« Putain Lily, rends-moi ça ! »
« Puis quoi encore ! Tu t’excuses, et je te le rends ! »
« Elle est assez grande pour se débrouiller toute seule ! »
« Ta gueule, je ne t’ai pas demandé les mensurations de ton dernier plan cul, juste des excuses en bonne et due forme, sinon le contenu de ce torche-merde pourrait très vite se retrouver dans les pattes du Sinistros ! »

Les Serpentard, qui suivaient la gueulante sans broncher, laissèrent échapper de petits ricanements sournois, la base même du prédateur qui a ferré un joli herbivore sans danger. Là en l’occurrence, l’herbivore était la sixième année qui avait osé s’en prendre à Dominique, la cousine de Lily, que la jeune Potter protégeait comme un alpha protège sa meute. Elle détestait qu’on fasse du mal à sa cousine. Or, quand elle avait vu Domi revenir avec un bleu à la joue et un regard de tueuse, Lily s’était rapidement mise au courant, avait pété son câble en apprenant qu’une pétasse de cinquième année emmerdait sa cousine, avait coincé ladite cinquième année et la torturait mentalement maintenant. Notamment en la menaçant de balancer son prétendu journal intime au grand jour, de l’envoyer à l’équipe du journal de Poudlard, ironiquement nommée le Sinistros, sauf si elle allait faire des excuses à sa cousine. Et comme on pouvait s’y attendre, la cinquième année fulminait, lui gueulait dessus, hurlements auxquels elle répondait avec froideur et une once de menace. Une petite pause d’une heure avant de reprendre les cours, ce n’est pas toujours si reposant qu’on le croit. Les élèves vautrés dans la salle commune, immobiles et silencieux, suivaient la dispute avec un sourire de carnassier, ce qui amusait beaucoup Lily. Bon, son problème, c’est que la sixième année refusait de s’excuser et commençait à devenir soulante. Finalement, elle péta les plombs et s’approcha d’elle pour lui foutre une raclée, chose rendue facile par les dix centimètres de plus qu’elle avait sur la petite Potter. Mais la Potter, en fait, était agoraphobe et fuyait le contact comme la peste, elle avait donc appris à s’en prévenir. Là, ce fut en esquivant le coup de poing, en attrapant le bras de la cinquième année tout en lui balançant un coup de genou dans l’estomac, et finalement lui faucher les jambes pour qu’elle se vautre lamentablement au sol. Sous les sifflets des Serpentard morts de rire. Dominique, assise près du feu, avait un petit sourire amusé, même si comme Lily, elle détestait qu’on se mêle de ses affaires. Pour hâter les choses, Lily ouvrit le journal en reculant, et se mit à lire à voix haute.

« Cher journal. Oh, intéressant tout ça, tu dis cher journal ? Aujourd’hui, j’ai rencontré un garçon très séduisant, je pense que je vais le draguer sous peu. Eh bien dis-donc, intéressante ta vie. La suite est mieux ! Tout d’abord, je vais … »
« Ok, ça va ! Je m’excuse, rends-moi ça ! »
« Pauvre traînée, ta mère a du confondre ton père avec une poubelle au moment où elle cuvait sa vinasse. Tu me fais pitié. Touche encore ma cousine et je te fais vomir des limaces. »

Au milieu des rires méprisants des Serpentard, elle lui balança son journal dessus et retourna vers son siège pour récupérer son sac bandoulière et son écharpe qu’elle remit d’un mouvement d’initiée. Elle regarda du coin de l’œil son adversaire s’esquiver par la porte dérobée qui menait aux cachots, et se tourna vers sa cousine pour lever le pouce en signe de victoire. Attrapant l’anse de son sac bandoulière, elle quitta à son tour la salle commune et se mit en route d’un pas de balade, pour se diriger vers sa salle de cours. Etude des Runes. Bon, elle avait un peu la flemme, connaissait sa leçon, certes, mais n’avait carrément pas envie d’y aller. La prof était une jolie petite blonde qui ne lui inspirait pas vraiment du respect, mais plutôt une envie de rigoler plus qu’autre chose. Bon, pour avoir le respect de la jeune Potter, c’était aléatoire, dirons-nous. Ted, pardon, le professeur Lupin, avait son respect parce qu’il savait se faire respecter sans finir en prof sévère et pète-sec. La prof de runes, heu … Pour le moment, elle ne l’avait pas trop vue sourire, quoi. Elle en était restée à l’image de la jeune prof qui fait la sévère pour se faire respecter, ce qui n’est pas très flatteur. Mais bon, il fallait qu’elle aille en cours, parce qu’elle avait rendez-vous avec un beau gosse intégral, j’ai nommé Nathan Raven ! Esquissant un petit sourire, Lily accéléra le pas, grimpant les étages quatre à quatre, et entrant en coup de vent dans la salle de classe, poussant en râlant les gens qui refusaient de se pousser, et chercha Nathan du regard. Et le trouva. Et fronça des sourcils, avant de se diriger vers la table où était SON Nathan. Se mettant juste derrière la brune de cinquième année avec laquelle elle s’était engueulée, qui était tranquillement en train de draguer Nathan.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai envoyé bouler une pétasse, et si elle ne vire pas immédiatement de là, je pense que je lui refais le portrait. En effet, une petite manucure ne lui ferait que le plus grand bien, vu sa gueule de déchet social. »
« Encore toi ! Putain mais tu ne peux pas me foutre la paix, non ?! »
« Pas de ma faute si la merde semble s’amonceler devant mes pompes. Allez, vire de là, le jeune homme très séduisant semble préférer ma présence à la tienne. »

Poussant un grand soupir, la cinquième année préféra prendre le large, sans doute intimidée par l’aura métallique et froide qui émanait de Lily. Lily jalouse, oh que oui, personne ne tourne autour de son futur copain. Posant son sac au sol, elle s’assit à côté de Nathan, salua Lucy d’un signe de la main et ignora délibérément le sourire complice de sa cousine. Fuis, Lily, c’est ma housse de couette personnelle. Se tournant vers Nathan, elle lui envoya un sourire Colgate irrésistible et charmeur, le genre de sourire à dix points.

« Il semblerait qu’il ait pas mal de succès, le beau gosse, hein. Pas mal tes cheveux ! Bon d’accord, je les aime beaucoup, tout comme ton odeur mais personne n’a entendu à part toi et moi bien sûr … Hem, ouais, il vaut mieux que je me taise. »

Elle se pencha vers son sac pour attraper sa trousse, et assista à l’entrée en fanfare de la prof d’étude des runes, qui gueula pour obtenir le silence, se présenter au cas où on ne la connaîtrait pas alors qu’on l’avait depuis la troisième année, hm cherchez l’erreur … Et posa une question à laquelle Lily avait la réponse. Mais la flemme de répondre, mieux valait se concentrer sur beau gosse à côté d’elle. Baissant la tête le temps de sortir sa plume, elle murmura tout bas à l’intention de Nathan :

« Elle a l’air tellement chaleureuse, cette prof, l’ambiance risque d’être aussi festive que pendant les cours de déviance magique … »

Puis comme personne ne levait la main, ce fut finalement elle, avec un soupir réprimé, qui s’y colla. Et oui, donc, elle leva la main avec fatalisme. Allez, autant s’en débarrasser maintenant, et puis voilà.

[Messages :]

« Putain Lily, rends-moi ça ! »
« Puis quoi encore ! Tu t’excuses, et je te le rends ! »
« Elle est assez grande pour se débrouiller toute seule ! »
« Ta gueule, je ne t’ai pas demandé les mensurations de ton dernier plan cul, juste des excuses en bonne et due forme, sinon le contenu de ce torche-merde pourrait très vite se retrouver dans les pattes du Sinistros ! »

Les Serpentard, qui suivaient la gueulante sans broncher, laissèrent échapper de petits ricanements sournois, la base même du prédateur qui a ferré un joli herbivore sans danger. Là en l’occurrence, l’herbivore était la sixième année qui avait osé s’en prendre à Dominique, la cousine de Lily, que la jeune Potter protégeait comme un alpha protège sa meute. Elle détestait qu’on fasse du mal à sa cousine. Or, quand elle avait vu Domi revenir avec un bleu à la joue et un regard de tueuse, Lily s’était rapidement mise au courant, avait pété son câble en apprenant qu’une pétasse de cinquième année emmerdait sa cousine, avait coincé ladite cinquième année et la torturait mentalement maintenant. Notamment en la menaçant de balancer son prétendu journal intime au grand jour, de l’envoyer à l’équipe du journal de Poudlard, ironiquement nommée le Sinistros, sauf si elle allait faire des excuses à sa cousine. Et comme on pouvait s’y attendre, la cinquième année fulminait, lui gueulait dessus, hurlements auxquels elle répondait avec froideur et une once de menace. Une petite pause d’une heure avant de reprendre les cours, ce n’est pas toujours si reposant qu’on le croit. Les élèves vautrés dans la salle commune, immobiles et silencieux, suivaient la dispute avec un sourire de carnassier, ce qui amusait beaucoup Lily. Bon, son problème, c’est que la sixième année refusait de s’excuser et commençait à devenir soulante. Finalement, elle péta les plombs et s’approcha d’elle pour lui foutre une raclée, chose rendue facile par les dix centimètres de plus qu’elle avait sur la petite Potter. Mais la Potter, en fait, était agoraphobe et fuyait le contact comme la peste, elle avait donc appris à s’en prévenir. Là, ce fut en esquivant le coup de poing, en attrapant le bras de la cinquième année tout en lui balançant un coup de genou dans l’estomac, et finalement lui faucher les jambes pour qu’elle se vautre lamentablement au sol. Sous les sifflets des Serpentard morts de rire. Dominique, assise près du feu, avait un petit sourire amusé, même si comme Lily, elle détestait qu’on se mêle de ses affaires. Pour hâter les choses, Lily ouvrit le journal en reculant, et se mit à lire à voix haute.

« Cher journal. Oh, intéressant tout ça, tu dis cher journal ? Aujourd’hui, j’ai rencontré un garçon très séduisant, je pense que je vais le draguer sous peu. Eh bien dis-donc, intéressante ta vie. La suite est mieux ! Tout d’abord, je vais … »
« Ok, ça va ! Je m’excuse, rends-moi ça ! »
« Pauvre traînée, ta mère a du confondre ton père avec une poubelle au moment où elle cuvait sa vinasse. Tu me fais pitié. Touche encore ma cousine et je te fais vomir des limaces. »

Au milieu des rires méprisants des Serpentard, elle lui balança son journal dessus et retourna vers son siège pour récupérer son sac bandoulière et son écharpe qu’elle remit d’un mouvement d’initiée. Elle regarda du coin de l’œil son adversaire s’esquiver par la porte dérobée qui menait aux cachots, et se tourna vers sa cousine pour lever le pouce en signe de victoire. Attrapant l’anse de son sac bandoulière, elle quitta à son tour la salle commune et se mit en route d’un pas de balade, pour se diriger vers sa salle de cours. Etude des Runes. Bon, elle avait un peu la flemme, connaissait sa leçon, certes, mais n’avait carrément pas envie d’y aller. La prof était une jolie petite blonde qui ne lui inspirait pas vraiment du respect, mais plutôt une envie de rigoler plus qu’autre chose. Bon, pour avoir le respect de la jeune Potter, c’était aléatoire, dirons-nous. Ted, pardon, le professeur Lupin, avait son respect parce qu’il savait se faire respecter sans finir en prof sévère et pète-sec. La prof de runes, heu … Pour le moment, elle ne l’avait pas trop vue sourire, quoi. Elle en était restée à l’image de la jeune prof qui fait la sévère pour se faire respecter, ce qui n’est pas très flatteur. Mais bon, il fallait qu’elle aille en cours, parce qu’elle avait rendez-vous avec un beau gosse intégral, j’ai nommé Nathan Raven ! Esquissant un petit sourire, Lily accéléra le pas, grimpant les étages quatre à quatre, et entrant en coup de vent dans la salle de classe, poussant en râlant les gens qui refusaient de se pousser, et chercha Nathan du regard. Et le trouva. Et fronça des sourcils, avant de se diriger vers la table où était SON Nathan. Se mettant juste derrière la brune de cinquième année avec laquelle elle s’était engueulée, qui était tranquillement en train de draguer Nathan.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai envoyé bouler une pétasse, et si elle ne vire pas immédiatement de là, je pense que je lui refais le portrait. En effet, une petite manucure ne lui ferait que le plus grand bien, vu sa gueule de déchet social. »
« Encore toi ! Putain mais tu ne peux pas me foutre la paix, non ?! »
« Pas de ma faute si la merde semble s’amonceler devant mes pompes. Allez, vire de là, le jeune homme très séduisant semble préférer ma présence à la tienne. »

Poussant un grand soupir, la cinquième année préféra prendre le large, sans doute intimidée par l’aura métallique et froide qui émanait de Lily. Lily jalouse, oh que oui, personne ne tourne autour de son futur copain. Posant son sac au sol, elle s’assit à côté de Nathan, salua Lucy d’un signe de la main et ignora délibérément le sourire complice de sa cousine. Fuis, Lily, c’est ma housse de couette personnelle. Se tournant vers Nathan, elle lui envoya un sourire Colgate irrésistible et charmeur, le genre de sourire à dix points.

« Il semblerait qu’il ait pas mal de succès, le beau gosse, hein. Pas mal tes cheveux ! Bon d’accord, je les aime beaucoup, tout comme ton odeur mais personne n’a entendu à part toi et moi bien sûr … Hem, ouais, il vaut mieux que je me taise. »

Elle se pencha vers son sac pour attraper sa trousse, et assista à l’entrée en fanfare de la prof d’étude des runes, qui gueula pour obtenir le silence, se présenter au cas où on ne la connaîtrait pas alors qu’on l’avait depuis la troisième année, hm cherchez l’erreur … Et posa une question à laquelle Lily avait la réponse. Mais la flemme de répondre, mieux valait se concentrer sur beau gosse à côté d’elle. Baissant la tête le temps de sortir sa plume, elle murmura tout bas à l’intention de Nathan :

« Elle a l’air tellement chaleureuse, cette prof, l’ambiance risque d’être aussi festive que pendant les cours de déviance magique … »

Puis comme personne ne levait la main, ce fut finalement elle, avec un soupir réprimé, qui s’y colla. Et oui, donc, elle leva la main avec fatalisme. Allez, autant s’en débarrasser maintenant, et puis voilà.

[Points :]

« Putain Lily, rends-moi ça ! »
« Puis quoi encore ! Tu t’excuses, et je te le rends ! »
« Elle est assez grande pour se débrouiller toute seule ! »
« Ta gueule, je ne t’ai pas demandé les mensurations de ton dernier plan cul, juste des excuses en bonne et due forme, sinon le contenu de ce torche-merde pourrait très vite se retrouver dans les pattes du Sinistros ! »

Les Serpentard, qui suivaient la gueulante sans broncher, laissèrent échapper de petits ricanements sournois, la base même du prédateur qui a ferré un joli herbivore sans danger. Là en l’occurrence, l’herbivore était la sixième année qui avait osé s’en prendre à Dominique, la cousine de Lily, que la jeune Potter protégeait comme un alpha protège sa meute. Elle détestait qu’on fasse du mal à sa cousine. Or, quand elle avait vu Domi revenir avec un bleu à la joue et un regard de tueuse, Lily s’était rapidement mise au courant, avait pété son câble en apprenant qu’une pétasse de cinquième année emmerdait sa cousine, avait coincé ladite cinquième année et la torturait mentalement maintenant. Notamment en la menaçant de balancer son prétendu journal intime au grand jour, de l’envoyer à l’équipe du journal de Poudlard, ironiquement nommée le Sinistros, sauf si elle allait faire des excuses à sa cousine. Et comme on pouvait s’y attendre, la cinquième année fulminait, lui gueulait dessus, hurlements auxquels elle répondait avec froideur et une once de menace. Une petite pause d’une heure avant de reprendre les cours, ce n’est pas toujours si reposant qu’on le croit. Les élèves vautrés dans la salle commune, immobiles et silencieux, suivaient la dispute avec un sourire de carnassier, ce qui amusait beaucoup Lily. Bon, son problème, c’est que la sixième année refusait de s’excuser et commençait à devenir soulante. Finalement, elle péta les plombs et s’approcha d’elle pour lui foutre une raclée, chose rendue facile par les dix centimètres de plus qu’elle avait sur la petite Potter. Mais la Potter, en fait, était agoraphobe et fuyait le contact comme la peste, elle avait donc appris à s’en prévenir. Là, ce fut en esquivant le coup de poing, en attrapant le bras de la cinquième année tout en lui balançant un coup de genou dans l’estomac, et finalement lui faucher les jambes pour qu’elle se vautre lamentablement au sol. Sous les sifflets des Serpentard morts de rire. Dominique, assise près du feu, avait un petit sourire amusé, même si comme Lily, elle détestait qu’on se mêle de ses affaires. Pour hâter les choses, Lily ouvrit le journal en reculant, et se mit à lire à voix haute.

« Cher journal. Oh, intéressant tout ça, tu dis cher journal ? Aujourd’hui, j’ai rencontré un garçon très séduisant, je pense que je vais le draguer sous peu. Eh bien dis-donc, intéressante ta vie. La suite est mieux ! Tout d’abord, je vais … »
« Ok, ça va ! Je m’excuse, rends-moi ça ! »
« Pauvre traînée, ta mère a du confondre ton père avec une poubelle au moment où elle cuvait sa vinasse. Tu me fais pitié. Touche encore ma cousine et je te fais vomir des limaces. »

Au milieu des rires méprisants des Serpentard, elle lui balança son journal dessus et retourna vers son siège pour récupérer son sac bandoulière et son écharpe qu’elle remit d’un mouvement d’initiée. Elle regarda du coin de l’œil son adversaire s’esquiver par la porte dérobée qui menait aux cachots, et se tourna vers sa cousine pour lever le pouce en signe de victoire. Attrapant l’anse de son sac bandoulière, elle quitta à son tour la salle commune et se mit en route d’un pas de balade, pour se diriger vers sa salle de cours. Etude des Runes. Bon, elle avait un peu la flemme, connaissait sa leçon, certes, mais n’avait carrément pas envie d’y aller. La prof était une jolie petite blonde qui ne lui inspirait pas vraiment du respect, mais plutôt une envie de rigoler plus qu’autre chose. Bon, pour avoir le respect de la jeune Potter, c’était aléatoire, dirons-nous. Ted, pardon, le professeur Lupin, avait son respect parce qu’il savait se faire respecter sans finir en prof sévère et pète-sec. La prof de runes, heu … Pour le moment, elle ne l’avait pas trop vue sourire, quoi. Elle en était restée à l’image de la jeune prof qui fait la sévère pour se faire respecter, ce qui n’est pas très flatteur. Mais bon, il fallait qu’elle aille en cours, parce qu’elle avait rendez-vous avec un beau gosse intégral, j’ai nommé Nathan Raven ! Esquissant un petit sourire, Lily accéléra le pas, grimpant les étages quatre à quatre, et entrant en coup de vent dans la salle de classe, poussant en râlant les gens qui refusaient de se pousser, et chercha Nathan du regard. Et le trouva. Et fronça des sourcils, avant de se diriger vers la table où était SON Nathan. Se mettant juste derrière la brune de cinquième année avec laquelle elle s’était engueulée, qui était tranquillement en train de draguer Nathan.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai envoyé bouler une pétasse, et si elle ne vire pas immédiatement de là, je pense que je lui refais le portrait. En effet, une petite manucure ne lui ferait que le plus grand bien, vu sa gueule de déchet social. »
« Encore toi ! Putain mais tu ne peux pas me foutre la paix, non ?! »
« Pas de ma faute si la merde semble s’amonceler devant mes pompes. Allez, vire de là, le jeune homme très séduisant semble préférer ma présence à la tienne. »

Poussant un grand soupir, la cinquième année préféra prendre le large, sans doute intimidée par l’aura métallique et froide qui émanait de Lily. Lily jalouse, oh que oui, personne ne tourne autour de son futur copain. Posant son sac au sol, elle s’assit à côté de Nathan, salua Lucy d’un signe de la main et ignora délibérément le sourire complice de sa cousine. Fuis, Lily, c’est ma housse de couette personnelle. Se tournant vers Nathan, elle lui envoya un sourire Colgate irrésistible et charmeur, le genre de sourire à dix points.

« Il semblerait qu’il ait pas mal de succès, le beau gosse, hein. Pas mal tes cheveux ! Bon d’accord, je les aime beaucoup, tout comme ton odeur mais personne n’a entendu à part toi et moi bien sûr … Hem, ouais, il vaut mieux que je me taise. »

Elle se pencha vers son sac pour attraper sa trousse, et assista à l’entrée en fanfare de la prof d’étude des runes, qui gueula pour obtenir le silence, se présenter au cas où on ne la connaîtrait pas alors qu’on l’avait depuis la troisième année, hm cherchez l’erreur … Et posa une question à laquelle Lily avait la réponse. Mais la flemme de répondre, mieux valait se concentrer sur beau gosse à côté d’elle. Baissant la tête le temps de sortir sa plume, elle murmura tout bas à l’intention de Nathan :

« Elle a l’air tellement chaleureuse, cette prof, l’ambiance risque d’être aussi festive que pendant les cours de déviance magique … »

Puis comme personne ne levait la main, ce fut finalement elle, avec un soupir réprimé, qui s’y colla. Et oui, donc, elle leva la main avec fatalisme. Allez, autant s’en débarrasser maintenant, et puis voilà.

[Avatar :]

« Putain Lily, rends-moi ça ! »
« Puis quoi encore ! Tu t’excuses, et je te le rends ! »
« Elle est assez grande pour se débrouiller toute seule ! »
« Ta gueule, je ne t’ai pas demandé les mensurations de ton dernier plan cul, juste des excuses en bonne et due forme, sinon le contenu de ce torche-merde pourrait très vite se retrouver dans les pattes du Sinistros ! »

Les Serpentard, qui suivaient la gueulante sans broncher, laissèrent échapper de petits ricanements sournois, la base même du prédateur qui a ferré un joli herbivore sans danger. Là en l’occurrence, l’herbivore était la sixième année qui avait osé s’en prendre à Dominique, la cousine de Lily, que la jeune Potter protégeait comme un alpha protège sa meute. Elle détestait qu’on fasse du mal à sa cousine. Or, quand elle avait vu Domi revenir avec un bleu à la joue et un regard de tueuse, Lily s’était rapidement mise au courant, avait pété son câble en apprenant qu’une pétasse de cinquième année emmerdait sa cousine, avait coincé ladite cinquième année et la torturait mentalement maintenant. Notamment en la menaçant de balancer son prétendu journal intime au grand jour, de l’envoyer à l’équipe du journal de Poudlard, ironiquement nommée le Sinistros, sauf si elle allait faire des excuses à sa cousine. Et comme on pouvait s’y attendre, la cinquième année fulminait, lui gueulait dessus, hurlements auxquels elle répondait avec froideur et une once de menace. Une petite pause d’une heure avant de reprendre les cours, ce n’est pas toujours si reposant qu’on le croit. Les élèves vautrés dans la salle commune, immobiles et silencieux, suivaient la dispute avec un sourire de carnassier, ce qui amusait beaucoup Lily. Bon, son problème, c’est que la sixième année refusait de s’excuser et commençait à devenir soulante. Finalement, elle péta les plombs et s’approcha d’elle pour lui foutre une raclée, chose rendue facile par les dix centimètres de plus qu’elle avait sur la petite Potter. Mais la Potter, en fait, était agoraphobe et fuyait le contact comme la peste, elle avait donc appris à s’en prévenir. Là, ce fut en esquivant le coup de poing, en attrapant le bras de la cinquième année tout en lui balançant un coup de genou dans l’estomac, et finalement lui faucher les jambes pour qu’elle se vautre lamentablement au sol. Sous les sifflets des Serpentard morts de rire. Dominique, assise près du feu, avait un petit sourire amusé, même si comme Lily, elle détestait qu’on se mêle de ses affaires. Pour hâter les choses, Lily ouvrit le journal en reculant, et se mit à lire à voix haute.

« Cher journal. Oh, intéressant tout ça, tu dis cher journal ? Aujourd’hui, j’ai rencontré un garçon très séduisant, je pense que je vais le draguer sous peu. Eh bien dis-donc, intéressante ta vie. La suite est mieux ! Tout d’abord, je vais … »
« Ok, ça va ! Je m’excuse, rends-moi ça ! »
« Pauvre traînée, ta mère a du confondre ton père avec une poubelle au moment où elle cuvait sa vinasse. Tu me fais pitié. Touche encore ma cousine et je te fais vomir des limaces. »

Au milieu des rires méprisants des Serpentard, elle lui balança son journal dessus et retourna vers son siège pour récupérer son sac bandoulière et son écharpe qu’elle remit d’un mouvement d’initiée. Elle regarda du coin de l’œil son adversaire s’esquiver par la porte dérobée qui menait aux cachots, et se tourna vers sa cousine pour lever le pouce en signe de victoire. Attrapant l’anse de son sac bandoulière, elle quitta à son tour la salle commune et se mit en route d’un pas de balade, pour se diriger vers sa salle de cours. Etude des Runes. Bon, elle avait un peu la flemme, connaissait sa leçon, certes, mais n’avait carrément pas envie d’y aller. La prof était une jolie petite blonde qui ne lui inspirait pas vraiment du respect, mais plutôt une envie de rigoler plus qu’autre chose. Bon, pour avoir le respect de la jeune Potter, c’était aléatoire, dirons-nous. Ted, pardon, le professeur Lupin, avait son respect parce qu’il savait se faire respecter sans finir en prof sévère et pète-sec. La prof de runes, heu … Pour le moment, elle ne l’avait pas trop vue sourire, quoi. Elle en était restée à l’image de la jeune prof qui fait la sévère pour se faire respecter, ce qui n’est pas très flatteur. Mais bon, il fallait qu’elle aille en cours, parce qu’elle avait rendez-vous avec un beau gosse intégral, j’ai nommé Nathan Raven ! Esquissant un petit sourire, Lily accéléra le pas, grimpant les étages quatre à quatre, et entrant en coup de vent dans la salle de classe, poussant en râlant les gens qui refusaient de se pousser, et chercha Nathan du regard. Et le trouva. Et fronça des sourcils, avant de se diriger vers la table où était SON Nathan. Se mettant juste derrière la brune de cinquième année avec laquelle elle s’était engueulée, qui était tranquillement en train de draguer Nathan.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai envoyé bouler une pétasse, et si elle ne vire pas immédiatement de là, je pense que je lui refais le portrait. En effet, une petite manucure ne lui ferait que le plus grand bien, vu sa gueule de déchet social. »
« Encore toi ! Putain mais tu ne peux pas me foutre la paix, non ?! »
« Pas de ma faute si la merde semble s’amonceler devant mes pompes. Allez, vire de là, le jeune homme très séduisant semble préférer ma présence à la tienne. »

Poussant un grand soupir, la cinquième année préféra prendre le large, sans doute intimidée par l’aura métallique et froide qui émanait de Lily. Lily jalouse, oh que oui, personne ne tourne autour de son futur copain. Posant son sac au sol, elle s’assit à côté de Nathan, salua Lucy d’un signe de la main et ignora délibérément le sourire complice de sa cousine. Fuis, Lily, c’est ma housse de couette personnelle. Se tournant vers Nathan, elle lui envoya un sourire Colgate irrésistible et charmeur, le genre de sourire à dix points.

« Il semblerait qu’il ait pas mal de succès, le beau gosse, hein. Pas mal tes cheveux ! Bon d’accord, je les aime beaucoup, tout comme ton odeur mais personne n’a entendu à part toi et moi bien sûr … Hem, ouais, il vaut mieux que je me taise. »

Elle se pencha vers son sac pour attraper sa trousse, et assista à l’entrée en fanfare de la prof d’étude des runes, qui gueula pour obtenir le silence, se présenter au cas où on ne la connaîtrait pas alors qu’on l’avait depuis la troisième année, hm cherchez l’erreur … Et posa une question à laquelle Lily avait la réponse. Mais la flemme de répondre, mieux valait se concentrer sur beau gosse à côté d’elle. Baissant la tête le temps de sortir sa plume, elle murmura tout bas à l’intention de Nathan :

« Elle a l’air tellement chaleureuse, cette prof, l’ambiance risque d’être aussi festive que pendant les cours de déviance magique … »

Puis comme personne ne levait la main, ce fut finalement elle, avec un soupir réprimé, qui s’y colla. Et oui, donc, elle leva la main avec fatalisme. Allez, autant s’en débarrasser maintenant, et puis voilà.

[Crédits :]

« Putain Lily, rends-moi ça ! »
« Puis quoi encore ! Tu t’excuses, et je te le rends ! »
« Elle est assez grande pour se débrouiller toute seule ! »
« Ta gueule, je ne t’ai pas demandé les mensurations de ton dernier plan cul, juste des excuses en bonne et due forme, sinon le contenu de ce torche-merde pourrait très vite se retrouver dans les pattes du Sinistros ! »

Les Serpentard, qui suivaient la gueulante sans broncher, laissèrent échapper de petits ricanements sournois, la base même du prédateur qui a ferré un joli herbivore sans danger. Là en l’occurrence, l’herbivore était la sixième année qui avait osé s’en prendre à Dominique, la cousine de Lily, que la jeune Potter protégeait comme un alpha protège sa meute. Elle détestait qu’on fasse du mal à sa cousine. Or, quand elle avait vu Domi revenir avec un bleu à la joue et un regard de tueuse, Lily s’était rapidement mise au courant, avait pété son câble en apprenant qu’une pétasse de cinquième année emmerdait sa cousine, avait coincé ladite cinquième année et la torturait mentalement maintenant. Notamment en la menaçant de balancer son prétendu journal intime au grand jour, de l’envoyer à l’équipe du journal de Poudlard, ironiquement nommée le Sinistros, sauf si elle allait faire des excuses à sa cousine. Et comme on pouvait s’y attendre, la cinquième année fulminait, lui gueulait dessus, hurlements auxquels elle répondait avec froideur et une once de menace. Une petite pause d’une heure avant de reprendre les cours, ce n’est pas toujours si reposant qu’on le croit. Les élèves vautrés dans la salle commune, immobiles et silencieux, suivaient la dispute avec un sourire de carnassier, ce qui amusait beaucoup Lily. Bon, son problème, c’est que la sixième année refusait de s’excuser et commençait à devenir soulante. Finalement, elle péta les plombs et s’approcha d’elle pour lui foutre une raclée, chose rendue facile par les dix centimètres de plus qu’elle avait sur la petite Potter. Mais la Potter, en fait, était agoraphobe et fuyait le contact comme la peste, elle avait donc appris à s’en prévenir. Là, ce fut en esquivant le coup de poing, en attrapant le bras de la cinquième année tout en lui balançant un coup de genou dans l’estomac, et finalement lui faucher les jambes pour qu’elle se vautre lamentablement au sol. Sous les sifflets des Serpentard morts de rire. Dominique, assise près du feu, avait un petit sourire amusé, même si comme Lily, elle détestait qu’on se mêle de ses affaires. Pour hâter les choses, Lily ouvrit le journal en reculant, et se mit à lire à voix haute.

« Cher journal. Oh, intéressant tout ça, tu dis cher journal ? Aujourd’hui, j’ai rencontré un garçon très séduisant, je pense que je vais le draguer sous peu. Eh bien dis-donc, intéressante ta vie. La suite est mieux ! Tout d’abord, je vais … »
« Ok, ça va ! Je m’excuse, rends-moi ça ! »
« Pauvre traînée, ta mère a du confondre ton père avec une poubelle au moment où elle cuvait sa vinasse. Tu me fais pitié. Touche encore ma cousine et je te fais vomir des limaces. »

Au milieu des rires méprisants des Serpentard, elle lui balança son journal dessus et retourna vers son siège pour récupérer son sac bandoulière et son écharpe qu’elle remit d’un mouvement d’initiée. Elle regarda du coin de l’œil son adversaire s’esquiver par la porte dérobée qui menait aux cachots, et se tourna vers sa cousine pour lever le pouce en signe de victoire. Attrapant l’anse de son sac bandoulière, elle quitta à son tour la salle commune et se mit en route d’un pas de balade, pour se diriger vers sa salle de cours. Etude des Runes. Bon, elle avait un peu la flemme, connaissait sa leçon, certes, mais n’avait carrément pas envie d’y aller. La prof était une jolie petite blonde qui ne lui inspirait pas vraiment du respect, mais plutôt une envie de rigoler plus qu’autre chose. Bon, pour avoir le respect de la jeune Potter, c’était aléatoire, dirons-nous. Ted, pardon, le professeur Lupin, avait son respect parce qu’il savait se faire respecter sans finir en prof sévère et pète-sec. La prof de runes, heu … Pour le moment, elle ne l’avait pas trop vue sourire, quoi. Elle en était restée à l’image de la jeune prof qui fait la sévère pour se faire respecter, ce qui n’est pas très flatteur. Mais bon, il fallait qu’elle aille en cours, parce qu’elle avait rendez-vous avec un beau gosse intégral, j’ai nommé Nathan Raven ! Esquissant un petit sourire, Lily accéléra le pas, grimpant les étages quatre à quatre, et entrant en coup de vent dans la salle de classe, poussant en râlant les gens qui refusaient de se pousser, et chercha Nathan du regard. Et le trouva. Et fronça des sourcils, avant de se diriger vers la table où était SON Nathan. Se mettant juste derrière la brune de cinquième année avec laquelle elle s’était engueulée, qui était tranquillement en train de draguer Nathan.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai envoyé bouler une pétasse, et si elle ne vire pas immédiatement de là, je pense que je lui refais le portrait. En effet, une petite manucure ne lui ferait que le plus grand bien, vu sa gueule de déchet social. »
« Encore toi ! Putain mais tu ne peux pas me foutre la paix, non ?! »
« Pas de ma faute si la merde semble s’amonceler devant mes pompes. Allez, vire de là, le jeune homme très séduisant semble préférer ma présence à la tienne. »

Poussant un grand soupir, la cinquième année préféra prendre le large, sans doute intimidée par l’aura métallique et froide qui émanait de Lily. Lily jalouse, oh que oui, personne ne tourne autour de son futur copain. Posant son sac au sol, elle s’assit à côté de Nathan, salua Lucy d’un signe de la main et ignora délibérément le sourire complice de sa cousine. Fuis, Lily, c’est ma housse de couette personnelle. Se tournant vers Nathan, elle lui envoya un sourire Colgate irrésistible et charmeur, le genre de sourire à dix points.

« Il semblerait qu’il ait pas mal de succès, le beau gosse, hein. Pas mal tes cheveux ! Bon d’accord, je les aime beaucoup, tout comme ton odeur mais personne n’a entendu à part toi et moi bien sûr … Hem, ouais, il vaut mieux que je me taise. »

Elle se pencha vers son sac pour attraper sa trousse, et assista à l’entrée en fanfare de la prof d’étude des runes, qui gueula pour obtenir le silence, se présenter au cas où on ne la connaîtrait pas alors qu’on l’avait depuis la troisième année, hm cherchez l’erreur … Et posa une question à laquelle Lily avait la réponse. Mais la flemme de répondre, mieux valait se concentrer sur beau gosse à côté d’elle. Baissant la tête le temps de sortir sa plume, elle murmura tout bas à l’intention de Nathan :

« Elle a l’air tellement chaleureuse, cette prof, l’ambiance risque d’être aussi festive que pendant les cours de déviance magique … »

Puis comme personne ne levait la main, ce fut finalement elle, avec un soupir réprimé, qui s’y colla. Et oui, donc, elle leva la main avec fatalisme. Allez, autant s’en débarrasser maintenant, et puis voilà.

[Age RPG :]

« Putain Lily, rends-moi ça ! »
« Puis quoi encore ! Tu t’excuses, et je te le rends ! »
« Elle est assez grande pour se débrouiller toute seule ! »
« Ta gueule, je ne t’ai pas demandé les mensurations de ton dernier plan cul, juste des excuses en bonne et due forme, sinon le contenu de ce torche-merde pourrait très vite se retrouver dans les pattes du Sinistros ! »

Les Serpentard, qui suivaient la gueulante sans broncher, laissèrent échapper de petits ricanements sournois, la base même du prédateur qui a ferré un joli herbivore sans danger. Là en l’occurrence, l’herbivore était la sixième année qui avait osé s’en prendre à Dominique, la cousine de Lily, que la jeune Potter protégeait comme un alpha protège sa meute. Elle détestait qu’on fasse du mal à sa cousine. Or, quand elle avait vu Domi revenir avec un bleu à la joue et un regard de tueuse, Lily s’était rapidement mise au courant, avait pété son câble en apprenant qu’une pétasse de cinquième année emmerdait sa cousine, avait coincé ladite cinquième année et la torturait mentalement maintenant. Notamment en la menaçant de balancer son prétendu journal intime au grand jour, de l’envoyer à l’équipe du journal de Poudlard, ironiquement nommée le Sinistros, sauf si elle allait faire des excuses à sa cousine. Et comme on pouvait s’y attendre, la cinquième année fulminait, lui gueulait dessus, hurlements auxquels elle répondait avec froideur et une once de menace. Une petite pause d’une heure avant de reprendre les cours, ce n’est pas toujours si reposant qu’on le croit. Les élèves vautrés dans la salle commune, immobiles et silencieux, suivaient la dispute avec un sourire de carnassier, ce qui amusait beaucoup Lily. Bon, son problème, c’est que la sixième année refusait de s’excuser et commençait à devenir soulante. Finalement, elle péta les plombs et s’approcha d’elle pour lui foutre une raclée, chose rendue facile par les dix centimètres de plus qu’elle avait sur la petite Potter. Mais la Potter, en fait, était agoraphobe et fuyait le contact comme la peste, elle avait donc appris à s’en prévenir. Là, ce fut en esquivant le coup de poing, en attrapant le bras de la cinquième année tout en lui balançant un coup de genou dans l’estomac, et finalement lui faucher les jambes pour qu’elle se vautre lamentablement au sol. Sous les sifflets des Serpentard morts de rire. Dominique, assise près du feu, avait un petit sourire amusé, même si comme Lily, elle détestait qu’on se mêle de ses affaires. Pour hâter les choses, Lily ouvrit le journal en reculant, et se mit à lire à voix haute.

« Cher journal. Oh, intéressant tout ça, tu dis cher journal ? Aujourd’hui, j’ai rencontré un garçon très séduisant, je pense que je vais le draguer sous peu. Eh bien dis-donc, intéressante ta vie. La suite est mieux ! Tout d’abord, je vais … »
« Ok, ça va ! Je m’excuse, rends-moi ça ! »
« Pauvre traînée, ta mère a du confondre ton père avec une poubelle au moment où elle cuvait sa vinasse. Tu me fais pitié. Touche encore ma cousine et je te fais vomir des limaces. »

Au milieu des rires méprisants des Serpentard, elle lui balança son journal dessus et retourna vers son siège pour récupérer son sac bandoulière et son écharpe qu’elle remit d’un mouvement d’initiée. Elle regarda du coin de l’œil son adversaire s’esquiver par la porte dérobée qui menait aux cachots, et se tourna vers sa cousine pour lever le pouce en signe de victoire. Attrapant l’anse de son sac bandoulière, elle quitta à son tour la salle commune et se mit en route d’un pas de balade, pour se diriger vers sa salle de cours. Etude des Runes. Bon, elle avait un peu la flemme, connaissait sa leçon, certes, mais n’avait carrément pas envie d’y aller. La prof était une jolie petite blonde qui ne lui inspirait pas vraiment du respect, mais plutôt une envie de rigoler plus qu’autre chose. Bon, pour avoir le respect de la jeune Potter, c’était aléatoire, dirons-nous. Ted, pardon, le professeur Lupin, avait son respect parce qu’il savait se faire respecter sans finir en prof sévère et pète-sec. La prof de runes, heu … Pour le moment, elle ne l’avait pas trop vue sourire, quoi. Elle en était restée à l’image de la jeune prof qui fait la sévère pour se faire respecter, ce qui n’est pas très flatteur. Mais bon, il fallait qu’elle aille en cours, parce qu’elle avait rendez-vous avec un beau gosse intégral, j’ai nommé Nathan Raven ! Esquissant un petit sourire, Lily accéléra le pas, grimpant les étages quatre à quatre, et entrant en coup de vent dans la salle de classe, poussant en râlant les gens qui refusaient de se pousser, et chercha Nathan du regard. Et le trouva. Et fronça des sourcils, avant de se diriger vers la table où était SON Nathan. Se mettant juste derrière la brune de cinquième année avec laquelle elle s’était engueulée, qui était tranquillement en train de draguer Nathan.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai envoyé bouler une pétasse, et si elle ne vire pas immédiatement de là, je pense que je lui refais le portrait. En effet, une petite manucure ne lui ferait que le plus grand bien, vu sa gueule de déchet social. »
« Encore toi ! Putain mais tu ne peux pas me foutre la paix, non ?! »
« Pas de ma faute si la merde semble s’amonceler devant mes pompes. Allez, vire de là, le jeune homme très séduisant semble préférer ma présence à la tienne. »

Poussant un grand soupir, la cinquième année préféra prendre le large, sans doute intimidée par l’aura métallique et froide qui émanait de Lily. Lily jalouse, oh que oui, personne ne tourne autour de son futur copain. Posant son sac au sol, elle s’assit à côté de Nathan, salua Lucy d’un signe de la main et ignora délibérément le sourire complice de sa cousine. Fuis, Lily, c’est ma housse de couette personnelle. Se tournant vers Nathan, elle lui envoya un sourire Colgate irrésistible et charmeur, le genre de sourire à dix points.

« Il semblerait qu’il ait pas mal de succès, le beau gosse, hein. Pas mal tes cheveux ! Bon d’accord, je les aime beaucoup, tout comme ton odeur mais personne n’a entendu à part toi et moi bien sûr … Hem, ouais, il vaut mieux que je me taise. »

Elle se pencha vers son sac pour attraper sa trousse, et assista à l’entrée en fanfare de la prof d’étude des runes, qui gueula pour obtenir le silence, se présenter au cas où on ne la connaîtrait pas alors qu’on l’avait depuis la troisième année, hm cherchez l’erreur … Et posa une question à laquelle Lily avait la réponse. Mais la flemme de répondre, mieux valait se concentrer sur beau gosse à côté d’elle. Baissant la tête le temps de sortir sa plume, elle murmura tout bas à l’intention de Nathan :

« Elle a l’air tellement chaleureuse, cette prof, l’ambiance risque d’être aussi festive que pendant les cours de déviance magique … »

Puis comme personne ne levait la main, ce fut finalement elle, avec un soupir réprimé, qui s’y colla. Et oui, donc, elle leva la main avec fatalisme. Allez, autant s’en débarrasser maintenant, et puis voilà.

[Sang :]

« Putain Lily, rends-moi ça ! »
« Puis quoi encore ! Tu t’excuses, et je te le rends ! »
« Elle est assez grande pour se débrouiller toute seule ! »
« Ta gueule, je ne t’ai pas demandé les mensurations de ton dernier plan cul, juste des excuses en bonne et due forme, sinon le contenu de ce torche-merde pourrait très vite se retrouver dans les pattes du Sinistros ! »

Les Serpentard, qui suivaient la gueulante sans broncher, laissèrent échapper de petits ricanements sournois, la base même du prédateur qui a ferré un joli herbivore sans danger. Là en l’occurrence, l’herbivore était la sixième année qui avait osé s’en prendre à Dominique, la cousine de Lily, que la jeune Potter protégeait comme un alpha protège sa meute. Elle détestait qu’on fasse du mal à sa cousine. Or, quand elle avait vu Domi revenir avec un bleu à la joue et un regard de tueuse, Lily s’était rapidement mise au courant, avait pété son câble en apprenant qu’une pétasse de cinquième année emmerdait sa cousine, avait coincé ladite cinquième année et la torturait mentalement maintenant. Notamment en la menaçant de balancer son prétendu journal intime au grand jour, de l’envoyer à l’équipe du journal de Poudlard, ironiquement nommée le Sinistros, sauf si elle allait faire des excuses à sa cousine. Et comme on pouvait s’y attendre, la cinquième année fulminait, lui gueulait dessus, hurlements auxquels elle répondait avec froideur et une once de menace. Une petite pause d’une heure avant de reprendre les cours, ce n’est pas toujours si reposant qu’on le croit. Les élèves vautrés dans la salle commune, immobiles et silencieux, suivaient la dispute avec un sourire de carnassier, ce qui amusait beaucoup Lily. Bon, son problème, c’est que la sixième année refusait de s’excuser et commençait à devenir soulante. Finalement, elle péta les plombs et s’approcha d’elle pour lui foutre une raclée, chose rendue facile par les dix centimètres de plus qu’elle avait sur la petite Potter. Mais la Potter, en fait, était agoraphobe et fuyait le contact comme la peste, elle avait donc appris à s’en prévenir. Là, ce fut en esquivant le coup de poing, en attrapant le bras de la cinquième année tout en lui balançant un coup de genou dans l’estomac, et finalement lui faucher les jambes pour qu’elle se vautre lamentablement au sol. Sous les sifflets des Serpentard morts de rire. Dominique, assise près du feu, avait un petit sourire amusé, même si comme Lily, elle détestait qu’on se mêle de ses affaires. Pour hâter les choses, Lily ouvrit le journal en reculant, et se mit à lire à voix haute.

« Cher journal. Oh, intéressant tout ça, tu dis cher journal ? Aujourd’hui, j’ai rencontré un garçon très séduisant, je pense que je vais le draguer sous peu. Eh bien dis-donc, intéressante ta vie. La suite est mieux ! Tout d’abord, je vais … »
« Ok, ça va ! Je m’excuse, rends-moi ça ! »
« Pauvre traînée, ta mère a du confondre ton père avec une poubelle au moment où elle cuvait sa vinasse. Tu me fais pitié. Touche encore ma cousine et je te fais vomir des limaces. »

Au milieu des rires méprisants des Serpentard, elle lui balança son journal dessus et retourna vers son siège pour récupérer son sac bandoulière et son écharpe qu’elle remit d’un mouvement d’initiée. Elle regarda du coin de l’œil son adversaire s’esquiver par la porte dérobée qui menait aux cachots, et se tourna vers sa cousine pour lever le pouce en signe de victoire. Attrapant l’anse de son sac bandoulière, elle quitta à son tour la salle commune et se mit en route d’un pas de balade, pour se diriger vers sa salle de cours. Etude des Runes. Bon, elle avait un peu la flemme, connaissait sa leçon, certes, mais n’avait carrément pas envie d’y aller. La prof était une jolie petite blonde qui ne lui inspirait pas vraiment du respect, mais plutôt une envie de rigoler plus qu’autre chose. Bon, pour avoir le respect de la jeune Potter, c’était aléatoire, dirons-nous. Ted, pardon, le professeur Lupin, avait son respect parce qu’il savait se faire respecter sans finir en prof sévère et pète-sec. La prof de runes, heu … Pour le moment, elle ne l’avait pas trop vue sourire, quoi. Elle en était restée à l’image de la jeune prof qui fait la sévère pour se faire respecter, ce qui n’est pas très flatteur. Mais bon, il fallait qu’elle aille en cours, parce qu’elle avait rendez-vous avec un beau gosse intégral, j’ai nommé Nathan Raven ! Esquissant un petit sourire, Lily accéléra le pas, grimpant les étages quatre à quatre, et entrant en coup de vent dans la salle de classe, poussant en râlant les gens qui refusaient de se pousser, et chercha Nathan du regard. Et le trouva. Et fronça des sourcils, avant de se diriger vers la table où était SON Nathan. Se mettant juste derrière la brune de cinquième année avec laquelle elle s’était engueulée, qui était tranquillement en train de draguer Nathan.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai envoyé bouler une pétasse, et si elle ne vire pas immédiatement de là, je pense que je lui refais le portrait. En effet, une petite manucure ne lui ferait que le plus grand bien, vu sa gueule de déchet social. »
« Encore toi ! Putain mais tu ne peux pas me foutre la paix, non ?! »
« Pas de ma faute si la merde semble s’amonceler devant mes pompes. Allez, vire de là, le jeune homme très séduisant semble préférer ma présence à la tienne. »

Poussant un grand soupir, la cinquième année préféra prendre le large, sans doute intimidée par l’aura métallique et froide qui émanait de Lily. Lily jalouse, oh que oui, personne ne tourne autour de son futur copain. Posant son sac au sol, elle s’assit à côté de Nathan, salua Lucy d’un signe de la main et ignora délibérément le sourire complice de sa cousine. Fuis, Lily, c’est ma housse de couette personnelle. Se tournant vers Nathan, elle lui envoya un sourire Colgate irrésistible et charmeur, le genre de sourire à dix points.

« Il semblerait qu’il ait pas mal de succès, le beau gosse, hein. Pas mal tes cheveux ! Bon d’accord, je les aime beaucoup, tout comme ton odeur mais personne n’a entendu à part toi et moi bien sûr … Hem, ouais, il vaut mieux que je me taise. »

Elle se pencha vers son sac pour attraper sa trousse, et assista à l’entrée en fanfare de la prof d’étude des runes, qui gueula pour obtenir le silence, se présenter au cas où on ne la connaîtrait pas alors qu’on l’avait depuis la troisième année, hm cherchez l’erreur … Et posa une question à laquelle Lily avait la réponse. Mais la flemme de répondre, mieux valait se concentrer sur beau gosse à côté d’elle. Baissant la tête le temps de sortir sa plume, elle murmura tout bas à l’intention de Nathan :

« Elle a l’air tellement chaleureuse, cette prof, l’ambiance risque d’être aussi festive que pendant les cours de déviance magique … »

Puis comme personne ne levait la main, ce fut finalement elle, avec un soupir réprimé, qui s’y colla. Et oui, donc, elle leva la main avec fatalisme. Allez, autant s’en débarrasser maintenant, et puis voilà.

[Camp :]

« Putain Lily, rends-moi ça ! »
« Puis quoi encore ! Tu t’excuses, et je te le rends ! »
« Elle est assez grande pour se débrouiller toute seule ! »
« Ta gueule, je ne t’ai pas demandé les mensurations de ton dernier plan cul, juste des excuses en bonne et due forme, sinon le contenu de ce torche-merde pourrait très vite se retrouver dans les pattes du Sinistros ! »

Les Serpentard, qui suivaient la gueulante sans broncher, laissèrent échapper de petits ricanements sournois, la base même du prédateur qui a ferré un joli herbivore sans danger. Là en l’occurrence, l’herbivore était la sixième année qui avait osé s’en prendre à Dominique, la cousine de Lily, que la jeune Potter protégeait comme un alpha protège sa meute. Elle détestait qu’on fasse du mal à sa cousine. Or, quand elle avait vu Domi revenir avec un bleu à la joue et un regard de tueuse, Lily s’était rapidement mise au courant, avait pété son câble en apprenant qu’une pétasse de cinquième année emmerdait sa cousine, avait coincé ladite cinquième année et la torturait mentalement maintenant. Notamment en la menaçant de balancer son prétendu journal intime au grand jour, de l’envoyer à l’équipe du journal de Poudlard, ironiquement nommée le Sinistros, sauf si elle allait faire des excuses à sa cousine. Et comme on pouvait s’y attendre, la cinquième année fulminait, lui gueulait dessus, hurlements auxquels elle répondait avec froideur et une once de menace. Une petite pause d’une heure avant de reprendre les cours, ce n’est pas toujours si reposant qu’on le croit. Les élèves vautrés dans la salle commune, immobiles et silencieux, suivaient la dispute avec un sourire de carnassier, ce qui amusait beaucoup Lily. Bon, son problème, c’est que la sixième année refusait de s’excuser et commençait à devenir soulante. Finalement, elle péta les plombs et s’approcha d’elle pour lui foutre une raclée, chose rendue facile par les dix centimètres de plus qu’elle avait sur la petite Potter. Mais la Potter, en fait, était agoraphobe et fuyait le contact comme la peste, elle avait donc appris à s’en prévenir. Là, ce fut en esquivant le coup de poing, en attrapant le bras de la cinquième année tout en lui balançant un coup de genou dans l’estomac, et finalement lui faucher les jambes pour qu’elle se vautre lamentablement au sol. Sous les sifflets des Serpentard morts de rire. Dominique, assise près du feu, avait un petit sourire amusé, même si comme Lily, elle détestait qu’on se mêle de ses affaires. Pour hâter les choses, Lily ouvrit le journal en reculant, et se mit à lire à voix haute.

« Cher journal. Oh, intéressant tout ça, tu dis cher journal ? Aujourd’hui, j’ai rencontré un garçon très séduisant, je pense que je vais le draguer sous peu. Eh bien dis-donc, intéressante ta vie. La suite est mieux ! Tout d’abord, je vais … »
« Ok, ça va ! Je m’excuse, rends-moi ça ! »
« Pauvre traînée, ta mère a du confondre ton père avec une poubelle au moment où elle cuvait sa vinasse. Tu me fais pitié. Touche encore ma cousine et je te fais vomir des limaces. »

Au milieu des rires méprisants des Serpentard, elle lui balança son journal dessus et retourna vers son siège pour récupérer son sac bandoulière et son écharpe qu’elle remit d’un mouvement d’initiée. Elle regarda du coin de l’œil son adversaire s’esquiver par la porte dérobée qui menait aux cachots, et se tourna vers sa cousine pour lever le pouce en signe de victoire. Attrapant l’anse de son sac bandoulière, elle quitta à son tour la salle commune et se mit en route d’un pas de balade, pour se diriger vers sa salle de cours. Etude des Runes. Bon, elle avait un peu la flemme, connaissait sa leçon, certes, mais n’avait carrément pas envie d’y aller. La prof était une jolie petite blonde qui ne lui inspirait pas vraiment du respect, mais plutôt une envie de rigoler plus qu’autre chose. Bon, pour avoir le respect de la jeune Potter, c’était aléatoire, dirons-nous. Ted, pardon, le professeur Lupin, avait son respect parce qu’il savait se faire respecter sans finir en prof sévère et pète-sec. La prof de runes, heu … Pour le moment, elle ne l’avait pas trop vue sourire, quoi. Elle en était restée à l’image de la jeune prof qui fait la sévère pour se faire respecter, ce qui n’est pas très flatteur. Mais bon, il fallait qu’elle aille en cours, parce qu’elle avait rendez-vous avec un beau gosse intégral, j’ai nommé Nathan Raven ! Esquissant un petit sourire, Lily accéléra le pas, grimpant les étages quatre à quatre, et entrant en coup de vent dans la salle de classe, poussant en râlant les gens qui refusaient de se pousser, et chercha Nathan du regard. Et le trouva. Et fronça des sourcils, avant de se diriger vers la table où était SON Nathan. Se mettant juste derrière la brune de cinquième année avec laquelle elle s’était engueulée, qui était tranquillement en train de draguer Nathan.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai envoyé bouler une pétasse, et si elle ne vire pas immédiatement de là, je pense que je lui refais le portrait. En effet, une petite manucure ne lui ferait que le plus grand bien, vu sa gueule de déchet social. »
« Encore toi ! Putain mais tu ne peux pas me foutre la paix, non ?! »
« Pas de ma faute si la merde semble s’amonceler devant mes pompes. Allez, vire de là, le jeune homme très séduisant semble préférer ma présence à la tienne. »

Poussant un grand soupir, la cinquième année préféra prendre le large, sans doute intimidée par l’aura métallique et froide qui émanait de Lily. Lily jalouse, oh que oui, personne ne tourne autour de son futur copain. Posant son sac au sol, elle s’assit à côté de Nathan, salua Lucy d’un signe de la main et ignora délibérément le sourire complice de sa cousine. Fuis, Lily, c’est ma housse de couette personnelle. Se tournant vers Nathan, elle lui envoya un sourire Colgate irrésistible et charmeur, le genre de sourire à dix points.

« Il semblerait qu’il ait pas mal de succès, le beau gosse, hein. Pas mal tes cheveux ! Bon d’accord, je les aime beaucoup, tout comme ton odeur mais personne n’a entendu à part toi et moi bien sûr … Hem, ouais, il vaut mieux que je me taise. »

Elle se pencha vers son sac pour attraper sa trousse, et assista à l’entrée en fanfare de la prof d’étude des runes, qui gueula pour obtenir le silence, se présenter au cas où on ne la connaîtrait pas alors qu’on l’avait depuis la troisième année, hm cherchez l’erreur … Et posa une question à laquelle Lily avait la réponse. Mais la flemme de répondre, mieux valait se concentrer sur beau gosse à côté d’elle. Baissant la tête le temps de sortir sa plume, elle murmura tout bas à l’intention de Nathan :

« Elle a l’air tellement chaleureuse, cette prof, l’ambiance risque d’être aussi festive que pendant les cours de déviance magique … »

Puis comme personne ne levait la main, ce fut finalement elle, avec un soupir réprimé, qui s’y colla. Et oui, donc, elle leva la main avec fatalisme. Allez, autant s’en débarrasser maintenant, et puis voilà.

[Vie du personnage :]

« Putain Lily, rends-moi ça ! »
« Puis quoi encore ! Tu t’excuses, et je te le rends ! »
« Elle est assez grande pour se débrouiller toute seule ! »
« Ta gueule, je ne t’ai pas demandé les mensurations de ton dernier plan cul, juste des excuses en bonne et due forme, sinon le contenu de ce torche-merde pourrait très vite se retrouver dans les pattes du Sinistros ! »

Les Serpentard, qui suivaient la gueulante sans broncher, laissèrent échapper de petits ricanements sournois, la base même du prédateur qui a ferré un joli herbivore sans danger. Là en l’occurrence, l’herbivore était la sixième année qui avait osé s’en prendre à Dominique, la cousine de Lily, que la jeune Potter protégeait comme un alpha protège sa meute. Elle détestait qu’on fasse du mal à sa cousine. Or, quand elle avait vu Domi revenir avec un bleu à la joue et un regard de tueuse, Lily s’était rapidement mise au courant, avait pété son câble en apprenant qu’une pétasse de cinquième année emmerdait sa cousine, avait coincé ladite cinquième année et la torturait mentalement maintenant. Notamment en la menaçant de balancer son prétendu journal intime au grand jour, de l’envoyer à l’équipe du journal de Poudlard, ironiquement nommée le Sinistros, sauf si elle allait faire des excuses à sa cousine. Et comme on pouvait s’y attendre, la cinquième année fulminait, lui gueulait dessus, hurlements auxquels elle répondait avec froideur et une once de menace. Une petite pause d’une heure avant de reprendre les cours, ce n’est pas toujours si reposant qu’on le croit. Les élèves vautrés dans la salle commune, immobiles et silencieux, suivaient la dispute avec un sourire de carnassier, ce qui amusait beaucoup Lily. Bon, son problème, c’est que la sixième année refusait de s’excuser et commençait à devenir soulante. Finalement, elle péta les plombs et s’approcha d’elle pour lui foutre une raclée, chose rendue facile par les dix centimètres de plus qu’elle avait sur la petite Potter. Mais la Potter, en fait, était agoraphobe et fuyait le contact comme la peste, elle avait donc appris à s’en prévenir. Là, ce fut en esquivant le coup de poing, en attrapant le bras de la cinquième année tout en lui balançant un coup de genou dans l’estomac, et finalement lui faucher les jambes pour qu’elle se vautre lamentablement au sol. Sous les sifflets des Serpentard morts de rire. Dominique, assise près du feu, avait un petit sourire amusé, même si comme Lily, elle détestait qu’on se mêle de ses affaires. Pour hâter les choses, Lily ouvrit le journal en reculant, et se mit à lire à voix haute.

« Cher journal. Oh, intéressant tout ça, tu dis cher journal ? Aujourd’hui, j’ai rencontré un garçon très séduisant, je pense que je vais le draguer sous peu. Eh bien dis-donc, intéressante ta vie. La suite est mieux ! Tout d’abord, je vais … »
« Ok, ça va ! Je m’excuse, rends-moi ça ! »
« Pauvre traînée, ta mère a du confondre ton père avec une poubelle au moment où elle cuvait sa vinasse. Tu me fais pitié. Touche encore ma cousine et je te fais vomir des limaces. »

Au milieu des rires méprisants des Serpentard, elle lui balança son journal dessus et retourna vers son siège pour récupérer son sac bandoulière et son écharpe qu’elle remit d’un mouvement d’initiée. Elle regarda du coin de l’œil son adversaire s’esquiver par la porte dérobée qui menait aux cachots, et se tourna vers sa cousine pour lever le pouce en signe de victoire. Attrapant l’anse de son sac bandoulière, elle quitta à son tour la salle commune et se mit en route d’un pas de balade, pour se diriger vers sa salle de cours. Etude des Runes. Bon, elle avait un peu la flemme, connaissait sa leçon, certes, mais n’avait carrément pas envie d’y aller. La prof était une jolie petite blonde qui ne lui inspirait pas vraiment du respect, mais plutôt une envie de rigoler plus qu’autre chose. Bon, pour avoir le respect de la jeune Potter, c’était aléatoire, dirons-nous. Ted, pardon, le professeur Lupin, avait son respect parce qu’il savait se faire respecter sans finir en prof sévère et pète-sec. La prof de runes, heu … Pour le moment, elle ne l’avait pas trop vue sourire, quoi. Elle en était restée à l’image de la jeune prof qui fait la sévère pour se faire respecter, ce qui n’est pas très flatteur. Mais bon, il fallait qu’elle aille en cours, parce qu’elle avait rendez-vous avec un beau gosse intégral, j’ai nommé Nathan Raven ! Esquissant un petit sourire, Lily accéléra le pas, grimpant les étages quatre à quatre, et entrant en coup de vent dans la salle de classe, poussant en râlant les gens qui refusaient de se pousser, et chercha Nathan du regard. Et le trouva. Et fronça des sourcils, avant de se diriger vers la table où était SON Nathan. Se mettant juste derrière la brune de cinquième année avec laquelle elle s’était engueulée, qui était tranquillement en train de draguer Nathan.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai envoyé bouler une pétasse, et si elle ne vire pas immédiatement de là, je pense que je lui refais le portrait. En effet, une petite manucure ne lui ferait que le plus grand bien, vu sa gueule de déchet social. »
« Encore toi ! Putain mais tu ne peux pas me foutre la paix, non ?! »
« Pas de ma faute si la merde semble s’amonceler devant mes pompes. Allez, vire de là, le jeune homme très séduisant semble préférer ma présence à la tienne. »

Poussant un grand soupir, la cinquième année préféra prendre le large, sans doute intimidée par l’aura métallique et froide qui émanait de Lily. Lily jalouse, oh que oui, personne ne tourne autour de son futur copain. Posant son sac au sol, elle s’assit à côté de Nathan, salua Lucy d’un signe de la main et ignora délibérément le sourire complice de sa cousine. Fuis, Lily, c’est ma housse de couette personnelle. Se tournant vers Nathan, elle lui envoya un sourire Colgate irrésistible et charmeur, le genre de sourire à dix points.

« Il semblerait qu’il ait pas mal de succès, le beau gosse, hein. Pas mal tes cheveux ! Bon d’accord, je les aime beaucoup, tout comme ton odeur mais personne n’a entendu à part toi et moi bien sûr … Hem, ouais, il vaut mieux que je me taise. »

Elle se pencha vers son sac pour attraper sa trousse, et assista à l’entrée en fanfare de la prof d’étude des runes, qui gueula pour obtenir le silence, se présenter au cas où on ne la connaîtrait pas alors qu’on l’avait depuis la troisième année, hm cherchez l’erreur … Et posa une question à laquelle Lily avait la réponse. Mais la flemme de répondre, mieux valait se concentrer sur beau gosse à côté d’elle. Baissant la tête le temps de sortir sa plume, elle murmura tout bas à l’intention de Nathan :

« Elle a l’air tellement chaleureuse, cette prof, l’ambiance risque d’être aussi festive que pendant les cours de déviance magique … »

Puis comme personne ne levait la main, ce fut finalement elle, avec un soupir réprimé, qui s’y colla. Et oui, donc, elle leva la main avec fatalisme. Allez, autant s’en débarrasser maintenant, et puis voilà.

[Truc en plus :]

« Putain Lily, rends-moi ça ! »
« Puis quoi encore ! Tu t’excuses, et je te le rends ! »
« Elle est assez grande pour se débrouiller toute seule ! »
« Ta gueule, je ne t’ai pas demandé les mensurations de ton dernier plan cul, juste des excuses en bonne et due forme, sinon le contenu de ce torche-merde pourrait très vite se retrouver dans les pattes du Sinistros ! »

Les Serpentard, qui suivaient la gueulante sans broncher, laissèrent échapper de petits ricanements sournois, la base même du prédateur qui a ferré un joli herbivore sans danger. Là en l’occurrence, l’herbivore était la sixième année qui avait osé s’en prendre à Dominique, la cousine de Lily, que la jeune Potter protégeait comme un alpha protège sa meute. Elle détestait qu’on fasse du mal à sa cousine. Or, quand elle avait vu Domi revenir avec un bleu à la joue et un regard de tueuse, Lily s’était rapidement mise au courant, avait pété son câble en apprenant qu’une pétasse de cinquième année emmerdait sa cousine, avait coincé ladite cinquième année et la torturait mentalement maintenant. Notamment en la menaçant de balancer son prétendu journal intime au grand jour, de l’envoyer à l’équipe du journal de Poudlard, ironiquement nommée le Sinistros, sauf si elle allait faire des excuses à sa cousine. Et comme on pouvait s’y attendre, la cinquième année fulminait, lui gueulait dessus, hurlements auxquels elle répondait avec froideur et une once de menace. Une petite pause d’une heure avant de reprendre les cours, ce n’est pas toujours si reposant qu’on le croit. Les élèves vautrés dans la salle commune, immobiles et silencieux, suivaient la dispute avec un sourire de carnassier, ce qui amusait beaucoup Lily. Bon, son problème, c’est que la sixième année refusait de s’excuser et commençait à devenir soulante. Finalement, elle péta les plombs et s’approcha d’elle pour lui foutre une raclée, chose rendue facile par les dix centimètres de plus qu’elle avait sur la petite Potter. Mais la Potter, en fait, était agoraphobe et fuyait le contact comme la peste, elle avait donc appris à s’en prévenir. Là, ce fut en esquivant le coup de poing, en attrapant le bras de la cinquième année tout en lui balançant un coup de genou dans l’estomac, et finalement lui faucher les jambes pour qu’elle se vautre lamentablement au sol. Sous les sifflets des Serpentard morts de rire. Dominique, assise près du feu, avait un petit sourire amusé, même si comme Lily, elle détestait qu’on se mêle de ses affaires. Pour hâter les choses, Lily ouvrit le journal en reculant, et se mit à lire à voix haute.

« Cher journal. Oh, intéressant tout ça, tu dis cher journal ? Aujourd’hui, j’ai rencontré un garçon très séduisant, je pense que je vais le draguer sous peu. Eh bien dis-donc, intéressante ta vie. La suite est mieux ! Tout d’abord, je vais … »
« Ok, ça va ! Je m’excuse, rends-moi ça ! »
« Pauvre traînée, ta mère a du confondre ton père avec une poubelle au moment où elle cuvait sa vinasse. Tu me fais pitié. Touche encore ma cousine et je te fais vomir des limaces. »

Au milieu des rires méprisants des Serpentard, elle lui balança son journal dessus et retourna vers son siège pour récupérer son sac bandoulière et son écharpe qu’elle remit d’un mouvement d’initiée. Elle regarda du coin de l’œil son adversaire s’esquiver par la porte dérobée qui menait aux cachots, et se tourna vers sa cousine pour lever le pouce en signe de victoire. Attrapant l’anse de son sac bandoulière, elle quitta à son tour la salle commune et se mit en route d’un pas de balade, pour se diriger vers sa salle de cours. Etude des Runes. Bon, elle avait un peu la flemme, connaissait sa leçon, certes, mais n’avait carrément pas envie d’y aller. La prof était une jolie petite blonde qui ne lui inspirait pas vraiment du respect, mais plutôt une envie de rigoler plus qu’autre chose. Bon, pour avoir le respect de la jeune Potter, c’était aléatoire, dirons-nous. Ted, pardon, le professeur Lupin, avait son respect parce qu’il savait se faire respecter sans finir en prof sévère et pète-sec. La prof de runes, heu … Pour le moment, elle ne l’avait pas trop vue sourire, quoi. Elle en était restée à l’image de la jeune prof qui fait la sévère pour se faire respecter, ce qui n’est pas très flatteur. Mais bon, il fallait qu’elle aille en cours, parce qu’elle avait rendez-vous avec un beau gosse intégral, j’ai nommé Nathan Raven ! Esquissant un petit sourire, Lily accéléra le pas, grimpant les étages quatre à quatre, et entrant en coup de vent dans la salle de classe, poussant en râlant les gens qui refusaient de se pousser, et chercha Nathan du regard. Et le trouva. Et fronça des sourcils, avant de se diriger vers la table où était SON Nathan. Se mettant juste derrière la brune de cinquième année avec laquelle elle s’était engueulée, qui était tranquillement en train de draguer Nathan.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai envoyé bouler une pétasse, et si elle ne vire pas immédiatement de là, je pense que je lui refais le portrait. En effet, une petite manucure ne lui ferait que le plus grand bien, vu sa gueule de déchet social. »
« Encore toi ! Putain mais tu ne peux pas me foutre la paix, non ?! »
« Pas de ma faute si la merde semble s’amonceler devant mes pompes. Allez, vire de là, le jeune homme très séduisant semble préférer ma présence à la tienne. »

Poussant un grand soupir, la cinquième année préféra prendre le large, sans doute intimidée par l’aura métallique et froide qui émanait de Lily. Lily jalouse, oh que oui, personne ne tourne autour de son futur copain. Posant son sac au sol, elle s’assit à côté de Nathan, salua Lucy d’un signe de la main et ignora délibérément le sourire complice de sa cousine. Fuis, Lily, c’est ma housse de couette personnelle. Se tournant vers Nathan, elle lui envoya un sourire Colgate irrésistible et charmeur, le genre de sourire à dix points.

« Il semblerait qu’il ait pas mal de succès, le beau gosse, hein. Pas mal tes cheveux ! Bon d’accord, je les aime beaucoup, tout comme ton odeur mais personne n’a entendu à part toi et moi bien sûr … Hem, ouais, il vaut mieux que je me taise. »

Elle se pencha vers son sac pour attraper sa trousse, et assista à l’entrée en fanfare de la prof d’étude des runes, qui gueula pour obtenir le silence, se présenter au cas où on ne la connaîtrait pas alors qu’on l’avait depuis la troisième année, hm cherchez l’erreur … Et posa une question à laquelle Lily avait la réponse. Mais la flemme de répondre, mieux valait se concentrer sur beau gosse à côté d’elle. Baissant la tête le temps de sortir sa plume, elle murmura tout bas à l’intention de Nathan :

« Elle a l’air tellement chaleureuse, cette prof, l’ambiance risque d’être aussi festive que pendant les cours de déviance magique … »

Puis comme personne ne levait la main, ce fut finalement elle, avec un soupir réprimé, qui s’y colla. Et oui, donc, elle leva la main avec fatalisme. Allez, autant s’en débarrasser maintenant, et puis voilà.

[Doubles-Comptes :]

« Putain Lily, rends-moi ça ! »
« Puis quoi encore ! Tu t’excuses, et je te le rends ! »
« Elle est assez grande pour se débrouiller toute seule ! »
« Ta gueule, je ne t’ai pas demandé les mensurations de ton dernier plan cul, juste des excuses en bonne et due forme, sinon le contenu de ce torche-merde pourrait très vite se retrouver dans les pattes du Sinistros ! »

Les Serpentard, qui suivaient la gueulante sans broncher, laissèrent échapper de petits ricanements sournois, la base même du prédateur qui a ferré un joli herbivore sans danger. Là en l’occurrence, l’herbivore était la sixième année qui avait osé s’en prendre à Dominique, la cousine de Lily, que la jeune Potter protégeait comme un alpha protège sa meute. Elle détestait qu’on fasse du mal à sa cousine. Or, quand elle avait vu Domi revenir avec un bleu à la joue et un regard de tueuse, Lily s’était rapidement mise au courant, avait pété son câble en apprenant qu’une pétasse de cinquième année emmerdait sa cousine, avait coincé ladite cinquième année et la torturait mentalement maintenant. Notamment en la menaçant de balancer son prétendu journal intime au grand jour, de l’envoyer à l’équipe du journal de Poudlard, ironiquement nommée le Sinistros, sauf si elle allait faire des excuses à sa cousine. Et comme on pouvait s’y attendre, la cinquième année fulminait, lui gueulait dessus, hurlements auxquels elle répondait avec froideur et une once de menace. Une petite pause d’une heure avant de reprendre les cours, ce n’est pas toujours si reposant qu’on le croit. Les élèves vautrés dans la salle commune, immobiles et silencieux, suivaient la dispute avec un sourire de carnassier, ce qui amusait beaucoup Lily. Bon, son problème, c’est que la sixième année refusait de s’excuser et commençait à devenir soulante. Finalement, elle péta les plombs et s’approcha d’elle pour lui foutre une raclée, chose rendue facile par les dix centimètres de plus qu’elle avait sur la petite Potter. Mais la Potter, en fait, était agoraphobe et fuyait le contact comme la peste, elle avait donc appris à s’en prévenir. Là, ce fut en esquivant le coup de poing, en attrapant le bras de la cinquième année tout en lui balançant un coup de genou dans l’estomac, et finalement lui faucher les jambes pour qu’elle se vautre lamentablement au sol. Sous les sifflets des Serpentard morts de rire. Dominique, assise près du feu, avait un petit sourire amusé, même si comme Lily, elle détestait qu’on se mêle de ses affaires. Pour hâter les choses, Lily ouvrit le journal en reculant, et se mit à lire à voix haute.

« Cher journal. Oh, intéressant tout ça, tu dis cher journal ? Aujourd’hui, j’ai rencontré un garçon très séduisant, je pense que je vais le draguer sous peu. Eh bien dis-donc, intéressante ta vie. La suite est mieux ! Tout d’abord, je vais … »
« Ok, ça va ! Je m’excuse, rends-moi ça ! »
« Pauvre traînée, ta mère a du confondre ton père avec une poubelle au moment où elle cuvait sa vinasse. Tu me fais pitié. Touche encore ma cousine et je te fais vomir des limaces. »

Au milieu des rires méprisants des Serpentard, elle lui balança son journal dessus et retourna vers son siège pour récupérer son sac bandoulière et son écharpe qu’elle remit d’un mouvement d’initiée. Elle regarda du coin de l’œil son adversaire s’esquiver par la porte dérobée qui menait aux cachots, et se tourna vers sa cousine pour lever le pouce en signe de victoire. Attrapant l’anse de son sac bandoulière, elle quitta à son tour la salle commune et se mit en route d’un pas de balade, pour se diriger vers sa salle de cours. Etude des Runes. Bon, elle avait un peu la flemme, connaissait sa leçon, certes, mais n’avait carrément pas envie d’y aller. La prof était une jolie petite blonde qui ne lui inspirait pas vraiment du respect, mais plutôt une envie de rigoler plus qu’autre chose. Bon, pour avoir le respect de la jeune Potter, c’était aléatoire, dirons-nous. Ted, pardon, le professeur Lupin, avait son respect parce qu’il savait se faire respecter sans finir en prof sévère et pète-sec. La prof de runes, heu … Pour le moment, elle ne l’avait pas trop vue sourire, quoi. Elle en était restée à l’image de la jeune prof qui fait la sévère pour se faire respecter, ce qui n’est pas très flatteur. Mais bon, il fallait qu’elle aille en cours, parce qu’elle avait rendez-vous avec un beau gosse intégral, j’ai nommé Nathan Raven ! Esquissant un petit sourire, Lily accéléra le pas, grimpant les étages quatre à quatre, et entrant en coup de vent dans la salle de classe, poussant en râlant les gens qui refusaient de se pousser, et chercha Nathan du regard. Et le trouva. Et fronça des sourcils, avant de se diriger vers la table où était SON Nathan. Se mettant juste derrière la brune de cinquième année avec laquelle elle s’était engueulée, qui était tranquillement en train de draguer Nathan.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai envoyé bouler une pétasse, et si elle ne vire pas immédiatement de là, je pense que je lui refais le portrait. En effet, une petite manucure ne lui ferait que le plus grand bien, vu sa gueule de déchet social. »
« Encore toi ! Putain mais tu ne peux pas me foutre la paix, non ?! »
« Pas de ma faute si la merde semble s’amonceler devant mes pompes. Allez, vire de là, le jeune homme très séduisant semble préférer ma présence à la tienne. »

Poussant un grand soupir, la cinquième année préféra prendre le large, sans doute intimidée par l’aura métallique et froide qui émanait de Lily. Lily jalouse, oh que oui, personne ne tourne autour de son futur copain. Posant son sac au sol, elle s’assit à côté de Nathan, salua Lucy d’un signe de la main et ignora délibérément le sourire complice de sa cousine. Fuis, Lily, c’est ma housse de couette personnelle. Se tournant vers Nathan, elle lui envoya un sourire Colgate irrésistible et charmeur, le genre de sourire à dix points.

« Il semblerait qu’il ait pas mal de succès, le beau gosse, hein. Pas mal tes cheveux ! Bon d’accord, je les aime beaucoup, tout comme ton odeur mais personne n’a entendu à part toi et moi bien sûr … Hem, ouais, il vaut mieux que je me taise. »

Elle se pencha vers son sac pour attraper sa trousse, et assista à l’entrée en fanfare de la prof d’étude des runes, qui gueula pour obtenir le silence, se présenter au cas où on ne la connaîtrait pas alors qu’on l’avait depuis la troisième année, hm cherchez l’erreur … Et posa une question à laquelle Lily avait la réponse. Mais la flemme de répondre, mieux valait se concentrer sur beau gosse à côté d’elle. Baissant la tête le temps de sortir sa plume, elle murmura tout bas à l’intention de Nathan :

« Elle a l’air tellement chaleureuse, cette prof, l’ambiance risque d’être aussi festive que pendant les cours de déviance magique … »

Puis comme personne ne levait la main, ce fut finalement elle, avec un soupir réprimé, qui s’y colla. Et oui, donc, elle leva la main avec fatalisme. Allez, autant s’en débarrasser maintenant, et puis voilà.

Bwaaaaaah.
Ca c'est du bâillement, mes aïeux! Lucy tenta de dissimuler cette tentative de décrochage de mâchoire sous une main, mais bon, c'était assez évident que la Poufsouffle était mal réveillée, d'ailleurs, elle avait une vraie mine de déterrée. Et de déterrée après une semaine passée enterrée, au moins, s'il vous plaît...Il fallait dire aussi que la pauvre Poufsouffle avait fait quelques drôles de rêves cette nuit, notamment l'un d'eux où, bêtement, elle avait rêve qu'elle se réveillait et notait son rêve dans le cahier qui, en réalité, demeurait caché près de son lit et protégé par quelques sortilèges. En attendant, le seul détail qui lui permit, au réveil véritable, d'être certaine qu'il s'agissait bien d'un songe fut le souvenir de l'heure qu'elle avait lu sur le réveil, disons, onirique: 45h71, admettez que c'est rare de lire ça sur un appareil, non? Donc bref, Lucy avait enfin pu noter son rêve mais s'était retrouvée toute perdue, ne sachant plus si elle s'était déjà lavée les dents, habillée -bon, ça, ça se vérifiait vite...- et dans le doute elle refit tout.
Et passa le début de la journée dans le coton, s'étant endormie à minuit la veille, à cause d'un livre très intéressant sur le mode de vie félin. Il faudrait qu'elle pose une ou deux questions à Charlie d'ailleurs...après tout, c'était l'avantage d'avoir sous la main une tenancière de boutique d'animaux!! En attendant, la Poufsouffle acheva peu à peu de se réveiller et fixa le contenu de son assiette sans trop d'enthousiasme, avant de repousser le dessert et de se lever pour filer se balader un peu dans les couloirs, vides et silencieux. Elle marchait assez vite, les mains dans les poches, pensive, vêtue d'un sweat caramel foncé avec quelques motifs calligraphiques vanille, faits main s'il vous plaît. Elle portait aussi un pantalon couleur meringue et des bottes elles aussi caramel. Hmmm...finalement elle aurait peut-être dû l'avaler, ce gâteau à la vanille non? Parce que là ça virait à la fixation...
La jeune fille secoua ses cheveux auburn et leva ses yeux gris, brillants, perçants, et tripota du bout des doigts le pendentif de nacre qui ornait son cou, avant de reprendre sa marche. Ce qui avait attiré son attention était un décret indiquant la fermeture de la bibliothèque, déjà en vigueur depuis des mois...à l'Ouest rien de nouveau, n'est ce pas?
En attendant, la blaireaute poussa la porte du cours de Runes, où régnait un léger bazar, somme tout assez désagréable. Lucy, qui détestait les sons brutaux, plissa les yeux et se fraya un chemin jusqu'à l'endroit où se tenait sa cousine adorée, j'ai nommé Lily Potter, une des rares membres de la smala Weasley-Potter à avoir son âge et une tournure d'esprit semblable malgré leurs différences de caractère.
S'asseyant à côté de sa cousine, Lucy la salua et constata que la vipère était en pleine phase de discussion avec un joli jeune homme, assez punk, mais cela ne gênait pas Lucy...d'abord ça allait très bien à ce petit monsieur, ensuite, elle ne jugeait jamais les gens sur l'apparence...d'autant plus qu'ici les pires salopards étaient souvent les "fils-à-papa" bien habillés et proprets...

Ah, elle avait de la voix cette prof!! Lucy sursauta comme elle le faisait toujours quand un bruit lui flinguait les tympans, et manqua tomber de sa chaise. L'effet fut radical sur la classe et le silence se fit, tandis que la Poufsouffle glissait à l'oreille de sa cousine:

"Oh là là je sens que ça va être la fête ces cours là..."

Et en plus elle était sûre qu'elle la laisserait même pas dessiner...mais merde quoi, elle était capable de dessiner et d'écouter en même temps, mais les profs refusaient catégoriquement d'entendre raison pour la plupart et partaient du principe qu'on pouvait pas faire deux choses à la fois. Eh ben si, andouilles...Lucy sortit donc deux feuilles de son sac, l'une destinée à recevoir le cours magistral et l'autre prête à accueillir gribouillis et croquis qu'elle y poserait du bout de sa plume, lorsqu'il n'y aurait rien à écrire...
A la question de la prof, Lucy se mit à réfléchir en fronçant les sourcils. A sa décharge, elle n'avait rien retenu de son cours de l'an dernier, dispensé par un abruti qui avait passé l'année à l'en,gueuler et à l'interroger, sachant bien qu'elle n'aurait pas la réponse, mais irrité par les dessins de l'élève.
Depuis, Lucy n'aimait plus les Runes, alors elle baissa le nez en suppliant intérieurement la prof de ne pas l'interroger.

[Messages :]

Bwaaaaaah.
Ca c'est du bâillement, mes aïeux! Lucy tenta de dissimuler cette tentative de décrochage de mâchoire sous une main, mais bon, c'était assez évident que la Poufsouffle était mal réveillée, d'ailleurs, elle avait une vraie mine de déterrée. Et de déterrée après une semaine passée enterrée, au moins, s'il vous plaît...Il fallait dire aussi que la pauvre Poufsouffle avait fait quelques drôles de rêves cette nuit, notamment l'un d'eux où, bêtement, elle avait rêve qu'elle se réveillait et notait son rêve dans le cahier qui, en réalité, demeurait caché près de son lit et protégé par quelques sortilèges. En attendant, le seul détail qui lui permit, au réveil véritable, d'être certaine qu'il s'agissait bien d'un songe fut le souvenir de l'heure qu'elle avait lu sur le réveil, disons, onirique: 45h71, admettez que c'est rare de lire ça sur un appareil, non? Donc bref, Lucy avait enfin pu noter son rêve mais s'était retrouvée toute perdue, ne sachant plus si elle s'était déjà lavée les dents, habillée -bon, ça, ça se vérifiait vite...- et dans le doute elle refit tout.
Et passa le début de la journée dans le coton, s'étant endormie à minuit la veille, à cause d'un livre très intéressant sur le mode de vie félin. Il faudrait qu'elle pose une ou deux questions à Charlie d'ailleurs...après tout, c'était l'avantage d'avoir sous la main une tenancière de boutique d'animaux!! En attendant, la Poufsouffle acheva peu à peu de se réveiller et fixa le contenu de son assiette sans trop d'enthousiasme, avant de repousser le dessert et de se lever pour filer se balader un peu dans les couloirs, vides et silencieux. Elle marchait assez vite, les mains dans les poches, pensive, vêtue d'un sweat caramel foncé avec quelques motifs calligraphiques vanille, faits main s'il vous plaît. Elle portait aussi un pantalon couleur meringue et des bottes elles aussi caramel. Hmmm...finalement elle aurait peut-être dû l'avaler, ce gâteau à la vanille non? Parce que là ça virait à la fixation...
La jeune fille secoua ses cheveux auburn et leva ses yeux gris, brillants, perçants, et tripota du bout des doigts le pendentif de nacre qui ornait son cou, avant de reprendre sa marche. Ce qui avait attiré son attention était un décret indiquant la fermeture de la bibliothèque, déjà en vigueur depuis des mois...à l'Ouest rien de nouveau, n'est ce pas?
En attendant, la blaireaute poussa la porte du cours de Runes, où régnait un léger bazar, somme tout assez désagréable. Lucy, qui détestait les sons brutaux, plissa les yeux et se fraya un chemin jusqu'à l'endroit où se tenait sa cousine adorée, j'ai nommé Lily Potter, une des rares membres de la smala Weasley-Potter à avoir son âge et une tournure d'esprit semblable malgré leurs différences de caractère.
S'asseyant à côté de sa cousine, Lucy la salua et constata que la vipère était en pleine phase de discussion avec un joli jeune homme, assez punk, mais cela ne gênait pas Lucy...d'abord ça allait très bien à ce petit monsieur, ensuite, elle ne jugeait jamais les gens sur l'apparence...d'autant plus qu'ici les pires salopards étaient souvent les "fils-à-papa" bien habillés et proprets...

Ah, elle avait de la voix cette prof!! Lucy sursauta comme elle le faisait toujours quand un bruit lui flinguait les tympans, et manqua tomber de sa chaise. L'effet fut radical sur la classe et le silence se fit, tandis que la Poufsouffle glissait à l'oreille de sa cousine:

"Oh là là je sens que ça va être la fête ces cours là..."

Et en plus elle était sûre qu'elle la laisserait même pas dessiner...mais merde quoi, elle était capable de dessiner et d'écouter en même temps, mais les profs refusaient catégoriquement d'entendre raison pour la plupart et partaient du principe qu'on pouvait pas faire deux choses à la fois. Eh ben si, andouilles...Lucy sortit donc deux feuilles de son sac, l'une destinée à recevoir le cours magistral et l'autre prête à accueillir gribouillis et croquis qu'elle y poserait du bout de sa plume, lorsqu'il n'y aurait rien à écrire...
A la question de la prof, Lucy se mit à réfléchir en fronçant les sourcils. A sa décharge, elle n'avait rien retenu de son cours de l'an dernier, dispensé par un abruti qui avait passé l'année à l'en,gueuler et à l'interroger, sachant bien qu'elle n'aurait pas la réponse, mais irrité par les dessins de l'élève.
Depuis, Lucy n'aimait plus les Runes, alors elle baissa le nez en suppliant intérieurement la prof de ne pas l'interroger.

[Points :]

Bwaaaaaah.
Ca c'est du bâillement, mes aïeux! Lucy tenta de dissimuler cette tentative de décrochage de mâchoire sous une main, mais bon, c'était assez évident que la Poufsouffle était mal réveillée, d'ailleurs, elle avait une vraie mine de déterrée. Et de déterrée après une semaine passée enterrée, au moins, s'il vous plaît...Il fallait dire aussi que la pauvre Poufsouffle avait fait quelques drôles de rêves cette nuit, notamment l'un d'eux où, bêtement, elle avait rêve qu'elle se réveillait et notait son rêve dans le cahier qui, en réalité, demeurait caché près de son lit et protégé par quelques sortilèges. En attendant, le seul détail qui lui permit, au réveil véritable, d'être certaine qu'il s'agissait bien d'un songe fut le souvenir de l'heure qu'elle avait lu sur le réveil, disons, onirique: 45h71, admettez que c'est rare de lire ça sur un appareil, non? Donc bref, Lucy avait enfin pu noter son rêve mais s'était retrouvée toute perdue, ne sachant plus si elle s'était déjà lavée les dents, habillée -bon, ça, ça se vérifiait vite...- et dans le doute elle refit tout.
Et passa le début de la journée dans le coton, s'étant endormie à minuit la veille, à cause d'un livre très intéressant sur le mode de vie félin. Il faudrait qu'elle pose une ou deux questions à Charlie d'ailleurs...après tout, c'était l'avantage d'avoir sous la main une tenancière de boutique d'animaux!! En attendant, la Poufsouffle acheva peu à peu de se réveiller et fixa le contenu de son assiette sans trop d'enthousiasme, avant de repousser le dessert et de se lever pour filer se balader un peu dans les couloirs, vides et silencieux. Elle marchait assez vite, les mains dans les poches, pensive, vêtue d'un sweat caramel foncé avec quelques motifs calligraphiques vanille, faits main s'il vous plaît. Elle portait aussi un pantalon couleur meringue et des bottes elles aussi caramel. Hmmm...finalement elle aurait peut-être dû l'avaler, ce gâteau à la vanille non? Parce que là ça virait à la fixation...
La jeune fille secoua ses cheveux auburn et leva ses yeux gris, brillants, perçants, et tripota du bout des doigts le pendentif de nacre qui ornait son cou, avant de reprendre sa marche. Ce qui avait attiré son attention était un décret indiquant la fermeture de la bibliothèque, déjà en vigueur depuis des mois...à l'Ouest rien de nouveau, n'est ce pas?
En attendant, la blaireaute poussa la porte du cours de Runes, où régnait un léger bazar, somme tout assez désagréable. Lucy, qui détestait les sons brutaux, plissa les yeux et se fraya un chemin jusqu'à l'endroit où se tenait sa cousine adorée, j'ai nommé Lily Potter, une des rares membres de la smala Weasley-Potter à avoir son âge et une tournure d'esprit semblable malgré leurs différences de caractère.
S'asseyant à côté de sa cousine, Lucy la salua et constata que la vipère était en pleine phase de discussion avec un joli jeune homme, assez punk, mais cela ne gênait pas Lucy...d'abord ça allait très bien à ce petit monsieur, ensuite, elle ne jugeait jamais les gens sur l'apparence...d'autant plus qu'ici les pires salopards étaient souvent les "fils-à-papa" bien habillés et proprets...

Ah, elle avait de la voix cette prof!! Lucy sursauta comme elle le faisait toujours quand un bruit lui flinguait les tympans, et manqua tomber de sa chaise. L'effet fut radical sur la classe et le silence se fit, tandis que la Poufsouffle glissait à l'oreille de sa cousine:

"Oh là là je sens que ça va être la fête ces cours là..."

Et en plus elle était sûre qu'elle la laisserait même pas dessiner...mais merde quoi, elle était capable de dessiner et d'écouter en même temps, mais les profs refusaient catégoriquement d'entendre raison pour la plupart et partaient du principe qu'on pouvait pas faire deux choses à la fois. Eh ben si, andouilles...Lucy sortit donc deux feuilles de son sac, l'une destinée à recevoir le cours magistral et l'autre prête à accueillir gribouillis et croquis qu'elle y poserait du bout de sa plume, lorsqu'il n'y aurait rien à écrire...
A la question de la prof, Lucy se mit à réfléchir en fronçant les sourcils. A sa décharge, elle n'avait rien retenu de son cours de l'an dernier, dispensé par un abruti qui avait passé l'année à l'en,gueuler et à l'interroger, sachant bien qu'elle n'aurait pas la réponse, mais irrité par les dessins de l'élève.
Depuis, Lucy n'aimait plus les Runes, alors elle baissa le nez en suppliant intérieurement la prof de ne pas l'interroger.

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Bwaaaaaah.
Ca c'est du bâillement, mes aïeux! Lucy tenta de dissimuler cette tentative de décrochage de mâchoire sous une main, mais bon, c'était assez évident que la Poufsouffle était mal réveillée, d'ailleurs, elle avait une vraie mine de déterrée. Et de déterrée après une semaine passée enterrée, au moins, s'il vous plaît...Il fallait dire aussi que la pauvre Poufsouffle avait fait quelques drôles de rêves cette nuit, notamment l'un d'eux où, bêtement, elle avait rêve qu'elle se réveillait et notait son rêve dans le cahier qui, en réalité, demeurait caché près de son lit et protégé par quelques sortilèges. En attendant, le seul détail qui lui permit, au réveil véritable, d'être certaine qu'il s'agissait bien d'un songe fut le souvenir de l'heure qu'elle avait lu sur le réveil, disons, onirique: 45h71, admettez que c'est rare de lire ça sur un appareil, non? Donc bref, Lucy avait enfin pu noter son rêve mais s'était retrouvée toute perdue, ne sachant plus si elle s'était déjà lavée les dents, habillée -bon, ça, ça se vérifiait vite...- et dans le doute elle refit tout.
Et passa le début de la journée dans le coton, s'étant endormie à minuit la veille, à cause d'un livre très intéressant sur le mode de vie félin. Il faudrait qu'elle pose une ou deux questions à Charlie d'ailleurs...après tout, c'était l'avantage d'avoir sous la main une tenancière de boutique d'animaux!! En attendant, la Poufsouffle acheva peu à peu de se réveiller et fixa le contenu de son assiette sans trop d'enthousiasme, avant de repousser le dessert et de se lever pour filer se balader un peu dans les couloirs, vides et silencieux. Elle marchait assez vite, les mains dans les poches, pensive, vêtue d'un sweat caramel foncé avec quelques motifs calligraphiques vanille, faits main s'il vous plaît. Elle portait aussi un pantalon couleur meringue et des bottes elles aussi caramel. Hmmm...finalement elle aurait peut-être dû l'avaler, ce gâteau à la vanille non? Parce que là ça virait à la fixation...
La jeune fille secoua ses cheveux auburn et leva ses yeux gris, brillants, perçants, et tripota du bout des doigts le pendentif de nacre qui ornait son cou, avant de reprendre sa marche. Ce qui avait attiré son attention était un décret indiquant la fermeture de la bibliothèque, déjà en vigueur depuis des mois...à l'Ouest rien de nouveau, n'est ce pas?
En attendant, la blaireaute poussa la porte du cours de Runes, où régnait un léger bazar, somme tout assez désagréable. Lucy, qui détestait les sons brutaux, plissa les yeux et se fraya un chemin jusqu'à l'endroit où se tenait sa cousine adorée, j'ai nommé Lily Potter, une des rares membres de la smala Weasley-Potter à avoir son âge et une tournure d'esprit semblable malgré leurs différences de caractère.
S'asseyant à côté de sa cousine, Lucy la salua et constata que la vipère était en pleine phase de discussion avec un joli jeune homme, assez punk, mais cela ne gênait pas Lucy...d'abord ça allait très bien à ce petit monsieur, ensuite, elle ne jugeait jamais les gens sur l'apparence...d'autant plus qu'ici les pires salopards étaient souvent les "fils-à-papa" bien habillés et proprets...

Ah, elle avait de la voix cette prof!! Lucy sursauta comme elle le faisait toujours quand un bruit lui flinguait les tympans, et manqua tomber de sa chaise. L'effet fut radical sur la classe et le silence se fit, tandis que la Poufsouffle glissait à l'oreille de sa cousine:

"Oh là là je sens que ça va être la fête ces cours là..."

Et en plus elle était sûre qu'elle la laisserait même pas dessiner...mais merde quoi, elle était capable de dessiner et d'écouter en même temps, mais les profs refusaient catégoriquement d'entendre raison pour la plupart et partaient du principe qu'on pouvait pas faire deux choses à la fois. Eh ben si, andouilles...Lucy sortit donc deux feuilles de son sac, l'une destinée à recevoir le cours magistral et l'autre prête à accueillir gribouillis et croquis qu'elle y poserait du bout de sa plume, lorsqu'il n'y aurait rien à écrire...
A la question de la prof, Lucy se mit à réfléchir en fronçant les sourcils. A sa décharge, elle n'avait rien retenu de son cours de l'an dernier, dispensé par un abruti qui avait passé l'année à l'en,gueuler et à l'interroger, sachant bien qu'elle n'aurait pas la réponse, mais irrité par les dessins de l'élève.
Depuis, Lucy n'aimait plus les Runes, alors elle baissa le nez en suppliant intérieurement la prof de ne pas l'interroger.

[Crédits :]

Bwaaaaaah.
Ca c'est du bâillement, mes aïeux! Lucy tenta de dissimuler cette tentative de décrochage de mâchoire sous une main, mais bon, c'était assez évident que la Poufsouffle était mal réveillée, d'ailleurs, elle avait une vraie mine de déterrée. Et de déterrée après une semaine passée enterrée, au moins, s'il vous plaît...Il fallait dire aussi que la pauvre Poufsouffle avait fait quelques drôles de rêves cette nuit, notamment l'un d'eux où, bêtement, elle avait rêve qu'elle se réveillait et notait son rêve dans le cahier qui, en réalité, demeurait caché près de son lit et protégé par quelques sortilèges. En attendant, le seul détail qui lui permit, au réveil véritable, d'être certaine qu'il s'agissait bien d'un songe fut le souvenir de l'heure qu'elle avait lu sur le réveil, disons, onirique: 45h71, admettez que c'est rare de lire ça sur un appareil, non? Donc bref, Lucy avait enfin pu noter son rêve mais s'était retrouvée toute perdue, ne sachant plus si elle s'était déjà lavée les dents, habillée -bon, ça, ça se vérifiait vite...- et dans le doute elle refit tout.
Et passa le début de la journée dans le coton, s'étant endormie à minuit la veille, à cause d'un livre très intéressant sur le mode de vie félin. Il faudrait qu'elle pose une ou deux questions à Charlie d'ailleurs...après tout, c'était l'avantage d'avoir sous la main une tenancière de boutique d'animaux!! En attendant, la Poufsouffle acheva peu à peu de se réveiller et fixa le contenu de son assiette sans trop d'enthousiasme, avant de repousser le dessert et de se lever pour filer se balader un peu dans les couloirs, vides et silencieux. Elle marchait assez vite, les mains dans les poches, pensive, vêtue d'un sweat caramel foncé avec quelques motifs calligraphiques vanille, faits main s'il vous plaît. Elle portait aussi un pantalon couleur meringue et des bottes elles aussi caramel. Hmmm...finalement elle aurait peut-être dû l'avaler, ce gâteau à la vanille non? Parce que là ça virait à la fixation...
La jeune fille secoua ses cheveux auburn et leva ses yeux gris, brillants, perçants, et tripota du bout des doigts le pendentif de nacre qui ornait son cou, avant de reprendre sa marche. Ce qui avait attiré son attention était un décret indiquant la fermeture de la bibliothèque, déjà en vigueur depuis des mois...à l'Ouest rien de nouveau, n'est ce pas?
En attendant, la blaireaute poussa la porte du cours de Runes, où régnait un léger bazar, somme tout assez désagréable. Lucy, qui détestait les sons brutaux, plissa les yeux et se fraya un chemin jusqu'à l'endroit où se tenait sa cousine adorée, j'ai nommé Lily Potter, une des rares membres de la smala Weasley-Potter à avoir son âge et une tournure d'esprit semblable malgré leurs différences de caractère.
S'asseyant à côté de sa cousine, Lucy la salua et constata que la vipère était en pleine phase de discussion avec un joli jeune homme, assez punk, mais cela ne gênait pas Lucy...d'abord ça allait très bien à ce petit monsieur, ensuite, elle ne jugeait jamais les gens sur l'apparence...d'autant plus qu'ici les pires salopards étaient souvent les "fils-à-papa" bien habillés et proprets...

Ah, elle avait de la voix cette prof!! Lucy sursauta comme elle le faisait toujours quand un bruit lui flinguait les tympans, et manqua tomber de sa chaise. L'effet fut radical sur la classe et le silence se fit, tandis que la Poufsouffle glissait à l'oreille de sa cousine:

"Oh là là je sens que ça va être la fête ces cours là..."

Et en plus elle était sûre qu'elle la laisserait même pas dessiner...mais merde quoi, elle était capable de dessiner et d'écouter en même temps, mais les profs refusaient catégoriquement d'entendre raison pour la plupart et partaient du principe qu'on pouvait pas faire deux choses à la fois. Eh ben si, andouilles...Lucy sortit donc deux feuilles de son sac, l'une destinée à recevoir le cours magistral et l'autre prête à accueillir gribouillis et croquis qu'elle y poserait du bout de sa plume, lorsqu'il n'y aurait rien à écrire...
A la question de la prof, Lucy se mit à réfléchir en fronçant les sourcils. A sa décharge, elle n'avait rien retenu de son cours de l'an dernier, dispensé par un abruti qui avait passé l'année à l'en,gueuler et à l'interroger, sachant bien qu'elle n'aurait pas la réponse, mais irrité par les dessins de l'élève.
Depuis, Lucy n'aimait plus les Runes, alors elle baissa le nez en suppliant intérieurement la prof de ne pas l'interroger.

[Age RPG :]

Bwaaaaaah.
Ca c'est du bâillement, mes aïeux! Lucy tenta de dissimuler cette tentative de décrochage de mâchoire sous une main, mais bon, c'était assez évident que la Poufsouffle était mal réveillée, d'ailleurs, elle avait une vraie mine de déterrée. Et de déterrée après une semaine passée enterrée, au moins, s'il vous plaît...Il fallait dire aussi que la pauvre Poufsouffle avait fait quelques drôles de rêves cette nuit, notamment l'un d'eux où, bêtement, elle avait rêve qu'elle se réveillait et notait son rêve dans le cahier qui, en réalité, demeurait caché près de son lit et protégé par quelques sortilèges. En attendant, le seul détail qui lui permit, au réveil véritable, d'être certaine qu'il s'agissait bien d'un songe fut le souvenir de l'heure qu'elle avait lu sur le réveil, disons, onirique: 45h71, admettez que c'est rare de lire ça sur un appareil, non? Donc bref, Lucy avait enfin pu noter son rêve mais s'était retrouvée toute perdue, ne sachant plus si elle s'était déjà lavée les dents, habillée -bon, ça, ça se vérifiait vite...- et dans le doute elle refit tout.
Et passa le début de la journée dans le coton, s'étant endormie à minuit la veille, à cause d'un livre très intéressant sur le mode de vie félin. Il faudrait qu'elle pose une ou deux questions à Charlie d'ailleurs...après tout, c'était l'avantage d'avoir sous la main une tenancière de boutique d'animaux!! En attendant, la Poufsouffle acheva peu à peu de se réveiller et fixa le contenu de son assiette sans trop d'enthousiasme, avant de repousser le dessert et de se lever pour filer se balader un peu dans les couloirs, vides et silencieux. Elle marchait assez vite, les mains dans les poches, pensive, vêtue d'un sweat caramel foncé avec quelques motifs calligraphiques vanille, faits main s'il vous plaît. Elle portait aussi un pantalon couleur meringue et des bottes elles aussi caramel. Hmmm...finalement elle aurait peut-être dû l'avaler, ce gâteau à la vanille non? Parce que là ça virait à la fixation...
La jeune fille secoua ses cheveux auburn et leva ses yeux gris, brillants, perçants, et tripota du bout des doigts le pendentif de nacre qui ornait son cou, avant de reprendre sa marche. Ce qui avait attiré son attention était un décret indiquant la fermeture de la bibliothèque, déjà en vigueur depuis des mois...à l'Ouest rien de nouveau, n'est ce pas?
En attendant, la blaireaute poussa la porte du cours de Runes, où régnait un léger bazar, somme tout assez désagréable. Lucy, qui détestait les sons brutaux, plissa les yeux et se fraya un chemin jusqu'à l'endroit où se tenait sa cousine adorée, j'ai nommé Lily Potter, une des rares membres de la smala Weasley-Potter à avoir son âge et une tournure d'esprit semblable malgré leurs différences de caractère.
S'asseyant à côté de sa cousine, Lucy la salua et constata que la vipère était en pleine phase de discussion avec un joli jeune homme, assez punk, mais cela ne gênait pas Lucy...d'abord ça allait très bien à ce petit monsieur, ensuite, elle ne jugeait jamais les gens sur l'apparence...d'autant plus qu'ici les pires salopards étaient souvent les "fils-à-papa" bien habillés et proprets...

Ah, elle avait de la voix cette prof!! Lucy sursauta comme elle le faisait toujours quand un bruit lui flinguait les tympans, et manqua tomber de sa chaise. L'effet fut radical sur la classe et le silence se fit, tandis que la Poufsouffle glissait à l'oreille de sa cousine:

"Oh là là je sens que ça va être la fête ces cours là..."

Et en plus elle était sûre qu'elle la laisserait même pas dessiner...mais merde quoi, elle était capable de dessiner et d'écouter en même temps, mais les profs refusaient catégoriquement d'entendre raison pour la plupart et partaient du principe qu'on pouvait pas faire deux choses à la fois. Eh ben si, andouilles...Lucy sortit donc deux feuilles de son sac, l'une destinée à recevoir le cours magistral et l'autre prête à accueillir gribouillis et croquis qu'elle y poserait du bout de sa plume, lorsqu'il n'y aurait rien à écrire...
A la question de la prof, Lucy se mit à réfléchir en fronçant les sourcils. A sa décharge, elle n'avait rien retenu de son cours de l'an dernier, dispensé par un abruti qui avait passé l'année à l'en,gueuler et à l'interroger, sachant bien qu'elle n'aurait pas la réponse, mais irrité par les dessins de l'élève.
Depuis, Lucy n'aimait plus les Runes, alors elle baissa le nez en suppliant intérieurement la prof de ne pas l'interroger.

[Sang :]

Bwaaaaaah.
Ca c'est du bâillement, mes aïeux! Lucy tenta de dissimuler cette tentative de décrochage de mâchoire sous une main, mais bon, c'était assez évident que la Poufsouffle était mal réveillée, d'ailleurs, elle avait une vraie mine de déterrée. Et de déterrée après une semaine passée enterrée, au moins, s'il vous plaît...Il fallait dire aussi que la pauvre Poufsouffle avait fait quelques drôles de rêves cette nuit, notamment l'un d'eux où, bêtement, elle avait rêve qu'elle se réveillait et notait son rêve dans le cahier qui, en réalité, demeurait caché près de son lit et protégé par quelques sortilèges. En attendant, le seul détail qui lui permit, au réveil véritable, d'être certaine qu'il s'agissait bien d'un songe fut le souvenir de l'heure qu'elle avait lu sur le réveil, disons, onirique: 45h71, admettez que c'est rare de lire ça sur un appareil, non? Donc bref, Lucy avait enfin pu noter son rêve mais s'était retrouvée toute perdue, ne sachant plus si elle s'était déjà lavée les dents, habillée -bon, ça, ça se vérifiait vite...- et dans le doute elle refit tout.
Et passa le début de la journée dans le coton, s'étant endormie à minuit la veille, à cause d'un livre très intéressant sur le mode de vie félin. Il faudrait qu'elle pose une ou deux questions à Charlie d'ailleurs...après tout, c'était l'avantage d'avoir sous la main une tenancière de boutique d'animaux!! En attendant, la Poufsouffle acheva peu à peu de se réveiller et fixa le contenu de son assiette sans trop d'enthousiasme, avant de repousser le dessert et de se lever pour filer se balader un peu dans les couloirs, vides et silencieux. Elle marchait assez vite, les mains dans les poches, pensive, vêtue d'un sweat caramel foncé avec quelques motifs calligraphiques vanille, faits main s'il vous plaît. Elle portait aussi un pantalon couleur meringue et des bottes elles aussi caramel. Hmmm...finalement elle aurait peut-être dû l'avaler, ce gâteau à la vanille non? Parce que là ça virait à la fixation...
La jeune fille secoua ses cheveux auburn et leva ses yeux gris, brillants, perçants, et tripota du bout des doigts le pendentif de nacre qui ornait son cou, avant de reprendre sa marche. Ce qui avait attiré son attention était un décret indiquant la fermeture de la bibliothèque, déjà en vigueur depuis des mois...à l'Ouest rien de nouveau, n'est ce pas?
En attendant, la blaireaute poussa la porte du cours de Runes, où régnait un léger bazar, somme tout assez désagréable. Lucy, qui détestait les sons brutaux, plissa les yeux et se fraya un chemin jusqu'à l'endroit où se tenait sa cousine adorée, j'ai nommé Lily Potter, une des rares membres de la smala Weasley-Potter à avoir son âge et une tournure d'esprit semblable malgré leurs différences de caractère.
S'asseyant à côté de sa cousine, Lucy la salua et constata que la vipère était en pleine phase de discussion avec un joli jeune homme, assez punk, mais cela ne gênait pas Lucy...d'abord ça allait très bien à ce petit monsieur, ensuite, elle ne jugeait jamais les gens sur l'apparence...d'autant plus qu'ici les pires salopards étaient souvent les "fils-à-papa" bien habillés et proprets...

Ah, elle avait de la voix cette prof!! Lucy sursauta comme elle le faisait toujours quand un bruit lui flinguait les tympans, et manqua tomber de sa chaise. L'effet fut radical sur la classe et le silence se fit, tandis que la Poufsouffle glissait à l'oreille de sa cousine:

"Oh là là je sens que ça va être la fête ces cours là..."

Et en plus elle était sûre qu'elle la laisserait même pas dessiner...mais merde quoi, elle était capable de dessiner et d'écouter en même temps, mais les profs refusaient catégoriquement d'entendre raison pour la plupart et partaient du principe qu'on pouvait pas faire deux choses à la fois. Eh ben si, andouilles...Lucy sortit donc deux feuilles de son sac, l'une destinée à recevoir le cours magistral et l'autre prête à accueillir gribouillis et croquis qu'elle y poserait du bout de sa plume, lorsqu'il n'y aurait rien à écrire...
A la question de la prof, Lucy se mit à réfléchir en fronçant les sourcils. A sa décharge, elle n'avait rien retenu de son cours de l'an dernier, dispensé par un abruti qui avait passé l'année à l'en,gueuler et à l'interroger, sachant bien qu'elle n'aurait pas la réponse, mais irrité par les dessins de l'élève.
Depuis, Lucy n'aimait plus les Runes, alors elle baissa le nez en suppliant intérieurement la prof de ne pas l'interroger.

[Camp :]

Bwaaaaaah.
Ca c'est du bâillement, mes aïeux! Lucy tenta de dissimuler cette tentative de décrochage de mâchoire sous une main, mais bon, c'était assez évident que la Poufsouffle était mal réveillée, d'ailleurs, elle avait une vraie mine de déterrée. Et de déterrée après une semaine passée enterrée, au moins, s'il vous plaît...Il fallait dire aussi que la pauvre Poufsouffle avait fait quelques drôles de rêves cette nuit, notamment l'un d'eux où, bêtement, elle avait rêve qu'elle se réveillait et notait son rêve dans le cahier qui, en réalité, demeurait caché près de son lit et protégé par quelques sortilèges. En attendant, le seul détail qui lui permit, au réveil véritable, d'être certaine qu'il s'agissait bien d'un songe fut le souvenir de l'heure qu'elle avait lu sur le réveil, disons, onirique: 45h71, admettez que c'est rare de lire ça sur un appareil, non? Donc bref, Lucy avait enfin pu noter son rêve mais s'était retrouvée toute perdue, ne sachant plus si elle s'était déjà lavée les dents, habillée -bon, ça, ça se vérifiait vite...- et dans le doute elle refit tout.
Et passa le début de la journée dans le coton, s'étant endormie à minuit la veille, à cause d'un livre très intéressant sur le mode de vie félin. Il faudrait qu'elle pose une ou deux questions à Charlie d'ailleurs...après tout, c'était l'avantage d'avoir sous la main une tenancière de boutique d'animaux!! En attendant, la Poufsouffle acheva peu à peu de se réveiller et fixa le contenu de son assiette sans trop d'enthousiasme, avant de repousser le dessert et de se lever pour filer se balader un peu dans les couloirs, vides et silencieux. Elle marchait assez vite, les mains dans les poches, pensive, vêtue d'un sweat caramel foncé avec quelques motifs calligraphiques vanille, faits main s'il vous plaît. Elle portait aussi un pantalon couleur meringue et des bottes elles aussi caramel. Hmmm...finalement elle aurait peut-être dû l'avaler, ce gâteau à la vanille non? Parce que là ça virait à la fixation...
La jeune fille secoua ses cheveux auburn et leva ses yeux gris, brillants, perçants, et tripota du bout des doigts le pendentif de nacre qui ornait son cou, avant de reprendre sa marche. Ce qui avait attiré son attention était un décret indiquant la fermeture de la bibliothèque, déjà en vigueur depuis des mois...à l'Ouest rien de nouveau, n'est ce pas?
En attendant, la blaireaute poussa la porte du cours de Runes, où régnait un léger bazar, somme tout assez désagréable. Lucy, qui détestait les sons brutaux, plissa les yeux et se fraya un chemin jusqu'à l'endroit où se tenait sa cousine adorée, j'ai nommé Lily Potter, une des rares membres de la smala Weasley-Potter à avoir son âge et une tournure d'esprit semblable malgré leurs différences de caractère.
S'asseyant à côté de sa cousine, Lucy la salua et constata que la vipère était en pleine phase de discussion avec un joli jeune homme, assez punk, mais cela ne gênait pas Lucy...d'abord ça allait très bien à ce petit monsieur, ensuite, elle ne jugeait jamais les gens sur l'apparence...d'autant plus qu'ici les pires salopards étaient souvent les "fils-à-papa" bien habillés et proprets...

Ah, elle avait de la voix cette prof!! Lucy sursauta comme elle le faisait toujours quand un bruit lui flinguait les tympans, et manqua tomber de sa chaise. L'effet fut radical sur la classe et le silence se fit, tandis que la Poufsouffle glissait à l'oreille de sa cousine:

"Oh là là je sens que ça va être la fête ces cours là..."

Et en plus elle était sûre qu'elle la laisserait même pas dessiner...mais merde quoi, elle était capable de dessiner et d'écouter en même temps, mais les profs refusaient catégoriquement d'entendre raison pour la plupart et partaient du principe qu'on pouvait pas faire deux choses à la fois. Eh ben si, andouilles...Lucy sortit donc deux feuilles de son sac, l'une destinée à recevoir le cours magistral et l'autre prête à accueillir gribouillis et croquis qu'elle y poserait du bout de sa plume, lorsqu'il n'y aurait rien à écrire...
A la question de la prof, Lucy se mit à réfléchir en fronçant les sourcils. A sa décharge, elle n'avait rien retenu de son cours de l'an dernier, dispensé par un abruti qui avait passé l'année à l'en,gueuler et à l'interroger, sachant bien qu'elle n'aurait pas la réponse, mais irrité par les dessins de l'élève.
Depuis, Lucy n'aimait plus les Runes, alors elle baissa le nez en suppliant intérieurement la prof de ne pas l'interroger.

[Vie du personnage :]

Bwaaaaaah.
Ca c'est du bâillement, mes aïeux! Lucy tenta de dissimuler cette tentative de décrochage de mâchoire sous une main, mais bon, c'était assez évident que la Poufsouffle était mal réveillée, d'ailleurs, elle avait une vraie mine de déterrée. Et de déterrée après une semaine passée enterrée, au moins, s'il vous plaît...Il fallait dire aussi que la pauvre Poufsouffle avait fait quelques drôles de rêves cette nuit, notamment l'un d'eux où, bêtement, elle avait rêve qu'elle se réveillait et notait son rêve dans le cahier qui, en réalité, demeurait caché près de son lit et protégé par quelques sortilèges. En attendant, le seul détail qui lui permit, au réveil véritable, d'être certaine qu'il s'agissait bien d'un songe fut le souvenir de l'heure qu'elle avait lu sur le réveil, disons, onirique: 45h71, admettez que c'est rare de lire ça sur un appareil, non? Donc bref, Lucy avait enfin pu noter son rêve mais s'était retrouvée toute perdue, ne sachant plus si elle s'était déjà lavée les dents, habillée -bon, ça, ça se vérifiait vite...- et dans le doute elle refit tout.
Et passa le début de la journée dans le coton, s'étant endormie à minuit la veille, à cause d'un livre très intéressant sur le mode de vie félin. Il faudrait qu'elle pose une ou deux questions à Charlie d'ailleurs...après tout, c'était l'avantage d'avoir sous la main une tenancière de boutique d'animaux!! En attendant, la Poufsouffle acheva peu à peu de se réveiller et fixa le contenu de son assiette sans trop d'enthousiasme, avant de repousser le dessert et de se lever pour filer se balader un peu dans les couloirs, vides et silencieux. Elle marchait assez vite, les mains dans les poches, pensive, vêtue d'un sweat caramel foncé avec quelques motifs calligraphiques vanille, faits main s'il vous plaît. Elle portait aussi un pantalon couleur meringue et des bottes elles aussi caramel. Hmmm...finalement elle aurait peut-être dû l'avaler, ce gâteau à la vanille non? Parce que là ça virait à la fixation...
La jeune fille secoua ses cheveux auburn et leva ses yeux gris, brillants, perçants, et tripota du bout des doigts le pendentif de nacre qui ornait son cou, avant de reprendre sa marche. Ce qui avait attiré son attention était un décret indiquant la fermeture de la bibliothèque, déjà en vigueur depuis des mois...à l'Ouest rien de nouveau, n'est ce pas?
En attendant, la blaireaute poussa la porte du cours de Runes, où régnait un léger bazar, somme tout assez désagréable. Lucy, qui détestait les sons brutaux, plissa les yeux et se fraya un chemin jusqu'à l'endroit où se tenait sa cousine adorée, j'ai nommé Lily Potter, une des rares membres de la smala Weasley-Potter à avoir son âge et une tournure d'esprit semblable malgré leurs différences de caractère.
S'asseyant à côté de sa cousine, Lucy la salua et constata que la vipère était en pleine phase de discussion avec un joli jeune homme, assez punk, mais cela ne gênait pas Lucy...d'abord ça allait très bien à ce petit monsieur, ensuite, elle ne jugeait jamais les gens sur l'apparence...d'autant plus qu'ici les pires salopards étaient souvent les "fils-à-papa" bien habillés et proprets...

Ah, elle avait de la voix cette prof!! Lucy sursauta comme elle le faisait toujours quand un bruit lui flinguait les tympans, et manqua tomber de sa chaise. L'effet fut radical sur la classe et le silence se fit, tandis que la Poufsouffle glissait à l'oreille de sa cousine:

"Oh là là je sens que ça va être la fête ces cours là..."

Et en plus elle était sûre qu'elle la laisserait même pas dessiner...mais merde quoi, elle était capable de dessiner et d'écouter en même temps, mais les profs refusaient catégoriquement d'entendre raison pour la plupart et partaient du principe qu'on pouvait pas faire deux choses à la fois. Eh ben si, andouilles...Lucy sortit donc deux feuilles de son sac, l'une destinée à recevoir le cours magistral et l'autre prête à accueillir gribouillis et croquis qu'elle y poserait du bout de sa plume, lorsqu'il n'y aurait rien à écrire...
A la question de la prof, Lucy se mit à réfléchir en fronçant les sourcils. A sa décharge, elle n'avait rien retenu de son cours de l'an dernier, dispensé par un abruti qui avait passé l'année à l'en,gueuler et à l'interroger, sachant bien qu'elle n'aurait pas la réponse, mais irrité par les dessins de l'élève.
Depuis, Lucy n'aimait plus les Runes, alors elle baissa le nez en suppliant intérieurement la prof de ne pas l'interroger.

[Truc en plus :]

Bwaaaaaah.
Ca c'est du bâillement, mes aïeux! Lucy tenta de dissimuler cette tentative de décrochage de mâchoire sous une main, mais bon, c'était assez évident que la Poufsouffle était mal réveillée, d'ailleurs, elle avait une vraie mine de déterrée. Et de déterrée après une semaine passée enterrée, au moins, s'il vous plaît...Il fallait dire aussi que la pauvre Poufsouffle avait fait quelques drôles de rêves cette nuit, notamment l'un d'eux où, bêtement, elle avait rêve qu'elle se réveillait et notait son rêve dans le cahier qui, en réalité, demeurait caché près de son lit et protégé par quelques sortilèges. En attendant, le seul détail qui lui permit, au réveil véritable, d'être certaine qu'il s'agissait bien d'un songe fut le souvenir de l'heure qu'elle avait lu sur le réveil, disons, onirique: 45h71, admettez que c'est rare de lire ça sur un appareil, non? Donc bref, Lucy avait enfin pu noter son rêve mais s'était retrouvée toute perdue, ne sachant plus si elle s'était déjà lavée les dents, habillée -bon, ça, ça se vérifiait vite...- et dans le doute elle refit tout.
Et passa le début de la journée dans le coton, s'étant endormie à minuit la veille, à cause d'un livre très intéressant sur le mode de vie félin. Il faudrait qu'elle pose une ou deux questions à Charlie d'ailleurs...après tout, c'était l'avantage d'avoir sous la main une tenancière de boutique d'animaux!! En attendant, la Poufsouffle acheva peu à peu de se réveiller et fixa le contenu de son assiette sans trop d'enthousiasme, avant de repousser le dessert et de se lever pour filer se balader un peu dans les couloirs, vides et silencieux. Elle marchait assez vite, les mains dans les poches, pensive, vêtue d'un sweat caramel foncé avec quelques motifs calligraphiques vanille, faits main s'il vous plaît. Elle portait aussi un pantalon couleur meringue et des bottes elles aussi caramel. Hmmm...finalement elle aurait peut-être dû l'avaler, ce gâteau à la vanille non? Parce que là ça virait à la fixation...
La jeune fille secoua ses cheveux auburn et leva ses yeux gris, brillants, perçants, et tripota du bout des doigts le pendentif de nacre qui ornait son cou, avant de reprendre sa marche. Ce qui avait attiré son attention était un décret indiquant la fermeture de la bibliothèque, déjà en vigueur depuis des mois...à l'Ouest rien de nouveau, n'est ce pas?
En attendant, la blaireaute poussa la porte du cours de Runes, où régnait un léger bazar, somme tout assez désagréable. Lucy, qui détestait les sons brutaux, plissa les yeux et se fraya un chemin jusqu'à l'endroit où se tenait sa cousine adorée, j'ai nommé Lily Potter, une des rares membres de la smala Weasley-Potter à avoir son âge et une tournure d'esprit semblable malgré leurs différences de caractère.
S'asseyant à côté de sa cousine, Lucy la salua et constata que la vipère était en pleine phase de discussion avec un joli jeune homme, assez punk, mais cela ne gênait pas Lucy...d'abord ça allait très bien à ce petit monsieur, ensuite, elle ne jugeait jamais les gens sur l'apparence...d'autant plus qu'ici les pires salopards étaient souvent les "fils-à-papa" bien habillés et proprets...

Ah, elle avait de la voix cette prof!! Lucy sursauta comme elle le faisait toujours quand un bruit lui flinguait les tympans, et manqua tomber de sa chaise. L'effet fut radical sur la classe et le silence se fit, tandis que la Poufsouffle glissait à l'oreille de sa cousine:

"Oh là là je sens que ça va être la fête ces cours là..."

Et en plus elle était sûre qu'elle la laisserait même pas dessiner...mais merde quoi, elle était capable de dessiner et d'écouter en même temps, mais les profs refusaient catégoriquement d'entendre raison pour la plupart et partaient du principe qu'on pouvait pas faire deux choses à la fois. Eh ben si, andouilles...Lucy sortit donc deux feuilles de son sac, l'une destinée à recevoir le cours magistral et l'autre prête à accueillir gribouillis et croquis qu'elle y poserait du bout de sa plume, lorsqu'il n'y aurait rien à écrire...
A la question de la prof, Lucy se mit à réfléchir en fronçant les sourcils. A sa décharge, elle n'avait rien retenu de son cours de l'an dernier, dispensé par un abruti qui avait passé l'année à l'en,gueuler et à l'interroger, sachant bien qu'elle n'aurait pas la réponse, mais irrité par les dessins de l'élève.
Depuis, Lucy n'aimait plus les Runes, alors elle baissa le nez en suppliant intérieurement la prof de ne pas l'interroger.

[Doubles-Comptes :]

Bwaaaaaah.
Ca c'est du bâillement, mes aïeux! Lucy tenta de dissimuler cette tentative de décrochage de mâchoire sous une main, mais bon, c'était assez évident que la Poufsouffle était mal réveillée, d'ailleurs, elle avait une vraie mine de déterrée. Et de déterrée après une semaine passée enterrée, au moins, s'il vous plaît...Il fallait dire aussi que la pauvre Poufsouffle avait fait quelques drôles de rêves cette nuit, notamment l'un d'eux où, bêtement, elle avait rêve qu'elle se réveillait et notait son rêve dans le cahier qui, en réalité, demeurait caché près de son lit et protégé par quelques sortilèges. En attendant, le seul détail qui lui permit, au réveil véritable, d'être certaine qu'il s'agissait bien d'un songe fut le souvenir de l'heure qu'elle avait lu sur le réveil, disons, onirique: 45h71, admettez que c'est rare de lire ça sur un appareil, non? Donc bref, Lucy avait enfin pu noter son rêve mais s'était retrouvée toute perdue, ne sachant plus si elle s'était déjà lavée les dents, habillée -bon, ça, ça se vérifiait vite...- et dans le doute elle refit tout.
Et passa le début de la journée dans le coton, s'étant endormie à minuit la veille, à cause d'un livre très intéressant sur le mode de vie félin. Il faudrait qu'elle pose une ou deux questions à Charlie d'ailleurs...après tout, c'était l'avantage d'avoir sous la main une tenancière de boutique d'animaux!! En attendant, la Poufsouffle acheva peu à peu de se réveiller et fixa le contenu de son assiette sans trop d'enthousiasme, avant de repousser le dessert et de se lever pour filer se balader un peu dans les couloirs, vides et silencieux. Elle marchait assez vite, les mains dans les poches, pensive, vêtue d'un sweat caramel foncé avec quelques motifs calligraphiques vanille, faits main s'il vous plaît. Elle portait aussi un pantalon couleur meringue et des bottes elles aussi caramel. Hmmm...finalement elle aurait peut-être dû l'avaler, ce gâteau à la vanille non? Parce que là ça virait à la fixation...
La jeune fille secoua ses cheveux auburn et leva ses yeux gris, brillants, perçants, et tripota du bout des doigts le pendentif de nacre qui ornait son cou, avant de reprendre sa marche. Ce qui avait attiré son attention était un décret indiquant la fermeture de la bibliothèque, déjà en vigueur depuis des mois...à l'Ouest rien de nouveau, n'est ce pas?
En attendant, la blaireaute poussa la porte du cours de Runes, où régnait un léger bazar, somme tout assez désagréable. Lucy, qui détestait les sons brutaux, plissa les yeux et se fraya un chemin jusqu'à l'endroit où se tenait sa cousine adorée, j'ai nommé Lily Potter, une des rares membres de la smala Weasley-Potter à avoir son âge et une tournure d'esprit semblable malgré leurs différences de caractère.
S'asseyant à côté de sa cousine, Lucy la salua et constata que la vipère était en pleine phase de discussion avec un joli jeune homme, assez punk, mais cela ne gênait pas Lucy...d'abord ça allait très bien à ce petit monsieur, ensuite, elle ne jugeait jamais les gens sur l'apparence...d'autant plus qu'ici les pires salopards étaient souvent les "fils-à-papa" bien habillés et proprets...

Ah, elle avait de la voix cette prof!! Lucy sursauta comme elle le faisait toujours quand un bruit lui flinguait les tympans, et manqua tomber de sa chaise. L'effet fut radical sur la classe et le silence se fit, tandis que la Poufsouffle glissait à l'oreille de sa cousine:

"Oh là là je sens que ça va être la fête ces cours là..."

Et en plus elle était sûre qu'elle la laisserait même pas dessiner...mais merde quoi, elle était capable de dessiner et d'écouter en même temps, mais les profs refusaient catégoriquement d'entendre raison pour la plupart et partaient du principe qu'on pouvait pas faire deux choses à la fois. Eh ben si, andouilles...Lucy sortit donc deux feuilles de son sac, l'une destinée à recevoir le cours magistral et l'autre prête à accueillir gribouillis et croquis qu'elle y poserait du bout de sa plume, lorsqu'il n'y aurait rien à écrire...
A la question de la prof, Lucy se mit à réfléchir en fronçant les sourcils. A sa décharge, elle n'avait rien retenu de son cours de l'an dernier, dispensé par un abruti qui avait passé l'année à l'en,gueuler et à l'interroger, sachant bien qu'elle n'aurait pas la réponse, mais irrité par les dessins de l'élève.
Depuis, Lucy n'aimait plus les Runes, alors elle baissa le nez en suppliant intérieurement la prof de ne pas l'interroger.