Thomas se tenait droit, la tête basse et les épaules rentrées. L’écharpe vert et argent dans laquelle disparaissait son menton, flottait au gré du vent dans l’air glacial de l’hiver. Les pensées sombres du jeune homme se lisaient dans son regard bleu glacial qui prenait plus que jamais la couleur de l’acier. Ses cheveux d’un brun obscur qui lui retombaient devant les yeux contrastaient avec ce regard si clair et tranchant. Il n’était pas en uniforme mais portait l’écharpe à la couleur de sa maison ainsi que la grande veste noire caractéristique du collège. Sinon, il avait un simple jeans à moitié déchiré et une chemise noire à laquelle pendait tristement la cravate des Serpentards, totalement défaite. Il y pouvait rien, c’était un tic nerveux lorsque la pression s’accumulait dans sa tête que de faire et défaire son nœud de cravate.
Il se tenait devant un petit lac. Un grand étang. Et il était en plein milieu de la forêt interdite. Il avait découvert ce lac quelques semaines plutôt en allant râler après s’être disputée avec Aleera. Bah, oui, il lui avait foutu un deuxième lapin et elle n’avait pas voulu écouter ses excuses. Du coup, furieux, il s’était aventuré dans la forêt et était tombé dans cette clairière magnifique avec ce lac qui brillait sous l’éclat de la lune. Aujourd’hui, c’était différent. Tout d’abord, il faisait jour et le lac ne reflétait que la couche grisâtre de nuage qui s’étendait là haut, dans le ciel, ainsi que l’ombre blafarde des arbres gigantesques qui entouraient la clairière. De plus, une fine couche de glace s’était formée à certains endroits sur l’eau et tentaient tant bien que mal de ne pas subir le dégel. Mais si le temps était différent de la première fois, le contexte aussi l’était. Thomas n’était pas fâché sur Lee. Elle lui manquait atrocement. Ce jour, où elle s’était fait renvoyée, ils avaient faillit s’embrasser. Et au moment où Tom voyait les lèvres si douce de sa bien aimée se rapprocher, un sort inattendu l’avait tiré en arrière et fait tombé au loin de sa Douce. Le crapaud. Vil animal, en serre-tête rose fuchsia et au nœud à pois violets … Depuis le temps qu’il courait après Aleera Bielova voilà qu’une grenouille rose la lui enlevait.
La guerre était déclarée !

Après avoir observé le lac pendant quelques minutes, le jeune Serpentard s’éloigna de la berge et quitta la forêt interdite. Malgré son pas vif et alerte, Tom était toujours plongé dans ses pensées. Meg et Lily organisaient une manifestation. Visiblement, Ombrage avait commis une erreur qui lui serait fatale. D’ailleurs la sœur de Lee, future ministre, n’apprécierait surement pas cet affront et risquait d’envoyer quelqu’un pour remplacer le crapaud. Le crapaud en question avait mis la patte dans la termitière et se ferait bouffer de l’intérieur par la colonie en rage – désolée pour l’image, n’essayez pas d’imaginer le cadavre gluant d’un batracien rose qui se fait déchiqueter par d’énormes fourmis aux couleurs de Poudlard. Car pour une fois, anti- et pro-mangemort s’allieraient contre le Rose. Car Poudlard en était malade de ce rose, il vomissait ce rose. Alors Poudlard s’était uni.
Et, évidemment, quand le rose aurait disparu et que les murs sombres du château seraient redevenus ce qu’ils étaient, les élèves se délieraient. Et la guerre de politique reprendrait le dessus sur cette belle unité.
Le cœur du sorcier se noua à cette idée. Meghan. Sa meilleure amie. Une anti-mangemort. Thomas savait qu’un jour, ils devraient affronter leurs idéaux et que ce jour là, ils seraient ennemis. Pourtant, Meghan était sa meilleure amie depuis toujours. Un jour, elle le détesterait. Comme toujours à ces pensées, l’estomac du jeune homme se contracta et il eu mal au ventre. Et puis, il n’y avait pas que Meg. Il avait d’autres amis qui n’aimaient pas son ambition mangemoresque. Par exemple ….
Thomas fut percuté par quelqu’un qui ne regardait pas devant elle. Le jeune fille en question tomba sur le sol dans un mouvement ridicule et Thomas faillit lui hurler de regarder devant elle – tout en sachant bien qu’il ne regardait pas plus devant lui- avant de se rendre compte que la fille en question, c’était Lou. Son ex. Et une anti-mangemort, elle aussi. Sauf qu’elle était une des rare naïve qui ne savait pas les ambitions de Tom. Avant même que le jeune sorcier ne lui tende la main pour l’aider à se relever, Lou s’était remise debout.

-« Salut ^^' excuse moi, je ne faisais pas attention.. »

Absolument pas gênée, la blondinette rejeta ses cheveux en arrière avec élégance. C’est exactement pour ça qu’ils n’étaient pas restés ensemble. Elle était trop in the middle. Je m’explique ; Tom aime soit les filles totalement superficielles, très vite gênées de tout, bref, les filles faciles qui se baladent à ses pieds. Soit les filles avec un grand caractère, qui pousse tout le monde et ne se soucie que de soi-même. Lou n’appartenait à aucun des ces deux caractère.

-« Pas de soucis … A vrai dire, j’étais moi-même plongé dans une réflexion intense. »

Il lui sourit avec entendement. Il savait très bien qu’elle haïssait Ombrage au moins autant que lui. On le voyait rien qu’à son manquement à porter l’uniforme. Elle était une rebelle, une de celle prête à soulever le château contre Ombrage. Mais pas pour les même raisons. D’ailleurs, Lou et Lee étaient de grandes ennemies. =D

-« Wooow, ta main ! T’es malades, tu connais pas la résistance discrète ? Oo »

[Messages :]

Thomas se tenait droit, la tête basse et les épaules rentrées. L’écharpe vert et argent dans laquelle disparaissait son menton, flottait au gré du vent dans l’air glacial de l’hiver. Les pensées sombres du jeune homme se lisaient dans son regard bleu glacial qui prenait plus que jamais la couleur de l’acier. Ses cheveux d’un brun obscur qui lui retombaient devant les yeux contrastaient avec ce regard si clair et tranchant. Il n’était pas en uniforme mais portait l’écharpe à la couleur de sa maison ainsi que la grande veste noire caractéristique du collège. Sinon, il avait un simple jeans à moitié déchiré et une chemise noire à laquelle pendait tristement la cravate des Serpentards, totalement défaite. Il y pouvait rien, c’était un tic nerveux lorsque la pression s’accumulait dans sa tête que de faire et défaire son nœud de cravate.
Il se tenait devant un petit lac. Un grand étang. Et il était en plein milieu de la forêt interdite. Il avait découvert ce lac quelques semaines plutôt en allant râler après s’être disputée avec Aleera. Bah, oui, il lui avait foutu un deuxième lapin et elle n’avait pas voulu écouter ses excuses. Du coup, furieux, il s’était aventuré dans la forêt et était tombé dans cette clairière magnifique avec ce lac qui brillait sous l’éclat de la lune. Aujourd’hui, c’était différent. Tout d’abord, il faisait jour et le lac ne reflétait que la couche grisâtre de nuage qui s’étendait là haut, dans le ciel, ainsi que l’ombre blafarde des arbres gigantesques qui entouraient la clairière. De plus, une fine couche de glace s’était formée à certains endroits sur l’eau et tentaient tant bien que mal de ne pas subir le dégel. Mais si le temps était différent de la première fois, le contexte aussi l’était. Thomas n’était pas fâché sur Lee. Elle lui manquait atrocement. Ce jour, où elle s’était fait renvoyée, ils avaient faillit s’embrasser. Et au moment où Tom voyait les lèvres si douce de sa bien aimée se rapprocher, un sort inattendu l’avait tiré en arrière et fait tombé au loin de sa Douce. Le crapaud. Vil animal, en serre-tête rose fuchsia et au nœud à pois violets … Depuis le temps qu’il courait après Aleera Bielova voilà qu’une grenouille rose la lui enlevait.
La guerre était déclarée !

Après avoir observé le lac pendant quelques minutes, le jeune Serpentard s’éloigna de la berge et quitta la forêt interdite. Malgré son pas vif et alerte, Tom était toujours plongé dans ses pensées. Meg et Lily organisaient une manifestation. Visiblement, Ombrage avait commis une erreur qui lui serait fatale. D’ailleurs la sœur de Lee, future ministre, n’apprécierait surement pas cet affront et risquait d’envoyer quelqu’un pour remplacer le crapaud. Le crapaud en question avait mis la patte dans la termitière et se ferait bouffer de l’intérieur par la colonie en rage – désolée pour l’image, n’essayez pas d’imaginer le cadavre gluant d’un batracien rose qui se fait déchiqueter par d’énormes fourmis aux couleurs de Poudlard. Car pour une fois, anti- et pro-mangemort s’allieraient contre le Rose. Car Poudlard en était malade de ce rose, il vomissait ce rose. Alors Poudlard s’était uni.
Et, évidemment, quand le rose aurait disparu et que les murs sombres du château seraient redevenus ce qu’ils étaient, les élèves se délieraient. Et la guerre de politique reprendrait le dessus sur cette belle unité.
Le cœur du sorcier se noua à cette idée. Meghan. Sa meilleure amie. Une anti-mangemort. Thomas savait qu’un jour, ils devraient affronter leurs idéaux et que ce jour là, ils seraient ennemis. Pourtant, Meghan était sa meilleure amie depuis toujours. Un jour, elle le détesterait. Comme toujours à ces pensées, l’estomac du jeune homme se contracta et il eu mal au ventre. Et puis, il n’y avait pas que Meg. Il avait d’autres amis qui n’aimaient pas son ambition mangemoresque. Par exemple ….
Thomas fut percuté par quelqu’un qui ne regardait pas devant elle. Le jeune fille en question tomba sur le sol dans un mouvement ridicule et Thomas faillit lui hurler de regarder devant elle – tout en sachant bien qu’il ne regardait pas plus devant lui- avant de se rendre compte que la fille en question, c’était Lou. Son ex. Et une anti-mangemort, elle aussi. Sauf qu’elle était une des rare naïve qui ne savait pas les ambitions de Tom. Avant même que le jeune sorcier ne lui tende la main pour l’aider à se relever, Lou s’était remise debout.

-« Salut ^^' excuse moi, je ne faisais pas attention.. »

Absolument pas gênée, la blondinette rejeta ses cheveux en arrière avec élégance. C’est exactement pour ça qu’ils n’étaient pas restés ensemble. Elle était trop in the middle. Je m’explique ; Tom aime soit les filles totalement superficielles, très vite gênées de tout, bref, les filles faciles qui se baladent à ses pieds. Soit les filles avec un grand caractère, qui pousse tout le monde et ne se soucie que de soi-même. Lou n’appartenait à aucun des ces deux caractère.

-« Pas de soucis … A vrai dire, j’étais moi-même plongé dans une réflexion intense. »

Il lui sourit avec entendement. Il savait très bien qu’elle haïssait Ombrage au moins autant que lui. On le voyait rien qu’à son manquement à porter l’uniforme. Elle était une rebelle, une de celle prête à soulever le château contre Ombrage. Mais pas pour les même raisons. D’ailleurs, Lou et Lee étaient de grandes ennemies. =D

-« Wooow, ta main ! T’es malades, tu connais pas la résistance discrète ? Oo »

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Thomas se tenait droit, la tête basse et les épaules rentrées. L’écharpe vert et argent dans laquelle disparaissait son menton, flottait au gré du vent dans l’air glacial de l’hiver. Les pensées sombres du jeune homme se lisaient dans son regard bleu glacial qui prenait plus que jamais la couleur de l’acier. Ses cheveux d’un brun obscur qui lui retombaient devant les yeux contrastaient avec ce regard si clair et tranchant. Il n’était pas en uniforme mais portait l’écharpe à la couleur de sa maison ainsi que la grande veste noire caractéristique du collège. Sinon, il avait un simple jeans à moitié déchiré et une chemise noire à laquelle pendait tristement la cravate des Serpentards, totalement défaite. Il y pouvait rien, c’était un tic nerveux lorsque la pression s’accumulait dans sa tête que de faire et défaire son nœud de cravate.
Il se tenait devant un petit lac. Un grand étang. Et il était en plein milieu de la forêt interdite. Il avait découvert ce lac quelques semaines plutôt en allant râler après s’être disputée avec Aleera. Bah, oui, il lui avait foutu un deuxième lapin et elle n’avait pas voulu écouter ses excuses. Du coup, furieux, il s’était aventuré dans la forêt et était tombé dans cette clairière magnifique avec ce lac qui brillait sous l’éclat de la lune. Aujourd’hui, c’était différent. Tout d’abord, il faisait jour et le lac ne reflétait que la couche grisâtre de nuage qui s’étendait là haut, dans le ciel, ainsi que l’ombre blafarde des arbres gigantesques qui entouraient la clairière. De plus, une fine couche de glace s’était formée à certains endroits sur l’eau et tentaient tant bien que mal de ne pas subir le dégel. Mais si le temps était différent de la première fois, le contexte aussi l’était. Thomas n’était pas fâché sur Lee. Elle lui manquait atrocement. Ce jour, où elle s’était fait renvoyée, ils avaient faillit s’embrasser. Et au moment où Tom voyait les lèvres si douce de sa bien aimée se rapprocher, un sort inattendu l’avait tiré en arrière et fait tombé au loin de sa Douce. Le crapaud. Vil animal, en serre-tête rose fuchsia et au nœud à pois violets … Depuis le temps qu’il courait après Aleera Bielova voilà qu’une grenouille rose la lui enlevait.
La guerre était déclarée !

Après avoir observé le lac pendant quelques minutes, le jeune Serpentard s’éloigna de la berge et quitta la forêt interdite. Malgré son pas vif et alerte, Tom était toujours plongé dans ses pensées. Meg et Lily organisaient une manifestation. Visiblement, Ombrage avait commis une erreur qui lui serait fatale. D’ailleurs la sœur de Lee, future ministre, n’apprécierait surement pas cet affront et risquait d’envoyer quelqu’un pour remplacer le crapaud. Le crapaud en question avait mis la patte dans la termitière et se ferait bouffer de l’intérieur par la colonie en rage – désolée pour l’image, n’essayez pas d’imaginer le cadavre gluant d’un batracien rose qui se fait déchiqueter par d’énormes fourmis aux couleurs de Poudlard. Car pour une fois, anti- et pro-mangemort s’allieraient contre le Rose. Car Poudlard en était malade de ce rose, il vomissait ce rose. Alors Poudlard s’était uni.
Et, évidemment, quand le rose aurait disparu et que les murs sombres du château seraient redevenus ce qu’ils étaient, les élèves se délieraient. Et la guerre de politique reprendrait le dessus sur cette belle unité.
Le cœur du sorcier se noua à cette idée. Meghan. Sa meilleure amie. Une anti-mangemort. Thomas savait qu’un jour, ils devraient affronter leurs idéaux et que ce jour là, ils seraient ennemis. Pourtant, Meghan était sa meilleure amie depuis toujours. Un jour, elle le détesterait. Comme toujours à ces pensées, l’estomac du jeune homme se contracta et il eu mal au ventre. Et puis, il n’y avait pas que Meg. Il avait d’autres amis qui n’aimaient pas son ambition mangemoresque. Par exemple ….
Thomas fut percuté par quelqu’un qui ne regardait pas devant elle. Le jeune fille en question tomba sur le sol dans un mouvement ridicule et Thomas faillit lui hurler de regarder devant elle – tout en sachant bien qu’il ne regardait pas plus devant lui- avant de se rendre compte que la fille en question, c’était Lou. Son ex. Et une anti-mangemort, elle aussi. Sauf qu’elle était une des rare naïve qui ne savait pas les ambitions de Tom. Avant même que le jeune sorcier ne lui tende la main pour l’aider à se relever, Lou s’était remise debout.

-« Salut ^^' excuse moi, je ne faisais pas attention.. »

Absolument pas gênée, la blondinette rejeta ses cheveux en arrière avec élégance. C’est exactement pour ça qu’ils n’étaient pas restés ensemble. Elle était trop in the middle. Je m’explique ; Tom aime soit les filles totalement superficielles, très vite gênées de tout, bref, les filles faciles qui se baladent à ses pieds. Soit les filles avec un grand caractère, qui pousse tout le monde et ne se soucie que de soi-même. Lou n’appartenait à aucun des ces deux caractère.

-« Pas de soucis … A vrai dire, j’étais moi-même plongé dans une réflexion intense. »

Il lui sourit avec entendement. Il savait très bien qu’elle haïssait Ombrage au moins autant que lui. On le voyait rien qu’à son manquement à porter l’uniforme. Elle était une rebelle, une de celle prête à soulever le château contre Ombrage. Mais pas pour les même raisons. D’ailleurs, Lou et Lee étaient de grandes ennemies. =D

-« Wooow, ta main ! T’es malades, tu connais pas la résistance discrète ? Oo »

[Avatar :]

Thomas se tenait droit, la tête basse et les épaules rentrées. L’écharpe vert et argent dans laquelle disparaissait son menton, flottait au gré du vent dans l’air glacial de l’hiver. Les pensées sombres du jeune homme se lisaient dans son regard bleu glacial qui prenait plus que jamais la couleur de l’acier. Ses cheveux d’un brun obscur qui lui retombaient devant les yeux contrastaient avec ce regard si clair et tranchant. Il n’était pas en uniforme mais portait l’écharpe à la couleur de sa maison ainsi que la grande veste noire caractéristique du collège. Sinon, il avait un simple jeans à moitié déchiré et une chemise noire à laquelle pendait tristement la cravate des Serpentards, totalement défaite. Il y pouvait rien, c’était un tic nerveux lorsque la pression s’accumulait dans sa tête que de faire et défaire son nœud de cravate.
Il se tenait devant un petit lac. Un grand étang. Et il était en plein milieu de la forêt interdite. Il avait découvert ce lac quelques semaines plutôt en allant râler après s’être disputée avec Aleera. Bah, oui, il lui avait foutu un deuxième lapin et elle n’avait pas voulu écouter ses excuses. Du coup, furieux, il s’était aventuré dans la forêt et était tombé dans cette clairière magnifique avec ce lac qui brillait sous l’éclat de la lune. Aujourd’hui, c’était différent. Tout d’abord, il faisait jour et le lac ne reflétait que la couche grisâtre de nuage qui s’étendait là haut, dans le ciel, ainsi que l’ombre blafarde des arbres gigantesques qui entouraient la clairière. De plus, une fine couche de glace s’était formée à certains endroits sur l’eau et tentaient tant bien que mal de ne pas subir le dégel. Mais si le temps était différent de la première fois, le contexte aussi l’était. Thomas n’était pas fâché sur Lee. Elle lui manquait atrocement. Ce jour, où elle s’était fait renvoyée, ils avaient faillit s’embrasser. Et au moment où Tom voyait les lèvres si douce de sa bien aimée se rapprocher, un sort inattendu l’avait tiré en arrière et fait tombé au loin de sa Douce. Le crapaud. Vil animal, en serre-tête rose fuchsia et au nœud à pois violets … Depuis le temps qu’il courait après Aleera Bielova voilà qu’une grenouille rose la lui enlevait.
La guerre était déclarée !

Après avoir observé le lac pendant quelques minutes, le jeune Serpentard s’éloigna de la berge et quitta la forêt interdite. Malgré son pas vif et alerte, Tom était toujours plongé dans ses pensées. Meg et Lily organisaient une manifestation. Visiblement, Ombrage avait commis une erreur qui lui serait fatale. D’ailleurs la sœur de Lee, future ministre, n’apprécierait surement pas cet affront et risquait d’envoyer quelqu’un pour remplacer le crapaud. Le crapaud en question avait mis la patte dans la termitière et se ferait bouffer de l’intérieur par la colonie en rage – désolée pour l’image, n’essayez pas d’imaginer le cadavre gluant d’un batracien rose qui se fait déchiqueter par d’énormes fourmis aux couleurs de Poudlard. Car pour une fois, anti- et pro-mangemort s’allieraient contre le Rose. Car Poudlard en était malade de ce rose, il vomissait ce rose. Alors Poudlard s’était uni.
Et, évidemment, quand le rose aurait disparu et que les murs sombres du château seraient redevenus ce qu’ils étaient, les élèves se délieraient. Et la guerre de politique reprendrait le dessus sur cette belle unité.
Le cœur du sorcier se noua à cette idée. Meghan. Sa meilleure amie. Une anti-mangemort. Thomas savait qu’un jour, ils devraient affronter leurs idéaux et que ce jour là, ils seraient ennemis. Pourtant, Meghan était sa meilleure amie depuis toujours. Un jour, elle le détesterait. Comme toujours à ces pensées, l’estomac du jeune homme se contracta et il eu mal au ventre. Et puis, il n’y avait pas que Meg. Il avait d’autres amis qui n’aimaient pas son ambition mangemoresque. Par exemple ….
Thomas fut percuté par quelqu’un qui ne regardait pas devant elle. Le jeune fille en question tomba sur le sol dans un mouvement ridicule et Thomas faillit lui hurler de regarder devant elle – tout en sachant bien qu’il ne regardait pas plus devant lui- avant de se rendre compte que la fille en question, c’était Lou. Son ex. Et une anti-mangemort, elle aussi. Sauf qu’elle était une des rare naïve qui ne savait pas les ambitions de Tom. Avant même que le jeune sorcier ne lui tende la main pour l’aider à se relever, Lou s’était remise debout.

-« Salut ^^' excuse moi, je ne faisais pas attention.. »

Absolument pas gênée, la blondinette rejeta ses cheveux en arrière avec élégance. C’est exactement pour ça qu’ils n’étaient pas restés ensemble. Elle était trop in the middle. Je m’explique ; Tom aime soit les filles totalement superficielles, très vite gênées de tout, bref, les filles faciles qui se baladent à ses pieds. Soit les filles avec un grand caractère, qui pousse tout le monde et ne se soucie que de soi-même. Lou n’appartenait à aucun des ces deux caractère.

-« Pas de soucis … A vrai dire, j’étais moi-même plongé dans une réflexion intense. »

Il lui sourit avec entendement. Il savait très bien qu’elle haïssait Ombrage au moins autant que lui. On le voyait rien qu’à son manquement à porter l’uniforme. Elle était une rebelle, une de celle prête à soulever le château contre Ombrage. Mais pas pour les même raisons. D’ailleurs, Lou et Lee étaient de grandes ennemies. =D

-« Wooow, ta main ! T’es malades, tu connais pas la résistance discrète ? Oo »

[Crédits :]

Thomas se tenait droit, la tête basse et les épaules rentrées. L’écharpe vert et argent dans laquelle disparaissait son menton, flottait au gré du vent dans l’air glacial de l’hiver. Les pensées sombres du jeune homme se lisaient dans son regard bleu glacial qui prenait plus que jamais la couleur de l’acier. Ses cheveux d’un brun obscur qui lui retombaient devant les yeux contrastaient avec ce regard si clair et tranchant. Il n’était pas en uniforme mais portait l’écharpe à la couleur de sa maison ainsi que la grande veste noire caractéristique du collège. Sinon, il avait un simple jeans à moitié déchiré et une chemise noire à laquelle pendait tristement la cravate des Serpentards, totalement défaite. Il y pouvait rien, c’était un tic nerveux lorsque la pression s’accumulait dans sa tête que de faire et défaire son nœud de cravate.
Il se tenait devant un petit lac. Un grand étang. Et il était en plein milieu de la forêt interdite. Il avait découvert ce lac quelques semaines plutôt en allant râler après s’être disputée avec Aleera. Bah, oui, il lui avait foutu un deuxième lapin et elle n’avait pas voulu écouter ses excuses. Du coup, furieux, il s’était aventuré dans la forêt et était tombé dans cette clairière magnifique avec ce lac qui brillait sous l’éclat de la lune. Aujourd’hui, c’était différent. Tout d’abord, il faisait jour et le lac ne reflétait que la couche grisâtre de nuage qui s’étendait là haut, dans le ciel, ainsi que l’ombre blafarde des arbres gigantesques qui entouraient la clairière. De plus, une fine couche de glace s’était formée à certains endroits sur l’eau et tentaient tant bien que mal de ne pas subir le dégel. Mais si le temps était différent de la première fois, le contexte aussi l’était. Thomas n’était pas fâché sur Lee. Elle lui manquait atrocement. Ce jour, où elle s’était fait renvoyée, ils avaient faillit s’embrasser. Et au moment où Tom voyait les lèvres si douce de sa bien aimée se rapprocher, un sort inattendu l’avait tiré en arrière et fait tombé au loin de sa Douce. Le crapaud. Vil animal, en serre-tête rose fuchsia et au nœud à pois violets … Depuis le temps qu’il courait après Aleera Bielova voilà qu’une grenouille rose la lui enlevait.
La guerre était déclarée !

Après avoir observé le lac pendant quelques minutes, le jeune Serpentard s’éloigna de la berge et quitta la forêt interdite. Malgré son pas vif et alerte, Tom était toujours plongé dans ses pensées. Meg et Lily organisaient une manifestation. Visiblement, Ombrage avait commis une erreur qui lui serait fatale. D’ailleurs la sœur de Lee, future ministre, n’apprécierait surement pas cet affront et risquait d’envoyer quelqu’un pour remplacer le crapaud. Le crapaud en question avait mis la patte dans la termitière et se ferait bouffer de l’intérieur par la colonie en rage – désolée pour l’image, n’essayez pas d’imaginer le cadavre gluant d’un batracien rose qui se fait déchiqueter par d’énormes fourmis aux couleurs de Poudlard. Car pour une fois, anti- et pro-mangemort s’allieraient contre le Rose. Car Poudlard en était malade de ce rose, il vomissait ce rose. Alors Poudlard s’était uni.
Et, évidemment, quand le rose aurait disparu et que les murs sombres du château seraient redevenus ce qu’ils étaient, les élèves se délieraient. Et la guerre de politique reprendrait le dessus sur cette belle unité.
Le cœur du sorcier se noua à cette idée. Meghan. Sa meilleure amie. Une anti-mangemort. Thomas savait qu’un jour, ils devraient affronter leurs idéaux et que ce jour là, ils seraient ennemis. Pourtant, Meghan était sa meilleure amie depuis toujours. Un jour, elle le détesterait. Comme toujours à ces pensées, l’estomac du jeune homme se contracta et il eu mal au ventre. Et puis, il n’y avait pas que Meg. Il avait d’autres amis qui n’aimaient pas son ambition mangemoresque. Par exemple ….
Thomas fut percuté par quelqu’un qui ne regardait pas devant elle. Le jeune fille en question tomba sur le sol dans un mouvement ridicule et Thomas faillit lui hurler de regarder devant elle – tout en sachant bien qu’il ne regardait pas plus devant lui- avant de se rendre compte que la fille en question, c’était Lou. Son ex. Et une anti-mangemort, elle aussi. Sauf qu’elle était une des rare naïve qui ne savait pas les ambitions de Tom. Avant même que le jeune sorcier ne lui tende la main pour l’aider à se relever, Lou s’était remise debout.

-« Salut ^^' excuse moi, je ne faisais pas attention.. »

Absolument pas gênée, la blondinette rejeta ses cheveux en arrière avec élégance. C’est exactement pour ça qu’ils n’étaient pas restés ensemble. Elle était trop in the middle. Je m’explique ; Tom aime soit les filles totalement superficielles, très vite gênées de tout, bref, les filles faciles qui se baladent à ses pieds. Soit les filles avec un grand caractère, qui pousse tout le monde et ne se soucie que de soi-même. Lou n’appartenait à aucun des ces deux caractère.

-« Pas de soucis … A vrai dire, j’étais moi-même plongé dans une réflexion intense. »

Il lui sourit avec entendement. Il savait très bien qu’elle haïssait Ombrage au moins autant que lui. On le voyait rien qu’à son manquement à porter l’uniforme. Elle était une rebelle, une de celle prête à soulever le château contre Ombrage. Mais pas pour les même raisons. D’ailleurs, Lou et Lee étaient de grandes ennemies. =D

-« Wooow, ta main ! T’es malades, tu connais pas la résistance discrète ? Oo »

[Age RPG :]

Thomas se tenait droit, la tête basse et les épaules rentrées. L’écharpe vert et argent dans laquelle disparaissait son menton, flottait au gré du vent dans l’air glacial de l’hiver. Les pensées sombres du jeune homme se lisaient dans son regard bleu glacial qui prenait plus que jamais la couleur de l’acier. Ses cheveux d’un brun obscur qui lui retombaient devant les yeux contrastaient avec ce regard si clair et tranchant. Il n’était pas en uniforme mais portait l’écharpe à la couleur de sa maison ainsi que la grande veste noire caractéristique du collège. Sinon, il avait un simple jeans à moitié déchiré et une chemise noire à laquelle pendait tristement la cravate des Serpentards, totalement défaite. Il y pouvait rien, c’était un tic nerveux lorsque la pression s’accumulait dans sa tête que de faire et défaire son nœud de cravate.
Il se tenait devant un petit lac. Un grand étang. Et il était en plein milieu de la forêt interdite. Il avait découvert ce lac quelques semaines plutôt en allant râler après s’être disputée avec Aleera. Bah, oui, il lui avait foutu un deuxième lapin et elle n’avait pas voulu écouter ses excuses. Du coup, furieux, il s’était aventuré dans la forêt et était tombé dans cette clairière magnifique avec ce lac qui brillait sous l’éclat de la lune. Aujourd’hui, c’était différent. Tout d’abord, il faisait jour et le lac ne reflétait que la couche grisâtre de nuage qui s’étendait là haut, dans le ciel, ainsi que l’ombre blafarde des arbres gigantesques qui entouraient la clairière. De plus, une fine couche de glace s’était formée à certains endroits sur l’eau et tentaient tant bien que mal de ne pas subir le dégel. Mais si le temps était différent de la première fois, le contexte aussi l’était. Thomas n’était pas fâché sur Lee. Elle lui manquait atrocement. Ce jour, où elle s’était fait renvoyée, ils avaient faillit s’embrasser. Et au moment où Tom voyait les lèvres si douce de sa bien aimée se rapprocher, un sort inattendu l’avait tiré en arrière et fait tombé au loin de sa Douce. Le crapaud. Vil animal, en serre-tête rose fuchsia et au nœud à pois violets … Depuis le temps qu’il courait après Aleera Bielova voilà qu’une grenouille rose la lui enlevait.
La guerre était déclarée !

Après avoir observé le lac pendant quelques minutes, le jeune Serpentard s’éloigna de la berge et quitta la forêt interdite. Malgré son pas vif et alerte, Tom était toujours plongé dans ses pensées. Meg et Lily organisaient une manifestation. Visiblement, Ombrage avait commis une erreur qui lui serait fatale. D’ailleurs la sœur de Lee, future ministre, n’apprécierait surement pas cet affront et risquait d’envoyer quelqu’un pour remplacer le crapaud. Le crapaud en question avait mis la patte dans la termitière et se ferait bouffer de l’intérieur par la colonie en rage – désolée pour l’image, n’essayez pas d’imaginer le cadavre gluant d’un batracien rose qui se fait déchiqueter par d’énormes fourmis aux couleurs de Poudlard. Car pour une fois, anti- et pro-mangemort s’allieraient contre le Rose. Car Poudlard en était malade de ce rose, il vomissait ce rose. Alors Poudlard s’était uni.
Et, évidemment, quand le rose aurait disparu et que les murs sombres du château seraient redevenus ce qu’ils étaient, les élèves se délieraient. Et la guerre de politique reprendrait le dessus sur cette belle unité.
Le cœur du sorcier se noua à cette idée. Meghan. Sa meilleure amie. Une anti-mangemort. Thomas savait qu’un jour, ils devraient affronter leurs idéaux et que ce jour là, ils seraient ennemis. Pourtant, Meghan était sa meilleure amie depuis toujours. Un jour, elle le détesterait. Comme toujours à ces pensées, l’estomac du jeune homme se contracta et il eu mal au ventre. Et puis, il n’y avait pas que Meg. Il avait d’autres amis qui n’aimaient pas son ambition mangemoresque. Par exemple ….
Thomas fut percuté par quelqu’un qui ne regardait pas devant elle. Le jeune fille en question tomba sur le sol dans un mouvement ridicule et Thomas faillit lui hurler de regarder devant elle – tout en sachant bien qu’il ne regardait pas plus devant lui- avant de se rendre compte que la fille en question, c’était Lou. Son ex. Et une anti-mangemort, elle aussi. Sauf qu’elle était une des rare naïve qui ne savait pas les ambitions de Tom. Avant même que le jeune sorcier ne lui tende la main pour l’aider à se relever, Lou s’était remise debout.

-« Salut ^^' excuse moi, je ne faisais pas attention.. »

Absolument pas gênée, la blondinette rejeta ses cheveux en arrière avec élégance. C’est exactement pour ça qu’ils n’étaient pas restés ensemble. Elle était trop in the middle. Je m’explique ; Tom aime soit les filles totalement superficielles, très vite gênées de tout, bref, les filles faciles qui se baladent à ses pieds. Soit les filles avec un grand caractère, qui pousse tout le monde et ne se soucie que de soi-même. Lou n’appartenait à aucun des ces deux caractère.

-« Pas de soucis … A vrai dire, j’étais moi-même plongé dans une réflexion intense. »

Il lui sourit avec entendement. Il savait très bien qu’elle haïssait Ombrage au moins autant que lui. On le voyait rien qu’à son manquement à porter l’uniforme. Elle était une rebelle, une de celle prête à soulever le château contre Ombrage. Mais pas pour les même raisons. D’ailleurs, Lou et Lee étaient de grandes ennemies. =D

-« Wooow, ta main ! T’es malades, tu connais pas la résistance discrète ? Oo »

[Sang :]

Thomas se tenait droit, la tête basse et les épaules rentrées. L’écharpe vert et argent dans laquelle disparaissait son menton, flottait au gré du vent dans l’air glacial de l’hiver. Les pensées sombres du jeune homme se lisaient dans son regard bleu glacial qui prenait plus que jamais la couleur de l’acier. Ses cheveux d’un brun obscur qui lui retombaient devant les yeux contrastaient avec ce regard si clair et tranchant. Il n’était pas en uniforme mais portait l’écharpe à la couleur de sa maison ainsi que la grande veste noire caractéristique du collège. Sinon, il avait un simple jeans à moitié déchiré et une chemise noire à laquelle pendait tristement la cravate des Serpentards, totalement défaite. Il y pouvait rien, c’était un tic nerveux lorsque la pression s’accumulait dans sa tête que de faire et défaire son nœud de cravate.
Il se tenait devant un petit lac. Un grand étang. Et il était en plein milieu de la forêt interdite. Il avait découvert ce lac quelques semaines plutôt en allant râler après s’être disputée avec Aleera. Bah, oui, il lui avait foutu un deuxième lapin et elle n’avait pas voulu écouter ses excuses. Du coup, furieux, il s’était aventuré dans la forêt et était tombé dans cette clairière magnifique avec ce lac qui brillait sous l’éclat de la lune. Aujourd’hui, c’était différent. Tout d’abord, il faisait jour et le lac ne reflétait que la couche grisâtre de nuage qui s’étendait là haut, dans le ciel, ainsi que l’ombre blafarde des arbres gigantesques qui entouraient la clairière. De plus, une fine couche de glace s’était formée à certains endroits sur l’eau et tentaient tant bien que mal de ne pas subir le dégel. Mais si le temps était différent de la première fois, le contexte aussi l’était. Thomas n’était pas fâché sur Lee. Elle lui manquait atrocement. Ce jour, où elle s’était fait renvoyée, ils avaient faillit s’embrasser. Et au moment où Tom voyait les lèvres si douce de sa bien aimée se rapprocher, un sort inattendu l’avait tiré en arrière et fait tombé au loin de sa Douce. Le crapaud. Vil animal, en serre-tête rose fuchsia et au nœud à pois violets … Depuis le temps qu’il courait après Aleera Bielova voilà qu’une grenouille rose la lui enlevait.
La guerre était déclarée !

Après avoir observé le lac pendant quelques minutes, le jeune Serpentard s’éloigna de la berge et quitta la forêt interdite. Malgré son pas vif et alerte, Tom était toujours plongé dans ses pensées. Meg et Lily organisaient une manifestation. Visiblement, Ombrage avait commis une erreur qui lui serait fatale. D’ailleurs la sœur de Lee, future ministre, n’apprécierait surement pas cet affront et risquait d’envoyer quelqu’un pour remplacer le crapaud. Le crapaud en question avait mis la patte dans la termitière et se ferait bouffer de l’intérieur par la colonie en rage – désolée pour l’image, n’essayez pas d’imaginer le cadavre gluant d’un batracien rose qui se fait déchiqueter par d’énormes fourmis aux couleurs de Poudlard. Car pour une fois, anti- et pro-mangemort s’allieraient contre le Rose. Car Poudlard en était malade de ce rose, il vomissait ce rose. Alors Poudlard s’était uni.
Et, évidemment, quand le rose aurait disparu et que les murs sombres du château seraient redevenus ce qu’ils étaient, les élèves se délieraient. Et la guerre de politique reprendrait le dessus sur cette belle unité.
Le cœur du sorcier se noua à cette idée. Meghan. Sa meilleure amie. Une anti-mangemort. Thomas savait qu’un jour, ils devraient affronter leurs idéaux et que ce jour là, ils seraient ennemis. Pourtant, Meghan était sa meilleure amie depuis toujours. Un jour, elle le détesterait. Comme toujours à ces pensées, l’estomac du jeune homme se contracta et il eu mal au ventre. Et puis, il n’y avait pas que Meg. Il avait d’autres amis qui n’aimaient pas son ambition mangemoresque. Par exemple ….
Thomas fut percuté par quelqu’un qui ne regardait pas devant elle. Le jeune fille en question tomba sur le sol dans un mouvement ridicule et Thomas faillit lui hurler de regarder devant elle – tout en sachant bien qu’il ne regardait pas plus devant lui- avant de se rendre compte que la fille en question, c’était Lou. Son ex. Et une anti-mangemort, elle aussi. Sauf qu’elle était une des rare naïve qui ne savait pas les ambitions de Tom. Avant même que le jeune sorcier ne lui tende la main pour l’aider à se relever, Lou s’était remise debout.

-« Salut ^^' excuse moi, je ne faisais pas attention.. »

Absolument pas gênée, la blondinette rejeta ses cheveux en arrière avec élégance. C’est exactement pour ça qu’ils n’étaient pas restés ensemble. Elle était trop in the middle. Je m’explique ; Tom aime soit les filles totalement superficielles, très vite gênées de tout, bref, les filles faciles qui se baladent à ses pieds. Soit les filles avec un grand caractère, qui pousse tout le monde et ne se soucie que de soi-même. Lou n’appartenait à aucun des ces deux caractère.

-« Pas de soucis … A vrai dire, j’étais moi-même plongé dans une réflexion intense. »

Il lui sourit avec entendement. Il savait très bien qu’elle haïssait Ombrage au moins autant que lui. On le voyait rien qu’à son manquement à porter l’uniforme. Elle était une rebelle, une de celle prête à soulever le château contre Ombrage. Mais pas pour les même raisons. D’ailleurs, Lou et Lee étaient de grandes ennemies. =D

-« Wooow, ta main ! T’es malades, tu connais pas la résistance discrète ? Oo »

[Camp :]

Thomas se tenait droit, la tête basse et les épaules rentrées. L’écharpe vert et argent dans laquelle disparaissait son menton, flottait au gré du vent dans l’air glacial de l’hiver. Les pensées sombres du jeune homme se lisaient dans son regard bleu glacial qui prenait plus que jamais la couleur de l’acier. Ses cheveux d’un brun obscur qui lui retombaient devant les yeux contrastaient avec ce regard si clair et tranchant. Il n’était pas en uniforme mais portait l’écharpe à la couleur de sa maison ainsi que la grande veste noire caractéristique du collège. Sinon, il avait un simple jeans à moitié déchiré et une chemise noire à laquelle pendait tristement la cravate des Serpentards, totalement défaite. Il y pouvait rien, c’était un tic nerveux lorsque la pression s’accumulait dans sa tête que de faire et défaire son nœud de cravate.
Il se tenait devant un petit lac. Un grand étang. Et il était en plein milieu de la forêt interdite. Il avait découvert ce lac quelques semaines plutôt en allant râler après s’être disputée avec Aleera. Bah, oui, il lui avait foutu un deuxième lapin et elle n’avait pas voulu écouter ses excuses. Du coup, furieux, il s’était aventuré dans la forêt et était tombé dans cette clairière magnifique avec ce lac qui brillait sous l’éclat de la lune. Aujourd’hui, c’était différent. Tout d’abord, il faisait jour et le lac ne reflétait que la couche grisâtre de nuage qui s’étendait là haut, dans le ciel, ainsi que l’ombre blafarde des arbres gigantesques qui entouraient la clairière. De plus, une fine couche de glace s’était formée à certains endroits sur l’eau et tentaient tant bien que mal de ne pas subir le dégel. Mais si le temps était différent de la première fois, le contexte aussi l’était. Thomas n’était pas fâché sur Lee. Elle lui manquait atrocement. Ce jour, où elle s’était fait renvoyée, ils avaient faillit s’embrasser. Et au moment où Tom voyait les lèvres si douce de sa bien aimée se rapprocher, un sort inattendu l’avait tiré en arrière et fait tombé au loin de sa Douce. Le crapaud. Vil animal, en serre-tête rose fuchsia et au nœud à pois violets … Depuis le temps qu’il courait après Aleera Bielova voilà qu’une grenouille rose la lui enlevait.
La guerre était déclarée !

Après avoir observé le lac pendant quelques minutes, le jeune Serpentard s’éloigna de la berge et quitta la forêt interdite. Malgré son pas vif et alerte, Tom était toujours plongé dans ses pensées. Meg et Lily organisaient une manifestation. Visiblement, Ombrage avait commis une erreur qui lui serait fatale. D’ailleurs la sœur de Lee, future ministre, n’apprécierait surement pas cet affront et risquait d’envoyer quelqu’un pour remplacer le crapaud. Le crapaud en question avait mis la patte dans la termitière et se ferait bouffer de l’intérieur par la colonie en rage – désolée pour l’image, n’essayez pas d’imaginer le cadavre gluant d’un batracien rose qui se fait déchiqueter par d’énormes fourmis aux couleurs de Poudlard. Car pour une fois, anti- et pro-mangemort s’allieraient contre le Rose. Car Poudlard en était malade de ce rose, il vomissait ce rose. Alors Poudlard s’était uni.
Et, évidemment, quand le rose aurait disparu et que les murs sombres du château seraient redevenus ce qu’ils étaient, les élèves se délieraient. Et la guerre de politique reprendrait le dessus sur cette belle unité.
Le cœur du sorcier se noua à cette idée. Meghan. Sa meilleure amie. Une anti-mangemort. Thomas savait qu’un jour, ils devraient affronter leurs idéaux et que ce jour là, ils seraient ennemis. Pourtant, Meghan était sa meilleure amie depuis toujours. Un jour, elle le détesterait. Comme toujours à ces pensées, l’estomac du jeune homme se contracta et il eu mal au ventre. Et puis, il n’y avait pas que Meg. Il avait d’autres amis qui n’aimaient pas son ambition mangemoresque. Par exemple ….
Thomas fut percuté par quelqu’un qui ne regardait pas devant elle. Le jeune fille en question tomba sur le sol dans un mouvement ridicule et Thomas faillit lui hurler de regarder devant elle – tout en sachant bien qu’il ne regardait pas plus devant lui- avant de se rendre compte que la fille en question, c’était Lou. Son ex. Et une anti-mangemort, elle aussi. Sauf qu’elle était une des rare naïve qui ne savait pas les ambitions de Tom. Avant même que le jeune sorcier ne lui tende la main pour l’aider à se relever, Lou s’était remise debout.

-« Salut ^^' excuse moi, je ne faisais pas attention.. »

Absolument pas gênée, la blondinette rejeta ses cheveux en arrière avec élégance. C’est exactement pour ça qu’ils n’étaient pas restés ensemble. Elle était trop in the middle. Je m’explique ; Tom aime soit les filles totalement superficielles, très vite gênées de tout, bref, les filles faciles qui se baladent à ses pieds. Soit les filles avec un grand caractère, qui pousse tout le monde et ne se soucie que de soi-même. Lou n’appartenait à aucun des ces deux caractère.

-« Pas de soucis … A vrai dire, j’étais moi-même plongé dans une réflexion intense. »

Il lui sourit avec entendement. Il savait très bien qu’elle haïssait Ombrage au moins autant que lui. On le voyait rien qu’à son manquement à porter l’uniforme. Elle était une rebelle, une de celle prête à soulever le château contre Ombrage. Mais pas pour les même raisons. D’ailleurs, Lou et Lee étaient de grandes ennemies. =D

-« Wooow, ta main ! T’es malades, tu connais pas la résistance discrète ? Oo »

[Truc en plus :]

Thomas se tenait droit, la tête basse et les épaules rentrées. L’écharpe vert et argent dans laquelle disparaissait son menton, flottait au gré du vent dans l’air glacial de l’hiver. Les pensées sombres du jeune homme se lisaient dans son regard bleu glacial qui prenait plus que jamais la couleur de l’acier. Ses cheveux d’un brun obscur qui lui retombaient devant les yeux contrastaient avec ce regard si clair et tranchant. Il n’était pas en uniforme mais portait l’écharpe à la couleur de sa maison ainsi que la grande veste noire caractéristique du collège. Sinon, il avait un simple jeans à moitié déchiré et une chemise noire à laquelle pendait tristement la cravate des Serpentards, totalement défaite. Il y pouvait rien, c’était un tic nerveux lorsque la pression s’accumulait dans sa tête que de faire et défaire son nœud de cravate.
Il se tenait devant un petit lac. Un grand étang. Et il était en plein milieu de la forêt interdite. Il avait découvert ce lac quelques semaines plutôt en allant râler après s’être disputée avec Aleera. Bah, oui, il lui avait foutu un deuxième lapin et elle n’avait pas voulu écouter ses excuses. Du coup, furieux, il s’était aventuré dans la forêt et était tombé dans cette clairière magnifique avec ce lac qui brillait sous l’éclat de la lune. Aujourd’hui, c’était différent. Tout d’abord, il faisait jour et le lac ne reflétait que la couche grisâtre de nuage qui s’étendait là haut, dans le ciel, ainsi que l’ombre blafarde des arbres gigantesques qui entouraient la clairière. De plus, une fine couche de glace s’était formée à certains endroits sur l’eau et tentaient tant bien que mal de ne pas subir le dégel. Mais si le temps était différent de la première fois, le contexte aussi l’était. Thomas n’était pas fâché sur Lee. Elle lui manquait atrocement. Ce jour, où elle s’était fait renvoyée, ils avaient faillit s’embrasser. Et au moment où Tom voyait les lèvres si douce de sa bien aimée se rapprocher, un sort inattendu l’avait tiré en arrière et fait tombé au loin de sa Douce. Le crapaud. Vil animal, en serre-tête rose fuchsia et au nœud à pois violets … Depuis le temps qu’il courait après Aleera Bielova voilà qu’une grenouille rose la lui enlevait.
La guerre était déclarée !

Après avoir observé le lac pendant quelques minutes, le jeune Serpentard s’éloigna de la berge et quitta la forêt interdite. Malgré son pas vif et alerte, Tom était toujours plongé dans ses pensées. Meg et Lily organisaient une manifestation. Visiblement, Ombrage avait commis une erreur qui lui serait fatale. D’ailleurs la sœur de Lee, future ministre, n’apprécierait surement pas cet affront et risquait d’envoyer quelqu’un pour remplacer le crapaud. Le crapaud en question avait mis la patte dans la termitière et se ferait bouffer de l’intérieur par la colonie en rage – désolée pour l’image, n’essayez pas d’imaginer le cadavre gluant d’un batracien rose qui se fait déchiqueter par d’énormes fourmis aux couleurs de Poudlard. Car pour une fois, anti- et pro-mangemort s’allieraient contre le Rose. Car Poudlard en était malade de ce rose, il vomissait ce rose. Alors Poudlard s’était uni.
Et, évidemment, quand le rose aurait disparu et que les murs sombres du château seraient redevenus ce qu’ils étaient, les élèves se délieraient. Et la guerre de politique reprendrait le dessus sur cette belle unité.
Le cœur du sorcier se noua à cette idée. Meghan. Sa meilleure amie. Une anti-mangemort. Thomas savait qu’un jour, ils devraient affronter leurs idéaux et que ce jour là, ils seraient ennemis. Pourtant, Meghan était sa meilleure amie depuis toujours. Un jour, elle le détesterait. Comme toujours à ces pensées, l’estomac du jeune homme se contracta et il eu mal au ventre. Et puis, il n’y avait pas que Meg. Il avait d’autres amis qui n’aimaient pas son ambition mangemoresque. Par exemple ….
Thomas fut percuté par quelqu’un qui ne regardait pas devant elle. Le jeune fille en question tomba sur le sol dans un mouvement ridicule et Thomas faillit lui hurler de regarder devant elle – tout en sachant bien qu’il ne regardait pas plus devant lui- avant de se rendre compte que la fille en question, c’était Lou. Son ex. Et une anti-mangemort, elle aussi. Sauf qu’elle était une des rare naïve qui ne savait pas les ambitions de Tom. Avant même que le jeune sorcier ne lui tende la main pour l’aider à se relever, Lou s’était remise debout.

-« Salut ^^' excuse moi, je ne faisais pas attention.. »

Absolument pas gênée, la blondinette rejeta ses cheveux en arrière avec élégance. C’est exactement pour ça qu’ils n’étaient pas restés ensemble. Elle était trop in the middle. Je m’explique ; Tom aime soit les filles totalement superficielles, très vite gênées de tout, bref, les filles faciles qui se baladent à ses pieds. Soit les filles avec un grand caractère, qui pousse tout le monde et ne se soucie que de soi-même. Lou n’appartenait à aucun des ces deux caractère.

-« Pas de soucis … A vrai dire, j’étais moi-même plongé dans une réflexion intense. »

Il lui sourit avec entendement. Il savait très bien qu’elle haïssait Ombrage au moins autant que lui. On le voyait rien qu’à son manquement à porter l’uniforme. Elle était une rebelle, une de celle prête à soulever le château contre Ombrage. Mais pas pour les même raisons. D’ailleurs, Lou et Lee étaient de grandes ennemies. =D

-« Wooow, ta main ! T’es malades, tu connais pas la résistance discrète ? Oo »

[Doubles-Comptes :]

Thomas se tenait droit, la tête basse et les épaules rentrées. L’écharpe vert et argent dans laquelle disparaissait son menton, flottait au gré du vent dans l’air glacial de l’hiver. Les pensées sombres du jeune homme se lisaient dans son regard bleu glacial qui prenait plus que jamais la couleur de l’acier. Ses cheveux d’un brun obscur qui lui retombaient devant les yeux contrastaient avec ce regard si clair et tranchant. Il n’était pas en uniforme mais portait l’écharpe à la couleur de sa maison ainsi que la grande veste noire caractéristique du collège. Sinon, il avait un simple jeans à moitié déchiré et une chemise noire à laquelle pendait tristement la cravate des Serpentards, totalement défaite. Il y pouvait rien, c’était un tic nerveux lorsque la pression s’accumulait dans sa tête que de faire et défaire son nœud de cravate.
Il se tenait devant un petit lac. Un grand étang. Et il était en plein milieu de la forêt interdite. Il avait découvert ce lac quelques semaines plutôt en allant râler après s’être disputée avec Aleera. Bah, oui, il lui avait foutu un deuxième lapin et elle n’avait pas voulu écouter ses excuses. Du coup, furieux, il s’était aventuré dans la forêt et était tombé dans cette clairière magnifique avec ce lac qui brillait sous l’éclat de la lune. Aujourd’hui, c’était différent. Tout d’abord, il faisait jour et le lac ne reflétait que la couche grisâtre de nuage qui s’étendait là haut, dans le ciel, ainsi que l’ombre blafarde des arbres gigantesques qui entouraient la clairière. De plus, une fine couche de glace s’était formée à certains endroits sur l’eau et tentaient tant bien que mal de ne pas subir le dégel. Mais si le temps était différent de la première fois, le contexte aussi l’était. Thomas n’était pas fâché sur Lee. Elle lui manquait atrocement. Ce jour, où elle s’était fait renvoyée, ils avaient faillit s’embrasser. Et au moment où Tom voyait les lèvres si douce de sa bien aimée se rapprocher, un sort inattendu l’avait tiré en arrière et fait tombé au loin de sa Douce. Le crapaud. Vil animal, en serre-tête rose fuchsia et au nœud à pois violets … Depuis le temps qu’il courait après Aleera Bielova voilà qu’une grenouille rose la lui enlevait.
La guerre était déclarée !

Après avoir observé le lac pendant quelques minutes, le jeune Serpentard s’éloigna de la berge et quitta la forêt interdite. Malgré son pas vif et alerte, Tom était toujours plongé dans ses pensées. Meg et Lily organisaient une manifestation. Visiblement, Ombrage avait commis une erreur qui lui serait fatale. D’ailleurs la sœur de Lee, future ministre, n’apprécierait surement pas cet affront et risquait d’envoyer quelqu’un pour remplacer le crapaud. Le crapaud en question avait mis la patte dans la termitière et se ferait bouffer de l’intérieur par la colonie en rage – désolée pour l’image, n’essayez pas d’imaginer le cadavre gluant d’un batracien rose qui se fait déchiqueter par d’énormes fourmis aux couleurs de Poudlard. Car pour une fois, anti- et pro-mangemort s’allieraient contre le Rose. Car Poudlard en était malade de ce rose, il vomissait ce rose. Alors Poudlard s’était uni.
Et, évidemment, quand le rose aurait disparu et que les murs sombres du château seraient redevenus ce qu’ils étaient, les élèves se délieraient. Et la guerre de politique reprendrait le dessus sur cette belle unité.
Le cœur du sorcier se noua à cette idée. Meghan. Sa meilleure amie. Une anti-mangemort. Thomas savait qu’un jour, ils devraient affronter leurs idéaux et que ce jour là, ils seraient ennemis. Pourtant, Meghan était sa meilleure amie depuis toujours. Un jour, elle le détesterait. Comme toujours à ces pensées, l’estomac du jeune homme se contracta et il eu mal au ventre. Et puis, il n’y avait pas que Meg. Il avait d’autres amis qui n’aimaient pas son ambition mangemoresque. Par exemple ….
Thomas fut percuté par quelqu’un qui ne regardait pas devant elle. Le jeune fille en question tomba sur le sol dans un mouvement ridicule et Thomas faillit lui hurler de regarder devant elle – tout en sachant bien qu’il ne regardait pas plus devant lui- avant de se rendre compte que la fille en question, c’était Lou. Son ex. Et une anti-mangemort, elle aussi. Sauf qu’elle était une des rare naïve qui ne savait pas les ambitions de Tom. Avant même que le jeune sorcier ne lui tende la main pour l’aider à se relever, Lou s’était remise debout.

-« Salut ^^' excuse moi, je ne faisais pas attention.. »

Absolument pas gênée, la blondinette rejeta ses cheveux en arrière avec élégance. C’est exactement pour ça qu’ils n’étaient pas restés ensemble. Elle était trop in the middle. Je m’explique ; Tom aime soit les filles totalement superficielles, très vite gênées de tout, bref, les filles faciles qui se baladent à ses pieds. Soit les filles avec un grand caractère, qui pousse tout le monde et ne se soucie que de soi-même. Lou n’appartenait à aucun des ces deux caractère.

-« Pas de soucis … A vrai dire, j’étais moi-même plongé dans une réflexion intense. »

Il lui sourit avec entendement. Il savait très bien qu’elle haïssait Ombrage au moins autant que lui. On le voyait rien qu’à son manquement à porter l’uniforme. Elle était une rebelle, une de celle prête à soulever le château contre Ombrage. Mais pas pour les même raisons. D’ailleurs, Lou et Lee étaient de grandes ennemies. =D

-« Wooow, ta main ! T’es malades, tu connais pas la résistance discrète ? Oo »

Lorsque Lou répondit avec le sourire qu’elle aussi était plongée dans une intense réflexion, le Serpentard lui servit un sourire amusé. Elle était belle, ses cheveux blonds dorés semblaient refléter le soleil alors que celui-ci se cachait derrière une masse compacte de sombres nuages. Un court instant, Thomas se demanda s’il avait vraiment aimé cette fille. Il avait pris du plaisir à sortir avec elle mais est-ce qu’il avait vraiment ressentit ce chaud dans la poitrine lorsqu’on voit arriver son amoureuse ? Non, il n’avait pas aimé Lou. Il était un handicapé des sentiments et n’avait jamais vraiment aimé aucune fille. Il les appréciait beaucoup mais sans plus. Sa gorge se noua à cette constatation, il était tellement indécis sur ses sentiments envers Lee, il ne savait pas ce qu’était l’amour. Non, mais quel con il faisait vraiment … Le mec qui fais tomber toutes les filles, qui tombe devant toutes les filles est incapable de savoir s’il est amoureux. Quelle pitié. Le Serpentard laissa ses yeux tomber sur ses orteils et fixa ses pieds dans l’espoir que Lou ne remarque pas son trouble.
C’est en relevant les yeux qu’il remarqua la mains de son ex et qu’il s’étonna devant la cicatrice.
Il ne comprenait pas comment on pouvait être tellement sur de ses idées au point d’avoir la main à ce point blessée. C’était la différence entre les serpents, lâches et prudents, et entre les griffons, courageux et impulsifs. Mais le crapaud qui hantait les couloirs du collège était vraiment un sadique parfait. Selon la rumeur, Ombrage avait déjà parlé plusieurs fois avec Rusard pour mettre au point une torture qui consisterait à prendre les élèves par les doigts de pied dans les cachots. Tom se rappelait qu’Alex lui avait parlé de cette torture qui était en vigueur à l’époque pré-Dumbledore –pour dire si ça date. Bref, selon Alex, les élèves qui restaient la tête en bas pendant plus de deux heures s’évanouissaient à cause de la pression sanguine qui s’accumulait dans le cerveau, mais le pire restait dans le fait que le sang quittant les orteils (le froid et l’humidité des cachots aidant), ils devenaient bleus et les doigts de pieds se détachaient, uns à uns. Ensuite, l’élève tombait et reprenait connaissances sans orteils. Pure légende évidemment. Mais malgré tout, le Serpentard ne put s’empêcher de voir Lou, pendue par les orteils, hurlant de douleur. Il frissonna et reporta son attention sur la main de la jeune fille en secouant la tête.

-'' Si, je connais. Mais mon sang-froid sans limite me quitte dès qu'elle apparait. Et, entre nous, elle doit sûrement avoir une dent contre moi. ''

Tom leva les yeux au ciel. Cette bonne femme n’avait pas une dent contre Lou, elle était comme ça de nature. Ce n’était pas une excuse ; elle a une dent contre moi, le petit crapaud rose déteste tout le monde et tout le monde la déteste. S’il était vrai que certaines grandes gueules avaient plus souvent rendez-vous avec Ombrage plus souvent que d’autres, tout le monde avait déjà testé sa plume vampirique. D’un geste discret, le jeune adolescent passa sa main sur ses propres cicatrices ; « on ne tague pas les murs du château » « Je me tais, je me plie au règle et je suis le troupeau. ». Etonnant comment un carpeau pouvait tenter de transformer les élèves en mouton. Mais c’était vain, la machine de la réforme s’était mise en marche et il était désormais trop tard pour arrêter les rouages. C’est sans doute ce qu’on appelle le destin.

-« Ton sang-froid sans limite atteint une limite à la délicieuse vue du rose ? Tu n’es pas la seule à t’être découverte une limite, tu sais, mais tu ne devrais pas la franchir … »

Il lui sourit et sortit un paquet de clopes de son sac. Il en proposa une à Lou, puis alluma la sienne d’un geste négligé. Il soupira en avalant la fumée et fixa son amie. Certains disent que les limites sont faites pour être franchies, mais Tom était contre cet avis. Nos propres limites, oui, il faut les repousser, toujours avancer, toujours chercher le meilleur en nous même. Mais comme on dit, notre liberté s’arrête là où celle des autres commence. Pendant longtemps, le petit serpent ne s’était pas gêné pour marcher sur les pieds des autres, bousculer, prendre de la place. Pousser les limites des autres.
Et puis, tout avait basculé.

-« On marche ? »

Le Serpentard acquiesça et se mit à longer le lac aux côtés de Lou. Il laissa passer encore un moment de silence avant de continuer sur sa lancée.

-« Regarde Ombrage, elle a dépassée la limite. Résultat, elle va avoir la futur ministre sur le dos et tout un collège contre elle. Il faut être prudent, Lou. »

Génial, voilà Tom en rôle de moralisateur. C’était aussi surprenant que normal, après tout. Ces derniers temps, il avait murit. Et puis, il tenait à son ex et savait que celle-ci était très impulsive. Et pas du tout prudente. La preuve, elle accordait sa confiance à un futur mangemort tel que lui…

[Messages :]

Lorsque Lou répondit avec le sourire qu’elle aussi était plongée dans une intense réflexion, le Serpentard lui servit un sourire amusé. Elle était belle, ses cheveux blonds dorés semblaient refléter le soleil alors que celui-ci se cachait derrière une masse compacte de sombres nuages. Un court instant, Thomas se demanda s’il avait vraiment aimé cette fille. Il avait pris du plaisir à sortir avec elle mais est-ce qu’il avait vraiment ressentit ce chaud dans la poitrine lorsqu’on voit arriver son amoureuse ? Non, il n’avait pas aimé Lou. Il était un handicapé des sentiments et n’avait jamais vraiment aimé aucune fille. Il les appréciait beaucoup mais sans plus. Sa gorge se noua à cette constatation, il était tellement indécis sur ses sentiments envers Lee, il ne savait pas ce qu’était l’amour. Non, mais quel con il faisait vraiment … Le mec qui fais tomber toutes les filles, qui tombe devant toutes les filles est incapable de savoir s’il est amoureux. Quelle pitié. Le Serpentard laissa ses yeux tomber sur ses orteils et fixa ses pieds dans l’espoir que Lou ne remarque pas son trouble.
C’est en relevant les yeux qu’il remarqua la mains de son ex et qu’il s’étonna devant la cicatrice.
Il ne comprenait pas comment on pouvait être tellement sur de ses idées au point d’avoir la main à ce point blessée. C’était la différence entre les serpents, lâches et prudents, et entre les griffons, courageux et impulsifs. Mais le crapaud qui hantait les couloirs du collège était vraiment un sadique parfait. Selon la rumeur, Ombrage avait déjà parlé plusieurs fois avec Rusard pour mettre au point une torture qui consisterait à prendre les élèves par les doigts de pied dans les cachots. Tom se rappelait qu’Alex lui avait parlé de cette torture qui était en vigueur à l’époque pré-Dumbledore –pour dire si ça date. Bref, selon Alex, les élèves qui restaient la tête en bas pendant plus de deux heures s’évanouissaient à cause de la pression sanguine qui s’accumulait dans le cerveau, mais le pire restait dans le fait que le sang quittant les orteils (le froid et l’humidité des cachots aidant), ils devenaient bleus et les doigts de pieds se détachaient, uns à uns. Ensuite, l’élève tombait et reprenait connaissances sans orteils. Pure légende évidemment. Mais malgré tout, le Serpentard ne put s’empêcher de voir Lou, pendue par les orteils, hurlant de douleur. Il frissonna et reporta son attention sur la main de la jeune fille en secouant la tête.

-'' Si, je connais. Mais mon sang-froid sans limite me quitte dès qu'elle apparait. Et, entre nous, elle doit sûrement avoir une dent contre moi. ''

Tom leva les yeux au ciel. Cette bonne femme n’avait pas une dent contre Lou, elle était comme ça de nature. Ce n’était pas une excuse ; elle a une dent contre moi, le petit crapaud rose déteste tout le monde et tout le monde la déteste. S’il était vrai que certaines grandes gueules avaient plus souvent rendez-vous avec Ombrage plus souvent que d’autres, tout le monde avait déjà testé sa plume vampirique. D’un geste discret, le jeune adolescent passa sa main sur ses propres cicatrices ; « on ne tague pas les murs du château » « Je me tais, je me plie au règle et je suis le troupeau. ». Etonnant comment un carpeau pouvait tenter de transformer les élèves en mouton. Mais c’était vain, la machine de la réforme s’était mise en marche et il était désormais trop tard pour arrêter les rouages. C’est sans doute ce qu’on appelle le destin.

-« Ton sang-froid sans limite atteint une limite à la délicieuse vue du rose ? Tu n’es pas la seule à t’être découverte une limite, tu sais, mais tu ne devrais pas la franchir … »

Il lui sourit et sortit un paquet de clopes de son sac. Il en proposa une à Lou, puis alluma la sienne d’un geste négligé. Il soupira en avalant la fumée et fixa son amie. Certains disent que les limites sont faites pour être franchies, mais Tom était contre cet avis. Nos propres limites, oui, il faut les repousser, toujours avancer, toujours chercher le meilleur en nous même. Mais comme on dit, notre liberté s’arrête là où celle des autres commence. Pendant longtemps, le petit serpent ne s’était pas gêné pour marcher sur les pieds des autres, bousculer, prendre de la place. Pousser les limites des autres.
Et puis, tout avait basculé.

-« On marche ? »

Le Serpentard acquiesça et se mit à longer le lac aux côtés de Lou. Il laissa passer encore un moment de silence avant de continuer sur sa lancée.

-« Regarde Ombrage, elle a dépassée la limite. Résultat, elle va avoir la futur ministre sur le dos et tout un collège contre elle. Il faut être prudent, Lou. »

Génial, voilà Tom en rôle de moralisateur. C’était aussi surprenant que normal, après tout. Ces derniers temps, il avait murit. Et puis, il tenait à son ex et savait que celle-ci était très impulsive. Et pas du tout prudente. La preuve, elle accordait sa confiance à un futur mangemort tel que lui…

[Points :]

Lorsque Lou répondit avec le sourire qu’elle aussi était plongée dans une intense réflexion, le Serpentard lui servit un sourire amusé. Elle était belle, ses cheveux blonds dorés semblaient refléter le soleil alors que celui-ci se cachait derrière une masse compacte de sombres nuages. Un court instant, Thomas se demanda s’il avait vraiment aimé cette fille. Il avait pris du plaisir à sortir avec elle mais est-ce qu’il avait vraiment ressentit ce chaud dans la poitrine lorsqu’on voit arriver son amoureuse ? Non, il n’avait pas aimé Lou. Il était un handicapé des sentiments et n’avait jamais vraiment aimé aucune fille. Il les appréciait beaucoup mais sans plus. Sa gorge se noua à cette constatation, il était tellement indécis sur ses sentiments envers Lee, il ne savait pas ce qu’était l’amour. Non, mais quel con il faisait vraiment … Le mec qui fais tomber toutes les filles, qui tombe devant toutes les filles est incapable de savoir s’il est amoureux. Quelle pitié. Le Serpentard laissa ses yeux tomber sur ses orteils et fixa ses pieds dans l’espoir que Lou ne remarque pas son trouble.
C’est en relevant les yeux qu’il remarqua la mains de son ex et qu’il s’étonna devant la cicatrice.
Il ne comprenait pas comment on pouvait être tellement sur de ses idées au point d’avoir la main à ce point blessée. C’était la différence entre les serpents, lâches et prudents, et entre les griffons, courageux et impulsifs. Mais le crapaud qui hantait les couloirs du collège était vraiment un sadique parfait. Selon la rumeur, Ombrage avait déjà parlé plusieurs fois avec Rusard pour mettre au point une torture qui consisterait à prendre les élèves par les doigts de pied dans les cachots. Tom se rappelait qu’Alex lui avait parlé de cette torture qui était en vigueur à l’époque pré-Dumbledore –pour dire si ça date. Bref, selon Alex, les élèves qui restaient la tête en bas pendant plus de deux heures s’évanouissaient à cause de la pression sanguine qui s’accumulait dans le cerveau, mais le pire restait dans le fait que le sang quittant les orteils (le froid et l’humidité des cachots aidant), ils devenaient bleus et les doigts de pieds se détachaient, uns à uns. Ensuite, l’élève tombait et reprenait connaissances sans orteils. Pure légende évidemment. Mais malgré tout, le Serpentard ne put s’empêcher de voir Lou, pendue par les orteils, hurlant de douleur. Il frissonna et reporta son attention sur la main de la jeune fille en secouant la tête.

-'' Si, je connais. Mais mon sang-froid sans limite me quitte dès qu'elle apparait. Et, entre nous, elle doit sûrement avoir une dent contre moi. ''

Tom leva les yeux au ciel. Cette bonne femme n’avait pas une dent contre Lou, elle était comme ça de nature. Ce n’était pas une excuse ; elle a une dent contre moi, le petit crapaud rose déteste tout le monde et tout le monde la déteste. S’il était vrai que certaines grandes gueules avaient plus souvent rendez-vous avec Ombrage plus souvent que d’autres, tout le monde avait déjà testé sa plume vampirique. D’un geste discret, le jeune adolescent passa sa main sur ses propres cicatrices ; « on ne tague pas les murs du château » « Je me tais, je me plie au règle et je suis le troupeau. ». Etonnant comment un carpeau pouvait tenter de transformer les élèves en mouton. Mais c’était vain, la machine de la réforme s’était mise en marche et il était désormais trop tard pour arrêter les rouages. C’est sans doute ce qu’on appelle le destin.

-« Ton sang-froid sans limite atteint une limite à la délicieuse vue du rose ? Tu n’es pas la seule à t’être découverte une limite, tu sais, mais tu ne devrais pas la franchir … »

Il lui sourit et sortit un paquet de clopes de son sac. Il en proposa une à Lou, puis alluma la sienne d’un geste négligé. Il soupira en avalant la fumée et fixa son amie. Certains disent que les limites sont faites pour être franchies, mais Tom était contre cet avis. Nos propres limites, oui, il faut les repousser, toujours avancer, toujours chercher le meilleur en nous même. Mais comme on dit, notre liberté s’arrête là où celle des autres commence. Pendant longtemps, le petit serpent ne s’était pas gêné pour marcher sur les pieds des autres, bousculer, prendre de la place. Pousser les limites des autres.
Et puis, tout avait basculé.

-« On marche ? »

Le Serpentard acquiesça et se mit à longer le lac aux côtés de Lou. Il laissa passer encore un moment de silence avant de continuer sur sa lancée.

-« Regarde Ombrage, elle a dépassée la limite. Résultat, elle va avoir la futur ministre sur le dos et tout un collège contre elle. Il faut être prudent, Lou. »

Génial, voilà Tom en rôle de moralisateur. C’était aussi surprenant que normal, après tout. Ces derniers temps, il avait murit. Et puis, il tenait à son ex et savait que celle-ci était très impulsive. Et pas du tout prudente. La preuve, elle accordait sa confiance à un futur mangemort tel que lui…

[Avatar :]

Lorsque Lou répondit avec le sourire qu’elle aussi était plongée dans une intense réflexion, le Serpentard lui servit un sourire amusé. Elle était belle, ses cheveux blonds dorés semblaient refléter le soleil alors que celui-ci se cachait derrière une masse compacte de sombres nuages. Un court instant, Thomas se demanda s’il avait vraiment aimé cette fille. Il avait pris du plaisir à sortir avec elle mais est-ce qu’il avait vraiment ressentit ce chaud dans la poitrine lorsqu’on voit arriver son amoureuse ? Non, il n’avait pas aimé Lou. Il était un handicapé des sentiments et n’avait jamais vraiment aimé aucune fille. Il les appréciait beaucoup mais sans plus. Sa gorge se noua à cette constatation, il était tellement indécis sur ses sentiments envers Lee, il ne savait pas ce qu’était l’amour. Non, mais quel con il faisait vraiment … Le mec qui fais tomber toutes les filles, qui tombe devant toutes les filles est incapable de savoir s’il est amoureux. Quelle pitié. Le Serpentard laissa ses yeux tomber sur ses orteils et fixa ses pieds dans l’espoir que Lou ne remarque pas son trouble.
C’est en relevant les yeux qu’il remarqua la mains de son ex et qu’il s’étonna devant la cicatrice.
Il ne comprenait pas comment on pouvait être tellement sur de ses idées au point d’avoir la main à ce point blessée. C’était la différence entre les serpents, lâches et prudents, et entre les griffons, courageux et impulsifs. Mais le crapaud qui hantait les couloirs du collège était vraiment un sadique parfait. Selon la rumeur, Ombrage avait déjà parlé plusieurs fois avec Rusard pour mettre au point une torture qui consisterait à prendre les élèves par les doigts de pied dans les cachots. Tom se rappelait qu’Alex lui avait parlé de cette torture qui était en vigueur à l’époque pré-Dumbledore –pour dire si ça date. Bref, selon Alex, les élèves qui restaient la tête en bas pendant plus de deux heures s’évanouissaient à cause de la pression sanguine qui s’accumulait dans le cerveau, mais le pire restait dans le fait que le sang quittant les orteils (le froid et l’humidité des cachots aidant), ils devenaient bleus et les doigts de pieds se détachaient, uns à uns. Ensuite, l’élève tombait et reprenait connaissances sans orteils. Pure légende évidemment. Mais malgré tout, le Serpentard ne put s’empêcher de voir Lou, pendue par les orteils, hurlant de douleur. Il frissonna et reporta son attention sur la main de la jeune fille en secouant la tête.

-'' Si, je connais. Mais mon sang-froid sans limite me quitte dès qu'elle apparait. Et, entre nous, elle doit sûrement avoir une dent contre moi. ''

Tom leva les yeux au ciel. Cette bonne femme n’avait pas une dent contre Lou, elle était comme ça de nature. Ce n’était pas une excuse ; elle a une dent contre moi, le petit crapaud rose déteste tout le monde et tout le monde la déteste. S’il était vrai que certaines grandes gueules avaient plus souvent rendez-vous avec Ombrage plus souvent que d’autres, tout le monde avait déjà testé sa plume vampirique. D’un geste discret, le jeune adolescent passa sa main sur ses propres cicatrices ; « on ne tague pas les murs du château » « Je me tais, je me plie au règle et je suis le troupeau. ». Etonnant comment un carpeau pouvait tenter de transformer les élèves en mouton. Mais c’était vain, la machine de la réforme s’était mise en marche et il était désormais trop tard pour arrêter les rouages. C’est sans doute ce qu’on appelle le destin.

-« Ton sang-froid sans limite atteint une limite à la délicieuse vue du rose ? Tu n’es pas la seule à t’être découverte une limite, tu sais, mais tu ne devrais pas la franchir … »

Il lui sourit et sortit un paquet de clopes de son sac. Il en proposa une à Lou, puis alluma la sienne d’un geste négligé. Il soupira en avalant la fumée et fixa son amie. Certains disent que les limites sont faites pour être franchies, mais Tom était contre cet avis. Nos propres limites, oui, il faut les repousser, toujours avancer, toujours chercher le meilleur en nous même. Mais comme on dit, notre liberté s’arrête là où celle des autres commence. Pendant longtemps, le petit serpent ne s’était pas gêné pour marcher sur les pieds des autres, bousculer, prendre de la place. Pousser les limites des autres.
Et puis, tout avait basculé.

-« On marche ? »

Le Serpentard acquiesça et se mit à longer le lac aux côtés de Lou. Il laissa passer encore un moment de silence avant de continuer sur sa lancée.

-« Regarde Ombrage, elle a dépassée la limite. Résultat, elle va avoir la futur ministre sur le dos et tout un collège contre elle. Il faut être prudent, Lou. »

Génial, voilà Tom en rôle de moralisateur. C’était aussi surprenant que normal, après tout. Ces derniers temps, il avait murit. Et puis, il tenait à son ex et savait que celle-ci était très impulsive. Et pas du tout prudente. La preuve, elle accordait sa confiance à un futur mangemort tel que lui…

[Crédits :]

Lorsque Lou répondit avec le sourire qu’elle aussi était plongée dans une intense réflexion, le Serpentard lui servit un sourire amusé. Elle était belle, ses cheveux blonds dorés semblaient refléter le soleil alors que celui-ci se cachait derrière une masse compacte de sombres nuages. Un court instant, Thomas se demanda s’il avait vraiment aimé cette fille. Il avait pris du plaisir à sortir avec elle mais est-ce qu’il avait vraiment ressentit ce chaud dans la poitrine lorsqu’on voit arriver son amoureuse ? Non, il n’avait pas aimé Lou. Il était un handicapé des sentiments et n’avait jamais vraiment aimé aucune fille. Il les appréciait beaucoup mais sans plus. Sa gorge se noua à cette constatation, il était tellement indécis sur ses sentiments envers Lee, il ne savait pas ce qu’était l’amour. Non, mais quel con il faisait vraiment … Le mec qui fais tomber toutes les filles, qui tombe devant toutes les filles est incapable de savoir s’il est amoureux. Quelle pitié. Le Serpentard laissa ses yeux tomber sur ses orteils et fixa ses pieds dans l’espoir que Lou ne remarque pas son trouble.
C’est en relevant les yeux qu’il remarqua la mains de son ex et qu’il s’étonna devant la cicatrice.
Il ne comprenait pas comment on pouvait être tellement sur de ses idées au point d’avoir la main à ce point blessée. C’était la différence entre les serpents, lâches et prudents, et entre les griffons, courageux et impulsifs. Mais le crapaud qui hantait les couloirs du collège était vraiment un sadique parfait. Selon la rumeur, Ombrage avait déjà parlé plusieurs fois avec Rusard pour mettre au point une torture qui consisterait à prendre les élèves par les doigts de pied dans les cachots. Tom se rappelait qu’Alex lui avait parlé de cette torture qui était en vigueur à l’époque pré-Dumbledore –pour dire si ça date. Bref, selon Alex, les élèves qui restaient la tête en bas pendant plus de deux heures s’évanouissaient à cause de la pression sanguine qui s’accumulait dans le cerveau, mais le pire restait dans le fait que le sang quittant les orteils (le froid et l’humidité des cachots aidant), ils devenaient bleus et les doigts de pieds se détachaient, uns à uns. Ensuite, l’élève tombait et reprenait connaissances sans orteils. Pure légende évidemment. Mais malgré tout, le Serpentard ne put s’empêcher de voir Lou, pendue par les orteils, hurlant de douleur. Il frissonna et reporta son attention sur la main de la jeune fille en secouant la tête.

-'' Si, je connais. Mais mon sang-froid sans limite me quitte dès qu'elle apparait. Et, entre nous, elle doit sûrement avoir une dent contre moi. ''

Tom leva les yeux au ciel. Cette bonne femme n’avait pas une dent contre Lou, elle était comme ça de nature. Ce n’était pas une excuse ; elle a une dent contre moi, le petit crapaud rose déteste tout le monde et tout le monde la déteste. S’il était vrai que certaines grandes gueules avaient plus souvent rendez-vous avec Ombrage plus souvent que d’autres, tout le monde avait déjà testé sa plume vampirique. D’un geste discret, le jeune adolescent passa sa main sur ses propres cicatrices ; « on ne tague pas les murs du château » « Je me tais, je me plie au règle et je suis le troupeau. ». Etonnant comment un carpeau pouvait tenter de transformer les élèves en mouton. Mais c’était vain, la machine de la réforme s’était mise en marche et il était désormais trop tard pour arrêter les rouages. C’est sans doute ce qu’on appelle le destin.

-« Ton sang-froid sans limite atteint une limite à la délicieuse vue du rose ? Tu n’es pas la seule à t’être découverte une limite, tu sais, mais tu ne devrais pas la franchir … »

Il lui sourit et sortit un paquet de clopes de son sac. Il en proposa une à Lou, puis alluma la sienne d’un geste négligé. Il soupira en avalant la fumée et fixa son amie. Certains disent que les limites sont faites pour être franchies, mais Tom était contre cet avis. Nos propres limites, oui, il faut les repousser, toujours avancer, toujours chercher le meilleur en nous même. Mais comme on dit, notre liberté s’arrête là où celle des autres commence. Pendant longtemps, le petit serpent ne s’était pas gêné pour marcher sur les pieds des autres, bousculer, prendre de la place. Pousser les limites des autres.
Et puis, tout avait basculé.

-« On marche ? »

Le Serpentard acquiesça et se mit à longer le lac aux côtés de Lou. Il laissa passer encore un moment de silence avant de continuer sur sa lancée.

-« Regarde Ombrage, elle a dépassée la limite. Résultat, elle va avoir la futur ministre sur le dos et tout un collège contre elle. Il faut être prudent, Lou. »

Génial, voilà Tom en rôle de moralisateur. C’était aussi surprenant que normal, après tout. Ces derniers temps, il avait murit. Et puis, il tenait à son ex et savait que celle-ci était très impulsive. Et pas du tout prudente. La preuve, elle accordait sa confiance à un futur mangemort tel que lui…

[Age RPG :]

Lorsque Lou répondit avec le sourire qu’elle aussi était plongée dans une intense réflexion, le Serpentard lui servit un sourire amusé. Elle était belle, ses cheveux blonds dorés semblaient refléter le soleil alors que celui-ci se cachait derrière une masse compacte de sombres nuages. Un court instant, Thomas se demanda s’il avait vraiment aimé cette fille. Il avait pris du plaisir à sortir avec elle mais est-ce qu’il avait vraiment ressentit ce chaud dans la poitrine lorsqu’on voit arriver son amoureuse ? Non, il n’avait pas aimé Lou. Il était un handicapé des sentiments et n’avait jamais vraiment aimé aucune fille. Il les appréciait beaucoup mais sans plus. Sa gorge se noua à cette constatation, il était tellement indécis sur ses sentiments envers Lee, il ne savait pas ce qu’était l’amour. Non, mais quel con il faisait vraiment … Le mec qui fais tomber toutes les filles, qui tombe devant toutes les filles est incapable de savoir s’il est amoureux. Quelle pitié. Le Serpentard laissa ses yeux tomber sur ses orteils et fixa ses pieds dans l’espoir que Lou ne remarque pas son trouble.
C’est en relevant les yeux qu’il remarqua la mains de son ex et qu’il s’étonna devant la cicatrice.
Il ne comprenait pas comment on pouvait être tellement sur de ses idées au point d’avoir la main à ce point blessée. C’était la différence entre les serpents, lâches et prudents, et entre les griffons, courageux et impulsifs. Mais le crapaud qui hantait les couloirs du collège était vraiment un sadique parfait. Selon la rumeur, Ombrage avait déjà parlé plusieurs fois avec Rusard pour mettre au point une torture qui consisterait à prendre les élèves par les doigts de pied dans les cachots. Tom se rappelait qu’Alex lui avait parlé de cette torture qui était en vigueur à l’époque pré-Dumbledore –pour dire si ça date. Bref, selon Alex, les élèves qui restaient la tête en bas pendant plus de deux heures s’évanouissaient à cause de la pression sanguine qui s’accumulait dans le cerveau, mais le pire restait dans le fait que le sang quittant les orteils (le froid et l’humidité des cachots aidant), ils devenaient bleus et les doigts de pieds se détachaient, uns à uns. Ensuite, l’élève tombait et reprenait connaissances sans orteils. Pure légende évidemment. Mais malgré tout, le Serpentard ne put s’empêcher de voir Lou, pendue par les orteils, hurlant de douleur. Il frissonna et reporta son attention sur la main de la jeune fille en secouant la tête.

-'' Si, je connais. Mais mon sang-froid sans limite me quitte dès qu'elle apparait. Et, entre nous, elle doit sûrement avoir une dent contre moi. ''

Tom leva les yeux au ciel. Cette bonne femme n’avait pas une dent contre Lou, elle était comme ça de nature. Ce n’était pas une excuse ; elle a une dent contre moi, le petit crapaud rose déteste tout le monde et tout le monde la déteste. S’il était vrai que certaines grandes gueules avaient plus souvent rendez-vous avec Ombrage plus souvent que d’autres, tout le monde avait déjà testé sa plume vampirique. D’un geste discret, le jeune adolescent passa sa main sur ses propres cicatrices ; « on ne tague pas les murs du château » « Je me tais, je me plie au règle et je suis le troupeau. ». Etonnant comment un carpeau pouvait tenter de transformer les élèves en mouton. Mais c’était vain, la machine de la réforme s’était mise en marche et il était désormais trop tard pour arrêter les rouages. C’est sans doute ce qu’on appelle le destin.

-« Ton sang-froid sans limite atteint une limite à la délicieuse vue du rose ? Tu n’es pas la seule à t’être découverte une limite, tu sais, mais tu ne devrais pas la franchir … »

Il lui sourit et sortit un paquet de clopes de son sac. Il en proposa une à Lou, puis alluma la sienne d’un geste négligé. Il soupira en avalant la fumée et fixa son amie. Certains disent que les limites sont faites pour être franchies, mais Tom était contre cet avis. Nos propres limites, oui, il faut les repousser, toujours avancer, toujours chercher le meilleur en nous même. Mais comme on dit, notre liberté s’arrête là où celle des autres commence. Pendant longtemps, le petit serpent ne s’était pas gêné pour marcher sur les pieds des autres, bousculer, prendre de la place. Pousser les limites des autres.
Et puis, tout avait basculé.

-« On marche ? »

Le Serpentard acquiesça et se mit à longer le lac aux côtés de Lou. Il laissa passer encore un moment de silence avant de continuer sur sa lancée.

-« Regarde Ombrage, elle a dépassée la limite. Résultat, elle va avoir la futur ministre sur le dos et tout un collège contre elle. Il faut être prudent, Lou. »

Génial, voilà Tom en rôle de moralisateur. C’était aussi surprenant que normal, après tout. Ces derniers temps, il avait murit. Et puis, il tenait à son ex et savait que celle-ci était très impulsive. Et pas du tout prudente. La preuve, elle accordait sa confiance à un futur mangemort tel que lui…

[Sang :]

Lorsque Lou répondit avec le sourire qu’elle aussi était plongée dans une intense réflexion, le Serpentard lui servit un sourire amusé. Elle était belle, ses cheveux blonds dorés semblaient refléter le soleil alors que celui-ci se cachait derrière une masse compacte de sombres nuages. Un court instant, Thomas se demanda s’il avait vraiment aimé cette fille. Il avait pris du plaisir à sortir avec elle mais est-ce qu’il avait vraiment ressentit ce chaud dans la poitrine lorsqu’on voit arriver son amoureuse ? Non, il n’avait pas aimé Lou. Il était un handicapé des sentiments et n’avait jamais vraiment aimé aucune fille. Il les appréciait beaucoup mais sans plus. Sa gorge se noua à cette constatation, il était tellement indécis sur ses sentiments envers Lee, il ne savait pas ce qu’était l’amour. Non, mais quel con il faisait vraiment … Le mec qui fais tomber toutes les filles, qui tombe devant toutes les filles est incapable de savoir s’il est amoureux. Quelle pitié. Le Serpentard laissa ses yeux tomber sur ses orteils et fixa ses pieds dans l’espoir que Lou ne remarque pas son trouble.
C’est en relevant les yeux qu’il remarqua la mains de son ex et qu’il s’étonna devant la cicatrice.
Il ne comprenait pas comment on pouvait être tellement sur de ses idées au point d’avoir la main à ce point blessée. C’était la différence entre les serpents, lâches et prudents, et entre les griffons, courageux et impulsifs. Mais le crapaud qui hantait les couloirs du collège était vraiment un sadique parfait. Selon la rumeur, Ombrage avait déjà parlé plusieurs fois avec Rusard pour mettre au point une torture qui consisterait à prendre les élèves par les doigts de pied dans les cachots. Tom se rappelait qu’Alex lui avait parlé de cette torture qui était en vigueur à l’époque pré-Dumbledore –pour dire si ça date. Bref, selon Alex, les élèves qui restaient la tête en bas pendant plus de deux heures s’évanouissaient à cause de la pression sanguine qui s’accumulait dans le cerveau, mais le pire restait dans le fait que le sang quittant les orteils (le froid et l’humidité des cachots aidant), ils devenaient bleus et les doigts de pieds se détachaient, uns à uns. Ensuite, l’élève tombait et reprenait connaissances sans orteils. Pure légende évidemment. Mais malgré tout, le Serpentard ne put s’empêcher de voir Lou, pendue par les orteils, hurlant de douleur. Il frissonna et reporta son attention sur la main de la jeune fille en secouant la tête.

-'' Si, je connais. Mais mon sang-froid sans limite me quitte dès qu'elle apparait. Et, entre nous, elle doit sûrement avoir une dent contre moi. ''

Tom leva les yeux au ciel. Cette bonne femme n’avait pas une dent contre Lou, elle était comme ça de nature. Ce n’était pas une excuse ; elle a une dent contre moi, le petit crapaud rose déteste tout le monde et tout le monde la déteste. S’il était vrai que certaines grandes gueules avaient plus souvent rendez-vous avec Ombrage plus souvent que d’autres, tout le monde avait déjà testé sa plume vampirique. D’un geste discret, le jeune adolescent passa sa main sur ses propres cicatrices ; « on ne tague pas les murs du château » « Je me tais, je me plie au règle et je suis le troupeau. ». Etonnant comment un carpeau pouvait tenter de transformer les élèves en mouton. Mais c’était vain, la machine de la réforme s’était mise en marche et il était désormais trop tard pour arrêter les rouages. C’est sans doute ce qu’on appelle le destin.

-« Ton sang-froid sans limite atteint une limite à la délicieuse vue du rose ? Tu n’es pas la seule à t’être découverte une limite, tu sais, mais tu ne devrais pas la franchir … »

Il lui sourit et sortit un paquet de clopes de son sac. Il en proposa une à Lou, puis alluma la sienne d’un geste négligé. Il soupira en avalant la fumée et fixa son amie. Certains disent que les limites sont faites pour être franchies, mais Tom était contre cet avis. Nos propres limites, oui, il faut les repousser, toujours avancer, toujours chercher le meilleur en nous même. Mais comme on dit, notre liberté s’arrête là où celle des autres commence. Pendant longtemps, le petit serpent ne s’était pas gêné pour marcher sur les pieds des autres, bousculer, prendre de la place. Pousser les limites des autres.
Et puis, tout avait basculé.

-« On marche ? »

Le Serpentard acquiesça et se mit à longer le lac aux côtés de Lou. Il laissa passer encore un moment de silence avant de continuer sur sa lancée.

-« Regarde Ombrage, elle a dépassée la limite. Résultat, elle va avoir la futur ministre sur le dos et tout un collège contre elle. Il faut être prudent, Lou. »

Génial, voilà Tom en rôle de moralisateur. C’était aussi surprenant que normal, après tout. Ces derniers temps, il avait murit. Et puis, il tenait à son ex et savait que celle-ci était très impulsive. Et pas du tout prudente. La preuve, elle accordait sa confiance à un futur mangemort tel que lui…

[Camp :]

Lorsque Lou répondit avec le sourire qu’elle aussi était plongée dans une intense réflexion, le Serpentard lui servit un sourire amusé. Elle était belle, ses cheveux blonds dorés semblaient refléter le soleil alors que celui-ci se cachait derrière une masse compacte de sombres nuages. Un court instant, Thomas se demanda s’il avait vraiment aimé cette fille. Il avait pris du plaisir à sortir avec elle mais est-ce qu’il avait vraiment ressentit ce chaud dans la poitrine lorsqu’on voit arriver son amoureuse ? Non, il n’avait pas aimé Lou. Il était un handicapé des sentiments et n’avait jamais vraiment aimé aucune fille. Il les appréciait beaucoup mais sans plus. Sa gorge se noua à cette constatation, il était tellement indécis sur ses sentiments envers Lee, il ne savait pas ce qu’était l’amour. Non, mais quel con il faisait vraiment … Le mec qui fais tomber toutes les filles, qui tombe devant toutes les filles est incapable de savoir s’il est amoureux. Quelle pitié. Le Serpentard laissa ses yeux tomber sur ses orteils et fixa ses pieds dans l’espoir que Lou ne remarque pas son trouble.
C’est en relevant les yeux qu’il remarqua la mains de son ex et qu’il s’étonna devant la cicatrice.
Il ne comprenait pas comment on pouvait être tellement sur de ses idées au point d’avoir la main à ce point blessée. C’était la différence entre les serpents, lâches et prudents, et entre les griffons, courageux et impulsifs. Mais le crapaud qui hantait les couloirs du collège était vraiment un sadique parfait. Selon la rumeur, Ombrage avait déjà parlé plusieurs fois avec Rusard pour mettre au point une torture qui consisterait à prendre les élèves par les doigts de pied dans les cachots. Tom se rappelait qu’Alex lui avait parlé de cette torture qui était en vigueur à l’époque pré-Dumbledore –pour dire si ça date. Bref, selon Alex, les élèves qui restaient la tête en bas pendant plus de deux heures s’évanouissaient à cause de la pression sanguine qui s’accumulait dans le cerveau, mais le pire restait dans le fait que le sang quittant les orteils (le froid et l’humidité des cachots aidant), ils devenaient bleus et les doigts de pieds se détachaient, uns à uns. Ensuite, l’élève tombait et reprenait connaissances sans orteils. Pure légende évidemment. Mais malgré tout, le Serpentard ne put s’empêcher de voir Lou, pendue par les orteils, hurlant de douleur. Il frissonna et reporta son attention sur la main de la jeune fille en secouant la tête.

-'' Si, je connais. Mais mon sang-froid sans limite me quitte dès qu'elle apparait. Et, entre nous, elle doit sûrement avoir une dent contre moi. ''

Tom leva les yeux au ciel. Cette bonne femme n’avait pas une dent contre Lou, elle était comme ça de nature. Ce n’était pas une excuse ; elle a une dent contre moi, le petit crapaud rose déteste tout le monde et tout le monde la déteste. S’il était vrai que certaines grandes gueules avaient plus souvent rendez-vous avec Ombrage plus souvent que d’autres, tout le monde avait déjà testé sa plume vampirique. D’un geste discret, le jeune adolescent passa sa main sur ses propres cicatrices ; « on ne tague pas les murs du château » « Je me tais, je me plie au règle et je suis le troupeau. ». Etonnant comment un carpeau pouvait tenter de transformer les élèves en mouton. Mais c’était vain, la machine de la réforme s’était mise en marche et il était désormais trop tard pour arrêter les rouages. C’est sans doute ce qu’on appelle le destin.

-« Ton sang-froid sans limite atteint une limite à la délicieuse vue du rose ? Tu n’es pas la seule à t’être découverte une limite, tu sais, mais tu ne devrais pas la franchir … »

Il lui sourit et sortit un paquet de clopes de son sac. Il en proposa une à Lou, puis alluma la sienne d’un geste négligé. Il soupira en avalant la fumée et fixa son amie. Certains disent que les limites sont faites pour être franchies, mais Tom était contre cet avis. Nos propres limites, oui, il faut les repousser, toujours avancer, toujours chercher le meilleur en nous même. Mais comme on dit, notre liberté s’arrête là où celle des autres commence. Pendant longtemps, le petit serpent ne s’était pas gêné pour marcher sur les pieds des autres, bousculer, prendre de la place. Pousser les limites des autres.
Et puis, tout avait basculé.

-« On marche ? »

Le Serpentard acquiesça et se mit à longer le lac aux côtés de Lou. Il laissa passer encore un moment de silence avant de continuer sur sa lancée.

-« Regarde Ombrage, elle a dépassée la limite. Résultat, elle va avoir la futur ministre sur le dos et tout un collège contre elle. Il faut être prudent, Lou. »

Génial, voilà Tom en rôle de moralisateur. C’était aussi surprenant que normal, après tout. Ces derniers temps, il avait murit. Et puis, il tenait à son ex et savait que celle-ci était très impulsive. Et pas du tout prudente. La preuve, elle accordait sa confiance à un futur mangemort tel que lui…

[Truc en plus :]

Lorsque Lou répondit avec le sourire qu’elle aussi était plongée dans une intense réflexion, le Serpentard lui servit un sourire amusé. Elle était belle, ses cheveux blonds dorés semblaient refléter le soleil alors que celui-ci se cachait derrière une masse compacte de sombres nuages. Un court instant, Thomas se demanda s’il avait vraiment aimé cette fille. Il avait pris du plaisir à sortir avec elle mais est-ce qu’il avait vraiment ressentit ce chaud dans la poitrine lorsqu’on voit arriver son amoureuse ? Non, il n’avait pas aimé Lou. Il était un handicapé des sentiments et n’avait jamais vraiment aimé aucune fille. Il les appréciait beaucoup mais sans plus. Sa gorge se noua à cette constatation, il était tellement indécis sur ses sentiments envers Lee, il ne savait pas ce qu’était l’amour. Non, mais quel con il faisait vraiment … Le mec qui fais tomber toutes les filles, qui tombe devant toutes les filles est incapable de savoir s’il est amoureux. Quelle pitié. Le Serpentard laissa ses yeux tomber sur ses orteils et fixa ses pieds dans l’espoir que Lou ne remarque pas son trouble.
C’est en relevant les yeux qu’il remarqua la mains de son ex et qu’il s’étonna devant la cicatrice.
Il ne comprenait pas comment on pouvait être tellement sur de ses idées au point d’avoir la main à ce point blessée. C’était la différence entre les serpents, lâches et prudents, et entre les griffons, courageux et impulsifs. Mais le crapaud qui hantait les couloirs du collège était vraiment un sadique parfait. Selon la rumeur, Ombrage avait déjà parlé plusieurs fois avec Rusard pour mettre au point une torture qui consisterait à prendre les élèves par les doigts de pied dans les cachots. Tom se rappelait qu’Alex lui avait parlé de cette torture qui était en vigueur à l’époque pré-Dumbledore –pour dire si ça date. Bref, selon Alex, les élèves qui restaient la tête en bas pendant plus de deux heures s’évanouissaient à cause de la pression sanguine qui s’accumulait dans le cerveau, mais le pire restait dans le fait que le sang quittant les orteils (le froid et l’humidité des cachots aidant), ils devenaient bleus et les doigts de pieds se détachaient, uns à uns. Ensuite, l’élève tombait et reprenait connaissances sans orteils. Pure légende évidemment. Mais malgré tout, le Serpentard ne put s’empêcher de voir Lou, pendue par les orteils, hurlant de douleur. Il frissonna et reporta son attention sur la main de la jeune fille en secouant la tête.

-'' Si, je connais. Mais mon sang-froid sans limite me quitte dès qu'elle apparait. Et, entre nous, elle doit sûrement avoir une dent contre moi. ''

Tom leva les yeux au ciel. Cette bonne femme n’avait pas une dent contre Lou, elle était comme ça de nature. Ce n’était pas une excuse ; elle a une dent contre moi, le petit crapaud rose déteste tout le monde et tout le monde la déteste. S’il était vrai que certaines grandes gueules avaient plus souvent rendez-vous avec Ombrage plus souvent que d’autres, tout le monde avait déjà testé sa plume vampirique. D’un geste discret, le jeune adolescent passa sa main sur ses propres cicatrices ; « on ne tague pas les murs du château » « Je me tais, je me plie au règle et je suis le troupeau. ». Etonnant comment un carpeau pouvait tenter de transformer les élèves en mouton. Mais c’était vain, la machine de la réforme s’était mise en marche et il était désormais trop tard pour arrêter les rouages. C’est sans doute ce qu’on appelle le destin.

-« Ton sang-froid sans limite atteint une limite à la délicieuse vue du rose ? Tu n’es pas la seule à t’être découverte une limite, tu sais, mais tu ne devrais pas la franchir … »

Il lui sourit et sortit un paquet de clopes de son sac. Il en proposa une à Lou, puis alluma la sienne d’un geste négligé. Il soupira en avalant la fumée et fixa son amie. Certains disent que les limites sont faites pour être franchies, mais Tom était contre cet avis. Nos propres limites, oui, il faut les repousser, toujours avancer, toujours chercher le meilleur en nous même. Mais comme on dit, notre liberté s’arrête là où celle des autres commence. Pendant longtemps, le petit serpent ne s’était pas gêné pour marcher sur les pieds des autres, bousculer, prendre de la place. Pousser les limites des autres.
Et puis, tout avait basculé.

-« On marche ? »

Le Serpentard acquiesça et se mit à longer le lac aux côtés de Lou. Il laissa passer encore un moment de silence avant de continuer sur sa lancée.

-« Regarde Ombrage, elle a dépassée la limite. Résultat, elle va avoir la futur ministre sur le dos et tout un collège contre elle. Il faut être prudent, Lou. »

Génial, voilà Tom en rôle de moralisateur. C’était aussi surprenant que normal, après tout. Ces derniers temps, il avait murit. Et puis, il tenait à son ex et savait que celle-ci était très impulsive. Et pas du tout prudente. La preuve, elle accordait sa confiance à un futur mangemort tel que lui…

[Doubles-Comptes :]

Lorsque Lou répondit avec le sourire qu’elle aussi était plongée dans une intense réflexion, le Serpentard lui servit un sourire amusé. Elle était belle, ses cheveux blonds dorés semblaient refléter le soleil alors que celui-ci se cachait derrière une masse compacte de sombres nuages. Un court instant, Thomas se demanda s’il avait vraiment aimé cette fille. Il avait pris du plaisir à sortir avec elle mais est-ce qu’il avait vraiment ressentit ce chaud dans la poitrine lorsqu’on voit arriver son amoureuse ? Non, il n’avait pas aimé Lou. Il était un handicapé des sentiments et n’avait jamais vraiment aimé aucune fille. Il les appréciait beaucoup mais sans plus. Sa gorge se noua à cette constatation, il était tellement indécis sur ses sentiments envers Lee, il ne savait pas ce qu’était l’amour. Non, mais quel con il faisait vraiment … Le mec qui fais tomber toutes les filles, qui tombe devant toutes les filles est incapable de savoir s’il est amoureux. Quelle pitié. Le Serpentard laissa ses yeux tomber sur ses orteils et fixa ses pieds dans l’espoir que Lou ne remarque pas son trouble.
C’est en relevant les yeux qu’il remarqua la mains de son ex et qu’il s’étonna devant la cicatrice.
Il ne comprenait pas comment on pouvait être tellement sur de ses idées au point d’avoir la main à ce point blessée. C’était la différence entre les serpents, lâches et prudents, et entre les griffons, courageux et impulsifs. Mais le crapaud qui hantait les couloirs du collège était vraiment un sadique parfait. Selon la rumeur, Ombrage avait déjà parlé plusieurs fois avec Rusard pour mettre au point une torture qui consisterait à prendre les élèves par les doigts de pied dans les cachots. Tom se rappelait qu’Alex lui avait parlé de cette torture qui était en vigueur à l’époque pré-Dumbledore –pour dire si ça date. Bref, selon Alex, les élèves qui restaient la tête en bas pendant plus de deux heures s’évanouissaient à cause de la pression sanguine qui s’accumulait dans le cerveau, mais le pire restait dans le fait que le sang quittant les orteils (le froid et l’humidité des cachots aidant), ils devenaient bleus et les doigts de pieds se détachaient, uns à uns. Ensuite, l’élève tombait et reprenait connaissances sans orteils. Pure légende évidemment. Mais malgré tout, le Serpentard ne put s’empêcher de voir Lou, pendue par les orteils, hurlant de douleur. Il frissonna et reporta son attention sur la main de la jeune fille en secouant la tête.

-'' Si, je connais. Mais mon sang-froid sans limite me quitte dès qu'elle apparait. Et, entre nous, elle doit sûrement avoir une dent contre moi. ''

Tom leva les yeux au ciel. Cette bonne femme n’avait pas une dent contre Lou, elle était comme ça de nature. Ce n’était pas une excuse ; elle a une dent contre moi, le petit crapaud rose déteste tout le monde et tout le monde la déteste. S’il était vrai que certaines grandes gueules avaient plus souvent rendez-vous avec Ombrage plus souvent que d’autres, tout le monde avait déjà testé sa plume vampirique. D’un geste discret, le jeune adolescent passa sa main sur ses propres cicatrices ; « on ne tague pas les murs du château » « Je me tais, je me plie au règle et je suis le troupeau. ». Etonnant comment un carpeau pouvait tenter de transformer les élèves en mouton. Mais c’était vain, la machine de la réforme s’était mise en marche et il était désormais trop tard pour arrêter les rouages. C’est sans doute ce qu’on appelle le destin.

-« Ton sang-froid sans limite atteint une limite à la délicieuse vue du rose ? Tu n’es pas la seule à t’être découverte une limite, tu sais, mais tu ne devrais pas la franchir … »

Il lui sourit et sortit un paquet de clopes de son sac. Il en proposa une à Lou, puis alluma la sienne d’un geste négligé. Il soupira en avalant la fumée et fixa son amie. Certains disent que les limites sont faites pour être franchies, mais Tom était contre cet avis. Nos propres limites, oui, il faut les repousser, toujours avancer, toujours chercher le meilleur en nous même. Mais comme on dit, notre liberté s’arrête là où celle des autres commence. Pendant longtemps, le petit serpent ne s’était pas gêné pour marcher sur les pieds des autres, bousculer, prendre de la place. Pousser les limites des autres.
Et puis, tout avait basculé.

-« On marche ? »

Le Serpentard acquiesça et se mit à longer le lac aux côtés de Lou. Il laissa passer encore un moment de silence avant de continuer sur sa lancée.

-« Regarde Ombrage, elle a dépassée la limite. Résultat, elle va avoir la futur ministre sur le dos et tout un collège contre elle. Il faut être prudent, Lou. »

Génial, voilà Tom en rôle de moralisateur. C’était aussi surprenant que normal, après tout. Ces derniers temps, il avait murit. Et puis, il tenait à son ex et savait que celle-ci était très impulsive. Et pas du tout prudente. La preuve, elle accordait sa confiance à un futur mangemort tel que lui…

Après avoir allumé sa cigarette, il huma l’air avec délice. Il savait pourquoi il aimait cette odeur, c’était l’odeur des soirées. Cette sensation d’ivresse, de joie, de calme et d’adrénaline à la fois, cette sensation qu’on est responsable de rien, une soirée était toujours accompagnée de l’odeur du tabac. Au début, c’est pour ça qu’il avait commencé à fumer parce que cette odeur lui faisait revivre ces moments passés à danser et à faire le con. Et puis, peu à peu, les choses s’étaient emballées, Ombrage et les décrets, le tout Poudlard qui changeait… Tom avait voulu ralentir cet emballement et une des manières trouvées pour se calmer avait été cigarette. Il y avait une sorte d’apaisement à ne rien faire, que fumer.
Lou refusa la clope qu’il lui proposait.

-« C'est plus fort que moi. Soit, j'ai été conçue comme ça, soit c'est moi qui me suit construite moi même cette limite facilement franchissable. Et pour le moment, elle ne peut rien contre moi. »

Tom sourit, moqueur. Rien, vraiment ? La jeune Serpentard en doutait. Ce crapaud avait réussit à renvoyer deux des personnes les plus appréciées du collège, ce n’était pas rien. De plus, ce n’est pas comme si Lou avait une famille avec des relations privilégiées envers le ministère. Bien sur, les Zeringer étaient loin d’être inconnus mais c’était des ‘gentils’ qui avaient autan de moldus que de sorciers dans leur famille – et c’est sans doute pour ça qu’ils étaient connus. Ombrage était du côté du Lord et s’il arrivait quelque chose à Lou tout le monde (du moins le monde important) n’en aurait rien à faire. Enfin, personne n’en aurait rien à faire pour parler dans un français correct. Qui en avait quelque chose à foutre qu’une jeune sorcière dont la famille était pro-moldue se fasse mal traiter par la Grande Inquisitrice ? Sa famille ? Ses amis ? Mais on s’en moquait bien de ces gens, les gens vraiment importants n’en avaient rien à faire de Lou. Alors, si, Ombrage pouvait lui faire quelque chose. Il suffisait de regarder ce qu’était devenue la main de la jeune Gryffondor pour voir qu’elle pouvait lui faire du mal. Regardez la main de Tom, tout aussi haineux envers Ombrage que Lou, elle était quasi parfaite sa main. Bah, oui, vous croyez que ça aurait été accepté que l’héritier River se fasse tatouer sa main par son propre sang ? Lui, le fils du directeur du département de la Justice Magique ? Non, ça Ombrage ne pouvait pas se le permettre parce que ça ça risquait de se retourner contre elle.
Thomas était bien plus en sécurité que Lou.

Au loin, quelques jeunes Serdaigles les regardaient avec allèchement. La jolie blonde de Gryffondor et le beau brun seraient-ils à nouveau ensemble ? Tom grinça des dents, sa blonde à lui n’était pas chez les Gryffondor, ces petits morpions devraient le savoir. Naméoh ! Il leur lança un regard de la mort qui tue, un regard spécial Thomas River quand il est énervé, et les jeunes élèves déguerpirent rapidement, persuadés d’avoir le scoop de l’année.
Génial. >.<

Bon, où en étions nous ? Ah, oui, aves les limites. Tom fit remarquer à son ex qu’il fallait être prudent le crapaud rose n’était pas prudente et ça allait mal tourner. Un sourire passa sur ses lèvres lorsqu’il remarqua que le petit con qui avait apporté de la drogue à la soirée, celui-là même qui avait réussit à faire renvoyer un professeur et l’amour actuel de sa vie, ce petit con là était en train de jouer le moralisateur. Bonne blague…
Tellement bonne blague que la jeune griffonne éclata de rire. Son rire était doux et calme, il fit frissonner le serpent devant tous les souvenirs qui s’éveillaient en lui. Une nouvelle fois, il se mordit les lèvres. Tous ces souvenirs, tous ces moments vécus ensemble, toute leur amitié… se pouvait-il que tout cela disparaisse un jour ? Les lèvres du Serpentard se mirent presqu’à saigner sous la douleur. Ce n’était pas la première fois depuis tout à l’heure que Tom pensait à leur futur. Puis, le regard sombre d’Irvin Raven lui revint en mémoire, ce regard qui lui disait que son futur était entièrement consacré au Lord. Le vert et argent repris confiance mais face au regard triste de Lou, il ne put s’empêcher de baisser la tête. Le gout du sang emplis sa bouche.

-« Trouve moi une seule ressemblance avec ce crapaud et j'accepte ta cigarette. »

Malgré la douleur de ses lèvres qui saignaient abondement, Tom ne put s’empêcher d’éclater de rire. Eh bien, tu vas devoir fumer et te ruiner la santé, ma chérie.

-« Vous êtes toutes les deux du sexe féminin et blondes. Mais outre cela, vous êtes toutes les deux très sures de vous, vous êtres battantes. Vous ne vous battez pas pour la même cause, et pas de la même manière, mais vous n’abandonnez jamais. Vous êtes persuadées d'avoir raison et d'être dans le bon. »

Tom lui tendit une clope.

[Messages :]

Après avoir allumé sa cigarette, il huma l’air avec délice. Il savait pourquoi il aimait cette odeur, c’était l’odeur des soirées. Cette sensation d’ivresse, de joie, de calme et d’adrénaline à la fois, cette sensation qu’on est responsable de rien, une soirée était toujours accompagnée de l’odeur du tabac. Au début, c’est pour ça qu’il avait commencé à fumer parce que cette odeur lui faisait revivre ces moments passés à danser et à faire le con. Et puis, peu à peu, les choses s’étaient emballées, Ombrage et les décrets, le tout Poudlard qui changeait… Tom avait voulu ralentir cet emballement et une des manières trouvées pour se calmer avait été cigarette. Il y avait une sorte d’apaisement à ne rien faire, que fumer.
Lou refusa la clope qu’il lui proposait.

-« C'est plus fort que moi. Soit, j'ai été conçue comme ça, soit c'est moi qui me suit construite moi même cette limite facilement franchissable. Et pour le moment, elle ne peut rien contre moi. »

Tom sourit, moqueur. Rien, vraiment ? La jeune Serpentard en doutait. Ce crapaud avait réussit à renvoyer deux des personnes les plus appréciées du collège, ce n’était pas rien. De plus, ce n’est pas comme si Lou avait une famille avec des relations privilégiées envers le ministère. Bien sur, les Zeringer étaient loin d’être inconnus mais c’était des ‘gentils’ qui avaient autan de moldus que de sorciers dans leur famille – et c’est sans doute pour ça qu’ils étaient connus. Ombrage était du côté du Lord et s’il arrivait quelque chose à Lou tout le monde (du moins le monde important) n’en aurait rien à faire. Enfin, personne n’en aurait rien à faire pour parler dans un français correct. Qui en avait quelque chose à foutre qu’une jeune sorcière dont la famille était pro-moldue se fasse mal traiter par la Grande Inquisitrice ? Sa famille ? Ses amis ? Mais on s’en moquait bien de ces gens, les gens vraiment importants n’en avaient rien à faire de Lou. Alors, si, Ombrage pouvait lui faire quelque chose. Il suffisait de regarder ce qu’était devenue la main de la jeune Gryffondor pour voir qu’elle pouvait lui faire du mal. Regardez la main de Tom, tout aussi haineux envers Ombrage que Lou, elle était quasi parfaite sa main. Bah, oui, vous croyez que ça aurait été accepté que l’héritier River se fasse tatouer sa main par son propre sang ? Lui, le fils du directeur du département de la Justice Magique ? Non, ça Ombrage ne pouvait pas se le permettre parce que ça ça risquait de se retourner contre elle.
Thomas était bien plus en sécurité que Lou.

Au loin, quelques jeunes Serdaigles les regardaient avec allèchement. La jolie blonde de Gryffondor et le beau brun seraient-ils à nouveau ensemble ? Tom grinça des dents, sa blonde à lui n’était pas chez les Gryffondor, ces petits morpions devraient le savoir. Naméoh ! Il leur lança un regard de la mort qui tue, un regard spécial Thomas River quand il est énervé, et les jeunes élèves déguerpirent rapidement, persuadés d’avoir le scoop de l’année.
Génial. >.<

Bon, où en étions nous ? Ah, oui, aves les limites. Tom fit remarquer à son ex qu’il fallait être prudent le crapaud rose n’était pas prudente et ça allait mal tourner. Un sourire passa sur ses lèvres lorsqu’il remarqua que le petit con qui avait apporté de la drogue à la soirée, celui-là même qui avait réussit à faire renvoyer un professeur et l’amour actuel de sa vie, ce petit con là était en train de jouer le moralisateur. Bonne blague…
Tellement bonne blague que la jeune griffonne éclata de rire. Son rire était doux et calme, il fit frissonner le serpent devant tous les souvenirs qui s’éveillaient en lui. Une nouvelle fois, il se mordit les lèvres. Tous ces souvenirs, tous ces moments vécus ensemble, toute leur amitié… se pouvait-il que tout cela disparaisse un jour ? Les lèvres du Serpentard se mirent presqu’à saigner sous la douleur. Ce n’était pas la première fois depuis tout à l’heure que Tom pensait à leur futur. Puis, le regard sombre d’Irvin Raven lui revint en mémoire, ce regard qui lui disait que son futur était entièrement consacré au Lord. Le vert et argent repris confiance mais face au regard triste de Lou, il ne put s’empêcher de baisser la tête. Le gout du sang emplis sa bouche.

-« Trouve moi une seule ressemblance avec ce crapaud et j'accepte ta cigarette. »

Malgré la douleur de ses lèvres qui saignaient abondement, Tom ne put s’empêcher d’éclater de rire. Eh bien, tu vas devoir fumer et te ruiner la santé, ma chérie.

-« Vous êtes toutes les deux du sexe féminin et blondes. Mais outre cela, vous êtes toutes les deux très sures de vous, vous êtres battantes. Vous ne vous battez pas pour la même cause, et pas de la même manière, mais vous n’abandonnez jamais. Vous êtes persuadées d'avoir raison et d'être dans le bon. »

Tom lui tendit une clope.

[Points :]

Après avoir allumé sa cigarette, il huma l’air avec délice. Il savait pourquoi il aimait cette odeur, c’était l’odeur des soirées. Cette sensation d’ivresse, de joie, de calme et d’adrénaline à la fois, cette sensation qu’on est responsable de rien, une soirée était toujours accompagnée de l’odeur du tabac. Au début, c’est pour ça qu’il avait commencé à fumer parce que cette odeur lui faisait revivre ces moments passés à danser et à faire le con. Et puis, peu à peu, les choses s’étaient emballées, Ombrage et les décrets, le tout Poudlard qui changeait… Tom avait voulu ralentir cet emballement et une des manières trouvées pour se calmer avait été cigarette. Il y avait une sorte d’apaisement à ne rien faire, que fumer.
Lou refusa la clope qu’il lui proposait.

-« C'est plus fort que moi. Soit, j'ai été conçue comme ça, soit c'est moi qui me suit construite moi même cette limite facilement franchissable. Et pour le moment, elle ne peut rien contre moi. »

Tom sourit, moqueur. Rien, vraiment ? La jeune Serpentard en doutait. Ce crapaud avait réussit à renvoyer deux des personnes les plus appréciées du collège, ce n’était pas rien. De plus, ce n’est pas comme si Lou avait une famille avec des relations privilégiées envers le ministère. Bien sur, les Zeringer étaient loin d’être inconnus mais c’était des ‘gentils’ qui avaient autan de moldus que de sorciers dans leur famille – et c’est sans doute pour ça qu’ils étaient connus. Ombrage était du côté du Lord et s’il arrivait quelque chose à Lou tout le monde (du moins le monde important) n’en aurait rien à faire. Enfin, personne n’en aurait rien à faire pour parler dans un français correct. Qui en avait quelque chose à foutre qu’une jeune sorcière dont la famille était pro-moldue se fasse mal traiter par la Grande Inquisitrice ? Sa famille ? Ses amis ? Mais on s’en moquait bien de ces gens, les gens vraiment importants n’en avaient rien à faire de Lou. Alors, si, Ombrage pouvait lui faire quelque chose. Il suffisait de regarder ce qu’était devenue la main de la jeune Gryffondor pour voir qu’elle pouvait lui faire du mal. Regardez la main de Tom, tout aussi haineux envers Ombrage que Lou, elle était quasi parfaite sa main. Bah, oui, vous croyez que ça aurait été accepté que l’héritier River se fasse tatouer sa main par son propre sang ? Lui, le fils du directeur du département de la Justice Magique ? Non, ça Ombrage ne pouvait pas se le permettre parce que ça ça risquait de se retourner contre elle.
Thomas était bien plus en sécurité que Lou.

Au loin, quelques jeunes Serdaigles les regardaient avec allèchement. La jolie blonde de Gryffondor et le beau brun seraient-ils à nouveau ensemble ? Tom grinça des dents, sa blonde à lui n’était pas chez les Gryffondor, ces petits morpions devraient le savoir. Naméoh ! Il leur lança un regard de la mort qui tue, un regard spécial Thomas River quand il est énervé, et les jeunes élèves déguerpirent rapidement, persuadés d’avoir le scoop de l’année.
Génial. >.<

Bon, où en étions nous ? Ah, oui, aves les limites. Tom fit remarquer à son ex qu’il fallait être prudent le crapaud rose n’était pas prudente et ça allait mal tourner. Un sourire passa sur ses lèvres lorsqu’il remarqua que le petit con qui avait apporté de la drogue à la soirée, celui-là même qui avait réussit à faire renvoyer un professeur et l’amour actuel de sa vie, ce petit con là était en train de jouer le moralisateur. Bonne blague…
Tellement bonne blague que la jeune griffonne éclata de rire. Son rire était doux et calme, il fit frissonner le serpent devant tous les souvenirs qui s’éveillaient en lui. Une nouvelle fois, il se mordit les lèvres. Tous ces souvenirs, tous ces moments vécus ensemble, toute leur amitié… se pouvait-il que tout cela disparaisse un jour ? Les lèvres du Serpentard se mirent presqu’à saigner sous la douleur. Ce n’était pas la première fois depuis tout à l’heure que Tom pensait à leur futur. Puis, le regard sombre d’Irvin Raven lui revint en mémoire, ce regard qui lui disait que son futur était entièrement consacré au Lord. Le vert et argent repris confiance mais face au regard triste de Lou, il ne put s’empêcher de baisser la tête. Le gout du sang emplis sa bouche.

-« Trouve moi une seule ressemblance avec ce crapaud et j'accepte ta cigarette. »

Malgré la douleur de ses lèvres qui saignaient abondement, Tom ne put s’empêcher d’éclater de rire. Eh bien, tu vas devoir fumer et te ruiner la santé, ma chérie.

-« Vous êtes toutes les deux du sexe féminin et blondes. Mais outre cela, vous êtes toutes les deux très sures de vous, vous êtres battantes. Vous ne vous battez pas pour la même cause, et pas de la même manière, mais vous n’abandonnez jamais. Vous êtes persuadées d'avoir raison et d'être dans le bon. »

Tom lui tendit une clope.

[Avatar :]

Après avoir allumé sa cigarette, il huma l’air avec délice. Il savait pourquoi il aimait cette odeur, c’était l’odeur des soirées. Cette sensation d’ivresse, de joie, de calme et d’adrénaline à la fois, cette sensation qu’on est responsable de rien, une soirée était toujours accompagnée de l’odeur du tabac. Au début, c’est pour ça qu’il avait commencé à fumer parce que cette odeur lui faisait revivre ces moments passés à danser et à faire le con. Et puis, peu à peu, les choses s’étaient emballées, Ombrage et les décrets, le tout Poudlard qui changeait… Tom avait voulu ralentir cet emballement et une des manières trouvées pour se calmer avait été cigarette. Il y avait une sorte d’apaisement à ne rien faire, que fumer.
Lou refusa la clope qu’il lui proposait.

-« C'est plus fort que moi. Soit, j'ai été conçue comme ça, soit c'est moi qui me suit construite moi même cette limite facilement franchissable. Et pour le moment, elle ne peut rien contre moi. »

Tom sourit, moqueur. Rien, vraiment ? La jeune Serpentard en doutait. Ce crapaud avait réussit à renvoyer deux des personnes les plus appréciées du collège, ce n’était pas rien. De plus, ce n’est pas comme si Lou avait une famille avec des relations privilégiées envers le ministère. Bien sur, les Zeringer étaient loin d’être inconnus mais c’était des ‘gentils’ qui avaient autan de moldus que de sorciers dans leur famille – et c’est sans doute pour ça qu’ils étaient connus. Ombrage était du côté du Lord et s’il arrivait quelque chose à Lou tout le monde (du moins le monde important) n’en aurait rien à faire. Enfin, personne n’en aurait rien à faire pour parler dans un français correct. Qui en avait quelque chose à foutre qu’une jeune sorcière dont la famille était pro-moldue se fasse mal traiter par la Grande Inquisitrice ? Sa famille ? Ses amis ? Mais on s’en moquait bien de ces gens, les gens vraiment importants n’en avaient rien à faire de Lou. Alors, si, Ombrage pouvait lui faire quelque chose. Il suffisait de regarder ce qu’était devenue la main de la jeune Gryffondor pour voir qu’elle pouvait lui faire du mal. Regardez la main de Tom, tout aussi haineux envers Ombrage que Lou, elle était quasi parfaite sa main. Bah, oui, vous croyez que ça aurait été accepté que l’héritier River se fasse tatouer sa main par son propre sang ? Lui, le fils du directeur du département de la Justice Magique ? Non, ça Ombrage ne pouvait pas se le permettre parce que ça ça risquait de se retourner contre elle.
Thomas était bien plus en sécurité que Lou.

Au loin, quelques jeunes Serdaigles les regardaient avec allèchement. La jolie blonde de Gryffondor et le beau brun seraient-ils à nouveau ensemble ? Tom grinça des dents, sa blonde à lui n’était pas chez les Gryffondor, ces petits morpions devraient le savoir. Naméoh ! Il leur lança un regard de la mort qui tue, un regard spécial Thomas River quand il est énervé, et les jeunes élèves déguerpirent rapidement, persuadés d’avoir le scoop de l’année.
Génial. >.<

Bon, où en étions nous ? Ah, oui, aves les limites. Tom fit remarquer à son ex qu’il fallait être prudent le crapaud rose n’était pas prudente et ça allait mal tourner. Un sourire passa sur ses lèvres lorsqu’il remarqua que le petit con qui avait apporté de la drogue à la soirée, celui-là même qui avait réussit à faire renvoyer un professeur et l’amour actuel de sa vie, ce petit con là était en train de jouer le moralisateur. Bonne blague…
Tellement bonne blague que la jeune griffonne éclata de rire. Son rire était doux et calme, il fit frissonner le serpent devant tous les souvenirs qui s’éveillaient en lui. Une nouvelle fois, il se mordit les lèvres. Tous ces souvenirs, tous ces moments vécus ensemble, toute leur amitié… se pouvait-il que tout cela disparaisse un jour ? Les lèvres du Serpentard se mirent presqu’à saigner sous la douleur. Ce n’était pas la première fois depuis tout à l’heure que Tom pensait à leur futur. Puis, le regard sombre d’Irvin Raven lui revint en mémoire, ce regard qui lui disait que son futur était entièrement consacré au Lord. Le vert et argent repris confiance mais face au regard triste de Lou, il ne put s’empêcher de baisser la tête. Le gout du sang emplis sa bouche.

-« Trouve moi une seule ressemblance avec ce crapaud et j'accepte ta cigarette. »

Malgré la douleur de ses lèvres qui saignaient abondement, Tom ne put s’empêcher d’éclater de rire. Eh bien, tu vas devoir fumer et te ruiner la santé, ma chérie.

-« Vous êtes toutes les deux du sexe féminin et blondes. Mais outre cela, vous êtes toutes les deux très sures de vous, vous êtres battantes. Vous ne vous battez pas pour la même cause, et pas de la même manière, mais vous n’abandonnez jamais. Vous êtes persuadées d'avoir raison et d'être dans le bon. »

Tom lui tendit une clope.

[Crédits :]

Après avoir allumé sa cigarette, il huma l’air avec délice. Il savait pourquoi il aimait cette odeur, c’était l’odeur des soirées. Cette sensation d’ivresse, de joie, de calme et d’adrénaline à la fois, cette sensation qu’on est responsable de rien, une soirée était toujours accompagnée de l’odeur du tabac. Au début, c’est pour ça qu’il avait commencé à fumer parce que cette odeur lui faisait revivre ces moments passés à danser et à faire le con. Et puis, peu à peu, les choses s’étaient emballées, Ombrage et les décrets, le tout Poudlard qui changeait… Tom avait voulu ralentir cet emballement et une des manières trouvées pour se calmer avait été cigarette. Il y avait une sorte d’apaisement à ne rien faire, que fumer.
Lou refusa la clope qu’il lui proposait.

-« C'est plus fort que moi. Soit, j'ai été conçue comme ça, soit c'est moi qui me suit construite moi même cette limite facilement franchissable. Et pour le moment, elle ne peut rien contre moi. »

Tom sourit, moqueur. Rien, vraiment ? La jeune Serpentard en doutait. Ce crapaud avait réussit à renvoyer deux des personnes les plus appréciées du collège, ce n’était pas rien. De plus, ce n’est pas comme si Lou avait une famille avec des relations privilégiées envers le ministère. Bien sur, les Zeringer étaient loin d’être inconnus mais c’était des ‘gentils’ qui avaient autan de moldus que de sorciers dans leur famille – et c’est sans doute pour ça qu’ils étaient connus. Ombrage était du côté du Lord et s’il arrivait quelque chose à Lou tout le monde (du moins le monde important) n’en aurait rien à faire. Enfin, personne n’en aurait rien à faire pour parler dans un français correct. Qui en avait quelque chose à foutre qu’une jeune sorcière dont la famille était pro-moldue se fasse mal traiter par la Grande Inquisitrice ? Sa famille ? Ses amis ? Mais on s’en moquait bien de ces gens, les gens vraiment importants n’en avaient rien à faire de Lou. Alors, si, Ombrage pouvait lui faire quelque chose. Il suffisait de regarder ce qu’était devenue la main de la jeune Gryffondor pour voir qu’elle pouvait lui faire du mal. Regardez la main de Tom, tout aussi haineux envers Ombrage que Lou, elle était quasi parfaite sa main. Bah, oui, vous croyez que ça aurait été accepté que l’héritier River se fasse tatouer sa main par son propre sang ? Lui, le fils du directeur du département de la Justice Magique ? Non, ça Ombrage ne pouvait pas se le permettre parce que ça ça risquait de se retourner contre elle.
Thomas était bien plus en sécurité que Lou.

Au loin, quelques jeunes Serdaigles les regardaient avec allèchement. La jolie blonde de Gryffondor et le beau brun seraient-ils à nouveau ensemble ? Tom grinça des dents, sa blonde à lui n’était pas chez les Gryffondor, ces petits morpions devraient le savoir. Naméoh ! Il leur lança un regard de la mort qui tue, un regard spécial Thomas River quand il est énervé, et les jeunes élèves déguerpirent rapidement, persuadés d’avoir le scoop de l’année.
Génial. >.<

Bon, où en étions nous ? Ah, oui, aves les limites. Tom fit remarquer à son ex qu’il fallait être prudent le crapaud rose n’était pas prudente et ça allait mal tourner. Un sourire passa sur ses lèvres lorsqu’il remarqua que le petit con qui avait apporté de la drogue à la soirée, celui-là même qui avait réussit à faire renvoyer un professeur et l’amour actuel de sa vie, ce petit con là était en train de jouer le moralisateur. Bonne blague…
Tellement bonne blague que la jeune griffonne éclata de rire. Son rire était doux et calme, il fit frissonner le serpent devant tous les souvenirs qui s’éveillaient en lui. Une nouvelle fois, il se mordit les lèvres. Tous ces souvenirs, tous ces moments vécus ensemble, toute leur amitié… se pouvait-il que tout cela disparaisse un jour ? Les lèvres du Serpentard se mirent presqu’à saigner sous la douleur. Ce n’était pas la première fois depuis tout à l’heure que Tom pensait à leur futur. Puis, le regard sombre d’Irvin Raven lui revint en mémoire, ce regard qui lui disait que son futur était entièrement consacré au Lord. Le vert et argent repris confiance mais face au regard triste de Lou, il ne put s’empêcher de baisser la tête. Le gout du sang emplis sa bouche.

-« Trouve moi une seule ressemblance avec ce crapaud et j'accepte ta cigarette. »

Malgré la douleur de ses lèvres qui saignaient abondement, Tom ne put s’empêcher d’éclater de rire. Eh bien, tu vas devoir fumer et te ruiner la santé, ma chérie.

-« Vous êtes toutes les deux du sexe féminin et blondes. Mais outre cela, vous êtes toutes les deux très sures de vous, vous êtres battantes. Vous ne vous battez pas pour la même cause, et pas de la même manière, mais vous n’abandonnez jamais. Vous êtes persuadées d'avoir raison et d'être dans le bon. »

Tom lui tendit une clope.

[Age RPG :]

Après avoir allumé sa cigarette, il huma l’air avec délice. Il savait pourquoi il aimait cette odeur, c’était l’odeur des soirées. Cette sensation d’ivresse, de joie, de calme et d’adrénaline à la fois, cette sensation qu’on est responsable de rien, une soirée était toujours accompagnée de l’odeur du tabac. Au début, c’est pour ça qu’il avait commencé à fumer parce que cette odeur lui faisait revivre ces moments passés à danser et à faire le con. Et puis, peu à peu, les choses s’étaient emballées, Ombrage et les décrets, le tout Poudlard qui changeait… Tom avait voulu ralentir cet emballement et une des manières trouvées pour se calmer avait été cigarette. Il y avait une sorte d’apaisement à ne rien faire, que fumer.
Lou refusa la clope qu’il lui proposait.

-« C'est plus fort que moi. Soit, j'ai été conçue comme ça, soit c'est moi qui me suit construite moi même cette limite facilement franchissable. Et pour le moment, elle ne peut rien contre moi. »

Tom sourit, moqueur. Rien, vraiment ? La jeune Serpentard en doutait. Ce crapaud avait réussit à renvoyer deux des personnes les plus appréciées du collège, ce n’était pas rien. De plus, ce n’est pas comme si Lou avait une famille avec des relations privilégiées envers le ministère. Bien sur, les Zeringer étaient loin d’être inconnus mais c’était des ‘gentils’ qui avaient autan de moldus que de sorciers dans leur famille – et c’est sans doute pour ça qu’ils étaient connus. Ombrage était du côté du Lord et s’il arrivait quelque chose à Lou tout le monde (du moins le monde important) n’en aurait rien à faire. Enfin, personne n’en aurait rien à faire pour parler dans un français correct. Qui en avait quelque chose à foutre qu’une jeune sorcière dont la famille était pro-moldue se fasse mal traiter par la Grande Inquisitrice ? Sa famille ? Ses amis ? Mais on s’en moquait bien de ces gens, les gens vraiment importants n’en avaient rien à faire de Lou. Alors, si, Ombrage pouvait lui faire quelque chose. Il suffisait de regarder ce qu’était devenue la main de la jeune Gryffondor pour voir qu’elle pouvait lui faire du mal. Regardez la main de Tom, tout aussi haineux envers Ombrage que Lou, elle était quasi parfaite sa main. Bah, oui, vous croyez que ça aurait été accepté que l’héritier River se fasse tatouer sa main par son propre sang ? Lui, le fils du directeur du département de la Justice Magique ? Non, ça Ombrage ne pouvait pas se le permettre parce que ça ça risquait de se retourner contre elle.
Thomas était bien plus en sécurité que Lou.

Au loin, quelques jeunes Serdaigles les regardaient avec allèchement. La jolie blonde de Gryffondor et le beau brun seraient-ils à nouveau ensemble ? Tom grinça des dents, sa blonde à lui n’était pas chez les Gryffondor, ces petits morpions devraient le savoir. Naméoh ! Il leur lança un regard de la mort qui tue, un regard spécial Thomas River quand il est énervé, et les jeunes élèves déguerpirent rapidement, persuadés d’avoir le scoop de l’année.
Génial. >.<

Bon, où en étions nous ? Ah, oui, aves les limites. Tom fit remarquer à son ex qu’il fallait être prudent le crapaud rose n’était pas prudente et ça allait mal tourner. Un sourire passa sur ses lèvres lorsqu’il remarqua que le petit con qui avait apporté de la drogue à la soirée, celui-là même qui avait réussit à faire renvoyer un professeur et l’amour actuel de sa vie, ce petit con là était en train de jouer le moralisateur. Bonne blague…
Tellement bonne blague que la jeune griffonne éclata de rire. Son rire était doux et calme, il fit frissonner le serpent devant tous les souvenirs qui s’éveillaient en lui. Une nouvelle fois, il se mordit les lèvres. Tous ces souvenirs, tous ces moments vécus ensemble, toute leur amitié… se pouvait-il que tout cela disparaisse un jour ? Les lèvres du Serpentard se mirent presqu’à saigner sous la douleur. Ce n’était pas la première fois depuis tout à l’heure que Tom pensait à leur futur. Puis, le regard sombre d’Irvin Raven lui revint en mémoire, ce regard qui lui disait que son futur était entièrement consacré au Lord. Le vert et argent repris confiance mais face au regard triste de Lou, il ne put s’empêcher de baisser la tête. Le gout du sang emplis sa bouche.

-« Trouve moi une seule ressemblance avec ce crapaud et j'accepte ta cigarette. »

Malgré la douleur de ses lèvres qui saignaient abondement, Tom ne put s’empêcher d’éclater de rire. Eh bien, tu vas devoir fumer et te ruiner la santé, ma chérie.

-« Vous êtes toutes les deux du sexe féminin et blondes. Mais outre cela, vous êtes toutes les deux très sures de vous, vous êtres battantes. Vous ne vous battez pas pour la même cause, et pas de la même manière, mais vous n’abandonnez jamais. Vous êtes persuadées d'avoir raison et d'être dans le bon. »

Tom lui tendit une clope.

[Sang :]

Après avoir allumé sa cigarette, il huma l’air avec délice. Il savait pourquoi il aimait cette odeur, c’était l’odeur des soirées. Cette sensation d’ivresse, de joie, de calme et d’adrénaline à la fois, cette sensation qu’on est responsable de rien, une soirée était toujours accompagnée de l’odeur du tabac. Au début, c’est pour ça qu’il avait commencé à fumer parce que cette odeur lui faisait revivre ces moments passés à danser et à faire le con. Et puis, peu à peu, les choses s’étaient emballées, Ombrage et les décrets, le tout Poudlard qui changeait… Tom avait voulu ralentir cet emballement et une des manières trouvées pour se calmer avait été cigarette. Il y avait une sorte d’apaisement à ne rien faire, que fumer.
Lou refusa la clope qu’il lui proposait.

-« C'est plus fort que moi. Soit, j'ai été conçue comme ça, soit c'est moi qui me suit construite moi même cette limite facilement franchissable. Et pour le moment, elle ne peut rien contre moi. »

Tom sourit, moqueur. Rien, vraiment ? La jeune Serpentard en doutait. Ce crapaud avait réussit à renvoyer deux des personnes les plus appréciées du collège, ce n’était pas rien. De plus, ce n’est pas comme si Lou avait une famille avec des relations privilégiées envers le ministère. Bien sur, les Zeringer étaient loin d’être inconnus mais c’était des ‘gentils’ qui avaient autan de moldus que de sorciers dans leur famille – et c’est sans doute pour ça qu’ils étaient connus. Ombrage était du côté du Lord et s’il arrivait quelque chose à Lou tout le monde (du moins le monde important) n’en aurait rien à faire. Enfin, personne n’en aurait rien à faire pour parler dans un français correct. Qui en avait quelque chose à foutre qu’une jeune sorcière dont la famille était pro-moldue se fasse mal traiter par la Grande Inquisitrice ? Sa famille ? Ses amis ? Mais on s’en moquait bien de ces gens, les gens vraiment importants n’en avaient rien à faire de Lou. Alors, si, Ombrage pouvait lui faire quelque chose. Il suffisait de regarder ce qu’était devenue la main de la jeune Gryffondor pour voir qu’elle pouvait lui faire du mal. Regardez la main de Tom, tout aussi haineux envers Ombrage que Lou, elle était quasi parfaite sa main. Bah, oui, vous croyez que ça aurait été accepté que l’héritier River se fasse tatouer sa main par son propre sang ? Lui, le fils du directeur du département de la Justice Magique ? Non, ça Ombrage ne pouvait pas se le permettre parce que ça ça risquait de se retourner contre elle.
Thomas était bien plus en sécurité que Lou.

Au loin, quelques jeunes Serdaigles les regardaient avec allèchement. La jolie blonde de Gryffondor et le beau brun seraient-ils à nouveau ensemble ? Tom grinça des dents, sa blonde à lui n’était pas chez les Gryffondor, ces petits morpions devraient le savoir. Naméoh ! Il leur lança un regard de la mort qui tue, un regard spécial Thomas River quand il est énervé, et les jeunes élèves déguerpirent rapidement, persuadés d’avoir le scoop de l’année.
Génial. >.<

Bon, où en étions nous ? Ah, oui, aves les limites. Tom fit remarquer à son ex qu’il fallait être prudent le crapaud rose n’était pas prudente et ça allait mal tourner. Un sourire passa sur ses lèvres lorsqu’il remarqua que le petit con qui avait apporté de la drogue à la soirée, celui-là même qui avait réussit à faire renvoyer un professeur et l’amour actuel de sa vie, ce petit con là était en train de jouer le moralisateur. Bonne blague…
Tellement bonne blague que la jeune griffonne éclata de rire. Son rire était doux et calme, il fit frissonner le serpent devant tous les souvenirs qui s’éveillaient en lui. Une nouvelle fois, il se mordit les lèvres. Tous ces souvenirs, tous ces moments vécus ensemble, toute leur amitié… se pouvait-il que tout cela disparaisse un jour ? Les lèvres du Serpentard se mirent presqu’à saigner sous la douleur. Ce n’était pas la première fois depuis tout à l’heure que Tom pensait à leur futur. Puis, le regard sombre d’Irvin Raven lui revint en mémoire, ce regard qui lui disait que son futur était entièrement consacré au Lord. Le vert et argent repris confiance mais face au regard triste de Lou, il ne put s’empêcher de baisser la tête. Le gout du sang emplis sa bouche.

-« Trouve moi une seule ressemblance avec ce crapaud et j'accepte ta cigarette. »

Malgré la douleur de ses lèvres qui saignaient abondement, Tom ne put s’empêcher d’éclater de rire. Eh bien, tu vas devoir fumer et te ruiner la santé, ma chérie.

-« Vous êtes toutes les deux du sexe féminin et blondes. Mais outre cela, vous êtes toutes les deux très sures de vous, vous êtres battantes. Vous ne vous battez pas pour la même cause, et pas de la même manière, mais vous n’abandonnez jamais. Vous êtes persuadées d'avoir raison et d'être dans le bon. »

Tom lui tendit une clope.

[Camp :]

Après avoir allumé sa cigarette, il huma l’air avec délice. Il savait pourquoi il aimait cette odeur, c’était l’odeur des soirées. Cette sensation d’ivresse, de joie, de calme et d’adrénaline à la fois, cette sensation qu’on est responsable de rien, une soirée était toujours accompagnée de l’odeur du tabac. Au début, c’est pour ça qu’il avait commencé à fumer parce que cette odeur lui faisait revivre ces moments passés à danser et à faire le con. Et puis, peu à peu, les choses s’étaient emballées, Ombrage et les décrets, le tout Poudlard qui changeait… Tom avait voulu ralentir cet emballement et une des manières trouvées pour se calmer avait été cigarette. Il y avait une sorte d’apaisement à ne rien faire, que fumer.
Lou refusa la clope qu’il lui proposait.

-« C'est plus fort que moi. Soit, j'ai été conçue comme ça, soit c'est moi qui me suit construite moi même cette limite facilement franchissable. Et pour le moment, elle ne peut rien contre moi. »

Tom sourit, moqueur. Rien, vraiment ? La jeune Serpentard en doutait. Ce crapaud avait réussit à renvoyer deux des personnes les plus appréciées du collège, ce n’était pas rien. De plus, ce n’est pas comme si Lou avait une famille avec des relations privilégiées envers le ministère. Bien sur, les Zeringer étaient loin d’être inconnus mais c’était des ‘gentils’ qui avaient autan de moldus que de sorciers dans leur famille – et c’est sans doute pour ça qu’ils étaient connus. Ombrage était du côté du Lord et s’il arrivait quelque chose à Lou tout le monde (du moins le monde important) n’en aurait rien à faire. Enfin, personne n’en aurait rien à faire pour parler dans un français correct. Qui en avait quelque chose à foutre qu’une jeune sorcière dont la famille était pro-moldue se fasse mal traiter par la Grande Inquisitrice ? Sa famille ? Ses amis ? Mais on s’en moquait bien de ces gens, les gens vraiment importants n’en avaient rien à faire de Lou. Alors, si, Ombrage pouvait lui faire quelque chose. Il suffisait de regarder ce qu’était devenue la main de la jeune Gryffondor pour voir qu’elle pouvait lui faire du mal. Regardez la main de Tom, tout aussi haineux envers Ombrage que Lou, elle était quasi parfaite sa main. Bah, oui, vous croyez que ça aurait été accepté que l’héritier River se fasse tatouer sa main par son propre sang ? Lui, le fils du directeur du département de la Justice Magique ? Non, ça Ombrage ne pouvait pas se le permettre parce que ça ça risquait de se retourner contre elle.
Thomas était bien plus en sécurité que Lou.

Au loin, quelques jeunes Serdaigles les regardaient avec allèchement. La jolie blonde de Gryffondor et le beau brun seraient-ils à nouveau ensemble ? Tom grinça des dents, sa blonde à lui n’était pas chez les Gryffondor, ces petits morpions devraient le savoir. Naméoh ! Il leur lança un regard de la mort qui tue, un regard spécial Thomas River quand il est énervé, et les jeunes élèves déguerpirent rapidement, persuadés d’avoir le scoop de l’année.
Génial. >.<

Bon, où en étions nous ? Ah, oui, aves les limites. Tom fit remarquer à son ex qu’il fallait être prudent le crapaud rose n’était pas prudente et ça allait mal tourner. Un sourire passa sur ses lèvres lorsqu’il remarqua que le petit con qui avait apporté de la drogue à la soirée, celui-là même qui avait réussit à faire renvoyer un professeur et l’amour actuel de sa vie, ce petit con là était en train de jouer le moralisateur. Bonne blague…
Tellement bonne blague que la jeune griffonne éclata de rire. Son rire était doux et calme, il fit frissonner le serpent devant tous les souvenirs qui s’éveillaient en lui. Une nouvelle fois, il se mordit les lèvres. Tous ces souvenirs, tous ces moments vécus ensemble, toute leur amitié… se pouvait-il que tout cela disparaisse un jour ? Les lèvres du Serpentard se mirent presqu’à saigner sous la douleur. Ce n’était pas la première fois depuis tout à l’heure que Tom pensait à leur futur. Puis, le regard sombre d’Irvin Raven lui revint en mémoire, ce regard qui lui disait que son futur était entièrement consacré au Lord. Le vert et argent repris confiance mais face au regard triste de Lou, il ne put s’empêcher de baisser la tête. Le gout du sang emplis sa bouche.

-« Trouve moi une seule ressemblance avec ce crapaud et j'accepte ta cigarette. »

Malgré la douleur de ses lèvres qui saignaient abondement, Tom ne put s’empêcher d’éclater de rire. Eh bien, tu vas devoir fumer et te ruiner la santé, ma chérie.

-« Vous êtes toutes les deux du sexe féminin et blondes. Mais outre cela, vous êtes toutes les deux très sures de vous, vous êtres battantes. Vous ne vous battez pas pour la même cause, et pas de la même manière, mais vous n’abandonnez jamais. Vous êtes persuadées d'avoir raison et d'être dans le bon. »

Tom lui tendit une clope.

[Truc en plus :]

Après avoir allumé sa cigarette, il huma l’air avec délice. Il savait pourquoi il aimait cette odeur, c’était l’odeur des soirées. Cette sensation d’ivresse, de joie, de calme et d’adrénaline à la fois, cette sensation qu’on est responsable de rien, une soirée était toujours accompagnée de l’odeur du tabac. Au début, c’est pour ça qu’il avait commencé à fumer parce que cette odeur lui faisait revivre ces moments passés à danser et à faire le con. Et puis, peu à peu, les choses s’étaient emballées, Ombrage et les décrets, le tout Poudlard qui changeait… Tom avait voulu ralentir cet emballement et une des manières trouvées pour se calmer avait été cigarette. Il y avait une sorte d’apaisement à ne rien faire, que fumer.
Lou refusa la clope qu’il lui proposait.

-« C'est plus fort que moi. Soit, j'ai été conçue comme ça, soit c'est moi qui me suit construite moi même cette limite facilement franchissable. Et pour le moment, elle ne peut rien contre moi. »

Tom sourit, moqueur. Rien, vraiment ? La jeune Serpentard en doutait. Ce crapaud avait réussit à renvoyer deux des personnes les plus appréciées du collège, ce n’était pas rien. De plus, ce n’est pas comme si Lou avait une famille avec des relations privilégiées envers le ministère. Bien sur, les Zeringer étaient loin d’être inconnus mais c’était des ‘gentils’ qui avaient autan de moldus que de sorciers dans leur famille – et c’est sans doute pour ça qu’ils étaient connus. Ombrage était du côté du Lord et s’il arrivait quelque chose à Lou tout le monde (du moins le monde important) n’en aurait rien à faire. Enfin, personne n’en aurait rien à faire pour parler dans un français correct. Qui en avait quelque chose à foutre qu’une jeune sorcière dont la famille était pro-moldue se fasse mal traiter par la Grande Inquisitrice ? Sa famille ? Ses amis ? Mais on s’en moquait bien de ces gens, les gens vraiment importants n’en avaient rien à faire de Lou. Alors, si, Ombrage pouvait lui faire quelque chose. Il suffisait de regarder ce qu’était devenue la main de la jeune Gryffondor pour voir qu’elle pouvait lui faire du mal. Regardez la main de Tom, tout aussi haineux envers Ombrage que Lou, elle était quasi parfaite sa main. Bah, oui, vous croyez que ça aurait été accepté que l’héritier River se fasse tatouer sa main par son propre sang ? Lui, le fils du directeur du département de la Justice Magique ? Non, ça Ombrage ne pouvait pas se le permettre parce que ça ça risquait de se retourner contre elle.
Thomas était bien plus en sécurité que Lou.

Au loin, quelques jeunes Serdaigles les regardaient avec allèchement. La jolie blonde de Gryffondor et le beau brun seraient-ils à nouveau ensemble ? Tom grinça des dents, sa blonde à lui n’était pas chez les Gryffondor, ces petits morpions devraient le savoir. Naméoh ! Il leur lança un regard de la mort qui tue, un regard spécial Thomas River quand il est énervé, et les jeunes élèves déguerpirent rapidement, persuadés d’avoir le scoop de l’année.
Génial. >.<

Bon, où en étions nous ? Ah, oui, aves les limites. Tom fit remarquer à son ex qu’il fallait être prudent le crapaud rose n’était pas prudente et ça allait mal tourner. Un sourire passa sur ses lèvres lorsqu’il remarqua que le petit con qui avait apporté de la drogue à la soirée, celui-là même qui avait réussit à faire renvoyer un professeur et l’amour actuel de sa vie, ce petit con là était en train de jouer le moralisateur. Bonne blague…
Tellement bonne blague que la jeune griffonne éclata de rire. Son rire était doux et calme, il fit frissonner le serpent devant tous les souvenirs qui s’éveillaient en lui. Une nouvelle fois, il se mordit les lèvres. Tous ces souvenirs, tous ces moments vécus ensemble, toute leur amitié… se pouvait-il que tout cela disparaisse un jour ? Les lèvres du Serpentard se mirent presqu’à saigner sous la douleur. Ce n’était pas la première fois depuis tout à l’heure que Tom pensait à leur futur. Puis, le regard sombre d’Irvin Raven lui revint en mémoire, ce regard qui lui disait que son futur était entièrement consacré au Lord. Le vert et argent repris confiance mais face au regard triste de Lou, il ne put s’empêcher de baisser la tête. Le gout du sang emplis sa bouche.

-« Trouve moi une seule ressemblance avec ce crapaud et j'accepte ta cigarette. »

Malgré la douleur de ses lèvres qui saignaient abondement, Tom ne put s’empêcher d’éclater de rire. Eh bien, tu vas devoir fumer et te ruiner la santé, ma chérie.

-« Vous êtes toutes les deux du sexe féminin et blondes. Mais outre cela, vous êtes toutes les deux très sures de vous, vous êtres battantes. Vous ne vous battez pas pour la même cause, et pas de la même manière, mais vous n’abandonnez jamais. Vous êtes persuadées d'avoir raison et d'être dans le bon. »

Tom lui tendit une clope.

[Doubles-Comptes :]

Après avoir allumé sa cigarette, il huma l’air avec délice. Il savait pourquoi il aimait cette odeur, c’était l’odeur des soirées. Cette sensation d’ivresse, de joie, de calme et d’adrénaline à la fois, cette sensation qu’on est responsable de rien, une soirée était toujours accompagnée de l’odeur du tabac. Au début, c’est pour ça qu’il avait commencé à fumer parce que cette odeur lui faisait revivre ces moments passés à danser et à faire le con. Et puis, peu à peu, les choses s’étaient emballées, Ombrage et les décrets, le tout Poudlard qui changeait… Tom avait voulu ralentir cet emballement et une des manières trouvées pour se calmer avait été cigarette. Il y avait une sorte d’apaisement à ne rien faire, que fumer.
Lou refusa la clope qu’il lui proposait.

-« C'est plus fort que moi. Soit, j'ai été conçue comme ça, soit c'est moi qui me suit construite moi même cette limite facilement franchissable. Et pour le moment, elle ne peut rien contre moi. »

Tom sourit, moqueur. Rien, vraiment ? La jeune Serpentard en doutait. Ce crapaud avait réussit à renvoyer deux des personnes les plus appréciées du collège, ce n’était pas rien. De plus, ce n’est pas comme si Lou avait une famille avec des relations privilégiées envers le ministère. Bien sur, les Zeringer étaient loin d’être inconnus mais c’était des ‘gentils’ qui avaient autan de moldus que de sorciers dans leur famille – et c’est sans doute pour ça qu’ils étaient connus. Ombrage était du côté du Lord et s’il arrivait quelque chose à Lou tout le monde (du moins le monde important) n’en aurait rien à faire. Enfin, personne n’en aurait rien à faire pour parler dans un français correct. Qui en avait quelque chose à foutre qu’une jeune sorcière dont la famille était pro-moldue se fasse mal traiter par la Grande Inquisitrice ? Sa famille ? Ses amis ? Mais on s’en moquait bien de ces gens, les gens vraiment importants n’en avaient rien à faire de Lou. Alors, si, Ombrage pouvait lui faire quelque chose. Il suffisait de regarder ce qu’était devenue la main de la jeune Gryffondor pour voir qu’elle pouvait lui faire du mal. Regardez la main de Tom, tout aussi haineux envers Ombrage que Lou, elle était quasi parfaite sa main. Bah, oui, vous croyez que ça aurait été accepté que l’héritier River se fasse tatouer sa main par son propre sang ? Lui, le fils du directeur du département de la Justice Magique ? Non, ça Ombrage ne pouvait pas se le permettre parce que ça ça risquait de se retourner contre elle.
Thomas était bien plus en sécurité que Lou.

Au loin, quelques jeunes Serdaigles les regardaient avec allèchement. La jolie blonde de Gryffondor et le beau brun seraient-ils à nouveau ensemble ? Tom grinça des dents, sa blonde à lui n’était pas chez les Gryffondor, ces petits morpions devraient le savoir. Naméoh ! Il leur lança un regard de la mort qui tue, un regard spécial Thomas River quand il est énervé, et les jeunes élèves déguerpirent rapidement, persuadés d’avoir le scoop de l’année.
Génial. >.<

Bon, où en étions nous ? Ah, oui, aves les limites. Tom fit remarquer à son ex qu’il fallait être prudent le crapaud rose n’était pas prudente et ça allait mal tourner. Un sourire passa sur ses lèvres lorsqu’il remarqua que le petit con qui avait apporté de la drogue à la soirée, celui-là même qui avait réussit à faire renvoyer un professeur et l’amour actuel de sa vie, ce petit con là était en train de jouer le moralisateur. Bonne blague…
Tellement bonne blague que la jeune griffonne éclata de rire. Son rire était doux et calme, il fit frissonner le serpent devant tous les souvenirs qui s’éveillaient en lui. Une nouvelle fois, il se mordit les lèvres. Tous ces souvenirs, tous ces moments vécus ensemble, toute leur amitié… se pouvait-il que tout cela disparaisse un jour ? Les lèvres du Serpentard se mirent presqu’à saigner sous la douleur. Ce n’était pas la première fois depuis tout à l’heure que Tom pensait à leur futur. Puis, le regard sombre d’Irvin Raven lui revint en mémoire, ce regard qui lui disait que son futur était entièrement consacré au Lord. Le vert et argent repris confiance mais face au regard triste de Lou, il ne put s’empêcher de baisser la tête. Le gout du sang emplis sa bouche.

-« Trouve moi une seule ressemblance avec ce crapaud et j'accepte ta cigarette. »

Malgré la douleur de ses lèvres qui saignaient abondement, Tom ne put s’empêcher d’éclater de rire. Eh bien, tu vas devoir fumer et te ruiner la santé, ma chérie.

-« Vous êtes toutes les deux du sexe féminin et blondes. Mais outre cela, vous êtes toutes les deux très sures de vous, vous êtres battantes. Vous ne vous battez pas pour la même cause, et pas de la même manière, mais vous n’abandonnez jamais. Vous êtes persuadées d'avoir raison et d'être dans le bon. »

Tom lui tendit une clope.