L'envie de partir de Poudlard était en train de creuser encore plus son chemin dans l'esprit de Nicholas depuis deux jours. Il savait qu'il y était presque, que bientôt ils pourraient tous aller se faire foutre, qu'il vivrait sa vie, sur son bateau, seul ou accompagné. De ses sœurs, d'Eli, de Lucy – mais c'était une pensée douloureuse – sans avoir à respecter l'autorité des pseudos adultes qui les avaient tous mis en danger ce soir là. L'air était lourd de malheur et de pleurs, de personnes en deuil et de gens choqués dont les sanglots et les gémissements de peine résonnaient contre les murs comme autant d'échos qui lui faisait physiquement mal. Cela lui rappelait trop de mauvais souvenirs, cela nuisait à sa concentration et à son envie d'être sage. Il n'avait bien qu'une seule obsession, noyer ces souvenirs dans l'alcool, la drogue, voir les deux, quelque chose pour ne plus entendre et voir les visages fermés et terrorisés des autres. Ne pas voir les trous dans les classes, les élèves encore absents, qu'ils soient à l'infirmerie ou à St Mangouste. Heureusement, il n'avait perdu personne. Andras était toujours gravement blessé, oui, mais ce petit con était vivant. Pas Ellundril.
Le jeune homme serra les dents et souffla doucement. Il ne la connaissait pas, il ne lui avait même pas parlé à vrai dire, mais c'était une petite fille qui n'avait pas mérité de finir comme ça. Rien que d'imaginer que l'une de ses soeurs aient pu... finir à sa place, le rendait malade. Et ils étaient protégés, c'est ça, mon cul oui. Toute cette histoire sentait mauvais, et le garçon sentait bien que ce n'était que le début d'une spirale infernale qui risquait de faire d'autres victimes.
Entre Derek qui jouait au con, sa copine qui faisait l'anorexique, les autres qui pleuraient et ressemblaient à des morts vivants, Poudlard ne ressemblait guère plus à une école mais bien à un refuge pour victimes de guerre. Sans doute que la présence des Détraqueurs jouait aussi.

Foutrement bonne idée, tiens, celle là, personne n'aurait pu la voir venir, et la mère de Nika était furax. D'avoir ses choses autour de ses enfants, elle qui avait du les endurer pendant toute la durée de son incarcération, ca la rendait folle, et il avait fallu que les filles lui envoient toutes une lettre pour qu'elle ne se mette pas en tête de les déplacer à Beauxbatons. Hors de question d'aller chez les frenchies. No way. Du coup, ils évitaient d'aller dehors. Ils évitaient tous même de sortir dans les couloirs, après ce qui était arrivé à Nowaki. Abusé quoi.

Être enfermé n'était pas dans la nature du pirate, pas plus qu'il n'était dans sa nature de ne pas aller dans sa petite clairière voir les Sombrals. D'entendre le silence dans la salle commune des Gryffondors, de savoir qu'il n'y allait pas avoir de petite fête... Déprimant.
Ne voulant pas aller dormir tout de suite, ne pouvant pas fumer dans le dortoir, il avait passé une heure avec sa soeur dans la salle commune, elle assise sur ses genoux et l'utilisant comme bisounours, quelque chose qui arrivait rarement au fur et à mesure qu'elle grandissait. Il l'avait bercé jusqu'à ce qu'elle s'endorme presque, et l'avait ensuite laissé remonter dans son dortoir, regardant les groupes aux alentours. Il n'avait pas envie de faire l'imbécile et de se ramener, ni d'aller frapper quelqu'un, quoi que ce soit, à vrai dire. Le jeune homme était vidé d'énergie.

Cependant, alors qu'il allait partir de la salle, son regard fut attiré par deux jeunes de troisième année qui rigolaient devant une silhouette allongée dans un fauteuil. L'un d'eux était en train d'essayer de faire baisser la bretelle de sa robe, et une chevelure rousse apparut un instant dans son champ de vision. Rose. Son sang ne fit qu'un tour et il fit volte face, attrapant l'un des petits par le col pour le regarder de façon très peu saine qui signifiait clairement « dégage ». Le deuxième ne se fit pas prier à son tour et prit ses jambes à son cou, sous les regards quelque peu désabusés du reste des élèves qui n'osaient pas intervenir. Tsk. Il se demandait pourquoi Rose était là, toute seule, mais il s'occuperait du cas Arès plus tard, une fois la belle au bois dormant réveillé.

Avec une tendresse qu'on ne lui connaissait guère, il remit la robe de la demoiselle en place, se souvenant encore de son air perdu et de sa tenue frivole lors du Carnaval. Là, il ne l'avait pas trouvé jolie, non. Il avait cru voir une petite fille perdue dans des habits qui ne lui allaient pas – bon, il ne valait pas mieux qu'il lui en parle, vu son féminisme exacerbé – et il se sentait mal à l'aise d'avoir pu la mater dans un instant pareil. Aussi, la moindre des choses étaient de la protéger, un peu, tant qu'il pouvait encore.
Un souffle dans son cou, et une petite phrase. « Hey, princesse, réveille toi »

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L'envie de partir de Poudlard était en train de creuser encore plus son chemin dans l'esprit de Nicholas depuis deux jours. Il savait qu'il y était presque, que bientôt ils pourraient tous aller se faire foutre, qu'il vivrait sa vie, sur son bateau, seul ou accompagné. De ses sœurs, d'Eli, de Lucy – mais c'était une pensée douloureuse – sans avoir à respecter l'autorité des pseudos adultes qui les avaient tous mis en danger ce soir là. L'air était lourd de malheur et de pleurs, de personnes en deuil et de gens choqués dont les sanglots et les gémissements de peine résonnaient contre les murs comme autant d'échos qui lui faisait physiquement mal. Cela lui rappelait trop de mauvais souvenirs, cela nuisait à sa concentration et à son envie d'être sage. Il n'avait bien qu'une seule obsession, noyer ces souvenirs dans l'alcool, la drogue, voir les deux, quelque chose pour ne plus entendre et voir les visages fermés et terrorisés des autres. Ne pas voir les trous dans les classes, les élèves encore absents, qu'ils soient à l'infirmerie ou à St Mangouste. Heureusement, il n'avait perdu personne. Andras était toujours gravement blessé, oui, mais ce petit con était vivant. Pas Ellundril.
Le jeune homme serra les dents et souffla doucement. Il ne la connaissait pas, il ne lui avait même pas parlé à vrai dire, mais c'était une petite fille qui n'avait pas mérité de finir comme ça. Rien que d'imaginer que l'une de ses soeurs aient pu... finir à sa place, le rendait malade. Et ils étaient protégés, c'est ça, mon cul oui. Toute cette histoire sentait mauvais, et le garçon sentait bien que ce n'était que le début d'une spirale infernale qui risquait de faire d'autres victimes.
Entre Derek qui jouait au con, sa copine qui faisait l'anorexique, les autres qui pleuraient et ressemblaient à des morts vivants, Poudlard ne ressemblait guère plus à une école mais bien à un refuge pour victimes de guerre. Sans doute que la présence des Détraqueurs jouait aussi.

Foutrement bonne idée, tiens, celle là, personne n'aurait pu la voir venir, et la mère de Nika était furax. D'avoir ses choses autour de ses enfants, elle qui avait du les endurer pendant toute la durée de son incarcération, ca la rendait folle, et il avait fallu que les filles lui envoient toutes une lettre pour qu'elle ne se mette pas en tête de les déplacer à Beauxbatons. Hors de question d'aller chez les frenchies. No way. Du coup, ils évitaient d'aller dehors. Ils évitaient tous même de sortir dans les couloirs, après ce qui était arrivé à Nowaki. Abusé quoi.

Être enfermé n'était pas dans la nature du pirate, pas plus qu'il n'était dans sa nature de ne pas aller dans sa petite clairière voir les Sombrals. D'entendre le silence dans la salle commune des Gryffondors, de savoir qu'il n'y allait pas avoir de petite fête... Déprimant.
Ne voulant pas aller dormir tout de suite, ne pouvant pas fumer dans le dortoir, il avait passé une heure avec sa soeur dans la salle commune, elle assise sur ses genoux et l'utilisant comme bisounours, quelque chose qui arrivait rarement au fur et à mesure qu'elle grandissait. Il l'avait bercé jusqu'à ce qu'elle s'endorme presque, et l'avait ensuite laissé remonter dans son dortoir, regardant les groupes aux alentours. Il n'avait pas envie de faire l'imbécile et de se ramener, ni d'aller frapper quelqu'un, quoi que ce soit, à vrai dire. Le jeune homme était vidé d'énergie.

Cependant, alors qu'il allait partir de la salle, son regard fut attiré par deux jeunes de troisième année qui rigolaient devant une silhouette allongée dans un fauteuil. L'un d'eux était en train d'essayer de faire baisser la bretelle de sa robe, et une chevelure rousse apparut un instant dans son champ de vision. Rose. Son sang ne fit qu'un tour et il fit volte face, attrapant l'un des petits par le col pour le regarder de façon très peu saine qui signifiait clairement « dégage ». Le deuxième ne se fit pas prier à son tour et prit ses jambes à son cou, sous les regards quelque peu désabusés du reste des élèves qui n'osaient pas intervenir. Tsk. Il se demandait pourquoi Rose était là, toute seule, mais il s'occuperait du cas Arès plus tard, une fois la belle au bois dormant réveillé.

Avec une tendresse qu'on ne lui connaissait guère, il remit la robe de la demoiselle en place, se souvenant encore de son air perdu et de sa tenue frivole lors du Carnaval. Là, il ne l'avait pas trouvé jolie, non. Il avait cru voir une petite fille perdue dans des habits qui ne lui allaient pas – bon, il ne valait pas mieux qu'il lui en parle, vu son féminisme exacerbé – et il se sentait mal à l'aise d'avoir pu la mater dans un instant pareil. Aussi, la moindre des choses étaient de la protéger, un peu, tant qu'il pouvait encore.
Un souffle dans son cou, et une petite phrase. « Hey, princesse, réveille toi »

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L'envie de partir de Poudlard était en train de creuser encore plus son chemin dans l'esprit de Nicholas depuis deux jours. Il savait qu'il y était presque, que bientôt ils pourraient tous aller se faire foutre, qu'il vivrait sa vie, sur son bateau, seul ou accompagné. De ses sœurs, d'Eli, de Lucy – mais c'était une pensée douloureuse – sans avoir à respecter l'autorité des pseudos adultes qui les avaient tous mis en danger ce soir là. L'air était lourd de malheur et de pleurs, de personnes en deuil et de gens choqués dont les sanglots et les gémissements de peine résonnaient contre les murs comme autant d'échos qui lui faisait physiquement mal. Cela lui rappelait trop de mauvais souvenirs, cela nuisait à sa concentration et à son envie d'être sage. Il n'avait bien qu'une seule obsession, noyer ces souvenirs dans l'alcool, la drogue, voir les deux, quelque chose pour ne plus entendre et voir les visages fermés et terrorisés des autres. Ne pas voir les trous dans les classes, les élèves encore absents, qu'ils soient à l'infirmerie ou à St Mangouste. Heureusement, il n'avait perdu personne. Andras était toujours gravement blessé, oui, mais ce petit con était vivant. Pas Ellundril.
Le jeune homme serra les dents et souffla doucement. Il ne la connaissait pas, il ne lui avait même pas parlé à vrai dire, mais c'était une petite fille qui n'avait pas mérité de finir comme ça. Rien que d'imaginer que l'une de ses soeurs aient pu... finir à sa place, le rendait malade. Et ils étaient protégés, c'est ça, mon cul oui. Toute cette histoire sentait mauvais, et le garçon sentait bien que ce n'était que le début d'une spirale infernale qui risquait de faire d'autres victimes.
Entre Derek qui jouait au con, sa copine qui faisait l'anorexique, les autres qui pleuraient et ressemblaient à des morts vivants, Poudlard ne ressemblait guère plus à une école mais bien à un refuge pour victimes de guerre. Sans doute que la présence des Détraqueurs jouait aussi.

Foutrement bonne idée, tiens, celle là, personne n'aurait pu la voir venir, et la mère de Nika était furax. D'avoir ses choses autour de ses enfants, elle qui avait du les endurer pendant toute la durée de son incarcération, ca la rendait folle, et il avait fallu que les filles lui envoient toutes une lettre pour qu'elle ne se mette pas en tête de les déplacer à Beauxbatons. Hors de question d'aller chez les frenchies. No way. Du coup, ils évitaient d'aller dehors. Ils évitaient tous même de sortir dans les couloirs, après ce qui était arrivé à Nowaki. Abusé quoi.

Être enfermé n'était pas dans la nature du pirate, pas plus qu'il n'était dans sa nature de ne pas aller dans sa petite clairière voir les Sombrals. D'entendre le silence dans la salle commune des Gryffondors, de savoir qu'il n'y allait pas avoir de petite fête... Déprimant.
Ne voulant pas aller dormir tout de suite, ne pouvant pas fumer dans le dortoir, il avait passé une heure avec sa soeur dans la salle commune, elle assise sur ses genoux et l'utilisant comme bisounours, quelque chose qui arrivait rarement au fur et à mesure qu'elle grandissait. Il l'avait bercé jusqu'à ce qu'elle s'endorme presque, et l'avait ensuite laissé remonter dans son dortoir, regardant les groupes aux alentours. Il n'avait pas envie de faire l'imbécile et de se ramener, ni d'aller frapper quelqu'un, quoi que ce soit, à vrai dire. Le jeune homme était vidé d'énergie.

Cependant, alors qu'il allait partir de la salle, son regard fut attiré par deux jeunes de troisième année qui rigolaient devant une silhouette allongée dans un fauteuil. L'un d'eux était en train d'essayer de faire baisser la bretelle de sa robe, et une chevelure rousse apparut un instant dans son champ de vision. Rose. Son sang ne fit qu'un tour et il fit volte face, attrapant l'un des petits par le col pour le regarder de façon très peu saine qui signifiait clairement « dégage ». Le deuxième ne se fit pas prier à son tour et prit ses jambes à son cou, sous les regards quelque peu désabusés du reste des élèves qui n'osaient pas intervenir. Tsk. Il se demandait pourquoi Rose était là, toute seule, mais il s'occuperait du cas Arès plus tard, une fois la belle au bois dormant réveillé.

Avec une tendresse qu'on ne lui connaissait guère, il remit la robe de la demoiselle en place, se souvenant encore de son air perdu et de sa tenue frivole lors du Carnaval. Là, il ne l'avait pas trouvé jolie, non. Il avait cru voir une petite fille perdue dans des habits qui ne lui allaient pas – bon, il ne valait pas mieux qu'il lui en parle, vu son féminisme exacerbé – et il se sentait mal à l'aise d'avoir pu la mater dans un instant pareil. Aussi, la moindre des choses étaient de la protéger, un peu, tant qu'il pouvait encore.
Un souffle dans son cou, et une petite phrase. « Hey, princesse, réveille toi »

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L'envie de partir de Poudlard était en train de creuser encore plus son chemin dans l'esprit de Nicholas depuis deux jours. Il savait qu'il y était presque, que bientôt ils pourraient tous aller se faire foutre, qu'il vivrait sa vie, sur son bateau, seul ou accompagné. De ses sœurs, d'Eli, de Lucy – mais c'était une pensée douloureuse – sans avoir à respecter l'autorité des pseudos adultes qui les avaient tous mis en danger ce soir là. L'air était lourd de malheur et de pleurs, de personnes en deuil et de gens choqués dont les sanglots et les gémissements de peine résonnaient contre les murs comme autant d'échos qui lui faisait physiquement mal. Cela lui rappelait trop de mauvais souvenirs, cela nuisait à sa concentration et à son envie d'être sage. Il n'avait bien qu'une seule obsession, noyer ces souvenirs dans l'alcool, la drogue, voir les deux, quelque chose pour ne plus entendre et voir les visages fermés et terrorisés des autres. Ne pas voir les trous dans les classes, les élèves encore absents, qu'ils soient à l'infirmerie ou à St Mangouste. Heureusement, il n'avait perdu personne. Andras était toujours gravement blessé, oui, mais ce petit con était vivant. Pas Ellundril.
Le jeune homme serra les dents et souffla doucement. Il ne la connaissait pas, il ne lui avait même pas parlé à vrai dire, mais c'était une petite fille qui n'avait pas mérité de finir comme ça. Rien que d'imaginer que l'une de ses soeurs aient pu... finir à sa place, le rendait malade. Et ils étaient protégés, c'est ça, mon cul oui. Toute cette histoire sentait mauvais, et le garçon sentait bien que ce n'était que le début d'une spirale infernale qui risquait de faire d'autres victimes.
Entre Derek qui jouait au con, sa copine qui faisait l'anorexique, les autres qui pleuraient et ressemblaient à des morts vivants, Poudlard ne ressemblait guère plus à une école mais bien à un refuge pour victimes de guerre. Sans doute que la présence des Détraqueurs jouait aussi.

Foutrement bonne idée, tiens, celle là, personne n'aurait pu la voir venir, et la mère de Nika était furax. D'avoir ses choses autour de ses enfants, elle qui avait du les endurer pendant toute la durée de son incarcération, ca la rendait folle, et il avait fallu que les filles lui envoient toutes une lettre pour qu'elle ne se mette pas en tête de les déplacer à Beauxbatons. Hors de question d'aller chez les frenchies. No way. Du coup, ils évitaient d'aller dehors. Ils évitaient tous même de sortir dans les couloirs, après ce qui était arrivé à Nowaki. Abusé quoi.

Être enfermé n'était pas dans la nature du pirate, pas plus qu'il n'était dans sa nature de ne pas aller dans sa petite clairière voir les Sombrals. D'entendre le silence dans la salle commune des Gryffondors, de savoir qu'il n'y allait pas avoir de petite fête... Déprimant.
Ne voulant pas aller dormir tout de suite, ne pouvant pas fumer dans le dortoir, il avait passé une heure avec sa soeur dans la salle commune, elle assise sur ses genoux et l'utilisant comme bisounours, quelque chose qui arrivait rarement au fur et à mesure qu'elle grandissait. Il l'avait bercé jusqu'à ce qu'elle s'endorme presque, et l'avait ensuite laissé remonter dans son dortoir, regardant les groupes aux alentours. Il n'avait pas envie de faire l'imbécile et de se ramener, ni d'aller frapper quelqu'un, quoi que ce soit, à vrai dire. Le jeune homme était vidé d'énergie.

Cependant, alors qu'il allait partir de la salle, son regard fut attiré par deux jeunes de troisième année qui rigolaient devant une silhouette allongée dans un fauteuil. L'un d'eux était en train d'essayer de faire baisser la bretelle de sa robe, et une chevelure rousse apparut un instant dans son champ de vision. Rose. Son sang ne fit qu'un tour et il fit volte face, attrapant l'un des petits par le col pour le regarder de façon très peu saine qui signifiait clairement « dégage ». Le deuxième ne se fit pas prier à son tour et prit ses jambes à son cou, sous les regards quelque peu désabusés du reste des élèves qui n'osaient pas intervenir. Tsk. Il se demandait pourquoi Rose était là, toute seule, mais il s'occuperait du cas Arès plus tard, une fois la belle au bois dormant réveillé.

Avec une tendresse qu'on ne lui connaissait guère, il remit la robe de la demoiselle en place, se souvenant encore de son air perdu et de sa tenue frivole lors du Carnaval. Là, il ne l'avait pas trouvé jolie, non. Il avait cru voir une petite fille perdue dans des habits qui ne lui allaient pas – bon, il ne valait pas mieux qu'il lui en parle, vu son féminisme exacerbé – et il se sentait mal à l'aise d'avoir pu la mater dans un instant pareil. Aussi, la moindre des choses étaient de la protéger, un peu, tant qu'il pouvait encore.
Un souffle dans son cou, et une petite phrase. « Hey, princesse, réveille toi »

[Crédits :]

L'envie de partir de Poudlard était en train de creuser encore plus son chemin dans l'esprit de Nicholas depuis deux jours. Il savait qu'il y était presque, que bientôt ils pourraient tous aller se faire foutre, qu'il vivrait sa vie, sur son bateau, seul ou accompagné. De ses sœurs, d'Eli, de Lucy – mais c'était une pensée douloureuse – sans avoir à respecter l'autorité des pseudos adultes qui les avaient tous mis en danger ce soir là. L'air était lourd de malheur et de pleurs, de personnes en deuil et de gens choqués dont les sanglots et les gémissements de peine résonnaient contre les murs comme autant d'échos qui lui faisait physiquement mal. Cela lui rappelait trop de mauvais souvenirs, cela nuisait à sa concentration et à son envie d'être sage. Il n'avait bien qu'une seule obsession, noyer ces souvenirs dans l'alcool, la drogue, voir les deux, quelque chose pour ne plus entendre et voir les visages fermés et terrorisés des autres. Ne pas voir les trous dans les classes, les élèves encore absents, qu'ils soient à l'infirmerie ou à St Mangouste. Heureusement, il n'avait perdu personne. Andras était toujours gravement blessé, oui, mais ce petit con était vivant. Pas Ellundril.
Le jeune homme serra les dents et souffla doucement. Il ne la connaissait pas, il ne lui avait même pas parlé à vrai dire, mais c'était une petite fille qui n'avait pas mérité de finir comme ça. Rien que d'imaginer que l'une de ses soeurs aient pu... finir à sa place, le rendait malade. Et ils étaient protégés, c'est ça, mon cul oui. Toute cette histoire sentait mauvais, et le garçon sentait bien que ce n'était que le début d'une spirale infernale qui risquait de faire d'autres victimes.
Entre Derek qui jouait au con, sa copine qui faisait l'anorexique, les autres qui pleuraient et ressemblaient à des morts vivants, Poudlard ne ressemblait guère plus à une école mais bien à un refuge pour victimes de guerre. Sans doute que la présence des Détraqueurs jouait aussi.

Foutrement bonne idée, tiens, celle là, personne n'aurait pu la voir venir, et la mère de Nika était furax. D'avoir ses choses autour de ses enfants, elle qui avait du les endurer pendant toute la durée de son incarcération, ca la rendait folle, et il avait fallu que les filles lui envoient toutes une lettre pour qu'elle ne se mette pas en tête de les déplacer à Beauxbatons. Hors de question d'aller chez les frenchies. No way. Du coup, ils évitaient d'aller dehors. Ils évitaient tous même de sortir dans les couloirs, après ce qui était arrivé à Nowaki. Abusé quoi.

Être enfermé n'était pas dans la nature du pirate, pas plus qu'il n'était dans sa nature de ne pas aller dans sa petite clairière voir les Sombrals. D'entendre le silence dans la salle commune des Gryffondors, de savoir qu'il n'y allait pas avoir de petite fête... Déprimant.
Ne voulant pas aller dormir tout de suite, ne pouvant pas fumer dans le dortoir, il avait passé une heure avec sa soeur dans la salle commune, elle assise sur ses genoux et l'utilisant comme bisounours, quelque chose qui arrivait rarement au fur et à mesure qu'elle grandissait. Il l'avait bercé jusqu'à ce qu'elle s'endorme presque, et l'avait ensuite laissé remonter dans son dortoir, regardant les groupes aux alentours. Il n'avait pas envie de faire l'imbécile et de se ramener, ni d'aller frapper quelqu'un, quoi que ce soit, à vrai dire. Le jeune homme était vidé d'énergie.

Cependant, alors qu'il allait partir de la salle, son regard fut attiré par deux jeunes de troisième année qui rigolaient devant une silhouette allongée dans un fauteuil. L'un d'eux était en train d'essayer de faire baisser la bretelle de sa robe, et une chevelure rousse apparut un instant dans son champ de vision. Rose. Son sang ne fit qu'un tour et il fit volte face, attrapant l'un des petits par le col pour le regarder de façon très peu saine qui signifiait clairement « dégage ». Le deuxième ne se fit pas prier à son tour et prit ses jambes à son cou, sous les regards quelque peu désabusés du reste des élèves qui n'osaient pas intervenir. Tsk. Il se demandait pourquoi Rose était là, toute seule, mais il s'occuperait du cas Arès plus tard, une fois la belle au bois dormant réveillé.

Avec une tendresse qu'on ne lui connaissait guère, il remit la robe de la demoiselle en place, se souvenant encore de son air perdu et de sa tenue frivole lors du Carnaval. Là, il ne l'avait pas trouvé jolie, non. Il avait cru voir une petite fille perdue dans des habits qui ne lui allaient pas – bon, il ne valait pas mieux qu'il lui en parle, vu son féminisme exacerbé – et il se sentait mal à l'aise d'avoir pu la mater dans un instant pareil. Aussi, la moindre des choses étaient de la protéger, un peu, tant qu'il pouvait encore.
Un souffle dans son cou, et une petite phrase. « Hey, princesse, réveille toi »

[Age RPG :]

L'envie de partir de Poudlard était en train de creuser encore plus son chemin dans l'esprit de Nicholas depuis deux jours. Il savait qu'il y était presque, que bientôt ils pourraient tous aller se faire foutre, qu'il vivrait sa vie, sur son bateau, seul ou accompagné. De ses sœurs, d'Eli, de Lucy – mais c'était une pensée douloureuse – sans avoir à respecter l'autorité des pseudos adultes qui les avaient tous mis en danger ce soir là. L'air était lourd de malheur et de pleurs, de personnes en deuil et de gens choqués dont les sanglots et les gémissements de peine résonnaient contre les murs comme autant d'échos qui lui faisait physiquement mal. Cela lui rappelait trop de mauvais souvenirs, cela nuisait à sa concentration et à son envie d'être sage. Il n'avait bien qu'une seule obsession, noyer ces souvenirs dans l'alcool, la drogue, voir les deux, quelque chose pour ne plus entendre et voir les visages fermés et terrorisés des autres. Ne pas voir les trous dans les classes, les élèves encore absents, qu'ils soient à l'infirmerie ou à St Mangouste. Heureusement, il n'avait perdu personne. Andras était toujours gravement blessé, oui, mais ce petit con était vivant. Pas Ellundril.
Le jeune homme serra les dents et souffla doucement. Il ne la connaissait pas, il ne lui avait même pas parlé à vrai dire, mais c'était une petite fille qui n'avait pas mérité de finir comme ça. Rien que d'imaginer que l'une de ses soeurs aient pu... finir à sa place, le rendait malade. Et ils étaient protégés, c'est ça, mon cul oui. Toute cette histoire sentait mauvais, et le garçon sentait bien que ce n'était que le début d'une spirale infernale qui risquait de faire d'autres victimes.
Entre Derek qui jouait au con, sa copine qui faisait l'anorexique, les autres qui pleuraient et ressemblaient à des morts vivants, Poudlard ne ressemblait guère plus à une école mais bien à un refuge pour victimes de guerre. Sans doute que la présence des Détraqueurs jouait aussi.

Foutrement bonne idée, tiens, celle là, personne n'aurait pu la voir venir, et la mère de Nika était furax. D'avoir ses choses autour de ses enfants, elle qui avait du les endurer pendant toute la durée de son incarcération, ca la rendait folle, et il avait fallu que les filles lui envoient toutes une lettre pour qu'elle ne se mette pas en tête de les déplacer à Beauxbatons. Hors de question d'aller chez les frenchies. No way. Du coup, ils évitaient d'aller dehors. Ils évitaient tous même de sortir dans les couloirs, après ce qui était arrivé à Nowaki. Abusé quoi.

Être enfermé n'était pas dans la nature du pirate, pas plus qu'il n'était dans sa nature de ne pas aller dans sa petite clairière voir les Sombrals. D'entendre le silence dans la salle commune des Gryffondors, de savoir qu'il n'y allait pas avoir de petite fête... Déprimant.
Ne voulant pas aller dormir tout de suite, ne pouvant pas fumer dans le dortoir, il avait passé une heure avec sa soeur dans la salle commune, elle assise sur ses genoux et l'utilisant comme bisounours, quelque chose qui arrivait rarement au fur et à mesure qu'elle grandissait. Il l'avait bercé jusqu'à ce qu'elle s'endorme presque, et l'avait ensuite laissé remonter dans son dortoir, regardant les groupes aux alentours. Il n'avait pas envie de faire l'imbécile et de se ramener, ni d'aller frapper quelqu'un, quoi que ce soit, à vrai dire. Le jeune homme était vidé d'énergie.

Cependant, alors qu'il allait partir de la salle, son regard fut attiré par deux jeunes de troisième année qui rigolaient devant une silhouette allongée dans un fauteuil. L'un d'eux était en train d'essayer de faire baisser la bretelle de sa robe, et une chevelure rousse apparut un instant dans son champ de vision. Rose. Son sang ne fit qu'un tour et il fit volte face, attrapant l'un des petits par le col pour le regarder de façon très peu saine qui signifiait clairement « dégage ». Le deuxième ne se fit pas prier à son tour et prit ses jambes à son cou, sous les regards quelque peu désabusés du reste des élèves qui n'osaient pas intervenir. Tsk. Il se demandait pourquoi Rose était là, toute seule, mais il s'occuperait du cas Arès plus tard, une fois la belle au bois dormant réveillé.

Avec une tendresse qu'on ne lui connaissait guère, il remit la robe de la demoiselle en place, se souvenant encore de son air perdu et de sa tenue frivole lors du Carnaval. Là, il ne l'avait pas trouvé jolie, non. Il avait cru voir une petite fille perdue dans des habits qui ne lui allaient pas – bon, il ne valait pas mieux qu'il lui en parle, vu son féminisme exacerbé – et il se sentait mal à l'aise d'avoir pu la mater dans un instant pareil. Aussi, la moindre des choses étaient de la protéger, un peu, tant qu'il pouvait encore.
Un souffle dans son cou, et une petite phrase. « Hey, princesse, réveille toi »

[Sang :]

L'envie de partir de Poudlard était en train de creuser encore plus son chemin dans l'esprit de Nicholas depuis deux jours. Il savait qu'il y était presque, que bientôt ils pourraient tous aller se faire foutre, qu'il vivrait sa vie, sur son bateau, seul ou accompagné. De ses sœurs, d'Eli, de Lucy – mais c'était une pensée douloureuse – sans avoir à respecter l'autorité des pseudos adultes qui les avaient tous mis en danger ce soir là. L'air était lourd de malheur et de pleurs, de personnes en deuil et de gens choqués dont les sanglots et les gémissements de peine résonnaient contre les murs comme autant d'échos qui lui faisait physiquement mal. Cela lui rappelait trop de mauvais souvenirs, cela nuisait à sa concentration et à son envie d'être sage. Il n'avait bien qu'une seule obsession, noyer ces souvenirs dans l'alcool, la drogue, voir les deux, quelque chose pour ne plus entendre et voir les visages fermés et terrorisés des autres. Ne pas voir les trous dans les classes, les élèves encore absents, qu'ils soient à l'infirmerie ou à St Mangouste. Heureusement, il n'avait perdu personne. Andras était toujours gravement blessé, oui, mais ce petit con était vivant. Pas Ellundril.
Le jeune homme serra les dents et souffla doucement. Il ne la connaissait pas, il ne lui avait même pas parlé à vrai dire, mais c'était une petite fille qui n'avait pas mérité de finir comme ça. Rien que d'imaginer que l'une de ses soeurs aient pu... finir à sa place, le rendait malade. Et ils étaient protégés, c'est ça, mon cul oui. Toute cette histoire sentait mauvais, et le garçon sentait bien que ce n'était que le début d'une spirale infernale qui risquait de faire d'autres victimes.
Entre Derek qui jouait au con, sa copine qui faisait l'anorexique, les autres qui pleuraient et ressemblaient à des morts vivants, Poudlard ne ressemblait guère plus à une école mais bien à un refuge pour victimes de guerre. Sans doute que la présence des Détraqueurs jouait aussi.

Foutrement bonne idée, tiens, celle là, personne n'aurait pu la voir venir, et la mère de Nika était furax. D'avoir ses choses autour de ses enfants, elle qui avait du les endurer pendant toute la durée de son incarcération, ca la rendait folle, et il avait fallu que les filles lui envoient toutes une lettre pour qu'elle ne se mette pas en tête de les déplacer à Beauxbatons. Hors de question d'aller chez les frenchies. No way. Du coup, ils évitaient d'aller dehors. Ils évitaient tous même de sortir dans les couloirs, après ce qui était arrivé à Nowaki. Abusé quoi.

Être enfermé n'était pas dans la nature du pirate, pas plus qu'il n'était dans sa nature de ne pas aller dans sa petite clairière voir les Sombrals. D'entendre le silence dans la salle commune des Gryffondors, de savoir qu'il n'y allait pas avoir de petite fête... Déprimant.
Ne voulant pas aller dormir tout de suite, ne pouvant pas fumer dans le dortoir, il avait passé une heure avec sa soeur dans la salle commune, elle assise sur ses genoux et l'utilisant comme bisounours, quelque chose qui arrivait rarement au fur et à mesure qu'elle grandissait. Il l'avait bercé jusqu'à ce qu'elle s'endorme presque, et l'avait ensuite laissé remonter dans son dortoir, regardant les groupes aux alentours. Il n'avait pas envie de faire l'imbécile et de se ramener, ni d'aller frapper quelqu'un, quoi que ce soit, à vrai dire. Le jeune homme était vidé d'énergie.

Cependant, alors qu'il allait partir de la salle, son regard fut attiré par deux jeunes de troisième année qui rigolaient devant une silhouette allongée dans un fauteuil. L'un d'eux était en train d'essayer de faire baisser la bretelle de sa robe, et une chevelure rousse apparut un instant dans son champ de vision. Rose. Son sang ne fit qu'un tour et il fit volte face, attrapant l'un des petits par le col pour le regarder de façon très peu saine qui signifiait clairement « dégage ». Le deuxième ne se fit pas prier à son tour et prit ses jambes à son cou, sous les regards quelque peu désabusés du reste des élèves qui n'osaient pas intervenir. Tsk. Il se demandait pourquoi Rose était là, toute seule, mais il s'occuperait du cas Arès plus tard, une fois la belle au bois dormant réveillé.

Avec une tendresse qu'on ne lui connaissait guère, il remit la robe de la demoiselle en place, se souvenant encore de son air perdu et de sa tenue frivole lors du Carnaval. Là, il ne l'avait pas trouvé jolie, non. Il avait cru voir une petite fille perdue dans des habits qui ne lui allaient pas – bon, il ne valait pas mieux qu'il lui en parle, vu son féminisme exacerbé – et il se sentait mal à l'aise d'avoir pu la mater dans un instant pareil. Aussi, la moindre des choses étaient de la protéger, un peu, tant qu'il pouvait encore.
Un souffle dans son cou, et une petite phrase. « Hey, princesse, réveille toi »

[Camp :]

L'envie de partir de Poudlard était en train de creuser encore plus son chemin dans l'esprit de Nicholas depuis deux jours. Il savait qu'il y était presque, que bientôt ils pourraient tous aller se faire foutre, qu'il vivrait sa vie, sur son bateau, seul ou accompagné. De ses sœurs, d'Eli, de Lucy – mais c'était une pensée douloureuse – sans avoir à respecter l'autorité des pseudos adultes qui les avaient tous mis en danger ce soir là. L'air était lourd de malheur et de pleurs, de personnes en deuil et de gens choqués dont les sanglots et les gémissements de peine résonnaient contre les murs comme autant d'échos qui lui faisait physiquement mal. Cela lui rappelait trop de mauvais souvenirs, cela nuisait à sa concentration et à son envie d'être sage. Il n'avait bien qu'une seule obsession, noyer ces souvenirs dans l'alcool, la drogue, voir les deux, quelque chose pour ne plus entendre et voir les visages fermés et terrorisés des autres. Ne pas voir les trous dans les classes, les élèves encore absents, qu'ils soient à l'infirmerie ou à St Mangouste. Heureusement, il n'avait perdu personne. Andras était toujours gravement blessé, oui, mais ce petit con était vivant. Pas Ellundril.
Le jeune homme serra les dents et souffla doucement. Il ne la connaissait pas, il ne lui avait même pas parlé à vrai dire, mais c'était une petite fille qui n'avait pas mérité de finir comme ça. Rien que d'imaginer que l'une de ses soeurs aient pu... finir à sa place, le rendait malade. Et ils étaient protégés, c'est ça, mon cul oui. Toute cette histoire sentait mauvais, et le garçon sentait bien que ce n'était que le début d'une spirale infernale qui risquait de faire d'autres victimes.
Entre Derek qui jouait au con, sa copine qui faisait l'anorexique, les autres qui pleuraient et ressemblaient à des morts vivants, Poudlard ne ressemblait guère plus à une école mais bien à un refuge pour victimes de guerre. Sans doute que la présence des Détraqueurs jouait aussi.

Foutrement bonne idée, tiens, celle là, personne n'aurait pu la voir venir, et la mère de Nika était furax. D'avoir ses choses autour de ses enfants, elle qui avait du les endurer pendant toute la durée de son incarcération, ca la rendait folle, et il avait fallu que les filles lui envoient toutes une lettre pour qu'elle ne se mette pas en tête de les déplacer à Beauxbatons. Hors de question d'aller chez les frenchies. No way. Du coup, ils évitaient d'aller dehors. Ils évitaient tous même de sortir dans les couloirs, après ce qui était arrivé à Nowaki. Abusé quoi.

Être enfermé n'était pas dans la nature du pirate, pas plus qu'il n'était dans sa nature de ne pas aller dans sa petite clairière voir les Sombrals. D'entendre le silence dans la salle commune des Gryffondors, de savoir qu'il n'y allait pas avoir de petite fête... Déprimant.
Ne voulant pas aller dormir tout de suite, ne pouvant pas fumer dans le dortoir, il avait passé une heure avec sa soeur dans la salle commune, elle assise sur ses genoux et l'utilisant comme bisounours, quelque chose qui arrivait rarement au fur et à mesure qu'elle grandissait. Il l'avait bercé jusqu'à ce qu'elle s'endorme presque, et l'avait ensuite laissé remonter dans son dortoir, regardant les groupes aux alentours. Il n'avait pas envie de faire l'imbécile et de se ramener, ni d'aller frapper quelqu'un, quoi que ce soit, à vrai dire. Le jeune homme était vidé d'énergie.

Cependant, alors qu'il allait partir de la salle, son regard fut attiré par deux jeunes de troisième année qui rigolaient devant une silhouette allongée dans un fauteuil. L'un d'eux était en train d'essayer de faire baisser la bretelle de sa robe, et une chevelure rousse apparut un instant dans son champ de vision. Rose. Son sang ne fit qu'un tour et il fit volte face, attrapant l'un des petits par le col pour le regarder de façon très peu saine qui signifiait clairement « dégage ». Le deuxième ne se fit pas prier à son tour et prit ses jambes à son cou, sous les regards quelque peu désabusés du reste des élèves qui n'osaient pas intervenir. Tsk. Il se demandait pourquoi Rose était là, toute seule, mais il s'occuperait du cas Arès plus tard, une fois la belle au bois dormant réveillé.

Avec une tendresse qu'on ne lui connaissait guère, il remit la robe de la demoiselle en place, se souvenant encore de son air perdu et de sa tenue frivole lors du Carnaval. Là, il ne l'avait pas trouvé jolie, non. Il avait cru voir une petite fille perdue dans des habits qui ne lui allaient pas – bon, il ne valait pas mieux qu'il lui en parle, vu son féminisme exacerbé – et il se sentait mal à l'aise d'avoir pu la mater dans un instant pareil. Aussi, la moindre des choses étaient de la protéger, un peu, tant qu'il pouvait encore.
Un souffle dans son cou, et une petite phrase. « Hey, princesse, réveille toi »

[Doubles-Comptes :]

L'envie de partir de Poudlard était en train de creuser encore plus son chemin dans l'esprit de Nicholas depuis deux jours. Il savait qu'il y était presque, que bientôt ils pourraient tous aller se faire foutre, qu'il vivrait sa vie, sur son bateau, seul ou accompagné. De ses sœurs, d'Eli, de Lucy – mais c'était une pensée douloureuse – sans avoir à respecter l'autorité des pseudos adultes qui les avaient tous mis en danger ce soir là. L'air était lourd de malheur et de pleurs, de personnes en deuil et de gens choqués dont les sanglots et les gémissements de peine résonnaient contre les murs comme autant d'échos qui lui faisait physiquement mal. Cela lui rappelait trop de mauvais souvenirs, cela nuisait à sa concentration et à son envie d'être sage. Il n'avait bien qu'une seule obsession, noyer ces souvenirs dans l'alcool, la drogue, voir les deux, quelque chose pour ne plus entendre et voir les visages fermés et terrorisés des autres. Ne pas voir les trous dans les classes, les élèves encore absents, qu'ils soient à l'infirmerie ou à St Mangouste. Heureusement, il n'avait perdu personne. Andras était toujours gravement blessé, oui, mais ce petit con était vivant. Pas Ellundril.
Le jeune homme serra les dents et souffla doucement. Il ne la connaissait pas, il ne lui avait même pas parlé à vrai dire, mais c'était une petite fille qui n'avait pas mérité de finir comme ça. Rien que d'imaginer que l'une de ses soeurs aient pu... finir à sa place, le rendait malade. Et ils étaient protégés, c'est ça, mon cul oui. Toute cette histoire sentait mauvais, et le garçon sentait bien que ce n'était que le début d'une spirale infernale qui risquait de faire d'autres victimes.
Entre Derek qui jouait au con, sa copine qui faisait l'anorexique, les autres qui pleuraient et ressemblaient à des morts vivants, Poudlard ne ressemblait guère plus à une école mais bien à un refuge pour victimes de guerre. Sans doute que la présence des Détraqueurs jouait aussi.

Foutrement bonne idée, tiens, celle là, personne n'aurait pu la voir venir, et la mère de Nika était furax. D'avoir ses choses autour de ses enfants, elle qui avait du les endurer pendant toute la durée de son incarcération, ca la rendait folle, et il avait fallu que les filles lui envoient toutes une lettre pour qu'elle ne se mette pas en tête de les déplacer à Beauxbatons. Hors de question d'aller chez les frenchies. No way. Du coup, ils évitaient d'aller dehors. Ils évitaient tous même de sortir dans les couloirs, après ce qui était arrivé à Nowaki. Abusé quoi.

Être enfermé n'était pas dans la nature du pirate, pas plus qu'il n'était dans sa nature de ne pas aller dans sa petite clairière voir les Sombrals. D'entendre le silence dans la salle commune des Gryffondors, de savoir qu'il n'y allait pas avoir de petite fête... Déprimant.
Ne voulant pas aller dormir tout de suite, ne pouvant pas fumer dans le dortoir, il avait passé une heure avec sa soeur dans la salle commune, elle assise sur ses genoux et l'utilisant comme bisounours, quelque chose qui arrivait rarement au fur et à mesure qu'elle grandissait. Il l'avait bercé jusqu'à ce qu'elle s'endorme presque, et l'avait ensuite laissé remonter dans son dortoir, regardant les groupes aux alentours. Il n'avait pas envie de faire l'imbécile et de se ramener, ni d'aller frapper quelqu'un, quoi que ce soit, à vrai dire. Le jeune homme était vidé d'énergie.

Cependant, alors qu'il allait partir de la salle, son regard fut attiré par deux jeunes de troisième année qui rigolaient devant une silhouette allongée dans un fauteuil. L'un d'eux était en train d'essayer de faire baisser la bretelle de sa robe, et une chevelure rousse apparut un instant dans son champ de vision. Rose. Son sang ne fit qu'un tour et il fit volte face, attrapant l'un des petits par le col pour le regarder de façon très peu saine qui signifiait clairement « dégage ». Le deuxième ne se fit pas prier à son tour et prit ses jambes à son cou, sous les regards quelque peu désabusés du reste des élèves qui n'osaient pas intervenir. Tsk. Il se demandait pourquoi Rose était là, toute seule, mais il s'occuperait du cas Arès plus tard, une fois la belle au bois dormant réveillé.

Avec une tendresse qu'on ne lui connaissait guère, il remit la robe de la demoiselle en place, se souvenant encore de son air perdu et de sa tenue frivole lors du Carnaval. Là, il ne l'avait pas trouvé jolie, non. Il avait cru voir une petite fille perdue dans des habits qui ne lui allaient pas – bon, il ne valait pas mieux qu'il lui en parle, vu son féminisme exacerbé – et il se sentait mal à l'aise d'avoir pu la mater dans un instant pareil. Aussi, la moindre des choses étaient de la protéger, un peu, tant qu'il pouvait encore.
Un souffle dans son cou, et une petite phrase. « Hey, princesse, réveille toi »

Ce n'était pas le genre de Nika de paraître attentionné, gentil, avec des gens qui n'appartenaient pas à son clan, à sa famille, mais là, c'était la moindre des choses; Rose était inconsciente, vulnérable, n'était, au final, qu'une jeune fille, et il n'allait pas laisser des abrutis s'amuser avec son corps sans conséquences. On disait souvent dans le dos des Covenant qu'ils n'étaient qu'une bande de tarés consanguins, de pirates qui violaient les femmes, mais ils étaient bien loin du compte. Jamais un Covenant n'aurait osé violenter une femme ou un homme de cette façon; ils étaient pirates, certes, mais aussi, libres, et ce, de toutes les façons. Chiants, prompts à la colère, acharnés, parfois même un peu trop lourds, mais pas du genre à se taper des filles sans leur consentement. Et cela allait jusqu'à les laisser aux mains d'abrutis finis qui trouvaient ça drôle de la dénuder sans qu'elle soit d'accord.
Le regard glacial de Nika eut raison des deux adversaires, même s'il nota leur visage, pour partager avec ses soeurs cette info juteuse. Nul doute qu'elles, en tant que femmes, trouveraient un moyen de leur faire payer leurs mains baladeuses avec plus d'efficacité que lui. Ou de ruse, du moins.
Se penchant sur la jeune femme, se fichant de ce que les autres devaient penser de lui, encore, il essaya de la réveiller, ne serait-ce que pour qu'elle monte se coucher dans son dortoir, dans un endroit où elle serait à l'abri; il ne pouvait pas vraiment l'amener la bas lui même, avec les protections contre les garçons, toussa, aussi fallait-il qu'elle quitte un moment les bras de Morphée pour mieux y retourner ensuite.

Dans un premier temps, pas de réponse, puis elle tourna instinctivement le visage vers lui, posant ses lèvres contre les siennes, sans doute complètement à la masse, et lui ne bougea pas, pétrifié. Le contact ne dura pas assez longtemps pour qu'il en profite, mais suffisamment pour provoquer de petits chocs électriques le long de sa colonne vertébrale, alors qu'il finissait enfin, après des mois de demandes, à embrasser Rose Weasley. Certes, pas tout à fait de son plein gré, mais hé, ca compte tout pareil, elle avait initié le baiser, pas lui. C'était Nicholas l'innocent dans l'histoire... Enfin, autant qu'il pouvait l'être.
Il fut tout de même un poil blessé de la voir soudainement reprendre ses esprits et reculer vivement. Il embrassait si mal que ça ou elle était vraiment dégouté de l'avoir embrasser? Ce n'était pas comme si ca avait été prémédité, non plus, alors elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle, hein. Enfin, ne pas revenir à son tempérament d'ours des cavernes.
La rousse se mit à jurer, et il leva un sourcil, un peu amusé mais également un peu inquiet. Avait-elle encore mal, si longtemps après? Normalement, les brulures, même les plus graves, étaient rapidement soignés par Victoire. À moins que la pauvre infirmière n'ait été trop occupée ces temps-çi, mais tout de même, laisser souffrir une de ses cousines, chapeau la famille..

Il laissa la demoiselle s'excuser, bien capable par lui même de deviner qu'en effet, elle avait du le prenre pour Ares. N'empêche, lui, il le retenait. Il se tapait la fille sur laquelle Nika avait des vues depuis pas mal de temps, sans s'excuser, nan, que dalle. M'enfin, pour l'instant, Ares n'était pas là, et c'était lui qui avait pu embrasser sa copine. Bien fait. Si cela pouvait lui revenir aux oreilles – même s'il ne voulait pas non plus que ce soit la faute de Rose – pour bien lui faire les pieds, voilà qui arrangerait grandement son humeur des derniers jours. Après tout, ce n'est guère drôle de voir les autres s'embrasser et être tout lovey dovey l'un avec l'autre pendant que vous jouez au célibataire endurci parce que toutes les filles sur qui vous aviez flashés sont en couple. Sérieux, les bisous, loin de lui, pour le moment.

Le jeune homme leva encore plus un sourcil à sa pathétique atteinte de changer de sujet, et lui sourit, s'installant sans plus de cérémonie sur l'accoudoir du fauteuil. Après tout, ils avaient été plus intimes que ça, et il aimait bien la géner un peu, rien que pour la voir rougir plus.
« Ca va. J'ai juste du jarter deux petits abrutis qui cherchaient à te déssapper en plein milieu de la salle commune, mais si j'ai droit à un tel traitement ensuite, j'vais leur dire de recommencer je crois. »
Goujat. Mais bon, c'est Nicholas, il a toujours été comme ça. Et puis, la prochaine fois, il pourrait s'arranger pour intervenir un peu plus tard, parce que même si c'était pas bien, la perspective de voir un peu plus de peau nue de Rose était alléchante. Et puis, juste regarder n'a jamais tué personne, d'abord (a).

« T'as toujours mal au dos, sinon? Victoire ne t'a pas donné ce qu'il fallait pour atténuer la douleur? »
Curieux, curieux, curieux petit bonhomme. Plus les jours passaient plus sa curiosité ressortait, alors qu'avant il était blasé et n'avait rien à foutre des gens qui l'entouraient. Mais c'était sans doute du au fait qu'il soit complètement clean depuis plusieurs mois. Incroyable comme le monde semblait différent une fois l'addiction stoppée; beaucoup plus clair, plus intéréssant... Mais aussi beaucoup plus triste, froid et déprimant. Heureusement qu'il y avait quelques petites touches de couleur à Poudlard, sans quoi, il aurait vite replongé. Mais là, c'était une rouquine embarassé qui colorait sa soirée, et de façon très plaisante pour l'instant.

[Messages :]

Ce n'était pas le genre de Nika de paraître attentionné, gentil, avec des gens qui n'appartenaient pas à son clan, à sa famille, mais là, c'était la moindre des choses; Rose était inconsciente, vulnérable, n'était, au final, qu'une jeune fille, et il n'allait pas laisser des abrutis s'amuser avec son corps sans conséquences. On disait souvent dans le dos des Covenant qu'ils n'étaient qu'une bande de tarés consanguins, de pirates qui violaient les femmes, mais ils étaient bien loin du compte. Jamais un Covenant n'aurait osé violenter une femme ou un homme de cette façon; ils étaient pirates, certes, mais aussi, libres, et ce, de toutes les façons. Chiants, prompts à la colère, acharnés, parfois même un peu trop lourds, mais pas du genre à se taper des filles sans leur consentement. Et cela allait jusqu'à les laisser aux mains d'abrutis finis qui trouvaient ça drôle de la dénuder sans qu'elle soit d'accord.
Le regard glacial de Nika eut raison des deux adversaires, même s'il nota leur visage, pour partager avec ses soeurs cette info juteuse. Nul doute qu'elles, en tant que femmes, trouveraient un moyen de leur faire payer leurs mains baladeuses avec plus d'efficacité que lui. Ou de ruse, du moins.
Se penchant sur la jeune femme, se fichant de ce que les autres devaient penser de lui, encore, il essaya de la réveiller, ne serait-ce que pour qu'elle monte se coucher dans son dortoir, dans un endroit où elle serait à l'abri; il ne pouvait pas vraiment l'amener la bas lui même, avec les protections contre les garçons, toussa, aussi fallait-il qu'elle quitte un moment les bras de Morphée pour mieux y retourner ensuite.

Dans un premier temps, pas de réponse, puis elle tourna instinctivement le visage vers lui, posant ses lèvres contre les siennes, sans doute complètement à la masse, et lui ne bougea pas, pétrifié. Le contact ne dura pas assez longtemps pour qu'il en profite, mais suffisamment pour provoquer de petits chocs électriques le long de sa colonne vertébrale, alors qu'il finissait enfin, après des mois de demandes, à embrasser Rose Weasley. Certes, pas tout à fait de son plein gré, mais hé, ca compte tout pareil, elle avait initié le baiser, pas lui. C'était Nicholas l'innocent dans l'histoire... Enfin, autant qu'il pouvait l'être.
Il fut tout de même un poil blessé de la voir soudainement reprendre ses esprits et reculer vivement. Il embrassait si mal que ça ou elle était vraiment dégouté de l'avoir embrasser? Ce n'était pas comme si ca avait été prémédité, non plus, alors elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle, hein. Enfin, ne pas revenir à son tempérament d'ours des cavernes.
La rousse se mit à jurer, et il leva un sourcil, un peu amusé mais également un peu inquiet. Avait-elle encore mal, si longtemps après? Normalement, les brulures, même les plus graves, étaient rapidement soignés par Victoire. À moins que la pauvre infirmière n'ait été trop occupée ces temps-çi, mais tout de même, laisser souffrir une de ses cousines, chapeau la famille..

Il laissa la demoiselle s'excuser, bien capable par lui même de deviner qu'en effet, elle avait du le prenre pour Ares. N'empêche, lui, il le retenait. Il se tapait la fille sur laquelle Nika avait des vues depuis pas mal de temps, sans s'excuser, nan, que dalle. M'enfin, pour l'instant, Ares n'était pas là, et c'était lui qui avait pu embrasser sa copine. Bien fait. Si cela pouvait lui revenir aux oreilles – même s'il ne voulait pas non plus que ce soit la faute de Rose – pour bien lui faire les pieds, voilà qui arrangerait grandement son humeur des derniers jours. Après tout, ce n'est guère drôle de voir les autres s'embrasser et être tout lovey dovey l'un avec l'autre pendant que vous jouez au célibataire endurci parce que toutes les filles sur qui vous aviez flashés sont en couple. Sérieux, les bisous, loin de lui, pour le moment.

Le jeune homme leva encore plus un sourcil à sa pathétique atteinte de changer de sujet, et lui sourit, s'installant sans plus de cérémonie sur l'accoudoir du fauteuil. Après tout, ils avaient été plus intimes que ça, et il aimait bien la géner un peu, rien que pour la voir rougir plus.
« Ca va. J'ai juste du jarter deux petits abrutis qui cherchaient à te déssapper en plein milieu de la salle commune, mais si j'ai droit à un tel traitement ensuite, j'vais leur dire de recommencer je crois. »
Goujat. Mais bon, c'est Nicholas, il a toujours été comme ça. Et puis, la prochaine fois, il pourrait s'arranger pour intervenir un peu plus tard, parce que même si c'était pas bien, la perspective de voir un peu plus de peau nue de Rose était alléchante. Et puis, juste regarder n'a jamais tué personne, d'abord (a).

« T'as toujours mal au dos, sinon? Victoire ne t'a pas donné ce qu'il fallait pour atténuer la douleur? »
Curieux, curieux, curieux petit bonhomme. Plus les jours passaient plus sa curiosité ressortait, alors qu'avant il était blasé et n'avait rien à foutre des gens qui l'entouraient. Mais c'était sans doute du au fait qu'il soit complètement clean depuis plusieurs mois. Incroyable comme le monde semblait différent une fois l'addiction stoppée; beaucoup plus clair, plus intéréssant... Mais aussi beaucoup plus triste, froid et déprimant. Heureusement qu'il y avait quelques petites touches de couleur à Poudlard, sans quoi, il aurait vite replongé. Mais là, c'était une rouquine embarassé qui colorait sa soirée, et de façon très plaisante pour l'instant.

[Points :]

Ce n'était pas le genre de Nika de paraître attentionné, gentil, avec des gens qui n'appartenaient pas à son clan, à sa famille, mais là, c'était la moindre des choses; Rose était inconsciente, vulnérable, n'était, au final, qu'une jeune fille, et il n'allait pas laisser des abrutis s'amuser avec son corps sans conséquences. On disait souvent dans le dos des Covenant qu'ils n'étaient qu'une bande de tarés consanguins, de pirates qui violaient les femmes, mais ils étaient bien loin du compte. Jamais un Covenant n'aurait osé violenter une femme ou un homme de cette façon; ils étaient pirates, certes, mais aussi, libres, et ce, de toutes les façons. Chiants, prompts à la colère, acharnés, parfois même un peu trop lourds, mais pas du genre à se taper des filles sans leur consentement. Et cela allait jusqu'à les laisser aux mains d'abrutis finis qui trouvaient ça drôle de la dénuder sans qu'elle soit d'accord.
Le regard glacial de Nika eut raison des deux adversaires, même s'il nota leur visage, pour partager avec ses soeurs cette info juteuse. Nul doute qu'elles, en tant que femmes, trouveraient un moyen de leur faire payer leurs mains baladeuses avec plus d'efficacité que lui. Ou de ruse, du moins.
Se penchant sur la jeune femme, se fichant de ce que les autres devaient penser de lui, encore, il essaya de la réveiller, ne serait-ce que pour qu'elle monte se coucher dans son dortoir, dans un endroit où elle serait à l'abri; il ne pouvait pas vraiment l'amener la bas lui même, avec les protections contre les garçons, toussa, aussi fallait-il qu'elle quitte un moment les bras de Morphée pour mieux y retourner ensuite.

Dans un premier temps, pas de réponse, puis elle tourna instinctivement le visage vers lui, posant ses lèvres contre les siennes, sans doute complètement à la masse, et lui ne bougea pas, pétrifié. Le contact ne dura pas assez longtemps pour qu'il en profite, mais suffisamment pour provoquer de petits chocs électriques le long de sa colonne vertébrale, alors qu'il finissait enfin, après des mois de demandes, à embrasser Rose Weasley. Certes, pas tout à fait de son plein gré, mais hé, ca compte tout pareil, elle avait initié le baiser, pas lui. C'était Nicholas l'innocent dans l'histoire... Enfin, autant qu'il pouvait l'être.
Il fut tout de même un poil blessé de la voir soudainement reprendre ses esprits et reculer vivement. Il embrassait si mal que ça ou elle était vraiment dégouté de l'avoir embrasser? Ce n'était pas comme si ca avait été prémédité, non plus, alors elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle, hein. Enfin, ne pas revenir à son tempérament d'ours des cavernes.
La rousse se mit à jurer, et il leva un sourcil, un peu amusé mais également un peu inquiet. Avait-elle encore mal, si longtemps après? Normalement, les brulures, même les plus graves, étaient rapidement soignés par Victoire. À moins que la pauvre infirmière n'ait été trop occupée ces temps-çi, mais tout de même, laisser souffrir une de ses cousines, chapeau la famille..

Il laissa la demoiselle s'excuser, bien capable par lui même de deviner qu'en effet, elle avait du le prenre pour Ares. N'empêche, lui, il le retenait. Il se tapait la fille sur laquelle Nika avait des vues depuis pas mal de temps, sans s'excuser, nan, que dalle. M'enfin, pour l'instant, Ares n'était pas là, et c'était lui qui avait pu embrasser sa copine. Bien fait. Si cela pouvait lui revenir aux oreilles – même s'il ne voulait pas non plus que ce soit la faute de Rose – pour bien lui faire les pieds, voilà qui arrangerait grandement son humeur des derniers jours. Après tout, ce n'est guère drôle de voir les autres s'embrasser et être tout lovey dovey l'un avec l'autre pendant que vous jouez au célibataire endurci parce que toutes les filles sur qui vous aviez flashés sont en couple. Sérieux, les bisous, loin de lui, pour le moment.

Le jeune homme leva encore plus un sourcil à sa pathétique atteinte de changer de sujet, et lui sourit, s'installant sans plus de cérémonie sur l'accoudoir du fauteuil. Après tout, ils avaient été plus intimes que ça, et il aimait bien la géner un peu, rien que pour la voir rougir plus.
« Ca va. J'ai juste du jarter deux petits abrutis qui cherchaient à te déssapper en plein milieu de la salle commune, mais si j'ai droit à un tel traitement ensuite, j'vais leur dire de recommencer je crois. »
Goujat. Mais bon, c'est Nicholas, il a toujours été comme ça. Et puis, la prochaine fois, il pourrait s'arranger pour intervenir un peu plus tard, parce que même si c'était pas bien, la perspective de voir un peu plus de peau nue de Rose était alléchante. Et puis, juste regarder n'a jamais tué personne, d'abord (a).

« T'as toujours mal au dos, sinon? Victoire ne t'a pas donné ce qu'il fallait pour atténuer la douleur? »
Curieux, curieux, curieux petit bonhomme. Plus les jours passaient plus sa curiosité ressortait, alors qu'avant il était blasé et n'avait rien à foutre des gens qui l'entouraient. Mais c'était sans doute du au fait qu'il soit complètement clean depuis plusieurs mois. Incroyable comme le monde semblait différent une fois l'addiction stoppée; beaucoup plus clair, plus intéréssant... Mais aussi beaucoup plus triste, froid et déprimant. Heureusement qu'il y avait quelques petites touches de couleur à Poudlard, sans quoi, il aurait vite replongé. Mais là, c'était une rouquine embarassé qui colorait sa soirée, et de façon très plaisante pour l'instant.

[Avatar :]

Ce n'était pas le genre de Nika de paraître attentionné, gentil, avec des gens qui n'appartenaient pas à son clan, à sa famille, mais là, c'était la moindre des choses; Rose était inconsciente, vulnérable, n'était, au final, qu'une jeune fille, et il n'allait pas laisser des abrutis s'amuser avec son corps sans conséquences. On disait souvent dans le dos des Covenant qu'ils n'étaient qu'une bande de tarés consanguins, de pirates qui violaient les femmes, mais ils étaient bien loin du compte. Jamais un Covenant n'aurait osé violenter une femme ou un homme de cette façon; ils étaient pirates, certes, mais aussi, libres, et ce, de toutes les façons. Chiants, prompts à la colère, acharnés, parfois même un peu trop lourds, mais pas du genre à se taper des filles sans leur consentement. Et cela allait jusqu'à les laisser aux mains d'abrutis finis qui trouvaient ça drôle de la dénuder sans qu'elle soit d'accord.
Le regard glacial de Nika eut raison des deux adversaires, même s'il nota leur visage, pour partager avec ses soeurs cette info juteuse. Nul doute qu'elles, en tant que femmes, trouveraient un moyen de leur faire payer leurs mains baladeuses avec plus d'efficacité que lui. Ou de ruse, du moins.
Se penchant sur la jeune femme, se fichant de ce que les autres devaient penser de lui, encore, il essaya de la réveiller, ne serait-ce que pour qu'elle monte se coucher dans son dortoir, dans un endroit où elle serait à l'abri; il ne pouvait pas vraiment l'amener la bas lui même, avec les protections contre les garçons, toussa, aussi fallait-il qu'elle quitte un moment les bras de Morphée pour mieux y retourner ensuite.

Dans un premier temps, pas de réponse, puis elle tourna instinctivement le visage vers lui, posant ses lèvres contre les siennes, sans doute complètement à la masse, et lui ne bougea pas, pétrifié. Le contact ne dura pas assez longtemps pour qu'il en profite, mais suffisamment pour provoquer de petits chocs électriques le long de sa colonne vertébrale, alors qu'il finissait enfin, après des mois de demandes, à embrasser Rose Weasley. Certes, pas tout à fait de son plein gré, mais hé, ca compte tout pareil, elle avait initié le baiser, pas lui. C'était Nicholas l'innocent dans l'histoire... Enfin, autant qu'il pouvait l'être.
Il fut tout de même un poil blessé de la voir soudainement reprendre ses esprits et reculer vivement. Il embrassait si mal que ça ou elle était vraiment dégouté de l'avoir embrasser? Ce n'était pas comme si ca avait été prémédité, non plus, alors elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle, hein. Enfin, ne pas revenir à son tempérament d'ours des cavernes.
La rousse se mit à jurer, et il leva un sourcil, un peu amusé mais également un peu inquiet. Avait-elle encore mal, si longtemps après? Normalement, les brulures, même les plus graves, étaient rapidement soignés par Victoire. À moins que la pauvre infirmière n'ait été trop occupée ces temps-çi, mais tout de même, laisser souffrir une de ses cousines, chapeau la famille..

Il laissa la demoiselle s'excuser, bien capable par lui même de deviner qu'en effet, elle avait du le prenre pour Ares. N'empêche, lui, il le retenait. Il se tapait la fille sur laquelle Nika avait des vues depuis pas mal de temps, sans s'excuser, nan, que dalle. M'enfin, pour l'instant, Ares n'était pas là, et c'était lui qui avait pu embrasser sa copine. Bien fait. Si cela pouvait lui revenir aux oreilles – même s'il ne voulait pas non plus que ce soit la faute de Rose – pour bien lui faire les pieds, voilà qui arrangerait grandement son humeur des derniers jours. Après tout, ce n'est guère drôle de voir les autres s'embrasser et être tout lovey dovey l'un avec l'autre pendant que vous jouez au célibataire endurci parce que toutes les filles sur qui vous aviez flashés sont en couple. Sérieux, les bisous, loin de lui, pour le moment.

Le jeune homme leva encore plus un sourcil à sa pathétique atteinte de changer de sujet, et lui sourit, s'installant sans plus de cérémonie sur l'accoudoir du fauteuil. Après tout, ils avaient été plus intimes que ça, et il aimait bien la géner un peu, rien que pour la voir rougir plus.
« Ca va. J'ai juste du jarter deux petits abrutis qui cherchaient à te déssapper en plein milieu de la salle commune, mais si j'ai droit à un tel traitement ensuite, j'vais leur dire de recommencer je crois. »
Goujat. Mais bon, c'est Nicholas, il a toujours été comme ça. Et puis, la prochaine fois, il pourrait s'arranger pour intervenir un peu plus tard, parce que même si c'était pas bien, la perspective de voir un peu plus de peau nue de Rose était alléchante. Et puis, juste regarder n'a jamais tué personne, d'abord (a).

« T'as toujours mal au dos, sinon? Victoire ne t'a pas donné ce qu'il fallait pour atténuer la douleur? »
Curieux, curieux, curieux petit bonhomme. Plus les jours passaient plus sa curiosité ressortait, alors qu'avant il était blasé et n'avait rien à foutre des gens qui l'entouraient. Mais c'était sans doute du au fait qu'il soit complètement clean depuis plusieurs mois. Incroyable comme le monde semblait différent une fois l'addiction stoppée; beaucoup plus clair, plus intéréssant... Mais aussi beaucoup plus triste, froid et déprimant. Heureusement qu'il y avait quelques petites touches de couleur à Poudlard, sans quoi, il aurait vite replongé. Mais là, c'était une rouquine embarassé qui colorait sa soirée, et de façon très plaisante pour l'instant.

[Crédits :]

Ce n'était pas le genre de Nika de paraître attentionné, gentil, avec des gens qui n'appartenaient pas à son clan, à sa famille, mais là, c'était la moindre des choses; Rose était inconsciente, vulnérable, n'était, au final, qu'une jeune fille, et il n'allait pas laisser des abrutis s'amuser avec son corps sans conséquences. On disait souvent dans le dos des Covenant qu'ils n'étaient qu'une bande de tarés consanguins, de pirates qui violaient les femmes, mais ils étaient bien loin du compte. Jamais un Covenant n'aurait osé violenter une femme ou un homme de cette façon; ils étaient pirates, certes, mais aussi, libres, et ce, de toutes les façons. Chiants, prompts à la colère, acharnés, parfois même un peu trop lourds, mais pas du genre à se taper des filles sans leur consentement. Et cela allait jusqu'à les laisser aux mains d'abrutis finis qui trouvaient ça drôle de la dénuder sans qu'elle soit d'accord.
Le regard glacial de Nika eut raison des deux adversaires, même s'il nota leur visage, pour partager avec ses soeurs cette info juteuse. Nul doute qu'elles, en tant que femmes, trouveraient un moyen de leur faire payer leurs mains baladeuses avec plus d'efficacité que lui. Ou de ruse, du moins.
Se penchant sur la jeune femme, se fichant de ce que les autres devaient penser de lui, encore, il essaya de la réveiller, ne serait-ce que pour qu'elle monte se coucher dans son dortoir, dans un endroit où elle serait à l'abri; il ne pouvait pas vraiment l'amener la bas lui même, avec les protections contre les garçons, toussa, aussi fallait-il qu'elle quitte un moment les bras de Morphée pour mieux y retourner ensuite.

Dans un premier temps, pas de réponse, puis elle tourna instinctivement le visage vers lui, posant ses lèvres contre les siennes, sans doute complètement à la masse, et lui ne bougea pas, pétrifié. Le contact ne dura pas assez longtemps pour qu'il en profite, mais suffisamment pour provoquer de petits chocs électriques le long de sa colonne vertébrale, alors qu'il finissait enfin, après des mois de demandes, à embrasser Rose Weasley. Certes, pas tout à fait de son plein gré, mais hé, ca compte tout pareil, elle avait initié le baiser, pas lui. C'était Nicholas l'innocent dans l'histoire... Enfin, autant qu'il pouvait l'être.
Il fut tout de même un poil blessé de la voir soudainement reprendre ses esprits et reculer vivement. Il embrassait si mal que ça ou elle était vraiment dégouté de l'avoir embrasser? Ce n'était pas comme si ca avait été prémédité, non plus, alors elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle, hein. Enfin, ne pas revenir à son tempérament d'ours des cavernes.
La rousse se mit à jurer, et il leva un sourcil, un peu amusé mais également un peu inquiet. Avait-elle encore mal, si longtemps après? Normalement, les brulures, même les plus graves, étaient rapidement soignés par Victoire. À moins que la pauvre infirmière n'ait été trop occupée ces temps-çi, mais tout de même, laisser souffrir une de ses cousines, chapeau la famille..

Il laissa la demoiselle s'excuser, bien capable par lui même de deviner qu'en effet, elle avait du le prenre pour Ares. N'empêche, lui, il le retenait. Il se tapait la fille sur laquelle Nika avait des vues depuis pas mal de temps, sans s'excuser, nan, que dalle. M'enfin, pour l'instant, Ares n'était pas là, et c'était lui qui avait pu embrasser sa copine. Bien fait. Si cela pouvait lui revenir aux oreilles – même s'il ne voulait pas non plus que ce soit la faute de Rose – pour bien lui faire les pieds, voilà qui arrangerait grandement son humeur des derniers jours. Après tout, ce n'est guère drôle de voir les autres s'embrasser et être tout lovey dovey l'un avec l'autre pendant que vous jouez au célibataire endurci parce que toutes les filles sur qui vous aviez flashés sont en couple. Sérieux, les bisous, loin de lui, pour le moment.

Le jeune homme leva encore plus un sourcil à sa pathétique atteinte de changer de sujet, et lui sourit, s'installant sans plus de cérémonie sur l'accoudoir du fauteuil. Après tout, ils avaient été plus intimes que ça, et il aimait bien la géner un peu, rien que pour la voir rougir plus.
« Ca va. J'ai juste du jarter deux petits abrutis qui cherchaient à te déssapper en plein milieu de la salle commune, mais si j'ai droit à un tel traitement ensuite, j'vais leur dire de recommencer je crois. »
Goujat. Mais bon, c'est Nicholas, il a toujours été comme ça. Et puis, la prochaine fois, il pourrait s'arranger pour intervenir un peu plus tard, parce que même si c'était pas bien, la perspective de voir un peu plus de peau nue de Rose était alléchante. Et puis, juste regarder n'a jamais tué personne, d'abord (a).

« T'as toujours mal au dos, sinon? Victoire ne t'a pas donné ce qu'il fallait pour atténuer la douleur? »
Curieux, curieux, curieux petit bonhomme. Plus les jours passaient plus sa curiosité ressortait, alors qu'avant il était blasé et n'avait rien à foutre des gens qui l'entouraient. Mais c'était sans doute du au fait qu'il soit complètement clean depuis plusieurs mois. Incroyable comme le monde semblait différent une fois l'addiction stoppée; beaucoup plus clair, plus intéréssant... Mais aussi beaucoup plus triste, froid et déprimant. Heureusement qu'il y avait quelques petites touches de couleur à Poudlard, sans quoi, il aurait vite replongé. Mais là, c'était une rouquine embarassé qui colorait sa soirée, et de façon très plaisante pour l'instant.

[Age RPG :]

Ce n'était pas le genre de Nika de paraître attentionné, gentil, avec des gens qui n'appartenaient pas à son clan, à sa famille, mais là, c'était la moindre des choses; Rose était inconsciente, vulnérable, n'était, au final, qu'une jeune fille, et il n'allait pas laisser des abrutis s'amuser avec son corps sans conséquences. On disait souvent dans le dos des Covenant qu'ils n'étaient qu'une bande de tarés consanguins, de pirates qui violaient les femmes, mais ils étaient bien loin du compte. Jamais un Covenant n'aurait osé violenter une femme ou un homme de cette façon; ils étaient pirates, certes, mais aussi, libres, et ce, de toutes les façons. Chiants, prompts à la colère, acharnés, parfois même un peu trop lourds, mais pas du genre à se taper des filles sans leur consentement. Et cela allait jusqu'à les laisser aux mains d'abrutis finis qui trouvaient ça drôle de la dénuder sans qu'elle soit d'accord.
Le regard glacial de Nika eut raison des deux adversaires, même s'il nota leur visage, pour partager avec ses soeurs cette info juteuse. Nul doute qu'elles, en tant que femmes, trouveraient un moyen de leur faire payer leurs mains baladeuses avec plus d'efficacité que lui. Ou de ruse, du moins.
Se penchant sur la jeune femme, se fichant de ce que les autres devaient penser de lui, encore, il essaya de la réveiller, ne serait-ce que pour qu'elle monte se coucher dans son dortoir, dans un endroit où elle serait à l'abri; il ne pouvait pas vraiment l'amener la bas lui même, avec les protections contre les garçons, toussa, aussi fallait-il qu'elle quitte un moment les bras de Morphée pour mieux y retourner ensuite.

Dans un premier temps, pas de réponse, puis elle tourna instinctivement le visage vers lui, posant ses lèvres contre les siennes, sans doute complètement à la masse, et lui ne bougea pas, pétrifié. Le contact ne dura pas assez longtemps pour qu'il en profite, mais suffisamment pour provoquer de petits chocs électriques le long de sa colonne vertébrale, alors qu'il finissait enfin, après des mois de demandes, à embrasser Rose Weasley. Certes, pas tout à fait de son plein gré, mais hé, ca compte tout pareil, elle avait initié le baiser, pas lui. C'était Nicholas l'innocent dans l'histoire... Enfin, autant qu'il pouvait l'être.
Il fut tout de même un poil blessé de la voir soudainement reprendre ses esprits et reculer vivement. Il embrassait si mal que ça ou elle était vraiment dégouté de l'avoir embrasser? Ce n'était pas comme si ca avait été prémédité, non plus, alors elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle, hein. Enfin, ne pas revenir à son tempérament d'ours des cavernes.
La rousse se mit à jurer, et il leva un sourcil, un peu amusé mais également un peu inquiet. Avait-elle encore mal, si longtemps après? Normalement, les brulures, même les plus graves, étaient rapidement soignés par Victoire. À moins que la pauvre infirmière n'ait été trop occupée ces temps-çi, mais tout de même, laisser souffrir une de ses cousines, chapeau la famille..

Il laissa la demoiselle s'excuser, bien capable par lui même de deviner qu'en effet, elle avait du le prenre pour Ares. N'empêche, lui, il le retenait. Il se tapait la fille sur laquelle Nika avait des vues depuis pas mal de temps, sans s'excuser, nan, que dalle. M'enfin, pour l'instant, Ares n'était pas là, et c'était lui qui avait pu embrasser sa copine. Bien fait. Si cela pouvait lui revenir aux oreilles – même s'il ne voulait pas non plus que ce soit la faute de Rose – pour bien lui faire les pieds, voilà qui arrangerait grandement son humeur des derniers jours. Après tout, ce n'est guère drôle de voir les autres s'embrasser et être tout lovey dovey l'un avec l'autre pendant que vous jouez au célibataire endurci parce que toutes les filles sur qui vous aviez flashés sont en couple. Sérieux, les bisous, loin de lui, pour le moment.

Le jeune homme leva encore plus un sourcil à sa pathétique atteinte de changer de sujet, et lui sourit, s'installant sans plus de cérémonie sur l'accoudoir du fauteuil. Après tout, ils avaient été plus intimes que ça, et il aimait bien la géner un peu, rien que pour la voir rougir plus.
« Ca va. J'ai juste du jarter deux petits abrutis qui cherchaient à te déssapper en plein milieu de la salle commune, mais si j'ai droit à un tel traitement ensuite, j'vais leur dire de recommencer je crois. »
Goujat. Mais bon, c'est Nicholas, il a toujours été comme ça. Et puis, la prochaine fois, il pourrait s'arranger pour intervenir un peu plus tard, parce que même si c'était pas bien, la perspective de voir un peu plus de peau nue de Rose était alléchante. Et puis, juste regarder n'a jamais tué personne, d'abord (a).

« T'as toujours mal au dos, sinon? Victoire ne t'a pas donné ce qu'il fallait pour atténuer la douleur? »
Curieux, curieux, curieux petit bonhomme. Plus les jours passaient plus sa curiosité ressortait, alors qu'avant il était blasé et n'avait rien à foutre des gens qui l'entouraient. Mais c'était sans doute du au fait qu'il soit complètement clean depuis plusieurs mois. Incroyable comme le monde semblait différent une fois l'addiction stoppée; beaucoup plus clair, plus intéréssant... Mais aussi beaucoup plus triste, froid et déprimant. Heureusement qu'il y avait quelques petites touches de couleur à Poudlard, sans quoi, il aurait vite replongé. Mais là, c'était une rouquine embarassé qui colorait sa soirée, et de façon très plaisante pour l'instant.

[Sang :]

Ce n'était pas le genre de Nika de paraître attentionné, gentil, avec des gens qui n'appartenaient pas à son clan, à sa famille, mais là, c'était la moindre des choses; Rose était inconsciente, vulnérable, n'était, au final, qu'une jeune fille, et il n'allait pas laisser des abrutis s'amuser avec son corps sans conséquences. On disait souvent dans le dos des Covenant qu'ils n'étaient qu'une bande de tarés consanguins, de pirates qui violaient les femmes, mais ils étaient bien loin du compte. Jamais un Covenant n'aurait osé violenter une femme ou un homme de cette façon; ils étaient pirates, certes, mais aussi, libres, et ce, de toutes les façons. Chiants, prompts à la colère, acharnés, parfois même un peu trop lourds, mais pas du genre à se taper des filles sans leur consentement. Et cela allait jusqu'à les laisser aux mains d'abrutis finis qui trouvaient ça drôle de la dénuder sans qu'elle soit d'accord.
Le regard glacial de Nika eut raison des deux adversaires, même s'il nota leur visage, pour partager avec ses soeurs cette info juteuse. Nul doute qu'elles, en tant que femmes, trouveraient un moyen de leur faire payer leurs mains baladeuses avec plus d'efficacité que lui. Ou de ruse, du moins.
Se penchant sur la jeune femme, se fichant de ce que les autres devaient penser de lui, encore, il essaya de la réveiller, ne serait-ce que pour qu'elle monte se coucher dans son dortoir, dans un endroit où elle serait à l'abri; il ne pouvait pas vraiment l'amener la bas lui même, avec les protections contre les garçons, toussa, aussi fallait-il qu'elle quitte un moment les bras de Morphée pour mieux y retourner ensuite.

Dans un premier temps, pas de réponse, puis elle tourna instinctivement le visage vers lui, posant ses lèvres contre les siennes, sans doute complètement à la masse, et lui ne bougea pas, pétrifié. Le contact ne dura pas assez longtemps pour qu'il en profite, mais suffisamment pour provoquer de petits chocs électriques le long de sa colonne vertébrale, alors qu'il finissait enfin, après des mois de demandes, à embrasser Rose Weasley. Certes, pas tout à fait de son plein gré, mais hé, ca compte tout pareil, elle avait initié le baiser, pas lui. C'était Nicholas l'innocent dans l'histoire... Enfin, autant qu'il pouvait l'être.
Il fut tout de même un poil blessé de la voir soudainement reprendre ses esprits et reculer vivement. Il embrassait si mal que ça ou elle était vraiment dégouté de l'avoir embrasser? Ce n'était pas comme si ca avait été prémédité, non plus, alors elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle, hein. Enfin, ne pas revenir à son tempérament d'ours des cavernes.
La rousse se mit à jurer, et il leva un sourcil, un peu amusé mais également un peu inquiet. Avait-elle encore mal, si longtemps après? Normalement, les brulures, même les plus graves, étaient rapidement soignés par Victoire. À moins que la pauvre infirmière n'ait été trop occupée ces temps-çi, mais tout de même, laisser souffrir une de ses cousines, chapeau la famille..

Il laissa la demoiselle s'excuser, bien capable par lui même de deviner qu'en effet, elle avait du le prenre pour Ares. N'empêche, lui, il le retenait. Il se tapait la fille sur laquelle Nika avait des vues depuis pas mal de temps, sans s'excuser, nan, que dalle. M'enfin, pour l'instant, Ares n'était pas là, et c'était lui qui avait pu embrasser sa copine. Bien fait. Si cela pouvait lui revenir aux oreilles – même s'il ne voulait pas non plus que ce soit la faute de Rose – pour bien lui faire les pieds, voilà qui arrangerait grandement son humeur des derniers jours. Après tout, ce n'est guère drôle de voir les autres s'embrasser et être tout lovey dovey l'un avec l'autre pendant que vous jouez au célibataire endurci parce que toutes les filles sur qui vous aviez flashés sont en couple. Sérieux, les bisous, loin de lui, pour le moment.

Le jeune homme leva encore plus un sourcil à sa pathétique atteinte de changer de sujet, et lui sourit, s'installant sans plus de cérémonie sur l'accoudoir du fauteuil. Après tout, ils avaient été plus intimes que ça, et il aimait bien la géner un peu, rien que pour la voir rougir plus.
« Ca va. J'ai juste du jarter deux petits abrutis qui cherchaient à te déssapper en plein milieu de la salle commune, mais si j'ai droit à un tel traitement ensuite, j'vais leur dire de recommencer je crois. »
Goujat. Mais bon, c'est Nicholas, il a toujours été comme ça. Et puis, la prochaine fois, il pourrait s'arranger pour intervenir un peu plus tard, parce que même si c'était pas bien, la perspective de voir un peu plus de peau nue de Rose était alléchante. Et puis, juste regarder n'a jamais tué personne, d'abord (a).

« T'as toujours mal au dos, sinon? Victoire ne t'a pas donné ce qu'il fallait pour atténuer la douleur? »
Curieux, curieux, curieux petit bonhomme. Plus les jours passaient plus sa curiosité ressortait, alors qu'avant il était blasé et n'avait rien à foutre des gens qui l'entouraient. Mais c'était sans doute du au fait qu'il soit complètement clean depuis plusieurs mois. Incroyable comme le monde semblait différent une fois l'addiction stoppée; beaucoup plus clair, plus intéréssant... Mais aussi beaucoup plus triste, froid et déprimant. Heureusement qu'il y avait quelques petites touches de couleur à Poudlard, sans quoi, il aurait vite replongé. Mais là, c'était une rouquine embarassé qui colorait sa soirée, et de façon très plaisante pour l'instant.

[Camp :]

Ce n'était pas le genre de Nika de paraître attentionné, gentil, avec des gens qui n'appartenaient pas à son clan, à sa famille, mais là, c'était la moindre des choses; Rose était inconsciente, vulnérable, n'était, au final, qu'une jeune fille, et il n'allait pas laisser des abrutis s'amuser avec son corps sans conséquences. On disait souvent dans le dos des Covenant qu'ils n'étaient qu'une bande de tarés consanguins, de pirates qui violaient les femmes, mais ils étaient bien loin du compte. Jamais un Covenant n'aurait osé violenter une femme ou un homme de cette façon; ils étaient pirates, certes, mais aussi, libres, et ce, de toutes les façons. Chiants, prompts à la colère, acharnés, parfois même un peu trop lourds, mais pas du genre à se taper des filles sans leur consentement. Et cela allait jusqu'à les laisser aux mains d'abrutis finis qui trouvaient ça drôle de la dénuder sans qu'elle soit d'accord.
Le regard glacial de Nika eut raison des deux adversaires, même s'il nota leur visage, pour partager avec ses soeurs cette info juteuse. Nul doute qu'elles, en tant que femmes, trouveraient un moyen de leur faire payer leurs mains baladeuses avec plus d'efficacité que lui. Ou de ruse, du moins.
Se penchant sur la jeune femme, se fichant de ce que les autres devaient penser de lui, encore, il essaya de la réveiller, ne serait-ce que pour qu'elle monte se coucher dans son dortoir, dans un endroit où elle serait à l'abri; il ne pouvait pas vraiment l'amener la bas lui même, avec les protections contre les garçons, toussa, aussi fallait-il qu'elle quitte un moment les bras de Morphée pour mieux y retourner ensuite.

Dans un premier temps, pas de réponse, puis elle tourna instinctivement le visage vers lui, posant ses lèvres contre les siennes, sans doute complètement à la masse, et lui ne bougea pas, pétrifié. Le contact ne dura pas assez longtemps pour qu'il en profite, mais suffisamment pour provoquer de petits chocs électriques le long de sa colonne vertébrale, alors qu'il finissait enfin, après des mois de demandes, à embrasser Rose Weasley. Certes, pas tout à fait de son plein gré, mais hé, ca compte tout pareil, elle avait initié le baiser, pas lui. C'était Nicholas l'innocent dans l'histoire... Enfin, autant qu'il pouvait l'être.
Il fut tout de même un poil blessé de la voir soudainement reprendre ses esprits et reculer vivement. Il embrassait si mal que ça ou elle était vraiment dégouté de l'avoir embrasser? Ce n'était pas comme si ca avait été prémédité, non plus, alors elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle, hein. Enfin, ne pas revenir à son tempérament d'ours des cavernes.
La rousse se mit à jurer, et il leva un sourcil, un peu amusé mais également un peu inquiet. Avait-elle encore mal, si longtemps après? Normalement, les brulures, même les plus graves, étaient rapidement soignés par Victoire. À moins que la pauvre infirmière n'ait été trop occupée ces temps-çi, mais tout de même, laisser souffrir une de ses cousines, chapeau la famille..

Il laissa la demoiselle s'excuser, bien capable par lui même de deviner qu'en effet, elle avait du le prenre pour Ares. N'empêche, lui, il le retenait. Il se tapait la fille sur laquelle Nika avait des vues depuis pas mal de temps, sans s'excuser, nan, que dalle. M'enfin, pour l'instant, Ares n'était pas là, et c'était lui qui avait pu embrasser sa copine. Bien fait. Si cela pouvait lui revenir aux oreilles – même s'il ne voulait pas non plus que ce soit la faute de Rose – pour bien lui faire les pieds, voilà qui arrangerait grandement son humeur des derniers jours. Après tout, ce n'est guère drôle de voir les autres s'embrasser et être tout lovey dovey l'un avec l'autre pendant que vous jouez au célibataire endurci parce que toutes les filles sur qui vous aviez flashés sont en couple. Sérieux, les bisous, loin de lui, pour le moment.

Le jeune homme leva encore plus un sourcil à sa pathétique atteinte de changer de sujet, et lui sourit, s'installant sans plus de cérémonie sur l'accoudoir du fauteuil. Après tout, ils avaient été plus intimes que ça, et il aimait bien la géner un peu, rien que pour la voir rougir plus.
« Ca va. J'ai juste du jarter deux petits abrutis qui cherchaient à te déssapper en plein milieu de la salle commune, mais si j'ai droit à un tel traitement ensuite, j'vais leur dire de recommencer je crois. »
Goujat. Mais bon, c'est Nicholas, il a toujours été comme ça. Et puis, la prochaine fois, il pourrait s'arranger pour intervenir un peu plus tard, parce que même si c'était pas bien, la perspective de voir un peu plus de peau nue de Rose était alléchante. Et puis, juste regarder n'a jamais tué personne, d'abord (a).

« T'as toujours mal au dos, sinon? Victoire ne t'a pas donné ce qu'il fallait pour atténuer la douleur? »
Curieux, curieux, curieux petit bonhomme. Plus les jours passaient plus sa curiosité ressortait, alors qu'avant il était blasé et n'avait rien à foutre des gens qui l'entouraient. Mais c'était sans doute du au fait qu'il soit complètement clean depuis plusieurs mois. Incroyable comme le monde semblait différent une fois l'addiction stoppée; beaucoup plus clair, plus intéréssant... Mais aussi beaucoup plus triste, froid et déprimant. Heureusement qu'il y avait quelques petites touches de couleur à Poudlard, sans quoi, il aurait vite replongé. Mais là, c'était une rouquine embarassé qui colorait sa soirée, et de façon très plaisante pour l'instant.

[Doubles-Comptes :]

Ce n'était pas le genre de Nika de paraître attentionné, gentil, avec des gens qui n'appartenaient pas à son clan, à sa famille, mais là, c'était la moindre des choses; Rose était inconsciente, vulnérable, n'était, au final, qu'une jeune fille, et il n'allait pas laisser des abrutis s'amuser avec son corps sans conséquences. On disait souvent dans le dos des Covenant qu'ils n'étaient qu'une bande de tarés consanguins, de pirates qui violaient les femmes, mais ils étaient bien loin du compte. Jamais un Covenant n'aurait osé violenter une femme ou un homme de cette façon; ils étaient pirates, certes, mais aussi, libres, et ce, de toutes les façons. Chiants, prompts à la colère, acharnés, parfois même un peu trop lourds, mais pas du genre à se taper des filles sans leur consentement. Et cela allait jusqu'à les laisser aux mains d'abrutis finis qui trouvaient ça drôle de la dénuder sans qu'elle soit d'accord.
Le regard glacial de Nika eut raison des deux adversaires, même s'il nota leur visage, pour partager avec ses soeurs cette info juteuse. Nul doute qu'elles, en tant que femmes, trouveraient un moyen de leur faire payer leurs mains baladeuses avec plus d'efficacité que lui. Ou de ruse, du moins.
Se penchant sur la jeune femme, se fichant de ce que les autres devaient penser de lui, encore, il essaya de la réveiller, ne serait-ce que pour qu'elle monte se coucher dans son dortoir, dans un endroit où elle serait à l'abri; il ne pouvait pas vraiment l'amener la bas lui même, avec les protections contre les garçons, toussa, aussi fallait-il qu'elle quitte un moment les bras de Morphée pour mieux y retourner ensuite.

Dans un premier temps, pas de réponse, puis elle tourna instinctivement le visage vers lui, posant ses lèvres contre les siennes, sans doute complètement à la masse, et lui ne bougea pas, pétrifié. Le contact ne dura pas assez longtemps pour qu'il en profite, mais suffisamment pour provoquer de petits chocs électriques le long de sa colonne vertébrale, alors qu'il finissait enfin, après des mois de demandes, à embrasser Rose Weasley. Certes, pas tout à fait de son plein gré, mais hé, ca compte tout pareil, elle avait initié le baiser, pas lui. C'était Nicholas l'innocent dans l'histoire... Enfin, autant qu'il pouvait l'être.
Il fut tout de même un poil blessé de la voir soudainement reprendre ses esprits et reculer vivement. Il embrassait si mal que ça ou elle était vraiment dégouté de l'avoir embrasser? Ce n'était pas comme si ca avait été prémédité, non plus, alors elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle, hein. Enfin, ne pas revenir à son tempérament d'ours des cavernes.
La rousse se mit à jurer, et il leva un sourcil, un peu amusé mais également un peu inquiet. Avait-elle encore mal, si longtemps après? Normalement, les brulures, même les plus graves, étaient rapidement soignés par Victoire. À moins que la pauvre infirmière n'ait été trop occupée ces temps-çi, mais tout de même, laisser souffrir une de ses cousines, chapeau la famille..

Il laissa la demoiselle s'excuser, bien capable par lui même de deviner qu'en effet, elle avait du le prenre pour Ares. N'empêche, lui, il le retenait. Il se tapait la fille sur laquelle Nika avait des vues depuis pas mal de temps, sans s'excuser, nan, que dalle. M'enfin, pour l'instant, Ares n'était pas là, et c'était lui qui avait pu embrasser sa copine. Bien fait. Si cela pouvait lui revenir aux oreilles – même s'il ne voulait pas non plus que ce soit la faute de Rose – pour bien lui faire les pieds, voilà qui arrangerait grandement son humeur des derniers jours. Après tout, ce n'est guère drôle de voir les autres s'embrasser et être tout lovey dovey l'un avec l'autre pendant que vous jouez au célibataire endurci parce que toutes les filles sur qui vous aviez flashés sont en couple. Sérieux, les bisous, loin de lui, pour le moment.

Le jeune homme leva encore plus un sourcil à sa pathétique atteinte de changer de sujet, et lui sourit, s'installant sans plus de cérémonie sur l'accoudoir du fauteuil. Après tout, ils avaient été plus intimes que ça, et il aimait bien la géner un peu, rien que pour la voir rougir plus.
« Ca va. J'ai juste du jarter deux petits abrutis qui cherchaient à te déssapper en plein milieu de la salle commune, mais si j'ai droit à un tel traitement ensuite, j'vais leur dire de recommencer je crois. »
Goujat. Mais bon, c'est Nicholas, il a toujours été comme ça. Et puis, la prochaine fois, il pourrait s'arranger pour intervenir un peu plus tard, parce que même si c'était pas bien, la perspective de voir un peu plus de peau nue de Rose était alléchante. Et puis, juste regarder n'a jamais tué personne, d'abord (a).

« T'as toujours mal au dos, sinon? Victoire ne t'a pas donné ce qu'il fallait pour atténuer la douleur? »
Curieux, curieux, curieux petit bonhomme. Plus les jours passaient plus sa curiosité ressortait, alors qu'avant il était blasé et n'avait rien à foutre des gens qui l'entouraient. Mais c'était sans doute du au fait qu'il soit complètement clean depuis plusieurs mois. Incroyable comme le monde semblait différent une fois l'addiction stoppée; beaucoup plus clair, plus intéréssant... Mais aussi beaucoup plus triste, froid et déprimant. Heureusement qu'il y avait quelques petites touches de couleur à Poudlard, sans quoi, il aurait vite replongé. Mais là, c'était une rouquine embarassé qui colorait sa soirée, et de façon très plaisante pour l'instant.

La tête de Rose une fois qu'il lui eu annoncé son sauvetage in extremis était à garder précieusement dans ses souvenirs. Les yeux flamboyants, quasiment luisants de colère, qui promettaient aux deux gosses des souffrances comme ils n'en avaient jamais connu, pour une pacifiste, cela le faisait moyen. Mais c'était drôle à voir. Il n'en rajouta donc pas trop, juste une petite couche à propos de les laisser faire à nouveau pour la sauver ensuite; mais hé, il était toujours honnête et même si Rose ne l'avait embrassé que dans son demi sommeil en le prenant pour Ares, elle s'était quand même senti suffisamment en sécurité près de lui pour le confondre avec l'autre! C'était donc tout bénef pour le pirate.
Les jurons embarrassés de la jeune femme brisèrent cependant le petit temps d'arrêt qu'ils avaient eu tous deux, à se regarder en attendant que l'autre ne commence les insultes. Nika était peut-être pas très doué, mais il savait reconnaître un regard foudroyant quand il en voyait un, et Rose avait certainement voulu lui expliquer ses quatre vérités, comme quoi elle sortait avec Ares, bla bla bla, chasse gardée, etc. Des trucs chiants dont il ne voulait donc pas entendre parler, surtout de sa part, après ce qu'il avait fait pour elle. Certes, pas grand chose, mais quand même, il n'avait pas envie de se faire une nouvelle fois envoyer balader par la demoiselle, même si c'était avec le temps quasiment devenu leur sport préféré. Mais pas ce soir.

Il accepta donc l'offre de changement de sujet comme il le put, et l'écouta lui raconter ses malheurs. Oui, il savait qu'elle avait eu le dos brulé, il s'en souvenait un peu. Une chevelure rousse fugitive, un visage blafard perdu dans la foule, avant que la ministre ne la prenne en charge, et que lui ne se précipite vers une Lucy complètement démolie et brulée elle aussi. Pour s'entendre dire qu'il devait l'amener à Dante. Dante quoi! Il détourna un peu les yeux, morose, se disant qu'au moins, il avait réussi à sauver la soeur de Mikhaïl, et qu'il n'était pas blessé tant que ça. Les brulures, ce n'était rien pour lui, et sur un bateau, à force de manier des cordes, de se prendre des coups de voile claquantes, il avait le corps blindé contre ce type de douleur, mais il se souvenait de l'époque où il n'était pas encore immunisé complètement. Et il savait à quel point on pouvait avoir mal.
Il aquiesca, muet, alors qu'elle lui disait qu'il devait connaître, n'ayant pas envie de reprendre la parole tout de suite, et leva un sourcil un peu sardonique alors qu'elle lui disait que ça allait mieux. C'est ça oui, et elle espérait qu'il allait accepter cette excuse là? Ca se voyait comme le nez au milieu de la figure que la rouge avait mal, mais en bonne Weasley, son égo était trop grand pour accepter de l'aide extérieure. Sans doute pour ça qu'elle ne l'avait même pas remercié de l'avoir débarrasser des deux gamins. Enfin, il était habitué....

Mais, innocemment, elle se mit à lui demander des noms, et il se secoua un peu pour arrêter de jouer au mec malheureux. Après tout, une revanche c'était encore plus drole, et Rose avait l'air de vouloir se venger, occupation oh combien plus jouissive et marrante que de parler de blessures. Avec un sourire narquois, il repassa donc dans le mode du Nika que Rose n'aimait guère, le dragueur invétéré qui aimait l'embêter.
« Je gagne quoi à t'en parler, hum? Non, je blague, c'était Vance et Parker, tu sais, les deux gosses de troisième année. Un brun et un châtain. Ma soeur est dans leur classe, ils sont super vicieux parait-il. »
Et ta gueule pour voir, Nicholas? Rose n'avait demandé que les noms, pas une explication détaillée sur sa petite soeur qu'elle connaissait déjà, de toute façon. Mais les mots sortaient tous seuls quand il ne voulait pas que la conversation ne s'arrête. Et puis, il avait une autre idée en tête.

« Dis... Tu voudrais pas monter dans le dortoir? Et c'est pas du tout pour ce que tu crois, je suis pas con à ce point. J'ai juste une crème maison pour les brulures, et je pense que ca te ferait du bien. Haussement d'épaules pour jouer le mec blasé. En tout cas, moi ça m'en faisait quand j'étais gosse. »

Il ne voulait pas vraiment montrer que sa réponse lui importait vraiment, et qu'il avait pesé le pour et le contre avant de lui en parler, parce que ça casserait pour de bon l'image qu'elle se faisait de lui. Et il n'avait pas envie de devoir essuyer une nouvelle rebuffade en étant sincère.

[Messages :]

La tête de Rose une fois qu'il lui eu annoncé son sauvetage in extremis était à garder précieusement dans ses souvenirs. Les yeux flamboyants, quasiment luisants de colère, qui promettaient aux deux gosses des souffrances comme ils n'en avaient jamais connu, pour une pacifiste, cela le faisait moyen. Mais c'était drôle à voir. Il n'en rajouta donc pas trop, juste une petite couche à propos de les laisser faire à nouveau pour la sauver ensuite; mais hé, il était toujours honnête et même si Rose ne l'avait embrassé que dans son demi sommeil en le prenant pour Ares, elle s'était quand même senti suffisamment en sécurité près de lui pour le confondre avec l'autre! C'était donc tout bénef pour le pirate.
Les jurons embarrassés de la jeune femme brisèrent cependant le petit temps d'arrêt qu'ils avaient eu tous deux, à se regarder en attendant que l'autre ne commence les insultes. Nika était peut-être pas très doué, mais il savait reconnaître un regard foudroyant quand il en voyait un, et Rose avait certainement voulu lui expliquer ses quatre vérités, comme quoi elle sortait avec Ares, bla bla bla, chasse gardée, etc. Des trucs chiants dont il ne voulait donc pas entendre parler, surtout de sa part, après ce qu'il avait fait pour elle. Certes, pas grand chose, mais quand même, il n'avait pas envie de se faire une nouvelle fois envoyer balader par la demoiselle, même si c'était avec le temps quasiment devenu leur sport préféré. Mais pas ce soir.

Il accepta donc l'offre de changement de sujet comme il le put, et l'écouta lui raconter ses malheurs. Oui, il savait qu'elle avait eu le dos brulé, il s'en souvenait un peu. Une chevelure rousse fugitive, un visage blafard perdu dans la foule, avant que la ministre ne la prenne en charge, et que lui ne se précipite vers une Lucy complètement démolie et brulée elle aussi. Pour s'entendre dire qu'il devait l'amener à Dante. Dante quoi! Il détourna un peu les yeux, morose, se disant qu'au moins, il avait réussi à sauver la soeur de Mikhaïl, et qu'il n'était pas blessé tant que ça. Les brulures, ce n'était rien pour lui, et sur un bateau, à force de manier des cordes, de se prendre des coups de voile claquantes, il avait le corps blindé contre ce type de douleur, mais il se souvenait de l'époque où il n'était pas encore immunisé complètement. Et il savait à quel point on pouvait avoir mal.
Il aquiesca, muet, alors qu'elle lui disait qu'il devait connaître, n'ayant pas envie de reprendre la parole tout de suite, et leva un sourcil un peu sardonique alors qu'elle lui disait que ça allait mieux. C'est ça oui, et elle espérait qu'il allait accepter cette excuse là? Ca se voyait comme le nez au milieu de la figure que la rouge avait mal, mais en bonne Weasley, son égo était trop grand pour accepter de l'aide extérieure. Sans doute pour ça qu'elle ne l'avait même pas remercié de l'avoir débarrasser des deux gamins. Enfin, il était habitué....

Mais, innocemment, elle se mit à lui demander des noms, et il se secoua un peu pour arrêter de jouer au mec malheureux. Après tout, une revanche c'était encore plus drole, et Rose avait l'air de vouloir se venger, occupation oh combien plus jouissive et marrante que de parler de blessures. Avec un sourire narquois, il repassa donc dans le mode du Nika que Rose n'aimait guère, le dragueur invétéré qui aimait l'embêter.
« Je gagne quoi à t'en parler, hum? Non, je blague, c'était Vance et Parker, tu sais, les deux gosses de troisième année. Un brun et un châtain. Ma soeur est dans leur classe, ils sont super vicieux parait-il. »
Et ta gueule pour voir, Nicholas? Rose n'avait demandé que les noms, pas une explication détaillée sur sa petite soeur qu'elle connaissait déjà, de toute façon. Mais les mots sortaient tous seuls quand il ne voulait pas que la conversation ne s'arrête. Et puis, il avait une autre idée en tête.

« Dis... Tu voudrais pas monter dans le dortoir? Et c'est pas du tout pour ce que tu crois, je suis pas con à ce point. J'ai juste une crème maison pour les brulures, et je pense que ca te ferait du bien. Haussement d'épaules pour jouer le mec blasé. En tout cas, moi ça m'en faisait quand j'étais gosse. »

Il ne voulait pas vraiment montrer que sa réponse lui importait vraiment, et qu'il avait pesé le pour et le contre avant de lui en parler, parce que ça casserait pour de bon l'image qu'elle se faisait de lui. Et il n'avait pas envie de devoir essuyer une nouvelle rebuffade en étant sincère.

[Points :]

La tête de Rose une fois qu'il lui eu annoncé son sauvetage in extremis était à garder précieusement dans ses souvenirs. Les yeux flamboyants, quasiment luisants de colère, qui promettaient aux deux gosses des souffrances comme ils n'en avaient jamais connu, pour une pacifiste, cela le faisait moyen. Mais c'était drôle à voir. Il n'en rajouta donc pas trop, juste une petite couche à propos de les laisser faire à nouveau pour la sauver ensuite; mais hé, il était toujours honnête et même si Rose ne l'avait embrassé que dans son demi sommeil en le prenant pour Ares, elle s'était quand même senti suffisamment en sécurité près de lui pour le confondre avec l'autre! C'était donc tout bénef pour le pirate.
Les jurons embarrassés de la jeune femme brisèrent cependant le petit temps d'arrêt qu'ils avaient eu tous deux, à se regarder en attendant que l'autre ne commence les insultes. Nika était peut-être pas très doué, mais il savait reconnaître un regard foudroyant quand il en voyait un, et Rose avait certainement voulu lui expliquer ses quatre vérités, comme quoi elle sortait avec Ares, bla bla bla, chasse gardée, etc. Des trucs chiants dont il ne voulait donc pas entendre parler, surtout de sa part, après ce qu'il avait fait pour elle. Certes, pas grand chose, mais quand même, il n'avait pas envie de se faire une nouvelle fois envoyer balader par la demoiselle, même si c'était avec le temps quasiment devenu leur sport préféré. Mais pas ce soir.

Il accepta donc l'offre de changement de sujet comme il le put, et l'écouta lui raconter ses malheurs. Oui, il savait qu'elle avait eu le dos brulé, il s'en souvenait un peu. Une chevelure rousse fugitive, un visage blafard perdu dans la foule, avant que la ministre ne la prenne en charge, et que lui ne se précipite vers une Lucy complètement démolie et brulée elle aussi. Pour s'entendre dire qu'il devait l'amener à Dante. Dante quoi! Il détourna un peu les yeux, morose, se disant qu'au moins, il avait réussi à sauver la soeur de Mikhaïl, et qu'il n'était pas blessé tant que ça. Les brulures, ce n'était rien pour lui, et sur un bateau, à force de manier des cordes, de se prendre des coups de voile claquantes, il avait le corps blindé contre ce type de douleur, mais il se souvenait de l'époque où il n'était pas encore immunisé complètement. Et il savait à quel point on pouvait avoir mal.
Il aquiesca, muet, alors qu'elle lui disait qu'il devait connaître, n'ayant pas envie de reprendre la parole tout de suite, et leva un sourcil un peu sardonique alors qu'elle lui disait que ça allait mieux. C'est ça oui, et elle espérait qu'il allait accepter cette excuse là? Ca se voyait comme le nez au milieu de la figure que la rouge avait mal, mais en bonne Weasley, son égo était trop grand pour accepter de l'aide extérieure. Sans doute pour ça qu'elle ne l'avait même pas remercié de l'avoir débarrasser des deux gamins. Enfin, il était habitué....

Mais, innocemment, elle se mit à lui demander des noms, et il se secoua un peu pour arrêter de jouer au mec malheureux. Après tout, une revanche c'était encore plus drole, et Rose avait l'air de vouloir se venger, occupation oh combien plus jouissive et marrante que de parler de blessures. Avec un sourire narquois, il repassa donc dans le mode du Nika que Rose n'aimait guère, le dragueur invétéré qui aimait l'embêter.
« Je gagne quoi à t'en parler, hum? Non, je blague, c'était Vance et Parker, tu sais, les deux gosses de troisième année. Un brun et un châtain. Ma soeur est dans leur classe, ils sont super vicieux parait-il. »
Et ta gueule pour voir, Nicholas? Rose n'avait demandé que les noms, pas une explication détaillée sur sa petite soeur qu'elle connaissait déjà, de toute façon. Mais les mots sortaient tous seuls quand il ne voulait pas que la conversation ne s'arrête. Et puis, il avait une autre idée en tête.

« Dis... Tu voudrais pas monter dans le dortoir? Et c'est pas du tout pour ce que tu crois, je suis pas con à ce point. J'ai juste une crème maison pour les brulures, et je pense que ca te ferait du bien. Haussement d'épaules pour jouer le mec blasé. En tout cas, moi ça m'en faisait quand j'étais gosse. »

Il ne voulait pas vraiment montrer que sa réponse lui importait vraiment, et qu'il avait pesé le pour et le contre avant de lui en parler, parce que ça casserait pour de bon l'image qu'elle se faisait de lui. Et il n'avait pas envie de devoir essuyer une nouvelle rebuffade en étant sincère.

[Avatar :]

La tête de Rose une fois qu'il lui eu annoncé son sauvetage in extremis était à garder précieusement dans ses souvenirs. Les yeux flamboyants, quasiment luisants de colère, qui promettaient aux deux gosses des souffrances comme ils n'en avaient jamais connu, pour une pacifiste, cela le faisait moyen. Mais c'était drôle à voir. Il n'en rajouta donc pas trop, juste une petite couche à propos de les laisser faire à nouveau pour la sauver ensuite; mais hé, il était toujours honnête et même si Rose ne l'avait embrassé que dans son demi sommeil en le prenant pour Ares, elle s'était quand même senti suffisamment en sécurité près de lui pour le confondre avec l'autre! C'était donc tout bénef pour le pirate.
Les jurons embarrassés de la jeune femme brisèrent cependant le petit temps d'arrêt qu'ils avaient eu tous deux, à se regarder en attendant que l'autre ne commence les insultes. Nika était peut-être pas très doué, mais il savait reconnaître un regard foudroyant quand il en voyait un, et Rose avait certainement voulu lui expliquer ses quatre vérités, comme quoi elle sortait avec Ares, bla bla bla, chasse gardée, etc. Des trucs chiants dont il ne voulait donc pas entendre parler, surtout de sa part, après ce qu'il avait fait pour elle. Certes, pas grand chose, mais quand même, il n'avait pas envie de se faire une nouvelle fois envoyer balader par la demoiselle, même si c'était avec le temps quasiment devenu leur sport préféré. Mais pas ce soir.

Il accepta donc l'offre de changement de sujet comme il le put, et l'écouta lui raconter ses malheurs. Oui, il savait qu'elle avait eu le dos brulé, il s'en souvenait un peu. Une chevelure rousse fugitive, un visage blafard perdu dans la foule, avant que la ministre ne la prenne en charge, et que lui ne se précipite vers une Lucy complètement démolie et brulée elle aussi. Pour s'entendre dire qu'il devait l'amener à Dante. Dante quoi! Il détourna un peu les yeux, morose, se disant qu'au moins, il avait réussi à sauver la soeur de Mikhaïl, et qu'il n'était pas blessé tant que ça. Les brulures, ce n'était rien pour lui, et sur un bateau, à force de manier des cordes, de se prendre des coups de voile claquantes, il avait le corps blindé contre ce type de douleur, mais il se souvenait de l'époque où il n'était pas encore immunisé complètement. Et il savait à quel point on pouvait avoir mal.
Il aquiesca, muet, alors qu'elle lui disait qu'il devait connaître, n'ayant pas envie de reprendre la parole tout de suite, et leva un sourcil un peu sardonique alors qu'elle lui disait que ça allait mieux. C'est ça oui, et elle espérait qu'il allait accepter cette excuse là? Ca se voyait comme le nez au milieu de la figure que la rouge avait mal, mais en bonne Weasley, son égo était trop grand pour accepter de l'aide extérieure. Sans doute pour ça qu'elle ne l'avait même pas remercié de l'avoir débarrasser des deux gamins. Enfin, il était habitué....

Mais, innocemment, elle se mit à lui demander des noms, et il se secoua un peu pour arrêter de jouer au mec malheureux. Après tout, une revanche c'était encore plus drole, et Rose avait l'air de vouloir se venger, occupation oh combien plus jouissive et marrante que de parler de blessures. Avec un sourire narquois, il repassa donc dans le mode du Nika que Rose n'aimait guère, le dragueur invétéré qui aimait l'embêter.
« Je gagne quoi à t'en parler, hum? Non, je blague, c'était Vance et Parker, tu sais, les deux gosses de troisième année. Un brun et un châtain. Ma soeur est dans leur classe, ils sont super vicieux parait-il. »
Et ta gueule pour voir, Nicholas? Rose n'avait demandé que les noms, pas une explication détaillée sur sa petite soeur qu'elle connaissait déjà, de toute façon. Mais les mots sortaient tous seuls quand il ne voulait pas que la conversation ne s'arrête. Et puis, il avait une autre idée en tête.

« Dis... Tu voudrais pas monter dans le dortoir? Et c'est pas du tout pour ce que tu crois, je suis pas con à ce point. J'ai juste une crème maison pour les brulures, et je pense que ca te ferait du bien. Haussement d'épaules pour jouer le mec blasé. En tout cas, moi ça m'en faisait quand j'étais gosse. »

Il ne voulait pas vraiment montrer que sa réponse lui importait vraiment, et qu'il avait pesé le pour et le contre avant de lui en parler, parce que ça casserait pour de bon l'image qu'elle se faisait de lui. Et il n'avait pas envie de devoir essuyer une nouvelle rebuffade en étant sincère.

[Crédits :]

La tête de Rose une fois qu'il lui eu annoncé son sauvetage in extremis était à garder précieusement dans ses souvenirs. Les yeux flamboyants, quasiment luisants de colère, qui promettaient aux deux gosses des souffrances comme ils n'en avaient jamais connu, pour une pacifiste, cela le faisait moyen. Mais c'était drôle à voir. Il n'en rajouta donc pas trop, juste une petite couche à propos de les laisser faire à nouveau pour la sauver ensuite; mais hé, il était toujours honnête et même si Rose ne l'avait embrassé que dans son demi sommeil en le prenant pour Ares, elle s'était quand même senti suffisamment en sécurité près de lui pour le confondre avec l'autre! C'était donc tout bénef pour le pirate.
Les jurons embarrassés de la jeune femme brisèrent cependant le petit temps d'arrêt qu'ils avaient eu tous deux, à se regarder en attendant que l'autre ne commence les insultes. Nika était peut-être pas très doué, mais il savait reconnaître un regard foudroyant quand il en voyait un, et Rose avait certainement voulu lui expliquer ses quatre vérités, comme quoi elle sortait avec Ares, bla bla bla, chasse gardée, etc. Des trucs chiants dont il ne voulait donc pas entendre parler, surtout de sa part, après ce qu'il avait fait pour elle. Certes, pas grand chose, mais quand même, il n'avait pas envie de se faire une nouvelle fois envoyer balader par la demoiselle, même si c'était avec le temps quasiment devenu leur sport préféré. Mais pas ce soir.

Il accepta donc l'offre de changement de sujet comme il le put, et l'écouta lui raconter ses malheurs. Oui, il savait qu'elle avait eu le dos brulé, il s'en souvenait un peu. Une chevelure rousse fugitive, un visage blafard perdu dans la foule, avant que la ministre ne la prenne en charge, et que lui ne se précipite vers une Lucy complètement démolie et brulée elle aussi. Pour s'entendre dire qu'il devait l'amener à Dante. Dante quoi! Il détourna un peu les yeux, morose, se disant qu'au moins, il avait réussi à sauver la soeur de Mikhaïl, et qu'il n'était pas blessé tant que ça. Les brulures, ce n'était rien pour lui, et sur un bateau, à force de manier des cordes, de se prendre des coups de voile claquantes, il avait le corps blindé contre ce type de douleur, mais il se souvenait de l'époque où il n'était pas encore immunisé complètement. Et il savait à quel point on pouvait avoir mal.
Il aquiesca, muet, alors qu'elle lui disait qu'il devait connaître, n'ayant pas envie de reprendre la parole tout de suite, et leva un sourcil un peu sardonique alors qu'elle lui disait que ça allait mieux. C'est ça oui, et elle espérait qu'il allait accepter cette excuse là? Ca se voyait comme le nez au milieu de la figure que la rouge avait mal, mais en bonne Weasley, son égo était trop grand pour accepter de l'aide extérieure. Sans doute pour ça qu'elle ne l'avait même pas remercié de l'avoir débarrasser des deux gamins. Enfin, il était habitué....

Mais, innocemment, elle se mit à lui demander des noms, et il se secoua un peu pour arrêter de jouer au mec malheureux. Après tout, une revanche c'était encore plus drole, et Rose avait l'air de vouloir se venger, occupation oh combien plus jouissive et marrante que de parler de blessures. Avec un sourire narquois, il repassa donc dans le mode du Nika que Rose n'aimait guère, le dragueur invétéré qui aimait l'embêter.
« Je gagne quoi à t'en parler, hum? Non, je blague, c'était Vance et Parker, tu sais, les deux gosses de troisième année. Un brun et un châtain. Ma soeur est dans leur classe, ils sont super vicieux parait-il. »
Et ta gueule pour voir, Nicholas? Rose n'avait demandé que les noms, pas une explication détaillée sur sa petite soeur qu'elle connaissait déjà, de toute façon. Mais les mots sortaient tous seuls quand il ne voulait pas que la conversation ne s'arrête. Et puis, il avait une autre idée en tête.

« Dis... Tu voudrais pas monter dans le dortoir? Et c'est pas du tout pour ce que tu crois, je suis pas con à ce point. J'ai juste une crème maison pour les brulures, et je pense que ca te ferait du bien. Haussement d'épaules pour jouer le mec blasé. En tout cas, moi ça m'en faisait quand j'étais gosse. »

Il ne voulait pas vraiment montrer que sa réponse lui importait vraiment, et qu'il avait pesé le pour et le contre avant de lui en parler, parce que ça casserait pour de bon l'image qu'elle se faisait de lui. Et il n'avait pas envie de devoir essuyer une nouvelle rebuffade en étant sincère.

[Age RPG :]

La tête de Rose une fois qu'il lui eu annoncé son sauvetage in extremis était à garder précieusement dans ses souvenirs. Les yeux flamboyants, quasiment luisants de colère, qui promettaient aux deux gosses des souffrances comme ils n'en avaient jamais connu, pour une pacifiste, cela le faisait moyen. Mais c'était drôle à voir. Il n'en rajouta donc pas trop, juste une petite couche à propos de les laisser faire à nouveau pour la sauver ensuite; mais hé, il était toujours honnête et même si Rose ne l'avait embrassé que dans son demi sommeil en le prenant pour Ares, elle s'était quand même senti suffisamment en sécurité près de lui pour le confondre avec l'autre! C'était donc tout bénef pour le pirate.
Les jurons embarrassés de la jeune femme brisèrent cependant le petit temps d'arrêt qu'ils avaient eu tous deux, à se regarder en attendant que l'autre ne commence les insultes. Nika était peut-être pas très doué, mais il savait reconnaître un regard foudroyant quand il en voyait un, et Rose avait certainement voulu lui expliquer ses quatre vérités, comme quoi elle sortait avec Ares, bla bla bla, chasse gardée, etc. Des trucs chiants dont il ne voulait donc pas entendre parler, surtout de sa part, après ce qu'il avait fait pour elle. Certes, pas grand chose, mais quand même, il n'avait pas envie de se faire une nouvelle fois envoyer balader par la demoiselle, même si c'était avec le temps quasiment devenu leur sport préféré. Mais pas ce soir.

Il accepta donc l'offre de changement de sujet comme il le put, et l'écouta lui raconter ses malheurs. Oui, il savait qu'elle avait eu le dos brulé, il s'en souvenait un peu. Une chevelure rousse fugitive, un visage blafard perdu dans la foule, avant que la ministre ne la prenne en charge, et que lui ne se précipite vers une Lucy complètement démolie et brulée elle aussi. Pour s'entendre dire qu'il devait l'amener à Dante. Dante quoi! Il détourna un peu les yeux, morose, se disant qu'au moins, il avait réussi à sauver la soeur de Mikhaïl, et qu'il n'était pas blessé tant que ça. Les brulures, ce n'était rien pour lui, et sur un bateau, à force de manier des cordes, de se prendre des coups de voile claquantes, il avait le corps blindé contre ce type de douleur, mais il se souvenait de l'époque où il n'était pas encore immunisé complètement. Et il savait à quel point on pouvait avoir mal.
Il aquiesca, muet, alors qu'elle lui disait qu'il devait connaître, n'ayant pas envie de reprendre la parole tout de suite, et leva un sourcil un peu sardonique alors qu'elle lui disait que ça allait mieux. C'est ça oui, et elle espérait qu'il allait accepter cette excuse là? Ca se voyait comme le nez au milieu de la figure que la rouge avait mal, mais en bonne Weasley, son égo était trop grand pour accepter de l'aide extérieure. Sans doute pour ça qu'elle ne l'avait même pas remercié de l'avoir débarrasser des deux gamins. Enfin, il était habitué....

Mais, innocemment, elle se mit à lui demander des noms, et il se secoua un peu pour arrêter de jouer au mec malheureux. Après tout, une revanche c'était encore plus drole, et Rose avait l'air de vouloir se venger, occupation oh combien plus jouissive et marrante que de parler de blessures. Avec un sourire narquois, il repassa donc dans le mode du Nika que Rose n'aimait guère, le dragueur invétéré qui aimait l'embêter.
« Je gagne quoi à t'en parler, hum? Non, je blague, c'était Vance et Parker, tu sais, les deux gosses de troisième année. Un brun et un châtain. Ma soeur est dans leur classe, ils sont super vicieux parait-il. »
Et ta gueule pour voir, Nicholas? Rose n'avait demandé que les noms, pas une explication détaillée sur sa petite soeur qu'elle connaissait déjà, de toute façon. Mais les mots sortaient tous seuls quand il ne voulait pas que la conversation ne s'arrête. Et puis, il avait une autre idée en tête.

« Dis... Tu voudrais pas monter dans le dortoir? Et c'est pas du tout pour ce que tu crois, je suis pas con à ce point. J'ai juste une crème maison pour les brulures, et je pense que ca te ferait du bien. Haussement d'épaules pour jouer le mec blasé. En tout cas, moi ça m'en faisait quand j'étais gosse. »

Il ne voulait pas vraiment montrer que sa réponse lui importait vraiment, et qu'il avait pesé le pour et le contre avant de lui en parler, parce que ça casserait pour de bon l'image qu'elle se faisait de lui. Et il n'avait pas envie de devoir essuyer une nouvelle rebuffade en étant sincère.

[Sang :]

La tête de Rose une fois qu'il lui eu annoncé son sauvetage in extremis était à garder précieusement dans ses souvenirs. Les yeux flamboyants, quasiment luisants de colère, qui promettaient aux deux gosses des souffrances comme ils n'en avaient jamais connu, pour une pacifiste, cela le faisait moyen. Mais c'était drôle à voir. Il n'en rajouta donc pas trop, juste une petite couche à propos de les laisser faire à nouveau pour la sauver ensuite; mais hé, il était toujours honnête et même si Rose ne l'avait embrassé que dans son demi sommeil en le prenant pour Ares, elle s'était quand même senti suffisamment en sécurité près de lui pour le confondre avec l'autre! C'était donc tout bénef pour le pirate.
Les jurons embarrassés de la jeune femme brisèrent cependant le petit temps d'arrêt qu'ils avaient eu tous deux, à se regarder en attendant que l'autre ne commence les insultes. Nika était peut-être pas très doué, mais il savait reconnaître un regard foudroyant quand il en voyait un, et Rose avait certainement voulu lui expliquer ses quatre vérités, comme quoi elle sortait avec Ares, bla bla bla, chasse gardée, etc. Des trucs chiants dont il ne voulait donc pas entendre parler, surtout de sa part, après ce qu'il avait fait pour elle. Certes, pas grand chose, mais quand même, il n'avait pas envie de se faire une nouvelle fois envoyer balader par la demoiselle, même si c'était avec le temps quasiment devenu leur sport préféré. Mais pas ce soir.

Il accepta donc l'offre de changement de sujet comme il le put, et l'écouta lui raconter ses malheurs. Oui, il savait qu'elle avait eu le dos brulé, il s'en souvenait un peu. Une chevelure rousse fugitive, un visage blafard perdu dans la foule, avant que la ministre ne la prenne en charge, et que lui ne se précipite vers une Lucy complètement démolie et brulée elle aussi. Pour s'entendre dire qu'il devait l'amener à Dante. Dante quoi! Il détourna un peu les yeux, morose, se disant qu'au moins, il avait réussi à sauver la soeur de Mikhaïl, et qu'il n'était pas blessé tant que ça. Les brulures, ce n'était rien pour lui, et sur un bateau, à force de manier des cordes, de se prendre des coups de voile claquantes, il avait le corps blindé contre ce type de douleur, mais il se souvenait de l'époque où il n'était pas encore immunisé complètement. Et il savait à quel point on pouvait avoir mal.
Il aquiesca, muet, alors qu'elle lui disait qu'il devait connaître, n'ayant pas envie de reprendre la parole tout de suite, et leva un sourcil un peu sardonique alors qu'elle lui disait que ça allait mieux. C'est ça oui, et elle espérait qu'il allait accepter cette excuse là? Ca se voyait comme le nez au milieu de la figure que la rouge avait mal, mais en bonne Weasley, son égo était trop grand pour accepter de l'aide extérieure. Sans doute pour ça qu'elle ne l'avait même pas remercié de l'avoir débarrasser des deux gamins. Enfin, il était habitué....

Mais, innocemment, elle se mit à lui demander des noms, et il se secoua un peu pour arrêter de jouer au mec malheureux. Après tout, une revanche c'était encore plus drole, et Rose avait l'air de vouloir se venger, occupation oh combien plus jouissive et marrante que de parler de blessures. Avec un sourire narquois, il repassa donc dans le mode du Nika que Rose n'aimait guère, le dragueur invétéré qui aimait l'embêter.
« Je gagne quoi à t'en parler, hum? Non, je blague, c'était Vance et Parker, tu sais, les deux gosses de troisième année. Un brun et un châtain. Ma soeur est dans leur classe, ils sont super vicieux parait-il. »
Et ta gueule pour voir, Nicholas? Rose n'avait demandé que les noms, pas une explication détaillée sur sa petite soeur qu'elle connaissait déjà, de toute façon. Mais les mots sortaient tous seuls quand il ne voulait pas que la conversation ne s'arrête. Et puis, il avait une autre idée en tête.

« Dis... Tu voudrais pas monter dans le dortoir? Et c'est pas du tout pour ce que tu crois, je suis pas con à ce point. J'ai juste une crème maison pour les brulures, et je pense que ca te ferait du bien. Haussement d'épaules pour jouer le mec blasé. En tout cas, moi ça m'en faisait quand j'étais gosse. »

Il ne voulait pas vraiment montrer que sa réponse lui importait vraiment, et qu'il avait pesé le pour et le contre avant de lui en parler, parce que ça casserait pour de bon l'image qu'elle se faisait de lui. Et il n'avait pas envie de devoir essuyer une nouvelle rebuffade en étant sincère.

[Camp :]

La tête de Rose une fois qu'il lui eu annoncé son sauvetage in extremis était à garder précieusement dans ses souvenirs. Les yeux flamboyants, quasiment luisants de colère, qui promettaient aux deux gosses des souffrances comme ils n'en avaient jamais connu, pour une pacifiste, cela le faisait moyen. Mais c'était drôle à voir. Il n'en rajouta donc pas trop, juste une petite couche à propos de les laisser faire à nouveau pour la sauver ensuite; mais hé, il était toujours honnête et même si Rose ne l'avait embrassé que dans son demi sommeil en le prenant pour Ares, elle s'était quand même senti suffisamment en sécurité près de lui pour le confondre avec l'autre! C'était donc tout bénef pour le pirate.
Les jurons embarrassés de la jeune femme brisèrent cependant le petit temps d'arrêt qu'ils avaient eu tous deux, à se regarder en attendant que l'autre ne commence les insultes. Nika était peut-être pas très doué, mais il savait reconnaître un regard foudroyant quand il en voyait un, et Rose avait certainement voulu lui expliquer ses quatre vérités, comme quoi elle sortait avec Ares, bla bla bla, chasse gardée, etc. Des trucs chiants dont il ne voulait donc pas entendre parler, surtout de sa part, après ce qu'il avait fait pour elle. Certes, pas grand chose, mais quand même, il n'avait pas envie de se faire une nouvelle fois envoyer balader par la demoiselle, même si c'était avec le temps quasiment devenu leur sport préféré. Mais pas ce soir.

Il accepta donc l'offre de changement de sujet comme il le put, et l'écouta lui raconter ses malheurs. Oui, il savait qu'elle avait eu le dos brulé, il s'en souvenait un peu. Une chevelure rousse fugitive, un visage blafard perdu dans la foule, avant que la ministre ne la prenne en charge, et que lui ne se précipite vers une Lucy complètement démolie et brulée elle aussi. Pour s'entendre dire qu'il devait l'amener à Dante. Dante quoi! Il détourna un peu les yeux, morose, se disant qu'au moins, il avait réussi à sauver la soeur de Mikhaïl, et qu'il n'était pas blessé tant que ça. Les brulures, ce n'était rien pour lui, et sur un bateau, à force de manier des cordes, de se prendre des coups de voile claquantes, il avait le corps blindé contre ce type de douleur, mais il se souvenait de l'époque où il n'était pas encore immunisé complètement. Et il savait à quel point on pouvait avoir mal.
Il aquiesca, muet, alors qu'elle lui disait qu'il devait connaître, n'ayant pas envie de reprendre la parole tout de suite, et leva un sourcil un peu sardonique alors qu'elle lui disait que ça allait mieux. C'est ça oui, et elle espérait qu'il allait accepter cette excuse là? Ca se voyait comme le nez au milieu de la figure que la rouge avait mal, mais en bonne Weasley, son égo était trop grand pour accepter de l'aide extérieure. Sans doute pour ça qu'elle ne l'avait même pas remercié de l'avoir débarrasser des deux gamins. Enfin, il était habitué....

Mais, innocemment, elle se mit à lui demander des noms, et il se secoua un peu pour arrêter de jouer au mec malheureux. Après tout, une revanche c'était encore plus drole, et Rose avait l'air de vouloir se venger, occupation oh combien plus jouissive et marrante que de parler de blessures. Avec un sourire narquois, il repassa donc dans le mode du Nika que Rose n'aimait guère, le dragueur invétéré qui aimait l'embêter.
« Je gagne quoi à t'en parler, hum? Non, je blague, c'était Vance et Parker, tu sais, les deux gosses de troisième année. Un brun et un châtain. Ma soeur est dans leur classe, ils sont super vicieux parait-il. »
Et ta gueule pour voir, Nicholas? Rose n'avait demandé que les noms, pas une explication détaillée sur sa petite soeur qu'elle connaissait déjà, de toute façon. Mais les mots sortaient tous seuls quand il ne voulait pas que la conversation ne s'arrête. Et puis, il avait une autre idée en tête.

« Dis... Tu voudrais pas monter dans le dortoir? Et c'est pas du tout pour ce que tu crois, je suis pas con à ce point. J'ai juste une crème maison pour les brulures, et je pense que ca te ferait du bien. Haussement d'épaules pour jouer le mec blasé. En tout cas, moi ça m'en faisait quand j'étais gosse. »

Il ne voulait pas vraiment montrer que sa réponse lui importait vraiment, et qu'il avait pesé le pour et le contre avant de lui en parler, parce que ça casserait pour de bon l'image qu'elle se faisait de lui. Et il n'avait pas envie de devoir essuyer une nouvelle rebuffade en étant sincère.

[Doubles-Comptes :]

La tête de Rose une fois qu'il lui eu annoncé son sauvetage in extremis était à garder précieusement dans ses souvenirs. Les yeux flamboyants, quasiment luisants de colère, qui promettaient aux deux gosses des souffrances comme ils n'en avaient jamais connu, pour une pacifiste, cela le faisait moyen. Mais c'était drôle à voir. Il n'en rajouta donc pas trop, juste une petite couche à propos de les laisser faire à nouveau pour la sauver ensuite; mais hé, il était toujours honnête et même si Rose ne l'avait embrassé que dans son demi sommeil en le prenant pour Ares, elle s'était quand même senti suffisamment en sécurité près de lui pour le confondre avec l'autre! C'était donc tout bénef pour le pirate.
Les jurons embarrassés de la jeune femme brisèrent cependant le petit temps d'arrêt qu'ils avaient eu tous deux, à se regarder en attendant que l'autre ne commence les insultes. Nika était peut-être pas très doué, mais il savait reconnaître un regard foudroyant quand il en voyait un, et Rose avait certainement voulu lui expliquer ses quatre vérités, comme quoi elle sortait avec Ares, bla bla bla, chasse gardée, etc. Des trucs chiants dont il ne voulait donc pas entendre parler, surtout de sa part, après ce qu'il avait fait pour elle. Certes, pas grand chose, mais quand même, il n'avait pas envie de se faire une nouvelle fois envoyer balader par la demoiselle, même si c'était avec le temps quasiment devenu leur sport préféré. Mais pas ce soir.

Il accepta donc l'offre de changement de sujet comme il le put, et l'écouta lui raconter ses malheurs. Oui, il savait qu'elle avait eu le dos brulé, il s'en souvenait un peu. Une chevelure rousse fugitive, un visage blafard perdu dans la foule, avant que la ministre ne la prenne en charge, et que lui ne se précipite vers une Lucy complètement démolie et brulée elle aussi. Pour s'entendre dire qu'il devait l'amener à Dante. Dante quoi! Il détourna un peu les yeux, morose, se disant qu'au moins, il avait réussi à sauver la soeur de Mikhaïl, et qu'il n'était pas blessé tant que ça. Les brulures, ce n'était rien pour lui, et sur un bateau, à force de manier des cordes, de se prendre des coups de voile claquantes, il avait le corps blindé contre ce type de douleur, mais il se souvenait de l'époque où il n'était pas encore immunisé complètement. Et il savait à quel point on pouvait avoir mal.
Il aquiesca, muet, alors qu'elle lui disait qu'il devait connaître, n'ayant pas envie de reprendre la parole tout de suite, et leva un sourcil un peu sardonique alors qu'elle lui disait que ça allait mieux. C'est ça oui, et elle espérait qu'il allait accepter cette excuse là? Ca se voyait comme le nez au milieu de la figure que la rouge avait mal, mais en bonne Weasley, son égo était trop grand pour accepter de l'aide extérieure. Sans doute pour ça qu'elle ne l'avait même pas remercié de l'avoir débarrasser des deux gamins. Enfin, il était habitué....

Mais, innocemment, elle se mit à lui demander des noms, et il se secoua un peu pour arrêter de jouer au mec malheureux. Après tout, une revanche c'était encore plus drole, et Rose avait l'air de vouloir se venger, occupation oh combien plus jouissive et marrante que de parler de blessures. Avec un sourire narquois, il repassa donc dans le mode du Nika que Rose n'aimait guère, le dragueur invétéré qui aimait l'embêter.
« Je gagne quoi à t'en parler, hum? Non, je blague, c'était Vance et Parker, tu sais, les deux gosses de troisième année. Un brun et un châtain. Ma soeur est dans leur classe, ils sont super vicieux parait-il. »
Et ta gueule pour voir, Nicholas? Rose n'avait demandé que les noms, pas une explication détaillée sur sa petite soeur qu'elle connaissait déjà, de toute façon. Mais les mots sortaient tous seuls quand il ne voulait pas que la conversation ne s'arrête. Et puis, il avait une autre idée en tête.

« Dis... Tu voudrais pas monter dans le dortoir? Et c'est pas du tout pour ce que tu crois, je suis pas con à ce point. J'ai juste une crème maison pour les brulures, et je pense que ca te ferait du bien. Haussement d'épaules pour jouer le mec blasé. En tout cas, moi ça m'en faisait quand j'étais gosse. »

Il ne voulait pas vraiment montrer que sa réponse lui importait vraiment, et qu'il avait pesé le pour et le contre avant de lui en parler, parce que ça casserait pour de bon l'image qu'elle se faisait de lui. Et il n'avait pas envie de devoir essuyer une nouvelle rebuffade en étant sincère.

Il avait directement su en lui proposant de monter qu'elle allait avoir du mal à le faire ; et qu'elle accepte était une sorte de pensée blasphématoire ou presque, car jamais Rose Weasley ne serait montée dans le dortoir du méchant Covenant qu'il était. Mais ça, c'était avant. Avant l'incendie, avant cette année pourrie, qu'il avait au final passer à sauver des gens ou prendre des baffes. Même pas de copine officielle à un moment, non, rien que des baisers de promesse avant de le planter là. Même Rose s'était montré un peu moins virulente à son égard, mais il fallait dire que le fait qu'elle sorte avec Arès ne l'encourageait pas non plus à revenir à l'assault pour la draguer, il était con mais pas suicidaire. Chose qu'on ne pouvait pas dire d'Arès, mais bref.
Le brun avait donc d'abord donné les noms des petits abrutis à la demoiselle, en guise d'offrande, de morceau de viande avec lequel s'amuser, histoire que la lionne ne le réduise pas lui en charpie pour ce qu'il osait dire ensuite. Et, comble du miracle, le stratagème sembla fonctionner; elle ne rejetait pas l'idée en bloc.

Bon sang, depuis quand était-il devenu aussi niais, débile ? Il en était quand même rendu à espérer pouvoir soigner une fille, sans arrières pensées, et ca aurait du normalement lui donner une attitude suffisante accompagnée d'une demande de récompense, mais non, là, c'était presque lui qui attendait avec des étoiles dans les yeux qu'elle le laisse toucher son auguste dos. Sérieux, vivement qu'il se barre de Poudlard, ca ne lui réussissait pas cette année. Il n'était plus un rustre complet, alors forcément il le vivait mal, sans se rendre compte que ce Nika là pouvait avoir des choses plus facilement, parce qu'il était plus humain et sympathique. Mais il n'aimait pas être sympa avec les gens.
Le sortant de sa mini introspection, la voix de Rose acceptant de monter au dortoir avec lui. Et le Nika baba de retour. Un sourire monta sur ses lèvres, il se sentit content qu'elle se sente assez en sécurité avec lui, bref, de la niaiserie jusqu'au bout qu'il n'avait même pas la force de repousser.

« C'est normal. Je vais pas te laisser gigoter comme ça pendant des heures, si tu y touches ca laissera des cicatrices en plus. »

Et s'il avait entendu dire que les cicatrices sur des corps masculins pouvaient faire sexy dans la mesure ou elles restaient petites et nettes, un dos de femme couvert de cloques et de brulures n'inspirait pas souvent le désir. Et il était très bien le dos de Rose en tant normal. Du moins ce qu'il en avait vu, bien sur.
Alors qu'ils montaient les escaliers, la jeune femme lui demanda s'il avait souvent du faire usage de sa crème, et il laissa un autre sourire grimace s'étaler sur son visage. Les souvenirs de son enfance étaient les meilleurs après tout.

« C'était pas vraiment des brulures du au feu, même si ca a du m'arriver une ou deux fois, mais quand tu restes toute une journée dans les voiles du bateau, il suffit d'une corde qui claque ou de mal prendre une échelle pour que ca te cisaille la peau, et ca fait comme une brulure. Et puis, ma petite sœur Mara avait l'habitude de projeter des étincelles quand elle était mécontente, si bien qu'on a toujours tous un peu de crème sur nous, maintenant.  »
Ah, sa petite Mara, il aurait pu passer sa vie à en parler, tiens.

Une fois dans le dortoir, voyant le bazar qui régnait un peu partout – chambre de mecs oblige – il sortit sa baguette et rangea au moins ses fringues et livres du lit, avant d'aller fouiner dans sa valise pour retrouver le petit pot prometteur. Il ne vit donc pas le soudain malaise de la rousse à l'idée d'enlever son haut, la tête dans les affaires plus ou moins licites qu'il possédait, et il lui répondit sur un ton négligent un « Allonge toi sur le lit si tu veux, ce sera plus simple. »

Hm. Hm ! La petite sonnette « je suis un goujat » de Nika retentit, et alors qu'il mettait enfin la main sur la crème, il releva la tête en vitesse du coffre, se la prenant dans le couvercle avec un juron. Il avait zappé que la jeune femme était simplement en robe. Donc, déjà qu'elle allait devoir tirer le haut, le bas allait forcément suivre. Et même si voir les jolies fesses de Rose aurait fait plaisir à sa libido, il n'était pas là pour lui sauter dessus ou lui faire des avances, mais bien l'aider à aller mieux. Elle était chasse gardée, aussi. Enfin, ça ne l'avait jamais dérangé jusque là, mais il savait bien que Rose prendrait mal une tentative de séduction maintenant. S'approchant donc d'elle en lui montrant le pot de crème qui ne payait pas de mine ainsi, il tira de sous son lit un short noir assez court, qu'il mettait le soir pour dormir.

« Tu peux mettre ça si tu veux, il est propre. Sinon, le mieux serait que tu enlèves ton soutif, je te promets de pas regarder pendant que tu t'installes. »

Après, si quelqu'un se ramenait... Hm, il allait peut-être devoir fermer les rideaux, sait on jamais, mais pour l'instant, il fallait déjà que la Weasley ne s'installe dessus.

[Messages :]

Il avait directement su en lui proposant de monter qu'elle allait avoir du mal à le faire ; et qu'elle accepte était une sorte de pensée blasphématoire ou presque, car jamais Rose Weasley ne serait montée dans le dortoir du méchant Covenant qu'il était. Mais ça, c'était avant. Avant l'incendie, avant cette année pourrie, qu'il avait au final passer à sauver des gens ou prendre des baffes. Même pas de copine officielle à un moment, non, rien que des baisers de promesse avant de le planter là. Même Rose s'était montré un peu moins virulente à son égard, mais il fallait dire que le fait qu'elle sorte avec Arès ne l'encourageait pas non plus à revenir à l'assault pour la draguer, il était con mais pas suicidaire. Chose qu'on ne pouvait pas dire d'Arès, mais bref.
Le brun avait donc d'abord donné les noms des petits abrutis à la demoiselle, en guise d'offrande, de morceau de viande avec lequel s'amuser, histoire que la lionne ne le réduise pas lui en charpie pour ce qu'il osait dire ensuite. Et, comble du miracle, le stratagème sembla fonctionner; elle ne rejetait pas l'idée en bloc.

Bon sang, depuis quand était-il devenu aussi niais, débile ? Il en était quand même rendu à espérer pouvoir soigner une fille, sans arrières pensées, et ca aurait du normalement lui donner une attitude suffisante accompagnée d'une demande de récompense, mais non, là, c'était presque lui qui attendait avec des étoiles dans les yeux qu'elle le laisse toucher son auguste dos. Sérieux, vivement qu'il se barre de Poudlard, ca ne lui réussissait pas cette année. Il n'était plus un rustre complet, alors forcément il le vivait mal, sans se rendre compte que ce Nika là pouvait avoir des choses plus facilement, parce qu'il était plus humain et sympathique. Mais il n'aimait pas être sympa avec les gens.
Le sortant de sa mini introspection, la voix de Rose acceptant de monter au dortoir avec lui. Et le Nika baba de retour. Un sourire monta sur ses lèvres, il se sentit content qu'elle se sente assez en sécurité avec lui, bref, de la niaiserie jusqu'au bout qu'il n'avait même pas la force de repousser.

« C'est normal. Je vais pas te laisser gigoter comme ça pendant des heures, si tu y touches ca laissera des cicatrices en plus. »

Et s'il avait entendu dire que les cicatrices sur des corps masculins pouvaient faire sexy dans la mesure ou elles restaient petites et nettes, un dos de femme couvert de cloques et de brulures n'inspirait pas souvent le désir. Et il était très bien le dos de Rose en tant normal. Du moins ce qu'il en avait vu, bien sur.
Alors qu'ils montaient les escaliers, la jeune femme lui demanda s'il avait souvent du faire usage de sa crème, et il laissa un autre sourire grimace s'étaler sur son visage. Les souvenirs de son enfance étaient les meilleurs après tout.

« C'était pas vraiment des brulures du au feu, même si ca a du m'arriver une ou deux fois, mais quand tu restes toute une journée dans les voiles du bateau, il suffit d'une corde qui claque ou de mal prendre une échelle pour que ca te cisaille la peau, et ca fait comme une brulure. Et puis, ma petite sœur Mara avait l'habitude de projeter des étincelles quand elle était mécontente, si bien qu'on a toujours tous un peu de crème sur nous, maintenant.  »
Ah, sa petite Mara, il aurait pu passer sa vie à en parler, tiens.

Une fois dans le dortoir, voyant le bazar qui régnait un peu partout – chambre de mecs oblige – il sortit sa baguette et rangea au moins ses fringues et livres du lit, avant d'aller fouiner dans sa valise pour retrouver le petit pot prometteur. Il ne vit donc pas le soudain malaise de la rousse à l'idée d'enlever son haut, la tête dans les affaires plus ou moins licites qu'il possédait, et il lui répondit sur un ton négligent un « Allonge toi sur le lit si tu veux, ce sera plus simple. »

Hm. Hm ! La petite sonnette « je suis un goujat » de Nika retentit, et alors qu'il mettait enfin la main sur la crème, il releva la tête en vitesse du coffre, se la prenant dans le couvercle avec un juron. Il avait zappé que la jeune femme était simplement en robe. Donc, déjà qu'elle allait devoir tirer le haut, le bas allait forcément suivre. Et même si voir les jolies fesses de Rose aurait fait plaisir à sa libido, il n'était pas là pour lui sauter dessus ou lui faire des avances, mais bien l'aider à aller mieux. Elle était chasse gardée, aussi. Enfin, ça ne l'avait jamais dérangé jusque là, mais il savait bien que Rose prendrait mal une tentative de séduction maintenant. S'approchant donc d'elle en lui montrant le pot de crème qui ne payait pas de mine ainsi, il tira de sous son lit un short noir assez court, qu'il mettait le soir pour dormir.

« Tu peux mettre ça si tu veux, il est propre. Sinon, le mieux serait que tu enlèves ton soutif, je te promets de pas regarder pendant que tu t'installes. »

Après, si quelqu'un se ramenait... Hm, il allait peut-être devoir fermer les rideaux, sait on jamais, mais pour l'instant, il fallait déjà que la Weasley ne s'installe dessus.

[Points :]

Il avait directement su en lui proposant de monter qu'elle allait avoir du mal à le faire ; et qu'elle accepte était une sorte de pensée blasphématoire ou presque, car jamais Rose Weasley ne serait montée dans le dortoir du méchant Covenant qu'il était. Mais ça, c'était avant. Avant l'incendie, avant cette année pourrie, qu'il avait au final passer à sauver des gens ou prendre des baffes. Même pas de copine officielle à un moment, non, rien que des baisers de promesse avant de le planter là. Même Rose s'était montré un peu moins virulente à son égard, mais il fallait dire que le fait qu'elle sorte avec Arès ne l'encourageait pas non plus à revenir à l'assault pour la draguer, il était con mais pas suicidaire. Chose qu'on ne pouvait pas dire d'Arès, mais bref.
Le brun avait donc d'abord donné les noms des petits abrutis à la demoiselle, en guise d'offrande, de morceau de viande avec lequel s'amuser, histoire que la lionne ne le réduise pas lui en charpie pour ce qu'il osait dire ensuite. Et, comble du miracle, le stratagème sembla fonctionner; elle ne rejetait pas l'idée en bloc.

Bon sang, depuis quand était-il devenu aussi niais, débile ? Il en était quand même rendu à espérer pouvoir soigner une fille, sans arrières pensées, et ca aurait du normalement lui donner une attitude suffisante accompagnée d'une demande de récompense, mais non, là, c'était presque lui qui attendait avec des étoiles dans les yeux qu'elle le laisse toucher son auguste dos. Sérieux, vivement qu'il se barre de Poudlard, ca ne lui réussissait pas cette année. Il n'était plus un rustre complet, alors forcément il le vivait mal, sans se rendre compte que ce Nika là pouvait avoir des choses plus facilement, parce qu'il était plus humain et sympathique. Mais il n'aimait pas être sympa avec les gens.
Le sortant de sa mini introspection, la voix de Rose acceptant de monter au dortoir avec lui. Et le Nika baba de retour. Un sourire monta sur ses lèvres, il se sentit content qu'elle se sente assez en sécurité avec lui, bref, de la niaiserie jusqu'au bout qu'il n'avait même pas la force de repousser.

« C'est normal. Je vais pas te laisser gigoter comme ça pendant des heures, si tu y touches ca laissera des cicatrices en plus. »

Et s'il avait entendu dire que les cicatrices sur des corps masculins pouvaient faire sexy dans la mesure ou elles restaient petites et nettes, un dos de femme couvert de cloques et de brulures n'inspirait pas souvent le désir. Et il était très bien le dos de Rose en tant normal. Du moins ce qu'il en avait vu, bien sur.
Alors qu'ils montaient les escaliers, la jeune femme lui demanda s'il avait souvent du faire usage de sa crème, et il laissa un autre sourire grimace s'étaler sur son visage. Les souvenirs de son enfance étaient les meilleurs après tout.

« C'était pas vraiment des brulures du au feu, même si ca a du m'arriver une ou deux fois, mais quand tu restes toute une journée dans les voiles du bateau, il suffit d'une corde qui claque ou de mal prendre une échelle pour que ca te cisaille la peau, et ca fait comme une brulure. Et puis, ma petite sœur Mara avait l'habitude de projeter des étincelles quand elle était mécontente, si bien qu'on a toujours tous un peu de crème sur nous, maintenant.  »
Ah, sa petite Mara, il aurait pu passer sa vie à en parler, tiens.

Une fois dans le dortoir, voyant le bazar qui régnait un peu partout – chambre de mecs oblige – il sortit sa baguette et rangea au moins ses fringues et livres du lit, avant d'aller fouiner dans sa valise pour retrouver le petit pot prometteur. Il ne vit donc pas le soudain malaise de la rousse à l'idée d'enlever son haut, la tête dans les affaires plus ou moins licites qu'il possédait, et il lui répondit sur un ton négligent un « Allonge toi sur le lit si tu veux, ce sera plus simple. »

Hm. Hm ! La petite sonnette « je suis un goujat » de Nika retentit, et alors qu'il mettait enfin la main sur la crème, il releva la tête en vitesse du coffre, se la prenant dans le couvercle avec un juron. Il avait zappé que la jeune femme était simplement en robe. Donc, déjà qu'elle allait devoir tirer le haut, le bas allait forcément suivre. Et même si voir les jolies fesses de Rose aurait fait plaisir à sa libido, il n'était pas là pour lui sauter dessus ou lui faire des avances, mais bien l'aider à aller mieux. Elle était chasse gardée, aussi. Enfin, ça ne l'avait jamais dérangé jusque là, mais il savait bien que Rose prendrait mal une tentative de séduction maintenant. S'approchant donc d'elle en lui montrant le pot de crème qui ne payait pas de mine ainsi, il tira de sous son lit un short noir assez court, qu'il mettait le soir pour dormir.

« Tu peux mettre ça si tu veux, il est propre. Sinon, le mieux serait que tu enlèves ton soutif, je te promets de pas regarder pendant que tu t'installes. »

Après, si quelqu'un se ramenait... Hm, il allait peut-être devoir fermer les rideaux, sait on jamais, mais pour l'instant, il fallait déjà que la Weasley ne s'installe dessus.

[Avatar :]

Il avait directement su en lui proposant de monter qu'elle allait avoir du mal à le faire ; et qu'elle accepte était une sorte de pensée blasphématoire ou presque, car jamais Rose Weasley ne serait montée dans le dortoir du méchant Covenant qu'il était. Mais ça, c'était avant. Avant l'incendie, avant cette année pourrie, qu'il avait au final passer à sauver des gens ou prendre des baffes. Même pas de copine officielle à un moment, non, rien que des baisers de promesse avant de le planter là. Même Rose s'était montré un peu moins virulente à son égard, mais il fallait dire que le fait qu'elle sorte avec Arès ne l'encourageait pas non plus à revenir à l'assault pour la draguer, il était con mais pas suicidaire. Chose qu'on ne pouvait pas dire d'Arès, mais bref.
Le brun avait donc d'abord donné les noms des petits abrutis à la demoiselle, en guise d'offrande, de morceau de viande avec lequel s'amuser, histoire que la lionne ne le réduise pas lui en charpie pour ce qu'il osait dire ensuite. Et, comble du miracle, le stratagème sembla fonctionner; elle ne rejetait pas l'idée en bloc.

Bon sang, depuis quand était-il devenu aussi niais, débile ? Il en était quand même rendu à espérer pouvoir soigner une fille, sans arrières pensées, et ca aurait du normalement lui donner une attitude suffisante accompagnée d'une demande de récompense, mais non, là, c'était presque lui qui attendait avec des étoiles dans les yeux qu'elle le laisse toucher son auguste dos. Sérieux, vivement qu'il se barre de Poudlard, ca ne lui réussissait pas cette année. Il n'était plus un rustre complet, alors forcément il le vivait mal, sans se rendre compte que ce Nika là pouvait avoir des choses plus facilement, parce qu'il était plus humain et sympathique. Mais il n'aimait pas être sympa avec les gens.
Le sortant de sa mini introspection, la voix de Rose acceptant de monter au dortoir avec lui. Et le Nika baba de retour. Un sourire monta sur ses lèvres, il se sentit content qu'elle se sente assez en sécurité avec lui, bref, de la niaiserie jusqu'au bout qu'il n'avait même pas la force de repousser.

« C'est normal. Je vais pas te laisser gigoter comme ça pendant des heures, si tu y touches ca laissera des cicatrices en plus. »

Et s'il avait entendu dire que les cicatrices sur des corps masculins pouvaient faire sexy dans la mesure ou elles restaient petites et nettes, un dos de femme couvert de cloques et de brulures n'inspirait pas souvent le désir. Et il était très bien le dos de Rose en tant normal. Du moins ce qu'il en avait vu, bien sur.
Alors qu'ils montaient les escaliers, la jeune femme lui demanda s'il avait souvent du faire usage de sa crème, et il laissa un autre sourire grimace s'étaler sur son visage. Les souvenirs de son enfance étaient les meilleurs après tout.

« C'était pas vraiment des brulures du au feu, même si ca a du m'arriver une ou deux fois, mais quand tu restes toute une journée dans les voiles du bateau, il suffit d'une corde qui claque ou de mal prendre une échelle pour que ca te cisaille la peau, et ca fait comme une brulure. Et puis, ma petite sœur Mara avait l'habitude de projeter des étincelles quand elle était mécontente, si bien qu'on a toujours tous un peu de crème sur nous, maintenant.  »
Ah, sa petite Mara, il aurait pu passer sa vie à en parler, tiens.

Une fois dans le dortoir, voyant le bazar qui régnait un peu partout – chambre de mecs oblige – il sortit sa baguette et rangea au moins ses fringues et livres du lit, avant d'aller fouiner dans sa valise pour retrouver le petit pot prometteur. Il ne vit donc pas le soudain malaise de la rousse à l'idée d'enlever son haut, la tête dans les affaires plus ou moins licites qu'il possédait, et il lui répondit sur un ton négligent un « Allonge toi sur le lit si tu veux, ce sera plus simple. »

Hm. Hm ! La petite sonnette « je suis un goujat » de Nika retentit, et alors qu'il mettait enfin la main sur la crème, il releva la tête en vitesse du coffre, se la prenant dans le couvercle avec un juron. Il avait zappé que la jeune femme était simplement en robe. Donc, déjà qu'elle allait devoir tirer le haut, le bas allait forcément suivre. Et même si voir les jolies fesses de Rose aurait fait plaisir à sa libido, il n'était pas là pour lui sauter dessus ou lui faire des avances, mais bien l'aider à aller mieux. Elle était chasse gardée, aussi. Enfin, ça ne l'avait jamais dérangé jusque là, mais il savait bien que Rose prendrait mal une tentative de séduction maintenant. S'approchant donc d'elle en lui montrant le pot de crème qui ne payait pas de mine ainsi, il tira de sous son lit un short noir assez court, qu'il mettait le soir pour dormir.

« Tu peux mettre ça si tu veux, il est propre. Sinon, le mieux serait que tu enlèves ton soutif, je te promets de pas regarder pendant que tu t'installes. »

Après, si quelqu'un se ramenait... Hm, il allait peut-être devoir fermer les rideaux, sait on jamais, mais pour l'instant, il fallait déjà que la Weasley ne s'installe dessus.

[Crédits :]

Il avait directement su en lui proposant de monter qu'elle allait avoir du mal à le faire ; et qu'elle accepte était une sorte de pensée blasphématoire ou presque, car jamais Rose Weasley ne serait montée dans le dortoir du méchant Covenant qu'il était. Mais ça, c'était avant. Avant l'incendie, avant cette année pourrie, qu'il avait au final passer à sauver des gens ou prendre des baffes. Même pas de copine officielle à un moment, non, rien que des baisers de promesse avant de le planter là. Même Rose s'était montré un peu moins virulente à son égard, mais il fallait dire que le fait qu'elle sorte avec Arès ne l'encourageait pas non plus à revenir à l'assault pour la draguer, il était con mais pas suicidaire. Chose qu'on ne pouvait pas dire d'Arès, mais bref.
Le brun avait donc d'abord donné les noms des petits abrutis à la demoiselle, en guise d'offrande, de morceau de viande avec lequel s'amuser, histoire que la lionne ne le réduise pas lui en charpie pour ce qu'il osait dire ensuite. Et, comble du miracle, le stratagème sembla fonctionner; elle ne rejetait pas l'idée en bloc.

Bon sang, depuis quand était-il devenu aussi niais, débile ? Il en était quand même rendu à espérer pouvoir soigner une fille, sans arrières pensées, et ca aurait du normalement lui donner une attitude suffisante accompagnée d'une demande de récompense, mais non, là, c'était presque lui qui attendait avec des étoiles dans les yeux qu'elle le laisse toucher son auguste dos. Sérieux, vivement qu'il se barre de Poudlard, ca ne lui réussissait pas cette année. Il n'était plus un rustre complet, alors forcément il le vivait mal, sans se rendre compte que ce Nika là pouvait avoir des choses plus facilement, parce qu'il était plus humain et sympathique. Mais il n'aimait pas être sympa avec les gens.
Le sortant de sa mini introspection, la voix de Rose acceptant de monter au dortoir avec lui. Et le Nika baba de retour. Un sourire monta sur ses lèvres, il se sentit content qu'elle se sente assez en sécurité avec lui, bref, de la niaiserie jusqu'au bout qu'il n'avait même pas la force de repousser.

« C'est normal. Je vais pas te laisser gigoter comme ça pendant des heures, si tu y touches ca laissera des cicatrices en plus. »

Et s'il avait entendu dire que les cicatrices sur des corps masculins pouvaient faire sexy dans la mesure ou elles restaient petites et nettes, un dos de femme couvert de cloques et de brulures n'inspirait pas souvent le désir. Et il était très bien le dos de Rose en tant normal. Du moins ce qu'il en avait vu, bien sur.
Alors qu'ils montaient les escaliers, la jeune femme lui demanda s'il avait souvent du faire usage de sa crème, et il laissa un autre sourire grimace s'étaler sur son visage. Les souvenirs de son enfance étaient les meilleurs après tout.

« C'était pas vraiment des brulures du au feu, même si ca a du m'arriver une ou deux fois, mais quand tu restes toute une journée dans les voiles du bateau, il suffit d'une corde qui claque ou de mal prendre une échelle pour que ca te cisaille la peau, et ca fait comme une brulure. Et puis, ma petite sœur Mara avait l'habitude de projeter des étincelles quand elle était mécontente, si bien qu'on a toujours tous un peu de crème sur nous, maintenant.  »
Ah, sa petite Mara, il aurait pu passer sa vie à en parler, tiens.

Une fois dans le dortoir, voyant le bazar qui régnait un peu partout – chambre de mecs oblige – il sortit sa baguette et rangea au moins ses fringues et livres du lit, avant d'aller fouiner dans sa valise pour retrouver le petit pot prometteur. Il ne vit donc pas le soudain malaise de la rousse à l'idée d'enlever son haut, la tête dans les affaires plus ou moins licites qu'il possédait, et il lui répondit sur un ton négligent un « Allonge toi sur le lit si tu veux, ce sera plus simple. »

Hm. Hm ! La petite sonnette « je suis un goujat » de Nika retentit, et alors qu'il mettait enfin la main sur la crème, il releva la tête en vitesse du coffre, se la prenant dans le couvercle avec un juron. Il avait zappé que la jeune femme était simplement en robe. Donc, déjà qu'elle allait devoir tirer le haut, le bas allait forcément suivre. Et même si voir les jolies fesses de Rose aurait fait plaisir à sa libido, il n'était pas là pour lui sauter dessus ou lui faire des avances, mais bien l'aider à aller mieux. Elle était chasse gardée, aussi. Enfin, ça ne l'avait jamais dérangé jusque là, mais il savait bien que Rose prendrait mal une tentative de séduction maintenant. S'approchant donc d'elle en lui montrant le pot de crème qui ne payait pas de mine ainsi, il tira de sous son lit un short noir assez court, qu'il mettait le soir pour dormir.

« Tu peux mettre ça si tu veux, il est propre. Sinon, le mieux serait que tu enlèves ton soutif, je te promets de pas regarder pendant que tu t'installes. »

Après, si quelqu'un se ramenait... Hm, il allait peut-être devoir fermer les rideaux, sait on jamais, mais pour l'instant, il fallait déjà que la Weasley ne s'installe dessus.

[Age RPG :]

Il avait directement su en lui proposant de monter qu'elle allait avoir du mal à le faire ; et qu'elle accepte était une sorte de pensée blasphématoire ou presque, car jamais Rose Weasley ne serait montée dans le dortoir du méchant Covenant qu'il était. Mais ça, c'était avant. Avant l'incendie, avant cette année pourrie, qu'il avait au final passer à sauver des gens ou prendre des baffes. Même pas de copine officielle à un moment, non, rien que des baisers de promesse avant de le planter là. Même Rose s'était montré un peu moins virulente à son égard, mais il fallait dire que le fait qu'elle sorte avec Arès ne l'encourageait pas non plus à revenir à l'assault pour la draguer, il était con mais pas suicidaire. Chose qu'on ne pouvait pas dire d'Arès, mais bref.
Le brun avait donc d'abord donné les noms des petits abrutis à la demoiselle, en guise d'offrande, de morceau de viande avec lequel s'amuser, histoire que la lionne ne le réduise pas lui en charpie pour ce qu'il osait dire ensuite. Et, comble du miracle, le stratagème sembla fonctionner; elle ne rejetait pas l'idée en bloc.

Bon sang, depuis quand était-il devenu aussi niais, débile ? Il en était quand même rendu à espérer pouvoir soigner une fille, sans arrières pensées, et ca aurait du normalement lui donner une attitude suffisante accompagnée d'une demande de récompense, mais non, là, c'était presque lui qui attendait avec des étoiles dans les yeux qu'elle le laisse toucher son auguste dos. Sérieux, vivement qu'il se barre de Poudlard, ca ne lui réussissait pas cette année. Il n'était plus un rustre complet, alors forcément il le vivait mal, sans se rendre compte que ce Nika là pouvait avoir des choses plus facilement, parce qu'il était plus humain et sympathique. Mais il n'aimait pas être sympa avec les gens.
Le sortant de sa mini introspection, la voix de Rose acceptant de monter au dortoir avec lui. Et le Nika baba de retour. Un sourire monta sur ses lèvres, il se sentit content qu'elle se sente assez en sécurité avec lui, bref, de la niaiserie jusqu'au bout qu'il n'avait même pas la force de repousser.

« C'est normal. Je vais pas te laisser gigoter comme ça pendant des heures, si tu y touches ca laissera des cicatrices en plus. »

Et s'il avait entendu dire que les cicatrices sur des corps masculins pouvaient faire sexy dans la mesure ou elles restaient petites et nettes, un dos de femme couvert de cloques et de brulures n'inspirait pas souvent le désir. Et il était très bien le dos de Rose en tant normal. Du moins ce qu'il en avait vu, bien sur.
Alors qu'ils montaient les escaliers, la jeune femme lui demanda s'il avait souvent du faire usage de sa crème, et il laissa un autre sourire grimace s'étaler sur son visage. Les souvenirs de son enfance étaient les meilleurs après tout.

« C'était pas vraiment des brulures du au feu, même si ca a du m'arriver une ou deux fois, mais quand tu restes toute une journée dans les voiles du bateau, il suffit d'une corde qui claque ou de mal prendre une échelle pour que ca te cisaille la peau, et ca fait comme une brulure. Et puis, ma petite sœur Mara avait l'habitude de projeter des étincelles quand elle était mécontente, si bien qu'on a toujours tous un peu de crème sur nous, maintenant.  »
Ah, sa petite Mara, il aurait pu passer sa vie à en parler, tiens.

Une fois dans le dortoir, voyant le bazar qui régnait un peu partout – chambre de mecs oblige – il sortit sa baguette et rangea au moins ses fringues et livres du lit, avant d'aller fouiner dans sa valise pour retrouver le petit pot prometteur. Il ne vit donc pas le soudain malaise de la rousse à l'idée d'enlever son haut, la tête dans les affaires plus ou moins licites qu'il possédait, et il lui répondit sur un ton négligent un « Allonge toi sur le lit si tu veux, ce sera plus simple. »

Hm. Hm ! La petite sonnette « je suis un goujat » de Nika retentit, et alors qu'il mettait enfin la main sur la crème, il releva la tête en vitesse du coffre, se la prenant dans le couvercle avec un juron. Il avait zappé que la jeune femme était simplement en robe. Donc, déjà qu'elle allait devoir tirer le haut, le bas allait forcément suivre. Et même si voir les jolies fesses de Rose aurait fait plaisir à sa libido, il n'était pas là pour lui sauter dessus ou lui faire des avances, mais bien l'aider à aller mieux. Elle était chasse gardée, aussi. Enfin, ça ne l'avait jamais dérangé jusque là, mais il savait bien que Rose prendrait mal une tentative de séduction maintenant. S'approchant donc d'elle en lui montrant le pot de crème qui ne payait pas de mine ainsi, il tira de sous son lit un short noir assez court, qu'il mettait le soir pour dormir.

« Tu peux mettre ça si tu veux, il est propre. Sinon, le mieux serait que tu enlèves ton soutif, je te promets de pas regarder pendant que tu t'installes. »

Après, si quelqu'un se ramenait... Hm, il allait peut-être devoir fermer les rideaux, sait on jamais, mais pour l'instant, il fallait déjà que la Weasley ne s'installe dessus.

[Sang :]

Il avait directement su en lui proposant de monter qu'elle allait avoir du mal à le faire ; et qu'elle accepte était une sorte de pensée blasphématoire ou presque, car jamais Rose Weasley ne serait montée dans le dortoir du méchant Covenant qu'il était. Mais ça, c'était avant. Avant l'incendie, avant cette année pourrie, qu'il avait au final passer à sauver des gens ou prendre des baffes. Même pas de copine officielle à un moment, non, rien que des baisers de promesse avant de le planter là. Même Rose s'était montré un peu moins virulente à son égard, mais il fallait dire que le fait qu'elle sorte avec Arès ne l'encourageait pas non plus à revenir à l'assault pour la draguer, il était con mais pas suicidaire. Chose qu'on ne pouvait pas dire d'Arès, mais bref.
Le brun avait donc d'abord donné les noms des petits abrutis à la demoiselle, en guise d'offrande, de morceau de viande avec lequel s'amuser, histoire que la lionne ne le réduise pas lui en charpie pour ce qu'il osait dire ensuite. Et, comble du miracle, le stratagème sembla fonctionner; elle ne rejetait pas l'idée en bloc.

Bon sang, depuis quand était-il devenu aussi niais, débile ? Il en était quand même rendu à espérer pouvoir soigner une fille, sans arrières pensées, et ca aurait du normalement lui donner une attitude suffisante accompagnée d'une demande de récompense, mais non, là, c'était presque lui qui attendait avec des étoiles dans les yeux qu'elle le laisse toucher son auguste dos. Sérieux, vivement qu'il se barre de Poudlard, ca ne lui réussissait pas cette année. Il n'était plus un rustre complet, alors forcément il le vivait mal, sans se rendre compte que ce Nika là pouvait avoir des choses plus facilement, parce qu'il était plus humain et sympathique. Mais il n'aimait pas être sympa avec les gens.
Le sortant de sa mini introspection, la voix de Rose acceptant de monter au dortoir avec lui. Et le Nika baba de retour. Un sourire monta sur ses lèvres, il se sentit content qu'elle se sente assez en sécurité avec lui, bref, de la niaiserie jusqu'au bout qu'il n'avait même pas la force de repousser.

« C'est normal. Je vais pas te laisser gigoter comme ça pendant des heures, si tu y touches ca laissera des cicatrices en plus. »

Et s'il avait entendu dire que les cicatrices sur des corps masculins pouvaient faire sexy dans la mesure ou elles restaient petites et nettes, un dos de femme couvert de cloques et de brulures n'inspirait pas souvent le désir. Et il était très bien le dos de Rose en tant normal. Du moins ce qu'il en avait vu, bien sur.
Alors qu'ils montaient les escaliers, la jeune femme lui demanda s'il avait souvent du faire usage de sa crème, et il laissa un autre sourire grimace s'étaler sur son visage. Les souvenirs de son enfance étaient les meilleurs après tout.

« C'était pas vraiment des brulures du au feu, même si ca a du m'arriver une ou deux fois, mais quand tu restes toute une journée dans les voiles du bateau, il suffit d'une corde qui claque ou de mal prendre une échelle pour que ca te cisaille la peau, et ca fait comme une brulure. Et puis, ma petite sœur Mara avait l'habitude de projeter des étincelles quand elle était mécontente, si bien qu'on a toujours tous un peu de crème sur nous, maintenant.  »
Ah, sa petite Mara, il aurait pu passer sa vie à en parler, tiens.

Une fois dans le dortoir, voyant le bazar qui régnait un peu partout – chambre de mecs oblige – il sortit sa baguette et rangea au moins ses fringues et livres du lit, avant d'aller fouiner dans sa valise pour retrouver le petit pot prometteur. Il ne vit donc pas le soudain malaise de la rousse à l'idée d'enlever son haut, la tête dans les affaires plus ou moins licites qu'il possédait, et il lui répondit sur un ton négligent un « Allonge toi sur le lit si tu veux, ce sera plus simple. »

Hm. Hm ! La petite sonnette « je suis un goujat » de Nika retentit, et alors qu'il mettait enfin la main sur la crème, il releva la tête en vitesse du coffre, se la prenant dans le couvercle avec un juron. Il avait zappé que la jeune femme était simplement en robe. Donc, déjà qu'elle allait devoir tirer le haut, le bas allait forcément suivre. Et même si voir les jolies fesses de Rose aurait fait plaisir à sa libido, il n'était pas là pour lui sauter dessus ou lui faire des avances, mais bien l'aider à aller mieux. Elle était chasse gardée, aussi. Enfin, ça ne l'avait jamais dérangé jusque là, mais il savait bien que Rose prendrait mal une tentative de séduction maintenant. S'approchant donc d'elle en lui montrant le pot de crème qui ne payait pas de mine ainsi, il tira de sous son lit un short noir assez court, qu'il mettait le soir pour dormir.

« Tu peux mettre ça si tu veux, il est propre. Sinon, le mieux serait que tu enlèves ton soutif, je te promets de pas regarder pendant que tu t'installes. »

Après, si quelqu'un se ramenait... Hm, il allait peut-être devoir fermer les rideaux, sait on jamais, mais pour l'instant, il fallait déjà que la Weasley ne s'installe dessus.

[Camp :]

Il avait directement su en lui proposant de monter qu'elle allait avoir du mal à le faire ; et qu'elle accepte était une sorte de pensée blasphématoire ou presque, car jamais Rose Weasley ne serait montée dans le dortoir du méchant Covenant qu'il était. Mais ça, c'était avant. Avant l'incendie, avant cette année pourrie, qu'il avait au final passer à sauver des gens ou prendre des baffes. Même pas de copine officielle à un moment, non, rien que des baisers de promesse avant de le planter là. Même Rose s'était montré un peu moins virulente à son égard, mais il fallait dire que le fait qu'elle sorte avec Arès ne l'encourageait pas non plus à revenir à l'assault pour la draguer, il était con mais pas suicidaire. Chose qu'on ne pouvait pas dire d'Arès, mais bref.
Le brun avait donc d'abord donné les noms des petits abrutis à la demoiselle, en guise d'offrande, de morceau de viande avec lequel s'amuser, histoire que la lionne ne le réduise pas lui en charpie pour ce qu'il osait dire ensuite. Et, comble du miracle, le stratagème sembla fonctionner; elle ne rejetait pas l'idée en bloc.

Bon sang, depuis quand était-il devenu aussi niais, débile ? Il en était quand même rendu à espérer pouvoir soigner une fille, sans arrières pensées, et ca aurait du normalement lui donner une attitude suffisante accompagnée d'une demande de récompense, mais non, là, c'était presque lui qui attendait avec des étoiles dans les yeux qu'elle le laisse toucher son auguste dos. Sérieux, vivement qu'il se barre de Poudlard, ca ne lui réussissait pas cette année. Il n'était plus un rustre complet, alors forcément il le vivait mal, sans se rendre compte que ce Nika là pouvait avoir des choses plus facilement, parce qu'il était plus humain et sympathique. Mais il n'aimait pas être sympa avec les gens.
Le sortant de sa mini introspection, la voix de Rose acceptant de monter au dortoir avec lui. Et le Nika baba de retour. Un sourire monta sur ses lèvres, il se sentit content qu'elle se sente assez en sécurité avec lui, bref, de la niaiserie jusqu'au bout qu'il n'avait même pas la force de repousser.

« C'est normal. Je vais pas te laisser gigoter comme ça pendant des heures, si tu y touches ca laissera des cicatrices en plus. »

Et s'il avait entendu dire que les cicatrices sur des corps masculins pouvaient faire sexy dans la mesure ou elles restaient petites et nettes, un dos de femme couvert de cloques et de brulures n'inspirait pas souvent le désir. Et il était très bien le dos de Rose en tant normal. Du moins ce qu'il en avait vu, bien sur.
Alors qu'ils montaient les escaliers, la jeune femme lui demanda s'il avait souvent du faire usage de sa crème, et il laissa un autre sourire grimace s'étaler sur son visage. Les souvenirs de son enfance étaient les meilleurs après tout.

« C'était pas vraiment des brulures du au feu, même si ca a du m'arriver une ou deux fois, mais quand tu restes toute une journée dans les voiles du bateau, il suffit d'une corde qui claque ou de mal prendre une échelle pour que ca te cisaille la peau, et ca fait comme une brulure. Et puis, ma petite sœur Mara avait l'habitude de projeter des étincelles quand elle était mécontente, si bien qu'on a toujours tous un peu de crème sur nous, maintenant.  »
Ah, sa petite Mara, il aurait pu passer sa vie à en parler, tiens.

Une fois dans le dortoir, voyant le bazar qui régnait un peu partout – chambre de mecs oblige – il sortit sa baguette et rangea au moins ses fringues et livres du lit, avant d'aller fouiner dans sa valise pour retrouver le petit pot prometteur. Il ne vit donc pas le soudain malaise de la rousse à l'idée d'enlever son haut, la tête dans les affaires plus ou moins licites qu'il possédait, et il lui répondit sur un ton négligent un « Allonge toi sur le lit si tu veux, ce sera plus simple. »

Hm. Hm ! La petite sonnette « je suis un goujat » de Nika retentit, et alors qu'il mettait enfin la main sur la crème, il releva la tête en vitesse du coffre, se la prenant dans le couvercle avec un juron. Il avait zappé que la jeune femme était simplement en robe. Donc, déjà qu'elle allait devoir tirer le haut, le bas allait forcément suivre. Et même si voir les jolies fesses de Rose aurait fait plaisir à sa libido, il n'était pas là pour lui sauter dessus ou lui faire des avances, mais bien l'aider à aller mieux. Elle était chasse gardée, aussi. Enfin, ça ne l'avait jamais dérangé jusque là, mais il savait bien que Rose prendrait mal une tentative de séduction maintenant. S'approchant donc d'elle en lui montrant le pot de crème qui ne payait pas de mine ainsi, il tira de sous son lit un short noir assez court, qu'il mettait le soir pour dormir.

« Tu peux mettre ça si tu veux, il est propre. Sinon, le mieux serait que tu enlèves ton soutif, je te promets de pas regarder pendant que tu t'installes. »

Après, si quelqu'un se ramenait... Hm, il allait peut-être devoir fermer les rideaux, sait on jamais, mais pour l'instant, il fallait déjà que la Weasley ne s'installe dessus.

[Doubles-Comptes :]

Il avait directement su en lui proposant de monter qu'elle allait avoir du mal à le faire ; et qu'elle accepte était une sorte de pensée blasphématoire ou presque, car jamais Rose Weasley ne serait montée dans le dortoir du méchant Covenant qu'il était. Mais ça, c'était avant. Avant l'incendie, avant cette année pourrie, qu'il avait au final passer à sauver des gens ou prendre des baffes. Même pas de copine officielle à un moment, non, rien que des baisers de promesse avant de le planter là. Même Rose s'était montré un peu moins virulente à son égard, mais il fallait dire que le fait qu'elle sorte avec Arès ne l'encourageait pas non plus à revenir à l'assault pour la draguer, il était con mais pas suicidaire. Chose qu'on ne pouvait pas dire d'Arès, mais bref.
Le brun avait donc d'abord donné les noms des petits abrutis à la demoiselle, en guise d'offrande, de morceau de viande avec lequel s'amuser, histoire que la lionne ne le réduise pas lui en charpie pour ce qu'il osait dire ensuite. Et, comble du miracle, le stratagème sembla fonctionner; elle ne rejetait pas l'idée en bloc.

Bon sang, depuis quand était-il devenu aussi niais, débile ? Il en était quand même rendu à espérer pouvoir soigner une fille, sans arrières pensées, et ca aurait du normalement lui donner une attitude suffisante accompagnée d'une demande de récompense, mais non, là, c'était presque lui qui attendait avec des étoiles dans les yeux qu'elle le laisse toucher son auguste dos. Sérieux, vivement qu'il se barre de Poudlard, ca ne lui réussissait pas cette année. Il n'était plus un rustre complet, alors forcément il le vivait mal, sans se rendre compte que ce Nika là pouvait avoir des choses plus facilement, parce qu'il était plus humain et sympathique. Mais il n'aimait pas être sympa avec les gens.
Le sortant de sa mini introspection, la voix de Rose acceptant de monter au dortoir avec lui. Et le Nika baba de retour. Un sourire monta sur ses lèvres, il se sentit content qu'elle se sente assez en sécurité avec lui, bref, de la niaiserie jusqu'au bout qu'il n'avait même pas la force de repousser.

« C'est normal. Je vais pas te laisser gigoter comme ça pendant des heures, si tu y touches ca laissera des cicatrices en plus. »

Et s'il avait entendu dire que les cicatrices sur des corps masculins pouvaient faire sexy dans la mesure ou elles restaient petites et nettes, un dos de femme couvert de cloques et de brulures n'inspirait pas souvent le désir. Et il était très bien le dos de Rose en tant normal. Du moins ce qu'il en avait vu, bien sur.
Alors qu'ils montaient les escaliers, la jeune femme lui demanda s'il avait souvent du faire usage de sa crème, et il laissa un autre sourire grimace s'étaler sur son visage. Les souvenirs de son enfance étaient les meilleurs après tout.

« C'était pas vraiment des brulures du au feu, même si ca a du m'arriver une ou deux fois, mais quand tu restes toute une journée dans les voiles du bateau, il suffit d'une corde qui claque ou de mal prendre une échelle pour que ca te cisaille la peau, et ca fait comme une brulure. Et puis, ma petite sœur Mara avait l'habitude de projeter des étincelles quand elle était mécontente, si bien qu'on a toujours tous un peu de crème sur nous, maintenant.  »
Ah, sa petite Mara, il aurait pu passer sa vie à en parler, tiens.

Une fois dans le dortoir, voyant le bazar qui régnait un peu partout – chambre de mecs oblige – il sortit sa baguette et rangea au moins ses fringues et livres du lit, avant d'aller fouiner dans sa valise pour retrouver le petit pot prometteur. Il ne vit donc pas le soudain malaise de la rousse à l'idée d'enlever son haut, la tête dans les affaires plus ou moins licites qu'il possédait, et il lui répondit sur un ton négligent un « Allonge toi sur le lit si tu veux, ce sera plus simple. »

Hm. Hm ! La petite sonnette « je suis un goujat » de Nika retentit, et alors qu'il mettait enfin la main sur la crème, il releva la tête en vitesse du coffre, se la prenant dans le couvercle avec un juron. Il avait zappé que la jeune femme était simplement en robe. Donc, déjà qu'elle allait devoir tirer le haut, le bas allait forcément suivre. Et même si voir les jolies fesses de Rose aurait fait plaisir à sa libido, il n'était pas là pour lui sauter dessus ou lui faire des avances, mais bien l'aider à aller mieux. Elle était chasse gardée, aussi. Enfin, ça ne l'avait jamais dérangé jusque là, mais il savait bien que Rose prendrait mal une tentative de séduction maintenant. S'approchant donc d'elle en lui montrant le pot de crème qui ne payait pas de mine ainsi, il tira de sous son lit un short noir assez court, qu'il mettait le soir pour dormir.

« Tu peux mettre ça si tu veux, il est propre. Sinon, le mieux serait que tu enlèves ton soutif, je te promets de pas regarder pendant que tu t'installes. »

Après, si quelqu'un se ramenait... Hm, il allait peut-être devoir fermer les rideaux, sait on jamais, mais pour l'instant, il fallait déjà que la Weasley ne s'installe dessus.

Nika avait ce petit coté papa poule, tout de même. Ca ne se voyait pas au premier abord, mais à l'écouter parler avec fierté de sa petite sœur, alors qu'elle n'était pas là et nullement concernée par la discussion, on pouvait entendre son amour pour sa famille. Il n'avait jamais vraiment dit à voix haute la chose, mais n'avait pas non plus laissé prétendre le contraire ; lui à l'inverse de nombreux enfants de familles nombreuses, n'avait jamais ressenti le besoin de s'émanciper et s'il avait fait des conneries c'était bien justement parce que sa famille s'était disloquée. Maintenant qu'ils étaient à nouveau réunis, il allait mieux.
Je vous laisse donc imaginer l'état dans lequel il risquait de se retrouver l'année prochaine, sans ses sœurs... Mais bref, là n'était pas la question.
La petite remarque de Rose le fit sourire à nouveau, sincèrement. Disparu, le connard de Covenant qui envoyait chier tout le monde, il était devenu une brave bestiole qui profitait pleinement de la vie. Ne pas avoir d'alcool ou de drogues dans le système, au final, ça l'améliorait grandement, et il ne ressentait plus du tout les effets du manque. Restait juste à ne pas replonger, mais la perspective de masser la jeune femme – avec la crème, bien entendu – allait surement lui apporter la dose d'endorphines qu'il voulait.

« Moi, écrire des mémoires ? J'ai pas de talent pour l'écriture. Mais si tu veux écrire ma biographie, pas de soucis ! Disons dans une vingtaine d'années, que je rajoute des chapitres. Puisqu'il avait un peu eu vent de ce que sa mère voulait qu'il devienne, il savait très bien que sa réputation allait peut-être grandement changer, et surtout qu'il aurait bien des choses à dire. Et j'ai eu une enfance normale, tu sais. Enfin, pour moi c'est normal, j'ai rien connu d'autre. Et je suis sur que toi aussi tu dois avoir de bonnes anecdotes! »

La fille de deux des héros de la guerre devait avoir eu une sacrée enfance, à n'en pas douter. Il se rappelait encore son arrivée à Poudlard, et cette jalousie qu'il avait ressenti face à cette grande famille Weasley. Maintenant il avait appris à voir la noirceur derrière la beauté, et Roxanne lui avait raconté quelques petites histoires moins drôles sur sa famille. Mais bref.
Une fois qu'ils furent dans son dortoir, et les objets compromettants jartés de son lit – un poignard n'avait pas vraiment sa place içi – il avait tendu à la demoiselle un short afin qu'elle couvre ses jolies cuisses. En ne s'attendant pas vraiment à ce qu'elle allait lui dire.
Il cligna des yeux comme un hibou mal réveillé le temps que son cerveau lui montre une image forte alléchante de Rose torse nu, avant de se secouer et de sentir un peu mal à l'aise. C'était la copine de Ares, quoi.

« Ah. »

Très intelligent, comme réponse, mais là, il devait se contrôler pour ne pas mater. Ou penser. Ou poser ses mains quelque part qui serait inapproprié. Le bruissement d'une robe qu'on enlève fit grimper sa température mais il se contint tout de même et ne se retourna que lorsqu'elle lui déclara qu'elle était ridicule, un peu amusée.
Hm, allongée comme ça sur son lit, elle n'était pas du tout ridicule, mais il fallait se controler. Pense à Ombrage, pense à Ares qui va te tuer si jamais il apprend que tu l'as vu comme ça... Ca allait déjà mieux. Le pirate se concentra sur les zébrures rouges qui lui parcouraient le dos, s'approchant doucement et s'asseyant sur le lit, ayant déjà d'un air absent pris une noisette de crème entre ses doigts.

« Tu n'es pas ridicule du tout. Même très courageuse, j'en connais pas mal qui seraient en train de hurler avec des marques pareilles. Mais ne t'inquiètes pas, si tu te sens genée, j'éviterais de dire à ton copain que tu étais presque nue sur mon lit. »
Pour lui, pour elle, et puis pour la faire un peu rire, aussi. Avec son ton rieur, il avait enfin réussi à retrouver sa bonne humeur. Passée l'étrange passion qui l'avait pris. Il allait se mettre à lui passer la crème sur le dos quand elle posa une question très pertinente, et il s'arréta, ayant l'air d'un abruti encore.
Avant de rire.

« Euh, en fait, oui. Désolé, j'suis trop con, j'y avais pas pensé. Attends. »

Et de la main qui n'était pas couverte de baume, il prit sa baguette et ferma les rideaux autour d'eux ; un petit sort d'insonorisation, et tous ses potes en rentrant penseraient qu'il avait trouvé une demoiselle pour s'amuser. Et c'était bien une demoiselle, mais pas vraiment le genre d'amusement auquels ils pensaient.

« Là, normalement ils n'y verront que du... feu. Bravo Nika, tu fais un gros con parfois. Ca ne te dérange pas ? Promis, je garde mes mains baladeuses pour moi. »

Et de ne pas tenir parole en posant doucement ses doigts sur son dos, en mouvements circulaires, prenant le temps de faire bien pénétrer la crème autour des brulures, se faisant papillon sur celles çi.

[Messages :]

Nika avait ce petit coté papa poule, tout de même. Ca ne se voyait pas au premier abord, mais à l'écouter parler avec fierté de sa petite sœur, alors qu'elle n'était pas là et nullement concernée par la discussion, on pouvait entendre son amour pour sa famille. Il n'avait jamais vraiment dit à voix haute la chose, mais n'avait pas non plus laissé prétendre le contraire ; lui à l'inverse de nombreux enfants de familles nombreuses, n'avait jamais ressenti le besoin de s'émanciper et s'il avait fait des conneries c'était bien justement parce que sa famille s'était disloquée. Maintenant qu'ils étaient à nouveau réunis, il allait mieux.
Je vous laisse donc imaginer l'état dans lequel il risquait de se retrouver l'année prochaine, sans ses sœurs... Mais bref, là n'était pas la question.
La petite remarque de Rose le fit sourire à nouveau, sincèrement. Disparu, le connard de Covenant qui envoyait chier tout le monde, il était devenu une brave bestiole qui profitait pleinement de la vie. Ne pas avoir d'alcool ou de drogues dans le système, au final, ça l'améliorait grandement, et il ne ressentait plus du tout les effets du manque. Restait juste à ne pas replonger, mais la perspective de masser la jeune femme – avec la crème, bien entendu – allait surement lui apporter la dose d'endorphines qu'il voulait.

« Moi, écrire des mémoires ? J'ai pas de talent pour l'écriture. Mais si tu veux écrire ma biographie, pas de soucis ! Disons dans une vingtaine d'années, que je rajoute des chapitres. Puisqu'il avait un peu eu vent de ce que sa mère voulait qu'il devienne, il savait très bien que sa réputation allait peut-être grandement changer, et surtout qu'il aurait bien des choses à dire. Et j'ai eu une enfance normale, tu sais. Enfin, pour moi c'est normal, j'ai rien connu d'autre. Et je suis sur que toi aussi tu dois avoir de bonnes anecdotes! »

La fille de deux des héros de la guerre devait avoir eu une sacrée enfance, à n'en pas douter. Il se rappelait encore son arrivée à Poudlard, et cette jalousie qu'il avait ressenti face à cette grande famille Weasley. Maintenant il avait appris à voir la noirceur derrière la beauté, et Roxanne lui avait raconté quelques petites histoires moins drôles sur sa famille. Mais bref.
Une fois qu'ils furent dans son dortoir, et les objets compromettants jartés de son lit – un poignard n'avait pas vraiment sa place içi – il avait tendu à la demoiselle un short afin qu'elle couvre ses jolies cuisses. En ne s'attendant pas vraiment à ce qu'elle allait lui dire.
Il cligna des yeux comme un hibou mal réveillé le temps que son cerveau lui montre une image forte alléchante de Rose torse nu, avant de se secouer et de sentir un peu mal à l'aise. C'était la copine de Ares, quoi.

« Ah. »

Très intelligent, comme réponse, mais là, il devait se contrôler pour ne pas mater. Ou penser. Ou poser ses mains quelque part qui serait inapproprié. Le bruissement d'une robe qu'on enlève fit grimper sa température mais il se contint tout de même et ne se retourna que lorsqu'elle lui déclara qu'elle était ridicule, un peu amusée.
Hm, allongée comme ça sur son lit, elle n'était pas du tout ridicule, mais il fallait se controler. Pense à Ombrage, pense à Ares qui va te tuer si jamais il apprend que tu l'as vu comme ça... Ca allait déjà mieux. Le pirate se concentra sur les zébrures rouges qui lui parcouraient le dos, s'approchant doucement et s'asseyant sur le lit, ayant déjà d'un air absent pris une noisette de crème entre ses doigts.

« Tu n'es pas ridicule du tout. Même très courageuse, j'en connais pas mal qui seraient en train de hurler avec des marques pareilles. Mais ne t'inquiètes pas, si tu te sens genée, j'éviterais de dire à ton copain que tu étais presque nue sur mon lit. »
Pour lui, pour elle, et puis pour la faire un peu rire, aussi. Avec son ton rieur, il avait enfin réussi à retrouver sa bonne humeur. Passée l'étrange passion qui l'avait pris. Il allait se mettre à lui passer la crème sur le dos quand elle posa une question très pertinente, et il s'arréta, ayant l'air d'un abruti encore.
Avant de rire.

« Euh, en fait, oui. Désolé, j'suis trop con, j'y avais pas pensé. Attends. »

Et de la main qui n'était pas couverte de baume, il prit sa baguette et ferma les rideaux autour d'eux ; un petit sort d'insonorisation, et tous ses potes en rentrant penseraient qu'il avait trouvé une demoiselle pour s'amuser. Et c'était bien une demoiselle, mais pas vraiment le genre d'amusement auquels ils pensaient.

« Là, normalement ils n'y verront que du... feu. Bravo Nika, tu fais un gros con parfois. Ca ne te dérange pas ? Promis, je garde mes mains baladeuses pour moi. »

Et de ne pas tenir parole en posant doucement ses doigts sur son dos, en mouvements circulaires, prenant le temps de faire bien pénétrer la crème autour des brulures, se faisant papillon sur celles çi.

[Points :]

Nika avait ce petit coté papa poule, tout de même. Ca ne se voyait pas au premier abord, mais à l'écouter parler avec fierté de sa petite sœur, alors qu'elle n'était pas là et nullement concernée par la discussion, on pouvait entendre son amour pour sa famille. Il n'avait jamais vraiment dit à voix haute la chose, mais n'avait pas non plus laissé prétendre le contraire ; lui à l'inverse de nombreux enfants de familles nombreuses, n'avait jamais ressenti le besoin de s'émanciper et s'il avait fait des conneries c'était bien justement parce que sa famille s'était disloquée. Maintenant qu'ils étaient à nouveau réunis, il allait mieux.
Je vous laisse donc imaginer l'état dans lequel il risquait de se retrouver l'année prochaine, sans ses sœurs... Mais bref, là n'était pas la question.
La petite remarque de Rose le fit sourire à nouveau, sincèrement. Disparu, le connard de Covenant qui envoyait chier tout le monde, il était devenu une brave bestiole qui profitait pleinement de la vie. Ne pas avoir d'alcool ou de drogues dans le système, au final, ça l'améliorait grandement, et il ne ressentait plus du tout les effets du manque. Restait juste à ne pas replonger, mais la perspective de masser la jeune femme – avec la crème, bien entendu – allait surement lui apporter la dose d'endorphines qu'il voulait.

« Moi, écrire des mémoires ? J'ai pas de talent pour l'écriture. Mais si tu veux écrire ma biographie, pas de soucis ! Disons dans une vingtaine d'années, que je rajoute des chapitres. Puisqu'il avait un peu eu vent de ce que sa mère voulait qu'il devienne, il savait très bien que sa réputation allait peut-être grandement changer, et surtout qu'il aurait bien des choses à dire. Et j'ai eu une enfance normale, tu sais. Enfin, pour moi c'est normal, j'ai rien connu d'autre. Et je suis sur que toi aussi tu dois avoir de bonnes anecdotes! »

La fille de deux des héros de la guerre devait avoir eu une sacrée enfance, à n'en pas douter. Il se rappelait encore son arrivée à Poudlard, et cette jalousie qu'il avait ressenti face à cette grande famille Weasley. Maintenant il avait appris à voir la noirceur derrière la beauté, et Roxanne lui avait raconté quelques petites histoires moins drôles sur sa famille. Mais bref.
Une fois qu'ils furent dans son dortoir, et les objets compromettants jartés de son lit – un poignard n'avait pas vraiment sa place içi – il avait tendu à la demoiselle un short afin qu'elle couvre ses jolies cuisses. En ne s'attendant pas vraiment à ce qu'elle allait lui dire.
Il cligna des yeux comme un hibou mal réveillé le temps que son cerveau lui montre une image forte alléchante de Rose torse nu, avant de se secouer et de sentir un peu mal à l'aise. C'était la copine de Ares, quoi.

« Ah. »

Très intelligent, comme réponse, mais là, il devait se contrôler pour ne pas mater. Ou penser. Ou poser ses mains quelque part qui serait inapproprié. Le bruissement d'une robe qu'on enlève fit grimper sa température mais il se contint tout de même et ne se retourna que lorsqu'elle lui déclara qu'elle était ridicule, un peu amusée.
Hm, allongée comme ça sur son lit, elle n'était pas du tout ridicule, mais il fallait se controler. Pense à Ombrage, pense à Ares qui va te tuer si jamais il apprend que tu l'as vu comme ça... Ca allait déjà mieux. Le pirate se concentra sur les zébrures rouges qui lui parcouraient le dos, s'approchant doucement et s'asseyant sur le lit, ayant déjà d'un air absent pris une noisette de crème entre ses doigts.

« Tu n'es pas ridicule du tout. Même très courageuse, j'en connais pas mal qui seraient en train de hurler avec des marques pareilles. Mais ne t'inquiètes pas, si tu te sens genée, j'éviterais de dire à ton copain que tu étais presque nue sur mon lit. »
Pour lui, pour elle, et puis pour la faire un peu rire, aussi. Avec son ton rieur, il avait enfin réussi à retrouver sa bonne humeur. Passée l'étrange passion qui l'avait pris. Il allait se mettre à lui passer la crème sur le dos quand elle posa une question très pertinente, et il s'arréta, ayant l'air d'un abruti encore.
Avant de rire.

« Euh, en fait, oui. Désolé, j'suis trop con, j'y avais pas pensé. Attends. »

Et de la main qui n'était pas couverte de baume, il prit sa baguette et ferma les rideaux autour d'eux ; un petit sort d'insonorisation, et tous ses potes en rentrant penseraient qu'il avait trouvé une demoiselle pour s'amuser. Et c'était bien une demoiselle, mais pas vraiment le genre d'amusement auquels ils pensaient.

« Là, normalement ils n'y verront que du... feu. Bravo Nika, tu fais un gros con parfois. Ca ne te dérange pas ? Promis, je garde mes mains baladeuses pour moi. »

Et de ne pas tenir parole en posant doucement ses doigts sur son dos, en mouvements circulaires, prenant le temps de faire bien pénétrer la crème autour des brulures, se faisant papillon sur celles çi.

[Avatar :]

Nika avait ce petit coté papa poule, tout de même. Ca ne se voyait pas au premier abord, mais à l'écouter parler avec fierté de sa petite sœur, alors qu'elle n'était pas là et nullement concernée par la discussion, on pouvait entendre son amour pour sa famille. Il n'avait jamais vraiment dit à voix haute la chose, mais n'avait pas non plus laissé prétendre le contraire ; lui à l'inverse de nombreux enfants de familles nombreuses, n'avait jamais ressenti le besoin de s'émanciper et s'il avait fait des conneries c'était bien justement parce que sa famille s'était disloquée. Maintenant qu'ils étaient à nouveau réunis, il allait mieux.
Je vous laisse donc imaginer l'état dans lequel il risquait de se retrouver l'année prochaine, sans ses sœurs... Mais bref, là n'était pas la question.
La petite remarque de Rose le fit sourire à nouveau, sincèrement. Disparu, le connard de Covenant qui envoyait chier tout le monde, il était devenu une brave bestiole qui profitait pleinement de la vie. Ne pas avoir d'alcool ou de drogues dans le système, au final, ça l'améliorait grandement, et il ne ressentait plus du tout les effets du manque. Restait juste à ne pas replonger, mais la perspective de masser la jeune femme – avec la crème, bien entendu – allait surement lui apporter la dose d'endorphines qu'il voulait.

« Moi, écrire des mémoires ? J'ai pas de talent pour l'écriture. Mais si tu veux écrire ma biographie, pas de soucis ! Disons dans une vingtaine d'années, que je rajoute des chapitres. Puisqu'il avait un peu eu vent de ce que sa mère voulait qu'il devienne, il savait très bien que sa réputation allait peut-être grandement changer, et surtout qu'il aurait bien des choses à dire. Et j'ai eu une enfance normale, tu sais. Enfin, pour moi c'est normal, j'ai rien connu d'autre. Et je suis sur que toi aussi tu dois avoir de bonnes anecdotes! »

La fille de deux des héros de la guerre devait avoir eu une sacrée enfance, à n'en pas douter. Il se rappelait encore son arrivée à Poudlard, et cette jalousie qu'il avait ressenti face à cette grande famille Weasley. Maintenant il avait appris à voir la noirceur derrière la beauté, et Roxanne lui avait raconté quelques petites histoires moins drôles sur sa famille. Mais bref.
Une fois qu'ils furent dans son dortoir, et les objets compromettants jartés de son lit – un poignard n'avait pas vraiment sa place içi – il avait tendu à la demoiselle un short afin qu'elle couvre ses jolies cuisses. En ne s'attendant pas vraiment à ce qu'elle allait lui dire.
Il cligna des yeux comme un hibou mal réveillé le temps que son cerveau lui montre une image forte alléchante de Rose torse nu, avant de se secouer et de sentir un peu mal à l'aise. C'était la copine de Ares, quoi.

« Ah. »

Très intelligent, comme réponse, mais là, il devait se contrôler pour ne pas mater. Ou penser. Ou poser ses mains quelque part qui serait inapproprié. Le bruissement d'une robe qu'on enlève fit grimper sa température mais il se contint tout de même et ne se retourna que lorsqu'elle lui déclara qu'elle était ridicule, un peu amusée.
Hm, allongée comme ça sur son lit, elle n'était pas du tout ridicule, mais il fallait se controler. Pense à Ombrage, pense à Ares qui va te tuer si jamais il apprend que tu l'as vu comme ça... Ca allait déjà mieux. Le pirate se concentra sur les zébrures rouges qui lui parcouraient le dos, s'approchant doucement et s'asseyant sur le lit, ayant déjà d'un air absent pris une noisette de crème entre ses doigts.

« Tu n'es pas ridicule du tout. Même très courageuse, j'en connais pas mal qui seraient en train de hurler avec des marques pareilles. Mais ne t'inquiètes pas, si tu te sens genée, j'éviterais de dire à ton copain que tu étais presque nue sur mon lit. »
Pour lui, pour elle, et puis pour la faire un peu rire, aussi. Avec son ton rieur, il avait enfin réussi à retrouver sa bonne humeur. Passée l'étrange passion qui l'avait pris. Il allait se mettre à lui passer la crème sur le dos quand elle posa une question très pertinente, et il s'arréta, ayant l'air d'un abruti encore.
Avant de rire.

« Euh, en fait, oui. Désolé, j'suis trop con, j'y avais pas pensé. Attends. »

Et de la main qui n'était pas couverte de baume, il prit sa baguette et ferma les rideaux autour d'eux ; un petit sort d'insonorisation, et tous ses potes en rentrant penseraient qu'il avait trouvé une demoiselle pour s'amuser. Et c'était bien une demoiselle, mais pas vraiment le genre d'amusement auquels ils pensaient.

« Là, normalement ils n'y verront que du... feu. Bravo Nika, tu fais un gros con parfois. Ca ne te dérange pas ? Promis, je garde mes mains baladeuses pour moi. »

Et de ne pas tenir parole en posant doucement ses doigts sur son dos, en mouvements circulaires, prenant le temps de faire bien pénétrer la crème autour des brulures, se faisant papillon sur celles çi.

[Crédits :]

Nika avait ce petit coté papa poule, tout de même. Ca ne se voyait pas au premier abord, mais à l'écouter parler avec fierté de sa petite sœur, alors qu'elle n'était pas là et nullement concernée par la discussion, on pouvait entendre son amour pour sa famille. Il n'avait jamais vraiment dit à voix haute la chose, mais n'avait pas non plus laissé prétendre le contraire ; lui à l'inverse de nombreux enfants de familles nombreuses, n'avait jamais ressenti le besoin de s'émanciper et s'il avait fait des conneries c'était bien justement parce que sa famille s'était disloquée. Maintenant qu'ils étaient à nouveau réunis, il allait mieux.
Je vous laisse donc imaginer l'état dans lequel il risquait de se retrouver l'année prochaine, sans ses sœurs... Mais bref, là n'était pas la question.
La petite remarque de Rose le fit sourire à nouveau, sincèrement. Disparu, le connard de Covenant qui envoyait chier tout le monde, il était devenu une brave bestiole qui profitait pleinement de la vie. Ne pas avoir d'alcool ou de drogues dans le système, au final, ça l'améliorait grandement, et il ne ressentait plus du tout les effets du manque. Restait juste à ne pas replonger, mais la perspective de masser la jeune femme – avec la crème, bien entendu – allait surement lui apporter la dose d'endorphines qu'il voulait.

« Moi, écrire des mémoires ? J'ai pas de talent pour l'écriture. Mais si tu veux écrire ma biographie, pas de soucis ! Disons dans une vingtaine d'années, que je rajoute des chapitres. Puisqu'il avait un peu eu vent de ce que sa mère voulait qu'il devienne, il savait très bien que sa réputation allait peut-être grandement changer, et surtout qu'il aurait bien des choses à dire. Et j'ai eu une enfance normale, tu sais. Enfin, pour moi c'est normal, j'ai rien connu d'autre. Et je suis sur que toi aussi tu dois avoir de bonnes anecdotes! »

La fille de deux des héros de la guerre devait avoir eu une sacrée enfance, à n'en pas douter. Il se rappelait encore son arrivée à Poudlard, et cette jalousie qu'il avait ressenti face à cette grande famille Weasley. Maintenant il avait appris à voir la noirceur derrière la beauté, et Roxanne lui avait raconté quelques petites histoires moins drôles sur sa famille. Mais bref.
Une fois qu'ils furent dans son dortoir, et les objets compromettants jartés de son lit – un poignard n'avait pas vraiment sa place içi – il avait tendu à la demoiselle un short afin qu'elle couvre ses jolies cuisses. En ne s'attendant pas vraiment à ce qu'elle allait lui dire.
Il cligna des yeux comme un hibou mal réveillé le temps que son cerveau lui montre une image forte alléchante de Rose torse nu, avant de se secouer et de sentir un peu mal à l'aise. C'était la copine de Ares, quoi.

« Ah. »

Très intelligent, comme réponse, mais là, il devait se contrôler pour ne pas mater. Ou penser. Ou poser ses mains quelque part qui serait inapproprié. Le bruissement d'une robe qu'on enlève fit grimper sa température mais il se contint tout de même et ne se retourna que lorsqu'elle lui déclara qu'elle était ridicule, un peu amusée.
Hm, allongée comme ça sur son lit, elle n'était pas du tout ridicule, mais il fallait se controler. Pense à Ombrage, pense à Ares qui va te tuer si jamais il apprend que tu l'as vu comme ça... Ca allait déjà mieux. Le pirate se concentra sur les zébrures rouges qui lui parcouraient le dos, s'approchant doucement et s'asseyant sur le lit, ayant déjà d'un air absent pris une noisette de crème entre ses doigts.

« Tu n'es pas ridicule du tout. Même très courageuse, j'en connais pas mal qui seraient en train de hurler avec des marques pareilles. Mais ne t'inquiètes pas, si tu te sens genée, j'éviterais de dire à ton copain que tu étais presque nue sur mon lit. »
Pour lui, pour elle, et puis pour la faire un peu rire, aussi. Avec son ton rieur, il avait enfin réussi à retrouver sa bonne humeur. Passée l'étrange passion qui l'avait pris. Il allait se mettre à lui passer la crème sur le dos quand elle posa une question très pertinente, et il s'arréta, ayant l'air d'un abruti encore.
Avant de rire.

« Euh, en fait, oui. Désolé, j'suis trop con, j'y avais pas pensé. Attends. »

Et de la main qui n'était pas couverte de baume, il prit sa baguette et ferma les rideaux autour d'eux ; un petit sort d'insonorisation, et tous ses potes en rentrant penseraient qu'il avait trouvé une demoiselle pour s'amuser. Et c'était bien une demoiselle, mais pas vraiment le genre d'amusement auquels ils pensaient.

« Là, normalement ils n'y verront que du... feu. Bravo Nika, tu fais un gros con parfois. Ca ne te dérange pas ? Promis, je garde mes mains baladeuses pour moi. »

Et de ne pas tenir parole en posant doucement ses doigts sur son dos, en mouvements circulaires, prenant le temps de faire bien pénétrer la crème autour des brulures, se faisant papillon sur celles çi.

[Age RPG :]

Nika avait ce petit coté papa poule, tout de même. Ca ne se voyait pas au premier abord, mais à l'écouter parler avec fierté de sa petite sœur, alors qu'elle n'était pas là et nullement concernée par la discussion, on pouvait entendre son amour pour sa famille. Il n'avait jamais vraiment dit à voix haute la chose, mais n'avait pas non plus laissé prétendre le contraire ; lui à l'inverse de nombreux enfants de familles nombreuses, n'avait jamais ressenti le besoin de s'émanciper et s'il avait fait des conneries c'était bien justement parce que sa famille s'était disloquée. Maintenant qu'ils étaient à nouveau réunis, il allait mieux.
Je vous laisse donc imaginer l'état dans lequel il risquait de se retrouver l'année prochaine, sans ses sœurs... Mais bref, là n'était pas la question.
La petite remarque de Rose le fit sourire à nouveau, sincèrement. Disparu, le connard de Covenant qui envoyait chier tout le monde, il était devenu une brave bestiole qui profitait pleinement de la vie. Ne pas avoir d'alcool ou de drogues dans le système, au final, ça l'améliorait grandement, et il ne ressentait plus du tout les effets du manque. Restait juste à ne pas replonger, mais la perspective de masser la jeune femme – avec la crème, bien entendu – allait surement lui apporter la dose d'endorphines qu'il voulait.

« Moi, écrire des mémoires ? J'ai pas de talent pour l'écriture. Mais si tu veux écrire ma biographie, pas de soucis ! Disons dans une vingtaine d'années, que je rajoute des chapitres. Puisqu'il avait un peu eu vent de ce que sa mère voulait qu'il devienne, il savait très bien que sa réputation allait peut-être grandement changer, et surtout qu'il aurait bien des choses à dire. Et j'ai eu une enfance normale, tu sais. Enfin, pour moi c'est normal, j'ai rien connu d'autre. Et je suis sur que toi aussi tu dois avoir de bonnes anecdotes! »

La fille de deux des héros de la guerre devait avoir eu une sacrée enfance, à n'en pas douter. Il se rappelait encore son arrivée à Poudlard, et cette jalousie qu'il avait ressenti face à cette grande famille Weasley. Maintenant il avait appris à voir la noirceur derrière la beauté, et Roxanne lui avait raconté quelques petites histoires moins drôles sur sa famille. Mais bref.
Une fois qu'ils furent dans son dortoir, et les objets compromettants jartés de son lit – un poignard n'avait pas vraiment sa place içi – il avait tendu à la demoiselle un short afin qu'elle couvre ses jolies cuisses. En ne s'attendant pas vraiment à ce qu'elle allait lui dire.
Il cligna des yeux comme un hibou mal réveillé le temps que son cerveau lui montre une image forte alléchante de Rose torse nu, avant de se secouer et de sentir un peu mal à l'aise. C'était la copine de Ares, quoi.

« Ah. »

Très intelligent, comme réponse, mais là, il devait se contrôler pour ne pas mater. Ou penser. Ou poser ses mains quelque part qui serait inapproprié. Le bruissement d'une robe qu'on enlève fit grimper sa température mais il se contint tout de même et ne se retourna que lorsqu'elle lui déclara qu'elle était ridicule, un peu amusée.
Hm, allongée comme ça sur son lit, elle n'était pas du tout ridicule, mais il fallait se controler. Pense à Ombrage, pense à Ares qui va te tuer si jamais il apprend que tu l'as vu comme ça... Ca allait déjà mieux. Le pirate se concentra sur les zébrures rouges qui lui parcouraient le dos, s'approchant doucement et s'asseyant sur le lit, ayant déjà d'un air absent pris une noisette de crème entre ses doigts.

« Tu n'es pas ridicule du tout. Même très courageuse, j'en connais pas mal qui seraient en train de hurler avec des marques pareilles. Mais ne t'inquiètes pas, si tu te sens genée, j'éviterais de dire à ton copain que tu étais presque nue sur mon lit. »
Pour lui, pour elle, et puis pour la faire un peu rire, aussi. Avec son ton rieur, il avait enfin réussi à retrouver sa bonne humeur. Passée l'étrange passion qui l'avait pris. Il allait se mettre à lui passer la crème sur le dos quand elle posa une question très pertinente, et il s'arréta, ayant l'air d'un abruti encore.
Avant de rire.

« Euh, en fait, oui. Désolé, j'suis trop con, j'y avais pas pensé. Attends. »

Et de la main qui n'était pas couverte de baume, il prit sa baguette et ferma les rideaux autour d'eux ; un petit sort d'insonorisation, et tous ses potes en rentrant penseraient qu'il avait trouvé une demoiselle pour s'amuser. Et c'était bien une demoiselle, mais pas vraiment le genre d'amusement auquels ils pensaient.

« Là, normalement ils n'y verront que du... feu. Bravo Nika, tu fais un gros con parfois. Ca ne te dérange pas ? Promis, je garde mes mains baladeuses pour moi. »

Et de ne pas tenir parole en posant doucement ses doigts sur son dos, en mouvements circulaires, prenant le temps de faire bien pénétrer la crème autour des brulures, se faisant papillon sur celles çi.

[Sang :]

Nika avait ce petit coté papa poule, tout de même. Ca ne se voyait pas au premier abord, mais à l'écouter parler avec fierté de sa petite sœur, alors qu'elle n'était pas là et nullement concernée par la discussion, on pouvait entendre son amour pour sa famille. Il n'avait jamais vraiment dit à voix haute la chose, mais n'avait pas non plus laissé prétendre le contraire ; lui à l'inverse de nombreux enfants de familles nombreuses, n'avait jamais ressenti le besoin de s'émanciper et s'il avait fait des conneries c'était bien justement parce que sa famille s'était disloquée. Maintenant qu'ils étaient à nouveau réunis, il allait mieux.
Je vous laisse donc imaginer l'état dans lequel il risquait de se retrouver l'année prochaine, sans ses sœurs... Mais bref, là n'était pas la question.
La petite remarque de Rose le fit sourire à nouveau, sincèrement. Disparu, le connard de Covenant qui envoyait chier tout le monde, il était devenu une brave bestiole qui profitait pleinement de la vie. Ne pas avoir d'alcool ou de drogues dans le système, au final, ça l'améliorait grandement, et il ne ressentait plus du tout les effets du manque. Restait juste à ne pas replonger, mais la perspective de masser la jeune femme – avec la crème, bien entendu – allait surement lui apporter la dose d'endorphines qu'il voulait.

« Moi, écrire des mémoires ? J'ai pas de talent pour l'écriture. Mais si tu veux écrire ma biographie, pas de soucis ! Disons dans une vingtaine d'années, que je rajoute des chapitres. Puisqu'il avait un peu eu vent de ce que sa mère voulait qu'il devienne, il savait très bien que sa réputation allait peut-être grandement changer, et surtout qu'il aurait bien des choses à dire. Et j'ai eu une enfance normale, tu sais. Enfin, pour moi c'est normal, j'ai rien connu d'autre. Et je suis sur que toi aussi tu dois avoir de bonnes anecdotes! »

La fille de deux des héros de la guerre devait avoir eu une sacrée enfance, à n'en pas douter. Il se rappelait encore son arrivée à Poudlard, et cette jalousie qu'il avait ressenti face à cette grande famille Weasley. Maintenant il avait appris à voir la noirceur derrière la beauté, et Roxanne lui avait raconté quelques petites histoires moins drôles sur sa famille. Mais bref.
Une fois qu'ils furent dans son dortoir, et les objets compromettants jartés de son lit – un poignard n'avait pas vraiment sa place içi – il avait tendu à la demoiselle un short afin qu'elle couvre ses jolies cuisses. En ne s'attendant pas vraiment à ce qu'elle allait lui dire.
Il cligna des yeux comme un hibou mal réveillé le temps que son cerveau lui montre une image forte alléchante de Rose torse nu, avant de se secouer et de sentir un peu mal à l'aise. C'était la copine de Ares, quoi.

« Ah. »

Très intelligent, comme réponse, mais là, il devait se contrôler pour ne pas mater. Ou penser. Ou poser ses mains quelque part qui serait inapproprié. Le bruissement d'une robe qu'on enlève fit grimper sa température mais il se contint tout de même et ne se retourna que lorsqu'elle lui déclara qu'elle était ridicule, un peu amusée.
Hm, allongée comme ça sur son lit, elle n'était pas du tout ridicule, mais il fallait se controler. Pense à Ombrage, pense à Ares qui va te tuer si jamais il apprend que tu l'as vu comme ça... Ca allait déjà mieux. Le pirate se concentra sur les zébrures rouges qui lui parcouraient le dos, s'approchant doucement et s'asseyant sur le lit, ayant déjà d'un air absent pris une noisette de crème entre ses doigts.

« Tu n'es pas ridicule du tout. Même très courageuse, j'en connais pas mal qui seraient en train de hurler avec des marques pareilles. Mais ne t'inquiètes pas, si tu te sens genée, j'éviterais de dire à ton copain que tu étais presque nue sur mon lit. »
Pour lui, pour elle, et puis pour la faire un peu rire, aussi. Avec son ton rieur, il avait enfin réussi à retrouver sa bonne humeur. Passée l'étrange passion qui l'avait pris. Il allait se mettre à lui passer la crème sur le dos quand elle posa une question très pertinente, et il s'arréta, ayant l'air d'un abruti encore.
Avant de rire.

« Euh, en fait, oui. Désolé, j'suis trop con, j'y avais pas pensé. Attends. »

Et de la main qui n'était pas couverte de baume, il prit sa baguette et ferma les rideaux autour d'eux ; un petit sort d'insonorisation, et tous ses potes en rentrant penseraient qu'il avait trouvé une demoiselle pour s'amuser. Et c'était bien une demoiselle, mais pas vraiment le genre d'amusement auquels ils pensaient.

« Là, normalement ils n'y verront que du... feu. Bravo Nika, tu fais un gros con parfois. Ca ne te dérange pas ? Promis, je garde mes mains baladeuses pour moi. »

Et de ne pas tenir parole en posant doucement ses doigts sur son dos, en mouvements circulaires, prenant le temps de faire bien pénétrer la crème autour des brulures, se faisant papillon sur celles çi.

[Camp :]

Nika avait ce petit coté papa poule, tout de même. Ca ne se voyait pas au premier abord, mais à l'écouter parler avec fierté de sa petite sœur, alors qu'elle n'était pas là et nullement concernée par la discussion, on pouvait entendre son amour pour sa famille. Il n'avait jamais vraiment dit à voix haute la chose, mais n'avait pas non plus laissé prétendre le contraire ; lui à l'inverse de nombreux enfants de familles nombreuses, n'avait jamais ressenti le besoin de s'émanciper et s'il avait fait des conneries c'était bien justement parce que sa famille s'était disloquée. Maintenant qu'ils étaient à nouveau réunis, il allait mieux.
Je vous laisse donc imaginer l'état dans lequel il risquait de se retrouver l'année prochaine, sans ses sœurs... Mais bref, là n'était pas la question.
La petite remarque de Rose le fit sourire à nouveau, sincèrement. Disparu, le connard de Covenant qui envoyait chier tout le monde, il était devenu une brave bestiole qui profitait pleinement de la vie. Ne pas avoir d'alcool ou de drogues dans le système, au final, ça l'améliorait grandement, et il ne ressentait plus du tout les effets du manque. Restait juste à ne pas replonger, mais la perspective de masser la jeune femme – avec la crème, bien entendu – allait surement lui apporter la dose d'endorphines qu'il voulait.

« Moi, écrire des mémoires ? J'ai pas de talent pour l'écriture. Mais si tu veux écrire ma biographie, pas de soucis ! Disons dans une vingtaine d'années, que je rajoute des chapitres. Puisqu'il avait un peu eu vent de ce que sa mère voulait qu'il devienne, il savait très bien que sa réputation allait peut-être grandement changer, et surtout qu'il aurait bien des choses à dire. Et j'ai eu une enfance normale, tu sais. Enfin, pour moi c'est normal, j'ai rien connu d'autre. Et je suis sur que toi aussi tu dois avoir de bonnes anecdotes! »

La fille de deux des héros de la guerre devait avoir eu une sacrée enfance, à n'en pas douter. Il se rappelait encore son arrivée à Poudlard, et cette jalousie qu'il avait ressenti face à cette grande famille Weasley. Maintenant il avait appris à voir la noirceur derrière la beauté, et Roxanne lui avait raconté quelques petites histoires moins drôles sur sa famille. Mais bref.
Une fois qu'ils furent dans son dortoir, et les objets compromettants jartés de son lit – un poignard n'avait pas vraiment sa place içi – il avait tendu à la demoiselle un short afin qu'elle couvre ses jolies cuisses. En ne s'attendant pas vraiment à ce qu'elle allait lui dire.
Il cligna des yeux comme un hibou mal réveillé le temps que son cerveau lui montre une image forte alléchante de Rose torse nu, avant de se secouer et de sentir un peu mal à l'aise. C'était la copine de Ares, quoi.

« Ah. »

Très intelligent, comme réponse, mais là, il devait se contrôler pour ne pas mater. Ou penser. Ou poser ses mains quelque part qui serait inapproprié. Le bruissement d'une robe qu'on enlève fit grimper sa température mais il se contint tout de même et ne se retourna que lorsqu'elle lui déclara qu'elle était ridicule, un peu amusée.
Hm, allongée comme ça sur son lit, elle n'était pas du tout ridicule, mais il fallait se controler. Pense à Ombrage, pense à Ares qui va te tuer si jamais il apprend que tu l'as vu comme ça... Ca allait déjà mieux. Le pirate se concentra sur les zébrures rouges qui lui parcouraient le dos, s'approchant doucement et s'asseyant sur le lit, ayant déjà d'un air absent pris une noisette de crème entre ses doigts.

« Tu n'es pas ridicule du tout. Même très courageuse, j'en connais pas mal qui seraient en train de hurler avec des marques pareilles. Mais ne t'inquiètes pas, si tu te sens genée, j'éviterais de dire à ton copain que tu étais presque nue sur mon lit. »
Pour lui, pour elle, et puis pour la faire un peu rire, aussi. Avec son ton rieur, il avait enfin réussi à retrouver sa bonne humeur. Passée l'étrange passion qui l'avait pris. Il allait se mettre à lui passer la crème sur le dos quand elle posa une question très pertinente, et il s'arréta, ayant l'air d'un abruti encore.
Avant de rire.

« Euh, en fait, oui. Désolé, j'suis trop con, j'y avais pas pensé. Attends. »

Et de la main qui n'était pas couverte de baume, il prit sa baguette et ferma les rideaux autour d'eux ; un petit sort d'insonorisation, et tous ses potes en rentrant penseraient qu'il avait trouvé une demoiselle pour s'amuser. Et c'était bien une demoiselle, mais pas vraiment le genre d'amusement auquels ils pensaient.

« Là, normalement ils n'y verront que du... feu. Bravo Nika, tu fais un gros con parfois. Ca ne te dérange pas ? Promis, je garde mes mains baladeuses pour moi. »

Et de ne pas tenir parole en posant doucement ses doigts sur son dos, en mouvements circulaires, prenant le temps de faire bien pénétrer la crème autour des brulures, se faisant papillon sur celles çi.

[Doubles-Comptes :]

Nika avait ce petit coté papa poule, tout de même. Ca ne se voyait pas au premier abord, mais à l'écouter parler avec fierté de sa petite sœur, alors qu'elle n'était pas là et nullement concernée par la discussion, on pouvait entendre son amour pour sa famille. Il n'avait jamais vraiment dit à voix haute la chose, mais n'avait pas non plus laissé prétendre le contraire ; lui à l'inverse de nombreux enfants de familles nombreuses, n'avait jamais ressenti le besoin de s'émanciper et s'il avait fait des conneries c'était bien justement parce que sa famille s'était disloquée. Maintenant qu'ils étaient à nouveau réunis, il allait mieux.
Je vous laisse donc imaginer l'état dans lequel il risquait de se retrouver l'année prochaine, sans ses sœurs... Mais bref, là n'était pas la question.
La petite remarque de Rose le fit sourire à nouveau, sincèrement. Disparu, le connard de Covenant qui envoyait chier tout le monde, il était devenu une brave bestiole qui profitait pleinement de la vie. Ne pas avoir d'alcool ou de drogues dans le système, au final, ça l'améliorait grandement, et il ne ressentait plus du tout les effets du manque. Restait juste à ne pas replonger, mais la perspective de masser la jeune femme – avec la crème, bien entendu – allait surement lui apporter la dose d'endorphines qu'il voulait.

« Moi, écrire des mémoires ? J'ai pas de talent pour l'écriture. Mais si tu veux écrire ma biographie, pas de soucis ! Disons dans une vingtaine d'années, que je rajoute des chapitres. Puisqu'il avait un peu eu vent de ce que sa mère voulait qu'il devienne, il savait très bien que sa réputation allait peut-être grandement changer, et surtout qu'il aurait bien des choses à dire. Et j'ai eu une enfance normale, tu sais. Enfin, pour moi c'est normal, j'ai rien connu d'autre. Et je suis sur que toi aussi tu dois avoir de bonnes anecdotes! »

La fille de deux des héros de la guerre devait avoir eu une sacrée enfance, à n'en pas douter. Il se rappelait encore son arrivée à Poudlard, et cette jalousie qu'il avait ressenti face à cette grande famille Weasley. Maintenant il avait appris à voir la noirceur derrière la beauté, et Roxanne lui avait raconté quelques petites histoires moins drôles sur sa famille. Mais bref.
Une fois qu'ils furent dans son dortoir, et les objets compromettants jartés de son lit – un poignard n'avait pas vraiment sa place içi – il avait tendu à la demoiselle un short afin qu'elle couvre ses jolies cuisses. En ne s'attendant pas vraiment à ce qu'elle allait lui dire.
Il cligna des yeux comme un hibou mal réveillé le temps que son cerveau lui montre une image forte alléchante de Rose torse nu, avant de se secouer et de sentir un peu mal à l'aise. C'était la copine de Ares, quoi.

« Ah. »

Très intelligent, comme réponse, mais là, il devait se contrôler pour ne pas mater. Ou penser. Ou poser ses mains quelque part qui serait inapproprié. Le bruissement d'une robe qu'on enlève fit grimper sa température mais il se contint tout de même et ne se retourna que lorsqu'elle lui déclara qu'elle était ridicule, un peu amusée.
Hm, allongée comme ça sur son lit, elle n'était pas du tout ridicule, mais il fallait se controler. Pense à Ombrage, pense à Ares qui va te tuer si jamais il apprend que tu l'as vu comme ça... Ca allait déjà mieux. Le pirate se concentra sur les zébrures rouges qui lui parcouraient le dos, s'approchant doucement et s'asseyant sur le lit, ayant déjà d'un air absent pris une noisette de crème entre ses doigts.

« Tu n'es pas ridicule du tout. Même très courageuse, j'en connais pas mal qui seraient en train de hurler avec des marques pareilles. Mais ne t'inquiètes pas, si tu te sens genée, j'éviterais de dire à ton copain que tu étais presque nue sur mon lit. »
Pour lui, pour elle, et puis pour la faire un peu rire, aussi. Avec son ton rieur, il avait enfin réussi à retrouver sa bonne humeur. Passée l'étrange passion qui l'avait pris. Il allait se mettre à lui passer la crème sur le dos quand elle posa une question très pertinente, et il s'arréta, ayant l'air d'un abruti encore.
Avant de rire.

« Euh, en fait, oui. Désolé, j'suis trop con, j'y avais pas pensé. Attends. »

Et de la main qui n'était pas couverte de baume, il prit sa baguette et ferma les rideaux autour d'eux ; un petit sort d'insonorisation, et tous ses potes en rentrant penseraient qu'il avait trouvé une demoiselle pour s'amuser. Et c'était bien une demoiselle, mais pas vraiment le genre d'amusement auquels ils pensaient.

« Là, normalement ils n'y verront que du... feu. Bravo Nika, tu fais un gros con parfois. Ca ne te dérange pas ? Promis, je garde mes mains baladeuses pour moi. »

Et de ne pas tenir parole en posant doucement ses doigts sur son dos, en mouvements circulaires, prenant le temps de faire bien pénétrer la crème autour des brulures, se faisant papillon sur celles çi.

Rester calme, rester zen... Penser à des choses très horribles et tout à fait tueuses de libido. Ce qui était un peu difficile à faire avec une Rose quasiment nue sous lui. Pardon papa maman, je sors avec une étrangère- ah oui mais non, le truc c'est que même si elle était très dévetue, il ne sortait pas avec. Donc techniquement, pas de souçis d'accord parental (comme si c'était ça qui l'avait dérangé auparavant), alors il pouvait se lacher... et même pas.

Comme quoi, essayer d'être super pote avec une fille qui avait hanté pas mal de rêves, c'était plus difficile qu'il n'y paraissait. La situation ne jouait sans doute pas non plus en sa faveur, mais tout de même, ca aurait du être précisé quelque part qu'un mec qui ne devrait ressent que de l'amitié pour une fille peut quand même avoir du mal à se concentrer dessus. Quoique, dans un sens, il était très concentré sur elle. Juste pas comme il aurait du.

Les pensées répulsives n'ayant guère marchés, il se mit donc à se concentrer plus sur son boulot qui consistait à la masser. Des mouvements circulaires et répétitifs, qui lui videraient rapidement l'esprit, concentré qu'il devait être pour ne pas non plus trop appuyer sur les cicatrices les plus fragiles en essayant quand même de faire pénétrer le plus de crème possible... Oui bon, pénétrer n'était pas le mot à utiliser là, et il sentit ses joues se mettre à chauffer de manière étrange en se fustigeant de tous les noms.
C'était vraiment pas très bien de sa part de fantasmer juste sur le dos d'une fille, surtout alors qu'elle souffrait atrocement et qu'il devait avoir un rôle de docteur. Soit être impartial et arrêter de penser à autre chose qu'au traitement. Ou au fait que les doigts de pied de Rose étaient vraiment mignons. Ou qu'elle avait l'air de retenir son souffle. Il ne lui faisait pas mal, au moins ?
C'était d'ailleurs à ce propos qu'il allait briser le silence, afin de savoir s'il ne rendait pas les choses pires qu'elles n'étaient déjà, que la miss se mit à prendre rendez vous. Hm, pardon ? Ah, oui, la biographie.

Un petit rire lui échappa, lui permettant aussi de se débarasser de ses pensées malsaines, et il embraya sur ce sujet, avec des images beaucoup plus cocasses en tête.
« C'est d'accord. Tu imagines la tête qu'on aura ? Quoique, je ne sais pas si la Ministre de la Magie aura du temps à m'accorder, à moi, le pauvre tatoueur pirate... »
Le tout avec un sourire de connivence. Bien qu'il pensait réellement que la jeune femme, si elle le voulait, avait toutes les qualités pour aller très loin, il la taquinait aussi pour sonder ses intentions réelles. Au final, Rose, il ne la connaissait qu'en... surface. (et c'était ENCORE pas une bonne image). Et même si rien ne se ferait entre eux maintenant qu'elle était avec Arès, au bout de sept années de vie commune, c'était le genre de choses qu'il aurait du déjà savoir. Bon, entre ses copines, la baston, la drogue, bref, tous les trucs qu'il avait essayé pour détruire sa vie, il avait été assez occupé, mais maintenant il n'avait pas d'excuses.

La remarque suivante sur Arès lui arracha à son tour un autre rire – jaune, celui-çi. Oui, en effet, il valait mieux pour leur santé à tous les deux que Arès ne sache jamais ce qui s'était passé. Quoique, devant témoins, il ne pourrait pas vraiment les écorcher vifs, après tout, il lui avait juste fait un massage, en tant qu'amis, etc... Tout le monde y croirait vu son passé, certes, mais c'était dommage qu'ils en soient rendus à un tel climat de paranoïa. Lui, il laissait bien Arès et Lucy discuter tout le temps ensemble. Et le fait qu'il ne sortait techniquement PAS avec Lucy n'avait rien à voir la dedans, d'abord.

Il préféra ensuite garder sa salive pour lui et arrêter d'ouvrir la bouche pour tenter d'émettre des sons humains : il n'y arrivait pas. Dés que Rose parlait, ça faisait vibrer tout son dos, et donc ses doigts, et il ressentait une sensation étrange dans le ventre. La sensation qu'il connaissait par cœur, certes, mais une qui était proscrite à ce moment là. Pense à Arès, pense à ce qu'il peut te faire pendant ton sommeil...
Le pirate eu cependant un petit temps d’arrêt alors qu'elle lui disait qu'il était doux. Doux, lui ? Il y avait erreur sur la personne, à n'en pas douter. Il était brutal, rustre, mais pas... pas ce qu'elle avait sous entendu. Reprenant son massage afin de ne pas lui faire remarquer qu'elle l'avait déstabilisé, il en oubliait que ça faisait bien longtemps que la crème était finie. Qu'il ne faisait plus rien d'autre que des massages pour le plaisir. Et la voir relaxée comme ça c'était un peu trop pour qu'il ne craque pas un peu. Si lui s'était bien sorti de l'histoire du carnaval, il n'en restait pas moins qu'il était bien sur les nerfs depuis.

« Je ne suis pas... doux. Pas vraiment. Pas assez souvent. C'est juste que.. j'ai envie de te protéger. Je sais que c'est con mais... Avec toi c'est plus facile d'être.. calme. Excuse moi, je raconte de la merde. »

Et un soupir et un regard sur le coté un peu géné. Ca ressemblait assez à une déclaration pour qu'il se sente mal, mais il espérait qu'elle ne prendrait pas mal. C'était simplement la vérité, aussi, même s'il jouait au bravache et avait toujours déliré devant elle, Rose avait cette petite flamme qui le faisait filer doux sans problème.

[Messages :]

Rester calme, rester zen... Penser à des choses très horribles et tout à fait tueuses de libido. Ce qui était un peu difficile à faire avec une Rose quasiment nue sous lui. Pardon papa maman, je sors avec une étrangère- ah oui mais non, le truc c'est que même si elle était très dévetue, il ne sortait pas avec. Donc techniquement, pas de souçis d'accord parental (comme si c'était ça qui l'avait dérangé auparavant), alors il pouvait se lacher... et même pas.

Comme quoi, essayer d'être super pote avec une fille qui avait hanté pas mal de rêves, c'était plus difficile qu'il n'y paraissait. La situation ne jouait sans doute pas non plus en sa faveur, mais tout de même, ca aurait du être précisé quelque part qu'un mec qui ne devrait ressent que de l'amitié pour une fille peut quand même avoir du mal à se concentrer dessus. Quoique, dans un sens, il était très concentré sur elle. Juste pas comme il aurait du.

Les pensées répulsives n'ayant guère marchés, il se mit donc à se concentrer plus sur son boulot qui consistait à la masser. Des mouvements circulaires et répétitifs, qui lui videraient rapidement l'esprit, concentré qu'il devait être pour ne pas non plus trop appuyer sur les cicatrices les plus fragiles en essayant quand même de faire pénétrer le plus de crème possible... Oui bon, pénétrer n'était pas le mot à utiliser là, et il sentit ses joues se mettre à chauffer de manière étrange en se fustigeant de tous les noms.
C'était vraiment pas très bien de sa part de fantasmer juste sur le dos d'une fille, surtout alors qu'elle souffrait atrocement et qu'il devait avoir un rôle de docteur. Soit être impartial et arrêter de penser à autre chose qu'au traitement. Ou au fait que les doigts de pied de Rose étaient vraiment mignons. Ou qu'elle avait l'air de retenir son souffle. Il ne lui faisait pas mal, au moins ?
C'était d'ailleurs à ce propos qu'il allait briser le silence, afin de savoir s'il ne rendait pas les choses pires qu'elles n'étaient déjà, que la miss se mit à prendre rendez vous. Hm, pardon ? Ah, oui, la biographie.

Un petit rire lui échappa, lui permettant aussi de se débarasser de ses pensées malsaines, et il embraya sur ce sujet, avec des images beaucoup plus cocasses en tête.
« C'est d'accord. Tu imagines la tête qu'on aura ? Quoique, je ne sais pas si la Ministre de la Magie aura du temps à m'accorder, à moi, le pauvre tatoueur pirate... »
Le tout avec un sourire de connivence. Bien qu'il pensait réellement que la jeune femme, si elle le voulait, avait toutes les qualités pour aller très loin, il la taquinait aussi pour sonder ses intentions réelles. Au final, Rose, il ne la connaissait qu'en... surface. (et c'était ENCORE pas une bonne image). Et même si rien ne se ferait entre eux maintenant qu'elle était avec Arès, au bout de sept années de vie commune, c'était le genre de choses qu'il aurait du déjà savoir. Bon, entre ses copines, la baston, la drogue, bref, tous les trucs qu'il avait essayé pour détruire sa vie, il avait été assez occupé, mais maintenant il n'avait pas d'excuses.

La remarque suivante sur Arès lui arracha à son tour un autre rire – jaune, celui-çi. Oui, en effet, il valait mieux pour leur santé à tous les deux que Arès ne sache jamais ce qui s'était passé. Quoique, devant témoins, il ne pourrait pas vraiment les écorcher vifs, après tout, il lui avait juste fait un massage, en tant qu'amis, etc... Tout le monde y croirait vu son passé, certes, mais c'était dommage qu'ils en soient rendus à un tel climat de paranoïa. Lui, il laissait bien Arès et Lucy discuter tout le temps ensemble. Et le fait qu'il ne sortait techniquement PAS avec Lucy n'avait rien à voir la dedans, d'abord.

Il préféra ensuite garder sa salive pour lui et arrêter d'ouvrir la bouche pour tenter d'émettre des sons humains : il n'y arrivait pas. Dés que Rose parlait, ça faisait vibrer tout son dos, et donc ses doigts, et il ressentait une sensation étrange dans le ventre. La sensation qu'il connaissait par cœur, certes, mais une qui était proscrite à ce moment là. Pense à Arès, pense à ce qu'il peut te faire pendant ton sommeil...
Le pirate eu cependant un petit temps d’arrêt alors qu'elle lui disait qu'il était doux. Doux, lui ? Il y avait erreur sur la personne, à n'en pas douter. Il était brutal, rustre, mais pas... pas ce qu'elle avait sous entendu. Reprenant son massage afin de ne pas lui faire remarquer qu'elle l'avait déstabilisé, il en oubliait que ça faisait bien longtemps que la crème était finie. Qu'il ne faisait plus rien d'autre que des massages pour le plaisir. Et la voir relaxée comme ça c'était un peu trop pour qu'il ne craque pas un peu. Si lui s'était bien sorti de l'histoire du carnaval, il n'en restait pas moins qu'il était bien sur les nerfs depuis.

« Je ne suis pas... doux. Pas vraiment. Pas assez souvent. C'est juste que.. j'ai envie de te protéger. Je sais que c'est con mais... Avec toi c'est plus facile d'être.. calme. Excuse moi, je raconte de la merde. »

Et un soupir et un regard sur le coté un peu géné. Ca ressemblait assez à une déclaration pour qu'il se sente mal, mais il espérait qu'elle ne prendrait pas mal. C'était simplement la vérité, aussi, même s'il jouait au bravache et avait toujours déliré devant elle, Rose avait cette petite flamme qui le faisait filer doux sans problème.

[Points :]

Rester calme, rester zen... Penser à des choses très horribles et tout à fait tueuses de libido. Ce qui était un peu difficile à faire avec une Rose quasiment nue sous lui. Pardon papa maman, je sors avec une étrangère- ah oui mais non, le truc c'est que même si elle était très dévetue, il ne sortait pas avec. Donc techniquement, pas de souçis d'accord parental (comme si c'était ça qui l'avait dérangé auparavant), alors il pouvait se lacher... et même pas.

Comme quoi, essayer d'être super pote avec une fille qui avait hanté pas mal de rêves, c'était plus difficile qu'il n'y paraissait. La situation ne jouait sans doute pas non plus en sa faveur, mais tout de même, ca aurait du être précisé quelque part qu'un mec qui ne devrait ressent que de l'amitié pour une fille peut quand même avoir du mal à se concentrer dessus. Quoique, dans un sens, il était très concentré sur elle. Juste pas comme il aurait du.

Les pensées répulsives n'ayant guère marchés, il se mit donc à se concentrer plus sur son boulot qui consistait à la masser. Des mouvements circulaires et répétitifs, qui lui videraient rapidement l'esprit, concentré qu'il devait être pour ne pas non plus trop appuyer sur les cicatrices les plus fragiles en essayant quand même de faire pénétrer le plus de crème possible... Oui bon, pénétrer n'était pas le mot à utiliser là, et il sentit ses joues se mettre à chauffer de manière étrange en se fustigeant de tous les noms.
C'était vraiment pas très bien de sa part de fantasmer juste sur le dos d'une fille, surtout alors qu'elle souffrait atrocement et qu'il devait avoir un rôle de docteur. Soit être impartial et arrêter de penser à autre chose qu'au traitement. Ou au fait que les doigts de pied de Rose étaient vraiment mignons. Ou qu'elle avait l'air de retenir son souffle. Il ne lui faisait pas mal, au moins ?
C'était d'ailleurs à ce propos qu'il allait briser le silence, afin de savoir s'il ne rendait pas les choses pires qu'elles n'étaient déjà, que la miss se mit à prendre rendez vous. Hm, pardon ? Ah, oui, la biographie.

Un petit rire lui échappa, lui permettant aussi de se débarasser de ses pensées malsaines, et il embraya sur ce sujet, avec des images beaucoup plus cocasses en tête.
« C'est d'accord. Tu imagines la tête qu'on aura ? Quoique, je ne sais pas si la Ministre de la Magie aura du temps à m'accorder, à moi, le pauvre tatoueur pirate... »
Le tout avec un sourire de connivence. Bien qu'il pensait réellement que la jeune femme, si elle le voulait, avait toutes les qualités pour aller très loin, il la taquinait aussi pour sonder ses intentions réelles. Au final, Rose, il ne la connaissait qu'en... surface. (et c'était ENCORE pas une bonne image). Et même si rien ne se ferait entre eux maintenant qu'elle était avec Arès, au bout de sept années de vie commune, c'était le genre de choses qu'il aurait du déjà savoir. Bon, entre ses copines, la baston, la drogue, bref, tous les trucs qu'il avait essayé pour détruire sa vie, il avait été assez occupé, mais maintenant il n'avait pas d'excuses.

La remarque suivante sur Arès lui arracha à son tour un autre rire – jaune, celui-çi. Oui, en effet, il valait mieux pour leur santé à tous les deux que Arès ne sache jamais ce qui s'était passé. Quoique, devant témoins, il ne pourrait pas vraiment les écorcher vifs, après tout, il lui avait juste fait un massage, en tant qu'amis, etc... Tout le monde y croirait vu son passé, certes, mais c'était dommage qu'ils en soient rendus à un tel climat de paranoïa. Lui, il laissait bien Arès et Lucy discuter tout le temps ensemble. Et le fait qu'il ne sortait techniquement PAS avec Lucy n'avait rien à voir la dedans, d'abord.

Il préféra ensuite garder sa salive pour lui et arrêter d'ouvrir la bouche pour tenter d'émettre des sons humains : il n'y arrivait pas. Dés que Rose parlait, ça faisait vibrer tout son dos, et donc ses doigts, et il ressentait une sensation étrange dans le ventre. La sensation qu'il connaissait par cœur, certes, mais une qui était proscrite à ce moment là. Pense à Arès, pense à ce qu'il peut te faire pendant ton sommeil...
Le pirate eu cependant un petit temps d’arrêt alors qu'elle lui disait qu'il était doux. Doux, lui ? Il y avait erreur sur la personne, à n'en pas douter. Il était brutal, rustre, mais pas... pas ce qu'elle avait sous entendu. Reprenant son massage afin de ne pas lui faire remarquer qu'elle l'avait déstabilisé, il en oubliait que ça faisait bien longtemps que la crème était finie. Qu'il ne faisait plus rien d'autre que des massages pour le plaisir. Et la voir relaxée comme ça c'était un peu trop pour qu'il ne craque pas un peu. Si lui s'était bien sorti de l'histoire du carnaval, il n'en restait pas moins qu'il était bien sur les nerfs depuis.

« Je ne suis pas... doux. Pas vraiment. Pas assez souvent. C'est juste que.. j'ai envie de te protéger. Je sais que c'est con mais... Avec toi c'est plus facile d'être.. calme. Excuse moi, je raconte de la merde. »

Et un soupir et un regard sur le coté un peu géné. Ca ressemblait assez à une déclaration pour qu'il se sente mal, mais il espérait qu'elle ne prendrait pas mal. C'était simplement la vérité, aussi, même s'il jouait au bravache et avait toujours déliré devant elle, Rose avait cette petite flamme qui le faisait filer doux sans problème.

[Avatar :]

Rester calme, rester zen... Penser à des choses très horribles et tout à fait tueuses de libido. Ce qui était un peu difficile à faire avec une Rose quasiment nue sous lui. Pardon papa maman, je sors avec une étrangère- ah oui mais non, le truc c'est que même si elle était très dévetue, il ne sortait pas avec. Donc techniquement, pas de souçis d'accord parental (comme si c'était ça qui l'avait dérangé auparavant), alors il pouvait se lacher... et même pas.

Comme quoi, essayer d'être super pote avec une fille qui avait hanté pas mal de rêves, c'était plus difficile qu'il n'y paraissait. La situation ne jouait sans doute pas non plus en sa faveur, mais tout de même, ca aurait du être précisé quelque part qu'un mec qui ne devrait ressent que de l'amitié pour une fille peut quand même avoir du mal à se concentrer dessus. Quoique, dans un sens, il était très concentré sur elle. Juste pas comme il aurait du.

Les pensées répulsives n'ayant guère marchés, il se mit donc à se concentrer plus sur son boulot qui consistait à la masser. Des mouvements circulaires et répétitifs, qui lui videraient rapidement l'esprit, concentré qu'il devait être pour ne pas non plus trop appuyer sur les cicatrices les plus fragiles en essayant quand même de faire pénétrer le plus de crème possible... Oui bon, pénétrer n'était pas le mot à utiliser là, et il sentit ses joues se mettre à chauffer de manière étrange en se fustigeant de tous les noms.
C'était vraiment pas très bien de sa part de fantasmer juste sur le dos d'une fille, surtout alors qu'elle souffrait atrocement et qu'il devait avoir un rôle de docteur. Soit être impartial et arrêter de penser à autre chose qu'au traitement. Ou au fait que les doigts de pied de Rose étaient vraiment mignons. Ou qu'elle avait l'air de retenir son souffle. Il ne lui faisait pas mal, au moins ?
C'était d'ailleurs à ce propos qu'il allait briser le silence, afin de savoir s'il ne rendait pas les choses pires qu'elles n'étaient déjà, que la miss se mit à prendre rendez vous. Hm, pardon ? Ah, oui, la biographie.

Un petit rire lui échappa, lui permettant aussi de se débarasser de ses pensées malsaines, et il embraya sur ce sujet, avec des images beaucoup plus cocasses en tête.
« C'est d'accord. Tu imagines la tête qu'on aura ? Quoique, je ne sais pas si la Ministre de la Magie aura du temps à m'accorder, à moi, le pauvre tatoueur pirate... »
Le tout avec un sourire de connivence. Bien qu'il pensait réellement que la jeune femme, si elle le voulait, avait toutes les qualités pour aller très loin, il la taquinait aussi pour sonder ses intentions réelles. Au final, Rose, il ne la connaissait qu'en... surface. (et c'était ENCORE pas une bonne image). Et même si rien ne se ferait entre eux maintenant qu'elle était avec Arès, au bout de sept années de vie commune, c'était le genre de choses qu'il aurait du déjà savoir. Bon, entre ses copines, la baston, la drogue, bref, tous les trucs qu'il avait essayé pour détruire sa vie, il avait été assez occupé, mais maintenant il n'avait pas d'excuses.

La remarque suivante sur Arès lui arracha à son tour un autre rire – jaune, celui-çi. Oui, en effet, il valait mieux pour leur santé à tous les deux que Arès ne sache jamais ce qui s'était passé. Quoique, devant témoins, il ne pourrait pas vraiment les écorcher vifs, après tout, il lui avait juste fait un massage, en tant qu'amis, etc... Tout le monde y croirait vu son passé, certes, mais c'était dommage qu'ils en soient rendus à un tel climat de paranoïa. Lui, il laissait bien Arès et Lucy discuter tout le temps ensemble. Et le fait qu'il ne sortait techniquement PAS avec Lucy n'avait rien à voir la dedans, d'abord.

Il préféra ensuite garder sa salive pour lui et arrêter d'ouvrir la bouche pour tenter d'émettre des sons humains : il n'y arrivait pas. Dés que Rose parlait, ça faisait vibrer tout son dos, et donc ses doigts, et il ressentait une sensation étrange dans le ventre. La sensation qu'il connaissait par cœur, certes, mais une qui était proscrite à ce moment là. Pense à Arès, pense à ce qu'il peut te faire pendant ton sommeil...
Le pirate eu cependant un petit temps d’arrêt alors qu'elle lui disait qu'il était doux. Doux, lui ? Il y avait erreur sur la personne, à n'en pas douter. Il était brutal, rustre, mais pas... pas ce qu'elle avait sous entendu. Reprenant son massage afin de ne pas lui faire remarquer qu'elle l'avait déstabilisé, il en oubliait que ça faisait bien longtemps que la crème était finie. Qu'il ne faisait plus rien d'autre que des massages pour le plaisir. Et la voir relaxée comme ça c'était un peu trop pour qu'il ne craque pas un peu. Si lui s'était bien sorti de l'histoire du carnaval, il n'en restait pas moins qu'il était bien sur les nerfs depuis.

« Je ne suis pas... doux. Pas vraiment. Pas assez souvent. C'est juste que.. j'ai envie de te protéger. Je sais que c'est con mais... Avec toi c'est plus facile d'être.. calme. Excuse moi, je raconte de la merde. »

Et un soupir et un regard sur le coté un peu géné. Ca ressemblait assez à une déclaration pour qu'il se sente mal, mais il espérait qu'elle ne prendrait pas mal. C'était simplement la vérité, aussi, même s'il jouait au bravache et avait toujours déliré devant elle, Rose avait cette petite flamme qui le faisait filer doux sans problème.

[Crédits :]

Rester calme, rester zen... Penser à des choses très horribles et tout à fait tueuses de libido. Ce qui était un peu difficile à faire avec une Rose quasiment nue sous lui. Pardon papa maman, je sors avec une étrangère- ah oui mais non, le truc c'est que même si elle était très dévetue, il ne sortait pas avec. Donc techniquement, pas de souçis d'accord parental (comme si c'était ça qui l'avait dérangé auparavant), alors il pouvait se lacher... et même pas.

Comme quoi, essayer d'être super pote avec une fille qui avait hanté pas mal de rêves, c'était plus difficile qu'il n'y paraissait. La situation ne jouait sans doute pas non plus en sa faveur, mais tout de même, ca aurait du être précisé quelque part qu'un mec qui ne devrait ressent que de l'amitié pour une fille peut quand même avoir du mal à se concentrer dessus. Quoique, dans un sens, il était très concentré sur elle. Juste pas comme il aurait du.

Les pensées répulsives n'ayant guère marchés, il se mit donc à se concentrer plus sur son boulot qui consistait à la masser. Des mouvements circulaires et répétitifs, qui lui videraient rapidement l'esprit, concentré qu'il devait être pour ne pas non plus trop appuyer sur les cicatrices les plus fragiles en essayant quand même de faire pénétrer le plus de crème possible... Oui bon, pénétrer n'était pas le mot à utiliser là, et il sentit ses joues se mettre à chauffer de manière étrange en se fustigeant de tous les noms.
C'était vraiment pas très bien de sa part de fantasmer juste sur le dos d'une fille, surtout alors qu'elle souffrait atrocement et qu'il devait avoir un rôle de docteur. Soit être impartial et arrêter de penser à autre chose qu'au traitement. Ou au fait que les doigts de pied de Rose étaient vraiment mignons. Ou qu'elle avait l'air de retenir son souffle. Il ne lui faisait pas mal, au moins ?
C'était d'ailleurs à ce propos qu'il allait briser le silence, afin de savoir s'il ne rendait pas les choses pires qu'elles n'étaient déjà, que la miss se mit à prendre rendez vous. Hm, pardon ? Ah, oui, la biographie.

Un petit rire lui échappa, lui permettant aussi de se débarasser de ses pensées malsaines, et il embraya sur ce sujet, avec des images beaucoup plus cocasses en tête.
« C'est d'accord. Tu imagines la tête qu'on aura ? Quoique, je ne sais pas si la Ministre de la Magie aura du temps à m'accorder, à moi, le pauvre tatoueur pirate... »
Le tout avec un sourire de connivence. Bien qu'il pensait réellement que la jeune femme, si elle le voulait, avait toutes les qualités pour aller très loin, il la taquinait aussi pour sonder ses intentions réelles. Au final, Rose, il ne la connaissait qu'en... surface. (et c'était ENCORE pas une bonne image). Et même si rien ne se ferait entre eux maintenant qu'elle était avec Arès, au bout de sept années de vie commune, c'était le genre de choses qu'il aurait du déjà savoir. Bon, entre ses copines, la baston, la drogue, bref, tous les trucs qu'il avait essayé pour détruire sa vie, il avait été assez occupé, mais maintenant il n'avait pas d'excuses.

La remarque suivante sur Arès lui arracha à son tour un autre rire – jaune, celui-çi. Oui, en effet, il valait mieux pour leur santé à tous les deux que Arès ne sache jamais ce qui s'était passé. Quoique, devant témoins, il ne pourrait pas vraiment les écorcher vifs, après tout, il lui avait juste fait un massage, en tant qu'amis, etc... Tout le monde y croirait vu son passé, certes, mais c'était dommage qu'ils en soient rendus à un tel climat de paranoïa. Lui, il laissait bien Arès et Lucy discuter tout le temps ensemble. Et le fait qu'il ne sortait techniquement PAS avec Lucy n'avait rien à voir la dedans, d'abord.

Il préféra ensuite garder sa salive pour lui et arrêter d'ouvrir la bouche pour tenter d'émettre des sons humains : il n'y arrivait pas. Dés que Rose parlait, ça faisait vibrer tout son dos, et donc ses doigts, et il ressentait une sensation étrange dans le ventre. La sensation qu'il connaissait par cœur, certes, mais une qui était proscrite à ce moment là. Pense à Arès, pense à ce qu'il peut te faire pendant ton sommeil...
Le pirate eu cependant un petit temps d’arrêt alors qu'elle lui disait qu'il était doux. Doux, lui ? Il y avait erreur sur la personne, à n'en pas douter. Il était brutal, rustre, mais pas... pas ce qu'elle avait sous entendu. Reprenant son massage afin de ne pas lui faire remarquer qu'elle l'avait déstabilisé, il en oubliait que ça faisait bien longtemps que la crème était finie. Qu'il ne faisait plus rien d'autre que des massages pour le plaisir. Et la voir relaxée comme ça c'était un peu trop pour qu'il ne craque pas un peu. Si lui s'était bien sorti de l'histoire du carnaval, il n'en restait pas moins qu'il était bien sur les nerfs depuis.

« Je ne suis pas... doux. Pas vraiment. Pas assez souvent. C'est juste que.. j'ai envie de te protéger. Je sais que c'est con mais... Avec toi c'est plus facile d'être.. calme. Excuse moi, je raconte de la merde. »

Et un soupir et un regard sur le coté un peu géné. Ca ressemblait assez à une déclaration pour qu'il se sente mal, mais il espérait qu'elle ne prendrait pas mal. C'était simplement la vérité, aussi, même s'il jouait au bravache et avait toujours déliré devant elle, Rose avait cette petite flamme qui le faisait filer doux sans problème.

[Age RPG :]

Rester calme, rester zen... Penser à des choses très horribles et tout à fait tueuses de libido. Ce qui était un peu difficile à faire avec une Rose quasiment nue sous lui. Pardon papa maman, je sors avec une étrangère- ah oui mais non, le truc c'est que même si elle était très dévetue, il ne sortait pas avec. Donc techniquement, pas de souçis d'accord parental (comme si c'était ça qui l'avait dérangé auparavant), alors il pouvait se lacher... et même pas.

Comme quoi, essayer d'être super pote avec une fille qui avait hanté pas mal de rêves, c'était plus difficile qu'il n'y paraissait. La situation ne jouait sans doute pas non plus en sa faveur, mais tout de même, ca aurait du être précisé quelque part qu'un mec qui ne devrait ressent que de l'amitié pour une fille peut quand même avoir du mal à se concentrer dessus. Quoique, dans un sens, il était très concentré sur elle. Juste pas comme il aurait du.

Les pensées répulsives n'ayant guère marchés, il se mit donc à se concentrer plus sur son boulot qui consistait à la masser. Des mouvements circulaires et répétitifs, qui lui videraient rapidement l'esprit, concentré qu'il devait être pour ne pas non plus trop appuyer sur les cicatrices les plus fragiles en essayant quand même de faire pénétrer le plus de crème possible... Oui bon, pénétrer n'était pas le mot à utiliser là, et il sentit ses joues se mettre à chauffer de manière étrange en se fustigeant de tous les noms.
C'était vraiment pas très bien de sa part de fantasmer juste sur le dos d'une fille, surtout alors qu'elle souffrait atrocement et qu'il devait avoir un rôle de docteur. Soit être impartial et arrêter de penser à autre chose qu'au traitement. Ou au fait que les doigts de pied de Rose étaient vraiment mignons. Ou qu'elle avait l'air de retenir son souffle. Il ne lui faisait pas mal, au moins ?
C'était d'ailleurs à ce propos qu'il allait briser le silence, afin de savoir s'il ne rendait pas les choses pires qu'elles n'étaient déjà, que la miss se mit à prendre rendez vous. Hm, pardon ? Ah, oui, la biographie.

Un petit rire lui échappa, lui permettant aussi de se débarasser de ses pensées malsaines, et il embraya sur ce sujet, avec des images beaucoup plus cocasses en tête.
« C'est d'accord. Tu imagines la tête qu'on aura ? Quoique, je ne sais pas si la Ministre de la Magie aura du temps à m'accorder, à moi, le pauvre tatoueur pirate... »
Le tout avec un sourire de connivence. Bien qu'il pensait réellement que la jeune femme, si elle le voulait, avait toutes les qualités pour aller très loin, il la taquinait aussi pour sonder ses intentions réelles. Au final, Rose, il ne la connaissait qu'en... surface. (et c'était ENCORE pas une bonne image). Et même si rien ne se ferait entre eux maintenant qu'elle était avec Arès, au bout de sept années de vie commune, c'était le genre de choses qu'il aurait du déjà savoir. Bon, entre ses copines, la baston, la drogue, bref, tous les trucs qu'il avait essayé pour détruire sa vie, il avait été assez occupé, mais maintenant il n'avait pas d'excuses.

La remarque suivante sur Arès lui arracha à son tour un autre rire – jaune, celui-çi. Oui, en effet, il valait mieux pour leur santé à tous les deux que Arès ne sache jamais ce qui s'était passé. Quoique, devant témoins, il ne pourrait pas vraiment les écorcher vifs, après tout, il lui avait juste fait un massage, en tant qu'amis, etc... Tout le monde y croirait vu son passé, certes, mais c'était dommage qu'ils en soient rendus à un tel climat de paranoïa. Lui, il laissait bien Arès et Lucy discuter tout le temps ensemble. Et le fait qu'il ne sortait techniquement PAS avec Lucy n'avait rien à voir la dedans, d'abord.

Il préféra ensuite garder sa salive pour lui et arrêter d'ouvrir la bouche pour tenter d'émettre des sons humains : il n'y arrivait pas. Dés que Rose parlait, ça faisait vibrer tout son dos, et donc ses doigts, et il ressentait une sensation étrange dans le ventre. La sensation qu'il connaissait par cœur, certes, mais une qui était proscrite à ce moment là. Pense à Arès, pense à ce qu'il peut te faire pendant ton sommeil...
Le pirate eu cependant un petit temps d’arrêt alors qu'elle lui disait qu'il était doux. Doux, lui ? Il y avait erreur sur la personne, à n'en pas douter. Il était brutal, rustre, mais pas... pas ce qu'elle avait sous entendu. Reprenant son massage afin de ne pas lui faire remarquer qu'elle l'avait déstabilisé, il en oubliait que ça faisait bien longtemps que la crème était finie. Qu'il ne faisait plus rien d'autre que des massages pour le plaisir. Et la voir relaxée comme ça c'était un peu trop pour qu'il ne craque pas un peu. Si lui s'était bien sorti de l'histoire du carnaval, il n'en restait pas moins qu'il était bien sur les nerfs depuis.

« Je ne suis pas... doux. Pas vraiment. Pas assez souvent. C'est juste que.. j'ai envie de te protéger. Je sais que c'est con mais... Avec toi c'est plus facile d'être.. calme. Excuse moi, je raconte de la merde. »

Et un soupir et un regard sur le coté un peu géné. Ca ressemblait assez à une déclaration pour qu'il se sente mal, mais il espérait qu'elle ne prendrait pas mal. C'était simplement la vérité, aussi, même s'il jouait au bravache et avait toujours déliré devant elle, Rose avait cette petite flamme qui le faisait filer doux sans problème.

[Sang :]

Rester calme, rester zen... Penser à des choses très horribles et tout à fait tueuses de libido. Ce qui était un peu difficile à faire avec une Rose quasiment nue sous lui. Pardon papa maman, je sors avec une étrangère- ah oui mais non, le truc c'est que même si elle était très dévetue, il ne sortait pas avec. Donc techniquement, pas de souçis d'accord parental (comme si c'était ça qui l'avait dérangé auparavant), alors il pouvait se lacher... et même pas.

Comme quoi, essayer d'être super pote avec une fille qui avait hanté pas mal de rêves, c'était plus difficile qu'il n'y paraissait. La situation ne jouait sans doute pas non plus en sa faveur, mais tout de même, ca aurait du être précisé quelque part qu'un mec qui ne devrait ressent que de l'amitié pour une fille peut quand même avoir du mal à se concentrer dessus. Quoique, dans un sens, il était très concentré sur elle. Juste pas comme il aurait du.

Les pensées répulsives n'ayant guère marchés, il se mit donc à se concentrer plus sur son boulot qui consistait à la masser. Des mouvements circulaires et répétitifs, qui lui videraient rapidement l'esprit, concentré qu'il devait être pour ne pas non plus trop appuyer sur les cicatrices les plus fragiles en essayant quand même de faire pénétrer le plus de crème possible... Oui bon, pénétrer n'était pas le mot à utiliser là, et il sentit ses joues se mettre à chauffer de manière étrange en se fustigeant de tous les noms.
C'était vraiment pas très bien de sa part de fantasmer juste sur le dos d'une fille, surtout alors qu'elle souffrait atrocement et qu'il devait avoir un rôle de docteur. Soit être impartial et arrêter de penser à autre chose qu'au traitement. Ou au fait que les doigts de pied de Rose étaient vraiment mignons. Ou qu'elle avait l'air de retenir son souffle. Il ne lui faisait pas mal, au moins ?
C'était d'ailleurs à ce propos qu'il allait briser le silence, afin de savoir s'il ne rendait pas les choses pires qu'elles n'étaient déjà, que la miss se mit à prendre rendez vous. Hm, pardon ? Ah, oui, la biographie.

Un petit rire lui échappa, lui permettant aussi de se débarasser de ses pensées malsaines, et il embraya sur ce sujet, avec des images beaucoup plus cocasses en tête.
« C'est d'accord. Tu imagines la tête qu'on aura ? Quoique, je ne sais pas si la Ministre de la Magie aura du temps à m'accorder, à moi, le pauvre tatoueur pirate... »
Le tout avec un sourire de connivence. Bien qu'il pensait réellement que la jeune femme, si elle le voulait, avait toutes les qualités pour aller très loin, il la taquinait aussi pour sonder ses intentions réelles. Au final, Rose, il ne la connaissait qu'en... surface. (et c'était ENCORE pas une bonne image). Et même si rien ne se ferait entre eux maintenant qu'elle était avec Arès, au bout de sept années de vie commune, c'était le genre de choses qu'il aurait du déjà savoir. Bon, entre ses copines, la baston, la drogue, bref, tous les trucs qu'il avait essayé pour détruire sa vie, il avait été assez occupé, mais maintenant il n'avait pas d'excuses.

La remarque suivante sur Arès lui arracha à son tour un autre rire – jaune, celui-çi. Oui, en effet, il valait mieux pour leur santé à tous les deux que Arès ne sache jamais ce qui s'était passé. Quoique, devant témoins, il ne pourrait pas vraiment les écorcher vifs, après tout, il lui avait juste fait un massage, en tant qu'amis, etc... Tout le monde y croirait vu son passé, certes, mais c'était dommage qu'ils en soient rendus à un tel climat de paranoïa. Lui, il laissait bien Arès et Lucy discuter tout le temps ensemble. Et le fait qu'il ne sortait techniquement PAS avec Lucy n'avait rien à voir la dedans, d'abord.

Il préféra ensuite garder sa salive pour lui et arrêter d'ouvrir la bouche pour tenter d'émettre des sons humains : il n'y arrivait pas. Dés que Rose parlait, ça faisait vibrer tout son dos, et donc ses doigts, et il ressentait une sensation étrange dans le ventre. La sensation qu'il connaissait par cœur, certes, mais une qui était proscrite à ce moment là. Pense à Arès, pense à ce qu'il peut te faire pendant ton sommeil...
Le pirate eu cependant un petit temps d’arrêt alors qu'elle lui disait qu'il était doux. Doux, lui ? Il y avait erreur sur la personne, à n'en pas douter. Il était brutal, rustre, mais pas... pas ce qu'elle avait sous entendu. Reprenant son massage afin de ne pas lui faire remarquer qu'elle l'avait déstabilisé, il en oubliait que ça faisait bien longtemps que la crème était finie. Qu'il ne faisait plus rien d'autre que des massages pour le plaisir. Et la voir relaxée comme ça c'était un peu trop pour qu'il ne craque pas un peu. Si lui s'était bien sorti de l'histoire du carnaval, il n'en restait pas moins qu'il était bien sur les nerfs depuis.

« Je ne suis pas... doux. Pas vraiment. Pas assez souvent. C'est juste que.. j'ai envie de te protéger. Je sais que c'est con mais... Avec toi c'est plus facile d'être.. calme. Excuse moi, je raconte de la merde. »

Et un soupir et un regard sur le coté un peu géné. Ca ressemblait assez à une déclaration pour qu'il se sente mal, mais il espérait qu'elle ne prendrait pas mal. C'était simplement la vérité, aussi, même s'il jouait au bravache et avait toujours déliré devant elle, Rose avait cette petite flamme qui le faisait filer doux sans problème.

[Camp :]

Rester calme, rester zen... Penser à des choses très horribles et tout à fait tueuses de libido. Ce qui était un peu difficile à faire avec une Rose quasiment nue sous lui. Pardon papa maman, je sors avec une étrangère- ah oui mais non, le truc c'est que même si elle était très dévetue, il ne sortait pas avec. Donc techniquement, pas de souçis d'accord parental (comme si c'était ça qui l'avait dérangé auparavant), alors il pouvait se lacher... et même pas.

Comme quoi, essayer d'être super pote avec une fille qui avait hanté pas mal de rêves, c'était plus difficile qu'il n'y paraissait. La situation ne jouait sans doute pas non plus en sa faveur, mais tout de même, ca aurait du être précisé quelque part qu'un mec qui ne devrait ressent que de l'amitié pour une fille peut quand même avoir du mal à se concentrer dessus. Quoique, dans un sens, il était très concentré sur elle. Juste pas comme il aurait du.

Les pensées répulsives n'ayant guère marchés, il se mit donc à se concentrer plus sur son boulot qui consistait à la masser. Des mouvements circulaires et répétitifs, qui lui videraient rapidement l'esprit, concentré qu'il devait être pour ne pas non plus trop appuyer sur les cicatrices les plus fragiles en essayant quand même de faire pénétrer le plus de crème possible... Oui bon, pénétrer n'était pas le mot à utiliser là, et il sentit ses joues se mettre à chauffer de manière étrange en se fustigeant de tous les noms.
C'était vraiment pas très bien de sa part de fantasmer juste sur le dos d'une fille, surtout alors qu'elle souffrait atrocement et qu'il devait avoir un rôle de docteur. Soit être impartial et arrêter de penser à autre chose qu'au traitement. Ou au fait que les doigts de pied de Rose étaient vraiment mignons. Ou qu'elle avait l'air de retenir son souffle. Il ne lui faisait pas mal, au moins ?
C'était d'ailleurs à ce propos qu'il allait briser le silence, afin de savoir s'il ne rendait pas les choses pires qu'elles n'étaient déjà, que la miss se mit à prendre rendez vous. Hm, pardon ? Ah, oui, la biographie.

Un petit rire lui échappa, lui permettant aussi de se débarasser de ses pensées malsaines, et il embraya sur ce sujet, avec des images beaucoup plus cocasses en tête.
« C'est d'accord. Tu imagines la tête qu'on aura ? Quoique, je ne sais pas si la Ministre de la Magie aura du temps à m'accorder, à moi, le pauvre tatoueur pirate... »
Le tout avec un sourire de connivence. Bien qu'il pensait réellement que la jeune femme, si elle le voulait, avait toutes les qualités pour aller très loin, il la taquinait aussi pour sonder ses intentions réelles. Au final, Rose, il ne la connaissait qu'en... surface. (et c'était ENCORE pas une bonne image). Et même si rien ne se ferait entre eux maintenant qu'elle était avec Arès, au bout de sept années de vie commune, c'était le genre de choses qu'il aurait du déjà savoir. Bon, entre ses copines, la baston, la drogue, bref, tous les trucs qu'il avait essayé pour détruire sa vie, il avait été assez occupé, mais maintenant il n'avait pas d'excuses.

La remarque suivante sur Arès lui arracha à son tour un autre rire – jaune, celui-çi. Oui, en effet, il valait mieux pour leur santé à tous les deux que Arès ne sache jamais ce qui s'était passé. Quoique, devant témoins, il ne pourrait pas vraiment les écorcher vifs, après tout, il lui avait juste fait un massage, en tant qu'amis, etc... Tout le monde y croirait vu son passé, certes, mais c'était dommage qu'ils en soient rendus à un tel climat de paranoïa. Lui, il laissait bien Arès et Lucy discuter tout le temps ensemble. Et le fait qu'il ne sortait techniquement PAS avec Lucy n'avait rien à voir la dedans, d'abord.

Il préféra ensuite garder sa salive pour lui et arrêter d'ouvrir la bouche pour tenter d'émettre des sons humains : il n'y arrivait pas. Dés que Rose parlait, ça faisait vibrer tout son dos, et donc ses doigts, et il ressentait une sensation étrange dans le ventre. La sensation qu'il connaissait par cœur, certes, mais une qui était proscrite à ce moment là. Pense à Arès, pense à ce qu'il peut te faire pendant ton sommeil...
Le pirate eu cependant un petit temps d’arrêt alors qu'elle lui disait qu'il était doux. Doux, lui ? Il y avait erreur sur la personne, à n'en pas douter. Il était brutal, rustre, mais pas... pas ce qu'elle avait sous entendu. Reprenant son massage afin de ne pas lui faire remarquer qu'elle l'avait déstabilisé, il en oubliait que ça faisait bien longtemps que la crème était finie. Qu'il ne faisait plus rien d'autre que des massages pour le plaisir. Et la voir relaxée comme ça c'était un peu trop pour qu'il ne craque pas un peu. Si lui s'était bien sorti de l'histoire du carnaval, il n'en restait pas moins qu'il était bien sur les nerfs depuis.

« Je ne suis pas... doux. Pas vraiment. Pas assez souvent. C'est juste que.. j'ai envie de te protéger. Je sais que c'est con mais... Avec toi c'est plus facile d'être.. calme. Excuse moi, je raconte de la merde. »

Et un soupir et un regard sur le coté un peu géné. Ca ressemblait assez à une déclaration pour qu'il se sente mal, mais il espérait qu'elle ne prendrait pas mal. C'était simplement la vérité, aussi, même s'il jouait au bravache et avait toujours déliré devant elle, Rose avait cette petite flamme qui le faisait filer doux sans problème.

[Doubles-Comptes :]

Rester calme, rester zen... Penser à des choses très horribles et tout à fait tueuses de libido. Ce qui était un peu difficile à faire avec une Rose quasiment nue sous lui. Pardon papa maman, je sors avec une étrangère- ah oui mais non, le truc c'est que même si elle était très dévetue, il ne sortait pas avec. Donc techniquement, pas de souçis d'accord parental (comme si c'était ça qui l'avait dérangé auparavant), alors il pouvait se lacher... et même pas.

Comme quoi, essayer d'être super pote avec une fille qui avait hanté pas mal de rêves, c'était plus difficile qu'il n'y paraissait. La situation ne jouait sans doute pas non plus en sa faveur, mais tout de même, ca aurait du être précisé quelque part qu'un mec qui ne devrait ressent que de l'amitié pour une fille peut quand même avoir du mal à se concentrer dessus. Quoique, dans un sens, il était très concentré sur elle. Juste pas comme il aurait du.

Les pensées répulsives n'ayant guère marchés, il se mit donc à se concentrer plus sur son boulot qui consistait à la masser. Des mouvements circulaires et répétitifs, qui lui videraient rapidement l'esprit, concentré qu'il devait être pour ne pas non plus trop appuyer sur les cicatrices les plus fragiles en essayant quand même de faire pénétrer le plus de crème possible... Oui bon, pénétrer n'était pas le mot à utiliser là, et il sentit ses joues se mettre à chauffer de manière étrange en se fustigeant de tous les noms.
C'était vraiment pas très bien de sa part de fantasmer juste sur le dos d'une fille, surtout alors qu'elle souffrait atrocement et qu'il devait avoir un rôle de docteur. Soit être impartial et arrêter de penser à autre chose qu'au traitement. Ou au fait que les doigts de pied de Rose étaient vraiment mignons. Ou qu'elle avait l'air de retenir son souffle. Il ne lui faisait pas mal, au moins ?
C'était d'ailleurs à ce propos qu'il allait briser le silence, afin de savoir s'il ne rendait pas les choses pires qu'elles n'étaient déjà, que la miss se mit à prendre rendez vous. Hm, pardon ? Ah, oui, la biographie.

Un petit rire lui échappa, lui permettant aussi de se débarasser de ses pensées malsaines, et il embraya sur ce sujet, avec des images beaucoup plus cocasses en tête.
« C'est d'accord. Tu imagines la tête qu'on aura ? Quoique, je ne sais pas si la Ministre de la Magie aura du temps à m'accorder, à moi, le pauvre tatoueur pirate... »
Le tout avec un sourire de connivence. Bien qu'il pensait réellement que la jeune femme, si elle le voulait, avait toutes les qualités pour aller très loin, il la taquinait aussi pour sonder ses intentions réelles. Au final, Rose, il ne la connaissait qu'en... surface. (et c'était ENCORE pas une bonne image). Et même si rien ne se ferait entre eux maintenant qu'elle était avec Arès, au bout de sept années de vie commune, c'était le genre de choses qu'il aurait du déjà savoir. Bon, entre ses copines, la baston, la drogue, bref, tous les trucs qu'il avait essayé pour détruire sa vie, il avait été assez occupé, mais maintenant il n'avait pas d'excuses.

La remarque suivante sur Arès lui arracha à son tour un autre rire – jaune, celui-çi. Oui, en effet, il valait mieux pour leur santé à tous les deux que Arès ne sache jamais ce qui s'était passé. Quoique, devant témoins, il ne pourrait pas vraiment les écorcher vifs, après tout, il lui avait juste fait un massage, en tant qu'amis, etc... Tout le monde y croirait vu son passé, certes, mais c'était dommage qu'ils en soient rendus à un tel climat de paranoïa. Lui, il laissait bien Arès et Lucy discuter tout le temps ensemble. Et le fait qu'il ne sortait techniquement PAS avec Lucy n'avait rien à voir la dedans, d'abord.

Il préféra ensuite garder sa salive pour lui et arrêter d'ouvrir la bouche pour tenter d'émettre des sons humains : il n'y arrivait pas. Dés que Rose parlait, ça faisait vibrer tout son dos, et donc ses doigts, et il ressentait une sensation étrange dans le ventre. La sensation qu'il connaissait par cœur, certes, mais une qui était proscrite à ce moment là. Pense à Arès, pense à ce qu'il peut te faire pendant ton sommeil...
Le pirate eu cependant un petit temps d’arrêt alors qu'elle lui disait qu'il était doux. Doux, lui ? Il y avait erreur sur la personne, à n'en pas douter. Il était brutal, rustre, mais pas... pas ce qu'elle avait sous entendu. Reprenant son massage afin de ne pas lui faire remarquer qu'elle l'avait déstabilisé, il en oubliait que ça faisait bien longtemps que la crème était finie. Qu'il ne faisait plus rien d'autre que des massages pour le plaisir. Et la voir relaxée comme ça c'était un peu trop pour qu'il ne craque pas un peu. Si lui s'était bien sorti de l'histoire du carnaval, il n'en restait pas moins qu'il était bien sur les nerfs depuis.

« Je ne suis pas... doux. Pas vraiment. Pas assez souvent. C'est juste que.. j'ai envie de te protéger. Je sais que c'est con mais... Avec toi c'est plus facile d'être.. calme. Excuse moi, je raconte de la merde. »

Et un soupir et un regard sur le coté un peu géné. Ca ressemblait assez à une déclaration pour qu'il se sente mal, mais il espérait qu'elle ne prendrait pas mal. C'était simplement la vérité, aussi, même s'il jouait au bravache et avait toujours déliré devant elle, Rose avait cette petite flamme qui le faisait filer doux sans problème.

Etrange comme les choses avaient changé. Quelques jours auparavant, ils n'auraient même pas imaginé se retrouver là ni l'un ni l'autre. Nika aurait surement tenté une approche directe et grivoise pour voir si elle réagissait, elle lui aurait jeté un livre ou envoyer balader, et tout se serait arrêté là. Alors, oui, elle sortait avec Arès. Oui, elle n'était plus célibataire, oui, elle était blessée mais.. Mais il y avait plus que ça, et sous la blessure s'en cachait une autre plus profonde sans doute. Il y avait la peur qui avait empli leurs cœurs dans la fournaise, et qui attendait son heure, comme un petit tigre, caché, pour ressurgir au pire moment, afin d'achever. Il avait déjà vu ça. Des personnes qui allaient bien, pour qui tout était pour le mieux, et qui d'un coup s'effondraient, juste pour un souvenir, juste parce que la peur venait de réapparaitre, plus affamée que jamais, plus traumatisante que jamais. Il avait vécu ça.
Et à tout ça se mêlait le fait que, c'était leur dernière année. Ils n'étaient plus des enfants, ils n'étaient plus innocents, et ils avaient une soif de vivre. D'essayer, de faire des erreurs, de se tromper, de recommencer encore, de fuir avec la mauvaise personne à l'autre bout du pays, bref, de se prouver qu'ils existaient. Et si Rose était monté avec lui, c'était pour ça. Défier Arès, et encore, juste voir ce que ça pouvait faire, pour une fois, de lui faire confiance, de voir ce qu'il pouvait lui offrir d'autre. Bien entendu, il n'y avait rien de sexuel de sous entendu, c'était aussi un moyen de passer la douleur et le temps, mais il pensait qu'elle était aussi dans cet état d'esprit qu'elle n'avait pas grand chose à perdre. Lui n'avait rien, à perdre. Alors il pouvait tenter.

Le massage médical s'étant rapidement transformé en agrément, Nika écoutait la jeune femme pousser de petits soupirs de plaisirs et parler de tout et de rien, souriant et faisant la conversation. Même allongée, quasi nue, sur son lit, elle restait égale à elle même, pipelette et pas niaise pour un sou, ce qu'il appréciait chez la rouquine d'ailleurs. Et sa petite phrase sur la ministre le fit ricaner ; même s'il appréciait beaucoup les Bielova, il devait avouer que mettre Rose et Svetlana dans une même pièce serait une mauvaise idée. Il n'y avait pas plus opposées qu'elles, et d'après ce que Mika lui avait raconté, sa sœur ainée ne reculait devant rien ni personne pour s'imposer. Autant éviter une mort précoce à sa rouquine de Weasley, quoique, il ne pariait pas forcément sur une victoire parfaite de la russie si Rose s'énervait. Elle était terrifiante et avait un sacré tempérament. « Qui sait, en effet ? Dans quelques années je pourrais me vanter à mes amis d'avoir vu nue la ministre de la magie. »
Il ne promettait rien, électron libre et neutre qu'il était et voulait rester, ne se souciant guère de savoir qui dirigeait le pays, mais l'idée d'une Rose ministre était alléchante. Même si une victoire complète du « Bien » serait mauvais pour les affaires légèrement hors limites que pratiquait sa famille, mais bon, il ne pouvait pas avoir le réveil et le basilic.

Et puis il s'embrouilla dans ce qu'il voulait dire, trouvant étrange qu'elle lui dise qu'il était doux. Venant de sa part c'était un compliment, certes, mais il n'avait rien trouvé d'autre à répondre que de lui dire que c'était elle qui lui faisait ça. Géné, il lui offrit quand même un sourire alors qu'elle roulait sur le coté, coulant entre ses doigts, pour le regarder dans les yeux, faisant des allusions aux indiens. Hm, c'est vrai que son prénom indien lui allait bien. Celle qui calme... elle ne le calmait pas toujours, à vrai dire, et elle avait un caractère parfois soupe au lait, volcanique. Il proposa donc autre chose, alors qu'elle se remettait en place et qu'il reprenait son travail sur le haut de ses bras et la base du cou.

« Dans ma famille on a tendance à dire que les rousses sont « baisées par le feu », c'est moins poétique, mais tu pourrais bien être Celle qui est bénie des flammes. En disant ça, il avait coulé une main dans sa chevelure rouge pour lui masser le cuir chevelu un moment, passant outre les brulures qu'elle avait reçu par ce même don dont il la disait bénéficiaire. Mais il m'en faut un nom aussi alors ! Que dirais tu de... « Mains qui guérissent » ? »
Il blaguait bien sur, n'étant pas du tout un expert en soins, mais il avait envie de rester dans une atmosphère bonne enfant et joyeuse, qui leur convenait bien. Ce mélange de sarcasme et de compliments, de sourires mutins et amicaux, ça lui allait.
Et lorsque Rose lui proposa d'échanger les rôles, il prit la perche au galop. Ca faisait des semaines qu'il n'avait pas reçu de massage et bon sang que ca lui faisait du bien d'évacuer la tension parfois. Enlever son tee-shirt devant elle ne l'embétait pas le moins du monde, n'ayant pas honte de son corps, et l'idée de sentir ses petites mains fraiches à elle sur son dos... Et bien voilà qui était une délicieuse idée.

« Quand tu veux, tant que tu ne me déboites pas une épaule. C'est gentil de proposer en tout cas, merçi. »

[Messages :]

Etrange comme les choses avaient changé. Quelques jours auparavant, ils n'auraient même pas imaginé se retrouver là ni l'un ni l'autre. Nika aurait surement tenté une approche directe et grivoise pour voir si elle réagissait, elle lui aurait jeté un livre ou envoyer balader, et tout se serait arrêté là. Alors, oui, elle sortait avec Arès. Oui, elle n'était plus célibataire, oui, elle était blessée mais.. Mais il y avait plus que ça, et sous la blessure s'en cachait une autre plus profonde sans doute. Il y avait la peur qui avait empli leurs cœurs dans la fournaise, et qui attendait son heure, comme un petit tigre, caché, pour ressurgir au pire moment, afin d'achever. Il avait déjà vu ça. Des personnes qui allaient bien, pour qui tout était pour le mieux, et qui d'un coup s'effondraient, juste pour un souvenir, juste parce que la peur venait de réapparaitre, plus affamée que jamais, plus traumatisante que jamais. Il avait vécu ça.
Et à tout ça se mêlait le fait que, c'était leur dernière année. Ils n'étaient plus des enfants, ils n'étaient plus innocents, et ils avaient une soif de vivre. D'essayer, de faire des erreurs, de se tromper, de recommencer encore, de fuir avec la mauvaise personne à l'autre bout du pays, bref, de se prouver qu'ils existaient. Et si Rose était monté avec lui, c'était pour ça. Défier Arès, et encore, juste voir ce que ça pouvait faire, pour une fois, de lui faire confiance, de voir ce qu'il pouvait lui offrir d'autre. Bien entendu, il n'y avait rien de sexuel de sous entendu, c'était aussi un moyen de passer la douleur et le temps, mais il pensait qu'elle était aussi dans cet état d'esprit qu'elle n'avait pas grand chose à perdre. Lui n'avait rien, à perdre. Alors il pouvait tenter.

Le massage médical s'étant rapidement transformé en agrément, Nika écoutait la jeune femme pousser de petits soupirs de plaisirs et parler de tout et de rien, souriant et faisant la conversation. Même allongée, quasi nue, sur son lit, elle restait égale à elle même, pipelette et pas niaise pour un sou, ce qu'il appréciait chez la rouquine d'ailleurs. Et sa petite phrase sur la ministre le fit ricaner ; même s'il appréciait beaucoup les Bielova, il devait avouer que mettre Rose et Svetlana dans une même pièce serait une mauvaise idée. Il n'y avait pas plus opposées qu'elles, et d'après ce que Mika lui avait raconté, sa sœur ainée ne reculait devant rien ni personne pour s'imposer. Autant éviter une mort précoce à sa rouquine de Weasley, quoique, il ne pariait pas forcément sur une victoire parfaite de la russie si Rose s'énervait. Elle était terrifiante et avait un sacré tempérament. « Qui sait, en effet ? Dans quelques années je pourrais me vanter à mes amis d'avoir vu nue la ministre de la magie. »
Il ne promettait rien, électron libre et neutre qu'il était et voulait rester, ne se souciant guère de savoir qui dirigeait le pays, mais l'idée d'une Rose ministre était alléchante. Même si une victoire complète du « Bien » serait mauvais pour les affaires légèrement hors limites que pratiquait sa famille, mais bon, il ne pouvait pas avoir le réveil et le basilic.

Et puis il s'embrouilla dans ce qu'il voulait dire, trouvant étrange qu'elle lui dise qu'il était doux. Venant de sa part c'était un compliment, certes, mais il n'avait rien trouvé d'autre à répondre que de lui dire que c'était elle qui lui faisait ça. Géné, il lui offrit quand même un sourire alors qu'elle roulait sur le coté, coulant entre ses doigts, pour le regarder dans les yeux, faisant des allusions aux indiens. Hm, c'est vrai que son prénom indien lui allait bien. Celle qui calme... elle ne le calmait pas toujours, à vrai dire, et elle avait un caractère parfois soupe au lait, volcanique. Il proposa donc autre chose, alors qu'elle se remettait en place et qu'il reprenait son travail sur le haut de ses bras et la base du cou.

« Dans ma famille on a tendance à dire que les rousses sont « baisées par le feu », c'est moins poétique, mais tu pourrais bien être Celle qui est bénie des flammes. En disant ça, il avait coulé une main dans sa chevelure rouge pour lui masser le cuir chevelu un moment, passant outre les brulures qu'elle avait reçu par ce même don dont il la disait bénéficiaire. Mais il m'en faut un nom aussi alors ! Que dirais tu de... « Mains qui guérissent » ? »
Il blaguait bien sur, n'étant pas du tout un expert en soins, mais il avait envie de rester dans une atmosphère bonne enfant et joyeuse, qui leur convenait bien. Ce mélange de sarcasme et de compliments, de sourires mutins et amicaux, ça lui allait.
Et lorsque Rose lui proposa d'échanger les rôles, il prit la perche au galop. Ca faisait des semaines qu'il n'avait pas reçu de massage et bon sang que ca lui faisait du bien d'évacuer la tension parfois. Enlever son tee-shirt devant elle ne l'embétait pas le moins du monde, n'ayant pas honte de son corps, et l'idée de sentir ses petites mains fraiches à elle sur son dos... Et bien voilà qui était une délicieuse idée.

« Quand tu veux, tant que tu ne me déboites pas une épaule. C'est gentil de proposer en tout cas, merçi. »

[Points :]

Etrange comme les choses avaient changé. Quelques jours auparavant, ils n'auraient même pas imaginé se retrouver là ni l'un ni l'autre. Nika aurait surement tenté une approche directe et grivoise pour voir si elle réagissait, elle lui aurait jeté un livre ou envoyer balader, et tout se serait arrêté là. Alors, oui, elle sortait avec Arès. Oui, elle n'était plus célibataire, oui, elle était blessée mais.. Mais il y avait plus que ça, et sous la blessure s'en cachait une autre plus profonde sans doute. Il y avait la peur qui avait empli leurs cœurs dans la fournaise, et qui attendait son heure, comme un petit tigre, caché, pour ressurgir au pire moment, afin d'achever. Il avait déjà vu ça. Des personnes qui allaient bien, pour qui tout était pour le mieux, et qui d'un coup s'effondraient, juste pour un souvenir, juste parce que la peur venait de réapparaitre, plus affamée que jamais, plus traumatisante que jamais. Il avait vécu ça.
Et à tout ça se mêlait le fait que, c'était leur dernière année. Ils n'étaient plus des enfants, ils n'étaient plus innocents, et ils avaient une soif de vivre. D'essayer, de faire des erreurs, de se tromper, de recommencer encore, de fuir avec la mauvaise personne à l'autre bout du pays, bref, de se prouver qu'ils existaient. Et si Rose était monté avec lui, c'était pour ça. Défier Arès, et encore, juste voir ce que ça pouvait faire, pour une fois, de lui faire confiance, de voir ce qu'il pouvait lui offrir d'autre. Bien entendu, il n'y avait rien de sexuel de sous entendu, c'était aussi un moyen de passer la douleur et le temps, mais il pensait qu'elle était aussi dans cet état d'esprit qu'elle n'avait pas grand chose à perdre. Lui n'avait rien, à perdre. Alors il pouvait tenter.

Le massage médical s'étant rapidement transformé en agrément, Nika écoutait la jeune femme pousser de petits soupirs de plaisirs et parler de tout et de rien, souriant et faisant la conversation. Même allongée, quasi nue, sur son lit, elle restait égale à elle même, pipelette et pas niaise pour un sou, ce qu'il appréciait chez la rouquine d'ailleurs. Et sa petite phrase sur la ministre le fit ricaner ; même s'il appréciait beaucoup les Bielova, il devait avouer que mettre Rose et Svetlana dans une même pièce serait une mauvaise idée. Il n'y avait pas plus opposées qu'elles, et d'après ce que Mika lui avait raconté, sa sœur ainée ne reculait devant rien ni personne pour s'imposer. Autant éviter une mort précoce à sa rouquine de Weasley, quoique, il ne pariait pas forcément sur une victoire parfaite de la russie si Rose s'énervait. Elle était terrifiante et avait un sacré tempérament. « Qui sait, en effet ? Dans quelques années je pourrais me vanter à mes amis d'avoir vu nue la ministre de la magie. »
Il ne promettait rien, électron libre et neutre qu'il était et voulait rester, ne se souciant guère de savoir qui dirigeait le pays, mais l'idée d'une Rose ministre était alléchante. Même si une victoire complète du « Bien » serait mauvais pour les affaires légèrement hors limites que pratiquait sa famille, mais bon, il ne pouvait pas avoir le réveil et le basilic.

Et puis il s'embrouilla dans ce qu'il voulait dire, trouvant étrange qu'elle lui dise qu'il était doux. Venant de sa part c'était un compliment, certes, mais il n'avait rien trouvé d'autre à répondre que de lui dire que c'était elle qui lui faisait ça. Géné, il lui offrit quand même un sourire alors qu'elle roulait sur le coté, coulant entre ses doigts, pour le regarder dans les yeux, faisant des allusions aux indiens. Hm, c'est vrai que son prénom indien lui allait bien. Celle qui calme... elle ne le calmait pas toujours, à vrai dire, et elle avait un caractère parfois soupe au lait, volcanique. Il proposa donc autre chose, alors qu'elle se remettait en place et qu'il reprenait son travail sur le haut de ses bras et la base du cou.

« Dans ma famille on a tendance à dire que les rousses sont « baisées par le feu », c'est moins poétique, mais tu pourrais bien être Celle qui est bénie des flammes. En disant ça, il avait coulé une main dans sa chevelure rouge pour lui masser le cuir chevelu un moment, passant outre les brulures qu'elle avait reçu par ce même don dont il la disait bénéficiaire. Mais il m'en faut un nom aussi alors ! Que dirais tu de... « Mains qui guérissent » ? »
Il blaguait bien sur, n'étant pas du tout un expert en soins, mais il avait envie de rester dans une atmosphère bonne enfant et joyeuse, qui leur convenait bien. Ce mélange de sarcasme et de compliments, de sourires mutins et amicaux, ça lui allait.
Et lorsque Rose lui proposa d'échanger les rôles, il prit la perche au galop. Ca faisait des semaines qu'il n'avait pas reçu de massage et bon sang que ca lui faisait du bien d'évacuer la tension parfois. Enlever son tee-shirt devant elle ne l'embétait pas le moins du monde, n'ayant pas honte de son corps, et l'idée de sentir ses petites mains fraiches à elle sur son dos... Et bien voilà qui était une délicieuse idée.

« Quand tu veux, tant que tu ne me déboites pas une épaule. C'est gentil de proposer en tout cas, merçi. »

[Avatar :]

Etrange comme les choses avaient changé. Quelques jours auparavant, ils n'auraient même pas imaginé se retrouver là ni l'un ni l'autre. Nika aurait surement tenté une approche directe et grivoise pour voir si elle réagissait, elle lui aurait jeté un livre ou envoyer balader, et tout se serait arrêté là. Alors, oui, elle sortait avec Arès. Oui, elle n'était plus célibataire, oui, elle était blessée mais.. Mais il y avait plus que ça, et sous la blessure s'en cachait une autre plus profonde sans doute. Il y avait la peur qui avait empli leurs cœurs dans la fournaise, et qui attendait son heure, comme un petit tigre, caché, pour ressurgir au pire moment, afin d'achever. Il avait déjà vu ça. Des personnes qui allaient bien, pour qui tout était pour le mieux, et qui d'un coup s'effondraient, juste pour un souvenir, juste parce que la peur venait de réapparaitre, plus affamée que jamais, plus traumatisante que jamais. Il avait vécu ça.
Et à tout ça se mêlait le fait que, c'était leur dernière année. Ils n'étaient plus des enfants, ils n'étaient plus innocents, et ils avaient une soif de vivre. D'essayer, de faire des erreurs, de se tromper, de recommencer encore, de fuir avec la mauvaise personne à l'autre bout du pays, bref, de se prouver qu'ils existaient. Et si Rose était monté avec lui, c'était pour ça. Défier Arès, et encore, juste voir ce que ça pouvait faire, pour une fois, de lui faire confiance, de voir ce qu'il pouvait lui offrir d'autre. Bien entendu, il n'y avait rien de sexuel de sous entendu, c'était aussi un moyen de passer la douleur et le temps, mais il pensait qu'elle était aussi dans cet état d'esprit qu'elle n'avait pas grand chose à perdre. Lui n'avait rien, à perdre. Alors il pouvait tenter.

Le massage médical s'étant rapidement transformé en agrément, Nika écoutait la jeune femme pousser de petits soupirs de plaisirs et parler de tout et de rien, souriant et faisant la conversation. Même allongée, quasi nue, sur son lit, elle restait égale à elle même, pipelette et pas niaise pour un sou, ce qu'il appréciait chez la rouquine d'ailleurs. Et sa petite phrase sur la ministre le fit ricaner ; même s'il appréciait beaucoup les Bielova, il devait avouer que mettre Rose et Svetlana dans une même pièce serait une mauvaise idée. Il n'y avait pas plus opposées qu'elles, et d'après ce que Mika lui avait raconté, sa sœur ainée ne reculait devant rien ni personne pour s'imposer. Autant éviter une mort précoce à sa rouquine de Weasley, quoique, il ne pariait pas forcément sur une victoire parfaite de la russie si Rose s'énervait. Elle était terrifiante et avait un sacré tempérament. « Qui sait, en effet ? Dans quelques années je pourrais me vanter à mes amis d'avoir vu nue la ministre de la magie. »
Il ne promettait rien, électron libre et neutre qu'il était et voulait rester, ne se souciant guère de savoir qui dirigeait le pays, mais l'idée d'une Rose ministre était alléchante. Même si une victoire complète du « Bien » serait mauvais pour les affaires légèrement hors limites que pratiquait sa famille, mais bon, il ne pouvait pas avoir le réveil et le basilic.

Et puis il s'embrouilla dans ce qu'il voulait dire, trouvant étrange qu'elle lui dise qu'il était doux. Venant de sa part c'était un compliment, certes, mais il n'avait rien trouvé d'autre à répondre que de lui dire que c'était elle qui lui faisait ça. Géné, il lui offrit quand même un sourire alors qu'elle roulait sur le coté, coulant entre ses doigts, pour le regarder dans les yeux, faisant des allusions aux indiens. Hm, c'est vrai que son prénom indien lui allait bien. Celle qui calme... elle ne le calmait pas toujours, à vrai dire, et elle avait un caractère parfois soupe au lait, volcanique. Il proposa donc autre chose, alors qu'elle se remettait en place et qu'il reprenait son travail sur le haut de ses bras et la base du cou.

« Dans ma famille on a tendance à dire que les rousses sont « baisées par le feu », c'est moins poétique, mais tu pourrais bien être Celle qui est bénie des flammes. En disant ça, il avait coulé une main dans sa chevelure rouge pour lui masser le cuir chevelu un moment, passant outre les brulures qu'elle avait reçu par ce même don dont il la disait bénéficiaire. Mais il m'en faut un nom aussi alors ! Que dirais tu de... « Mains qui guérissent » ? »
Il blaguait bien sur, n'étant pas du tout un expert en soins, mais il avait envie de rester dans une atmosphère bonne enfant et joyeuse, qui leur convenait bien. Ce mélange de sarcasme et de compliments, de sourires mutins et amicaux, ça lui allait.
Et lorsque Rose lui proposa d'échanger les rôles, il prit la perche au galop. Ca faisait des semaines qu'il n'avait pas reçu de massage et bon sang que ca lui faisait du bien d'évacuer la tension parfois. Enlever son tee-shirt devant elle ne l'embétait pas le moins du monde, n'ayant pas honte de son corps, et l'idée de sentir ses petites mains fraiches à elle sur son dos... Et bien voilà qui était une délicieuse idée.

« Quand tu veux, tant que tu ne me déboites pas une épaule. C'est gentil de proposer en tout cas, merçi. »

[Crédits :]

Etrange comme les choses avaient changé. Quelques jours auparavant, ils n'auraient même pas imaginé se retrouver là ni l'un ni l'autre. Nika aurait surement tenté une approche directe et grivoise pour voir si elle réagissait, elle lui aurait jeté un livre ou envoyer balader, et tout se serait arrêté là. Alors, oui, elle sortait avec Arès. Oui, elle n'était plus célibataire, oui, elle était blessée mais.. Mais il y avait plus que ça, et sous la blessure s'en cachait une autre plus profonde sans doute. Il y avait la peur qui avait empli leurs cœurs dans la fournaise, et qui attendait son heure, comme un petit tigre, caché, pour ressurgir au pire moment, afin d'achever. Il avait déjà vu ça. Des personnes qui allaient bien, pour qui tout était pour le mieux, et qui d'un coup s'effondraient, juste pour un souvenir, juste parce que la peur venait de réapparaitre, plus affamée que jamais, plus traumatisante que jamais. Il avait vécu ça.
Et à tout ça se mêlait le fait que, c'était leur dernière année. Ils n'étaient plus des enfants, ils n'étaient plus innocents, et ils avaient une soif de vivre. D'essayer, de faire des erreurs, de se tromper, de recommencer encore, de fuir avec la mauvaise personne à l'autre bout du pays, bref, de se prouver qu'ils existaient. Et si Rose était monté avec lui, c'était pour ça. Défier Arès, et encore, juste voir ce que ça pouvait faire, pour une fois, de lui faire confiance, de voir ce qu'il pouvait lui offrir d'autre. Bien entendu, il n'y avait rien de sexuel de sous entendu, c'était aussi un moyen de passer la douleur et le temps, mais il pensait qu'elle était aussi dans cet état d'esprit qu'elle n'avait pas grand chose à perdre. Lui n'avait rien, à perdre. Alors il pouvait tenter.

Le massage médical s'étant rapidement transformé en agrément, Nika écoutait la jeune femme pousser de petits soupirs de plaisirs et parler de tout et de rien, souriant et faisant la conversation. Même allongée, quasi nue, sur son lit, elle restait égale à elle même, pipelette et pas niaise pour un sou, ce qu'il appréciait chez la rouquine d'ailleurs. Et sa petite phrase sur la ministre le fit ricaner ; même s'il appréciait beaucoup les Bielova, il devait avouer que mettre Rose et Svetlana dans une même pièce serait une mauvaise idée. Il n'y avait pas plus opposées qu'elles, et d'après ce que Mika lui avait raconté, sa sœur ainée ne reculait devant rien ni personne pour s'imposer. Autant éviter une mort précoce à sa rouquine de Weasley, quoique, il ne pariait pas forcément sur une victoire parfaite de la russie si Rose s'énervait. Elle était terrifiante et avait un sacré tempérament. « Qui sait, en effet ? Dans quelques années je pourrais me vanter à mes amis d'avoir vu nue la ministre de la magie. »
Il ne promettait rien, électron libre et neutre qu'il était et voulait rester, ne se souciant guère de savoir qui dirigeait le pays, mais l'idée d'une Rose ministre était alléchante. Même si une victoire complète du « Bien » serait mauvais pour les affaires légèrement hors limites que pratiquait sa famille, mais bon, il ne pouvait pas avoir le réveil et le basilic.

Et puis il s'embrouilla dans ce qu'il voulait dire, trouvant étrange qu'elle lui dise qu'il était doux. Venant de sa part c'était un compliment, certes, mais il n'avait rien trouvé d'autre à répondre que de lui dire que c'était elle qui lui faisait ça. Géné, il lui offrit quand même un sourire alors qu'elle roulait sur le coté, coulant entre ses doigts, pour le regarder dans les yeux, faisant des allusions aux indiens. Hm, c'est vrai que son prénom indien lui allait bien. Celle qui calme... elle ne le calmait pas toujours, à vrai dire, et elle avait un caractère parfois soupe au lait, volcanique. Il proposa donc autre chose, alors qu'elle se remettait en place et qu'il reprenait son travail sur le haut de ses bras et la base du cou.

« Dans ma famille on a tendance à dire que les rousses sont « baisées par le feu », c'est moins poétique, mais tu pourrais bien être Celle qui est bénie des flammes. En disant ça, il avait coulé une main dans sa chevelure rouge pour lui masser le cuir chevelu un moment, passant outre les brulures qu'elle avait reçu par ce même don dont il la disait bénéficiaire. Mais il m'en faut un nom aussi alors ! Que dirais tu de... « Mains qui guérissent » ? »
Il blaguait bien sur, n'étant pas du tout un expert en soins, mais il avait envie de rester dans une atmosphère bonne enfant et joyeuse, qui leur convenait bien. Ce mélange de sarcasme et de compliments, de sourires mutins et amicaux, ça lui allait.
Et lorsque Rose lui proposa d'échanger les rôles, il prit la perche au galop. Ca faisait des semaines qu'il n'avait pas reçu de massage et bon sang que ca lui faisait du bien d'évacuer la tension parfois. Enlever son tee-shirt devant elle ne l'embétait pas le moins du monde, n'ayant pas honte de son corps, et l'idée de sentir ses petites mains fraiches à elle sur son dos... Et bien voilà qui était une délicieuse idée.

« Quand tu veux, tant que tu ne me déboites pas une épaule. C'est gentil de proposer en tout cas, merçi. »

[Age RPG :]

Etrange comme les choses avaient changé. Quelques jours auparavant, ils n'auraient même pas imaginé se retrouver là ni l'un ni l'autre. Nika aurait surement tenté une approche directe et grivoise pour voir si elle réagissait, elle lui aurait jeté un livre ou envoyer balader, et tout se serait arrêté là. Alors, oui, elle sortait avec Arès. Oui, elle n'était plus célibataire, oui, elle était blessée mais.. Mais il y avait plus que ça, et sous la blessure s'en cachait une autre plus profonde sans doute. Il y avait la peur qui avait empli leurs cœurs dans la fournaise, et qui attendait son heure, comme un petit tigre, caché, pour ressurgir au pire moment, afin d'achever. Il avait déjà vu ça. Des personnes qui allaient bien, pour qui tout était pour le mieux, et qui d'un coup s'effondraient, juste pour un souvenir, juste parce que la peur venait de réapparaitre, plus affamée que jamais, plus traumatisante que jamais. Il avait vécu ça.
Et à tout ça se mêlait le fait que, c'était leur dernière année. Ils n'étaient plus des enfants, ils n'étaient plus innocents, et ils avaient une soif de vivre. D'essayer, de faire des erreurs, de se tromper, de recommencer encore, de fuir avec la mauvaise personne à l'autre bout du pays, bref, de se prouver qu'ils existaient. Et si Rose était monté avec lui, c'était pour ça. Défier Arès, et encore, juste voir ce que ça pouvait faire, pour une fois, de lui faire confiance, de voir ce qu'il pouvait lui offrir d'autre. Bien entendu, il n'y avait rien de sexuel de sous entendu, c'était aussi un moyen de passer la douleur et le temps, mais il pensait qu'elle était aussi dans cet état d'esprit qu'elle n'avait pas grand chose à perdre. Lui n'avait rien, à perdre. Alors il pouvait tenter.

Le massage médical s'étant rapidement transformé en agrément, Nika écoutait la jeune femme pousser de petits soupirs de plaisirs et parler de tout et de rien, souriant et faisant la conversation. Même allongée, quasi nue, sur son lit, elle restait égale à elle même, pipelette et pas niaise pour un sou, ce qu'il appréciait chez la rouquine d'ailleurs. Et sa petite phrase sur la ministre le fit ricaner ; même s'il appréciait beaucoup les Bielova, il devait avouer que mettre Rose et Svetlana dans une même pièce serait une mauvaise idée. Il n'y avait pas plus opposées qu'elles, et d'après ce que Mika lui avait raconté, sa sœur ainée ne reculait devant rien ni personne pour s'imposer. Autant éviter une mort précoce à sa rouquine de Weasley, quoique, il ne pariait pas forcément sur une victoire parfaite de la russie si Rose s'énervait. Elle était terrifiante et avait un sacré tempérament. « Qui sait, en effet ? Dans quelques années je pourrais me vanter à mes amis d'avoir vu nue la ministre de la magie. »
Il ne promettait rien, électron libre et neutre qu'il était et voulait rester, ne se souciant guère de savoir qui dirigeait le pays, mais l'idée d'une Rose ministre était alléchante. Même si une victoire complète du « Bien » serait mauvais pour les affaires légèrement hors limites que pratiquait sa famille, mais bon, il ne pouvait pas avoir le réveil et le basilic.

Et puis il s'embrouilla dans ce qu'il voulait dire, trouvant étrange qu'elle lui dise qu'il était doux. Venant de sa part c'était un compliment, certes, mais il n'avait rien trouvé d'autre à répondre que de lui dire que c'était elle qui lui faisait ça. Géné, il lui offrit quand même un sourire alors qu'elle roulait sur le coté, coulant entre ses doigts, pour le regarder dans les yeux, faisant des allusions aux indiens. Hm, c'est vrai que son prénom indien lui allait bien. Celle qui calme... elle ne le calmait pas toujours, à vrai dire, et elle avait un caractère parfois soupe au lait, volcanique. Il proposa donc autre chose, alors qu'elle se remettait en place et qu'il reprenait son travail sur le haut de ses bras et la base du cou.

« Dans ma famille on a tendance à dire que les rousses sont « baisées par le feu », c'est moins poétique, mais tu pourrais bien être Celle qui est bénie des flammes. En disant ça, il avait coulé une main dans sa chevelure rouge pour lui masser le cuir chevelu un moment, passant outre les brulures qu'elle avait reçu par ce même don dont il la disait bénéficiaire. Mais il m'en faut un nom aussi alors ! Que dirais tu de... « Mains qui guérissent » ? »
Il blaguait bien sur, n'étant pas du tout un expert en soins, mais il avait envie de rester dans une atmosphère bonne enfant et joyeuse, qui leur convenait bien. Ce mélange de sarcasme et de compliments, de sourires mutins et amicaux, ça lui allait.
Et lorsque Rose lui proposa d'échanger les rôles, il prit la perche au galop. Ca faisait des semaines qu'il n'avait pas reçu de massage et bon sang que ca lui faisait du bien d'évacuer la tension parfois. Enlever son tee-shirt devant elle ne l'embétait pas le moins du monde, n'ayant pas honte de son corps, et l'idée de sentir ses petites mains fraiches à elle sur son dos... Et bien voilà qui était une délicieuse idée.

« Quand tu veux, tant que tu ne me déboites pas une épaule. C'est gentil de proposer en tout cas, merçi. »

[Sang :]

Etrange comme les choses avaient changé. Quelques jours auparavant, ils n'auraient même pas imaginé se retrouver là ni l'un ni l'autre. Nika aurait surement tenté une approche directe et grivoise pour voir si elle réagissait, elle lui aurait jeté un livre ou envoyer balader, et tout se serait arrêté là. Alors, oui, elle sortait avec Arès. Oui, elle n'était plus célibataire, oui, elle était blessée mais.. Mais il y avait plus que ça, et sous la blessure s'en cachait une autre plus profonde sans doute. Il y avait la peur qui avait empli leurs cœurs dans la fournaise, et qui attendait son heure, comme un petit tigre, caché, pour ressurgir au pire moment, afin d'achever. Il avait déjà vu ça. Des personnes qui allaient bien, pour qui tout était pour le mieux, et qui d'un coup s'effondraient, juste pour un souvenir, juste parce que la peur venait de réapparaitre, plus affamée que jamais, plus traumatisante que jamais. Il avait vécu ça.
Et à tout ça se mêlait le fait que, c'était leur dernière année. Ils n'étaient plus des enfants, ils n'étaient plus innocents, et ils avaient une soif de vivre. D'essayer, de faire des erreurs, de se tromper, de recommencer encore, de fuir avec la mauvaise personne à l'autre bout du pays, bref, de se prouver qu'ils existaient. Et si Rose était monté avec lui, c'était pour ça. Défier Arès, et encore, juste voir ce que ça pouvait faire, pour une fois, de lui faire confiance, de voir ce qu'il pouvait lui offrir d'autre. Bien entendu, il n'y avait rien de sexuel de sous entendu, c'était aussi un moyen de passer la douleur et le temps, mais il pensait qu'elle était aussi dans cet état d'esprit qu'elle n'avait pas grand chose à perdre. Lui n'avait rien, à perdre. Alors il pouvait tenter.

Le massage médical s'étant rapidement transformé en agrément, Nika écoutait la jeune femme pousser de petits soupirs de plaisirs et parler de tout et de rien, souriant et faisant la conversation. Même allongée, quasi nue, sur son lit, elle restait égale à elle même, pipelette et pas niaise pour un sou, ce qu'il appréciait chez la rouquine d'ailleurs. Et sa petite phrase sur la ministre le fit ricaner ; même s'il appréciait beaucoup les Bielova, il devait avouer que mettre Rose et Svetlana dans une même pièce serait une mauvaise idée. Il n'y avait pas plus opposées qu'elles, et d'après ce que Mika lui avait raconté, sa sœur ainée ne reculait devant rien ni personne pour s'imposer. Autant éviter une mort précoce à sa rouquine de Weasley, quoique, il ne pariait pas forcément sur une victoire parfaite de la russie si Rose s'énervait. Elle était terrifiante et avait un sacré tempérament. « Qui sait, en effet ? Dans quelques années je pourrais me vanter à mes amis d'avoir vu nue la ministre de la magie. »
Il ne promettait rien, électron libre et neutre qu'il était et voulait rester, ne se souciant guère de savoir qui dirigeait le pays, mais l'idée d'une Rose ministre était alléchante. Même si une victoire complète du « Bien » serait mauvais pour les affaires légèrement hors limites que pratiquait sa famille, mais bon, il ne pouvait pas avoir le réveil et le basilic.

Et puis il s'embrouilla dans ce qu'il voulait dire, trouvant étrange qu'elle lui dise qu'il était doux. Venant de sa part c'était un compliment, certes, mais il n'avait rien trouvé d'autre à répondre que de lui dire que c'était elle qui lui faisait ça. Géné, il lui offrit quand même un sourire alors qu'elle roulait sur le coté, coulant entre ses doigts, pour le regarder dans les yeux, faisant des allusions aux indiens. Hm, c'est vrai que son prénom indien lui allait bien. Celle qui calme... elle ne le calmait pas toujours, à vrai dire, et elle avait un caractère parfois soupe au lait, volcanique. Il proposa donc autre chose, alors qu'elle se remettait en place et qu'il reprenait son travail sur le haut de ses bras et la base du cou.

« Dans ma famille on a tendance à dire que les rousses sont « baisées par le feu », c'est moins poétique, mais tu pourrais bien être Celle qui est bénie des flammes. En disant ça, il avait coulé une main dans sa chevelure rouge pour lui masser le cuir chevelu un moment, passant outre les brulures qu'elle avait reçu par ce même don dont il la disait bénéficiaire. Mais il m'en faut un nom aussi alors ! Que dirais tu de... « Mains qui guérissent » ? »
Il blaguait bien sur, n'étant pas du tout un expert en soins, mais il avait envie de rester dans une atmosphère bonne enfant et joyeuse, qui leur convenait bien. Ce mélange de sarcasme et de compliments, de sourires mutins et amicaux, ça lui allait.
Et lorsque Rose lui proposa d'échanger les rôles, il prit la perche au galop. Ca faisait des semaines qu'il n'avait pas reçu de massage et bon sang que ca lui faisait du bien d'évacuer la tension parfois. Enlever son tee-shirt devant elle ne l'embétait pas le moins du monde, n'ayant pas honte de son corps, et l'idée de sentir ses petites mains fraiches à elle sur son dos... Et bien voilà qui était une délicieuse idée.

« Quand tu veux, tant que tu ne me déboites pas une épaule. C'est gentil de proposer en tout cas, merçi. »

[Camp :]

Etrange comme les choses avaient changé. Quelques jours auparavant, ils n'auraient même pas imaginé se retrouver là ni l'un ni l'autre. Nika aurait surement tenté une approche directe et grivoise pour voir si elle réagissait, elle lui aurait jeté un livre ou envoyer balader, et tout se serait arrêté là. Alors, oui, elle sortait avec Arès. Oui, elle n'était plus célibataire, oui, elle était blessée mais.. Mais il y avait plus que ça, et sous la blessure s'en cachait une autre plus profonde sans doute. Il y avait la peur qui avait empli leurs cœurs dans la fournaise, et qui attendait son heure, comme un petit tigre, caché, pour ressurgir au pire moment, afin d'achever. Il avait déjà vu ça. Des personnes qui allaient bien, pour qui tout était pour le mieux, et qui d'un coup s'effondraient, juste pour un souvenir, juste parce que la peur venait de réapparaitre, plus affamée que jamais, plus traumatisante que jamais. Il avait vécu ça.
Et à tout ça se mêlait le fait que, c'était leur dernière année. Ils n'étaient plus des enfants, ils n'étaient plus innocents, et ils avaient une soif de vivre. D'essayer, de faire des erreurs, de se tromper, de recommencer encore, de fuir avec la mauvaise personne à l'autre bout du pays, bref, de se prouver qu'ils existaient. Et si Rose était monté avec lui, c'était pour ça. Défier Arès, et encore, juste voir ce que ça pouvait faire, pour une fois, de lui faire confiance, de voir ce qu'il pouvait lui offrir d'autre. Bien entendu, il n'y avait rien de sexuel de sous entendu, c'était aussi un moyen de passer la douleur et le temps, mais il pensait qu'elle était aussi dans cet état d'esprit qu'elle n'avait pas grand chose à perdre. Lui n'avait rien, à perdre. Alors il pouvait tenter.

Le massage médical s'étant rapidement transformé en agrément, Nika écoutait la jeune femme pousser de petits soupirs de plaisirs et parler de tout et de rien, souriant et faisant la conversation. Même allongée, quasi nue, sur son lit, elle restait égale à elle même, pipelette et pas niaise pour un sou, ce qu'il appréciait chez la rouquine d'ailleurs. Et sa petite phrase sur la ministre le fit ricaner ; même s'il appréciait beaucoup les Bielova, il devait avouer que mettre Rose et Svetlana dans une même pièce serait une mauvaise idée. Il n'y avait pas plus opposées qu'elles, et d'après ce que Mika lui avait raconté, sa sœur ainée ne reculait devant rien ni personne pour s'imposer. Autant éviter une mort précoce à sa rouquine de Weasley, quoique, il ne pariait pas forcément sur une victoire parfaite de la russie si Rose s'énervait. Elle était terrifiante et avait un sacré tempérament. « Qui sait, en effet ? Dans quelques années je pourrais me vanter à mes amis d'avoir vu nue la ministre de la magie. »
Il ne promettait rien, électron libre et neutre qu'il était et voulait rester, ne se souciant guère de savoir qui dirigeait le pays, mais l'idée d'une Rose ministre était alléchante. Même si une victoire complète du « Bien » serait mauvais pour les affaires légèrement hors limites que pratiquait sa famille, mais bon, il ne pouvait pas avoir le réveil et le basilic.

Et puis il s'embrouilla dans ce qu'il voulait dire, trouvant étrange qu'elle lui dise qu'il était doux. Venant de sa part c'était un compliment, certes, mais il n'avait rien trouvé d'autre à répondre que de lui dire que c'était elle qui lui faisait ça. Géné, il lui offrit quand même un sourire alors qu'elle roulait sur le coté, coulant entre ses doigts, pour le regarder dans les yeux, faisant des allusions aux indiens. Hm, c'est vrai que son prénom indien lui allait bien. Celle qui calme... elle ne le calmait pas toujours, à vrai dire, et elle avait un caractère parfois soupe au lait, volcanique. Il proposa donc autre chose, alors qu'elle se remettait en place et qu'il reprenait son travail sur le haut de ses bras et la base du cou.

« Dans ma famille on a tendance à dire que les rousses sont « baisées par le feu », c'est moins poétique, mais tu pourrais bien être Celle qui est bénie des flammes. En disant ça, il avait coulé une main dans sa chevelure rouge pour lui masser le cuir chevelu un moment, passant outre les brulures qu'elle avait reçu par ce même don dont il la disait bénéficiaire. Mais il m'en faut un nom aussi alors ! Que dirais tu de... « Mains qui guérissent » ? »
Il blaguait bien sur, n'étant pas du tout un expert en soins, mais il avait envie de rester dans une atmosphère bonne enfant et joyeuse, qui leur convenait bien. Ce mélange de sarcasme et de compliments, de sourires mutins et amicaux, ça lui allait.
Et lorsque Rose lui proposa d'échanger les rôles, il prit la perche au galop. Ca faisait des semaines qu'il n'avait pas reçu de massage et bon sang que ca lui faisait du bien d'évacuer la tension parfois. Enlever son tee-shirt devant elle ne l'embétait pas le moins du monde, n'ayant pas honte de son corps, et l'idée de sentir ses petites mains fraiches à elle sur son dos... Et bien voilà qui était une délicieuse idée.

« Quand tu veux, tant que tu ne me déboites pas une épaule. C'est gentil de proposer en tout cas, merçi. »

[Doubles-Comptes :]

Etrange comme les choses avaient changé. Quelques jours auparavant, ils n'auraient même pas imaginé se retrouver là ni l'un ni l'autre. Nika aurait surement tenté une approche directe et grivoise pour voir si elle réagissait, elle lui aurait jeté un livre ou envoyer balader, et tout se serait arrêté là. Alors, oui, elle sortait avec Arès. Oui, elle n'était plus célibataire, oui, elle était blessée mais.. Mais il y avait plus que ça, et sous la blessure s'en cachait une autre plus profonde sans doute. Il y avait la peur qui avait empli leurs cœurs dans la fournaise, et qui attendait son heure, comme un petit tigre, caché, pour ressurgir au pire moment, afin d'achever. Il avait déjà vu ça. Des personnes qui allaient bien, pour qui tout était pour le mieux, et qui d'un coup s'effondraient, juste pour un souvenir, juste parce que la peur venait de réapparaitre, plus affamée que jamais, plus traumatisante que jamais. Il avait vécu ça.
Et à tout ça se mêlait le fait que, c'était leur dernière année. Ils n'étaient plus des enfants, ils n'étaient plus innocents, et ils avaient une soif de vivre. D'essayer, de faire des erreurs, de se tromper, de recommencer encore, de fuir avec la mauvaise personne à l'autre bout du pays, bref, de se prouver qu'ils existaient. Et si Rose était monté avec lui, c'était pour ça. Défier Arès, et encore, juste voir ce que ça pouvait faire, pour une fois, de lui faire confiance, de voir ce qu'il pouvait lui offrir d'autre. Bien entendu, il n'y avait rien de sexuel de sous entendu, c'était aussi un moyen de passer la douleur et le temps, mais il pensait qu'elle était aussi dans cet état d'esprit qu'elle n'avait pas grand chose à perdre. Lui n'avait rien, à perdre. Alors il pouvait tenter.

Le massage médical s'étant rapidement transformé en agrément, Nika écoutait la jeune femme pousser de petits soupirs de plaisirs et parler de tout et de rien, souriant et faisant la conversation. Même allongée, quasi nue, sur son lit, elle restait égale à elle même, pipelette et pas niaise pour un sou, ce qu'il appréciait chez la rouquine d'ailleurs. Et sa petite phrase sur la ministre le fit ricaner ; même s'il appréciait beaucoup les Bielova, il devait avouer que mettre Rose et Svetlana dans une même pièce serait une mauvaise idée. Il n'y avait pas plus opposées qu'elles, et d'après ce que Mika lui avait raconté, sa sœur ainée ne reculait devant rien ni personne pour s'imposer. Autant éviter une mort précoce à sa rouquine de Weasley, quoique, il ne pariait pas forcément sur une victoire parfaite de la russie si Rose s'énervait. Elle était terrifiante et avait un sacré tempérament. « Qui sait, en effet ? Dans quelques années je pourrais me vanter à mes amis d'avoir vu nue la ministre de la magie. »
Il ne promettait rien, électron libre et neutre qu'il était et voulait rester, ne se souciant guère de savoir qui dirigeait le pays, mais l'idée d'une Rose ministre était alléchante. Même si une victoire complète du « Bien » serait mauvais pour les affaires légèrement hors limites que pratiquait sa famille, mais bon, il ne pouvait pas avoir le réveil et le basilic.

Et puis il s'embrouilla dans ce qu'il voulait dire, trouvant étrange qu'elle lui dise qu'il était doux. Venant de sa part c'était un compliment, certes, mais il n'avait rien trouvé d'autre à répondre que de lui dire que c'était elle qui lui faisait ça. Géné, il lui offrit quand même un sourire alors qu'elle roulait sur le coté, coulant entre ses doigts, pour le regarder dans les yeux, faisant des allusions aux indiens. Hm, c'est vrai que son prénom indien lui allait bien. Celle qui calme... elle ne le calmait pas toujours, à vrai dire, et elle avait un caractère parfois soupe au lait, volcanique. Il proposa donc autre chose, alors qu'elle se remettait en place et qu'il reprenait son travail sur le haut de ses bras et la base du cou.

« Dans ma famille on a tendance à dire que les rousses sont « baisées par le feu », c'est moins poétique, mais tu pourrais bien être Celle qui est bénie des flammes. En disant ça, il avait coulé une main dans sa chevelure rouge pour lui masser le cuir chevelu un moment, passant outre les brulures qu'elle avait reçu par ce même don dont il la disait bénéficiaire. Mais il m'en faut un nom aussi alors ! Que dirais tu de... « Mains qui guérissent » ? »
Il blaguait bien sur, n'étant pas du tout un expert en soins, mais il avait envie de rester dans une atmosphère bonne enfant et joyeuse, qui leur convenait bien. Ce mélange de sarcasme et de compliments, de sourires mutins et amicaux, ça lui allait.
Et lorsque Rose lui proposa d'échanger les rôles, il prit la perche au galop. Ca faisait des semaines qu'il n'avait pas reçu de massage et bon sang que ca lui faisait du bien d'évacuer la tension parfois. Enlever son tee-shirt devant elle ne l'embétait pas le moins du monde, n'ayant pas honte de son corps, et l'idée de sentir ses petites mains fraiches à elle sur son dos... Et bien voilà qui était une délicieuse idée.

« Quand tu veux, tant que tu ne me déboites pas une épaule. C'est gentil de proposer en tout cas, merçi. »