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 Crise de bonbons [Ian]

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Crise de bonbons [Ian] _
MessageSujet: Crise de bonbons [Ian]   Crise de bonbons [Ian] EmptyVen 7 Jan - 5:54

Une journée longue, longue, longue… Toujours plus longue d’ailleurs. Toute façon, elle les trouvait toujours toutes longues les journées. Un cours de Déviance par-ci, un de Sortilège par-là, un nouveau de Déviance puis un de SCM, un de Vol, un de Potion (ça remontait un peu le tout), etc, etc… Bref, elle aimait pas. Bon, en même temps, on pourrait répondre : Mais qui aiiiiimeuh ?? Pas grand monde… Ou alors, juste les masochistes, et faut dire que dans cette école, les masochistes, ben ils étaient plutôt nombreux. Entre ceux qui cherchaient à accumuler le maximum de problèmes, ceux qui accumulaient plutôt les cours, comme s’ils étaient réellement fantastiques et ceux qui s’éclataient à s’envoyer des sorts à la figure, histoire de vérifier que leur baguette marchait bien, la demoiselle était bien entourée.

Bref, tout cela pour dire que notre chère Poufsouffle tant aimée trainait des pieds en revenant dans la salle commune, après s’être goinfrée comme une porc, et après s’être rappelée, bizarrement, alors qu’elle venait d’engouffrer un beignet à la pomme, qu’elle n’avait pas totalement fini son devoir d’Enchantement… Et l’enchantement, ben c’était pas spécialement sa matière favorite. Alors on peut comprendre pourquoi elle allait plutôt à reculons dans la salle commune, préférant, de loin, vagabonder un peu partout dans les couloirs, à ne rien faire de spécial.

Et pourtant, elle ne mis pas tellement longtemps à rejoindre la salle. Un mot de passe et hop ! Voilà que mademoiselle se retrouve entourée de tous pleins de blaireaux, grands ou petits, femelles ou mâles, avec des lunettes ou avec des boutons, avec des baguettes ou avec des bonbons (waah j’ai fait des rimes \o/ )… Tiens des bonbons ! Et si elle faisait un petit tour dans sa chambre avant de s’installer sur l’un des fauteuils extra-moelleux de la salle ? Mais c’est qu’elle avait eu une rudement bonne idée là ! En plus, cela lui permettrait de perdre bien vingt minutes avant de devoir être finalement totalement obligée de bosser. Parce que bosser say le mal !

Brefouille, quelques petites marches et la demoiselle se retrouve dans sa marche, cherchant, à quatre pattes où aurait bien pu se cacher le paquet de bonbons qu’elle avait acheté la veille. Et elle avait beau cherché un peu partout dans la pièce, rien n’y faisait, il ne réapparaissait pas Et même qu’un petit accio ne marcha même pas. Les indices étaient sûrs : on lui avait piqué son paquet et mangé tous les bonbons. Et là, ce n’était pas bien mais alors pas bien du tout du tout ! Qu’est-ce qu’elle allait faire maintenant qu’elle n’avait plus de bonbons ? Comment pourrait-elle se concentrer convenablement pour son devoir ? Impossible… les bonbons étaient réellement son aide de travail et, de toute façon, sans, elle ne pouvait absolument pas bosser.

Du coup, la jeune dévala les escaliers (et je dis bien dévala parce qu’une Vaï sans bonbons, ben c’est une Vaï assez énervée, assez excitée, assez speed) et fit irruption dans la salle commune, zieutant un peu tout le monde, histoire de dénicher qui avait osé manger ses bonbons et surtout ! Qui pourrait lui en passer…
Sauf que, bien évidemment, personne n’était en train de manger de bonbons… Mais si, devait bien y avoir au moins un jaune qui engouffrait des bonbons en cachette non ?

Notre jeunette se mit donc dans le devoir de demander à toute les personnes qu’elle connaissait de près ou de loin voire même qu’elle ne connaissait pas du tout, histoire que les gens ait de la pitié pour elle et lui donne deux-trois bonbons… ou quatre-cinq. Enfin, même à ce niveau-là, elle acceptait dix-vingt sucreries.
Sauf que, bizarrement, les gens n’étaient pas coopératifs du tout et la demoiselle n’eut même pas droit à un seul petit bonbon de couleur. Vaïrana fut de plus en plus bougonnante, râlant contre ces idiots de Poufsouffles qui ne possédaient même pas quelques sucreries en poche. Servent à rien les jeunes de nos jours !

Finalement, elle se retourna vers la dernière personne qu’elle n’avait pas encore dérangée, Ian, un Poufsouffle de la même année qu’elle, qu’elle ne connaissait pourtant pas tant que ça. Bon, certes, elle avait déjà discuté avec lui… de devoirs… Bon, ok, elle ne le connaissait vraiment que très peu… voire pas du tout… Elle était tout de même au courant de son nom, chose qui était plutôt utile dans cette situation.


S’il te plait Ian, dis-moi que t’as des bonbons à m’offrir… Je ne sais vraiment pas ce que je vais devenir sans… Me faut du suuuuuuuuuucreuh !

Comment vous décrire la situation… Disons que la plupart des Poufsouffles avait les yeux rivés sur la folle dingue, agenouillée près du bonhomme, un air de suplice dans les yeux.
Ian était son dernier espoir !

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Crise de bonbons [Ian] _
MessageSujet: Re: Crise de bonbons [Ian]   Crise de bonbons [Ian] EmptyDim 9 Jan - 14:46

[avec toi, je ne peux faire que des longs RP! En espérant que ça te plaise!]

Penché au-dessus de son parchemin, Ian commençait à suer à grosses gouttes. Peut-être devrait-il s’éloigner du feu de cheminée qui brûlait assez efficacement la froideur des dessous de Poudlard où les Poufsouffles passaient la majorité de leur temps? Peut-être devrait-il enlever son poncho chaud et épais (et original) qu’il avait choisi de mettre le matin-même? Peut-être devrait-il tout simplement faire fonctionner son cerveau un peu moins fort? Car le jeune homme était concentré depuis maintenant une bonne demi-heure sur ce petit bout de parchemin qui lui pourrissait la vie depuis bien trop longtemps.

Trois fourmis marchent en file indienne.
La première dit : "Une fourmis me suit"
La seconde dit : "Une fourmis me suit"
La troisième dit : "Une fourmis me suit"
les fourmis disent la vérité, pourquoi?

C’était idiot. Très idiot. Une simple petite énigme, sous la forme d’un jeu, écrite en pattes de mouches (ou de fourmis ?) sur un parchemin décoré de 1001 petits tracés et gribouillis. La réponse était sans doute aussi idiote que la question (c’était souvent le cas dans ce genre de trucs) mais par orgueil et par curiosité, le poète ne pouvait pas se résoudre à abandonner. Il n’était pas question non plus qu’il aille voir son ami qui lui avait proposé l’énigme. Ça aurait été là de lui faire trop plaisir que d’annoncer sa défaite.

D’un coup de baguette magique, il avait fait apparaître trois petites fourmis sur la petite table sur laquelle il s‘était installé près du feu. Il les avait placées l’une derrière l’autre en respectant la règle de la file indienne proposée. Elles étaient chacune à un centimètre de distances et semblaient toutes les trois regarder le sorcier d’un regard cinglant, comme pour le presser à trouver la bonne réponse. Mais Ian avait beau chercher, avait beau changer l’ordre des fourmis, il n’y parvenait pas. Il finit par lâcher un énorme soupir en repousser les trois petites figurines sur le sol du revers de sa main, se contentant de gribouiller des essais sur ce qui restait de libre sur son parchemin.

Surconcentré, on pouvait dire que le cerveau du blaireau commençait à surchauffer. Les gens commençaient à le regarder étrangement. Son front était maintenant tout humide et de petites gouttes tombaient à un rythme régulier sur la table par-dessus laquelle il était penché. Entre deux idées, il sortait une friandise d’un petit sac qu’il avait glissé tout juste à côté de lui, comme si le sucre allait lui donner un coup de génie… De temps à autres, il observait ce qui se passait autour de lui. Les Poufsouffles n’étaient pas très travaillants, ce soir là, ce qui étonna assez le garçon. Par petits groupes (ou grands groupes), ils parlaient, criaient parfois et riaient beaucoup. Lorsqu’il croisait des regards, les gens lui envoyaient la main et l’invitaient à venir les rejoindre. D’un signe de tête, il montrait qu’il était en train de travailler et qu’il viendrait probablement plus tard dans la soirée. Puis il retournait à son énigme, puis il remangeait des friandises, puis il refaisait un tour de salle avec ses yeux.

La routine assez monotone fut rompue par cette Vaïrana Prue. De la même année que lui, ils avaient eu la plupart de leurs cours en commun au cours de leur scolarité, mais assez étrangement, ils ne s’étaient pas vraiment liés d’amitié. Les deux avaient chacun leurs amis et ce n’était probablement que par hasard qu’il n’avait pas eu la chance de la connaître davantage. Oh oui, ils se parlaient assez fréquemment… mais leurs conversations restaient assez superficielles, portaient sur un devoir à remettre ou sur la météo.

Si Vaïrana donnait l’impression d’être une fille assez dynamique et plutôt vivante, la fille que Ian voyait devant lui semblait plutôt SURexcitée. Ses yeux étaient ceux d’un carnivore n’ayant rien mangé depuis trois mois. Elle semblait énervée à un point tel qu’elle avait un air qui faisait presque peur. Son premier réflexe à son arrivée fut de reculer un peu, comme pour prendre du recul et pouvoir avoir un aperçu plus global de la jeune femme.

Ce qu’elle lui demanda ressemblait à un message de pitié, comme si elle en était aux derniers instants de sa vie. La jeune jaune voulait du sucre, elle voulait des bonbons, des friandises. Cela semblait être une question de vie de mort et Ian ne put s’empêcher de se mettre à rire, trouvant la situation presque aussi étrange que lui-même. OK, son rire était un peu exagéré, un peu trop long… mais les gens connaissaient Ian Shakespeare Young : il ne faisait jamais comme les autres. Il faisait soit moins, soit plus, mais jamais pareil !

Le jeune homme vit donc l’arrivée de Prue comme un signe du destin. Elle était venue le sauver, lui amener la Vérité. Oh oui ! Il allait pouvoir en finir avec cette satanée énigme !


« Oui, j’ai un sac rempli de friandises à côté de moi, Vaïrana… et crois-moi, elles sont dé-li-cieu-ses ! Il y a des réglises, et des jujubes, et des chocogrenouilles, et des dragées, mais seulement les bonnes là. J’ai enlevé celles qui goûtent le vomit et la poubelle ! »

Il avait pris soin de détacher chacune des syllabes du mot « délicieuses », faisant exprès pour mettre davantage l’eau à la bouche à la jeune surexcitée. Puis, la description de son sac à bonbons pourrait sans doute donner un argument de poids pour que la jeune fille accepte de l’aider. Il continua alors, pointa son doigt vers le ciel :

« MAIS ! Tu ne les auras pas si facilement, jeune fille ! Tu devras répondre à cette énigme !

Trois fourmis marchent en file indienne.
La première dit : "Une fourmis me suit"
La seconde dit : "Une fourmis me suit"
La troisième dit : "Une fourmis me suit"
les fourmis disent la vérité, pourquoi? »


Et Ian ne put s’empêcher de rire encore une fois. C’est que la manière dont il avait dit l’énigme lui faisait affreusement penser à ce « Père Fouras » qui posait des questions aux participants d’un émission moldus du nom de « Fort Boyard » qu’il écoutait souvent avec ses parents lorsqu’il était plus jeune. S’il avait eu la figure un peu plus plissée, et une longue barbe blanche, il aurait pu auditionner pour le rôle !

« Ouais, ça fait Père Fouras un peu… Mais crois-moi, tu réponds et je te laisse mon sac de friandises en entier ! »

Vaïrana connaissait-elle cet émission de télévision ? Il ne connaissait aucunement ses origines ! Mais bon, après tout, on s’en fout ! L’important, c’était qu’elle démontre au jeune homme si elle était réellement une surfemme !
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MessageSujet: Re: Crise de bonbons [Ian]   Crise de bonbons [Ian] EmptyJeu 20 Jan - 4:47

YOUPEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Il avait de quoi la nourrir !! Mais c’est que c’était un super ami ce mec-là ! Elle allait enfin pouvoir approvisionner son cerveau et faire un petit truc avec son devoir !
Jetant un coup d’œil avide à la poche de bonbons que Ian présentait, la demoiselle remarqua, qu’effectivement, il semblait n’y avoir aucune discrimination : ils étaient tous là. Ou du moins, une grande majorité de bonbons était là. Ou seulement les meilleurs… Enfin bref, il y en avait pas mal quoi !

Devenant donc toute mielleuse, elle lança un regard d’ange au garçon, signifiant, de la même façon, qu’elle était prête à recevoir le trésor. Son sourire devint même légèrement séduisant, cherchant, par tous les moyens, de faire craquer le Poufsouffle pour que ce dernier lui largue sa marchandise. Oui, sauf que ça ne marcha pas tout à fait ainsi. Dommage pour notre petite !

Lorsque le MAIS sortit de la bouche du garçon, elle crut qu’elle allait le frapper. Pourquoi y avait-il un MAIS ? Que venait-il faire là ? Non, il n’avait pas le droit ! Pourquoi les gens avaient-ils toujours besoin qu’un échange s’effectue ? Il ne pouvait pas lui donner quelques friandises juste pour lui faire plaisir, tout simplement ? Pourquoi fallait-il qu’il rajoute une condition ? Pffff, tout le monde était pareil…

Le pire dans l’histoire fut la suite de la condition. Résoudre une énigme… Elle avait la tête d’Hermione Granger ou quoi ?! Oh, ça suffit là ! Elle n’a aucune imagination notre petite, elle NE sait PAS résoudre les énigmes…
Quand elle avait eu dix ans, ses parents lui avait offert un livre d’énigme, vous savez, ces trucs idiots où il y a tout plein de questions aussi tordues les unes que les autres… Ben dîtes-vous que Vaï a commencé par lire les réponses avant les énoncés. C’était tout bonnement impossible que la jeune résolve ne serait-ce que la plus simple des énigmes…


Euh… Dommage pour toi, tu n’es pas tombé sur LA personne qui sait résoudre les énigmes… D’ailleurs, je les évite comme la peste les énigmes..

Oui, sauf que cette fois-ci, c’était tout un paquet de friandises qui était en jeu. Et rien que pour ça, elle acceptait de s’intéresser au truc. Attention, j’ai bien dit intéresser. Faut pas non plus croire que la lumière va subitement s’allumer dans le crâne de la Jaune. Namého !

Vaincue, elle s’assit au sol, en tailleur, face à la table où les trois fourmis vagabondaient. Ah tiens, et si elle rajoutait les fourmis sur la liste des choses qu’elle détestait ? Saletés de six-pattes…
Elle resta là, devant les bestioles, à réfléchir. Réflexion qui ne dura qu’une minute avant qu’elle ne se retourne, de manière totalement désemparée vers le garçon.


Mais pourquoooooi tu me fais çaaaaa ! T’es un monstre..

Et hop ! la voilà qui récupéra de nouveau son petit air d’ange si mignon qui ne sert à rien. Non, à cette heure-ci de la journée, elle n’était pas une surfemme et d’ailleurs, on peut le dire, Vaï n’a jamais été et ne sera jamais une surfemme. Faut pas en attendre trop de la jeune fille…

Elle finit par revenir à genoux, ramenant ses mains à la façon d’une prière et posant ses coudes sur les genoux du jeune homme.


C’est impossible ton truc ! A moins qu’elles ne soient en cercle… Demande moi autre chose si tu veux mais pas de résoudre une énigme, je suis vraiment une pourriture, une bonne à rien, une nulle, une zéro, une catastrophe, une cancre, une idiote, une incapable, une incompétente, une minable et une sotte pour ce genre de chose… Par contre je peux faire ton devoir de potions si tu veux !

Oui, on s’en sort un peu comme on peut… Et là, ben elle avait choisi de se dégrader au maximum. Peut-être bien que ça marcherait ?

On y croit ~

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