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 Quand les ignares diplômés prolifèrent, la bêtise fleurit joyeusement. ♠ Fred.

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Lily L. Potter

Lily L. Potter

« Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. »



Quand les ignares diplômés prolifèrent, la bêtise fleurit joyeusement. ♠ Fred. 633869Willa1

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Points : 22
Avatar : Willa Holland.
Crédits : Alles & Tumblr.

Age RPG : 17 ans.
Sang : Mêlé.
Camp : Armée de Dumbledore

Vie du personnage : Liens ◈ Ici.
Rôleplay ◈ Ici.
Hivoux ◈ Ici.

Truc en plus : Lycanthrope.
Doubles-Comptes : Moïra ◈ Serdaigle.
Roxanne ◈ Serpentard.
Grace ◈ Professeur phénix.
Svetlana ◈ Mangemort.



Quand les ignares diplômés prolifèrent, la bêtise fleurit joyeusement. ♠ Fred. _
MessageSujet: Quand les ignares diplômés prolifèrent, la bêtise fleurit joyeusement. ♠ Fred.   Quand les ignares diplômés prolifèrent, la bêtise fleurit joyeusement. ♠ Fred. EmptyMar 25 Jan - 6:55

Je ne dois pas jeter de sortilèges sur mes camarades dans le but de les faire léviter. Point. Douleur à la main gauche. Je ne dois pas jeter de sortilèges sur mes camarades dans le but de les faire léviter. Point. Douleur à la main gauche. Ok, mais s’ils le méritent, ce sortilège de lévitation à trois mornilles et deux noises ? En plus ce n’était même pas de sa faute. Certes, quand on écoute Lily ce n’est jamais de sa faute. Mais bon, un débile consanguin qui s’en prend à elle sous prétexte qu’elle n’est plus préfète a de quoi la gonfler. Pas le fait de ne plus être préfète – non, ça c’est LA DELIVRAAAANCE – mais le fait qu’on l’enquiquine parce qu’elle n’a plus d’insigne rutilant accroché à la poitrine. Ledit insigne avait été récupéré par Aleera qui avait du faire jouer ses relations – avec sa tutrice comme ministre de la magie, ça c’est une putain de relation – et qui pouvait enfin passer ses nuits à patrouiller avec Mister Bellâtre. Pardon, Thomas River. Le type qu’elle devait se coltiner à chaque patrouille sous prétexte que monsieur le sang-pur, égérie et idole de toutes les pétasses prépubères du château, était un préfet. Elle aurait préféré passer ses soirées dans les bras de son petit ami plutôt qu’avec ce boulet tout juste bon à repeindre en blanc la conversation. Rajoutez-lui un pot de peinture et un pinceau, changez la conversation par le château, et Lily et lui ont de quoi faire la rénovation entière avec tout ce qu’ils ont discuté. Enfin bref, il lui fallait finir sa foutue punition que lui avait donné l’ancienne grande inquisitrice de Poudlard, copier cette foutue phrase pendant deux heures jusqu’à ce qu’elle s’imprime dans son cerveau. Sur sa main. Enfin, disons dans son cerveau en passant par sa main. Heureusement pour miss Potter, les deux heures s’achevèrent très vite, et elle put quitter les lieux sans même faire à la grosse truie l’honneur d’une grimace de douleur. Non, elle s’en alla en laissant tout simplement le sang couler de sa main jusqu’au bout de ses doigts, avant de goutter au sol. Et qui c’est qui va nettoyer, hein ? Bref, elle s’éloigna tout naturellement, grimpa quelques étages, et quand elle se fut assez éloignée, elle hurla un bon coup sa rage, ajoutant diverses grossièretés qui choquèrent les petites années, et toujours en gueulant comme une Harpie – bonjour maman ! – elle sortit son tube d’essence de Murlap.

« NAAAAAAAAN ! MAIS NON MAIS T’ES UN POT NEUF ! »

Presque vide, mais on s’en serait douté. Agitant son tube comme une sauvage, Lily en tira ce qu’elle pouvait pour se le tartiner sur la main, faisant reculer les élèves qui craignaient que le courroux de la fille des Harpies ne s’abatte sur eux. Mais non aucun risque, Lily quand elle gueule sur un objet, elle aboie plus qu’elle ne mord, sauf si on commence à se moquer d’elle. Râlant contre son pot vide, elle le jeta dans une poubelle sans regarder – on ne se demande pas où est le gêne Ginny Potter poursuiveuse de talent - et fit demi-tour, redescendant les étages comme une furie, ne se gênant pas pour rentrer dans les gens quand il y avait un peu trop de monde. Si on s’arrête, là, c’est foutu mon coco, on avancera jamais. Bloquée dans les escaliers, elle réussit à descendre en ridant sur la rampe, s’attirant des sifflements amusés et admiratifs. Bah, on a l’habitude, c’est Lily quoi ! Elle réussit finalement à atteindre le hall – quel exploit XD – et descendit dans les cachots, persuadée qu’il lui restait un pot d’essence dans sa valise. Traversant les cachots à la vitesse de la foudre, elle pénétra dans sa salle commune, s’engouffra dans sa chambre, et se remit à gueuler en se rendant compte que non, il n’y en avait plus. Cool. Bon bah t’es bonne pour ressortir, Lilou. Peut-être que Fred en a ? Après tout c’est son papa qui les commercialise, ces foutus petits pots ! Allez, go chercher ton cousin Fred ! Retraversant à nouveau salle commune et cachots – moi je dis, avec tout ce qu’on marche, il suffit qu’on s’accroche le pokéwalker de la version cœur d’or ou âme d’argent à la ceinture pour les faire tous passer niveau cent en même pas deux semaines – elle retourna dans le hall qui commençait à se vider, certainement dû à l’heure tardive. Zut, c’est déjà le couvre-feu ? Petit coup d’œil à la montre pour se rendre compte que ouais. Bon, eh bien tant pis. Comme si c’était la première fois qu’elle crachait sur le règlement, et en plus c’est plus drôle quand on n’a pas d’insigne pour justifier son escapade nocturne :p. Oubliant l’idée de retrouver son cousin, elle se glissa hors du château, bien décidée à profiter du temps superbe et de l’arrivée de la chaleur pour se fumer une clope ou deux avant de rentrer et d’extorquer un peu d’essence à Meghan, Aleera ou Nathan. Nathan qui ne devait plus en avoir vu comment qu’il en consommait aussi. Ah mais quel couple de rebelles.

« Hé, toi là-bas ! Retourne dans ta salle commune ! »

AAAAH PUTAIN. Se jetant brusquement derrière un arbre en réussissant l’exploit de ne pas faire tinter ses badges des Harpies, Lily écarquilla les yeux et retint sa respiration, écoutant les bruits ambiants. En entendant une autre personne répondre d’un ton faiblard, elle poussa un petit soupir discret de soulagement. Elle aurait détesté se faire pincer, et le préfet aurait détesté la pincer. Elle se serait mise à gueuler comme une sauvage en arguant qu’elle voulait aller se baigner dans le lac – HEIN DE QUOI DONC O.O ?! – pour débusquer des murlaps et en appliquer l’essence sur ses mains. Et là, le préfet aurait appelé de gentils monsieurs en blancs qui ne sont pas des chimistes pour qu’ils l’amènent à Sainte-Mangouste où elle pourrait soigner ses problèmes de la tête. C’est beau le soutien entre préfets. Enfin, ex-préfète pour la donzelle ! Attendant que les pas du préfet déclinent et disparaissent enfin, elle repartit discrètement, aussi furtive qu’une ombre, pour se diriger vers … Euh, bonne question, vers un coin tranquille. Quelque part dans le parc loin de ce frappé de saule cogneur. S’approchant d’un arbre où elle avait l’habitude de s’asseoir avec ses cousins, les deux affreux avec lesquels elle faisait les quatre cent coups – Fred et Hugo quoi – la miss faillit gueuler de surprise en entendant un bruit discret juste derrière. UN PREFET FUYONS. Ah … Ah non. C’est juste Fred qui s’immobilise pour ne pas être chopé. Une minute. Fred ?! OUAIS ESSENCE DE MURLAP /o\.

« Freeeeed ! Ô toi le beau le bon le grand le magnifique le génialissime Fred Weasley ! »

… Ouais. Rien que ça, ça cache quelque chose XD.

« T’aurais pas un peu d’essence de murlap pour ta cousine chérie adorée ? »

Sourire charmeur qui n’a absolument aucun effet sur son beau gosse de cousin. Sans la moindre délicatesse, Lily se vautra à côté de Fred, s’appuyant contre l’arbre, et tendit sa main pour lui montrer la nouvelle cicatrice qui ornait les nouvelles. Dans la compétition « qui aura le plus de cicatrices sur la main » ils arrivaient ex aequo, ces deux boulets.

« Dis, ça fait longtemps qu’on n’a pas fait de conneries ensemble ! Puis ce sale con d’Hugo nous a mouchés avec son coup de coller le gros derrière de la directrice à sa chaise rembourrée ! Faut qu’on trouve un truc de malade là, la deuxième place ne sied pas à notre teint, très cher cousin ! »

Ah, elle ne voulait pas fumer au départ ! Ah que si. Sortant son paquet de clopes pour s’allumer une cigarette, elle jeta le paquet devant eux pour le cas où il voudrait se servir, et farfouilla dans son sac pour sortir les sucreries. Eh, on parle de Lily Potter la grosse accro au sucre là. Tirant une taffe de sa cigarette, elle ouvrit le paquet pour prendre un cœur en sucre, posa le paquet en face d’eux, et posa aussi sa bouteille d’eau. Bon eh bah voilà, on est parés pour un tenir un siège là.

« J’ai une idée de malade ! Ca va être trop cool ! »

Se tournant à nouveau vers son cousin, elle lui envoya un magnifique sourire Colgate, toute excitée par sa nouvelle vanne à la con.

« Paraît que t’as eu des soucis avec le monstre des couloirs ? Ca te dirait qu’on lui refasse une petite beauté ? »

Le monstre des couloirs, c’est le chat du concierge, et en fait tout le monde avait des soucis avec lui. Mais Fred encore plus, vu qu’il s’affichait ouvertement comme ZE fils de Georges Weasley.

« Une petite manucure offerte par les Weasley ! Son gris est un peu terne, je te propose du orange flash. Après on repeint ses griffes et vert pomme, on lui fait le bout des oreilles en bleu parce que c’est trop la classe, on lui jette un sort pour qu’une petite musique joyeuse se déclenche à chacun de ses pas, et comme cadeau de la maison, on lui offre le pull changeur de couleur inventé par son papa ! Ce ne serait pas magnifique ?! »

Ouais, il ne manque plus que le drapeau de la Gray Pride … XD.
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Quand les ignares diplômés prolifèrent, la bêtise fleurit joyeusement. ♠ Fred. _
MessageSujet: Re: Quand les ignares diplômés prolifèrent, la bêtise fleurit joyeusement. ♠ Fred.   Quand les ignares diplômés prolifèrent, la bêtise fleurit joyeusement. ♠ Fred. EmptyMar 25 Jan - 23:54

Crapaud Coquet : « Monsieur Weasley, venez dans mon bureau je vous prie »

Ouais, la journée commençait mal je vous l'accorde. Bon c'était pas comme si j'étais pas habitué mais là, juste avant le déjeuner et la tête dans le cul, c'est pas vraiment le top du top niveau activités matinales. Enfin, j'avais rien de prévu : je séchais toujours les cours d'histoire de la magie (je vois pas pourquoi on devrait mener la vie dure à une née-moldue : c'est déjà un miracle qu'elle soit toujours en vie la pauvre !). Alors maintenant fallait faire avec ! On venait de m'inscrire à deux heures de pur bonheur avec Miss Dolores Ombrage, Grande Inquisitrice de Poudlard, esclave soumise du ministère et fille à l'enfance déchirée entre un père zoophile et une grenouille. Merlin soit loué elle n'avait pas gardé beaucoup de séquelles. Elle faisait juste de superbes croassements surtout vers la fin de mes retenues. Disons que j'avais développer un baume expérimentale pour ma main gauche qui marchait merveilleusement bien je dois dire ! Maintenant, plus besoin de l'essence de Murlap juste une potion contre les furoncles... Quoi ?! Oui, faute de ne pouvoir annuler l'effet de la plume moyenâgeuse d'Ombrage, j'avais au moins trouvé le moyen de remplacer la plaie par des furoncles particulièrement purulents. C'était un mal pour un bien ! Et puis, ça la rendait folle la petite boursoufflée. Tout comme à l'époque de Georges, le bureau de notre chère tyran ressemblait à l'intérieur d'un chewing-gum travaillé durant trois mois dans un pays particulièrement humide et malsain. Le pur bonheur surement ! Après tout, que connaissions-nous nous, ces frêles petites têtes mal-formées qui ne savions rien au danger que représente une trop forte fréquentation du ministère ? Il faudrait d'ailleurs que je pense à le demander à Percy : peut-être que lui aussi s'est-il mis a se enfler comme un ballon ! Ou peut-être même qu'il s'est métamorphosé en joli batracien tout moche !? Faudrait que je pense à le lui envoyer un hibou dés que je sortirai de cette salle...

Crapaud Coquet : « Asseyez-vous et copiez. »

Et nous voilà parti pour deux heures de plaisir ! Je vous épargne volontiers le compte rendu immensément original de ma rédaction. Je ne dois pas manquer de respect à la Grande Inquisitrice point. Je ne dois pas manquer de respect à la Grande Inquisitrice point. Je ne dois pas manquer de respect à la Grande Inquisitrice point. Je me forçais à faire de jolies lettres pour notre jolie directrice ce qui prenais un temps fou et qui la rendait folle de rage. Au bout de la quinzième phrase, ma main commença à prendre une teinte rougeoyante. Il fallait être aveugle pour ne pas voir son petit sourire satisfait au coin de son immonde bouche toute rose. Mais je crois qu'elle fut surprise en voyant, à la vingtième phrase, un immonde furoncle pousser sur ma main. C'était peut-être pas une si bonne idée après tout parce que les furoncles ça démange grave ! Enfin, vaut mieux ça que être marqué à vie ! Deux heures après, je fus enfin libérer. Après avoir changer une vingtaine de fois de plume et ayant une main ressemblant à un immense furoncle, je plongeai ma main dans ma poche et en sorti un flacon. J'en avalai le contenu rapidement et vit avec plaisir ma main redevenir intacte (même s'il elle demeurait un rien verdâtre). Et c'était parti pour une très belle journée de détente vu que je n'avais pas de cours intéressants. J'assistai au cours de soins aux créatures magiques, pour le fun mais bon c'était pas vraiment un cours, puis j'errais dans l'école à la recherche de quelques premières années susceptibles de bien vouloir goûter un « bonbon » très spécial. Rien de tel qu'une Boite à Flemme pour occuper une après-midi sans intérêt ! C'était peut-être aussi pour cela que je m'étais perdu dans le cours de métamorphose de Teddy et que je m'y étais tenu à carreau. C'était pas vraiment mon jour aujourd'hui ! Enfin, il fallait garder le sourire. Après tout, une réputation ça s'entache pas à cause d'une grenouille maquillée !

La couvre-feu arriva plus vite que je ne l'avais prévu. Le parc était vide, le lac calme et on entendait à peine le bruit des feuilles bercées par le vent. Et je n'avais même pas croisé Lily n'y Hugo aujourd'hui ! Ah c'était mes petits apprentis en matière de farces et attrapes mais personne ne pouvait égaler le roi en la matière ! C'est à dire MOI mouhahahahaha ! Et puis là, soudain, un bruit. C'est dans ces moments là qu'on se dit qu'on a une espèce de poisse et qu'on aurait du rester au lit ce matin ! Enfin, c'était juste ma cousine qui visiblement avait – encore – besoin de quelque chose. Essence de Murlap ?! Euh ouais il devait m'en rester dans le sac. Enfin ça, fallait quand même lui dire, ensuite lui montrer la main parfaite qui respirait la douceur et qui était de nouveau intacte mais surtout pas lui divulguer l'existence du baume. C'était expérimentale et elle apprendrait son existence dés que cette fabuleuse trouvaille serait en magasin ! Et ouais, les affaires y'a que ça de vrai et c'est pas parce que c'était ma cousine qu'il fallait qu'elle soit privilégiée non mais oh !

« J'ai de l'essence de Murlap. Vu qu'apparemment t'en as vraiment plus, que c'est un produit interdit pour les élèves, que je suis le seul à en importer illégalement et que tu es ma cousine ca te fera 13 mornilles les 50 centilitres. Allez, fait péter l'argent cousine ! »

Au passage, je tendis ma belle main gauche dans sa direction, lui montrant bien la peau parfaitement lisse. Alors que la sienne c'était un peu Londres après un bombardement. Enfin, pour la hiérarchie, on l'avait bien mérité ! Tu parles !

« Peut-être qu'Hugo t'as mouché toi mais moi je suis pas mouchable ! Tu m'as pris pour un amateur cousine ? Tu verras la tête d'Ombrage pendant le petit-déjeuner demain... »

Hop un petit sourire moqueur, un regard de lover, une cigarette allumée et paf on laisse le suspense et on admire le beau-gosse que voilà. C'est que j'avais toujours un coup d'avance ! Auriez-vous oublié que je suis l'héritier des jumeaux ? La version 2 en 1 sans obligation d'achat ? Ça s'était la classe. Et puis demain, il y allait avoir un très joli spectacle. Dés que les chaussures du Crapaud Coquet verront le soleil, hop il dansera le rock n'roll ! Héhé, je sais je suis un génie.

« Le chat du concierge ? Mouais mais ça fait un peu amateur non ? C'était bon pour ma deuxième année. Je suis plus un petit joueur mademoiselle ! Il me reste qu'un an et demi a suivre des cours barbants alors faudrait pas qu'il y ai une baisse flagrante de régime dans l'action Weasley tu vois ! »

Ouais, je me prenais pas pour n'importe qui ! C'est que j'avais une réputation familiale à tenir dans ce bahu moi ! Lily encore elle était pas trop dans la ligne de mire des autorités scolaires. Certes c'était la fille du Survivant donc elle devait juste se contenter de survivre et puis sa popularité était faite ! Mais moi j'avais une dynastie de rire sur les épaules fallait pas l'oublier =D Alors je lui tirai la langue et lui ébouriffai les cheveux. Au moins, elle avait une raison valable pour me sauter dessus maintenant.
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Quand les ignares diplômés prolifèrent, la bêtise fleurit joyeusement. ♠ Fred.

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