hein, pour être un bon couple, faut savoir des choses sur son ou sa partenaire, non mais ! Bref, ils recommencèrent à marcher main dans la main, tandis qu'il attendait qu'elle exprime par quoi elle voulait commencer, ainsi que son interrogatoire. Elle va y passer aussi, rassurez-vous. En cet après-midi de mars, il n'y avait pas grand monde dans la rue. Les quelques personnes qui avaient pu admirer leur petit manège s'étaient éloignées. Mal' ne s'était pas du tout dit 'la honte', à vrai dire, il avait l'impression d'être dans un monde à part, loin des problèmes, du Ministère, de l'école, des bouquins et des cours. Dans un monde nouveau, à explorer. Un endroit dans lequel il n'avait encore jamais mis les pieds. Sa première fois. Où au fond, chaque pas peut mener vers le haut comme vers le bas. Un terrain à la fois tellement merveilleux et dangeureux. Parce que c'est ça, l'amour : un chemin fleuri sous lequel se cachent des mines sur lesquelles il ne faut pas marcher. Un rien pour tout gâcher. Un malentendu, une erreur, ... Mais eux, l'aigle et le ragondin, relèveront les défis et survivront aux bombes, n'est-ce-pas ? En tout cas, lui, il ne la laissera pas partir comme ça. Ah non.

Après ce petit passage poétique - ou pas - revenont à la situation présente, qui à vrai dire, n'est pas vraiment pleine d'action puisque les deux tourtereaux marchaient simplement, silencieux. Enfin, plus pour très longtemps. Sérieux, vous vous attendiez à les voir enlever leurs vêtements pour gambader avec les lapins et finir dans les buissons ? Je vous verrai bien faire ça, vous, avec une saleté de béquille ! Note : Malcolm n'a pas du tout ce genre de pensées, merci.

« Waaah *___* »

Hum ? Quoi ? Non, non, non, s'il-te-plait pas ça ! La nouvelle édition du Manuel de Métamorphose, là, en vitriiiine. Il eut du mal à le quitter des yeux. Et voilà le côté soif de savoir du jeune homme qui ressort. Mélanie, bonne chance, la vie avec quelqu'un comme ça, c'est pas toujours de tout repos. Voilà, tu sais une nouvelle chose sur Malichou : complètement dingue de ce cours. D'autres aussi, mais celui-là, wahou.






[ Beaucoup de retard et complètemet nul, désolée T___T Je voulais plus te faire attendre. ]

Avant qu’il n’ait eut le temps de dire ‘ouf’, Mélanie avait déguerpit, après lui avoir dit de l’attendre là, ... dans le magasin. Mal’ la suivit du regard avec des yeux ronds. Ah bah, qu’est-ce qu’elle fait ? Curieux, il voulut regarder à travers la vitre pour voir ce qu’elle mijotait, mais les bouquins lui bloquaient la vue. Rah, bah, d’un côté, il se doutait de ce qu’elle s’apprêtait à faire, sauf qu’il voulait le voir pour le croire. Si elle le faisait, ce serait trop gentil, et il ne saurait vraiment pas quoi dire. Oui oui, ce n’est pas encore arrivé mais il sait déjà comment ça va se passer ... tout simplement parce qu’il se connaît lui-même, non mais ! L’aiglon profita de ces cinq minutes de répit pour penser à ce qu’elle avait dit juste avant qu’il n’aperçoive le bouquin dans la vitrine. Il n’avait pas bien entendu, c’était quoi déjà ? ... Oh. Ah oui, cette question-là. Il allait lui dire la vérité, bien sur, mais n’était-ce pas un peu délicat, si ? Dire à sa petite amie qu’elle est la première ? Alors que elle, elle pense sûrement être la deuxième, troisième, quatrième ? Il n’y a pas de quoi avoir honte, mais ça lui ferait sûrement bizarre. Lui savait que la Serpentarde avait déjà eut des relations, notamment avec Maxime, et son meilleur ami Albus. Cette période-là avait été parmi les pires mois de sa vie. Pourquoi ? Parce que traînant toujours avec le Gryffondor, il se sentait obligé de trouver une excuse pour s’éloigner à chaque fois que Mélanie arrivait. Les voir s’embrasser et se câliner n’avait cessé de lui donner l’envie de déprimer. Il n’avait avoué à Albus qu’il était amoureux de Mel’ qu’après que ceux-ci aient rompu. Eh oui. Bon, maintenant, honnêtement, il ne pouvait pas se cacher que les voir se séparer l’avait bourré d’espoir.

Il fut sortit de ses souvenirs par Mélanie qui revenait, chargée du livre qu’elle lui tendit. L’aiglon le fixa, secoué. Il avait vu juste. Ptain que ça lui faisait plaisir. Il prit le livre, d’abord avec hésitation. Comment réagir ? C’était trop sympa de sa part !

« Joyeux anniversaire, mon grand chevalier. <3 »
« Ah, heu ... Mel’, fallait pas ... c’est super gentil. C’est un peu tôt, mais ... oh, et puis merci *__* »

D’abord, alors qu’elle lui tenait le poignet, il se contenta de la regarder. Ce qu’elle pouvait être jolie, avec ses cheveux de flammes et ses yeux sombres. Ces yeux ... il n’en avait jamais vu de pareil. Comment pouvait-on avoir des yeux presque noirs comme les siens ? Mais c’était beau, en fait, ce sombre qui brillait. Il fixa le livre, sourit à la jeune fille, et sans prévenir, la serra dans ses bras. Le simple fait de lui acheter ce bouquin que beaucoup de gens auraient envoyé valser par la fenêtre s’ils le recevaient en disait beaucoup, il le savait. Merci, merci, merci ! Il se détacha enfin d’elle, après quelques secondes, et prit le sac qu’il avait emporté au cas où avec lui pour y mettre soigneusement ce cadeau – il va le chérir, ce livre, soyez-en sûr – avant de le remettre sur son épaule, bien en place. Il allait le savourer. Oui bon, ça peut sembler difficile à croire, parce que personne ne s'intéresse autant à des trucs comme ça, mais lui, si, et Mélanie, d'une certaine manière, venait de l'accepter.

« Merci. Mais maintenant tu n’as plus aucune excuse pour que je ne t’offre pas quelque chose ! J’y tiens encore plus. »

Ils se remirent à marcher, tandis qu’il la serrait doucement d’un bras. Ce qu’il pouvait être heureux. Sauf qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question, et il ne voulait pas qu’elle se méfie à cause de ça. Elle risquait de s’imaginer des choses, non ? Il ne savait pas trop comment l’exprimer. Ce n’était pas bien dur, mais bon, Mal’ c’est Mal’, et Mal’ il y a des sujets qui ne le mettent pas spécialement à l’aise, comme les filles, et la famille. Mais parfois, ces sujets, on ne peut pas les éviter. A nouveau, il s’arrêta et se tourna vers elle, un sourire timide gravé sur le visage. Allez, lances-toi, c’est pas difficile de lui dire ‘Mélanie, en fait tu es ma première petite amie. Si si je te le jure’ quand même ! Allez, vas-y, inspire un grand coup et lances-toi, mon chou ! Et regardes-la quand tu lui parles. Le regard, c’est important.

« Je ... Je n’ai jamais ... »

Allez l’aiglon, tu n’as pas à te sentir gêné !

« Je n’ai jamais eut de petite amie. Tu es la première. En tous points. »

Et hop, voilà qu’il balance sa jambe et regarde par terre. OUI, tu es la première que j’ai embrassée ; OUI, je n’ai jamais fait l’amour ; OUI, tu es la première avec qui j’ai eut des câlins amoureux ; OUI, c’est mon premier rendez-vous romantique ; OUI, tu es la seule dont je sois tombé amoureux ; OUI, JE T’AIME. Oui bon, tout ça il ne le lui dit pas, mais il le pense très très fort. Aussi essaya-t-il que ça se voit dans ses yeux verts. Comprends, Mélanie, comprends que tu es plus qu’importante pour lui, parce que c’est toi qu’il a choisi pour découvrir ce monde tout neuf \o/

[Messages :]

Avant qu’il n’ait eut le temps de dire ‘ouf’, Mélanie avait déguerpit, après lui avoir dit de l’attendre là, ... dans le magasin. Mal’ la suivit du regard avec des yeux ronds. Ah bah, qu’est-ce qu’elle fait ? Curieux, il voulut regarder à travers la vitre pour voir ce qu’elle mijotait, mais les bouquins lui bloquaient la vue. Rah, bah, d’un côté, il se doutait de ce qu’elle s’apprêtait à faire, sauf qu’il voulait le voir pour le croire. Si elle le faisait, ce serait trop gentil, et il ne saurait vraiment pas quoi dire. Oui oui, ce n’est pas encore arrivé mais il sait déjà comment ça va se passer ... tout simplement parce qu’il se connaît lui-même, non mais ! L’aiglon profita de ces cinq minutes de répit pour penser à ce qu’elle avait dit juste avant qu’il n’aperçoive le bouquin dans la vitrine. Il n’avait pas bien entendu, c’était quoi déjà ? ... Oh. Ah oui, cette question-là. Il allait lui dire la vérité, bien sur, mais n’était-ce pas un peu délicat, si ? Dire à sa petite amie qu’elle est la première ? Alors que elle, elle pense sûrement être la deuxième, troisième, quatrième ? Il n’y a pas de quoi avoir honte, mais ça lui ferait sûrement bizarre. Lui savait que la Serpentarde avait déjà eut des relations, notamment avec Maxime, et son meilleur ami Albus. Cette période-là avait été parmi les pires mois de sa vie. Pourquoi ? Parce que traînant toujours avec le Gryffondor, il se sentait obligé de trouver une excuse pour s’éloigner à chaque fois que Mélanie arrivait. Les voir s’embrasser et se câliner n’avait cessé de lui donner l’envie de déprimer. Il n’avait avoué à Albus qu’il était amoureux de Mel’ qu’après que ceux-ci aient rompu. Eh oui. Bon, maintenant, honnêtement, il ne pouvait pas se cacher que les voir se séparer l’avait bourré d’espoir.

Il fut sortit de ses souvenirs par Mélanie qui revenait, chargée du livre qu’elle lui tendit. L’aiglon le fixa, secoué. Il avait vu juste. Ptain que ça lui faisait plaisir. Il prit le livre, d’abord avec hésitation. Comment réagir ? C’était trop sympa de sa part !

« Joyeux anniversaire, mon grand chevalier. <3 »
« Ah, heu ... Mel’, fallait pas ... c’est super gentil. C’est un peu tôt, mais ... oh, et puis merci *__* »

D’abord, alors qu’elle lui tenait le poignet, il se contenta de la regarder. Ce qu’elle pouvait être jolie, avec ses cheveux de flammes et ses yeux sombres. Ces yeux ... il n’en avait jamais vu de pareil. Comment pouvait-on avoir des yeux presque noirs comme les siens ? Mais c’était beau, en fait, ce sombre qui brillait. Il fixa le livre, sourit à la jeune fille, et sans prévenir, la serra dans ses bras. Le simple fait de lui acheter ce bouquin que beaucoup de gens auraient envoyé valser par la fenêtre s’ils le recevaient en disait beaucoup, il le savait. Merci, merci, merci ! Il se détacha enfin d’elle, après quelques secondes, et prit le sac qu’il avait emporté au cas où avec lui pour y mettre soigneusement ce cadeau – il va le chérir, ce livre, soyez-en sûr – avant de le remettre sur son épaule, bien en place. Il allait le savourer. Oui bon, ça peut sembler difficile à croire, parce que personne ne s'intéresse autant à des trucs comme ça, mais lui, si, et Mélanie, d'une certaine manière, venait de l'accepter.

« Merci. Mais maintenant tu n’as plus aucune excuse pour que je ne t’offre pas quelque chose ! J’y tiens encore plus. »

Ils se remirent à marcher, tandis qu’il la serrait doucement d’un bras. Ce qu’il pouvait être heureux. Sauf qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question, et il ne voulait pas qu’elle se méfie à cause de ça. Elle risquait de s’imaginer des choses, non ? Il ne savait pas trop comment l’exprimer. Ce n’était pas bien dur, mais bon, Mal’ c’est Mal’, et Mal’ il y a des sujets qui ne le mettent pas spécialement à l’aise, comme les filles, et la famille. Mais parfois, ces sujets, on ne peut pas les éviter. A nouveau, il s’arrêta et se tourna vers elle, un sourire timide gravé sur le visage. Allez, lances-toi, c’est pas difficile de lui dire ‘Mélanie, en fait tu es ma première petite amie. Si si je te le jure’ quand même ! Allez, vas-y, inspire un grand coup et lances-toi, mon chou ! Et regardes-la quand tu lui parles. Le regard, c’est important.

« Je ... Je n’ai jamais ... »

Allez l’aiglon, tu n’as pas à te sentir gêné !

« Je n’ai jamais eut de petite amie. Tu es la première. En tous points. »

Et hop, voilà qu’il balance sa jambe et regarde par terre. OUI, tu es la première que j’ai embrassée ; OUI, je n’ai jamais fait l’amour ; OUI, tu es la première avec qui j’ai eut des câlins amoureux ; OUI, c’est mon premier rendez-vous romantique ; OUI, tu es la seule dont je sois tombé amoureux ; OUI, JE T’AIME. Oui bon, tout ça il ne le lui dit pas, mais il le pense très très fort. Aussi essaya-t-il que ça se voit dans ses yeux verts. Comprends, Mélanie, comprends que tu es plus qu’importante pour lui, parce que c’est toi qu’il a choisi pour découvrir ce monde tout neuf \o/

[Points :]

Avant qu’il n’ait eut le temps de dire ‘ouf’, Mélanie avait déguerpit, après lui avoir dit de l’attendre là, ... dans le magasin. Mal’ la suivit du regard avec des yeux ronds. Ah bah, qu’est-ce qu’elle fait ? Curieux, il voulut regarder à travers la vitre pour voir ce qu’elle mijotait, mais les bouquins lui bloquaient la vue. Rah, bah, d’un côté, il se doutait de ce qu’elle s’apprêtait à faire, sauf qu’il voulait le voir pour le croire. Si elle le faisait, ce serait trop gentil, et il ne saurait vraiment pas quoi dire. Oui oui, ce n’est pas encore arrivé mais il sait déjà comment ça va se passer ... tout simplement parce qu’il se connaît lui-même, non mais ! L’aiglon profita de ces cinq minutes de répit pour penser à ce qu’elle avait dit juste avant qu’il n’aperçoive le bouquin dans la vitrine. Il n’avait pas bien entendu, c’était quoi déjà ? ... Oh. Ah oui, cette question-là. Il allait lui dire la vérité, bien sur, mais n’était-ce pas un peu délicat, si ? Dire à sa petite amie qu’elle est la première ? Alors que elle, elle pense sûrement être la deuxième, troisième, quatrième ? Il n’y a pas de quoi avoir honte, mais ça lui ferait sûrement bizarre. Lui savait que la Serpentarde avait déjà eut des relations, notamment avec Maxime, et son meilleur ami Albus. Cette période-là avait été parmi les pires mois de sa vie. Pourquoi ? Parce que traînant toujours avec le Gryffondor, il se sentait obligé de trouver une excuse pour s’éloigner à chaque fois que Mélanie arrivait. Les voir s’embrasser et se câliner n’avait cessé de lui donner l’envie de déprimer. Il n’avait avoué à Albus qu’il était amoureux de Mel’ qu’après que ceux-ci aient rompu. Eh oui. Bon, maintenant, honnêtement, il ne pouvait pas se cacher que les voir se séparer l’avait bourré d’espoir.

Il fut sortit de ses souvenirs par Mélanie qui revenait, chargée du livre qu’elle lui tendit. L’aiglon le fixa, secoué. Il avait vu juste. Ptain que ça lui faisait plaisir. Il prit le livre, d’abord avec hésitation. Comment réagir ? C’était trop sympa de sa part !

« Joyeux anniversaire, mon grand chevalier. <3 »
« Ah, heu ... Mel’, fallait pas ... c’est super gentil. C’est un peu tôt, mais ... oh, et puis merci *__* »

D’abord, alors qu’elle lui tenait le poignet, il se contenta de la regarder. Ce qu’elle pouvait être jolie, avec ses cheveux de flammes et ses yeux sombres. Ces yeux ... il n’en avait jamais vu de pareil. Comment pouvait-on avoir des yeux presque noirs comme les siens ? Mais c’était beau, en fait, ce sombre qui brillait. Il fixa le livre, sourit à la jeune fille, et sans prévenir, la serra dans ses bras. Le simple fait de lui acheter ce bouquin que beaucoup de gens auraient envoyé valser par la fenêtre s’ils le recevaient en disait beaucoup, il le savait. Merci, merci, merci ! Il se détacha enfin d’elle, après quelques secondes, et prit le sac qu’il avait emporté au cas où avec lui pour y mettre soigneusement ce cadeau – il va le chérir, ce livre, soyez-en sûr – avant de le remettre sur son épaule, bien en place. Il allait le savourer. Oui bon, ça peut sembler difficile à croire, parce que personne ne s'intéresse autant à des trucs comme ça, mais lui, si, et Mélanie, d'une certaine manière, venait de l'accepter.

« Merci. Mais maintenant tu n’as plus aucune excuse pour que je ne t’offre pas quelque chose ! J’y tiens encore plus. »

Ils se remirent à marcher, tandis qu’il la serrait doucement d’un bras. Ce qu’il pouvait être heureux. Sauf qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question, et il ne voulait pas qu’elle se méfie à cause de ça. Elle risquait de s’imaginer des choses, non ? Il ne savait pas trop comment l’exprimer. Ce n’était pas bien dur, mais bon, Mal’ c’est Mal’, et Mal’ il y a des sujets qui ne le mettent pas spécialement à l’aise, comme les filles, et la famille. Mais parfois, ces sujets, on ne peut pas les éviter. A nouveau, il s’arrêta et se tourna vers elle, un sourire timide gravé sur le visage. Allez, lances-toi, c’est pas difficile de lui dire ‘Mélanie, en fait tu es ma première petite amie. Si si je te le jure’ quand même ! Allez, vas-y, inspire un grand coup et lances-toi, mon chou ! Et regardes-la quand tu lui parles. Le regard, c’est important.

« Je ... Je n’ai jamais ... »

Allez l’aiglon, tu n’as pas à te sentir gêné !

« Je n’ai jamais eut de petite amie. Tu es la première. En tous points. »

Et hop, voilà qu’il balance sa jambe et regarde par terre. OUI, tu es la première que j’ai embrassée ; OUI, je n’ai jamais fait l’amour ; OUI, tu es la première avec qui j’ai eut des câlins amoureux ; OUI, c’est mon premier rendez-vous romantique ; OUI, tu es la seule dont je sois tombé amoureux ; OUI, JE T’AIME. Oui bon, tout ça il ne le lui dit pas, mais il le pense très très fort. Aussi essaya-t-il que ça se voit dans ses yeux verts. Comprends, Mélanie, comprends que tu es plus qu’importante pour lui, parce que c’est toi qu’il a choisi pour découvrir ce monde tout neuf \o/

[Avatar :]

Avant qu’il n’ait eut le temps de dire ‘ouf’, Mélanie avait déguerpit, après lui avoir dit de l’attendre là, ... dans le magasin. Mal’ la suivit du regard avec des yeux ronds. Ah bah, qu’est-ce qu’elle fait ? Curieux, il voulut regarder à travers la vitre pour voir ce qu’elle mijotait, mais les bouquins lui bloquaient la vue. Rah, bah, d’un côté, il se doutait de ce qu’elle s’apprêtait à faire, sauf qu’il voulait le voir pour le croire. Si elle le faisait, ce serait trop gentil, et il ne saurait vraiment pas quoi dire. Oui oui, ce n’est pas encore arrivé mais il sait déjà comment ça va se passer ... tout simplement parce qu’il se connaît lui-même, non mais ! L’aiglon profita de ces cinq minutes de répit pour penser à ce qu’elle avait dit juste avant qu’il n’aperçoive le bouquin dans la vitrine. Il n’avait pas bien entendu, c’était quoi déjà ? ... Oh. Ah oui, cette question-là. Il allait lui dire la vérité, bien sur, mais n’était-ce pas un peu délicat, si ? Dire à sa petite amie qu’elle est la première ? Alors que elle, elle pense sûrement être la deuxième, troisième, quatrième ? Il n’y a pas de quoi avoir honte, mais ça lui ferait sûrement bizarre. Lui savait que la Serpentarde avait déjà eut des relations, notamment avec Maxime, et son meilleur ami Albus. Cette période-là avait été parmi les pires mois de sa vie. Pourquoi ? Parce que traînant toujours avec le Gryffondor, il se sentait obligé de trouver une excuse pour s’éloigner à chaque fois que Mélanie arrivait. Les voir s’embrasser et se câliner n’avait cessé de lui donner l’envie de déprimer. Il n’avait avoué à Albus qu’il était amoureux de Mel’ qu’après que ceux-ci aient rompu. Eh oui. Bon, maintenant, honnêtement, il ne pouvait pas se cacher que les voir se séparer l’avait bourré d’espoir.

Il fut sortit de ses souvenirs par Mélanie qui revenait, chargée du livre qu’elle lui tendit. L’aiglon le fixa, secoué. Il avait vu juste. Ptain que ça lui faisait plaisir. Il prit le livre, d’abord avec hésitation. Comment réagir ? C’était trop sympa de sa part !

« Joyeux anniversaire, mon grand chevalier. <3 »
« Ah, heu ... Mel’, fallait pas ... c’est super gentil. C’est un peu tôt, mais ... oh, et puis merci *__* »

D’abord, alors qu’elle lui tenait le poignet, il se contenta de la regarder. Ce qu’elle pouvait être jolie, avec ses cheveux de flammes et ses yeux sombres. Ces yeux ... il n’en avait jamais vu de pareil. Comment pouvait-on avoir des yeux presque noirs comme les siens ? Mais c’était beau, en fait, ce sombre qui brillait. Il fixa le livre, sourit à la jeune fille, et sans prévenir, la serra dans ses bras. Le simple fait de lui acheter ce bouquin que beaucoup de gens auraient envoyé valser par la fenêtre s’ils le recevaient en disait beaucoup, il le savait. Merci, merci, merci ! Il se détacha enfin d’elle, après quelques secondes, et prit le sac qu’il avait emporté au cas où avec lui pour y mettre soigneusement ce cadeau – il va le chérir, ce livre, soyez-en sûr – avant de le remettre sur son épaule, bien en place. Il allait le savourer. Oui bon, ça peut sembler difficile à croire, parce que personne ne s'intéresse autant à des trucs comme ça, mais lui, si, et Mélanie, d'une certaine manière, venait de l'accepter.

« Merci. Mais maintenant tu n’as plus aucune excuse pour que je ne t’offre pas quelque chose ! J’y tiens encore plus. »

Ils se remirent à marcher, tandis qu’il la serrait doucement d’un bras. Ce qu’il pouvait être heureux. Sauf qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question, et il ne voulait pas qu’elle se méfie à cause de ça. Elle risquait de s’imaginer des choses, non ? Il ne savait pas trop comment l’exprimer. Ce n’était pas bien dur, mais bon, Mal’ c’est Mal’, et Mal’ il y a des sujets qui ne le mettent pas spécialement à l’aise, comme les filles, et la famille. Mais parfois, ces sujets, on ne peut pas les éviter. A nouveau, il s’arrêta et se tourna vers elle, un sourire timide gravé sur le visage. Allez, lances-toi, c’est pas difficile de lui dire ‘Mélanie, en fait tu es ma première petite amie. Si si je te le jure’ quand même ! Allez, vas-y, inspire un grand coup et lances-toi, mon chou ! Et regardes-la quand tu lui parles. Le regard, c’est important.

« Je ... Je n’ai jamais ... »

Allez l’aiglon, tu n’as pas à te sentir gêné !

« Je n’ai jamais eut de petite amie. Tu es la première. En tous points. »

Et hop, voilà qu’il balance sa jambe et regarde par terre. OUI, tu es la première que j’ai embrassée ; OUI, je n’ai jamais fait l’amour ; OUI, tu es la première avec qui j’ai eut des câlins amoureux ; OUI, c’est mon premier rendez-vous romantique ; OUI, tu es la seule dont je sois tombé amoureux ; OUI, JE T’AIME. Oui bon, tout ça il ne le lui dit pas, mais il le pense très très fort. Aussi essaya-t-il que ça se voit dans ses yeux verts. Comprends, Mélanie, comprends que tu es plus qu’importante pour lui, parce que c’est toi qu’il a choisi pour découvrir ce monde tout neuf \o/

[Crédits :]

Avant qu’il n’ait eut le temps de dire ‘ouf’, Mélanie avait déguerpit, après lui avoir dit de l’attendre là, ... dans le magasin. Mal’ la suivit du regard avec des yeux ronds. Ah bah, qu’est-ce qu’elle fait ? Curieux, il voulut regarder à travers la vitre pour voir ce qu’elle mijotait, mais les bouquins lui bloquaient la vue. Rah, bah, d’un côté, il se doutait de ce qu’elle s’apprêtait à faire, sauf qu’il voulait le voir pour le croire. Si elle le faisait, ce serait trop gentil, et il ne saurait vraiment pas quoi dire. Oui oui, ce n’est pas encore arrivé mais il sait déjà comment ça va se passer ... tout simplement parce qu’il se connaît lui-même, non mais ! L’aiglon profita de ces cinq minutes de répit pour penser à ce qu’elle avait dit juste avant qu’il n’aperçoive le bouquin dans la vitrine. Il n’avait pas bien entendu, c’était quoi déjà ? ... Oh. Ah oui, cette question-là. Il allait lui dire la vérité, bien sur, mais n’était-ce pas un peu délicat, si ? Dire à sa petite amie qu’elle est la première ? Alors que elle, elle pense sûrement être la deuxième, troisième, quatrième ? Il n’y a pas de quoi avoir honte, mais ça lui ferait sûrement bizarre. Lui savait que la Serpentarde avait déjà eut des relations, notamment avec Maxime, et son meilleur ami Albus. Cette période-là avait été parmi les pires mois de sa vie. Pourquoi ? Parce que traînant toujours avec le Gryffondor, il se sentait obligé de trouver une excuse pour s’éloigner à chaque fois que Mélanie arrivait. Les voir s’embrasser et se câliner n’avait cessé de lui donner l’envie de déprimer. Il n’avait avoué à Albus qu’il était amoureux de Mel’ qu’après que ceux-ci aient rompu. Eh oui. Bon, maintenant, honnêtement, il ne pouvait pas se cacher que les voir se séparer l’avait bourré d’espoir.

Il fut sortit de ses souvenirs par Mélanie qui revenait, chargée du livre qu’elle lui tendit. L’aiglon le fixa, secoué. Il avait vu juste. Ptain que ça lui faisait plaisir. Il prit le livre, d’abord avec hésitation. Comment réagir ? C’était trop sympa de sa part !

« Joyeux anniversaire, mon grand chevalier. <3 »
« Ah, heu ... Mel’, fallait pas ... c’est super gentil. C’est un peu tôt, mais ... oh, et puis merci *__* »

D’abord, alors qu’elle lui tenait le poignet, il se contenta de la regarder. Ce qu’elle pouvait être jolie, avec ses cheveux de flammes et ses yeux sombres. Ces yeux ... il n’en avait jamais vu de pareil. Comment pouvait-on avoir des yeux presque noirs comme les siens ? Mais c’était beau, en fait, ce sombre qui brillait. Il fixa le livre, sourit à la jeune fille, et sans prévenir, la serra dans ses bras. Le simple fait de lui acheter ce bouquin que beaucoup de gens auraient envoyé valser par la fenêtre s’ils le recevaient en disait beaucoup, il le savait. Merci, merci, merci ! Il se détacha enfin d’elle, après quelques secondes, et prit le sac qu’il avait emporté au cas où avec lui pour y mettre soigneusement ce cadeau – il va le chérir, ce livre, soyez-en sûr – avant de le remettre sur son épaule, bien en place. Il allait le savourer. Oui bon, ça peut sembler difficile à croire, parce que personne ne s'intéresse autant à des trucs comme ça, mais lui, si, et Mélanie, d'une certaine manière, venait de l'accepter.

« Merci. Mais maintenant tu n’as plus aucune excuse pour que je ne t’offre pas quelque chose ! J’y tiens encore plus. »

Ils se remirent à marcher, tandis qu’il la serrait doucement d’un bras. Ce qu’il pouvait être heureux. Sauf qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question, et il ne voulait pas qu’elle se méfie à cause de ça. Elle risquait de s’imaginer des choses, non ? Il ne savait pas trop comment l’exprimer. Ce n’était pas bien dur, mais bon, Mal’ c’est Mal’, et Mal’ il y a des sujets qui ne le mettent pas spécialement à l’aise, comme les filles, et la famille. Mais parfois, ces sujets, on ne peut pas les éviter. A nouveau, il s’arrêta et se tourna vers elle, un sourire timide gravé sur le visage. Allez, lances-toi, c’est pas difficile de lui dire ‘Mélanie, en fait tu es ma première petite amie. Si si je te le jure’ quand même ! Allez, vas-y, inspire un grand coup et lances-toi, mon chou ! Et regardes-la quand tu lui parles. Le regard, c’est important.

« Je ... Je n’ai jamais ... »

Allez l’aiglon, tu n’as pas à te sentir gêné !

« Je n’ai jamais eut de petite amie. Tu es la première. En tous points. »

Et hop, voilà qu’il balance sa jambe et regarde par terre. OUI, tu es la première que j’ai embrassée ; OUI, je n’ai jamais fait l’amour ; OUI, tu es la première avec qui j’ai eut des câlins amoureux ; OUI, c’est mon premier rendez-vous romantique ; OUI, tu es la seule dont je sois tombé amoureux ; OUI, JE T’AIME. Oui bon, tout ça il ne le lui dit pas, mais il le pense très très fort. Aussi essaya-t-il que ça se voit dans ses yeux verts. Comprends, Mélanie, comprends que tu es plus qu’importante pour lui, parce que c’est toi qu’il a choisi pour découvrir ce monde tout neuf \o/

[Age RPG :]

Avant qu’il n’ait eut le temps de dire ‘ouf’, Mélanie avait déguerpit, après lui avoir dit de l’attendre là, ... dans le magasin. Mal’ la suivit du regard avec des yeux ronds. Ah bah, qu’est-ce qu’elle fait ? Curieux, il voulut regarder à travers la vitre pour voir ce qu’elle mijotait, mais les bouquins lui bloquaient la vue. Rah, bah, d’un côté, il se doutait de ce qu’elle s’apprêtait à faire, sauf qu’il voulait le voir pour le croire. Si elle le faisait, ce serait trop gentil, et il ne saurait vraiment pas quoi dire. Oui oui, ce n’est pas encore arrivé mais il sait déjà comment ça va se passer ... tout simplement parce qu’il se connaît lui-même, non mais ! L’aiglon profita de ces cinq minutes de répit pour penser à ce qu’elle avait dit juste avant qu’il n’aperçoive le bouquin dans la vitrine. Il n’avait pas bien entendu, c’était quoi déjà ? ... Oh. Ah oui, cette question-là. Il allait lui dire la vérité, bien sur, mais n’était-ce pas un peu délicat, si ? Dire à sa petite amie qu’elle est la première ? Alors que elle, elle pense sûrement être la deuxième, troisième, quatrième ? Il n’y a pas de quoi avoir honte, mais ça lui ferait sûrement bizarre. Lui savait que la Serpentarde avait déjà eut des relations, notamment avec Maxime, et son meilleur ami Albus. Cette période-là avait été parmi les pires mois de sa vie. Pourquoi ? Parce que traînant toujours avec le Gryffondor, il se sentait obligé de trouver une excuse pour s’éloigner à chaque fois que Mélanie arrivait. Les voir s’embrasser et se câliner n’avait cessé de lui donner l’envie de déprimer. Il n’avait avoué à Albus qu’il était amoureux de Mel’ qu’après que ceux-ci aient rompu. Eh oui. Bon, maintenant, honnêtement, il ne pouvait pas se cacher que les voir se séparer l’avait bourré d’espoir.

Il fut sortit de ses souvenirs par Mélanie qui revenait, chargée du livre qu’elle lui tendit. L’aiglon le fixa, secoué. Il avait vu juste. Ptain que ça lui faisait plaisir. Il prit le livre, d’abord avec hésitation. Comment réagir ? C’était trop sympa de sa part !

« Joyeux anniversaire, mon grand chevalier. <3 »
« Ah, heu ... Mel’, fallait pas ... c’est super gentil. C’est un peu tôt, mais ... oh, et puis merci *__* »

D’abord, alors qu’elle lui tenait le poignet, il se contenta de la regarder. Ce qu’elle pouvait être jolie, avec ses cheveux de flammes et ses yeux sombres. Ces yeux ... il n’en avait jamais vu de pareil. Comment pouvait-on avoir des yeux presque noirs comme les siens ? Mais c’était beau, en fait, ce sombre qui brillait. Il fixa le livre, sourit à la jeune fille, et sans prévenir, la serra dans ses bras. Le simple fait de lui acheter ce bouquin que beaucoup de gens auraient envoyé valser par la fenêtre s’ils le recevaient en disait beaucoup, il le savait. Merci, merci, merci ! Il se détacha enfin d’elle, après quelques secondes, et prit le sac qu’il avait emporté au cas où avec lui pour y mettre soigneusement ce cadeau – il va le chérir, ce livre, soyez-en sûr – avant de le remettre sur son épaule, bien en place. Il allait le savourer. Oui bon, ça peut sembler difficile à croire, parce que personne ne s'intéresse autant à des trucs comme ça, mais lui, si, et Mélanie, d'une certaine manière, venait de l'accepter.

« Merci. Mais maintenant tu n’as plus aucune excuse pour que je ne t’offre pas quelque chose ! J’y tiens encore plus. »

Ils se remirent à marcher, tandis qu’il la serrait doucement d’un bras. Ce qu’il pouvait être heureux. Sauf qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question, et il ne voulait pas qu’elle se méfie à cause de ça. Elle risquait de s’imaginer des choses, non ? Il ne savait pas trop comment l’exprimer. Ce n’était pas bien dur, mais bon, Mal’ c’est Mal’, et Mal’ il y a des sujets qui ne le mettent pas spécialement à l’aise, comme les filles, et la famille. Mais parfois, ces sujets, on ne peut pas les éviter. A nouveau, il s’arrêta et se tourna vers elle, un sourire timide gravé sur le visage. Allez, lances-toi, c’est pas difficile de lui dire ‘Mélanie, en fait tu es ma première petite amie. Si si je te le jure’ quand même ! Allez, vas-y, inspire un grand coup et lances-toi, mon chou ! Et regardes-la quand tu lui parles. Le regard, c’est important.

« Je ... Je n’ai jamais ... »

Allez l’aiglon, tu n’as pas à te sentir gêné !

« Je n’ai jamais eut de petite amie. Tu es la première. En tous points. »

Et hop, voilà qu’il balance sa jambe et regarde par terre. OUI, tu es la première que j’ai embrassée ; OUI, je n’ai jamais fait l’amour ; OUI, tu es la première avec qui j’ai eut des câlins amoureux ; OUI, c’est mon premier rendez-vous romantique ; OUI, tu es la seule dont je sois tombé amoureux ; OUI, JE T’AIME. Oui bon, tout ça il ne le lui dit pas, mais il le pense très très fort. Aussi essaya-t-il que ça se voit dans ses yeux verts. Comprends, Mélanie, comprends que tu es plus qu’importante pour lui, parce que c’est toi qu’il a choisi pour découvrir ce monde tout neuf \o/

[Sang :]

Avant qu’il n’ait eut le temps de dire ‘ouf’, Mélanie avait déguerpit, après lui avoir dit de l’attendre là, ... dans le magasin. Mal’ la suivit du regard avec des yeux ronds. Ah bah, qu’est-ce qu’elle fait ? Curieux, il voulut regarder à travers la vitre pour voir ce qu’elle mijotait, mais les bouquins lui bloquaient la vue. Rah, bah, d’un côté, il se doutait de ce qu’elle s’apprêtait à faire, sauf qu’il voulait le voir pour le croire. Si elle le faisait, ce serait trop gentil, et il ne saurait vraiment pas quoi dire. Oui oui, ce n’est pas encore arrivé mais il sait déjà comment ça va se passer ... tout simplement parce qu’il se connaît lui-même, non mais ! L’aiglon profita de ces cinq minutes de répit pour penser à ce qu’elle avait dit juste avant qu’il n’aperçoive le bouquin dans la vitrine. Il n’avait pas bien entendu, c’était quoi déjà ? ... Oh. Ah oui, cette question-là. Il allait lui dire la vérité, bien sur, mais n’était-ce pas un peu délicat, si ? Dire à sa petite amie qu’elle est la première ? Alors que elle, elle pense sûrement être la deuxième, troisième, quatrième ? Il n’y a pas de quoi avoir honte, mais ça lui ferait sûrement bizarre. Lui savait que la Serpentarde avait déjà eut des relations, notamment avec Maxime, et son meilleur ami Albus. Cette période-là avait été parmi les pires mois de sa vie. Pourquoi ? Parce que traînant toujours avec le Gryffondor, il se sentait obligé de trouver une excuse pour s’éloigner à chaque fois que Mélanie arrivait. Les voir s’embrasser et se câliner n’avait cessé de lui donner l’envie de déprimer. Il n’avait avoué à Albus qu’il était amoureux de Mel’ qu’après que ceux-ci aient rompu. Eh oui. Bon, maintenant, honnêtement, il ne pouvait pas se cacher que les voir se séparer l’avait bourré d’espoir.

Il fut sortit de ses souvenirs par Mélanie qui revenait, chargée du livre qu’elle lui tendit. L’aiglon le fixa, secoué. Il avait vu juste. Ptain que ça lui faisait plaisir. Il prit le livre, d’abord avec hésitation. Comment réagir ? C’était trop sympa de sa part !

« Joyeux anniversaire, mon grand chevalier. <3 »
« Ah, heu ... Mel’, fallait pas ... c’est super gentil. C’est un peu tôt, mais ... oh, et puis merci *__* »

D’abord, alors qu’elle lui tenait le poignet, il se contenta de la regarder. Ce qu’elle pouvait être jolie, avec ses cheveux de flammes et ses yeux sombres. Ces yeux ... il n’en avait jamais vu de pareil. Comment pouvait-on avoir des yeux presque noirs comme les siens ? Mais c’était beau, en fait, ce sombre qui brillait. Il fixa le livre, sourit à la jeune fille, et sans prévenir, la serra dans ses bras. Le simple fait de lui acheter ce bouquin que beaucoup de gens auraient envoyé valser par la fenêtre s’ils le recevaient en disait beaucoup, il le savait. Merci, merci, merci ! Il se détacha enfin d’elle, après quelques secondes, et prit le sac qu’il avait emporté au cas où avec lui pour y mettre soigneusement ce cadeau – il va le chérir, ce livre, soyez-en sûr – avant de le remettre sur son épaule, bien en place. Il allait le savourer. Oui bon, ça peut sembler difficile à croire, parce que personne ne s'intéresse autant à des trucs comme ça, mais lui, si, et Mélanie, d'une certaine manière, venait de l'accepter.

« Merci. Mais maintenant tu n’as plus aucune excuse pour que je ne t’offre pas quelque chose ! J’y tiens encore plus. »

Ils se remirent à marcher, tandis qu’il la serrait doucement d’un bras. Ce qu’il pouvait être heureux. Sauf qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question, et il ne voulait pas qu’elle se méfie à cause de ça. Elle risquait de s’imaginer des choses, non ? Il ne savait pas trop comment l’exprimer. Ce n’était pas bien dur, mais bon, Mal’ c’est Mal’, et Mal’ il y a des sujets qui ne le mettent pas spécialement à l’aise, comme les filles, et la famille. Mais parfois, ces sujets, on ne peut pas les éviter. A nouveau, il s’arrêta et se tourna vers elle, un sourire timide gravé sur le visage. Allez, lances-toi, c’est pas difficile de lui dire ‘Mélanie, en fait tu es ma première petite amie. Si si je te le jure’ quand même ! Allez, vas-y, inspire un grand coup et lances-toi, mon chou ! Et regardes-la quand tu lui parles. Le regard, c’est important.

« Je ... Je n’ai jamais ... »

Allez l’aiglon, tu n’as pas à te sentir gêné !

« Je n’ai jamais eut de petite amie. Tu es la première. En tous points. »

Et hop, voilà qu’il balance sa jambe et regarde par terre. OUI, tu es la première que j’ai embrassée ; OUI, je n’ai jamais fait l’amour ; OUI, tu es la première avec qui j’ai eut des câlins amoureux ; OUI, c’est mon premier rendez-vous romantique ; OUI, tu es la seule dont je sois tombé amoureux ; OUI, JE T’AIME. Oui bon, tout ça il ne le lui dit pas, mais il le pense très très fort. Aussi essaya-t-il que ça se voit dans ses yeux verts. Comprends, Mélanie, comprends que tu es plus qu’importante pour lui, parce que c’est toi qu’il a choisi pour découvrir ce monde tout neuf \o/

[Camp :]

Avant qu’il n’ait eut le temps de dire ‘ouf’, Mélanie avait déguerpit, après lui avoir dit de l’attendre là, ... dans le magasin. Mal’ la suivit du regard avec des yeux ronds. Ah bah, qu’est-ce qu’elle fait ? Curieux, il voulut regarder à travers la vitre pour voir ce qu’elle mijotait, mais les bouquins lui bloquaient la vue. Rah, bah, d’un côté, il se doutait de ce qu’elle s’apprêtait à faire, sauf qu’il voulait le voir pour le croire. Si elle le faisait, ce serait trop gentil, et il ne saurait vraiment pas quoi dire. Oui oui, ce n’est pas encore arrivé mais il sait déjà comment ça va se passer ... tout simplement parce qu’il se connaît lui-même, non mais ! L’aiglon profita de ces cinq minutes de répit pour penser à ce qu’elle avait dit juste avant qu’il n’aperçoive le bouquin dans la vitrine. Il n’avait pas bien entendu, c’était quoi déjà ? ... Oh. Ah oui, cette question-là. Il allait lui dire la vérité, bien sur, mais n’était-ce pas un peu délicat, si ? Dire à sa petite amie qu’elle est la première ? Alors que elle, elle pense sûrement être la deuxième, troisième, quatrième ? Il n’y a pas de quoi avoir honte, mais ça lui ferait sûrement bizarre. Lui savait que la Serpentarde avait déjà eut des relations, notamment avec Maxime, et son meilleur ami Albus. Cette période-là avait été parmi les pires mois de sa vie. Pourquoi ? Parce que traînant toujours avec le Gryffondor, il se sentait obligé de trouver une excuse pour s’éloigner à chaque fois que Mélanie arrivait. Les voir s’embrasser et se câliner n’avait cessé de lui donner l’envie de déprimer. Il n’avait avoué à Albus qu’il était amoureux de Mel’ qu’après que ceux-ci aient rompu. Eh oui. Bon, maintenant, honnêtement, il ne pouvait pas se cacher que les voir se séparer l’avait bourré d’espoir.

Il fut sortit de ses souvenirs par Mélanie qui revenait, chargée du livre qu’elle lui tendit. L’aiglon le fixa, secoué. Il avait vu juste. Ptain que ça lui faisait plaisir. Il prit le livre, d’abord avec hésitation. Comment réagir ? C’était trop sympa de sa part !

« Joyeux anniversaire, mon grand chevalier. <3 »
« Ah, heu ... Mel’, fallait pas ... c’est super gentil. C’est un peu tôt, mais ... oh, et puis merci *__* »

D’abord, alors qu’elle lui tenait le poignet, il se contenta de la regarder. Ce qu’elle pouvait être jolie, avec ses cheveux de flammes et ses yeux sombres. Ces yeux ... il n’en avait jamais vu de pareil. Comment pouvait-on avoir des yeux presque noirs comme les siens ? Mais c’était beau, en fait, ce sombre qui brillait. Il fixa le livre, sourit à la jeune fille, et sans prévenir, la serra dans ses bras. Le simple fait de lui acheter ce bouquin que beaucoup de gens auraient envoyé valser par la fenêtre s’ils le recevaient en disait beaucoup, il le savait. Merci, merci, merci ! Il se détacha enfin d’elle, après quelques secondes, et prit le sac qu’il avait emporté au cas où avec lui pour y mettre soigneusement ce cadeau – il va le chérir, ce livre, soyez-en sûr – avant de le remettre sur son épaule, bien en place. Il allait le savourer. Oui bon, ça peut sembler difficile à croire, parce que personne ne s'intéresse autant à des trucs comme ça, mais lui, si, et Mélanie, d'une certaine manière, venait de l'accepter.

« Merci. Mais maintenant tu n’as plus aucune excuse pour que je ne t’offre pas quelque chose ! J’y tiens encore plus. »

Ils se remirent à marcher, tandis qu’il la serrait doucement d’un bras. Ce qu’il pouvait être heureux. Sauf qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question, et il ne voulait pas qu’elle se méfie à cause de ça. Elle risquait de s’imaginer des choses, non ? Il ne savait pas trop comment l’exprimer. Ce n’était pas bien dur, mais bon, Mal’ c’est Mal’, et Mal’ il y a des sujets qui ne le mettent pas spécialement à l’aise, comme les filles, et la famille. Mais parfois, ces sujets, on ne peut pas les éviter. A nouveau, il s’arrêta et se tourna vers elle, un sourire timide gravé sur le visage. Allez, lances-toi, c’est pas difficile de lui dire ‘Mélanie, en fait tu es ma première petite amie. Si si je te le jure’ quand même ! Allez, vas-y, inspire un grand coup et lances-toi, mon chou ! Et regardes-la quand tu lui parles. Le regard, c’est important.

« Je ... Je n’ai jamais ... »

Allez l’aiglon, tu n’as pas à te sentir gêné !

« Je n’ai jamais eut de petite amie. Tu es la première. En tous points. »

Et hop, voilà qu’il balance sa jambe et regarde par terre. OUI, tu es la première que j’ai embrassée ; OUI, je n’ai jamais fait l’amour ; OUI, tu es la première avec qui j’ai eut des câlins amoureux ; OUI, c’est mon premier rendez-vous romantique ; OUI, tu es la seule dont je sois tombé amoureux ; OUI, JE T’AIME. Oui bon, tout ça il ne le lui dit pas, mais il le pense très très fort. Aussi essaya-t-il que ça se voit dans ses yeux verts. Comprends, Mélanie, comprends que tu es plus qu’importante pour lui, parce que c’est toi qu’il a choisi pour découvrir ce monde tout neuf \o/

[Vie du personnage :]

Avant qu’il n’ait eut le temps de dire ‘ouf’, Mélanie avait déguerpit, après lui avoir dit de l’attendre là, ... dans le magasin. Mal’ la suivit du regard avec des yeux ronds. Ah bah, qu’est-ce qu’elle fait ? Curieux, il voulut regarder à travers la vitre pour voir ce qu’elle mijotait, mais les bouquins lui bloquaient la vue. Rah, bah, d’un côté, il se doutait de ce qu’elle s’apprêtait à faire, sauf qu’il voulait le voir pour le croire. Si elle le faisait, ce serait trop gentil, et il ne saurait vraiment pas quoi dire. Oui oui, ce n’est pas encore arrivé mais il sait déjà comment ça va se passer ... tout simplement parce qu’il se connaît lui-même, non mais ! L’aiglon profita de ces cinq minutes de répit pour penser à ce qu’elle avait dit juste avant qu’il n’aperçoive le bouquin dans la vitrine. Il n’avait pas bien entendu, c’était quoi déjà ? ... Oh. Ah oui, cette question-là. Il allait lui dire la vérité, bien sur, mais n’était-ce pas un peu délicat, si ? Dire à sa petite amie qu’elle est la première ? Alors que elle, elle pense sûrement être la deuxième, troisième, quatrième ? Il n’y a pas de quoi avoir honte, mais ça lui ferait sûrement bizarre. Lui savait que la Serpentarde avait déjà eut des relations, notamment avec Maxime, et son meilleur ami Albus. Cette période-là avait été parmi les pires mois de sa vie. Pourquoi ? Parce que traînant toujours avec le Gryffondor, il se sentait obligé de trouver une excuse pour s’éloigner à chaque fois que Mélanie arrivait. Les voir s’embrasser et se câliner n’avait cessé de lui donner l’envie de déprimer. Il n’avait avoué à Albus qu’il était amoureux de Mel’ qu’après que ceux-ci aient rompu. Eh oui. Bon, maintenant, honnêtement, il ne pouvait pas se cacher que les voir se séparer l’avait bourré d’espoir.

Il fut sortit de ses souvenirs par Mélanie qui revenait, chargée du livre qu’elle lui tendit. L’aiglon le fixa, secoué. Il avait vu juste. Ptain que ça lui faisait plaisir. Il prit le livre, d’abord avec hésitation. Comment réagir ? C’était trop sympa de sa part !

« Joyeux anniversaire, mon grand chevalier. <3 »
« Ah, heu ... Mel’, fallait pas ... c’est super gentil. C’est un peu tôt, mais ... oh, et puis merci *__* »

D’abord, alors qu’elle lui tenait le poignet, il se contenta de la regarder. Ce qu’elle pouvait être jolie, avec ses cheveux de flammes et ses yeux sombres. Ces yeux ... il n’en avait jamais vu de pareil. Comment pouvait-on avoir des yeux presque noirs comme les siens ? Mais c’était beau, en fait, ce sombre qui brillait. Il fixa le livre, sourit à la jeune fille, et sans prévenir, la serra dans ses bras. Le simple fait de lui acheter ce bouquin que beaucoup de gens auraient envoyé valser par la fenêtre s’ils le recevaient en disait beaucoup, il le savait. Merci, merci, merci ! Il se détacha enfin d’elle, après quelques secondes, et prit le sac qu’il avait emporté au cas où avec lui pour y mettre soigneusement ce cadeau – il va le chérir, ce livre, soyez-en sûr – avant de le remettre sur son épaule, bien en place. Il allait le savourer. Oui bon, ça peut sembler difficile à croire, parce que personne ne s'intéresse autant à des trucs comme ça, mais lui, si, et Mélanie, d'une certaine manière, venait de l'accepter.

« Merci. Mais maintenant tu n’as plus aucune excuse pour que je ne t’offre pas quelque chose ! J’y tiens encore plus. »

Ils se remirent à marcher, tandis qu’il la serrait doucement d’un bras. Ce qu’il pouvait être heureux. Sauf qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question, et il ne voulait pas qu’elle se méfie à cause de ça. Elle risquait de s’imaginer des choses, non ? Il ne savait pas trop comment l’exprimer. Ce n’était pas bien dur, mais bon, Mal’ c’est Mal’, et Mal’ il y a des sujets qui ne le mettent pas spécialement à l’aise, comme les filles, et la famille. Mais parfois, ces sujets, on ne peut pas les éviter. A nouveau, il s’arrêta et se tourna vers elle, un sourire timide gravé sur le visage. Allez, lances-toi, c’est pas difficile de lui dire ‘Mélanie, en fait tu es ma première petite amie. Si si je te le jure’ quand même ! Allez, vas-y, inspire un grand coup et lances-toi, mon chou ! Et regardes-la quand tu lui parles. Le regard, c’est important.

« Je ... Je n’ai jamais ... »

Allez l’aiglon, tu n’as pas à te sentir gêné !

« Je n’ai jamais eut de petite amie. Tu es la première. En tous points. »

Et hop, voilà qu’il balance sa jambe et regarde par terre. OUI, tu es la première que j’ai embrassée ; OUI, je n’ai jamais fait l’amour ; OUI, tu es la première avec qui j’ai eut des câlins amoureux ; OUI, c’est mon premier rendez-vous romantique ; OUI, tu es la seule dont je sois tombé amoureux ; OUI, JE T’AIME. Oui bon, tout ça il ne le lui dit pas, mais il le pense très très fort. Aussi essaya-t-il que ça se voit dans ses yeux verts. Comprends, Mélanie, comprends que tu es plus qu’importante pour lui, parce que c’est toi qu’il a choisi pour découvrir ce monde tout neuf \o/

[Truc en plus :]

Avant qu’il n’ait eut le temps de dire ‘ouf’, Mélanie avait déguerpit, après lui avoir dit de l’attendre là, ... dans le magasin. Mal’ la suivit du regard avec des yeux ronds. Ah bah, qu’est-ce qu’elle fait ? Curieux, il voulut regarder à travers la vitre pour voir ce qu’elle mijotait, mais les bouquins lui bloquaient la vue. Rah, bah, d’un côté, il se doutait de ce qu’elle s’apprêtait à faire, sauf qu’il voulait le voir pour le croire. Si elle le faisait, ce serait trop gentil, et il ne saurait vraiment pas quoi dire. Oui oui, ce n’est pas encore arrivé mais il sait déjà comment ça va se passer ... tout simplement parce qu’il se connaît lui-même, non mais ! L’aiglon profita de ces cinq minutes de répit pour penser à ce qu’elle avait dit juste avant qu’il n’aperçoive le bouquin dans la vitrine. Il n’avait pas bien entendu, c’était quoi déjà ? ... Oh. Ah oui, cette question-là. Il allait lui dire la vérité, bien sur, mais n’était-ce pas un peu délicat, si ? Dire à sa petite amie qu’elle est la première ? Alors que elle, elle pense sûrement être la deuxième, troisième, quatrième ? Il n’y a pas de quoi avoir honte, mais ça lui ferait sûrement bizarre. Lui savait que la Serpentarde avait déjà eut des relations, notamment avec Maxime, et son meilleur ami Albus. Cette période-là avait été parmi les pires mois de sa vie. Pourquoi ? Parce que traînant toujours avec le Gryffondor, il se sentait obligé de trouver une excuse pour s’éloigner à chaque fois que Mélanie arrivait. Les voir s’embrasser et se câliner n’avait cessé de lui donner l’envie de déprimer. Il n’avait avoué à Albus qu’il était amoureux de Mel’ qu’après que ceux-ci aient rompu. Eh oui. Bon, maintenant, honnêtement, il ne pouvait pas se cacher que les voir se séparer l’avait bourré d’espoir.

Il fut sortit de ses souvenirs par Mélanie qui revenait, chargée du livre qu’elle lui tendit. L’aiglon le fixa, secoué. Il avait vu juste. Ptain que ça lui faisait plaisir. Il prit le livre, d’abord avec hésitation. Comment réagir ? C’était trop sympa de sa part !

« Joyeux anniversaire, mon grand chevalier. <3 »
« Ah, heu ... Mel’, fallait pas ... c’est super gentil. C’est un peu tôt, mais ... oh, et puis merci *__* »

D’abord, alors qu’elle lui tenait le poignet, il se contenta de la regarder. Ce qu’elle pouvait être jolie, avec ses cheveux de flammes et ses yeux sombres. Ces yeux ... il n’en avait jamais vu de pareil. Comment pouvait-on avoir des yeux presque noirs comme les siens ? Mais c’était beau, en fait, ce sombre qui brillait. Il fixa le livre, sourit à la jeune fille, et sans prévenir, la serra dans ses bras. Le simple fait de lui acheter ce bouquin que beaucoup de gens auraient envoyé valser par la fenêtre s’ils le recevaient en disait beaucoup, il le savait. Merci, merci, merci ! Il se détacha enfin d’elle, après quelques secondes, et prit le sac qu’il avait emporté au cas où avec lui pour y mettre soigneusement ce cadeau – il va le chérir, ce livre, soyez-en sûr – avant de le remettre sur son épaule, bien en place. Il allait le savourer. Oui bon, ça peut sembler difficile à croire, parce que personne ne s'intéresse autant à des trucs comme ça, mais lui, si, et Mélanie, d'une certaine manière, venait de l'accepter.

« Merci. Mais maintenant tu n’as plus aucune excuse pour que je ne t’offre pas quelque chose ! J’y tiens encore plus. »

Ils se remirent à marcher, tandis qu’il la serrait doucement d’un bras. Ce qu’il pouvait être heureux. Sauf qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question, et il ne voulait pas qu’elle se méfie à cause de ça. Elle risquait de s’imaginer des choses, non ? Il ne savait pas trop comment l’exprimer. Ce n’était pas bien dur, mais bon, Mal’ c’est Mal’, et Mal’ il y a des sujets qui ne le mettent pas spécialement à l’aise, comme les filles, et la famille. Mais parfois, ces sujets, on ne peut pas les éviter. A nouveau, il s’arrêta et se tourna vers elle, un sourire timide gravé sur le visage. Allez, lances-toi, c’est pas difficile de lui dire ‘Mélanie, en fait tu es ma première petite amie. Si si je te le jure’ quand même ! Allez, vas-y, inspire un grand coup et lances-toi, mon chou ! Et regardes-la quand tu lui parles. Le regard, c’est important.

« Je ... Je n’ai jamais ... »

Allez l’aiglon, tu n’as pas à te sentir gêné !

« Je n’ai jamais eut de petite amie. Tu es la première. En tous points. »

Et hop, voilà qu’il balance sa jambe et regarde par terre. OUI, tu es la première que j’ai embrassée ; OUI, je n’ai jamais fait l’amour ; OUI, tu es la première avec qui j’ai eut des câlins amoureux ; OUI, c’est mon premier rendez-vous romantique ; OUI, tu es la seule dont je sois tombé amoureux ; OUI, JE T’AIME. Oui bon, tout ça il ne le lui dit pas, mais il le pense très très fort. Aussi essaya-t-il que ça se voit dans ses yeux verts. Comprends, Mélanie, comprends que tu es plus qu’importante pour lui, parce que c’est toi qu’il a choisi pour découvrir ce monde tout neuf \o/

[Doubles-Comptes :]

Avant qu’il n’ait eut le temps de dire ‘ouf’, Mélanie avait déguerpit, après lui avoir dit de l’attendre là, ... dans le magasin. Mal’ la suivit du regard avec des yeux ronds. Ah bah, qu’est-ce qu’elle fait ? Curieux, il voulut regarder à travers la vitre pour voir ce qu’elle mijotait, mais les bouquins lui bloquaient la vue. Rah, bah, d’un côté, il se doutait de ce qu’elle s’apprêtait à faire, sauf qu’il voulait le voir pour le croire. Si elle le faisait, ce serait trop gentil, et il ne saurait vraiment pas quoi dire. Oui oui, ce n’est pas encore arrivé mais il sait déjà comment ça va se passer ... tout simplement parce qu’il se connaît lui-même, non mais ! L’aiglon profita de ces cinq minutes de répit pour penser à ce qu’elle avait dit juste avant qu’il n’aperçoive le bouquin dans la vitrine. Il n’avait pas bien entendu, c’était quoi déjà ? ... Oh. Ah oui, cette question-là. Il allait lui dire la vérité, bien sur, mais n’était-ce pas un peu délicat, si ? Dire à sa petite amie qu’elle est la première ? Alors que elle, elle pense sûrement être la deuxième, troisième, quatrième ? Il n’y a pas de quoi avoir honte, mais ça lui ferait sûrement bizarre. Lui savait que la Serpentarde avait déjà eut des relations, notamment avec Maxime, et son meilleur ami Albus. Cette période-là avait été parmi les pires mois de sa vie. Pourquoi ? Parce que traînant toujours avec le Gryffondor, il se sentait obligé de trouver une excuse pour s’éloigner à chaque fois que Mélanie arrivait. Les voir s’embrasser et se câliner n’avait cessé de lui donner l’envie de déprimer. Il n’avait avoué à Albus qu’il était amoureux de Mel’ qu’après que ceux-ci aient rompu. Eh oui. Bon, maintenant, honnêtement, il ne pouvait pas se cacher que les voir se séparer l’avait bourré d’espoir.

Il fut sortit de ses souvenirs par Mélanie qui revenait, chargée du livre qu’elle lui tendit. L’aiglon le fixa, secoué. Il avait vu juste. Ptain que ça lui faisait plaisir. Il prit le livre, d’abord avec hésitation. Comment réagir ? C’était trop sympa de sa part !

« Joyeux anniversaire, mon grand chevalier. <3 »
« Ah, heu ... Mel’, fallait pas ... c’est super gentil. C’est un peu tôt, mais ... oh, et puis merci *__* »

D’abord, alors qu’elle lui tenait le poignet, il se contenta de la regarder. Ce qu’elle pouvait être jolie, avec ses cheveux de flammes et ses yeux sombres. Ces yeux ... il n’en avait jamais vu de pareil. Comment pouvait-on avoir des yeux presque noirs comme les siens ? Mais c’était beau, en fait, ce sombre qui brillait. Il fixa le livre, sourit à la jeune fille, et sans prévenir, la serra dans ses bras. Le simple fait de lui acheter ce bouquin que beaucoup de gens auraient envoyé valser par la fenêtre s’ils le recevaient en disait beaucoup, il le savait. Merci, merci, merci ! Il se détacha enfin d’elle, après quelques secondes, et prit le sac qu’il avait emporté au cas où avec lui pour y mettre soigneusement ce cadeau – il va le chérir, ce livre, soyez-en sûr – avant de le remettre sur son épaule, bien en place. Il allait le savourer. Oui bon, ça peut sembler difficile à croire, parce que personne ne s'intéresse autant à des trucs comme ça, mais lui, si, et Mélanie, d'une certaine manière, venait de l'accepter.

« Merci. Mais maintenant tu n’as plus aucune excuse pour que je ne t’offre pas quelque chose ! J’y tiens encore plus. »

Ils se remirent à marcher, tandis qu’il la serrait doucement d’un bras. Ce qu’il pouvait être heureux. Sauf qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question, et il ne voulait pas qu’elle se méfie à cause de ça. Elle risquait de s’imaginer des choses, non ? Il ne savait pas trop comment l’exprimer. Ce n’était pas bien dur, mais bon, Mal’ c’est Mal’, et Mal’ il y a des sujets qui ne le mettent pas spécialement à l’aise, comme les filles, et la famille. Mais parfois, ces sujets, on ne peut pas les éviter. A nouveau, il s’arrêta et se tourna vers elle, un sourire timide gravé sur le visage. Allez, lances-toi, c’est pas difficile de lui dire ‘Mélanie, en fait tu es ma première petite amie. Si si je te le jure’ quand même ! Allez, vas-y, inspire un grand coup et lances-toi, mon chou ! Et regardes-la quand tu lui parles. Le regard, c’est important.

« Je ... Je n’ai jamais ... »

Allez l’aiglon, tu n’as pas à te sentir gêné !

« Je n’ai jamais eut de petite amie. Tu es la première. En tous points. »

Et hop, voilà qu’il balance sa jambe et regarde par terre. OUI, tu es la première que j’ai embrassée ; OUI, je n’ai jamais fait l’amour ; OUI, tu es la première avec qui j’ai eut des câlins amoureux ; OUI, c’est mon premier rendez-vous romantique ; OUI, tu es la seule dont je sois tombé amoureux ; OUI, JE T’AIME. Oui bon, tout ça il ne le lui dit pas, mais il le pense très très fort. Aussi essaya-t-il que ça se voit dans ses yeux verts. Comprends, Mélanie, comprends que tu es plus qu’importante pour lui, parce que c’est toi qu’il a choisi pour découvrir ce monde tout neuf \o/

Spoiler:

Il la regardait ... et ne s’attendait pas à une réponse comme celle-là. En fait, il n’avait pas essayé d’imaginer la réponse de Mélanie, mais il n’avait pas vu venir une – ah bah oui – déclaration. Il en resta muet. Arrête Mel’, tu vas le faire pleurer. Il ne savait pas quoi dire. C’était tellement inattendu. Ma chère, que tu l’avais dans ta poche, c’était clair, mais là, t’as pas intérêt à le quitter un jour, parce qu’après ça, il ferait une dépression, c’est sûr. Les mots résonnaient à ses oreilles car ils signifiaient qu’elle l’aimait autant que lui, il était sur un petit nuage duquel il n’avait pas envie de redescendre. L’aiglon était encore silencieux, mais cette fois-ci, il agit. Mal’, avec sa douceur habituelle, yeux dans les yeux, tendit sa main libre pour frôler la joue de la jeune fille, un sourire sur le visage. Alors, il se pencha ce qu’il fallait – avec son mètre quatre-vingt un - pour l’embrasser. Quel pro, quand il s’y m’est, celui-là. Il recula son visage pour pouvoir la regarder et lui sourire, avant de l’embrasser à nouveau. Attention Mel’, il va te rattraper ! Bon, c’est bon Malichou, elle a comprit le message, tu peux la lâcher maintenant : ça te fait énormément plaisir, tu penses la même chose et tu l’aimes plus que tout. Ce baiser et ces sourires veulent dire tout ça. Le Serdaigle s’éloigna d’elle, pour reprendre son attitude timide, genre ‘je regarde mes pieds, oui, ne la regarde pas, c’est normal de s’embrasser quand on est un couple, mais moi je ne suis pas spécialement doué en matière de relations amoureuses, donc ça l’a peut-être surprise’

Le silence était retombé, mais ils souriaient. Quelques passants les avaient observés avec un air amusé ou attendri, avant de continuer leur chemin, tandis que lui réfléchissait à sa propre question. Chacun son tour ! Que pouvait-il bien lui demander ? Pas ses goûts musicaux, il les connaissait déjà, les sujets comme les films, les bouquins ou les séries ne l’intéresseraient probablement pas, et ce n’était pas ce qu’il leur fallait pour en apprendre plus l’un de l’autre. Le passé et l’entourage sont toujours intéressants. Hélas, c’étaient deux sujets dans lesquels Malcolm ne voulait pas trop s’enfoncer. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de rester à leur surface et de les aborder quand même. Il n’avait qu’à se montrer prudent dans ses réponses, au cas où elle l’interrogerait également. Autant parler en marchant, alors il lui prit la main et recommença à clopiner. Saleté de béquille, tu vas le regretter. Mais je suis quand même content de t’avoir.

« Et, hum, tu as une grande famille ? Je lis la Gazette, il me semble avoir déjà lu ton nom de famille dedans, quelques fois. »

Ouep, Malcolm lit la Gazette du Sorcier, mais ça ne veut pas dire qu’il apprécie tout ce qui est écrit dedans. Elle est juste très utile pour se tenir au courant. Bref. Il ne pouvait aussi s’empêcher de penser à quelque chose d’autre : l’étape que tous les amoureux redoutent. En général, ce sont les parents de la jeune fille qui demandent à rencontrer le garçon, histoire de s’assurer que leur enfant est bien tombée. Sauf que Mal’ savait très bien que ses propres parents exigeraient également de rencontrer la première petite amie de leur fils. Maintenant, il ne savait pas si cela se faisait chez les Swann. Aussi enchaîna-t-il, laissant à Mélanie la capacité de répondre à ses deux questions en même temps.

« Mes parents voudront sûrement que je te présente, peut-être que les tiens aussi ? »

En attendant sa réponse qui n’allait pas tarder, Malcolm eut le temps de constater que la météo ne faisait que s’améliorer. Certes, un petit vent froid le faisait frissonner de temps à autre, mais le soleil réchauffait doucement sa peau. C’était très agréable. Pas un seul nuage dans le ciel, juste des oiseaux et l’astre solaire. Depuis combien de temps étaient-ils ici ? Pas longtemps, peut-être une heure ? Il n’en savait rien, car à vrai dire, il s’en fichait et ne le voyait pas passer. Parce qu’il était avec Mélanie. Sa Serpentarde. Sa petite amie.

[Messages :]

Spoiler:

Il la regardait ... et ne s’attendait pas à une réponse comme celle-là. En fait, il n’avait pas essayé d’imaginer la réponse de Mélanie, mais il n’avait pas vu venir une – ah bah oui – déclaration. Il en resta muet. Arrête Mel’, tu vas le faire pleurer. Il ne savait pas quoi dire. C’était tellement inattendu. Ma chère, que tu l’avais dans ta poche, c’était clair, mais là, t’as pas intérêt à le quitter un jour, parce qu’après ça, il ferait une dépression, c’est sûr. Les mots résonnaient à ses oreilles car ils signifiaient qu’elle l’aimait autant que lui, il était sur un petit nuage duquel il n’avait pas envie de redescendre. L’aiglon était encore silencieux, mais cette fois-ci, il agit. Mal’, avec sa douceur habituelle, yeux dans les yeux, tendit sa main libre pour frôler la joue de la jeune fille, un sourire sur le visage. Alors, il se pencha ce qu’il fallait – avec son mètre quatre-vingt un - pour l’embrasser. Quel pro, quand il s’y m’est, celui-là. Il recula son visage pour pouvoir la regarder et lui sourire, avant de l’embrasser à nouveau. Attention Mel’, il va te rattraper ! Bon, c’est bon Malichou, elle a comprit le message, tu peux la lâcher maintenant : ça te fait énormément plaisir, tu penses la même chose et tu l’aimes plus que tout. Ce baiser et ces sourires veulent dire tout ça. Le Serdaigle s’éloigna d’elle, pour reprendre son attitude timide, genre ‘je regarde mes pieds, oui, ne la regarde pas, c’est normal de s’embrasser quand on est un couple, mais moi je ne suis pas spécialement doué en matière de relations amoureuses, donc ça l’a peut-être surprise’

Le silence était retombé, mais ils souriaient. Quelques passants les avaient observés avec un air amusé ou attendri, avant de continuer leur chemin, tandis que lui réfléchissait à sa propre question. Chacun son tour ! Que pouvait-il bien lui demander ? Pas ses goûts musicaux, il les connaissait déjà, les sujets comme les films, les bouquins ou les séries ne l’intéresseraient probablement pas, et ce n’était pas ce qu’il leur fallait pour en apprendre plus l’un de l’autre. Le passé et l’entourage sont toujours intéressants. Hélas, c’étaient deux sujets dans lesquels Malcolm ne voulait pas trop s’enfoncer. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de rester à leur surface et de les aborder quand même. Il n’avait qu’à se montrer prudent dans ses réponses, au cas où elle l’interrogerait également. Autant parler en marchant, alors il lui prit la main et recommença à clopiner. Saleté de béquille, tu vas le regretter. Mais je suis quand même content de t’avoir.

« Et, hum, tu as une grande famille ? Je lis la Gazette, il me semble avoir déjà lu ton nom de famille dedans, quelques fois. »

Ouep, Malcolm lit la Gazette du Sorcier, mais ça ne veut pas dire qu’il apprécie tout ce qui est écrit dedans. Elle est juste très utile pour se tenir au courant. Bref. Il ne pouvait aussi s’empêcher de penser à quelque chose d’autre : l’étape que tous les amoureux redoutent. En général, ce sont les parents de la jeune fille qui demandent à rencontrer le garçon, histoire de s’assurer que leur enfant est bien tombée. Sauf que Mal’ savait très bien que ses propres parents exigeraient également de rencontrer la première petite amie de leur fils. Maintenant, il ne savait pas si cela se faisait chez les Swann. Aussi enchaîna-t-il, laissant à Mélanie la capacité de répondre à ses deux questions en même temps.

« Mes parents voudront sûrement que je te présente, peut-être que les tiens aussi ? »

En attendant sa réponse qui n’allait pas tarder, Malcolm eut le temps de constater que la météo ne faisait que s’améliorer. Certes, un petit vent froid le faisait frissonner de temps à autre, mais le soleil réchauffait doucement sa peau. C’était très agréable. Pas un seul nuage dans le ciel, juste des oiseaux et l’astre solaire. Depuis combien de temps étaient-ils ici ? Pas longtemps, peut-être une heure ? Il n’en savait rien, car à vrai dire, il s’en fichait et ne le voyait pas passer. Parce qu’il était avec Mélanie. Sa Serpentarde. Sa petite amie.

[Points :]

Spoiler:

Il la regardait ... et ne s’attendait pas à une réponse comme celle-là. En fait, il n’avait pas essayé d’imaginer la réponse de Mélanie, mais il n’avait pas vu venir une – ah bah oui – déclaration. Il en resta muet. Arrête Mel’, tu vas le faire pleurer. Il ne savait pas quoi dire. C’était tellement inattendu. Ma chère, que tu l’avais dans ta poche, c’était clair, mais là, t’as pas intérêt à le quitter un jour, parce qu’après ça, il ferait une dépression, c’est sûr. Les mots résonnaient à ses oreilles car ils signifiaient qu’elle l’aimait autant que lui, il était sur un petit nuage duquel il n’avait pas envie de redescendre. L’aiglon était encore silencieux, mais cette fois-ci, il agit. Mal’, avec sa douceur habituelle, yeux dans les yeux, tendit sa main libre pour frôler la joue de la jeune fille, un sourire sur le visage. Alors, il se pencha ce qu’il fallait – avec son mètre quatre-vingt un - pour l’embrasser. Quel pro, quand il s’y m’est, celui-là. Il recula son visage pour pouvoir la regarder et lui sourire, avant de l’embrasser à nouveau. Attention Mel’, il va te rattraper ! Bon, c’est bon Malichou, elle a comprit le message, tu peux la lâcher maintenant : ça te fait énormément plaisir, tu penses la même chose et tu l’aimes plus que tout. Ce baiser et ces sourires veulent dire tout ça. Le Serdaigle s’éloigna d’elle, pour reprendre son attitude timide, genre ‘je regarde mes pieds, oui, ne la regarde pas, c’est normal de s’embrasser quand on est un couple, mais moi je ne suis pas spécialement doué en matière de relations amoureuses, donc ça l’a peut-être surprise’

Le silence était retombé, mais ils souriaient. Quelques passants les avaient observés avec un air amusé ou attendri, avant de continuer leur chemin, tandis que lui réfléchissait à sa propre question. Chacun son tour ! Que pouvait-il bien lui demander ? Pas ses goûts musicaux, il les connaissait déjà, les sujets comme les films, les bouquins ou les séries ne l’intéresseraient probablement pas, et ce n’était pas ce qu’il leur fallait pour en apprendre plus l’un de l’autre. Le passé et l’entourage sont toujours intéressants. Hélas, c’étaient deux sujets dans lesquels Malcolm ne voulait pas trop s’enfoncer. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de rester à leur surface et de les aborder quand même. Il n’avait qu’à se montrer prudent dans ses réponses, au cas où elle l’interrogerait également. Autant parler en marchant, alors il lui prit la main et recommença à clopiner. Saleté de béquille, tu vas le regretter. Mais je suis quand même content de t’avoir.

« Et, hum, tu as une grande famille ? Je lis la Gazette, il me semble avoir déjà lu ton nom de famille dedans, quelques fois. »

Ouep, Malcolm lit la Gazette du Sorcier, mais ça ne veut pas dire qu’il apprécie tout ce qui est écrit dedans. Elle est juste très utile pour se tenir au courant. Bref. Il ne pouvait aussi s’empêcher de penser à quelque chose d’autre : l’étape que tous les amoureux redoutent. En général, ce sont les parents de la jeune fille qui demandent à rencontrer le garçon, histoire de s’assurer que leur enfant est bien tombée. Sauf que Mal’ savait très bien que ses propres parents exigeraient également de rencontrer la première petite amie de leur fils. Maintenant, il ne savait pas si cela se faisait chez les Swann. Aussi enchaîna-t-il, laissant à Mélanie la capacité de répondre à ses deux questions en même temps.

« Mes parents voudront sûrement que je te présente, peut-être que les tiens aussi ? »

En attendant sa réponse qui n’allait pas tarder, Malcolm eut le temps de constater que la météo ne faisait que s’améliorer. Certes, un petit vent froid le faisait frissonner de temps à autre, mais le soleil réchauffait doucement sa peau. C’était très agréable. Pas un seul nuage dans le ciel, juste des oiseaux et l’astre solaire. Depuis combien de temps étaient-ils ici ? Pas longtemps, peut-être une heure ? Il n’en savait rien, car à vrai dire, il s’en fichait et ne le voyait pas passer. Parce qu’il était avec Mélanie. Sa Serpentarde. Sa petite amie.

[Avatar :]

Spoiler:

Il la regardait ... et ne s’attendait pas à une réponse comme celle-là. En fait, il n’avait pas essayé d’imaginer la réponse de Mélanie, mais il n’avait pas vu venir une – ah bah oui – déclaration. Il en resta muet. Arrête Mel’, tu vas le faire pleurer. Il ne savait pas quoi dire. C’était tellement inattendu. Ma chère, que tu l’avais dans ta poche, c’était clair, mais là, t’as pas intérêt à le quitter un jour, parce qu’après ça, il ferait une dépression, c’est sûr. Les mots résonnaient à ses oreilles car ils signifiaient qu’elle l’aimait autant que lui, il était sur un petit nuage duquel il n’avait pas envie de redescendre. L’aiglon était encore silencieux, mais cette fois-ci, il agit. Mal’, avec sa douceur habituelle, yeux dans les yeux, tendit sa main libre pour frôler la joue de la jeune fille, un sourire sur le visage. Alors, il se pencha ce qu’il fallait – avec son mètre quatre-vingt un - pour l’embrasser. Quel pro, quand il s’y m’est, celui-là. Il recula son visage pour pouvoir la regarder et lui sourire, avant de l’embrasser à nouveau. Attention Mel’, il va te rattraper ! Bon, c’est bon Malichou, elle a comprit le message, tu peux la lâcher maintenant : ça te fait énormément plaisir, tu penses la même chose et tu l’aimes plus que tout. Ce baiser et ces sourires veulent dire tout ça. Le Serdaigle s’éloigna d’elle, pour reprendre son attitude timide, genre ‘je regarde mes pieds, oui, ne la regarde pas, c’est normal de s’embrasser quand on est un couple, mais moi je ne suis pas spécialement doué en matière de relations amoureuses, donc ça l’a peut-être surprise’

Le silence était retombé, mais ils souriaient. Quelques passants les avaient observés avec un air amusé ou attendri, avant de continuer leur chemin, tandis que lui réfléchissait à sa propre question. Chacun son tour ! Que pouvait-il bien lui demander ? Pas ses goûts musicaux, il les connaissait déjà, les sujets comme les films, les bouquins ou les séries ne l’intéresseraient probablement pas, et ce n’était pas ce qu’il leur fallait pour en apprendre plus l’un de l’autre. Le passé et l’entourage sont toujours intéressants. Hélas, c’étaient deux sujets dans lesquels Malcolm ne voulait pas trop s’enfoncer. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de rester à leur surface et de les aborder quand même. Il n’avait qu’à se montrer prudent dans ses réponses, au cas où elle l’interrogerait également. Autant parler en marchant, alors il lui prit la main et recommença à clopiner. Saleté de béquille, tu vas le regretter. Mais je suis quand même content de t’avoir.

« Et, hum, tu as une grande famille ? Je lis la Gazette, il me semble avoir déjà lu ton nom de famille dedans, quelques fois. »

Ouep, Malcolm lit la Gazette du Sorcier, mais ça ne veut pas dire qu’il apprécie tout ce qui est écrit dedans. Elle est juste très utile pour se tenir au courant. Bref. Il ne pouvait aussi s’empêcher de penser à quelque chose d’autre : l’étape que tous les amoureux redoutent. En général, ce sont les parents de la jeune fille qui demandent à rencontrer le garçon, histoire de s’assurer que leur enfant est bien tombée. Sauf que Mal’ savait très bien que ses propres parents exigeraient également de rencontrer la première petite amie de leur fils. Maintenant, il ne savait pas si cela se faisait chez les Swann. Aussi enchaîna-t-il, laissant à Mélanie la capacité de répondre à ses deux questions en même temps.

« Mes parents voudront sûrement que je te présente, peut-être que les tiens aussi ? »

En attendant sa réponse qui n’allait pas tarder, Malcolm eut le temps de constater que la météo ne faisait que s’améliorer. Certes, un petit vent froid le faisait frissonner de temps à autre, mais le soleil réchauffait doucement sa peau. C’était très agréable. Pas un seul nuage dans le ciel, juste des oiseaux et l’astre solaire. Depuis combien de temps étaient-ils ici ? Pas longtemps, peut-être une heure ? Il n’en savait rien, car à vrai dire, il s’en fichait et ne le voyait pas passer. Parce qu’il était avec Mélanie. Sa Serpentarde. Sa petite amie.

[Crédits :]

Spoiler:

Il la regardait ... et ne s’attendait pas à une réponse comme celle-là. En fait, il n’avait pas essayé d’imaginer la réponse de Mélanie, mais il n’avait pas vu venir une – ah bah oui – déclaration. Il en resta muet. Arrête Mel’, tu vas le faire pleurer. Il ne savait pas quoi dire. C’était tellement inattendu. Ma chère, que tu l’avais dans ta poche, c’était clair, mais là, t’as pas intérêt à le quitter un jour, parce qu’après ça, il ferait une dépression, c’est sûr. Les mots résonnaient à ses oreilles car ils signifiaient qu’elle l’aimait autant que lui, il était sur un petit nuage duquel il n’avait pas envie de redescendre. L’aiglon était encore silencieux, mais cette fois-ci, il agit. Mal’, avec sa douceur habituelle, yeux dans les yeux, tendit sa main libre pour frôler la joue de la jeune fille, un sourire sur le visage. Alors, il se pencha ce qu’il fallait – avec son mètre quatre-vingt un - pour l’embrasser. Quel pro, quand il s’y m’est, celui-là. Il recula son visage pour pouvoir la regarder et lui sourire, avant de l’embrasser à nouveau. Attention Mel’, il va te rattraper ! Bon, c’est bon Malichou, elle a comprit le message, tu peux la lâcher maintenant : ça te fait énormément plaisir, tu penses la même chose et tu l’aimes plus que tout. Ce baiser et ces sourires veulent dire tout ça. Le Serdaigle s’éloigna d’elle, pour reprendre son attitude timide, genre ‘je regarde mes pieds, oui, ne la regarde pas, c’est normal de s’embrasser quand on est un couple, mais moi je ne suis pas spécialement doué en matière de relations amoureuses, donc ça l’a peut-être surprise’

Le silence était retombé, mais ils souriaient. Quelques passants les avaient observés avec un air amusé ou attendri, avant de continuer leur chemin, tandis que lui réfléchissait à sa propre question. Chacun son tour ! Que pouvait-il bien lui demander ? Pas ses goûts musicaux, il les connaissait déjà, les sujets comme les films, les bouquins ou les séries ne l’intéresseraient probablement pas, et ce n’était pas ce qu’il leur fallait pour en apprendre plus l’un de l’autre. Le passé et l’entourage sont toujours intéressants. Hélas, c’étaient deux sujets dans lesquels Malcolm ne voulait pas trop s’enfoncer. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de rester à leur surface et de les aborder quand même. Il n’avait qu’à se montrer prudent dans ses réponses, au cas où elle l’interrogerait également. Autant parler en marchant, alors il lui prit la main et recommença à clopiner. Saleté de béquille, tu vas le regretter. Mais je suis quand même content de t’avoir.

« Et, hum, tu as une grande famille ? Je lis la Gazette, il me semble avoir déjà lu ton nom de famille dedans, quelques fois. »

Ouep, Malcolm lit la Gazette du Sorcier, mais ça ne veut pas dire qu’il apprécie tout ce qui est écrit dedans. Elle est juste très utile pour se tenir au courant. Bref. Il ne pouvait aussi s’empêcher de penser à quelque chose d’autre : l’étape que tous les amoureux redoutent. En général, ce sont les parents de la jeune fille qui demandent à rencontrer le garçon, histoire de s’assurer que leur enfant est bien tombée. Sauf que Mal’ savait très bien que ses propres parents exigeraient également de rencontrer la première petite amie de leur fils. Maintenant, il ne savait pas si cela se faisait chez les Swann. Aussi enchaîna-t-il, laissant à Mélanie la capacité de répondre à ses deux questions en même temps.

« Mes parents voudront sûrement que je te présente, peut-être que les tiens aussi ? »

En attendant sa réponse qui n’allait pas tarder, Malcolm eut le temps de constater que la météo ne faisait que s’améliorer. Certes, un petit vent froid le faisait frissonner de temps à autre, mais le soleil réchauffait doucement sa peau. C’était très agréable. Pas un seul nuage dans le ciel, juste des oiseaux et l’astre solaire. Depuis combien de temps étaient-ils ici ? Pas longtemps, peut-être une heure ? Il n’en savait rien, car à vrai dire, il s’en fichait et ne le voyait pas passer. Parce qu’il était avec Mélanie. Sa Serpentarde. Sa petite amie.

[Age RPG :]

Spoiler:

Il la regardait ... et ne s’attendait pas à une réponse comme celle-là. En fait, il n’avait pas essayé d’imaginer la réponse de Mélanie, mais il n’avait pas vu venir une – ah bah oui – déclaration. Il en resta muet. Arrête Mel’, tu vas le faire pleurer. Il ne savait pas quoi dire. C’était tellement inattendu. Ma chère, que tu l’avais dans ta poche, c’était clair, mais là, t’as pas intérêt à le quitter un jour, parce qu’après ça, il ferait une dépression, c’est sûr. Les mots résonnaient à ses oreilles car ils signifiaient qu’elle l’aimait autant que lui, il était sur un petit nuage duquel il n’avait pas envie de redescendre. L’aiglon était encore silencieux, mais cette fois-ci, il agit. Mal’, avec sa douceur habituelle, yeux dans les yeux, tendit sa main libre pour frôler la joue de la jeune fille, un sourire sur le visage. Alors, il se pencha ce qu’il fallait – avec son mètre quatre-vingt un - pour l’embrasser. Quel pro, quand il s’y m’est, celui-là. Il recula son visage pour pouvoir la regarder et lui sourire, avant de l’embrasser à nouveau. Attention Mel’, il va te rattraper ! Bon, c’est bon Malichou, elle a comprit le message, tu peux la lâcher maintenant : ça te fait énormément plaisir, tu penses la même chose et tu l’aimes plus que tout. Ce baiser et ces sourires veulent dire tout ça. Le Serdaigle s’éloigna d’elle, pour reprendre son attitude timide, genre ‘je regarde mes pieds, oui, ne la regarde pas, c’est normal de s’embrasser quand on est un couple, mais moi je ne suis pas spécialement doué en matière de relations amoureuses, donc ça l’a peut-être surprise’

Le silence était retombé, mais ils souriaient. Quelques passants les avaient observés avec un air amusé ou attendri, avant de continuer leur chemin, tandis que lui réfléchissait à sa propre question. Chacun son tour ! Que pouvait-il bien lui demander ? Pas ses goûts musicaux, il les connaissait déjà, les sujets comme les films, les bouquins ou les séries ne l’intéresseraient probablement pas, et ce n’était pas ce qu’il leur fallait pour en apprendre plus l’un de l’autre. Le passé et l’entourage sont toujours intéressants. Hélas, c’étaient deux sujets dans lesquels Malcolm ne voulait pas trop s’enfoncer. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de rester à leur surface et de les aborder quand même. Il n’avait qu’à se montrer prudent dans ses réponses, au cas où elle l’interrogerait également. Autant parler en marchant, alors il lui prit la main et recommença à clopiner. Saleté de béquille, tu vas le regretter. Mais je suis quand même content de t’avoir.

« Et, hum, tu as une grande famille ? Je lis la Gazette, il me semble avoir déjà lu ton nom de famille dedans, quelques fois. »

Ouep, Malcolm lit la Gazette du Sorcier, mais ça ne veut pas dire qu’il apprécie tout ce qui est écrit dedans. Elle est juste très utile pour se tenir au courant. Bref. Il ne pouvait aussi s’empêcher de penser à quelque chose d’autre : l’étape que tous les amoureux redoutent. En général, ce sont les parents de la jeune fille qui demandent à rencontrer le garçon, histoire de s’assurer que leur enfant est bien tombée. Sauf que Mal’ savait très bien que ses propres parents exigeraient également de rencontrer la première petite amie de leur fils. Maintenant, il ne savait pas si cela se faisait chez les Swann. Aussi enchaîna-t-il, laissant à Mélanie la capacité de répondre à ses deux questions en même temps.

« Mes parents voudront sûrement que je te présente, peut-être que les tiens aussi ? »

En attendant sa réponse qui n’allait pas tarder, Malcolm eut le temps de constater que la météo ne faisait que s’améliorer. Certes, un petit vent froid le faisait frissonner de temps à autre, mais le soleil réchauffait doucement sa peau. C’était très agréable. Pas un seul nuage dans le ciel, juste des oiseaux et l’astre solaire. Depuis combien de temps étaient-ils ici ? Pas longtemps, peut-être une heure ? Il n’en savait rien, car à vrai dire, il s’en fichait et ne le voyait pas passer. Parce qu’il était avec Mélanie. Sa Serpentarde. Sa petite amie.

[Sang :]

Spoiler:

Il la regardait ... et ne s’attendait pas à une réponse comme celle-là. En fait, il n’avait pas essayé d’imaginer la réponse de Mélanie, mais il n’avait pas vu venir une – ah bah oui – déclaration. Il en resta muet. Arrête Mel’, tu vas le faire pleurer. Il ne savait pas quoi dire. C’était tellement inattendu. Ma chère, que tu l’avais dans ta poche, c’était clair, mais là, t’as pas intérêt à le quitter un jour, parce qu’après ça, il ferait une dépression, c’est sûr. Les mots résonnaient à ses oreilles car ils signifiaient qu’elle l’aimait autant que lui, il était sur un petit nuage duquel il n’avait pas envie de redescendre. L’aiglon était encore silencieux, mais cette fois-ci, il agit. Mal’, avec sa douceur habituelle, yeux dans les yeux, tendit sa main libre pour frôler la joue de la jeune fille, un sourire sur le visage. Alors, il se pencha ce qu’il fallait – avec son mètre quatre-vingt un - pour l’embrasser. Quel pro, quand il s’y m’est, celui-là. Il recula son visage pour pouvoir la regarder et lui sourire, avant de l’embrasser à nouveau. Attention Mel’, il va te rattraper ! Bon, c’est bon Malichou, elle a comprit le message, tu peux la lâcher maintenant : ça te fait énormément plaisir, tu penses la même chose et tu l’aimes plus que tout. Ce baiser et ces sourires veulent dire tout ça. Le Serdaigle s’éloigna d’elle, pour reprendre son attitude timide, genre ‘je regarde mes pieds, oui, ne la regarde pas, c’est normal de s’embrasser quand on est un couple, mais moi je ne suis pas spécialement doué en matière de relations amoureuses, donc ça l’a peut-être surprise’

Le silence était retombé, mais ils souriaient. Quelques passants les avaient observés avec un air amusé ou attendri, avant de continuer leur chemin, tandis que lui réfléchissait à sa propre question. Chacun son tour ! Que pouvait-il bien lui demander ? Pas ses goûts musicaux, il les connaissait déjà, les sujets comme les films, les bouquins ou les séries ne l’intéresseraient probablement pas, et ce n’était pas ce qu’il leur fallait pour en apprendre plus l’un de l’autre. Le passé et l’entourage sont toujours intéressants. Hélas, c’étaient deux sujets dans lesquels Malcolm ne voulait pas trop s’enfoncer. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de rester à leur surface et de les aborder quand même. Il n’avait qu’à se montrer prudent dans ses réponses, au cas où elle l’interrogerait également. Autant parler en marchant, alors il lui prit la main et recommença à clopiner. Saleté de béquille, tu vas le regretter. Mais je suis quand même content de t’avoir.

« Et, hum, tu as une grande famille ? Je lis la Gazette, il me semble avoir déjà lu ton nom de famille dedans, quelques fois. »

Ouep, Malcolm lit la Gazette du Sorcier, mais ça ne veut pas dire qu’il apprécie tout ce qui est écrit dedans. Elle est juste très utile pour se tenir au courant. Bref. Il ne pouvait aussi s’empêcher de penser à quelque chose d’autre : l’étape que tous les amoureux redoutent. En général, ce sont les parents de la jeune fille qui demandent à rencontrer le garçon, histoire de s’assurer que leur enfant est bien tombée. Sauf que Mal’ savait très bien que ses propres parents exigeraient également de rencontrer la première petite amie de leur fils. Maintenant, il ne savait pas si cela se faisait chez les Swann. Aussi enchaîna-t-il, laissant à Mélanie la capacité de répondre à ses deux questions en même temps.

« Mes parents voudront sûrement que je te présente, peut-être que les tiens aussi ? »

En attendant sa réponse qui n’allait pas tarder, Malcolm eut le temps de constater que la météo ne faisait que s’améliorer. Certes, un petit vent froid le faisait frissonner de temps à autre, mais le soleil réchauffait doucement sa peau. C’était très agréable. Pas un seul nuage dans le ciel, juste des oiseaux et l’astre solaire. Depuis combien de temps étaient-ils ici ? Pas longtemps, peut-être une heure ? Il n’en savait rien, car à vrai dire, il s’en fichait et ne le voyait pas passer. Parce qu’il était avec Mélanie. Sa Serpentarde. Sa petite amie.

[Camp :]

Spoiler:

Il la regardait ... et ne s’attendait pas à une réponse comme celle-là. En fait, il n’avait pas essayé d’imaginer la réponse de Mélanie, mais il n’avait pas vu venir une – ah bah oui – déclaration. Il en resta muet. Arrête Mel’, tu vas le faire pleurer. Il ne savait pas quoi dire. C’était tellement inattendu. Ma chère, que tu l’avais dans ta poche, c’était clair, mais là, t’as pas intérêt à le quitter un jour, parce qu’après ça, il ferait une dépression, c’est sûr. Les mots résonnaient à ses oreilles car ils signifiaient qu’elle l’aimait autant que lui, il était sur un petit nuage duquel il n’avait pas envie de redescendre. L’aiglon était encore silencieux, mais cette fois-ci, il agit. Mal’, avec sa douceur habituelle, yeux dans les yeux, tendit sa main libre pour frôler la joue de la jeune fille, un sourire sur le visage. Alors, il se pencha ce qu’il fallait – avec son mètre quatre-vingt un - pour l’embrasser. Quel pro, quand il s’y m’est, celui-là. Il recula son visage pour pouvoir la regarder et lui sourire, avant de l’embrasser à nouveau. Attention Mel’, il va te rattraper ! Bon, c’est bon Malichou, elle a comprit le message, tu peux la lâcher maintenant : ça te fait énormément plaisir, tu penses la même chose et tu l’aimes plus que tout. Ce baiser et ces sourires veulent dire tout ça. Le Serdaigle s’éloigna d’elle, pour reprendre son attitude timide, genre ‘je regarde mes pieds, oui, ne la regarde pas, c’est normal de s’embrasser quand on est un couple, mais moi je ne suis pas spécialement doué en matière de relations amoureuses, donc ça l’a peut-être surprise’

Le silence était retombé, mais ils souriaient. Quelques passants les avaient observés avec un air amusé ou attendri, avant de continuer leur chemin, tandis que lui réfléchissait à sa propre question. Chacun son tour ! Que pouvait-il bien lui demander ? Pas ses goûts musicaux, il les connaissait déjà, les sujets comme les films, les bouquins ou les séries ne l’intéresseraient probablement pas, et ce n’était pas ce qu’il leur fallait pour en apprendre plus l’un de l’autre. Le passé et l’entourage sont toujours intéressants. Hélas, c’étaient deux sujets dans lesquels Malcolm ne voulait pas trop s’enfoncer. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de rester à leur surface et de les aborder quand même. Il n’avait qu’à se montrer prudent dans ses réponses, au cas où elle l’interrogerait également. Autant parler en marchant, alors il lui prit la main et recommença à clopiner. Saleté de béquille, tu vas le regretter. Mais je suis quand même content de t’avoir.

« Et, hum, tu as une grande famille ? Je lis la Gazette, il me semble avoir déjà lu ton nom de famille dedans, quelques fois. »

Ouep, Malcolm lit la Gazette du Sorcier, mais ça ne veut pas dire qu’il apprécie tout ce qui est écrit dedans. Elle est juste très utile pour se tenir au courant. Bref. Il ne pouvait aussi s’empêcher de penser à quelque chose d’autre : l’étape que tous les amoureux redoutent. En général, ce sont les parents de la jeune fille qui demandent à rencontrer le garçon, histoire de s’assurer que leur enfant est bien tombée. Sauf que Mal’ savait très bien que ses propres parents exigeraient également de rencontrer la première petite amie de leur fils. Maintenant, il ne savait pas si cela se faisait chez les Swann. Aussi enchaîna-t-il, laissant à Mélanie la capacité de répondre à ses deux questions en même temps.

« Mes parents voudront sûrement que je te présente, peut-être que les tiens aussi ? »

En attendant sa réponse qui n’allait pas tarder, Malcolm eut le temps de constater que la météo ne faisait que s’améliorer. Certes, un petit vent froid le faisait frissonner de temps à autre, mais le soleil réchauffait doucement sa peau. C’était très agréable. Pas un seul nuage dans le ciel, juste des oiseaux et l’astre solaire. Depuis combien de temps étaient-ils ici ? Pas longtemps, peut-être une heure ? Il n’en savait rien, car à vrai dire, il s’en fichait et ne le voyait pas passer. Parce qu’il était avec Mélanie. Sa Serpentarde. Sa petite amie.

[Vie du personnage :]

Spoiler:

Il la regardait ... et ne s’attendait pas à une réponse comme celle-là. En fait, il n’avait pas essayé d’imaginer la réponse de Mélanie, mais il n’avait pas vu venir une – ah bah oui – déclaration. Il en resta muet. Arrête Mel’, tu vas le faire pleurer. Il ne savait pas quoi dire. C’était tellement inattendu. Ma chère, que tu l’avais dans ta poche, c’était clair, mais là, t’as pas intérêt à le quitter un jour, parce qu’après ça, il ferait une dépression, c’est sûr. Les mots résonnaient à ses oreilles car ils signifiaient qu’elle l’aimait autant que lui, il était sur un petit nuage duquel il n’avait pas envie de redescendre. L’aiglon était encore silencieux, mais cette fois-ci, il agit. Mal’, avec sa douceur habituelle, yeux dans les yeux, tendit sa main libre pour frôler la joue de la jeune fille, un sourire sur le visage. Alors, il se pencha ce qu’il fallait – avec son mètre quatre-vingt un - pour l’embrasser. Quel pro, quand il s’y m’est, celui-là. Il recula son visage pour pouvoir la regarder et lui sourire, avant de l’embrasser à nouveau. Attention Mel’, il va te rattraper ! Bon, c’est bon Malichou, elle a comprit le message, tu peux la lâcher maintenant : ça te fait énormément plaisir, tu penses la même chose et tu l’aimes plus que tout. Ce baiser et ces sourires veulent dire tout ça. Le Serdaigle s’éloigna d’elle, pour reprendre son attitude timide, genre ‘je regarde mes pieds, oui, ne la regarde pas, c’est normal de s’embrasser quand on est un couple, mais moi je ne suis pas spécialement doué en matière de relations amoureuses, donc ça l’a peut-être surprise’

Le silence était retombé, mais ils souriaient. Quelques passants les avaient observés avec un air amusé ou attendri, avant de continuer leur chemin, tandis que lui réfléchissait à sa propre question. Chacun son tour ! Que pouvait-il bien lui demander ? Pas ses goûts musicaux, il les connaissait déjà, les sujets comme les films, les bouquins ou les séries ne l’intéresseraient probablement pas, et ce n’était pas ce qu’il leur fallait pour en apprendre plus l’un de l’autre. Le passé et l’entourage sont toujours intéressants. Hélas, c’étaient deux sujets dans lesquels Malcolm ne voulait pas trop s’enfoncer. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de rester à leur surface et de les aborder quand même. Il n’avait qu’à se montrer prudent dans ses réponses, au cas où elle l’interrogerait également. Autant parler en marchant, alors il lui prit la main et recommença à clopiner. Saleté de béquille, tu vas le regretter. Mais je suis quand même content de t’avoir.

« Et, hum, tu as une grande famille ? Je lis la Gazette, il me semble avoir déjà lu ton nom de famille dedans, quelques fois. »

Ouep, Malcolm lit la Gazette du Sorcier, mais ça ne veut pas dire qu’il apprécie tout ce qui est écrit dedans. Elle est juste très utile pour se tenir au courant. Bref. Il ne pouvait aussi s’empêcher de penser à quelque chose d’autre : l’étape que tous les amoureux redoutent. En général, ce sont les parents de la jeune fille qui demandent à rencontrer le garçon, histoire de s’assurer que leur enfant est bien tombée. Sauf que Mal’ savait très bien que ses propres parents exigeraient également de rencontrer la première petite amie de leur fils. Maintenant, il ne savait pas si cela se faisait chez les Swann. Aussi enchaîna-t-il, laissant à Mélanie la capacité de répondre à ses deux questions en même temps.

« Mes parents voudront sûrement que je te présente, peut-être que les tiens aussi ? »

En attendant sa réponse qui n’allait pas tarder, Malcolm eut le temps de constater que la météo ne faisait que s’améliorer. Certes, un petit vent froid le faisait frissonner de temps à autre, mais le soleil réchauffait doucement sa peau. C’était très agréable. Pas un seul nuage dans le ciel, juste des oiseaux et l’astre solaire. Depuis combien de temps étaient-ils ici ? Pas longtemps, peut-être une heure ? Il n’en savait rien, car à vrai dire, il s’en fichait et ne le voyait pas passer. Parce qu’il était avec Mélanie. Sa Serpentarde. Sa petite amie.

[Truc en plus :]

Spoiler:

Il la regardait ... et ne s’attendait pas à une réponse comme celle-là. En fait, il n’avait pas essayé d’imaginer la réponse de Mélanie, mais il n’avait pas vu venir une – ah bah oui – déclaration. Il en resta muet. Arrête Mel’, tu vas le faire pleurer. Il ne savait pas quoi dire. C’était tellement inattendu. Ma chère, que tu l’avais dans ta poche, c’était clair, mais là, t’as pas intérêt à le quitter un jour, parce qu’après ça, il ferait une dépression, c’est sûr. Les mots résonnaient à ses oreilles car ils signifiaient qu’elle l’aimait autant que lui, il était sur un petit nuage duquel il n’avait pas envie de redescendre. L’aiglon était encore silencieux, mais cette fois-ci, il agit. Mal’, avec sa douceur habituelle, yeux dans les yeux, tendit sa main libre pour frôler la joue de la jeune fille, un sourire sur le visage. Alors, il se pencha ce qu’il fallait – avec son mètre quatre-vingt un - pour l’embrasser. Quel pro, quand il s’y m’est, celui-là. Il recula son visage pour pouvoir la regarder et lui sourire, avant de l’embrasser à nouveau. Attention Mel’, il va te rattraper ! Bon, c’est bon Malichou, elle a comprit le message, tu peux la lâcher maintenant : ça te fait énormément plaisir, tu penses la même chose et tu l’aimes plus que tout. Ce baiser et ces sourires veulent dire tout ça. Le Serdaigle s’éloigna d’elle, pour reprendre son attitude timide, genre ‘je regarde mes pieds, oui, ne la regarde pas, c’est normal de s’embrasser quand on est un couple, mais moi je ne suis pas spécialement doué en matière de relations amoureuses, donc ça l’a peut-être surprise’

Le silence était retombé, mais ils souriaient. Quelques passants les avaient observés avec un air amusé ou attendri, avant de continuer leur chemin, tandis que lui réfléchissait à sa propre question. Chacun son tour ! Que pouvait-il bien lui demander ? Pas ses goûts musicaux, il les connaissait déjà, les sujets comme les films, les bouquins ou les séries ne l’intéresseraient probablement pas, et ce n’était pas ce qu’il leur fallait pour en apprendre plus l’un de l’autre. Le passé et l’entourage sont toujours intéressants. Hélas, c’étaient deux sujets dans lesquels Malcolm ne voulait pas trop s’enfoncer. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de rester à leur surface et de les aborder quand même. Il n’avait qu’à se montrer prudent dans ses réponses, au cas où elle l’interrogerait également. Autant parler en marchant, alors il lui prit la main et recommença à clopiner. Saleté de béquille, tu vas le regretter. Mais je suis quand même content de t’avoir.

« Et, hum, tu as une grande famille ? Je lis la Gazette, il me semble avoir déjà lu ton nom de famille dedans, quelques fois. »

Ouep, Malcolm lit la Gazette du Sorcier, mais ça ne veut pas dire qu’il apprécie tout ce qui est écrit dedans. Elle est juste très utile pour se tenir au courant. Bref. Il ne pouvait aussi s’empêcher de penser à quelque chose d’autre : l’étape que tous les amoureux redoutent. En général, ce sont les parents de la jeune fille qui demandent à rencontrer le garçon, histoire de s’assurer que leur enfant est bien tombée. Sauf que Mal’ savait très bien que ses propres parents exigeraient également de rencontrer la première petite amie de leur fils. Maintenant, il ne savait pas si cela se faisait chez les Swann. Aussi enchaîna-t-il, laissant à Mélanie la capacité de répondre à ses deux questions en même temps.

« Mes parents voudront sûrement que je te présente, peut-être que les tiens aussi ? »

En attendant sa réponse qui n’allait pas tarder, Malcolm eut le temps de constater que la météo ne faisait que s’améliorer. Certes, un petit vent froid le faisait frissonner de temps à autre, mais le soleil réchauffait doucement sa peau. C’était très agréable. Pas un seul nuage dans le ciel, juste des oiseaux et l’astre solaire. Depuis combien de temps étaient-ils ici ? Pas longtemps, peut-être une heure ? Il n’en savait rien, car à vrai dire, il s’en fichait et ne le voyait pas passer. Parce qu’il était avec Mélanie. Sa Serpentarde. Sa petite amie.

[Doubles-Comptes :]

Spoiler:

Il la regardait ... et ne s’attendait pas à une réponse comme celle-là. En fait, il n’avait pas essayé d’imaginer la réponse de Mélanie, mais il n’avait pas vu venir une – ah bah oui – déclaration. Il en resta muet. Arrête Mel’, tu vas le faire pleurer. Il ne savait pas quoi dire. C’était tellement inattendu. Ma chère, que tu l’avais dans ta poche, c’était clair, mais là, t’as pas intérêt à le quitter un jour, parce qu’après ça, il ferait une dépression, c’est sûr. Les mots résonnaient à ses oreilles car ils signifiaient qu’elle l’aimait autant que lui, il était sur un petit nuage duquel il n’avait pas envie de redescendre. L’aiglon était encore silencieux, mais cette fois-ci, il agit. Mal’, avec sa douceur habituelle, yeux dans les yeux, tendit sa main libre pour frôler la joue de la jeune fille, un sourire sur le visage. Alors, il se pencha ce qu’il fallait – avec son mètre quatre-vingt un - pour l’embrasser. Quel pro, quand il s’y m’est, celui-là. Il recula son visage pour pouvoir la regarder et lui sourire, avant de l’embrasser à nouveau. Attention Mel’, il va te rattraper ! Bon, c’est bon Malichou, elle a comprit le message, tu peux la lâcher maintenant : ça te fait énormément plaisir, tu penses la même chose et tu l’aimes plus que tout. Ce baiser et ces sourires veulent dire tout ça. Le Serdaigle s’éloigna d’elle, pour reprendre son attitude timide, genre ‘je regarde mes pieds, oui, ne la regarde pas, c’est normal de s’embrasser quand on est un couple, mais moi je ne suis pas spécialement doué en matière de relations amoureuses, donc ça l’a peut-être surprise’

Le silence était retombé, mais ils souriaient. Quelques passants les avaient observés avec un air amusé ou attendri, avant de continuer leur chemin, tandis que lui réfléchissait à sa propre question. Chacun son tour ! Que pouvait-il bien lui demander ? Pas ses goûts musicaux, il les connaissait déjà, les sujets comme les films, les bouquins ou les séries ne l’intéresseraient probablement pas, et ce n’était pas ce qu’il leur fallait pour en apprendre plus l’un de l’autre. Le passé et l’entourage sont toujours intéressants. Hélas, c’étaient deux sujets dans lesquels Malcolm ne voulait pas trop s’enfoncer. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas de rester à leur surface et de les aborder quand même. Il n’avait qu’à se montrer prudent dans ses réponses, au cas où elle l’interrogerait également. Autant parler en marchant, alors il lui prit la main et recommença à clopiner. Saleté de béquille, tu vas le regretter. Mais je suis quand même content de t’avoir.

« Et, hum, tu as une grande famille ? Je lis la Gazette, il me semble avoir déjà lu ton nom de famille dedans, quelques fois. »

Ouep, Malcolm lit la Gazette du Sorcier, mais ça ne veut pas dire qu’il apprécie tout ce qui est écrit dedans. Elle est juste très utile pour se tenir au courant. Bref. Il ne pouvait aussi s’empêcher de penser à quelque chose d’autre : l’étape que tous les amoureux redoutent. En général, ce sont les parents de la jeune fille qui demandent à rencontrer le garçon, histoire de s’assurer que leur enfant est bien tombée. Sauf que Mal’ savait très bien que ses propres parents exigeraient également de rencontrer la première petite amie de leur fils. Maintenant, il ne savait pas si cela se faisait chez les Swann. Aussi enchaîna-t-il, laissant à Mélanie la capacité de répondre à ses deux questions en même temps.

« Mes parents voudront sûrement que je te présente, peut-être que les tiens aussi ? »

En attendant sa réponse qui n’allait pas tarder, Malcolm eut le temps de constater que la météo ne faisait que s’améliorer. Certes, un petit vent froid le faisait frissonner de temps à autre, mais le soleil réchauffait doucement sa peau. C’était très agréable. Pas un seul nuage dans le ciel, juste des oiseaux et l’astre solaire. Depuis combien de temps étaient-ils ici ? Pas longtemps, peut-être une heure ? Il n’en savait rien, car à vrai dire, il s’en fichait et ne le voyait pas passer. Parce qu’il était avec Mélanie. Sa Serpentarde. Sa petite amie.