« A tout peuple conquis, il faut une révolte. Napoléon Bonaparte. »

“ Que nous soyons amis, ennemis, amants, qu’on se tape dessus ou qu’on soit liés par un amour fou, qu’on soit sang-pur, sang-mêlé ou né-moldu, on a tous un même point commun, nous sommes des sorciers, nous sommes une communauté ! Chaque communauté a son emblème, son hymne, son sport, mais pas la nôtre ! Elèves de Poudlard, où est passé votre sport ? A quand remonte la fois où nous avons eu l’autorisation de regarder un match, de monter sur un balai ? Elèves de Poudlard, où est votre liberté ? A quand remonte la dernière fois où nous avons eu le droit de porter décemment les habits que nous voulions à la place de cet uniforme infect ? Elèves de Poudlard, où est passé votre indépendance ? A quand remonte la dernière fois où nous avons pu écouter la musique que nous voulions sans nous faire sucer le sang par la main ?

Elèves de Poudlard, POURQUOI DEVRIONS-NOUS DEMANDER LA PERMISSION DE VIVRE ET D’EXISTER ?!

Depuis quatre ans, Poudlard est spolié par une immonde envoyée du ministère qui pense que le monde est aussi rose que les cardigans de mauvais goûts qu’elle ose porter avec chic ! Depuis quatre ans, toute personne ayant un pli de travers à son uniforme est sévèrement puni. Depuis quatre ans, toute personne qui écoute autre chose que la radio de l’école est sévèrement punie. Depuis quatre ans, toute personne osant prononcer le mot Quidditch est sévèrement punie. Depuis l’an dernier, alors qu’on nous annonce que tout va bien, des élèves meurent, des gens sont blessés, des troubles politiques agitent le monde, mais tout va bien ! Oh bien sûr, nous ne demandons pas des éclaircissements ou autres, surtout venant de la part de la charmante envoyée du ministère, mais nous demandons les libertés qui sont dues à chaque être humain de cette planète, qu’il soit sorcier ou moldu. Des lois ont été mises en place pour améliorer les conditions de vie des elfes de maisons, et ici, à Poudlard, on nous exploite, on nous maltraite, on nous brime quand on ose placer un mot de trop. Maintenant, dans l’ombre, une minorité dit stop. Nous faisons parti de ceux qui ne veulent plus être exploités pour devenir la chair à canon parfaite du ministère et de l’organisation qui se cache derrière, nous voulons être libres de faire ce que nous voulons faire. L’adolescence ne dure qu’un temps, et le ministère s’échine à nous transformer en parfaits petits adultes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de nous habiller librement, sans prendre quatre heures de colle sous prétexte que la cravate de notre uniforme est de travers, ou tout simplement qu’on ne porte pas l’uniforme.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit d’écouter la musique qu’il nous plaira, sans être obligé de nous cacher pour le faire et de prendre des retenues quand on se fait attraper. Nos goûts sont aussi divers que variés, et la sauce mièvre diffusée par la radio de l’école ne convient qu’aux âmes faibles et aux lèches-bottes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de faire du Quidditch, car ce sport manque à tous les sorciers, même ceux qui n’aiment pas ou qui n’y jouent pas. Tout le monde a, dans sa vie, regardé au moins un match de Quidditch, ne seraient-ce que ceux qui se déroulaient à l’école avant l’arrivée de l’envoyée du ministère.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit à l’erreur. Nous voulons pouvoir corriger nos erreurs, faire notre chemin seuls, choisir notre destinée. Nous ne voulons plus du ministère ici, Poudlard a été et doit redevenir un bastion neutre où chaque élève est traité indifféremment de sa fortune ou de sa naissance. Nous voulons une équité et une égalité entre les élèves, nous voulons le retrait des Détraqueurs à Poudlard, nous voulons vivre !

Vous, élèves qui recevez ce tract, si vous êtes d'accord avec au moins une des choses qui ont été dites, soutenez-nous, montrez-nous votre soutien d'une manière anonyme, simplement en faisant une, deux ou trois croix derrière la feuille de papier aux bons endroits et la laisser tomber au sol. On les récupérera, et on saura. On saura qui est avec nous, même si on commence déjà à se douter de qui nous suivra et de qui nous suit déjà.

Les Maraudeurs de Poudlard. ”

[Messages :]

« A tout peuple conquis, il faut une révolte. Napoléon Bonaparte. »

“ Que nous soyons amis, ennemis, amants, qu’on se tape dessus ou qu’on soit liés par un amour fou, qu’on soit sang-pur, sang-mêlé ou né-moldu, on a tous un même point commun, nous sommes des sorciers, nous sommes une communauté ! Chaque communauté a son emblème, son hymne, son sport, mais pas la nôtre ! Elèves de Poudlard, où est passé votre sport ? A quand remonte la fois où nous avons eu l’autorisation de regarder un match, de monter sur un balai ? Elèves de Poudlard, où est votre liberté ? A quand remonte la dernière fois où nous avons eu le droit de porter décemment les habits que nous voulions à la place de cet uniforme infect ? Elèves de Poudlard, où est passé votre indépendance ? A quand remonte la dernière fois où nous avons pu écouter la musique que nous voulions sans nous faire sucer le sang par la main ?

Elèves de Poudlard, POURQUOI DEVRIONS-NOUS DEMANDER LA PERMISSION DE VIVRE ET D’EXISTER ?!

Depuis quatre ans, Poudlard est spolié par une immonde envoyée du ministère qui pense que le monde est aussi rose que les cardigans de mauvais goûts qu’elle ose porter avec chic ! Depuis quatre ans, toute personne ayant un pli de travers à son uniforme est sévèrement puni. Depuis quatre ans, toute personne qui écoute autre chose que la radio de l’école est sévèrement punie. Depuis quatre ans, toute personne osant prononcer le mot Quidditch est sévèrement punie. Depuis l’an dernier, alors qu’on nous annonce que tout va bien, des élèves meurent, des gens sont blessés, des troubles politiques agitent le monde, mais tout va bien ! Oh bien sûr, nous ne demandons pas des éclaircissements ou autres, surtout venant de la part de la charmante envoyée du ministère, mais nous demandons les libertés qui sont dues à chaque être humain de cette planète, qu’il soit sorcier ou moldu. Des lois ont été mises en place pour améliorer les conditions de vie des elfes de maisons, et ici, à Poudlard, on nous exploite, on nous maltraite, on nous brime quand on ose placer un mot de trop. Maintenant, dans l’ombre, une minorité dit stop. Nous faisons parti de ceux qui ne veulent plus être exploités pour devenir la chair à canon parfaite du ministère et de l’organisation qui se cache derrière, nous voulons être libres de faire ce que nous voulons faire. L’adolescence ne dure qu’un temps, et le ministère s’échine à nous transformer en parfaits petits adultes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de nous habiller librement, sans prendre quatre heures de colle sous prétexte que la cravate de notre uniforme est de travers, ou tout simplement qu’on ne porte pas l’uniforme.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit d’écouter la musique qu’il nous plaira, sans être obligé de nous cacher pour le faire et de prendre des retenues quand on se fait attraper. Nos goûts sont aussi divers que variés, et la sauce mièvre diffusée par la radio de l’école ne convient qu’aux âmes faibles et aux lèches-bottes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de faire du Quidditch, car ce sport manque à tous les sorciers, même ceux qui n’aiment pas ou qui n’y jouent pas. Tout le monde a, dans sa vie, regardé au moins un match de Quidditch, ne seraient-ce que ceux qui se déroulaient à l’école avant l’arrivée de l’envoyée du ministère.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit à l’erreur. Nous voulons pouvoir corriger nos erreurs, faire notre chemin seuls, choisir notre destinée. Nous ne voulons plus du ministère ici, Poudlard a été et doit redevenir un bastion neutre où chaque élève est traité indifféremment de sa fortune ou de sa naissance. Nous voulons une équité et une égalité entre les élèves, nous voulons le retrait des Détraqueurs à Poudlard, nous voulons vivre !

Vous, élèves qui recevez ce tract, si vous êtes d'accord avec au moins une des choses qui ont été dites, soutenez-nous, montrez-nous votre soutien d'une manière anonyme, simplement en faisant une, deux ou trois croix derrière la feuille de papier aux bons endroits et la laisser tomber au sol. On les récupérera, et on saura. On saura qui est avec nous, même si on commence déjà à se douter de qui nous suivra et de qui nous suit déjà.

Les Maraudeurs de Poudlard. ”

[Points :]

« A tout peuple conquis, il faut une révolte. Napoléon Bonaparte. »

“ Que nous soyons amis, ennemis, amants, qu’on se tape dessus ou qu’on soit liés par un amour fou, qu’on soit sang-pur, sang-mêlé ou né-moldu, on a tous un même point commun, nous sommes des sorciers, nous sommes une communauté ! Chaque communauté a son emblème, son hymne, son sport, mais pas la nôtre ! Elèves de Poudlard, où est passé votre sport ? A quand remonte la fois où nous avons eu l’autorisation de regarder un match, de monter sur un balai ? Elèves de Poudlard, où est votre liberté ? A quand remonte la dernière fois où nous avons eu le droit de porter décemment les habits que nous voulions à la place de cet uniforme infect ? Elèves de Poudlard, où est passé votre indépendance ? A quand remonte la dernière fois où nous avons pu écouter la musique que nous voulions sans nous faire sucer le sang par la main ?

Elèves de Poudlard, POURQUOI DEVRIONS-NOUS DEMANDER LA PERMISSION DE VIVRE ET D’EXISTER ?!

Depuis quatre ans, Poudlard est spolié par une immonde envoyée du ministère qui pense que le monde est aussi rose que les cardigans de mauvais goûts qu’elle ose porter avec chic ! Depuis quatre ans, toute personne ayant un pli de travers à son uniforme est sévèrement puni. Depuis quatre ans, toute personne qui écoute autre chose que la radio de l’école est sévèrement punie. Depuis quatre ans, toute personne osant prononcer le mot Quidditch est sévèrement punie. Depuis l’an dernier, alors qu’on nous annonce que tout va bien, des élèves meurent, des gens sont blessés, des troubles politiques agitent le monde, mais tout va bien ! Oh bien sûr, nous ne demandons pas des éclaircissements ou autres, surtout venant de la part de la charmante envoyée du ministère, mais nous demandons les libertés qui sont dues à chaque être humain de cette planète, qu’il soit sorcier ou moldu. Des lois ont été mises en place pour améliorer les conditions de vie des elfes de maisons, et ici, à Poudlard, on nous exploite, on nous maltraite, on nous brime quand on ose placer un mot de trop. Maintenant, dans l’ombre, une minorité dit stop. Nous faisons parti de ceux qui ne veulent plus être exploités pour devenir la chair à canon parfaite du ministère et de l’organisation qui se cache derrière, nous voulons être libres de faire ce que nous voulons faire. L’adolescence ne dure qu’un temps, et le ministère s’échine à nous transformer en parfaits petits adultes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de nous habiller librement, sans prendre quatre heures de colle sous prétexte que la cravate de notre uniforme est de travers, ou tout simplement qu’on ne porte pas l’uniforme.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit d’écouter la musique qu’il nous plaira, sans être obligé de nous cacher pour le faire et de prendre des retenues quand on se fait attraper. Nos goûts sont aussi divers que variés, et la sauce mièvre diffusée par la radio de l’école ne convient qu’aux âmes faibles et aux lèches-bottes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de faire du Quidditch, car ce sport manque à tous les sorciers, même ceux qui n’aiment pas ou qui n’y jouent pas. Tout le monde a, dans sa vie, regardé au moins un match de Quidditch, ne seraient-ce que ceux qui se déroulaient à l’école avant l’arrivée de l’envoyée du ministère.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit à l’erreur. Nous voulons pouvoir corriger nos erreurs, faire notre chemin seuls, choisir notre destinée. Nous ne voulons plus du ministère ici, Poudlard a été et doit redevenir un bastion neutre où chaque élève est traité indifféremment de sa fortune ou de sa naissance. Nous voulons une équité et une égalité entre les élèves, nous voulons le retrait des Détraqueurs à Poudlard, nous voulons vivre !

Vous, élèves qui recevez ce tract, si vous êtes d'accord avec au moins une des choses qui ont été dites, soutenez-nous, montrez-nous votre soutien d'une manière anonyme, simplement en faisant une, deux ou trois croix derrière la feuille de papier aux bons endroits et la laisser tomber au sol. On les récupérera, et on saura. On saura qui est avec nous, même si on commence déjà à se douter de qui nous suivra et de qui nous suit déjà.

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[Avatar :]

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“ Que nous soyons amis, ennemis, amants, qu’on se tape dessus ou qu’on soit liés par un amour fou, qu’on soit sang-pur, sang-mêlé ou né-moldu, on a tous un même point commun, nous sommes des sorciers, nous sommes une communauté ! Chaque communauté a son emblème, son hymne, son sport, mais pas la nôtre ! Elèves de Poudlard, où est passé votre sport ? A quand remonte la fois où nous avons eu l’autorisation de regarder un match, de monter sur un balai ? Elèves de Poudlard, où est votre liberté ? A quand remonte la dernière fois où nous avons eu le droit de porter décemment les habits que nous voulions à la place de cet uniforme infect ? Elèves de Poudlard, où est passé votre indépendance ? A quand remonte la dernière fois où nous avons pu écouter la musique que nous voulions sans nous faire sucer le sang par la main ?

Elèves de Poudlard, POURQUOI DEVRIONS-NOUS DEMANDER LA PERMISSION DE VIVRE ET D’EXISTER ?!

Depuis quatre ans, Poudlard est spolié par une immonde envoyée du ministère qui pense que le monde est aussi rose que les cardigans de mauvais goûts qu’elle ose porter avec chic ! Depuis quatre ans, toute personne ayant un pli de travers à son uniforme est sévèrement puni. Depuis quatre ans, toute personne qui écoute autre chose que la radio de l’école est sévèrement punie. Depuis quatre ans, toute personne osant prononcer le mot Quidditch est sévèrement punie. Depuis l’an dernier, alors qu’on nous annonce que tout va bien, des élèves meurent, des gens sont blessés, des troubles politiques agitent le monde, mais tout va bien ! Oh bien sûr, nous ne demandons pas des éclaircissements ou autres, surtout venant de la part de la charmante envoyée du ministère, mais nous demandons les libertés qui sont dues à chaque être humain de cette planète, qu’il soit sorcier ou moldu. Des lois ont été mises en place pour améliorer les conditions de vie des elfes de maisons, et ici, à Poudlard, on nous exploite, on nous maltraite, on nous brime quand on ose placer un mot de trop. Maintenant, dans l’ombre, une minorité dit stop. Nous faisons parti de ceux qui ne veulent plus être exploités pour devenir la chair à canon parfaite du ministère et de l’organisation qui se cache derrière, nous voulons être libres de faire ce que nous voulons faire. L’adolescence ne dure qu’un temps, et le ministère s’échine à nous transformer en parfaits petits adultes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de nous habiller librement, sans prendre quatre heures de colle sous prétexte que la cravate de notre uniforme est de travers, ou tout simplement qu’on ne porte pas l’uniforme.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit d’écouter la musique qu’il nous plaira, sans être obligé de nous cacher pour le faire et de prendre des retenues quand on se fait attraper. Nos goûts sont aussi divers que variés, et la sauce mièvre diffusée par la radio de l’école ne convient qu’aux âmes faibles et aux lèches-bottes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de faire du Quidditch, car ce sport manque à tous les sorciers, même ceux qui n’aiment pas ou qui n’y jouent pas. Tout le monde a, dans sa vie, regardé au moins un match de Quidditch, ne seraient-ce que ceux qui se déroulaient à l’école avant l’arrivée de l’envoyée du ministère.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit à l’erreur. Nous voulons pouvoir corriger nos erreurs, faire notre chemin seuls, choisir notre destinée. Nous ne voulons plus du ministère ici, Poudlard a été et doit redevenir un bastion neutre où chaque élève est traité indifféremment de sa fortune ou de sa naissance. Nous voulons une équité et une égalité entre les élèves, nous voulons le retrait des Détraqueurs à Poudlard, nous voulons vivre !

Vous, élèves qui recevez ce tract, si vous êtes d'accord avec au moins une des choses qui ont été dites, soutenez-nous, montrez-nous votre soutien d'une manière anonyme, simplement en faisant une, deux ou trois croix derrière la feuille de papier aux bons endroits et la laisser tomber au sol. On les récupérera, et on saura. On saura qui est avec nous, même si on commence déjà à se douter de qui nous suivra et de qui nous suit déjà.

Les Maraudeurs de Poudlard. ”

[Crédits :]

« A tout peuple conquis, il faut une révolte. Napoléon Bonaparte. »

“ Que nous soyons amis, ennemis, amants, qu’on se tape dessus ou qu’on soit liés par un amour fou, qu’on soit sang-pur, sang-mêlé ou né-moldu, on a tous un même point commun, nous sommes des sorciers, nous sommes une communauté ! Chaque communauté a son emblème, son hymne, son sport, mais pas la nôtre ! Elèves de Poudlard, où est passé votre sport ? A quand remonte la fois où nous avons eu l’autorisation de regarder un match, de monter sur un balai ? Elèves de Poudlard, où est votre liberté ? A quand remonte la dernière fois où nous avons eu le droit de porter décemment les habits que nous voulions à la place de cet uniforme infect ? Elèves de Poudlard, où est passé votre indépendance ? A quand remonte la dernière fois où nous avons pu écouter la musique que nous voulions sans nous faire sucer le sang par la main ?

Elèves de Poudlard, POURQUOI DEVRIONS-NOUS DEMANDER LA PERMISSION DE VIVRE ET D’EXISTER ?!

Depuis quatre ans, Poudlard est spolié par une immonde envoyée du ministère qui pense que le monde est aussi rose que les cardigans de mauvais goûts qu’elle ose porter avec chic ! Depuis quatre ans, toute personne ayant un pli de travers à son uniforme est sévèrement puni. Depuis quatre ans, toute personne qui écoute autre chose que la radio de l’école est sévèrement punie. Depuis quatre ans, toute personne osant prononcer le mot Quidditch est sévèrement punie. Depuis l’an dernier, alors qu’on nous annonce que tout va bien, des élèves meurent, des gens sont blessés, des troubles politiques agitent le monde, mais tout va bien ! Oh bien sûr, nous ne demandons pas des éclaircissements ou autres, surtout venant de la part de la charmante envoyée du ministère, mais nous demandons les libertés qui sont dues à chaque être humain de cette planète, qu’il soit sorcier ou moldu. Des lois ont été mises en place pour améliorer les conditions de vie des elfes de maisons, et ici, à Poudlard, on nous exploite, on nous maltraite, on nous brime quand on ose placer un mot de trop. Maintenant, dans l’ombre, une minorité dit stop. Nous faisons parti de ceux qui ne veulent plus être exploités pour devenir la chair à canon parfaite du ministère et de l’organisation qui se cache derrière, nous voulons être libres de faire ce que nous voulons faire. L’adolescence ne dure qu’un temps, et le ministère s’échine à nous transformer en parfaits petits adultes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de nous habiller librement, sans prendre quatre heures de colle sous prétexte que la cravate de notre uniforme est de travers, ou tout simplement qu’on ne porte pas l’uniforme.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit d’écouter la musique qu’il nous plaira, sans être obligé de nous cacher pour le faire et de prendre des retenues quand on se fait attraper. Nos goûts sont aussi divers que variés, et la sauce mièvre diffusée par la radio de l’école ne convient qu’aux âmes faibles et aux lèches-bottes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de faire du Quidditch, car ce sport manque à tous les sorciers, même ceux qui n’aiment pas ou qui n’y jouent pas. Tout le monde a, dans sa vie, regardé au moins un match de Quidditch, ne seraient-ce que ceux qui se déroulaient à l’école avant l’arrivée de l’envoyée du ministère.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit à l’erreur. Nous voulons pouvoir corriger nos erreurs, faire notre chemin seuls, choisir notre destinée. Nous ne voulons plus du ministère ici, Poudlard a été et doit redevenir un bastion neutre où chaque élève est traité indifféremment de sa fortune ou de sa naissance. Nous voulons une équité et une égalité entre les élèves, nous voulons le retrait des Détraqueurs à Poudlard, nous voulons vivre !

Vous, élèves qui recevez ce tract, si vous êtes d'accord avec au moins une des choses qui ont été dites, soutenez-nous, montrez-nous votre soutien d'une manière anonyme, simplement en faisant une, deux ou trois croix derrière la feuille de papier aux bons endroits et la laisser tomber au sol. On les récupérera, et on saura. On saura qui est avec nous, même si on commence déjà à se douter de qui nous suivra et de qui nous suit déjà.

Les Maraudeurs de Poudlard. ”

[Age RPG :]

« A tout peuple conquis, il faut une révolte. Napoléon Bonaparte. »

“ Que nous soyons amis, ennemis, amants, qu’on se tape dessus ou qu’on soit liés par un amour fou, qu’on soit sang-pur, sang-mêlé ou né-moldu, on a tous un même point commun, nous sommes des sorciers, nous sommes une communauté ! Chaque communauté a son emblème, son hymne, son sport, mais pas la nôtre ! Elèves de Poudlard, où est passé votre sport ? A quand remonte la fois où nous avons eu l’autorisation de regarder un match, de monter sur un balai ? Elèves de Poudlard, où est votre liberté ? A quand remonte la dernière fois où nous avons eu le droit de porter décemment les habits que nous voulions à la place de cet uniforme infect ? Elèves de Poudlard, où est passé votre indépendance ? A quand remonte la dernière fois où nous avons pu écouter la musique que nous voulions sans nous faire sucer le sang par la main ?

Elèves de Poudlard, POURQUOI DEVRIONS-NOUS DEMANDER LA PERMISSION DE VIVRE ET D’EXISTER ?!

Depuis quatre ans, Poudlard est spolié par une immonde envoyée du ministère qui pense que le monde est aussi rose que les cardigans de mauvais goûts qu’elle ose porter avec chic ! Depuis quatre ans, toute personne ayant un pli de travers à son uniforme est sévèrement puni. Depuis quatre ans, toute personne qui écoute autre chose que la radio de l’école est sévèrement punie. Depuis quatre ans, toute personne osant prononcer le mot Quidditch est sévèrement punie. Depuis l’an dernier, alors qu’on nous annonce que tout va bien, des élèves meurent, des gens sont blessés, des troubles politiques agitent le monde, mais tout va bien ! Oh bien sûr, nous ne demandons pas des éclaircissements ou autres, surtout venant de la part de la charmante envoyée du ministère, mais nous demandons les libertés qui sont dues à chaque être humain de cette planète, qu’il soit sorcier ou moldu. Des lois ont été mises en place pour améliorer les conditions de vie des elfes de maisons, et ici, à Poudlard, on nous exploite, on nous maltraite, on nous brime quand on ose placer un mot de trop. Maintenant, dans l’ombre, une minorité dit stop. Nous faisons parti de ceux qui ne veulent plus être exploités pour devenir la chair à canon parfaite du ministère et de l’organisation qui se cache derrière, nous voulons être libres de faire ce que nous voulons faire. L’adolescence ne dure qu’un temps, et le ministère s’échine à nous transformer en parfaits petits adultes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de nous habiller librement, sans prendre quatre heures de colle sous prétexte que la cravate de notre uniforme est de travers, ou tout simplement qu’on ne porte pas l’uniforme.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit d’écouter la musique qu’il nous plaira, sans être obligé de nous cacher pour le faire et de prendre des retenues quand on se fait attraper. Nos goûts sont aussi divers que variés, et la sauce mièvre diffusée par la radio de l’école ne convient qu’aux âmes faibles et aux lèches-bottes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de faire du Quidditch, car ce sport manque à tous les sorciers, même ceux qui n’aiment pas ou qui n’y jouent pas. Tout le monde a, dans sa vie, regardé au moins un match de Quidditch, ne seraient-ce que ceux qui se déroulaient à l’école avant l’arrivée de l’envoyée du ministère.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit à l’erreur. Nous voulons pouvoir corriger nos erreurs, faire notre chemin seuls, choisir notre destinée. Nous ne voulons plus du ministère ici, Poudlard a été et doit redevenir un bastion neutre où chaque élève est traité indifféremment de sa fortune ou de sa naissance. Nous voulons une équité et une égalité entre les élèves, nous voulons le retrait des Détraqueurs à Poudlard, nous voulons vivre !

Vous, élèves qui recevez ce tract, si vous êtes d'accord avec au moins une des choses qui ont été dites, soutenez-nous, montrez-nous votre soutien d'une manière anonyme, simplement en faisant une, deux ou trois croix derrière la feuille de papier aux bons endroits et la laisser tomber au sol. On les récupérera, et on saura. On saura qui est avec nous, même si on commence déjà à se douter de qui nous suivra et de qui nous suit déjà.

Les Maraudeurs de Poudlard. ”

[Sang :]

« A tout peuple conquis, il faut une révolte. Napoléon Bonaparte. »

“ Que nous soyons amis, ennemis, amants, qu’on se tape dessus ou qu’on soit liés par un amour fou, qu’on soit sang-pur, sang-mêlé ou né-moldu, on a tous un même point commun, nous sommes des sorciers, nous sommes une communauté ! Chaque communauté a son emblème, son hymne, son sport, mais pas la nôtre ! Elèves de Poudlard, où est passé votre sport ? A quand remonte la fois où nous avons eu l’autorisation de regarder un match, de monter sur un balai ? Elèves de Poudlard, où est votre liberté ? A quand remonte la dernière fois où nous avons eu le droit de porter décemment les habits que nous voulions à la place de cet uniforme infect ? Elèves de Poudlard, où est passé votre indépendance ? A quand remonte la dernière fois où nous avons pu écouter la musique que nous voulions sans nous faire sucer le sang par la main ?

Elèves de Poudlard, POURQUOI DEVRIONS-NOUS DEMANDER LA PERMISSION DE VIVRE ET D’EXISTER ?!

Depuis quatre ans, Poudlard est spolié par une immonde envoyée du ministère qui pense que le monde est aussi rose que les cardigans de mauvais goûts qu’elle ose porter avec chic ! Depuis quatre ans, toute personne ayant un pli de travers à son uniforme est sévèrement puni. Depuis quatre ans, toute personne qui écoute autre chose que la radio de l’école est sévèrement punie. Depuis quatre ans, toute personne osant prononcer le mot Quidditch est sévèrement punie. Depuis l’an dernier, alors qu’on nous annonce que tout va bien, des élèves meurent, des gens sont blessés, des troubles politiques agitent le monde, mais tout va bien ! Oh bien sûr, nous ne demandons pas des éclaircissements ou autres, surtout venant de la part de la charmante envoyée du ministère, mais nous demandons les libertés qui sont dues à chaque être humain de cette planète, qu’il soit sorcier ou moldu. Des lois ont été mises en place pour améliorer les conditions de vie des elfes de maisons, et ici, à Poudlard, on nous exploite, on nous maltraite, on nous brime quand on ose placer un mot de trop. Maintenant, dans l’ombre, une minorité dit stop. Nous faisons parti de ceux qui ne veulent plus être exploités pour devenir la chair à canon parfaite du ministère et de l’organisation qui se cache derrière, nous voulons être libres de faire ce que nous voulons faire. L’adolescence ne dure qu’un temps, et le ministère s’échine à nous transformer en parfaits petits adultes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de nous habiller librement, sans prendre quatre heures de colle sous prétexte que la cravate de notre uniforme est de travers, ou tout simplement qu’on ne porte pas l’uniforme.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit d’écouter la musique qu’il nous plaira, sans être obligé de nous cacher pour le faire et de prendre des retenues quand on se fait attraper. Nos goûts sont aussi divers que variés, et la sauce mièvre diffusée par la radio de l’école ne convient qu’aux âmes faibles et aux lèches-bottes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de faire du Quidditch, car ce sport manque à tous les sorciers, même ceux qui n’aiment pas ou qui n’y jouent pas. Tout le monde a, dans sa vie, regardé au moins un match de Quidditch, ne seraient-ce que ceux qui se déroulaient à l’école avant l’arrivée de l’envoyée du ministère.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit à l’erreur. Nous voulons pouvoir corriger nos erreurs, faire notre chemin seuls, choisir notre destinée. Nous ne voulons plus du ministère ici, Poudlard a été et doit redevenir un bastion neutre où chaque élève est traité indifféremment de sa fortune ou de sa naissance. Nous voulons une équité et une égalité entre les élèves, nous voulons le retrait des Détraqueurs à Poudlard, nous voulons vivre !

Vous, élèves qui recevez ce tract, si vous êtes d'accord avec au moins une des choses qui ont été dites, soutenez-nous, montrez-nous votre soutien d'une manière anonyme, simplement en faisant une, deux ou trois croix derrière la feuille de papier aux bons endroits et la laisser tomber au sol. On les récupérera, et on saura. On saura qui est avec nous, même si on commence déjà à se douter de qui nous suivra et de qui nous suit déjà.

Les Maraudeurs de Poudlard. ”

[Camp :]

« A tout peuple conquis, il faut une révolte. Napoléon Bonaparte. »

“ Que nous soyons amis, ennemis, amants, qu’on se tape dessus ou qu’on soit liés par un amour fou, qu’on soit sang-pur, sang-mêlé ou né-moldu, on a tous un même point commun, nous sommes des sorciers, nous sommes une communauté ! Chaque communauté a son emblème, son hymne, son sport, mais pas la nôtre ! Elèves de Poudlard, où est passé votre sport ? A quand remonte la fois où nous avons eu l’autorisation de regarder un match, de monter sur un balai ? Elèves de Poudlard, où est votre liberté ? A quand remonte la dernière fois où nous avons eu le droit de porter décemment les habits que nous voulions à la place de cet uniforme infect ? Elèves de Poudlard, où est passé votre indépendance ? A quand remonte la dernière fois où nous avons pu écouter la musique que nous voulions sans nous faire sucer le sang par la main ?

Elèves de Poudlard, POURQUOI DEVRIONS-NOUS DEMANDER LA PERMISSION DE VIVRE ET D’EXISTER ?!

Depuis quatre ans, Poudlard est spolié par une immonde envoyée du ministère qui pense que le monde est aussi rose que les cardigans de mauvais goûts qu’elle ose porter avec chic ! Depuis quatre ans, toute personne ayant un pli de travers à son uniforme est sévèrement puni. Depuis quatre ans, toute personne qui écoute autre chose que la radio de l’école est sévèrement punie. Depuis quatre ans, toute personne osant prononcer le mot Quidditch est sévèrement punie. Depuis l’an dernier, alors qu’on nous annonce que tout va bien, des élèves meurent, des gens sont blessés, des troubles politiques agitent le monde, mais tout va bien ! Oh bien sûr, nous ne demandons pas des éclaircissements ou autres, surtout venant de la part de la charmante envoyée du ministère, mais nous demandons les libertés qui sont dues à chaque être humain de cette planète, qu’il soit sorcier ou moldu. Des lois ont été mises en place pour améliorer les conditions de vie des elfes de maisons, et ici, à Poudlard, on nous exploite, on nous maltraite, on nous brime quand on ose placer un mot de trop. Maintenant, dans l’ombre, une minorité dit stop. Nous faisons parti de ceux qui ne veulent plus être exploités pour devenir la chair à canon parfaite du ministère et de l’organisation qui se cache derrière, nous voulons être libres de faire ce que nous voulons faire. L’adolescence ne dure qu’un temps, et le ministère s’échine à nous transformer en parfaits petits adultes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de nous habiller librement, sans prendre quatre heures de colle sous prétexte que la cravate de notre uniforme est de travers, ou tout simplement qu’on ne porte pas l’uniforme.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit d’écouter la musique qu’il nous plaira, sans être obligé de nous cacher pour le faire et de prendre des retenues quand on se fait attraper. Nos goûts sont aussi divers que variés, et la sauce mièvre diffusée par la radio de l’école ne convient qu’aux âmes faibles et aux lèches-bottes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de faire du Quidditch, car ce sport manque à tous les sorciers, même ceux qui n’aiment pas ou qui n’y jouent pas. Tout le monde a, dans sa vie, regardé au moins un match de Quidditch, ne seraient-ce que ceux qui se déroulaient à l’école avant l’arrivée de l’envoyée du ministère.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit à l’erreur. Nous voulons pouvoir corriger nos erreurs, faire notre chemin seuls, choisir notre destinée. Nous ne voulons plus du ministère ici, Poudlard a été et doit redevenir un bastion neutre où chaque élève est traité indifféremment de sa fortune ou de sa naissance. Nous voulons une équité et une égalité entre les élèves, nous voulons le retrait des Détraqueurs à Poudlard, nous voulons vivre !

Vous, élèves qui recevez ce tract, si vous êtes d'accord avec au moins une des choses qui ont été dites, soutenez-nous, montrez-nous votre soutien d'une manière anonyme, simplement en faisant une, deux ou trois croix derrière la feuille de papier aux bons endroits et la laisser tomber au sol. On les récupérera, et on saura. On saura qui est avec nous, même si on commence déjà à se douter de qui nous suivra et de qui nous suit déjà.

Les Maraudeurs de Poudlard. ”

[Vie du personnage :]

« A tout peuple conquis, il faut une révolte. Napoléon Bonaparte. »

“ Que nous soyons amis, ennemis, amants, qu’on se tape dessus ou qu’on soit liés par un amour fou, qu’on soit sang-pur, sang-mêlé ou né-moldu, on a tous un même point commun, nous sommes des sorciers, nous sommes une communauté ! Chaque communauté a son emblème, son hymne, son sport, mais pas la nôtre ! Elèves de Poudlard, où est passé votre sport ? A quand remonte la fois où nous avons eu l’autorisation de regarder un match, de monter sur un balai ? Elèves de Poudlard, où est votre liberté ? A quand remonte la dernière fois où nous avons eu le droit de porter décemment les habits que nous voulions à la place de cet uniforme infect ? Elèves de Poudlard, où est passé votre indépendance ? A quand remonte la dernière fois où nous avons pu écouter la musique que nous voulions sans nous faire sucer le sang par la main ?

Elèves de Poudlard, POURQUOI DEVRIONS-NOUS DEMANDER LA PERMISSION DE VIVRE ET D’EXISTER ?!

Depuis quatre ans, Poudlard est spolié par une immonde envoyée du ministère qui pense que le monde est aussi rose que les cardigans de mauvais goûts qu’elle ose porter avec chic ! Depuis quatre ans, toute personne ayant un pli de travers à son uniforme est sévèrement puni. Depuis quatre ans, toute personne qui écoute autre chose que la radio de l’école est sévèrement punie. Depuis quatre ans, toute personne osant prononcer le mot Quidditch est sévèrement punie. Depuis l’an dernier, alors qu’on nous annonce que tout va bien, des élèves meurent, des gens sont blessés, des troubles politiques agitent le monde, mais tout va bien ! Oh bien sûr, nous ne demandons pas des éclaircissements ou autres, surtout venant de la part de la charmante envoyée du ministère, mais nous demandons les libertés qui sont dues à chaque être humain de cette planète, qu’il soit sorcier ou moldu. Des lois ont été mises en place pour améliorer les conditions de vie des elfes de maisons, et ici, à Poudlard, on nous exploite, on nous maltraite, on nous brime quand on ose placer un mot de trop. Maintenant, dans l’ombre, une minorité dit stop. Nous faisons parti de ceux qui ne veulent plus être exploités pour devenir la chair à canon parfaite du ministère et de l’organisation qui se cache derrière, nous voulons être libres de faire ce que nous voulons faire. L’adolescence ne dure qu’un temps, et le ministère s’échine à nous transformer en parfaits petits adultes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de nous habiller librement, sans prendre quatre heures de colle sous prétexte que la cravate de notre uniforme est de travers, ou tout simplement qu’on ne porte pas l’uniforme.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit d’écouter la musique qu’il nous plaira, sans être obligé de nous cacher pour le faire et de prendre des retenues quand on se fait attraper. Nos goûts sont aussi divers que variés, et la sauce mièvre diffusée par la radio de l’école ne convient qu’aux âmes faibles et aux lèches-bottes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de faire du Quidditch, car ce sport manque à tous les sorciers, même ceux qui n’aiment pas ou qui n’y jouent pas. Tout le monde a, dans sa vie, regardé au moins un match de Quidditch, ne seraient-ce que ceux qui se déroulaient à l’école avant l’arrivée de l’envoyée du ministère.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit à l’erreur. Nous voulons pouvoir corriger nos erreurs, faire notre chemin seuls, choisir notre destinée. Nous ne voulons plus du ministère ici, Poudlard a été et doit redevenir un bastion neutre où chaque élève est traité indifféremment de sa fortune ou de sa naissance. Nous voulons une équité et une égalité entre les élèves, nous voulons le retrait des Détraqueurs à Poudlard, nous voulons vivre !

Vous, élèves qui recevez ce tract, si vous êtes d'accord avec au moins une des choses qui ont été dites, soutenez-nous, montrez-nous votre soutien d'une manière anonyme, simplement en faisant une, deux ou trois croix derrière la feuille de papier aux bons endroits et la laisser tomber au sol. On les récupérera, et on saura. On saura qui est avec nous, même si on commence déjà à se douter de qui nous suivra et de qui nous suit déjà.

Les Maraudeurs de Poudlard. ”

[Doubles-Comptes :]

« A tout peuple conquis, il faut une révolte. Napoléon Bonaparte. »

“ Que nous soyons amis, ennemis, amants, qu’on se tape dessus ou qu’on soit liés par un amour fou, qu’on soit sang-pur, sang-mêlé ou né-moldu, on a tous un même point commun, nous sommes des sorciers, nous sommes une communauté ! Chaque communauté a son emblème, son hymne, son sport, mais pas la nôtre ! Elèves de Poudlard, où est passé votre sport ? A quand remonte la fois où nous avons eu l’autorisation de regarder un match, de monter sur un balai ? Elèves de Poudlard, où est votre liberté ? A quand remonte la dernière fois où nous avons eu le droit de porter décemment les habits que nous voulions à la place de cet uniforme infect ? Elèves de Poudlard, où est passé votre indépendance ? A quand remonte la dernière fois où nous avons pu écouter la musique que nous voulions sans nous faire sucer le sang par la main ?

Elèves de Poudlard, POURQUOI DEVRIONS-NOUS DEMANDER LA PERMISSION DE VIVRE ET D’EXISTER ?!

Depuis quatre ans, Poudlard est spolié par une immonde envoyée du ministère qui pense que le monde est aussi rose que les cardigans de mauvais goûts qu’elle ose porter avec chic ! Depuis quatre ans, toute personne ayant un pli de travers à son uniforme est sévèrement puni. Depuis quatre ans, toute personne qui écoute autre chose que la radio de l’école est sévèrement punie. Depuis quatre ans, toute personne osant prononcer le mot Quidditch est sévèrement punie. Depuis l’an dernier, alors qu’on nous annonce que tout va bien, des élèves meurent, des gens sont blessés, des troubles politiques agitent le monde, mais tout va bien ! Oh bien sûr, nous ne demandons pas des éclaircissements ou autres, surtout venant de la part de la charmante envoyée du ministère, mais nous demandons les libertés qui sont dues à chaque être humain de cette planète, qu’il soit sorcier ou moldu. Des lois ont été mises en place pour améliorer les conditions de vie des elfes de maisons, et ici, à Poudlard, on nous exploite, on nous maltraite, on nous brime quand on ose placer un mot de trop. Maintenant, dans l’ombre, une minorité dit stop. Nous faisons parti de ceux qui ne veulent plus être exploités pour devenir la chair à canon parfaite du ministère et de l’organisation qui se cache derrière, nous voulons être libres de faire ce que nous voulons faire. L’adolescence ne dure qu’un temps, et le ministère s’échine à nous transformer en parfaits petits adultes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de nous habiller librement, sans prendre quatre heures de colle sous prétexte que la cravate de notre uniforme est de travers, ou tout simplement qu’on ne porte pas l’uniforme.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit d’écouter la musique qu’il nous plaira, sans être obligé de nous cacher pour le faire et de prendre des retenues quand on se fait attraper. Nos goûts sont aussi divers que variés, et la sauce mièvre diffusée par la radio de l’école ne convient qu’aux âmes faibles et aux lèches-bottes.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit de faire du Quidditch, car ce sport manque à tous les sorciers, même ceux qui n’aiment pas ou qui n’y jouent pas. Tout le monde a, dans sa vie, regardé au moins un match de Quidditch, ne seraient-ce que ceux qui se déroulaient à l’école avant l’arrivée de l’envoyée du ministère.

Aujourd’hui, nous voulons avoir le droit à l’erreur. Nous voulons pouvoir corriger nos erreurs, faire notre chemin seuls, choisir notre destinée. Nous ne voulons plus du ministère ici, Poudlard a été et doit redevenir un bastion neutre où chaque élève est traité indifféremment de sa fortune ou de sa naissance. Nous voulons une équité et une égalité entre les élèves, nous voulons le retrait des Détraqueurs à Poudlard, nous voulons vivre !

Vous, élèves qui recevez ce tract, si vous êtes d'accord avec au moins une des choses qui ont été dites, soutenez-nous, montrez-nous votre soutien d'une manière anonyme, simplement en faisant une, deux ou trois croix derrière la feuille de papier aux bons endroits et la laisser tomber au sol. On les récupérera, et on saura. On saura qui est avec nous, même si on commence déjà à se douter de qui nous suivra et de qui nous suit déjà.

Les Maraudeurs de Poudlard. ”