A la rechercher du Graal | LIBRE (pour plusieurs si ca vous interesse XD)

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Claquement de porte, de simplement murmure sur mon chemin me disant au revoir et ne recevant jamais de réponse, après tout qui mérite une réponse de ma part ? Certainement pas eux, pas ces minables soient disant collaborateurs. Ils sont peut être des sangs purs, mais ce n’est pas pour autant que je vais les respecter. Ce sont eux qui me doivent le respect, je suis un peu comme leur reine ici, j’aime cette image. Toutefois je suis une reine agacée, énervée et surtout ayant les nerfs à fleur de peau depuis quelques temps. La raison ? Une lettre. Un simple lettre de ma sœur qui m’a dit qu’il y avait des espions partout. Elle me connait, je la connais, je sais bien qu’elle me manipule. Cependant, je ne peux m’empêcher de me méfier. Des espions au sein de la gazette. Ainsi il restait deux, trois sang de bourbes ou traitres à leur sang ? Je m’étais pourtant charger personnellement de l’épuration, que voulez vous, je ne peux pas travailler avec des incompétents et donc avec des sangs de bourbes. Je jette un regard méfiant aux personnes qui ont le malheur de croiser mon chemin, silencieux, mis à part cet incessant murmure de politesse qui est d’un agacement, tête baissé. Est-ce que je fais si peur que ça ? Non, en voilà un qui me jette un sourire moqueur et qui n’a pas peur de me regarder dans les yeux. Peu de personnes ici ont cette stupide audace, certains sont s’y risqués et se sont vus tout simplement rabaissés, mais je me contentai de lui adresser un léger signe de tête. On dirait simplement qu’on avait une liaison ou une autre stupidité de ce genre, les gens semblent avoir du mal à comprendre que le seul amour de ma vie était Svet. Tant pis pour eux. Ils resteront ignorant jusqu’à la fin de leur vie, que voulez vous ? Au moins cela avait le don de m’amuser, je les voyais déjà comploter, disant que j’étais partie deux heures plus tôt pour me préparer pour une chaude soirée avec mon bel amant. Mais désolée monsieur, mesdames, jamais je ne coucherais avec un mec, même un mangemort sang pur de première classe et même si Lord Voldemort me le demandait. Cela me dégoûte trop. Cependant ils n’avaient pas entièrement tord sur la raison de mon départ précipité du bureau, effectivement c’était pour préparer une belle soirée, mais plutôt avec une blonde pulpeuse.

Adrian – « Lena ! Quelle bonne surprise, je passai justement te voir. »
Lena – « Adrian ! Comme c’est étrange. Que fais-tu là ? »

Je connaissais déjà la réponse, il voulait une nouvelle fois me convertir avec l’hétérosexualité. Ce qui m’intriguait plus par contre, c’était que le rencontre au moment pile où je sortais. En temps normal, il attendait que j’aie fini pour venir m’enquiquiner, il savait que je ne supportais pas que l’on vienne me déranger dans mon travail. Peut-être que Selina était enfin morte ? Cela serait un maux de moins dans le monde. Cependant son petit sourire sur les lèvres détruisit cette possibilité, il aimait notre sœur autant que je la détestais. De plus sa mort aurait été un échec cuisant dans sa soit disant mission qu’il s’était donné et enfin il m’aurait crié dessus, m’accusant de l’avoir tué. J’espère que cela m’arrivera un jour, car je ne veux pas laisser le privilège de voir ma sœur mourir à quelqu’un d’autre.

Adrian – « Tu as l’air méfiante petite sœur, je voulais juste te voir, pour que l’on passe du bon temps ensemble . »
Lena – « Du bon temps ? Je n’ai pas le temps, je suis pressée. »
Adrian – « Cours petit lapin, cours, mais dit moi, où vas-tu de si bon pas ? Cela doit être important pour que tu quittes ton travail si tôt . »
Lena - « Qui te dis que je le quitte ? Peut être vais-je donner une interview . »
Adrian – « Tu te serais transplané . »

Je pousse un léger soupir et accélère le pas. J’aurai pu me transplaner, cependant à cause de ses stupides moldus je ne le pouvais pas. De plus j’avais pris quelques kilos avec ma grande horreur lors des fêtes et avait décidé de me mettre à la marche. Et puis la boutique où j’avais décidé de me rendre n’était pas bien loin de la gazette. Petite boutique sorcier perdue parmi celle moldue, seul les connaisseurs pouvaient la trouver et seul les sorciers pouvaient la voir. J’aurai certainement trouvé ce que je veux sur le chemin de traverse, toutefois c’était pour une occasion unique, l’anniversaire de ma Svet. Et seule cette boutique avait des objets uniques et parfois interdit. Et pour choisir le cadeau je préférai étrangement être seule. Mon frère n’approuvant pas la relation que j’entretenais avec Svet m’agacerait encore et encore… Je me contentai donc de l’ignorer froidement. Il détestait cela, je le savais bien, très bientôt il ce mettra à me parler et ne recevant aucune réponse allait s’énerver. Tournant brutalement, je lui jetât un regard méprisant lorsqu’il faillit me rentrer dedans. Il pouvait montrer un peu de distinction !

La boutique était petite, du moins en apparence. Je m’étais toujours demandée comme le propriétaire avait pu faire rentrer tout son bric à brac, car même avec la magie tout ceci me semblait bien impossible. Mon frère détourna son regard de moi, seulement quelques instants, mais bien suffisamment pour que je me dérobe à son regard inquisiteurs. Je ne savais pas quoi vraiment chercher. Boule de cristal télévisée ? Un moyen original pour capter la télé moldue et surveiller ses ennemis d’après la description. Je ne pu m’empêcher de faire une grimace de dégoût. Svet ? S’abaisser à capter ce machin… moldu ? Non, non et encore non ! M’enfonçons un peu plus dans la boutique à la recherche de la perle rare, ce n’était que fausse cape d’invisibilité, capteurs de dissimulation, rapeltouts et scrutoscopes. Non, il n’y avait rien de rien ! Moi qui espérait pouvoir trouver le cadeau parfait pour ma douce Svet, me voilà bien embêter. Sans parler de ce frère trop agaçant qui semblait être à nouveau parti à ma recherche. Du moins c’est ce que j’en déduis du fait qu’il prononce mon prénom en boucle. Mais peut être est-ce juste de la stupidité de sa part, qui sait ?

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« Sephora & Lena »
« Il n'y a que les cons qui ne changent pas d'opinion. »
CRÉDIT - CSS

Sephora ne savait pas trop ce qu’elle faisait là. En vérité elle le savait mais préférait ne pas y penser. Son père, le grand Psychologue M. Princeton, Sorcier au Sang le Plus Pur, Sorcier connu pour avoir travaillé au ministère de la Magie, mais surtout en tant que Psychologue renommé pour avoir écrit un livre sur le comportement des Sorciers envers les Moldus. Evidemment le genre de propos qu’il avait tenu n’avait pas du tout plu au nouveau Gouvernement, c’était à Prévoir… Il avait écrit ce livre juste après avoir rencontré la mère de Sephora, une Moldue. Peut être était-ce vrai, l’amour rend aveugle ? En tout cas son père n’avait point pensé aux dangers que représentait ce livre… Mais la n’était pas le problème. Il avait décidé de s’engager avec l’Ordre du Phénix pour pouvoir lutter contre ce Ministère Anti-Moldus par amour pour sa femme. Sephora elle, les avait rejoints pour suivre son père et suite à la promesse qu’elle avait faite à ses amis de Poudlard. L’Ordre avait beau être illégal, elle s’y plaisait. Pendant son adolescence elle avait été une Rebelle mais maintenant qu’elle était devenue « Adulte », La jeune femme s’était un peu assagit bien qu’il subsiste en elle une pointe de soumission.

Mais revenons à ce qu’elle faisait la. Son père, suite à ses propos pro-Moldus, limitait ses déplacements, il n’était évidemment pas recherché, mais en tant qu’homme respectés par les uns et détesté par les autres il ne pouvait pas sortir sans rencontrer des sorciers qui lui faisaient des remarques acerbes. Étant une personne assez fragile qui s’effondrait pour un rien, l’homme préférait rester dans son cabinet avec ses clients et envoyait sa fille pour chercher tout ce dont il avait besoin. Sephora était cette fameuse fille. C’est comme ca que blondie se retrouva sur le Chemin de Traverse, son père lui avait donné une liste de plusieurs choses à trouver. Elle jeta un rapide coup d’œil au papier froissé « Rapeltout » Il avait cassé son dernier en jouant avec. Sephora poussa un long soupir, la vie n’était pas simple ces derniers temps. Elle ne savait pas trop ou aller pour trouver le premier objet de la longue liste. C’est pour dire que ca commençait bien …

Elle franchit alors la porte d’une petite boutique qui n’était pas si petite une fois le pas de la porte passé. Un homme se tenait derrière un comptoir et lui adressa un sourire de ses vieilles dents. Elle lui répondit en souriant à son tour. Certains commerçants n’avaient donc pas perdus leur amabilité d’antan… Elle marcha à travers les étalages plus encombrés les uns que les autres. Bonne chance à tous ceux qui devaient nettoyer cette boutique ! Un bruit lui parvint alors. Un jeune homme ne cessait de répéter un Nom. Si ses oreilles ne la trompait pas si souvent, elle aurait mis sa main au feu qu’il murmurait « Lena » Mais n’étant sur de rien elle laissa couler. S’enfonçant de plus en plus dans le magasin, la jeune femme tomba alors nez à nez avec une ancienne Cliente de son père. Elle se rappelait parfaitement de ce pourquoi elle était venue. Son frère l’avait contrainte de venir suite à son homosexualité. La jeune femme trouvait cela stupide. Chacun était ce qu’il était point. Le courant ne passait pas particulièrement entre les deux femmes, elles ne se connaissaient pas, d’ailleurs. Sephora décida de repartir sur de bonnes bases, elle lui lança un sourire et fit un hochement de tête pour signifier qu’elle l’avait reconnue…

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Il n’y avait rien d’asse beau, d’asse riche, d’asse… parfait pour Svet. J’étais déçue, je voulais faire aussi bien dans l’originalité que dans l’élégance, mais rien ne satisfaisait mon regard inquisiteur. Rien, n’était digne de sa beauté, de sa grâce, bref tout ceci ne sont que des objets minables, simplement suffisant à émerveiller la populace. Je pourrais aller en Russie, certes je suis probablement encore recherchée par les autorités là bas, mais ce n’est comme si ils avaient la moindre chance de m’attraper. Ils sont bien trop stupide pour cela et moi bien trop intelligente pour eux. Je pourrais aussi lui offrir une occasion de faire passer sa colère en lui parlant de cette jolie blonde qui m’adressait un charmant sourire. On ne souriait jamais aux inconnus sans raison. Et si je n’aimais pas Svet, j’aurais probablement accepté la séduction. Cela aurait été même amusant de flirter avec une femme juste sous les yeux de mon frère. Cependant je suis fidèle, je ne pouvais donc répondre à son sourire. C’est triste, il est beau, tout comme ses yeux, des yeux qui ne me semblent pas si inconnus que cela. Je fronce les sourcils, ces yeux ne sont pas attachés à un souvenir agréable. Peu de souvenirs sont agréables. Toutefois cette fois ces yeux sont attachés vraiment à un sentiment désagréable. Mélange de mépris et de contrariété. Malheureusement, je ne sais pas à quoi il est attaché. Je suis incapable de déterminer la propriétaire de ces yeux. Pourtant tout semble indiquer que nous nous connaissons. Mes souvenirs, son sourire, son signe de tête. Je n’aime pas avoir des trous de mémoires. Certes je pourrais lui demander, mais ma fierté m’empêchait de le faire. Et puis il y a eut la voix de ma frère, m’appelant de nouveau. Je l’entendis de soupirer et m’annoncer qu’il en avait asse d’attendre et qu’il avait des choses plus importantes à faire. Mensonge ou vérité ? Je me mordis la lèvre inférieure. Il avait le don de me rendre nerveuse. Comme cette fois-ci où il m’avait trainé de force chez un soit disant psychologue au sujet de mon homosexualité.

Lena – « Ne seriez-vous pas cette fille qui a eut la charmante idée d’accepter que mon frère me traine dans votre, puis-je dire bureau ? Vu l’état des lieux j’hésite. Je ne sais pas comment mon frère a pu me trainer dans un tel endroit… En particulier pour me soigner de mon homosexualité. »

Ma voix était froide et méprisante. Je me souviens maintenant, mon frère avait osé me trainer dans cet endroit minable. Aucune classe dans ce lieu, des gens méprisables dont la pureté du sang laisse à désirer. Que faisait-elle donc ici ? Je ne pensais pas que cette boutique recevait aussi la racaille. Et bien entendu, comme par hasard mon frère m’a accompagné, et comme par hasard cette fille est venue. Probablement pour me faire la leçon. Je ne me suis pas rendue aux séances depuis des mois. En fait, je ne suis allée qu’à la première, car mon frère m’y a trainée de force et que la bienséance m’empêcher de le frapper en publique. J’avais cette impression qu’elle était présente pour moi sur demande de mon frère. Néanmoins, la bienséance m’obligeait d’être agréable, je lui adressai donc un sourire, acide et méprisant tout de même.

Lena – « Seriez-vous donc devenu sur demande de mon frère au sujet de mon homosexualité ? Si c’est le cas je vous demande poliment de cesser polluer mon espace vitale. Et si ce n’est pas le cas… C’est une raison de plus de cesser de mon polluer mon espace vitale. »

En fait, la seule chose pour laquelle elle serait utile, cela serait si elle avait la capacité de m’apporter son aide à trouver un cadeau pour ma très chère et tendre Svet. Toutefois je doute que ce soit le cas. Cette fille n’avait tout bonnement aucune cervelle et elle le lui avait prouvé en lui indiquant qu’elles se connaissaient malgré leur passé disons houleux. Et l’idée qu’elles allaient faire table rase du passé la faisait bien rire, il était hors de question que ce soit le cas.

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Ne seriez-vous pas cette fille qui a eut la charmante idée d’accepter que mon frère me traine dans votre, puis-je dire bureau ? Vu l’état des lieux j’hésite. Je ne sais pas comment mon frère a pu me trainer dans un tel endroit… En particulier pour me soigner de mon homosexualité.

Seriez-vous donc devenu sur demande de mon frère au sujet de mon homosexualité ? Si c’est le cas je vous demande poliment de cesser polluer mon espace vitale. Et si ce n’est pas le cas… C’est une raison de plus de cesser de mon polluer mon espace vitale.

Cela se pourrait c’est exact.

Spoiler:

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Lena lui adressa un sourire d’une charmante froideur, ainsi elle ne voulait pas lui répondre ? Probablement une poufsouffle ou serdaigle, ils faisaient preuve de lacheté. Oh il y a bien aussi les gryffondors, mais ceux là sont tellement stupides qu’ils foncent tête baissé sans réfléchir. La jeune femme baissa la tête sur le côté comme si elle avait une meilleur vue de son ennemie sous un autre angle avant d’éclater de rire. Non, elle prenait plutôt cela comme une déclaration de guerre et elle adorait ça.

Lena – « Mais dites moi, n’étiez vous pas à Gryffondor ? Il faut vraiment être stupide pour me déclarer la guerre. Ho peut être pour vous ce n’est peut être par la guerre. » Son adorable sourire froid disparu. « Car s’il y a bien une chose qui ne m’amuse pas, c’est que l’on joue avec ça. »

Elle aurait voulu lui adresser son sourire méprisant, cependant elle était trop en colère pour pouvoir faire preuve de bonnes manières. Elle pourrait la tuer, un avada kedavra et ca serait finit d’elle. Bon elle risquait d’avoir quelques problèmes mise à part si elle élimine aussi le vendeur. Et Svetlana pourrait s’occuper du gouvernement. Toutefois tout ceci n’était pas amusant. C’était bien trop rapide et trop lâche. Or les serpentards ne connaissent pas la lâcheté. Seulement la ruse. Oui, la ruse, c’était ça qu’elle allait utiliser.

Lena – « Vous avez de la chance, je n’ai pas le temps de m’occupez de vous, il faut que je
trouve un cadeau pour ma chère Svetlana. Mais si vous tenez à m’agacer, je n’hésiterai pas à vous détruire, n’oubliez pas que je suis rédactrice en chef de la gazette. »

Elle lui adressa un charmant sourire menaçant, la gazette était lue dans tout le royaume unis par les sorciers. Détruire la réputation de quelqu’un, manipuler les foules, c’était d’une telle simplicité pour elle ! Elle adorait le pouvoir qu’elle avait, cependant elle le manipuler avec prudence. Si cela se découvrait trop, cela pourrait mettre en danger les plans du maître. Toutefois, elle n’avait pas à se soucier de cette chose qui pensait être son égale alors qu’elle n’était qu’inférieure à elle. Sans plus un mot, elle se tourna donc vers le présentoir présentant diverses choses. Ignorant totalement son interlocutrice ou du moins celle qui était son interlocutrice. Puisque forte agaçante elle avait décidé de l’ignorer tout simplement.

Lena – « Nul, minable, sans aucun intérêt. Ah moi qui pensais trouver quelque chose de bien ici. Mais lorsque je vois quelle genre de personne traine ici, cela m’étonnerai que je trouve quelque chose à mon goût. »

Elle poussa un soupir, où pourrait-elle aller ? Que pourrait-elle bien lui offrir ? Pourquoi pas la tête de cette fille, elle pourrait la transformer en punchig ball, cela lui permettra de se défouler quand elle doit supporter tout ces imbéciles du ministère. A moins qu’elle lui offre la tête de son frère en punchig ball, cet imbécile allait le payer. Quelle idée de faire venir cette idiote ici ! Mais c’était étrange, il ne savait pas qu’elle venait ici, il devait donc rester en contact avec cette fille et ho par les caleçons de Merlin !

Lena – « Rassurez moi, vous n’avez aucune liaison avec mon frère ? Dans ce cas je ne pourrais pas me contenter de vous discréditer, je devrai vous éliminer. Que voulez-vous, je tiens à ce que les Kitäev gardent la pureté de leur sang. »

Nouveau sourire polie-mais-je-te-méprise-car-t’es-qu’une-minable. Si c’était le cas, il faudra aussi qu’elle élimine son frère. Toutefois, cela l’étonnerait qu’il se rabaisser à avoir une liaison, même pour juste un soir avec cette fille. Mais et oui il y a toujours un mais, mais sa sœur était bien une membre de cet stupide ordre du poulet et protectrice des sangs de bourbe. Donc si son frère devenait à son tour un amour des débiles cela ne l’étonnerait même pas !

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