Lily L. Potter && Albus S. Potter

« Tu fais une de ces gueules, Potter, ça fait peur à voir. »
« Oh, ta gueule, roskove de merde. »
« C’est ton truc punk qui te met dans des états pareils ? Ou le renvoi de ma traînée de sœur ? »

BLAM. Coup de poing dans le nez.
Aleera renvoyée. Oui, ça c’est une idée qui trottait continuellement dans la tête de notre petite Lily, prête à lancer la révolution pour faire revenir son amie. Et la révolution, elle allait arriver. Ayant passé quasiment la nuit entière avec une Meghan aussi loqueteuse qu’elle, Lily Potter avait ourdi son plan machiavélique dans l’ombre des couloirs. Le pire étant, c’est que quand elle se faisait choper, eh bien … Il ne lui arrivait rien. Ca, c’est du nouveau pour la rouquine, habituée à raser les murs et emprunter des passages secrets quand elle joue les filles nocturnes de l’air. Là, rien. Les préfets qui la croisaient la saluaient poliment et lui demandaient si elle n’avait pas entendu du bruit, tout ça, ah tu vas patrouiller dans les cachots, quelle excellente idée, quant à moi je vais faire ma ronde dans les tours, sait-on jamais. Oui c’est très étrange, la vie de préfète, pour une demoiselle comme Lily plus habituée à gueuler contre le gouvernement en place. Qu’attendait-elle, la directrice, en refilant un poste de préfète à Lily ? Que cette dernière se mette en quatre pour le garder, et qu’elle devienne un parfait toutou ? Eh, on parle d’une Potter là, s’il vous plaît. Et puis, tout le monde n’est pas comme Roxanne, qui bien que gentille avec sa jeune cousine, restait une sacrée pétasse accro au pouvoir. Enfin bref, ce matin-là, Lily s’était couchée vers quatre heures pour se lever à sept heures trente, et donc elle était complètement, mais alors complètement … A la ramasse. Larguée. A ramasser avec une petite cuillère. A distribuer équitablement entre tous les membres de sa famille, sans oublier son Nathan. Nathan qui, d’ailleurs, n’était pas à table … Bah, il ne s’est pas réveillé quoi. Lily se vautra donc comme une grosse … Comme un gros caca boudin à la table des Serpentard, répondant misérablement au salut d’Hugo. Elle fut rapidement rejointe par Miranda, et Mikhaïl, le dégénéré de frère d’Aleera, s’installa en face d’elles, et commença à chercher des noises à Lily. Ce ne fut que lorsqu’il commença à s’en prendre à Nathan et Aleera qu’elle daigna s’intéresser à lui, en lui collant vivement son poing dans le nez, ce qui le fit chuter du siège et s’écrouler au sol comme un gros tas de … Caca.

« Il semblerait que la supposée élégance bourgeoise des sangs-purs ait omise de se pencher sur ton berceau, petit con. Alors maintenant, il va bien m’écouter le roskove, parce que je ne le répèterai pas. Je ne suis pas d’humeur à me prendre la tête avec un déchet ambulant, ce que tu sembles être autant par le physique que par le psychique, alors pour reprendre une réplique cinématographique, il faudrait que tu fasses comme dans l’infanterie, et que tu te tires ailleurs, dégénéré consanguin. »

Pas de réaction de la part des Serpentard. Quelques Gryffondor regardaient la scène d’un air intéressé, les Poufsouffle lorgnaient aussi, et les Serdaigle avaient l’air de véritables blasés de la vie. Etouffant un bâillement, Lily occulta complètement le jeune russe qui se relevait, pour attraper le chocolat chaud, s’en servir un grand bol, et poser ses mains sur le réceptacle pour les réchauffer. Nathan le nounours en peluche aurait été plus utile … Mais il dort encore, le coquin. Se tournant vers Miranda qui discutait avec un septième année, elle se mêla à leur conversation sur le Quidditch, et commença à balancer ses pronostics sur la possible victoire des Canons sur les Faucons, puis des Harpies sur les Canons. Hey, observez la pro, mes loulous. Malgré cela, le consanguin qui servait de frangin à sa meilleure amie ne semblait pas en avoir eu assez, puisqu’il tapa des poings sur la table pour attirer son attention, qu’elle lui accorda avec un soupir méprisant. En continuant de se chauffer les mains sur le bol brûlant.

« Tu te crois fine, Potter, avec tes petites histoires d’armée ? Si je m’y engageais, la première chose que je ferais serait de purifier cette planète … »
« Ou récurer les chiottes des gradés à coup de langue, roskove. T’es aussi drôle qu'un toit ouvrant sur un sous-marin. »

Et hop. Prise d’un instinct de conservation, elle réagit au moment exact où il commençait à escalader la table pour lui coller une beigne en … Lui balançant le contenu du bol sur la tête. Le chocolat bouillant ne parut pas lui faire plaisir, puisqu’il recula en gueulant, attirant enfin l’attention de tout le monde, et qu’il se vautra par terre, pendant que Lily râlait très distinctement en pleurant son chocolat ainsi gaspillé. Et dans la grande salle, on entendit d’un coup des sifflets, des applaudissements, comme pour les remercier d’offrir à tout le monde un petit spectacle avant d’aller se faire chier en cours. Pauvres amours. Malgré cela, le spectacle ne fut pas du goût de tout le monde, puisqu’un prof s’avança brusquement vers eux, fatigué et ennuyé de devoir jouer au flic.

« Potter et Bielova, vous avez une retenue. »
« Hey, mais c’est lui qui a commencé ! »
« N’aggravez pas votre cas, mademoiselle. Suivez-moi, tous les deux. »

Poussant un soupir excédé parfaitement audible, Lily termina son jus d’orange en hâte et se leva pour suivre le prof, ne se gênant pas pour fusiller le russe du regard. L’autre n’en menait pas large, brûlé par le chocolat brûlant, et il ne semblait pas apprécier l’odeur. Bien fait pour sa sale gueule. Quand ils arrivèrent à la salle des punitions, le prof ouvrit la porte d’un coup de baguette, alla s’entretenir avec le concierge qui surveillait déjà une dizaine d’élèves en retenue. Et parmi eux … Albus Severus Potter. Mon Dieu, mais qu’avait encore fait son crétin de frère pour être collé ? Envoyée au premier rang, Lily ne se gêna pas pour aller s’asseoir à côté de son beau gosse de frère, au grand dam des demoiselles qui gloussaient silencieusement en le regardant et en bavant sur leurs copies. Oui, et bah c’est mon frère, mesdemoiselles, c’est moi qui vais m’asseoir à côté de lui. Sortant ses affaires à contrecoeur, elle sortit une plume d’aigle et un encrier, ainsi qu’une copie, pour commencer à écrire la phrase qui allait rythmer ses deux prochaines heures. Je ne dois pas faire de scandale dans la grande salle alors que je devrai faire respecter l’autorité de par mon poste de préfète de maison. Tssssk. Pouvaient pas prendre plus court non ?! Connard de russe.

« Et toi, tu es là pour quoi, tu as essayé de piquer l’épée de Gryffondor dans le bureau de notre directrice bien-aimée ? »

Quoiqu’en fait ça n’étonnerait pas du tout Lily qu’il ait essayé, elle-même y serait allé si on lui avait balancé un pari pareil. Toujours à voix basse, sans se tourner vers son frère, elle reprit avec une pointe d’ironie.

« Ou alors, tu as essayé d’impressionner Alice Londubat et tu t’es fait lamentablement choper comme de la bleusaille … »

Et hop, le petit coup de coude complice. Juste avant qu’elle ne tourne la tête vers Mikhaïl qui la fusillait du regard, et qui préféra abdiquer face à l’hostilité palpable de la jeune rouquine Potter. Retournant à sa punition, elle écrivit quelques lignes de plus en faisant la gueule, avant de reprendre la parole sur le même ton.

« En tout cas, moi, j’ai envoyé un coup de poing dans le nez de ce roskove, puis du chocolat brûlant quand il a essayé de me mettre une beigne. Celui-là, si je le chope, je fais des cordes de harpe avec ses boyaux. »

[Messages :]

Lily L. Potter && Albus S. Potter

« Tu fais une de ces gueules, Potter, ça fait peur à voir. »
« Oh, ta gueule, roskove de merde. »
« C’est ton truc punk qui te met dans des états pareils ? Ou le renvoi de ma traînée de sœur ? »

BLAM. Coup de poing dans le nez.
Aleera renvoyée. Oui, ça c’est une idée qui trottait continuellement dans la tête de notre petite Lily, prête à lancer la révolution pour faire revenir son amie. Et la révolution, elle allait arriver. Ayant passé quasiment la nuit entière avec une Meghan aussi loqueteuse qu’elle, Lily Potter avait ourdi son plan machiavélique dans l’ombre des couloirs. Le pire étant, c’est que quand elle se faisait choper, eh bien … Il ne lui arrivait rien. Ca, c’est du nouveau pour la rouquine, habituée à raser les murs et emprunter des passages secrets quand elle joue les filles nocturnes de l’air. Là, rien. Les préfets qui la croisaient la saluaient poliment et lui demandaient si elle n’avait pas entendu du bruit, tout ça, ah tu vas patrouiller dans les cachots, quelle excellente idée, quant à moi je vais faire ma ronde dans les tours, sait-on jamais. Oui c’est très étrange, la vie de préfète, pour une demoiselle comme Lily plus habituée à gueuler contre le gouvernement en place. Qu’attendait-elle, la directrice, en refilant un poste de préfète à Lily ? Que cette dernière se mette en quatre pour le garder, et qu’elle devienne un parfait toutou ? Eh, on parle d’une Potter là, s’il vous plaît. Et puis, tout le monde n’est pas comme Roxanne, qui bien que gentille avec sa jeune cousine, restait une sacrée pétasse accro au pouvoir. Enfin bref, ce matin-là, Lily s’était couchée vers quatre heures pour se lever à sept heures trente, et donc elle était complètement, mais alors complètement … A la ramasse. Larguée. A ramasser avec une petite cuillère. A distribuer équitablement entre tous les membres de sa famille, sans oublier son Nathan. Nathan qui, d’ailleurs, n’était pas à table … Bah, il ne s’est pas réveillé quoi. Lily se vautra donc comme une grosse … Comme un gros caca boudin à la table des Serpentard, répondant misérablement au salut d’Hugo. Elle fut rapidement rejointe par Miranda, et Mikhaïl, le dégénéré de frère d’Aleera, s’installa en face d’elles, et commença à chercher des noises à Lily. Ce ne fut que lorsqu’il commença à s’en prendre à Nathan et Aleera qu’elle daigna s’intéresser à lui, en lui collant vivement son poing dans le nez, ce qui le fit chuter du siège et s’écrouler au sol comme un gros tas de … Caca.

« Il semblerait que la supposée élégance bourgeoise des sangs-purs ait omise de se pencher sur ton berceau, petit con. Alors maintenant, il va bien m’écouter le roskove, parce que je ne le répèterai pas. Je ne suis pas d’humeur à me prendre la tête avec un déchet ambulant, ce que tu sembles être autant par le physique que par le psychique, alors pour reprendre une réplique cinématographique, il faudrait que tu fasses comme dans l’infanterie, et que tu te tires ailleurs, dégénéré consanguin. »

Pas de réaction de la part des Serpentard. Quelques Gryffondor regardaient la scène d’un air intéressé, les Poufsouffle lorgnaient aussi, et les Serdaigle avaient l’air de véritables blasés de la vie. Etouffant un bâillement, Lily occulta complètement le jeune russe qui se relevait, pour attraper le chocolat chaud, s’en servir un grand bol, et poser ses mains sur le réceptacle pour les réchauffer. Nathan le nounours en peluche aurait été plus utile … Mais il dort encore, le coquin. Se tournant vers Miranda qui discutait avec un septième année, elle se mêla à leur conversation sur le Quidditch, et commença à balancer ses pronostics sur la possible victoire des Canons sur les Faucons, puis des Harpies sur les Canons. Hey, observez la pro, mes loulous. Malgré cela, le consanguin qui servait de frangin à sa meilleure amie ne semblait pas en avoir eu assez, puisqu’il tapa des poings sur la table pour attirer son attention, qu’elle lui accorda avec un soupir méprisant. En continuant de se chauffer les mains sur le bol brûlant.

« Tu te crois fine, Potter, avec tes petites histoires d’armée ? Si je m’y engageais, la première chose que je ferais serait de purifier cette planète … »
« Ou récurer les chiottes des gradés à coup de langue, roskove. T’es aussi drôle qu'un toit ouvrant sur un sous-marin. »

Et hop. Prise d’un instinct de conservation, elle réagit au moment exact où il commençait à escalader la table pour lui coller une beigne en … Lui balançant le contenu du bol sur la tête. Le chocolat bouillant ne parut pas lui faire plaisir, puisqu’il recula en gueulant, attirant enfin l’attention de tout le monde, et qu’il se vautra par terre, pendant que Lily râlait très distinctement en pleurant son chocolat ainsi gaspillé. Et dans la grande salle, on entendit d’un coup des sifflets, des applaudissements, comme pour les remercier d’offrir à tout le monde un petit spectacle avant d’aller se faire chier en cours. Pauvres amours. Malgré cela, le spectacle ne fut pas du goût de tout le monde, puisqu’un prof s’avança brusquement vers eux, fatigué et ennuyé de devoir jouer au flic.

« Potter et Bielova, vous avez une retenue. »
« Hey, mais c’est lui qui a commencé ! »
« N’aggravez pas votre cas, mademoiselle. Suivez-moi, tous les deux. »

Poussant un soupir excédé parfaitement audible, Lily termina son jus d’orange en hâte et se leva pour suivre le prof, ne se gênant pas pour fusiller le russe du regard. L’autre n’en menait pas large, brûlé par le chocolat brûlant, et il ne semblait pas apprécier l’odeur. Bien fait pour sa sale gueule. Quand ils arrivèrent à la salle des punitions, le prof ouvrit la porte d’un coup de baguette, alla s’entretenir avec le concierge qui surveillait déjà une dizaine d’élèves en retenue. Et parmi eux … Albus Severus Potter. Mon Dieu, mais qu’avait encore fait son crétin de frère pour être collé ? Envoyée au premier rang, Lily ne se gêna pas pour aller s’asseoir à côté de son beau gosse de frère, au grand dam des demoiselles qui gloussaient silencieusement en le regardant et en bavant sur leurs copies. Oui, et bah c’est mon frère, mesdemoiselles, c’est moi qui vais m’asseoir à côté de lui. Sortant ses affaires à contrecoeur, elle sortit une plume d’aigle et un encrier, ainsi qu’une copie, pour commencer à écrire la phrase qui allait rythmer ses deux prochaines heures. Je ne dois pas faire de scandale dans la grande salle alors que je devrai faire respecter l’autorité de par mon poste de préfète de maison. Tssssk. Pouvaient pas prendre plus court non ?! Connard de russe.

« Et toi, tu es là pour quoi, tu as essayé de piquer l’épée de Gryffondor dans le bureau de notre directrice bien-aimée ? »

Quoiqu’en fait ça n’étonnerait pas du tout Lily qu’il ait essayé, elle-même y serait allé si on lui avait balancé un pari pareil. Toujours à voix basse, sans se tourner vers son frère, elle reprit avec une pointe d’ironie.

« Ou alors, tu as essayé d’impressionner Alice Londubat et tu t’es fait lamentablement choper comme de la bleusaille … »

Et hop, le petit coup de coude complice. Juste avant qu’elle ne tourne la tête vers Mikhaïl qui la fusillait du regard, et qui préféra abdiquer face à l’hostilité palpable de la jeune rouquine Potter. Retournant à sa punition, elle écrivit quelques lignes de plus en faisant la gueule, avant de reprendre la parole sur le même ton.

« En tout cas, moi, j’ai envoyé un coup de poing dans le nez de ce roskove, puis du chocolat brûlant quand il a essayé de me mettre une beigne. Celui-là, si je le chope, je fais des cordes de harpe avec ses boyaux. »

[Points :]

Lily L. Potter && Albus S. Potter

« Tu fais une de ces gueules, Potter, ça fait peur à voir. »
« Oh, ta gueule, roskove de merde. »
« C’est ton truc punk qui te met dans des états pareils ? Ou le renvoi de ma traînée de sœur ? »

BLAM. Coup de poing dans le nez.
Aleera renvoyée. Oui, ça c’est une idée qui trottait continuellement dans la tête de notre petite Lily, prête à lancer la révolution pour faire revenir son amie. Et la révolution, elle allait arriver. Ayant passé quasiment la nuit entière avec une Meghan aussi loqueteuse qu’elle, Lily Potter avait ourdi son plan machiavélique dans l’ombre des couloirs. Le pire étant, c’est que quand elle se faisait choper, eh bien … Il ne lui arrivait rien. Ca, c’est du nouveau pour la rouquine, habituée à raser les murs et emprunter des passages secrets quand elle joue les filles nocturnes de l’air. Là, rien. Les préfets qui la croisaient la saluaient poliment et lui demandaient si elle n’avait pas entendu du bruit, tout ça, ah tu vas patrouiller dans les cachots, quelle excellente idée, quant à moi je vais faire ma ronde dans les tours, sait-on jamais. Oui c’est très étrange, la vie de préfète, pour une demoiselle comme Lily plus habituée à gueuler contre le gouvernement en place. Qu’attendait-elle, la directrice, en refilant un poste de préfète à Lily ? Que cette dernière se mette en quatre pour le garder, et qu’elle devienne un parfait toutou ? Eh, on parle d’une Potter là, s’il vous plaît. Et puis, tout le monde n’est pas comme Roxanne, qui bien que gentille avec sa jeune cousine, restait une sacrée pétasse accro au pouvoir. Enfin bref, ce matin-là, Lily s’était couchée vers quatre heures pour se lever à sept heures trente, et donc elle était complètement, mais alors complètement … A la ramasse. Larguée. A ramasser avec une petite cuillère. A distribuer équitablement entre tous les membres de sa famille, sans oublier son Nathan. Nathan qui, d’ailleurs, n’était pas à table … Bah, il ne s’est pas réveillé quoi. Lily se vautra donc comme une grosse … Comme un gros caca boudin à la table des Serpentard, répondant misérablement au salut d’Hugo. Elle fut rapidement rejointe par Miranda, et Mikhaïl, le dégénéré de frère d’Aleera, s’installa en face d’elles, et commença à chercher des noises à Lily. Ce ne fut que lorsqu’il commença à s’en prendre à Nathan et Aleera qu’elle daigna s’intéresser à lui, en lui collant vivement son poing dans le nez, ce qui le fit chuter du siège et s’écrouler au sol comme un gros tas de … Caca.

« Il semblerait que la supposée élégance bourgeoise des sangs-purs ait omise de se pencher sur ton berceau, petit con. Alors maintenant, il va bien m’écouter le roskove, parce que je ne le répèterai pas. Je ne suis pas d’humeur à me prendre la tête avec un déchet ambulant, ce que tu sembles être autant par le physique que par le psychique, alors pour reprendre une réplique cinématographique, il faudrait que tu fasses comme dans l’infanterie, et que tu te tires ailleurs, dégénéré consanguin. »

Pas de réaction de la part des Serpentard. Quelques Gryffondor regardaient la scène d’un air intéressé, les Poufsouffle lorgnaient aussi, et les Serdaigle avaient l’air de véritables blasés de la vie. Etouffant un bâillement, Lily occulta complètement le jeune russe qui se relevait, pour attraper le chocolat chaud, s’en servir un grand bol, et poser ses mains sur le réceptacle pour les réchauffer. Nathan le nounours en peluche aurait été plus utile … Mais il dort encore, le coquin. Se tournant vers Miranda qui discutait avec un septième année, elle se mêla à leur conversation sur le Quidditch, et commença à balancer ses pronostics sur la possible victoire des Canons sur les Faucons, puis des Harpies sur les Canons. Hey, observez la pro, mes loulous. Malgré cela, le consanguin qui servait de frangin à sa meilleure amie ne semblait pas en avoir eu assez, puisqu’il tapa des poings sur la table pour attirer son attention, qu’elle lui accorda avec un soupir méprisant. En continuant de se chauffer les mains sur le bol brûlant.

« Tu te crois fine, Potter, avec tes petites histoires d’armée ? Si je m’y engageais, la première chose que je ferais serait de purifier cette planète … »
« Ou récurer les chiottes des gradés à coup de langue, roskove. T’es aussi drôle qu'un toit ouvrant sur un sous-marin. »

Et hop. Prise d’un instinct de conservation, elle réagit au moment exact où il commençait à escalader la table pour lui coller une beigne en … Lui balançant le contenu du bol sur la tête. Le chocolat bouillant ne parut pas lui faire plaisir, puisqu’il recula en gueulant, attirant enfin l’attention de tout le monde, et qu’il se vautra par terre, pendant que Lily râlait très distinctement en pleurant son chocolat ainsi gaspillé. Et dans la grande salle, on entendit d’un coup des sifflets, des applaudissements, comme pour les remercier d’offrir à tout le monde un petit spectacle avant d’aller se faire chier en cours. Pauvres amours. Malgré cela, le spectacle ne fut pas du goût de tout le monde, puisqu’un prof s’avança brusquement vers eux, fatigué et ennuyé de devoir jouer au flic.

« Potter et Bielova, vous avez une retenue. »
« Hey, mais c’est lui qui a commencé ! »
« N’aggravez pas votre cas, mademoiselle. Suivez-moi, tous les deux. »

Poussant un soupir excédé parfaitement audible, Lily termina son jus d’orange en hâte et se leva pour suivre le prof, ne se gênant pas pour fusiller le russe du regard. L’autre n’en menait pas large, brûlé par le chocolat brûlant, et il ne semblait pas apprécier l’odeur. Bien fait pour sa sale gueule. Quand ils arrivèrent à la salle des punitions, le prof ouvrit la porte d’un coup de baguette, alla s’entretenir avec le concierge qui surveillait déjà une dizaine d’élèves en retenue. Et parmi eux … Albus Severus Potter. Mon Dieu, mais qu’avait encore fait son crétin de frère pour être collé ? Envoyée au premier rang, Lily ne se gêna pas pour aller s’asseoir à côté de son beau gosse de frère, au grand dam des demoiselles qui gloussaient silencieusement en le regardant et en bavant sur leurs copies. Oui, et bah c’est mon frère, mesdemoiselles, c’est moi qui vais m’asseoir à côté de lui. Sortant ses affaires à contrecoeur, elle sortit une plume d’aigle et un encrier, ainsi qu’une copie, pour commencer à écrire la phrase qui allait rythmer ses deux prochaines heures. Je ne dois pas faire de scandale dans la grande salle alors que je devrai faire respecter l’autorité de par mon poste de préfète de maison. Tssssk. Pouvaient pas prendre plus court non ?! Connard de russe.

« Et toi, tu es là pour quoi, tu as essayé de piquer l’épée de Gryffondor dans le bureau de notre directrice bien-aimée ? »

Quoiqu’en fait ça n’étonnerait pas du tout Lily qu’il ait essayé, elle-même y serait allé si on lui avait balancé un pari pareil. Toujours à voix basse, sans se tourner vers son frère, elle reprit avec une pointe d’ironie.

« Ou alors, tu as essayé d’impressionner Alice Londubat et tu t’es fait lamentablement choper comme de la bleusaille … »

Et hop, le petit coup de coude complice. Juste avant qu’elle ne tourne la tête vers Mikhaïl qui la fusillait du regard, et qui préféra abdiquer face à l’hostilité palpable de la jeune rouquine Potter. Retournant à sa punition, elle écrivit quelques lignes de plus en faisant la gueule, avant de reprendre la parole sur le même ton.

« En tout cas, moi, j’ai envoyé un coup de poing dans le nez de ce roskove, puis du chocolat brûlant quand il a essayé de me mettre une beigne. Celui-là, si je le chope, je fais des cordes de harpe avec ses boyaux. »

[Avatar :]

Lily L. Potter && Albus S. Potter

« Tu fais une de ces gueules, Potter, ça fait peur à voir. »
« Oh, ta gueule, roskove de merde. »
« C’est ton truc punk qui te met dans des états pareils ? Ou le renvoi de ma traînée de sœur ? »

BLAM. Coup de poing dans le nez.
Aleera renvoyée. Oui, ça c’est une idée qui trottait continuellement dans la tête de notre petite Lily, prête à lancer la révolution pour faire revenir son amie. Et la révolution, elle allait arriver. Ayant passé quasiment la nuit entière avec une Meghan aussi loqueteuse qu’elle, Lily Potter avait ourdi son plan machiavélique dans l’ombre des couloirs. Le pire étant, c’est que quand elle se faisait choper, eh bien … Il ne lui arrivait rien. Ca, c’est du nouveau pour la rouquine, habituée à raser les murs et emprunter des passages secrets quand elle joue les filles nocturnes de l’air. Là, rien. Les préfets qui la croisaient la saluaient poliment et lui demandaient si elle n’avait pas entendu du bruit, tout ça, ah tu vas patrouiller dans les cachots, quelle excellente idée, quant à moi je vais faire ma ronde dans les tours, sait-on jamais. Oui c’est très étrange, la vie de préfète, pour une demoiselle comme Lily plus habituée à gueuler contre le gouvernement en place. Qu’attendait-elle, la directrice, en refilant un poste de préfète à Lily ? Que cette dernière se mette en quatre pour le garder, et qu’elle devienne un parfait toutou ? Eh, on parle d’une Potter là, s’il vous plaît. Et puis, tout le monde n’est pas comme Roxanne, qui bien que gentille avec sa jeune cousine, restait une sacrée pétasse accro au pouvoir. Enfin bref, ce matin-là, Lily s’était couchée vers quatre heures pour se lever à sept heures trente, et donc elle était complètement, mais alors complètement … A la ramasse. Larguée. A ramasser avec une petite cuillère. A distribuer équitablement entre tous les membres de sa famille, sans oublier son Nathan. Nathan qui, d’ailleurs, n’était pas à table … Bah, il ne s’est pas réveillé quoi. Lily se vautra donc comme une grosse … Comme un gros caca boudin à la table des Serpentard, répondant misérablement au salut d’Hugo. Elle fut rapidement rejointe par Miranda, et Mikhaïl, le dégénéré de frère d’Aleera, s’installa en face d’elles, et commença à chercher des noises à Lily. Ce ne fut que lorsqu’il commença à s’en prendre à Nathan et Aleera qu’elle daigna s’intéresser à lui, en lui collant vivement son poing dans le nez, ce qui le fit chuter du siège et s’écrouler au sol comme un gros tas de … Caca.

« Il semblerait que la supposée élégance bourgeoise des sangs-purs ait omise de se pencher sur ton berceau, petit con. Alors maintenant, il va bien m’écouter le roskove, parce que je ne le répèterai pas. Je ne suis pas d’humeur à me prendre la tête avec un déchet ambulant, ce que tu sembles être autant par le physique que par le psychique, alors pour reprendre une réplique cinématographique, il faudrait que tu fasses comme dans l’infanterie, et que tu te tires ailleurs, dégénéré consanguin. »

Pas de réaction de la part des Serpentard. Quelques Gryffondor regardaient la scène d’un air intéressé, les Poufsouffle lorgnaient aussi, et les Serdaigle avaient l’air de véritables blasés de la vie. Etouffant un bâillement, Lily occulta complètement le jeune russe qui se relevait, pour attraper le chocolat chaud, s’en servir un grand bol, et poser ses mains sur le réceptacle pour les réchauffer. Nathan le nounours en peluche aurait été plus utile … Mais il dort encore, le coquin. Se tournant vers Miranda qui discutait avec un septième année, elle se mêla à leur conversation sur le Quidditch, et commença à balancer ses pronostics sur la possible victoire des Canons sur les Faucons, puis des Harpies sur les Canons. Hey, observez la pro, mes loulous. Malgré cela, le consanguin qui servait de frangin à sa meilleure amie ne semblait pas en avoir eu assez, puisqu’il tapa des poings sur la table pour attirer son attention, qu’elle lui accorda avec un soupir méprisant. En continuant de se chauffer les mains sur le bol brûlant.

« Tu te crois fine, Potter, avec tes petites histoires d’armée ? Si je m’y engageais, la première chose que je ferais serait de purifier cette planète … »
« Ou récurer les chiottes des gradés à coup de langue, roskove. T’es aussi drôle qu'un toit ouvrant sur un sous-marin. »

Et hop. Prise d’un instinct de conservation, elle réagit au moment exact où il commençait à escalader la table pour lui coller une beigne en … Lui balançant le contenu du bol sur la tête. Le chocolat bouillant ne parut pas lui faire plaisir, puisqu’il recula en gueulant, attirant enfin l’attention de tout le monde, et qu’il se vautra par terre, pendant que Lily râlait très distinctement en pleurant son chocolat ainsi gaspillé. Et dans la grande salle, on entendit d’un coup des sifflets, des applaudissements, comme pour les remercier d’offrir à tout le monde un petit spectacle avant d’aller se faire chier en cours. Pauvres amours. Malgré cela, le spectacle ne fut pas du goût de tout le monde, puisqu’un prof s’avança brusquement vers eux, fatigué et ennuyé de devoir jouer au flic.

« Potter et Bielova, vous avez une retenue. »
« Hey, mais c’est lui qui a commencé ! »
« N’aggravez pas votre cas, mademoiselle. Suivez-moi, tous les deux. »

Poussant un soupir excédé parfaitement audible, Lily termina son jus d’orange en hâte et se leva pour suivre le prof, ne se gênant pas pour fusiller le russe du regard. L’autre n’en menait pas large, brûlé par le chocolat brûlant, et il ne semblait pas apprécier l’odeur. Bien fait pour sa sale gueule. Quand ils arrivèrent à la salle des punitions, le prof ouvrit la porte d’un coup de baguette, alla s’entretenir avec le concierge qui surveillait déjà une dizaine d’élèves en retenue. Et parmi eux … Albus Severus Potter. Mon Dieu, mais qu’avait encore fait son crétin de frère pour être collé ? Envoyée au premier rang, Lily ne se gêna pas pour aller s’asseoir à côté de son beau gosse de frère, au grand dam des demoiselles qui gloussaient silencieusement en le regardant et en bavant sur leurs copies. Oui, et bah c’est mon frère, mesdemoiselles, c’est moi qui vais m’asseoir à côté de lui. Sortant ses affaires à contrecoeur, elle sortit une plume d’aigle et un encrier, ainsi qu’une copie, pour commencer à écrire la phrase qui allait rythmer ses deux prochaines heures. Je ne dois pas faire de scandale dans la grande salle alors que je devrai faire respecter l’autorité de par mon poste de préfète de maison. Tssssk. Pouvaient pas prendre plus court non ?! Connard de russe.

« Et toi, tu es là pour quoi, tu as essayé de piquer l’épée de Gryffondor dans le bureau de notre directrice bien-aimée ? »

Quoiqu’en fait ça n’étonnerait pas du tout Lily qu’il ait essayé, elle-même y serait allé si on lui avait balancé un pari pareil. Toujours à voix basse, sans se tourner vers son frère, elle reprit avec une pointe d’ironie.

« Ou alors, tu as essayé d’impressionner Alice Londubat et tu t’es fait lamentablement choper comme de la bleusaille … »

Et hop, le petit coup de coude complice. Juste avant qu’elle ne tourne la tête vers Mikhaïl qui la fusillait du regard, et qui préféra abdiquer face à l’hostilité palpable de la jeune rouquine Potter. Retournant à sa punition, elle écrivit quelques lignes de plus en faisant la gueule, avant de reprendre la parole sur le même ton.

« En tout cas, moi, j’ai envoyé un coup de poing dans le nez de ce roskove, puis du chocolat brûlant quand il a essayé de me mettre une beigne. Celui-là, si je le chope, je fais des cordes de harpe avec ses boyaux. »

[Crédits :]

Lily L. Potter && Albus S. Potter

« Tu fais une de ces gueules, Potter, ça fait peur à voir. »
« Oh, ta gueule, roskove de merde. »
« C’est ton truc punk qui te met dans des états pareils ? Ou le renvoi de ma traînée de sœur ? »

BLAM. Coup de poing dans le nez.
Aleera renvoyée. Oui, ça c’est une idée qui trottait continuellement dans la tête de notre petite Lily, prête à lancer la révolution pour faire revenir son amie. Et la révolution, elle allait arriver. Ayant passé quasiment la nuit entière avec une Meghan aussi loqueteuse qu’elle, Lily Potter avait ourdi son plan machiavélique dans l’ombre des couloirs. Le pire étant, c’est que quand elle se faisait choper, eh bien … Il ne lui arrivait rien. Ca, c’est du nouveau pour la rouquine, habituée à raser les murs et emprunter des passages secrets quand elle joue les filles nocturnes de l’air. Là, rien. Les préfets qui la croisaient la saluaient poliment et lui demandaient si elle n’avait pas entendu du bruit, tout ça, ah tu vas patrouiller dans les cachots, quelle excellente idée, quant à moi je vais faire ma ronde dans les tours, sait-on jamais. Oui c’est très étrange, la vie de préfète, pour une demoiselle comme Lily plus habituée à gueuler contre le gouvernement en place. Qu’attendait-elle, la directrice, en refilant un poste de préfète à Lily ? Que cette dernière se mette en quatre pour le garder, et qu’elle devienne un parfait toutou ? Eh, on parle d’une Potter là, s’il vous plaît. Et puis, tout le monde n’est pas comme Roxanne, qui bien que gentille avec sa jeune cousine, restait une sacrée pétasse accro au pouvoir. Enfin bref, ce matin-là, Lily s’était couchée vers quatre heures pour se lever à sept heures trente, et donc elle était complètement, mais alors complètement … A la ramasse. Larguée. A ramasser avec une petite cuillère. A distribuer équitablement entre tous les membres de sa famille, sans oublier son Nathan. Nathan qui, d’ailleurs, n’était pas à table … Bah, il ne s’est pas réveillé quoi. Lily se vautra donc comme une grosse … Comme un gros caca boudin à la table des Serpentard, répondant misérablement au salut d’Hugo. Elle fut rapidement rejointe par Miranda, et Mikhaïl, le dégénéré de frère d’Aleera, s’installa en face d’elles, et commença à chercher des noises à Lily. Ce ne fut que lorsqu’il commença à s’en prendre à Nathan et Aleera qu’elle daigna s’intéresser à lui, en lui collant vivement son poing dans le nez, ce qui le fit chuter du siège et s’écrouler au sol comme un gros tas de … Caca.

« Il semblerait que la supposée élégance bourgeoise des sangs-purs ait omise de se pencher sur ton berceau, petit con. Alors maintenant, il va bien m’écouter le roskove, parce que je ne le répèterai pas. Je ne suis pas d’humeur à me prendre la tête avec un déchet ambulant, ce que tu sembles être autant par le physique que par le psychique, alors pour reprendre une réplique cinématographique, il faudrait que tu fasses comme dans l’infanterie, et que tu te tires ailleurs, dégénéré consanguin. »

Pas de réaction de la part des Serpentard. Quelques Gryffondor regardaient la scène d’un air intéressé, les Poufsouffle lorgnaient aussi, et les Serdaigle avaient l’air de véritables blasés de la vie. Etouffant un bâillement, Lily occulta complètement le jeune russe qui se relevait, pour attraper le chocolat chaud, s’en servir un grand bol, et poser ses mains sur le réceptacle pour les réchauffer. Nathan le nounours en peluche aurait été plus utile … Mais il dort encore, le coquin. Se tournant vers Miranda qui discutait avec un septième année, elle se mêla à leur conversation sur le Quidditch, et commença à balancer ses pronostics sur la possible victoire des Canons sur les Faucons, puis des Harpies sur les Canons. Hey, observez la pro, mes loulous. Malgré cela, le consanguin qui servait de frangin à sa meilleure amie ne semblait pas en avoir eu assez, puisqu’il tapa des poings sur la table pour attirer son attention, qu’elle lui accorda avec un soupir méprisant. En continuant de se chauffer les mains sur le bol brûlant.

« Tu te crois fine, Potter, avec tes petites histoires d’armée ? Si je m’y engageais, la première chose que je ferais serait de purifier cette planète … »
« Ou récurer les chiottes des gradés à coup de langue, roskove. T’es aussi drôle qu'un toit ouvrant sur un sous-marin. »

Et hop. Prise d’un instinct de conservation, elle réagit au moment exact où il commençait à escalader la table pour lui coller une beigne en … Lui balançant le contenu du bol sur la tête. Le chocolat bouillant ne parut pas lui faire plaisir, puisqu’il recula en gueulant, attirant enfin l’attention de tout le monde, et qu’il se vautra par terre, pendant que Lily râlait très distinctement en pleurant son chocolat ainsi gaspillé. Et dans la grande salle, on entendit d’un coup des sifflets, des applaudissements, comme pour les remercier d’offrir à tout le monde un petit spectacle avant d’aller se faire chier en cours. Pauvres amours. Malgré cela, le spectacle ne fut pas du goût de tout le monde, puisqu’un prof s’avança brusquement vers eux, fatigué et ennuyé de devoir jouer au flic.

« Potter et Bielova, vous avez une retenue. »
« Hey, mais c’est lui qui a commencé ! »
« N’aggravez pas votre cas, mademoiselle. Suivez-moi, tous les deux. »

Poussant un soupir excédé parfaitement audible, Lily termina son jus d’orange en hâte et se leva pour suivre le prof, ne se gênant pas pour fusiller le russe du regard. L’autre n’en menait pas large, brûlé par le chocolat brûlant, et il ne semblait pas apprécier l’odeur. Bien fait pour sa sale gueule. Quand ils arrivèrent à la salle des punitions, le prof ouvrit la porte d’un coup de baguette, alla s’entretenir avec le concierge qui surveillait déjà une dizaine d’élèves en retenue. Et parmi eux … Albus Severus Potter. Mon Dieu, mais qu’avait encore fait son crétin de frère pour être collé ? Envoyée au premier rang, Lily ne se gêna pas pour aller s’asseoir à côté de son beau gosse de frère, au grand dam des demoiselles qui gloussaient silencieusement en le regardant et en bavant sur leurs copies. Oui, et bah c’est mon frère, mesdemoiselles, c’est moi qui vais m’asseoir à côté de lui. Sortant ses affaires à contrecoeur, elle sortit une plume d’aigle et un encrier, ainsi qu’une copie, pour commencer à écrire la phrase qui allait rythmer ses deux prochaines heures. Je ne dois pas faire de scandale dans la grande salle alors que je devrai faire respecter l’autorité de par mon poste de préfète de maison. Tssssk. Pouvaient pas prendre plus court non ?! Connard de russe.

« Et toi, tu es là pour quoi, tu as essayé de piquer l’épée de Gryffondor dans le bureau de notre directrice bien-aimée ? »

Quoiqu’en fait ça n’étonnerait pas du tout Lily qu’il ait essayé, elle-même y serait allé si on lui avait balancé un pari pareil. Toujours à voix basse, sans se tourner vers son frère, elle reprit avec une pointe d’ironie.

« Ou alors, tu as essayé d’impressionner Alice Londubat et tu t’es fait lamentablement choper comme de la bleusaille … »

Et hop, le petit coup de coude complice. Juste avant qu’elle ne tourne la tête vers Mikhaïl qui la fusillait du regard, et qui préféra abdiquer face à l’hostilité palpable de la jeune rouquine Potter. Retournant à sa punition, elle écrivit quelques lignes de plus en faisant la gueule, avant de reprendre la parole sur le même ton.

« En tout cas, moi, j’ai envoyé un coup de poing dans le nez de ce roskove, puis du chocolat brûlant quand il a essayé de me mettre une beigne. Celui-là, si je le chope, je fais des cordes de harpe avec ses boyaux. »

[Age RPG :]

Lily L. Potter && Albus S. Potter

« Tu fais une de ces gueules, Potter, ça fait peur à voir. »
« Oh, ta gueule, roskove de merde. »
« C’est ton truc punk qui te met dans des états pareils ? Ou le renvoi de ma traînée de sœur ? »

BLAM. Coup de poing dans le nez.
Aleera renvoyée. Oui, ça c’est une idée qui trottait continuellement dans la tête de notre petite Lily, prête à lancer la révolution pour faire revenir son amie. Et la révolution, elle allait arriver. Ayant passé quasiment la nuit entière avec une Meghan aussi loqueteuse qu’elle, Lily Potter avait ourdi son plan machiavélique dans l’ombre des couloirs. Le pire étant, c’est que quand elle se faisait choper, eh bien … Il ne lui arrivait rien. Ca, c’est du nouveau pour la rouquine, habituée à raser les murs et emprunter des passages secrets quand elle joue les filles nocturnes de l’air. Là, rien. Les préfets qui la croisaient la saluaient poliment et lui demandaient si elle n’avait pas entendu du bruit, tout ça, ah tu vas patrouiller dans les cachots, quelle excellente idée, quant à moi je vais faire ma ronde dans les tours, sait-on jamais. Oui c’est très étrange, la vie de préfète, pour une demoiselle comme Lily plus habituée à gueuler contre le gouvernement en place. Qu’attendait-elle, la directrice, en refilant un poste de préfète à Lily ? Que cette dernière se mette en quatre pour le garder, et qu’elle devienne un parfait toutou ? Eh, on parle d’une Potter là, s’il vous plaît. Et puis, tout le monde n’est pas comme Roxanne, qui bien que gentille avec sa jeune cousine, restait une sacrée pétasse accro au pouvoir. Enfin bref, ce matin-là, Lily s’était couchée vers quatre heures pour se lever à sept heures trente, et donc elle était complètement, mais alors complètement … A la ramasse. Larguée. A ramasser avec une petite cuillère. A distribuer équitablement entre tous les membres de sa famille, sans oublier son Nathan. Nathan qui, d’ailleurs, n’était pas à table … Bah, il ne s’est pas réveillé quoi. Lily se vautra donc comme une grosse … Comme un gros caca boudin à la table des Serpentard, répondant misérablement au salut d’Hugo. Elle fut rapidement rejointe par Miranda, et Mikhaïl, le dégénéré de frère d’Aleera, s’installa en face d’elles, et commença à chercher des noises à Lily. Ce ne fut que lorsqu’il commença à s’en prendre à Nathan et Aleera qu’elle daigna s’intéresser à lui, en lui collant vivement son poing dans le nez, ce qui le fit chuter du siège et s’écrouler au sol comme un gros tas de … Caca.

« Il semblerait que la supposée élégance bourgeoise des sangs-purs ait omise de se pencher sur ton berceau, petit con. Alors maintenant, il va bien m’écouter le roskove, parce que je ne le répèterai pas. Je ne suis pas d’humeur à me prendre la tête avec un déchet ambulant, ce que tu sembles être autant par le physique que par le psychique, alors pour reprendre une réplique cinématographique, il faudrait que tu fasses comme dans l’infanterie, et que tu te tires ailleurs, dégénéré consanguin. »

Pas de réaction de la part des Serpentard. Quelques Gryffondor regardaient la scène d’un air intéressé, les Poufsouffle lorgnaient aussi, et les Serdaigle avaient l’air de véritables blasés de la vie. Etouffant un bâillement, Lily occulta complètement le jeune russe qui se relevait, pour attraper le chocolat chaud, s’en servir un grand bol, et poser ses mains sur le réceptacle pour les réchauffer. Nathan le nounours en peluche aurait été plus utile … Mais il dort encore, le coquin. Se tournant vers Miranda qui discutait avec un septième année, elle se mêla à leur conversation sur le Quidditch, et commença à balancer ses pronostics sur la possible victoire des Canons sur les Faucons, puis des Harpies sur les Canons. Hey, observez la pro, mes loulous. Malgré cela, le consanguin qui servait de frangin à sa meilleure amie ne semblait pas en avoir eu assez, puisqu’il tapa des poings sur la table pour attirer son attention, qu’elle lui accorda avec un soupir méprisant. En continuant de se chauffer les mains sur le bol brûlant.

« Tu te crois fine, Potter, avec tes petites histoires d’armée ? Si je m’y engageais, la première chose que je ferais serait de purifier cette planète … »
« Ou récurer les chiottes des gradés à coup de langue, roskove. T’es aussi drôle qu'un toit ouvrant sur un sous-marin. »

Et hop. Prise d’un instinct de conservation, elle réagit au moment exact où il commençait à escalader la table pour lui coller une beigne en … Lui balançant le contenu du bol sur la tête. Le chocolat bouillant ne parut pas lui faire plaisir, puisqu’il recula en gueulant, attirant enfin l’attention de tout le monde, et qu’il se vautra par terre, pendant que Lily râlait très distinctement en pleurant son chocolat ainsi gaspillé. Et dans la grande salle, on entendit d’un coup des sifflets, des applaudissements, comme pour les remercier d’offrir à tout le monde un petit spectacle avant d’aller se faire chier en cours. Pauvres amours. Malgré cela, le spectacle ne fut pas du goût de tout le monde, puisqu’un prof s’avança brusquement vers eux, fatigué et ennuyé de devoir jouer au flic.

« Potter et Bielova, vous avez une retenue. »
« Hey, mais c’est lui qui a commencé ! »
« N’aggravez pas votre cas, mademoiselle. Suivez-moi, tous les deux. »

Poussant un soupir excédé parfaitement audible, Lily termina son jus d’orange en hâte et se leva pour suivre le prof, ne se gênant pas pour fusiller le russe du regard. L’autre n’en menait pas large, brûlé par le chocolat brûlant, et il ne semblait pas apprécier l’odeur. Bien fait pour sa sale gueule. Quand ils arrivèrent à la salle des punitions, le prof ouvrit la porte d’un coup de baguette, alla s’entretenir avec le concierge qui surveillait déjà une dizaine d’élèves en retenue. Et parmi eux … Albus Severus Potter. Mon Dieu, mais qu’avait encore fait son crétin de frère pour être collé ? Envoyée au premier rang, Lily ne se gêna pas pour aller s’asseoir à côté de son beau gosse de frère, au grand dam des demoiselles qui gloussaient silencieusement en le regardant et en bavant sur leurs copies. Oui, et bah c’est mon frère, mesdemoiselles, c’est moi qui vais m’asseoir à côté de lui. Sortant ses affaires à contrecoeur, elle sortit une plume d’aigle et un encrier, ainsi qu’une copie, pour commencer à écrire la phrase qui allait rythmer ses deux prochaines heures. Je ne dois pas faire de scandale dans la grande salle alors que je devrai faire respecter l’autorité de par mon poste de préfète de maison. Tssssk. Pouvaient pas prendre plus court non ?! Connard de russe.

« Et toi, tu es là pour quoi, tu as essayé de piquer l’épée de Gryffondor dans le bureau de notre directrice bien-aimée ? »

Quoiqu’en fait ça n’étonnerait pas du tout Lily qu’il ait essayé, elle-même y serait allé si on lui avait balancé un pari pareil. Toujours à voix basse, sans se tourner vers son frère, elle reprit avec une pointe d’ironie.

« Ou alors, tu as essayé d’impressionner Alice Londubat et tu t’es fait lamentablement choper comme de la bleusaille … »

Et hop, le petit coup de coude complice. Juste avant qu’elle ne tourne la tête vers Mikhaïl qui la fusillait du regard, et qui préféra abdiquer face à l’hostilité palpable de la jeune rouquine Potter. Retournant à sa punition, elle écrivit quelques lignes de plus en faisant la gueule, avant de reprendre la parole sur le même ton.

« En tout cas, moi, j’ai envoyé un coup de poing dans le nez de ce roskove, puis du chocolat brûlant quand il a essayé de me mettre une beigne. Celui-là, si je le chope, je fais des cordes de harpe avec ses boyaux. »

[Sang :]

Lily L. Potter && Albus S. Potter

« Tu fais une de ces gueules, Potter, ça fait peur à voir. »
« Oh, ta gueule, roskove de merde. »
« C’est ton truc punk qui te met dans des états pareils ? Ou le renvoi de ma traînée de sœur ? »

BLAM. Coup de poing dans le nez.
Aleera renvoyée. Oui, ça c’est une idée qui trottait continuellement dans la tête de notre petite Lily, prête à lancer la révolution pour faire revenir son amie. Et la révolution, elle allait arriver. Ayant passé quasiment la nuit entière avec une Meghan aussi loqueteuse qu’elle, Lily Potter avait ourdi son plan machiavélique dans l’ombre des couloirs. Le pire étant, c’est que quand elle se faisait choper, eh bien … Il ne lui arrivait rien. Ca, c’est du nouveau pour la rouquine, habituée à raser les murs et emprunter des passages secrets quand elle joue les filles nocturnes de l’air. Là, rien. Les préfets qui la croisaient la saluaient poliment et lui demandaient si elle n’avait pas entendu du bruit, tout ça, ah tu vas patrouiller dans les cachots, quelle excellente idée, quant à moi je vais faire ma ronde dans les tours, sait-on jamais. Oui c’est très étrange, la vie de préfète, pour une demoiselle comme Lily plus habituée à gueuler contre le gouvernement en place. Qu’attendait-elle, la directrice, en refilant un poste de préfète à Lily ? Que cette dernière se mette en quatre pour le garder, et qu’elle devienne un parfait toutou ? Eh, on parle d’une Potter là, s’il vous plaît. Et puis, tout le monde n’est pas comme Roxanne, qui bien que gentille avec sa jeune cousine, restait une sacrée pétasse accro au pouvoir. Enfin bref, ce matin-là, Lily s’était couchée vers quatre heures pour se lever à sept heures trente, et donc elle était complètement, mais alors complètement … A la ramasse. Larguée. A ramasser avec une petite cuillère. A distribuer équitablement entre tous les membres de sa famille, sans oublier son Nathan. Nathan qui, d’ailleurs, n’était pas à table … Bah, il ne s’est pas réveillé quoi. Lily se vautra donc comme une grosse … Comme un gros caca boudin à la table des Serpentard, répondant misérablement au salut d’Hugo. Elle fut rapidement rejointe par Miranda, et Mikhaïl, le dégénéré de frère d’Aleera, s’installa en face d’elles, et commença à chercher des noises à Lily. Ce ne fut que lorsqu’il commença à s’en prendre à Nathan et Aleera qu’elle daigna s’intéresser à lui, en lui collant vivement son poing dans le nez, ce qui le fit chuter du siège et s’écrouler au sol comme un gros tas de … Caca.

« Il semblerait que la supposée élégance bourgeoise des sangs-purs ait omise de se pencher sur ton berceau, petit con. Alors maintenant, il va bien m’écouter le roskove, parce que je ne le répèterai pas. Je ne suis pas d’humeur à me prendre la tête avec un déchet ambulant, ce que tu sembles être autant par le physique que par le psychique, alors pour reprendre une réplique cinématographique, il faudrait que tu fasses comme dans l’infanterie, et que tu te tires ailleurs, dégénéré consanguin. »

Pas de réaction de la part des Serpentard. Quelques Gryffondor regardaient la scène d’un air intéressé, les Poufsouffle lorgnaient aussi, et les Serdaigle avaient l’air de véritables blasés de la vie. Etouffant un bâillement, Lily occulta complètement le jeune russe qui se relevait, pour attraper le chocolat chaud, s’en servir un grand bol, et poser ses mains sur le réceptacle pour les réchauffer. Nathan le nounours en peluche aurait été plus utile … Mais il dort encore, le coquin. Se tournant vers Miranda qui discutait avec un septième année, elle se mêla à leur conversation sur le Quidditch, et commença à balancer ses pronostics sur la possible victoire des Canons sur les Faucons, puis des Harpies sur les Canons. Hey, observez la pro, mes loulous. Malgré cela, le consanguin qui servait de frangin à sa meilleure amie ne semblait pas en avoir eu assez, puisqu’il tapa des poings sur la table pour attirer son attention, qu’elle lui accorda avec un soupir méprisant. En continuant de se chauffer les mains sur le bol brûlant.

« Tu te crois fine, Potter, avec tes petites histoires d’armée ? Si je m’y engageais, la première chose que je ferais serait de purifier cette planète … »
« Ou récurer les chiottes des gradés à coup de langue, roskove. T’es aussi drôle qu'un toit ouvrant sur un sous-marin. »

Et hop. Prise d’un instinct de conservation, elle réagit au moment exact où il commençait à escalader la table pour lui coller une beigne en … Lui balançant le contenu du bol sur la tête. Le chocolat bouillant ne parut pas lui faire plaisir, puisqu’il recula en gueulant, attirant enfin l’attention de tout le monde, et qu’il se vautra par terre, pendant que Lily râlait très distinctement en pleurant son chocolat ainsi gaspillé. Et dans la grande salle, on entendit d’un coup des sifflets, des applaudissements, comme pour les remercier d’offrir à tout le monde un petit spectacle avant d’aller se faire chier en cours. Pauvres amours. Malgré cela, le spectacle ne fut pas du goût de tout le monde, puisqu’un prof s’avança brusquement vers eux, fatigué et ennuyé de devoir jouer au flic.

« Potter et Bielova, vous avez une retenue. »
« Hey, mais c’est lui qui a commencé ! »
« N’aggravez pas votre cas, mademoiselle. Suivez-moi, tous les deux. »

Poussant un soupir excédé parfaitement audible, Lily termina son jus d’orange en hâte et se leva pour suivre le prof, ne se gênant pas pour fusiller le russe du regard. L’autre n’en menait pas large, brûlé par le chocolat brûlant, et il ne semblait pas apprécier l’odeur. Bien fait pour sa sale gueule. Quand ils arrivèrent à la salle des punitions, le prof ouvrit la porte d’un coup de baguette, alla s’entretenir avec le concierge qui surveillait déjà une dizaine d’élèves en retenue. Et parmi eux … Albus Severus Potter. Mon Dieu, mais qu’avait encore fait son crétin de frère pour être collé ? Envoyée au premier rang, Lily ne se gêna pas pour aller s’asseoir à côté de son beau gosse de frère, au grand dam des demoiselles qui gloussaient silencieusement en le regardant et en bavant sur leurs copies. Oui, et bah c’est mon frère, mesdemoiselles, c’est moi qui vais m’asseoir à côté de lui. Sortant ses affaires à contrecoeur, elle sortit une plume d’aigle et un encrier, ainsi qu’une copie, pour commencer à écrire la phrase qui allait rythmer ses deux prochaines heures. Je ne dois pas faire de scandale dans la grande salle alors que je devrai faire respecter l’autorité de par mon poste de préfète de maison. Tssssk. Pouvaient pas prendre plus court non ?! Connard de russe.

« Et toi, tu es là pour quoi, tu as essayé de piquer l’épée de Gryffondor dans le bureau de notre directrice bien-aimée ? »

Quoiqu’en fait ça n’étonnerait pas du tout Lily qu’il ait essayé, elle-même y serait allé si on lui avait balancé un pari pareil. Toujours à voix basse, sans se tourner vers son frère, elle reprit avec une pointe d’ironie.

« Ou alors, tu as essayé d’impressionner Alice Londubat et tu t’es fait lamentablement choper comme de la bleusaille … »

Et hop, le petit coup de coude complice. Juste avant qu’elle ne tourne la tête vers Mikhaïl qui la fusillait du regard, et qui préféra abdiquer face à l’hostilité palpable de la jeune rouquine Potter. Retournant à sa punition, elle écrivit quelques lignes de plus en faisant la gueule, avant de reprendre la parole sur le même ton.

« En tout cas, moi, j’ai envoyé un coup de poing dans le nez de ce roskove, puis du chocolat brûlant quand il a essayé de me mettre une beigne. Celui-là, si je le chope, je fais des cordes de harpe avec ses boyaux. »

[Camp :]

Lily L. Potter && Albus S. Potter

« Tu fais une de ces gueules, Potter, ça fait peur à voir. »
« Oh, ta gueule, roskove de merde. »
« C’est ton truc punk qui te met dans des états pareils ? Ou le renvoi de ma traînée de sœur ? »

BLAM. Coup de poing dans le nez.
Aleera renvoyée. Oui, ça c’est une idée qui trottait continuellement dans la tête de notre petite Lily, prête à lancer la révolution pour faire revenir son amie. Et la révolution, elle allait arriver. Ayant passé quasiment la nuit entière avec une Meghan aussi loqueteuse qu’elle, Lily Potter avait ourdi son plan machiavélique dans l’ombre des couloirs. Le pire étant, c’est que quand elle se faisait choper, eh bien … Il ne lui arrivait rien. Ca, c’est du nouveau pour la rouquine, habituée à raser les murs et emprunter des passages secrets quand elle joue les filles nocturnes de l’air. Là, rien. Les préfets qui la croisaient la saluaient poliment et lui demandaient si elle n’avait pas entendu du bruit, tout ça, ah tu vas patrouiller dans les cachots, quelle excellente idée, quant à moi je vais faire ma ronde dans les tours, sait-on jamais. Oui c’est très étrange, la vie de préfète, pour une demoiselle comme Lily plus habituée à gueuler contre le gouvernement en place. Qu’attendait-elle, la directrice, en refilant un poste de préfète à Lily ? Que cette dernière se mette en quatre pour le garder, et qu’elle devienne un parfait toutou ? Eh, on parle d’une Potter là, s’il vous plaît. Et puis, tout le monde n’est pas comme Roxanne, qui bien que gentille avec sa jeune cousine, restait une sacrée pétasse accro au pouvoir. Enfin bref, ce matin-là, Lily s’était couchée vers quatre heures pour se lever à sept heures trente, et donc elle était complètement, mais alors complètement … A la ramasse. Larguée. A ramasser avec une petite cuillère. A distribuer équitablement entre tous les membres de sa famille, sans oublier son Nathan. Nathan qui, d’ailleurs, n’était pas à table … Bah, il ne s’est pas réveillé quoi. Lily se vautra donc comme une grosse … Comme un gros caca boudin à la table des Serpentard, répondant misérablement au salut d’Hugo. Elle fut rapidement rejointe par Miranda, et Mikhaïl, le dégénéré de frère d’Aleera, s’installa en face d’elles, et commença à chercher des noises à Lily. Ce ne fut que lorsqu’il commença à s’en prendre à Nathan et Aleera qu’elle daigna s’intéresser à lui, en lui collant vivement son poing dans le nez, ce qui le fit chuter du siège et s’écrouler au sol comme un gros tas de … Caca.

« Il semblerait que la supposée élégance bourgeoise des sangs-purs ait omise de se pencher sur ton berceau, petit con. Alors maintenant, il va bien m’écouter le roskove, parce que je ne le répèterai pas. Je ne suis pas d’humeur à me prendre la tête avec un déchet ambulant, ce que tu sembles être autant par le physique que par le psychique, alors pour reprendre une réplique cinématographique, il faudrait que tu fasses comme dans l’infanterie, et que tu te tires ailleurs, dégénéré consanguin. »

Pas de réaction de la part des Serpentard. Quelques Gryffondor regardaient la scène d’un air intéressé, les Poufsouffle lorgnaient aussi, et les Serdaigle avaient l’air de véritables blasés de la vie. Etouffant un bâillement, Lily occulta complètement le jeune russe qui se relevait, pour attraper le chocolat chaud, s’en servir un grand bol, et poser ses mains sur le réceptacle pour les réchauffer. Nathan le nounours en peluche aurait été plus utile … Mais il dort encore, le coquin. Se tournant vers Miranda qui discutait avec un septième année, elle se mêla à leur conversation sur le Quidditch, et commença à balancer ses pronostics sur la possible victoire des Canons sur les Faucons, puis des Harpies sur les Canons. Hey, observez la pro, mes loulous. Malgré cela, le consanguin qui servait de frangin à sa meilleure amie ne semblait pas en avoir eu assez, puisqu’il tapa des poings sur la table pour attirer son attention, qu’elle lui accorda avec un soupir méprisant. En continuant de se chauffer les mains sur le bol brûlant.

« Tu te crois fine, Potter, avec tes petites histoires d’armée ? Si je m’y engageais, la première chose que je ferais serait de purifier cette planète … »
« Ou récurer les chiottes des gradés à coup de langue, roskove. T’es aussi drôle qu'un toit ouvrant sur un sous-marin. »

Et hop. Prise d’un instinct de conservation, elle réagit au moment exact où il commençait à escalader la table pour lui coller une beigne en … Lui balançant le contenu du bol sur la tête. Le chocolat bouillant ne parut pas lui faire plaisir, puisqu’il recula en gueulant, attirant enfin l’attention de tout le monde, et qu’il se vautra par terre, pendant que Lily râlait très distinctement en pleurant son chocolat ainsi gaspillé. Et dans la grande salle, on entendit d’un coup des sifflets, des applaudissements, comme pour les remercier d’offrir à tout le monde un petit spectacle avant d’aller se faire chier en cours. Pauvres amours. Malgré cela, le spectacle ne fut pas du goût de tout le monde, puisqu’un prof s’avança brusquement vers eux, fatigué et ennuyé de devoir jouer au flic.

« Potter et Bielova, vous avez une retenue. »
« Hey, mais c’est lui qui a commencé ! »
« N’aggravez pas votre cas, mademoiselle. Suivez-moi, tous les deux. »

Poussant un soupir excédé parfaitement audible, Lily termina son jus d’orange en hâte et se leva pour suivre le prof, ne se gênant pas pour fusiller le russe du regard. L’autre n’en menait pas large, brûlé par le chocolat brûlant, et il ne semblait pas apprécier l’odeur. Bien fait pour sa sale gueule. Quand ils arrivèrent à la salle des punitions, le prof ouvrit la porte d’un coup de baguette, alla s’entretenir avec le concierge qui surveillait déjà une dizaine d’élèves en retenue. Et parmi eux … Albus Severus Potter. Mon Dieu, mais qu’avait encore fait son crétin de frère pour être collé ? Envoyée au premier rang, Lily ne se gêna pas pour aller s’asseoir à côté de son beau gosse de frère, au grand dam des demoiselles qui gloussaient silencieusement en le regardant et en bavant sur leurs copies. Oui, et bah c’est mon frère, mesdemoiselles, c’est moi qui vais m’asseoir à côté de lui. Sortant ses affaires à contrecoeur, elle sortit une plume d’aigle et un encrier, ainsi qu’une copie, pour commencer à écrire la phrase qui allait rythmer ses deux prochaines heures. Je ne dois pas faire de scandale dans la grande salle alors que je devrai faire respecter l’autorité de par mon poste de préfète de maison. Tssssk. Pouvaient pas prendre plus court non ?! Connard de russe.

« Et toi, tu es là pour quoi, tu as essayé de piquer l’épée de Gryffondor dans le bureau de notre directrice bien-aimée ? »

Quoiqu’en fait ça n’étonnerait pas du tout Lily qu’il ait essayé, elle-même y serait allé si on lui avait balancé un pari pareil. Toujours à voix basse, sans se tourner vers son frère, elle reprit avec une pointe d’ironie.

« Ou alors, tu as essayé d’impressionner Alice Londubat et tu t’es fait lamentablement choper comme de la bleusaille … »

Et hop, le petit coup de coude complice. Juste avant qu’elle ne tourne la tête vers Mikhaïl qui la fusillait du regard, et qui préféra abdiquer face à l’hostilité palpable de la jeune rouquine Potter. Retournant à sa punition, elle écrivit quelques lignes de plus en faisant la gueule, avant de reprendre la parole sur le même ton.

« En tout cas, moi, j’ai envoyé un coup de poing dans le nez de ce roskove, puis du chocolat brûlant quand il a essayé de me mettre une beigne. Celui-là, si je le chope, je fais des cordes de harpe avec ses boyaux. »

[Vie du personnage :]

Lily L. Potter && Albus S. Potter

« Tu fais une de ces gueules, Potter, ça fait peur à voir. »
« Oh, ta gueule, roskove de merde. »
« C’est ton truc punk qui te met dans des états pareils ? Ou le renvoi de ma traînée de sœur ? »

BLAM. Coup de poing dans le nez.
Aleera renvoyée. Oui, ça c’est une idée qui trottait continuellement dans la tête de notre petite Lily, prête à lancer la révolution pour faire revenir son amie. Et la révolution, elle allait arriver. Ayant passé quasiment la nuit entière avec une Meghan aussi loqueteuse qu’elle, Lily Potter avait ourdi son plan machiavélique dans l’ombre des couloirs. Le pire étant, c’est que quand elle se faisait choper, eh bien … Il ne lui arrivait rien. Ca, c’est du nouveau pour la rouquine, habituée à raser les murs et emprunter des passages secrets quand elle joue les filles nocturnes de l’air. Là, rien. Les préfets qui la croisaient la saluaient poliment et lui demandaient si elle n’avait pas entendu du bruit, tout ça, ah tu vas patrouiller dans les cachots, quelle excellente idée, quant à moi je vais faire ma ronde dans les tours, sait-on jamais. Oui c’est très étrange, la vie de préfète, pour une demoiselle comme Lily plus habituée à gueuler contre le gouvernement en place. Qu’attendait-elle, la directrice, en refilant un poste de préfète à Lily ? Que cette dernière se mette en quatre pour le garder, et qu’elle devienne un parfait toutou ? Eh, on parle d’une Potter là, s’il vous plaît. Et puis, tout le monde n’est pas comme Roxanne, qui bien que gentille avec sa jeune cousine, restait une sacrée pétasse accro au pouvoir. Enfin bref, ce matin-là, Lily s’était couchée vers quatre heures pour se lever à sept heures trente, et donc elle était complètement, mais alors complètement … A la ramasse. Larguée. A ramasser avec une petite cuillère. A distribuer équitablement entre tous les membres de sa famille, sans oublier son Nathan. Nathan qui, d’ailleurs, n’était pas à table … Bah, il ne s’est pas réveillé quoi. Lily se vautra donc comme une grosse … Comme un gros caca boudin à la table des Serpentard, répondant misérablement au salut d’Hugo. Elle fut rapidement rejointe par Miranda, et Mikhaïl, le dégénéré de frère d’Aleera, s’installa en face d’elles, et commença à chercher des noises à Lily. Ce ne fut que lorsqu’il commença à s’en prendre à Nathan et Aleera qu’elle daigna s’intéresser à lui, en lui collant vivement son poing dans le nez, ce qui le fit chuter du siège et s’écrouler au sol comme un gros tas de … Caca.

« Il semblerait que la supposée élégance bourgeoise des sangs-purs ait omise de se pencher sur ton berceau, petit con. Alors maintenant, il va bien m’écouter le roskove, parce que je ne le répèterai pas. Je ne suis pas d’humeur à me prendre la tête avec un déchet ambulant, ce que tu sembles être autant par le physique que par le psychique, alors pour reprendre une réplique cinématographique, il faudrait que tu fasses comme dans l’infanterie, et que tu te tires ailleurs, dégénéré consanguin. »

Pas de réaction de la part des Serpentard. Quelques Gryffondor regardaient la scène d’un air intéressé, les Poufsouffle lorgnaient aussi, et les Serdaigle avaient l’air de véritables blasés de la vie. Etouffant un bâillement, Lily occulta complètement le jeune russe qui se relevait, pour attraper le chocolat chaud, s’en servir un grand bol, et poser ses mains sur le réceptacle pour les réchauffer. Nathan le nounours en peluche aurait été plus utile … Mais il dort encore, le coquin. Se tournant vers Miranda qui discutait avec un septième année, elle se mêla à leur conversation sur le Quidditch, et commença à balancer ses pronostics sur la possible victoire des Canons sur les Faucons, puis des Harpies sur les Canons. Hey, observez la pro, mes loulous. Malgré cela, le consanguin qui servait de frangin à sa meilleure amie ne semblait pas en avoir eu assez, puisqu’il tapa des poings sur la table pour attirer son attention, qu’elle lui accorda avec un soupir méprisant. En continuant de se chauffer les mains sur le bol brûlant.

« Tu te crois fine, Potter, avec tes petites histoires d’armée ? Si je m’y engageais, la première chose que je ferais serait de purifier cette planète … »
« Ou récurer les chiottes des gradés à coup de langue, roskove. T’es aussi drôle qu'un toit ouvrant sur un sous-marin. »

Et hop. Prise d’un instinct de conservation, elle réagit au moment exact où il commençait à escalader la table pour lui coller une beigne en … Lui balançant le contenu du bol sur la tête. Le chocolat bouillant ne parut pas lui faire plaisir, puisqu’il recula en gueulant, attirant enfin l’attention de tout le monde, et qu’il se vautra par terre, pendant que Lily râlait très distinctement en pleurant son chocolat ainsi gaspillé. Et dans la grande salle, on entendit d’un coup des sifflets, des applaudissements, comme pour les remercier d’offrir à tout le monde un petit spectacle avant d’aller se faire chier en cours. Pauvres amours. Malgré cela, le spectacle ne fut pas du goût de tout le monde, puisqu’un prof s’avança brusquement vers eux, fatigué et ennuyé de devoir jouer au flic.

« Potter et Bielova, vous avez une retenue. »
« Hey, mais c’est lui qui a commencé ! »
« N’aggravez pas votre cas, mademoiselle. Suivez-moi, tous les deux. »

Poussant un soupir excédé parfaitement audible, Lily termina son jus d’orange en hâte et se leva pour suivre le prof, ne se gênant pas pour fusiller le russe du regard. L’autre n’en menait pas large, brûlé par le chocolat brûlant, et il ne semblait pas apprécier l’odeur. Bien fait pour sa sale gueule. Quand ils arrivèrent à la salle des punitions, le prof ouvrit la porte d’un coup de baguette, alla s’entretenir avec le concierge qui surveillait déjà une dizaine d’élèves en retenue. Et parmi eux … Albus Severus Potter. Mon Dieu, mais qu’avait encore fait son crétin de frère pour être collé ? Envoyée au premier rang, Lily ne se gêna pas pour aller s’asseoir à côté de son beau gosse de frère, au grand dam des demoiselles qui gloussaient silencieusement en le regardant et en bavant sur leurs copies. Oui, et bah c’est mon frère, mesdemoiselles, c’est moi qui vais m’asseoir à côté de lui. Sortant ses affaires à contrecoeur, elle sortit une plume d’aigle et un encrier, ainsi qu’une copie, pour commencer à écrire la phrase qui allait rythmer ses deux prochaines heures. Je ne dois pas faire de scandale dans la grande salle alors que je devrai faire respecter l’autorité de par mon poste de préfète de maison. Tssssk. Pouvaient pas prendre plus court non ?! Connard de russe.

« Et toi, tu es là pour quoi, tu as essayé de piquer l’épée de Gryffondor dans le bureau de notre directrice bien-aimée ? »

Quoiqu’en fait ça n’étonnerait pas du tout Lily qu’il ait essayé, elle-même y serait allé si on lui avait balancé un pari pareil. Toujours à voix basse, sans se tourner vers son frère, elle reprit avec une pointe d’ironie.

« Ou alors, tu as essayé d’impressionner Alice Londubat et tu t’es fait lamentablement choper comme de la bleusaille … »

Et hop, le petit coup de coude complice. Juste avant qu’elle ne tourne la tête vers Mikhaïl qui la fusillait du regard, et qui préféra abdiquer face à l’hostilité palpable de la jeune rouquine Potter. Retournant à sa punition, elle écrivit quelques lignes de plus en faisant la gueule, avant de reprendre la parole sur le même ton.

« En tout cas, moi, j’ai envoyé un coup de poing dans le nez de ce roskove, puis du chocolat brûlant quand il a essayé de me mettre une beigne. Celui-là, si je le chope, je fais des cordes de harpe avec ses boyaux. »

[Truc en plus :]

Lily L. Potter && Albus S. Potter

« Tu fais une de ces gueules, Potter, ça fait peur à voir. »
« Oh, ta gueule, roskove de merde. »
« C’est ton truc punk qui te met dans des états pareils ? Ou le renvoi de ma traînée de sœur ? »

BLAM. Coup de poing dans le nez.
Aleera renvoyée. Oui, ça c’est une idée qui trottait continuellement dans la tête de notre petite Lily, prête à lancer la révolution pour faire revenir son amie. Et la révolution, elle allait arriver. Ayant passé quasiment la nuit entière avec une Meghan aussi loqueteuse qu’elle, Lily Potter avait ourdi son plan machiavélique dans l’ombre des couloirs. Le pire étant, c’est que quand elle se faisait choper, eh bien … Il ne lui arrivait rien. Ca, c’est du nouveau pour la rouquine, habituée à raser les murs et emprunter des passages secrets quand elle joue les filles nocturnes de l’air. Là, rien. Les préfets qui la croisaient la saluaient poliment et lui demandaient si elle n’avait pas entendu du bruit, tout ça, ah tu vas patrouiller dans les cachots, quelle excellente idée, quant à moi je vais faire ma ronde dans les tours, sait-on jamais. Oui c’est très étrange, la vie de préfète, pour une demoiselle comme Lily plus habituée à gueuler contre le gouvernement en place. Qu’attendait-elle, la directrice, en refilant un poste de préfète à Lily ? Que cette dernière se mette en quatre pour le garder, et qu’elle devienne un parfait toutou ? Eh, on parle d’une Potter là, s’il vous plaît. Et puis, tout le monde n’est pas comme Roxanne, qui bien que gentille avec sa jeune cousine, restait une sacrée pétasse accro au pouvoir. Enfin bref, ce matin-là, Lily s’était couchée vers quatre heures pour se lever à sept heures trente, et donc elle était complètement, mais alors complètement … A la ramasse. Larguée. A ramasser avec une petite cuillère. A distribuer équitablement entre tous les membres de sa famille, sans oublier son Nathan. Nathan qui, d’ailleurs, n’était pas à table … Bah, il ne s’est pas réveillé quoi. Lily se vautra donc comme une grosse … Comme un gros caca boudin à la table des Serpentard, répondant misérablement au salut d’Hugo. Elle fut rapidement rejointe par Miranda, et Mikhaïl, le dégénéré de frère d’Aleera, s’installa en face d’elles, et commença à chercher des noises à Lily. Ce ne fut que lorsqu’il commença à s’en prendre à Nathan et Aleera qu’elle daigna s’intéresser à lui, en lui collant vivement son poing dans le nez, ce qui le fit chuter du siège et s’écrouler au sol comme un gros tas de … Caca.

« Il semblerait que la supposée élégance bourgeoise des sangs-purs ait omise de se pencher sur ton berceau, petit con. Alors maintenant, il va bien m’écouter le roskove, parce que je ne le répèterai pas. Je ne suis pas d’humeur à me prendre la tête avec un déchet ambulant, ce que tu sembles être autant par le physique que par le psychique, alors pour reprendre une réplique cinématographique, il faudrait que tu fasses comme dans l’infanterie, et que tu te tires ailleurs, dégénéré consanguin. »

Pas de réaction de la part des Serpentard. Quelques Gryffondor regardaient la scène d’un air intéressé, les Poufsouffle lorgnaient aussi, et les Serdaigle avaient l’air de véritables blasés de la vie. Etouffant un bâillement, Lily occulta complètement le jeune russe qui se relevait, pour attraper le chocolat chaud, s’en servir un grand bol, et poser ses mains sur le réceptacle pour les réchauffer. Nathan le nounours en peluche aurait été plus utile … Mais il dort encore, le coquin. Se tournant vers Miranda qui discutait avec un septième année, elle se mêla à leur conversation sur le Quidditch, et commença à balancer ses pronostics sur la possible victoire des Canons sur les Faucons, puis des Harpies sur les Canons. Hey, observez la pro, mes loulous. Malgré cela, le consanguin qui servait de frangin à sa meilleure amie ne semblait pas en avoir eu assez, puisqu’il tapa des poings sur la table pour attirer son attention, qu’elle lui accorda avec un soupir méprisant. En continuant de se chauffer les mains sur le bol brûlant.

« Tu te crois fine, Potter, avec tes petites histoires d’armée ? Si je m’y engageais, la première chose que je ferais serait de purifier cette planète … »
« Ou récurer les chiottes des gradés à coup de langue, roskove. T’es aussi drôle qu'un toit ouvrant sur un sous-marin. »

Et hop. Prise d’un instinct de conservation, elle réagit au moment exact où il commençait à escalader la table pour lui coller une beigne en … Lui balançant le contenu du bol sur la tête. Le chocolat bouillant ne parut pas lui faire plaisir, puisqu’il recula en gueulant, attirant enfin l’attention de tout le monde, et qu’il se vautra par terre, pendant que Lily râlait très distinctement en pleurant son chocolat ainsi gaspillé. Et dans la grande salle, on entendit d’un coup des sifflets, des applaudissements, comme pour les remercier d’offrir à tout le monde un petit spectacle avant d’aller se faire chier en cours. Pauvres amours. Malgré cela, le spectacle ne fut pas du goût de tout le monde, puisqu’un prof s’avança brusquement vers eux, fatigué et ennuyé de devoir jouer au flic.

« Potter et Bielova, vous avez une retenue. »
« Hey, mais c’est lui qui a commencé ! »
« N’aggravez pas votre cas, mademoiselle. Suivez-moi, tous les deux. »

Poussant un soupir excédé parfaitement audible, Lily termina son jus d’orange en hâte et se leva pour suivre le prof, ne se gênant pas pour fusiller le russe du regard. L’autre n’en menait pas large, brûlé par le chocolat brûlant, et il ne semblait pas apprécier l’odeur. Bien fait pour sa sale gueule. Quand ils arrivèrent à la salle des punitions, le prof ouvrit la porte d’un coup de baguette, alla s’entretenir avec le concierge qui surveillait déjà une dizaine d’élèves en retenue. Et parmi eux … Albus Severus Potter. Mon Dieu, mais qu’avait encore fait son crétin de frère pour être collé ? Envoyée au premier rang, Lily ne se gêna pas pour aller s’asseoir à côté de son beau gosse de frère, au grand dam des demoiselles qui gloussaient silencieusement en le regardant et en bavant sur leurs copies. Oui, et bah c’est mon frère, mesdemoiselles, c’est moi qui vais m’asseoir à côté de lui. Sortant ses affaires à contrecoeur, elle sortit une plume d’aigle et un encrier, ainsi qu’une copie, pour commencer à écrire la phrase qui allait rythmer ses deux prochaines heures. Je ne dois pas faire de scandale dans la grande salle alors que je devrai faire respecter l’autorité de par mon poste de préfète de maison. Tssssk. Pouvaient pas prendre plus court non ?! Connard de russe.

« Et toi, tu es là pour quoi, tu as essayé de piquer l’épée de Gryffondor dans le bureau de notre directrice bien-aimée ? »

Quoiqu’en fait ça n’étonnerait pas du tout Lily qu’il ait essayé, elle-même y serait allé si on lui avait balancé un pari pareil. Toujours à voix basse, sans se tourner vers son frère, elle reprit avec une pointe d’ironie.

« Ou alors, tu as essayé d’impressionner Alice Londubat et tu t’es fait lamentablement choper comme de la bleusaille … »

Et hop, le petit coup de coude complice. Juste avant qu’elle ne tourne la tête vers Mikhaïl qui la fusillait du regard, et qui préféra abdiquer face à l’hostilité palpable de la jeune rouquine Potter. Retournant à sa punition, elle écrivit quelques lignes de plus en faisant la gueule, avant de reprendre la parole sur le même ton.

« En tout cas, moi, j’ai envoyé un coup de poing dans le nez de ce roskove, puis du chocolat brûlant quand il a essayé de me mettre une beigne. Celui-là, si je le chope, je fais des cordes de harpe avec ses boyaux. »

[Doubles-Comptes :]

Lily L. Potter && Albus S. Potter

« Tu fais une de ces gueules, Potter, ça fait peur à voir. »
« Oh, ta gueule, roskove de merde. »
« C’est ton truc punk qui te met dans des états pareils ? Ou le renvoi de ma traînée de sœur ? »

BLAM. Coup de poing dans le nez.
Aleera renvoyée. Oui, ça c’est une idée qui trottait continuellement dans la tête de notre petite Lily, prête à lancer la révolution pour faire revenir son amie. Et la révolution, elle allait arriver. Ayant passé quasiment la nuit entière avec une Meghan aussi loqueteuse qu’elle, Lily Potter avait ourdi son plan machiavélique dans l’ombre des couloirs. Le pire étant, c’est que quand elle se faisait choper, eh bien … Il ne lui arrivait rien. Ca, c’est du nouveau pour la rouquine, habituée à raser les murs et emprunter des passages secrets quand elle joue les filles nocturnes de l’air. Là, rien. Les préfets qui la croisaient la saluaient poliment et lui demandaient si elle n’avait pas entendu du bruit, tout ça, ah tu vas patrouiller dans les cachots, quelle excellente idée, quant à moi je vais faire ma ronde dans les tours, sait-on jamais. Oui c’est très étrange, la vie de préfète, pour une demoiselle comme Lily plus habituée à gueuler contre le gouvernement en place. Qu’attendait-elle, la directrice, en refilant un poste de préfète à Lily ? Que cette dernière se mette en quatre pour le garder, et qu’elle devienne un parfait toutou ? Eh, on parle d’une Potter là, s’il vous plaît. Et puis, tout le monde n’est pas comme Roxanne, qui bien que gentille avec sa jeune cousine, restait une sacrée pétasse accro au pouvoir. Enfin bref, ce matin-là, Lily s’était couchée vers quatre heures pour se lever à sept heures trente, et donc elle était complètement, mais alors complètement … A la ramasse. Larguée. A ramasser avec une petite cuillère. A distribuer équitablement entre tous les membres de sa famille, sans oublier son Nathan. Nathan qui, d’ailleurs, n’était pas à table … Bah, il ne s’est pas réveillé quoi. Lily se vautra donc comme une grosse … Comme un gros caca boudin à la table des Serpentard, répondant misérablement au salut d’Hugo. Elle fut rapidement rejointe par Miranda, et Mikhaïl, le dégénéré de frère d’Aleera, s’installa en face d’elles, et commença à chercher des noises à Lily. Ce ne fut que lorsqu’il commença à s’en prendre à Nathan et Aleera qu’elle daigna s’intéresser à lui, en lui collant vivement son poing dans le nez, ce qui le fit chuter du siège et s’écrouler au sol comme un gros tas de … Caca.

« Il semblerait que la supposée élégance bourgeoise des sangs-purs ait omise de se pencher sur ton berceau, petit con. Alors maintenant, il va bien m’écouter le roskove, parce que je ne le répèterai pas. Je ne suis pas d’humeur à me prendre la tête avec un déchet ambulant, ce que tu sembles être autant par le physique que par le psychique, alors pour reprendre une réplique cinématographique, il faudrait que tu fasses comme dans l’infanterie, et que tu te tires ailleurs, dégénéré consanguin. »

Pas de réaction de la part des Serpentard. Quelques Gryffondor regardaient la scène d’un air intéressé, les Poufsouffle lorgnaient aussi, et les Serdaigle avaient l’air de véritables blasés de la vie. Etouffant un bâillement, Lily occulta complètement le jeune russe qui se relevait, pour attraper le chocolat chaud, s’en servir un grand bol, et poser ses mains sur le réceptacle pour les réchauffer. Nathan le nounours en peluche aurait été plus utile … Mais il dort encore, le coquin. Se tournant vers Miranda qui discutait avec un septième année, elle se mêla à leur conversation sur le Quidditch, et commença à balancer ses pronostics sur la possible victoire des Canons sur les Faucons, puis des Harpies sur les Canons. Hey, observez la pro, mes loulous. Malgré cela, le consanguin qui servait de frangin à sa meilleure amie ne semblait pas en avoir eu assez, puisqu’il tapa des poings sur la table pour attirer son attention, qu’elle lui accorda avec un soupir méprisant. En continuant de se chauffer les mains sur le bol brûlant.

« Tu te crois fine, Potter, avec tes petites histoires d’armée ? Si je m’y engageais, la première chose que je ferais serait de purifier cette planète … »
« Ou récurer les chiottes des gradés à coup de langue, roskove. T’es aussi drôle qu'un toit ouvrant sur un sous-marin. »

Et hop. Prise d’un instinct de conservation, elle réagit au moment exact où il commençait à escalader la table pour lui coller une beigne en … Lui balançant le contenu du bol sur la tête. Le chocolat bouillant ne parut pas lui faire plaisir, puisqu’il recula en gueulant, attirant enfin l’attention de tout le monde, et qu’il se vautra par terre, pendant que Lily râlait très distinctement en pleurant son chocolat ainsi gaspillé. Et dans la grande salle, on entendit d’un coup des sifflets, des applaudissements, comme pour les remercier d’offrir à tout le monde un petit spectacle avant d’aller se faire chier en cours. Pauvres amours. Malgré cela, le spectacle ne fut pas du goût de tout le monde, puisqu’un prof s’avança brusquement vers eux, fatigué et ennuyé de devoir jouer au flic.

« Potter et Bielova, vous avez une retenue. »
« Hey, mais c’est lui qui a commencé ! »
« N’aggravez pas votre cas, mademoiselle. Suivez-moi, tous les deux. »

Poussant un soupir excédé parfaitement audible, Lily termina son jus d’orange en hâte et se leva pour suivre le prof, ne se gênant pas pour fusiller le russe du regard. L’autre n’en menait pas large, brûlé par le chocolat brûlant, et il ne semblait pas apprécier l’odeur. Bien fait pour sa sale gueule. Quand ils arrivèrent à la salle des punitions, le prof ouvrit la porte d’un coup de baguette, alla s’entretenir avec le concierge qui surveillait déjà une dizaine d’élèves en retenue. Et parmi eux … Albus Severus Potter. Mon Dieu, mais qu’avait encore fait son crétin de frère pour être collé ? Envoyée au premier rang, Lily ne se gêna pas pour aller s’asseoir à côté de son beau gosse de frère, au grand dam des demoiselles qui gloussaient silencieusement en le regardant et en bavant sur leurs copies. Oui, et bah c’est mon frère, mesdemoiselles, c’est moi qui vais m’asseoir à côté de lui. Sortant ses affaires à contrecoeur, elle sortit une plume d’aigle et un encrier, ainsi qu’une copie, pour commencer à écrire la phrase qui allait rythmer ses deux prochaines heures. Je ne dois pas faire de scandale dans la grande salle alors que je devrai faire respecter l’autorité de par mon poste de préfète de maison. Tssssk. Pouvaient pas prendre plus court non ?! Connard de russe.

« Et toi, tu es là pour quoi, tu as essayé de piquer l’épée de Gryffondor dans le bureau de notre directrice bien-aimée ? »

Quoiqu’en fait ça n’étonnerait pas du tout Lily qu’il ait essayé, elle-même y serait allé si on lui avait balancé un pari pareil. Toujours à voix basse, sans se tourner vers son frère, elle reprit avec une pointe d’ironie.

« Ou alors, tu as essayé d’impressionner Alice Londubat et tu t’es fait lamentablement choper comme de la bleusaille … »

Et hop, le petit coup de coude complice. Juste avant qu’elle ne tourne la tête vers Mikhaïl qui la fusillait du regard, et qui préféra abdiquer face à l’hostilité palpable de la jeune rouquine Potter. Retournant à sa punition, elle écrivit quelques lignes de plus en faisant la gueule, avant de reprendre la parole sur le même ton.

« En tout cas, moi, j’ai envoyé un coup de poing dans le nez de ce roskove, puis du chocolat brûlant quand il a essayé de me mettre une beigne. Celui-là, si je le chope, je fais des cordes de harpe avec ses boyaux. »

Bon, puisqu’elle était collée avec son beau gosse de frère, l’heure allait avancer bien plus rapidement que prévu. Passant en mode automatique, elle laissa sa main recopier la phrase de quarante mètres de long et se mit à papoter à voix basse avec Albus, sans le regarder outre mesure. Le concierge, assis sur l’estrade, surveillait les élèves de son regard d’aigle, fusillant celles qui détournaient le regard pour mater Albus sans retenue, mais occultant complètement les deux Potter qui papotaient discrètement. En écoutant le récit du pourquoi son frère était là, Lily esquissa un sourire moqueur. Oh, Merlin, mais pourquoi n’avait-elle pas pris le même cours que son cousin Fred ?! Elle aurait adoré le voir se balader en caleçon ! Se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à rigoler, elle se concentra sur ses phrases, jusqu’à ce que l’image ténue de Fred Weasley en caleçon blanc à cœurs roses disparaisse de son esprit. Et en fait il s’était vautré en matant Alice qui passait dans le couloir. Mais pourquoi diable n’allait-il pas lui parler, enfin ?! Il l’aime, elle l’aime, qu’ils sortent ensemble au lieu de se tourner autour comme deux toupies ! Bon bien sûr, tout le monde n’y va pas franco, comme Lily Potter qui roule une pelle à un mec devant tout Poudlard et dans le silence le plus total puisqu’un prof a coupé la musique. Ah, cette fête ! D’ailleurs, bizarre qu’Albus n’y soit pas allé. Oh, il était certainement occupé à ce moment-là.

« Et tu attends quoi pour aller déclarer ta flamme à Alice ? Ce n’est pas elle qui le fera, et tu le sais aussi bien que moi, elle est trop timide pour aller te parler. Mais pour ce qui est de te mater discrètement … Personne n’échappe aux yeux de Lily Potter. »

Esquissant un sourire moqueur, Lily se concentra à nouveau sur ses phrases, tout en racontant à son frère comment elle était arrivée ici, à cause de ce connard de roskove qui l’avait provoquée en insultant Aleera sous ses yeux. N’empêche, elle aurait adoré que Meghan et Miranda soient là, pour refaire le portrait à ce prototype imparfait et gluant d’être humain de base. Quelle gentillesse dans ses propos. Quand son frère grogna dans un murmure qu’il allait s’occuper de son cas, la rouquine esquissa un sourire mi-figue mi-raisin. Elle aurait bien aimé s’occuper de ce connard de russe avant, mais c’est toujours tellement attendrissant de voir son grand frère se mettre à grogner comme un méchant grizzly quand un mec mal intentionné approche sa petite sœur. Alors elle allait le laisser faire, exactement. Ah, prendre Lily par les sentiments, c’est facile quand on est son grand frère, bravo Albus. Elle lui donna un coup de poing amical et discret pou marquer son accord, et se pencha vers ses lignes quand le concierge tourna la tête vers eux. Eh bah, elle vient de tomber une page entière, sans s’en rendre compte, mais quelle belle gosse. Tournant sa copie, elle leva les yeux vers le concierge pour s’assurer qu’il regardait ailleurs, et tourna la tête vers Mikhaïl qui massait déjà son poignet endolori par toutes ces lignes. Tsssk. Petite nature. Retournant à ses lignes, elle esquissa un nouveau sourire quand son frère reprit la parole dans un murmure discret. Faire des conneries à deux ? Ouais, trop génial, ça fait tellement longtemps en plus.

« On va voler l’épée de Godric Gryffondor dans le bureau d’Ombrage ? »

Private joke. Comment tu veux faire une chose pareille, hein ?

« Ou bien on pourrait s’occuper du roskove et en faire de la chair à pâtée pour mon chat ? Salem adore la viande, on va voir s’il aime la viande russe. »

Ou alors … OH MAIS OUI. MAIS QUELLE IDEE GENIALE. Esquissant un véritable sourire perfide, Lily cessa d’écrire de la main gauche et passa la plume à sa main droite. Le pouvoir de l’ambidextrie dans toute sa splendeur. Une fois bien sûre que le concierge avait détourné le regard, elle se pencha un peu vers son frère, excitée comme une puce.

« Eh, et si on s’occupait du chat du concierge ? On le repeint en orange fluo, avec du vernis vert pomme sur les griffes, et on a toujours le vieux pull qui change de couleur que nous a envoyé tonton Georges … Ca te branche ? »

[Messages :]

Bon, puisqu’elle était collée avec son beau gosse de frère, l’heure allait avancer bien plus rapidement que prévu. Passant en mode automatique, elle laissa sa main recopier la phrase de quarante mètres de long et se mit à papoter à voix basse avec Albus, sans le regarder outre mesure. Le concierge, assis sur l’estrade, surveillait les élèves de son regard d’aigle, fusillant celles qui détournaient le regard pour mater Albus sans retenue, mais occultant complètement les deux Potter qui papotaient discrètement. En écoutant le récit du pourquoi son frère était là, Lily esquissa un sourire moqueur. Oh, Merlin, mais pourquoi n’avait-elle pas pris le même cours que son cousin Fred ?! Elle aurait adoré le voir se balader en caleçon ! Se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à rigoler, elle se concentra sur ses phrases, jusqu’à ce que l’image ténue de Fred Weasley en caleçon blanc à cœurs roses disparaisse de son esprit. Et en fait il s’était vautré en matant Alice qui passait dans le couloir. Mais pourquoi diable n’allait-il pas lui parler, enfin ?! Il l’aime, elle l’aime, qu’ils sortent ensemble au lieu de se tourner autour comme deux toupies ! Bon bien sûr, tout le monde n’y va pas franco, comme Lily Potter qui roule une pelle à un mec devant tout Poudlard et dans le silence le plus total puisqu’un prof a coupé la musique. Ah, cette fête ! D’ailleurs, bizarre qu’Albus n’y soit pas allé. Oh, il était certainement occupé à ce moment-là.

« Et tu attends quoi pour aller déclarer ta flamme à Alice ? Ce n’est pas elle qui le fera, et tu le sais aussi bien que moi, elle est trop timide pour aller te parler. Mais pour ce qui est de te mater discrètement … Personne n’échappe aux yeux de Lily Potter. »

Esquissant un sourire moqueur, Lily se concentra à nouveau sur ses phrases, tout en racontant à son frère comment elle était arrivée ici, à cause de ce connard de roskove qui l’avait provoquée en insultant Aleera sous ses yeux. N’empêche, elle aurait adoré que Meghan et Miranda soient là, pour refaire le portrait à ce prototype imparfait et gluant d’être humain de base. Quelle gentillesse dans ses propos. Quand son frère grogna dans un murmure qu’il allait s’occuper de son cas, la rouquine esquissa un sourire mi-figue mi-raisin. Elle aurait bien aimé s’occuper de ce connard de russe avant, mais c’est toujours tellement attendrissant de voir son grand frère se mettre à grogner comme un méchant grizzly quand un mec mal intentionné approche sa petite sœur. Alors elle allait le laisser faire, exactement. Ah, prendre Lily par les sentiments, c’est facile quand on est son grand frère, bravo Albus. Elle lui donna un coup de poing amical et discret pou marquer son accord, et se pencha vers ses lignes quand le concierge tourna la tête vers eux. Eh bah, elle vient de tomber une page entière, sans s’en rendre compte, mais quelle belle gosse. Tournant sa copie, elle leva les yeux vers le concierge pour s’assurer qu’il regardait ailleurs, et tourna la tête vers Mikhaïl qui massait déjà son poignet endolori par toutes ces lignes. Tsssk. Petite nature. Retournant à ses lignes, elle esquissa un nouveau sourire quand son frère reprit la parole dans un murmure discret. Faire des conneries à deux ? Ouais, trop génial, ça fait tellement longtemps en plus.

« On va voler l’épée de Godric Gryffondor dans le bureau d’Ombrage ? »

Private joke. Comment tu veux faire une chose pareille, hein ?

« Ou bien on pourrait s’occuper du roskove et en faire de la chair à pâtée pour mon chat ? Salem adore la viande, on va voir s’il aime la viande russe. »

Ou alors … OH MAIS OUI. MAIS QUELLE IDEE GENIALE. Esquissant un véritable sourire perfide, Lily cessa d’écrire de la main gauche et passa la plume à sa main droite. Le pouvoir de l’ambidextrie dans toute sa splendeur. Une fois bien sûre que le concierge avait détourné le regard, elle se pencha un peu vers son frère, excitée comme une puce.

« Eh, et si on s’occupait du chat du concierge ? On le repeint en orange fluo, avec du vernis vert pomme sur les griffes, et on a toujours le vieux pull qui change de couleur que nous a envoyé tonton Georges … Ca te branche ? »

[Points :]

Bon, puisqu’elle était collée avec son beau gosse de frère, l’heure allait avancer bien plus rapidement que prévu. Passant en mode automatique, elle laissa sa main recopier la phrase de quarante mètres de long et se mit à papoter à voix basse avec Albus, sans le regarder outre mesure. Le concierge, assis sur l’estrade, surveillait les élèves de son regard d’aigle, fusillant celles qui détournaient le regard pour mater Albus sans retenue, mais occultant complètement les deux Potter qui papotaient discrètement. En écoutant le récit du pourquoi son frère était là, Lily esquissa un sourire moqueur. Oh, Merlin, mais pourquoi n’avait-elle pas pris le même cours que son cousin Fred ?! Elle aurait adoré le voir se balader en caleçon ! Se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à rigoler, elle se concentra sur ses phrases, jusqu’à ce que l’image ténue de Fred Weasley en caleçon blanc à cœurs roses disparaisse de son esprit. Et en fait il s’était vautré en matant Alice qui passait dans le couloir. Mais pourquoi diable n’allait-il pas lui parler, enfin ?! Il l’aime, elle l’aime, qu’ils sortent ensemble au lieu de se tourner autour comme deux toupies ! Bon bien sûr, tout le monde n’y va pas franco, comme Lily Potter qui roule une pelle à un mec devant tout Poudlard et dans le silence le plus total puisqu’un prof a coupé la musique. Ah, cette fête ! D’ailleurs, bizarre qu’Albus n’y soit pas allé. Oh, il était certainement occupé à ce moment-là.

« Et tu attends quoi pour aller déclarer ta flamme à Alice ? Ce n’est pas elle qui le fera, et tu le sais aussi bien que moi, elle est trop timide pour aller te parler. Mais pour ce qui est de te mater discrètement … Personne n’échappe aux yeux de Lily Potter. »

Esquissant un sourire moqueur, Lily se concentra à nouveau sur ses phrases, tout en racontant à son frère comment elle était arrivée ici, à cause de ce connard de roskove qui l’avait provoquée en insultant Aleera sous ses yeux. N’empêche, elle aurait adoré que Meghan et Miranda soient là, pour refaire le portrait à ce prototype imparfait et gluant d’être humain de base. Quelle gentillesse dans ses propos. Quand son frère grogna dans un murmure qu’il allait s’occuper de son cas, la rouquine esquissa un sourire mi-figue mi-raisin. Elle aurait bien aimé s’occuper de ce connard de russe avant, mais c’est toujours tellement attendrissant de voir son grand frère se mettre à grogner comme un méchant grizzly quand un mec mal intentionné approche sa petite sœur. Alors elle allait le laisser faire, exactement. Ah, prendre Lily par les sentiments, c’est facile quand on est son grand frère, bravo Albus. Elle lui donna un coup de poing amical et discret pou marquer son accord, et se pencha vers ses lignes quand le concierge tourna la tête vers eux. Eh bah, elle vient de tomber une page entière, sans s’en rendre compte, mais quelle belle gosse. Tournant sa copie, elle leva les yeux vers le concierge pour s’assurer qu’il regardait ailleurs, et tourna la tête vers Mikhaïl qui massait déjà son poignet endolori par toutes ces lignes. Tsssk. Petite nature. Retournant à ses lignes, elle esquissa un nouveau sourire quand son frère reprit la parole dans un murmure discret. Faire des conneries à deux ? Ouais, trop génial, ça fait tellement longtemps en plus.

« On va voler l’épée de Godric Gryffondor dans le bureau d’Ombrage ? »

Private joke. Comment tu veux faire une chose pareille, hein ?

« Ou bien on pourrait s’occuper du roskove et en faire de la chair à pâtée pour mon chat ? Salem adore la viande, on va voir s’il aime la viande russe. »

Ou alors … OH MAIS OUI. MAIS QUELLE IDEE GENIALE. Esquissant un véritable sourire perfide, Lily cessa d’écrire de la main gauche et passa la plume à sa main droite. Le pouvoir de l’ambidextrie dans toute sa splendeur. Une fois bien sûre que le concierge avait détourné le regard, elle se pencha un peu vers son frère, excitée comme une puce.

« Eh, et si on s’occupait du chat du concierge ? On le repeint en orange fluo, avec du vernis vert pomme sur les griffes, et on a toujours le vieux pull qui change de couleur que nous a envoyé tonton Georges … Ca te branche ? »

[Avatar :]

Bon, puisqu’elle était collée avec son beau gosse de frère, l’heure allait avancer bien plus rapidement que prévu. Passant en mode automatique, elle laissa sa main recopier la phrase de quarante mètres de long et se mit à papoter à voix basse avec Albus, sans le regarder outre mesure. Le concierge, assis sur l’estrade, surveillait les élèves de son regard d’aigle, fusillant celles qui détournaient le regard pour mater Albus sans retenue, mais occultant complètement les deux Potter qui papotaient discrètement. En écoutant le récit du pourquoi son frère était là, Lily esquissa un sourire moqueur. Oh, Merlin, mais pourquoi n’avait-elle pas pris le même cours que son cousin Fred ?! Elle aurait adoré le voir se balader en caleçon ! Se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à rigoler, elle se concentra sur ses phrases, jusqu’à ce que l’image ténue de Fred Weasley en caleçon blanc à cœurs roses disparaisse de son esprit. Et en fait il s’était vautré en matant Alice qui passait dans le couloir. Mais pourquoi diable n’allait-il pas lui parler, enfin ?! Il l’aime, elle l’aime, qu’ils sortent ensemble au lieu de se tourner autour comme deux toupies ! Bon bien sûr, tout le monde n’y va pas franco, comme Lily Potter qui roule une pelle à un mec devant tout Poudlard et dans le silence le plus total puisqu’un prof a coupé la musique. Ah, cette fête ! D’ailleurs, bizarre qu’Albus n’y soit pas allé. Oh, il était certainement occupé à ce moment-là.

« Et tu attends quoi pour aller déclarer ta flamme à Alice ? Ce n’est pas elle qui le fera, et tu le sais aussi bien que moi, elle est trop timide pour aller te parler. Mais pour ce qui est de te mater discrètement … Personne n’échappe aux yeux de Lily Potter. »

Esquissant un sourire moqueur, Lily se concentra à nouveau sur ses phrases, tout en racontant à son frère comment elle était arrivée ici, à cause de ce connard de roskove qui l’avait provoquée en insultant Aleera sous ses yeux. N’empêche, elle aurait adoré que Meghan et Miranda soient là, pour refaire le portrait à ce prototype imparfait et gluant d’être humain de base. Quelle gentillesse dans ses propos. Quand son frère grogna dans un murmure qu’il allait s’occuper de son cas, la rouquine esquissa un sourire mi-figue mi-raisin. Elle aurait bien aimé s’occuper de ce connard de russe avant, mais c’est toujours tellement attendrissant de voir son grand frère se mettre à grogner comme un méchant grizzly quand un mec mal intentionné approche sa petite sœur. Alors elle allait le laisser faire, exactement. Ah, prendre Lily par les sentiments, c’est facile quand on est son grand frère, bravo Albus. Elle lui donna un coup de poing amical et discret pou marquer son accord, et se pencha vers ses lignes quand le concierge tourna la tête vers eux. Eh bah, elle vient de tomber une page entière, sans s’en rendre compte, mais quelle belle gosse. Tournant sa copie, elle leva les yeux vers le concierge pour s’assurer qu’il regardait ailleurs, et tourna la tête vers Mikhaïl qui massait déjà son poignet endolori par toutes ces lignes. Tsssk. Petite nature. Retournant à ses lignes, elle esquissa un nouveau sourire quand son frère reprit la parole dans un murmure discret. Faire des conneries à deux ? Ouais, trop génial, ça fait tellement longtemps en plus.

« On va voler l’épée de Godric Gryffondor dans le bureau d’Ombrage ? »

Private joke. Comment tu veux faire une chose pareille, hein ?

« Ou bien on pourrait s’occuper du roskove et en faire de la chair à pâtée pour mon chat ? Salem adore la viande, on va voir s’il aime la viande russe. »

Ou alors … OH MAIS OUI. MAIS QUELLE IDEE GENIALE. Esquissant un véritable sourire perfide, Lily cessa d’écrire de la main gauche et passa la plume à sa main droite. Le pouvoir de l’ambidextrie dans toute sa splendeur. Une fois bien sûre que le concierge avait détourné le regard, elle se pencha un peu vers son frère, excitée comme une puce.

« Eh, et si on s’occupait du chat du concierge ? On le repeint en orange fluo, avec du vernis vert pomme sur les griffes, et on a toujours le vieux pull qui change de couleur que nous a envoyé tonton Georges … Ca te branche ? »

[Crédits :]

Bon, puisqu’elle était collée avec son beau gosse de frère, l’heure allait avancer bien plus rapidement que prévu. Passant en mode automatique, elle laissa sa main recopier la phrase de quarante mètres de long et se mit à papoter à voix basse avec Albus, sans le regarder outre mesure. Le concierge, assis sur l’estrade, surveillait les élèves de son regard d’aigle, fusillant celles qui détournaient le regard pour mater Albus sans retenue, mais occultant complètement les deux Potter qui papotaient discrètement. En écoutant le récit du pourquoi son frère était là, Lily esquissa un sourire moqueur. Oh, Merlin, mais pourquoi n’avait-elle pas pris le même cours que son cousin Fred ?! Elle aurait adoré le voir se balader en caleçon ! Se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à rigoler, elle se concentra sur ses phrases, jusqu’à ce que l’image ténue de Fred Weasley en caleçon blanc à cœurs roses disparaisse de son esprit. Et en fait il s’était vautré en matant Alice qui passait dans le couloir. Mais pourquoi diable n’allait-il pas lui parler, enfin ?! Il l’aime, elle l’aime, qu’ils sortent ensemble au lieu de se tourner autour comme deux toupies ! Bon bien sûr, tout le monde n’y va pas franco, comme Lily Potter qui roule une pelle à un mec devant tout Poudlard et dans le silence le plus total puisqu’un prof a coupé la musique. Ah, cette fête ! D’ailleurs, bizarre qu’Albus n’y soit pas allé. Oh, il était certainement occupé à ce moment-là.

« Et tu attends quoi pour aller déclarer ta flamme à Alice ? Ce n’est pas elle qui le fera, et tu le sais aussi bien que moi, elle est trop timide pour aller te parler. Mais pour ce qui est de te mater discrètement … Personne n’échappe aux yeux de Lily Potter. »

Esquissant un sourire moqueur, Lily se concentra à nouveau sur ses phrases, tout en racontant à son frère comment elle était arrivée ici, à cause de ce connard de roskove qui l’avait provoquée en insultant Aleera sous ses yeux. N’empêche, elle aurait adoré que Meghan et Miranda soient là, pour refaire le portrait à ce prototype imparfait et gluant d’être humain de base. Quelle gentillesse dans ses propos. Quand son frère grogna dans un murmure qu’il allait s’occuper de son cas, la rouquine esquissa un sourire mi-figue mi-raisin. Elle aurait bien aimé s’occuper de ce connard de russe avant, mais c’est toujours tellement attendrissant de voir son grand frère se mettre à grogner comme un méchant grizzly quand un mec mal intentionné approche sa petite sœur. Alors elle allait le laisser faire, exactement. Ah, prendre Lily par les sentiments, c’est facile quand on est son grand frère, bravo Albus. Elle lui donna un coup de poing amical et discret pou marquer son accord, et se pencha vers ses lignes quand le concierge tourna la tête vers eux. Eh bah, elle vient de tomber une page entière, sans s’en rendre compte, mais quelle belle gosse. Tournant sa copie, elle leva les yeux vers le concierge pour s’assurer qu’il regardait ailleurs, et tourna la tête vers Mikhaïl qui massait déjà son poignet endolori par toutes ces lignes. Tsssk. Petite nature. Retournant à ses lignes, elle esquissa un nouveau sourire quand son frère reprit la parole dans un murmure discret. Faire des conneries à deux ? Ouais, trop génial, ça fait tellement longtemps en plus.

« On va voler l’épée de Godric Gryffondor dans le bureau d’Ombrage ? »

Private joke. Comment tu veux faire une chose pareille, hein ?

« Ou bien on pourrait s’occuper du roskove et en faire de la chair à pâtée pour mon chat ? Salem adore la viande, on va voir s’il aime la viande russe. »

Ou alors … OH MAIS OUI. MAIS QUELLE IDEE GENIALE. Esquissant un véritable sourire perfide, Lily cessa d’écrire de la main gauche et passa la plume à sa main droite. Le pouvoir de l’ambidextrie dans toute sa splendeur. Une fois bien sûre que le concierge avait détourné le regard, elle se pencha un peu vers son frère, excitée comme une puce.

« Eh, et si on s’occupait du chat du concierge ? On le repeint en orange fluo, avec du vernis vert pomme sur les griffes, et on a toujours le vieux pull qui change de couleur que nous a envoyé tonton Georges … Ca te branche ? »

[Age RPG :]

Bon, puisqu’elle était collée avec son beau gosse de frère, l’heure allait avancer bien plus rapidement que prévu. Passant en mode automatique, elle laissa sa main recopier la phrase de quarante mètres de long et se mit à papoter à voix basse avec Albus, sans le regarder outre mesure. Le concierge, assis sur l’estrade, surveillait les élèves de son regard d’aigle, fusillant celles qui détournaient le regard pour mater Albus sans retenue, mais occultant complètement les deux Potter qui papotaient discrètement. En écoutant le récit du pourquoi son frère était là, Lily esquissa un sourire moqueur. Oh, Merlin, mais pourquoi n’avait-elle pas pris le même cours que son cousin Fred ?! Elle aurait adoré le voir se balader en caleçon ! Se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à rigoler, elle se concentra sur ses phrases, jusqu’à ce que l’image ténue de Fred Weasley en caleçon blanc à cœurs roses disparaisse de son esprit. Et en fait il s’était vautré en matant Alice qui passait dans le couloir. Mais pourquoi diable n’allait-il pas lui parler, enfin ?! Il l’aime, elle l’aime, qu’ils sortent ensemble au lieu de se tourner autour comme deux toupies ! Bon bien sûr, tout le monde n’y va pas franco, comme Lily Potter qui roule une pelle à un mec devant tout Poudlard et dans le silence le plus total puisqu’un prof a coupé la musique. Ah, cette fête ! D’ailleurs, bizarre qu’Albus n’y soit pas allé. Oh, il était certainement occupé à ce moment-là.

« Et tu attends quoi pour aller déclarer ta flamme à Alice ? Ce n’est pas elle qui le fera, et tu le sais aussi bien que moi, elle est trop timide pour aller te parler. Mais pour ce qui est de te mater discrètement … Personne n’échappe aux yeux de Lily Potter. »

Esquissant un sourire moqueur, Lily se concentra à nouveau sur ses phrases, tout en racontant à son frère comment elle était arrivée ici, à cause de ce connard de roskove qui l’avait provoquée en insultant Aleera sous ses yeux. N’empêche, elle aurait adoré que Meghan et Miranda soient là, pour refaire le portrait à ce prototype imparfait et gluant d’être humain de base. Quelle gentillesse dans ses propos. Quand son frère grogna dans un murmure qu’il allait s’occuper de son cas, la rouquine esquissa un sourire mi-figue mi-raisin. Elle aurait bien aimé s’occuper de ce connard de russe avant, mais c’est toujours tellement attendrissant de voir son grand frère se mettre à grogner comme un méchant grizzly quand un mec mal intentionné approche sa petite sœur. Alors elle allait le laisser faire, exactement. Ah, prendre Lily par les sentiments, c’est facile quand on est son grand frère, bravo Albus. Elle lui donna un coup de poing amical et discret pou marquer son accord, et se pencha vers ses lignes quand le concierge tourna la tête vers eux. Eh bah, elle vient de tomber une page entière, sans s’en rendre compte, mais quelle belle gosse. Tournant sa copie, elle leva les yeux vers le concierge pour s’assurer qu’il regardait ailleurs, et tourna la tête vers Mikhaïl qui massait déjà son poignet endolori par toutes ces lignes. Tsssk. Petite nature. Retournant à ses lignes, elle esquissa un nouveau sourire quand son frère reprit la parole dans un murmure discret. Faire des conneries à deux ? Ouais, trop génial, ça fait tellement longtemps en plus.

« On va voler l’épée de Godric Gryffondor dans le bureau d’Ombrage ? »

Private joke. Comment tu veux faire une chose pareille, hein ?

« Ou bien on pourrait s’occuper du roskove et en faire de la chair à pâtée pour mon chat ? Salem adore la viande, on va voir s’il aime la viande russe. »

Ou alors … OH MAIS OUI. MAIS QUELLE IDEE GENIALE. Esquissant un véritable sourire perfide, Lily cessa d’écrire de la main gauche et passa la plume à sa main droite. Le pouvoir de l’ambidextrie dans toute sa splendeur. Une fois bien sûre que le concierge avait détourné le regard, elle se pencha un peu vers son frère, excitée comme une puce.

« Eh, et si on s’occupait du chat du concierge ? On le repeint en orange fluo, avec du vernis vert pomme sur les griffes, et on a toujours le vieux pull qui change de couleur que nous a envoyé tonton Georges … Ca te branche ? »

[Sang :]

Bon, puisqu’elle était collée avec son beau gosse de frère, l’heure allait avancer bien plus rapidement que prévu. Passant en mode automatique, elle laissa sa main recopier la phrase de quarante mètres de long et se mit à papoter à voix basse avec Albus, sans le regarder outre mesure. Le concierge, assis sur l’estrade, surveillait les élèves de son regard d’aigle, fusillant celles qui détournaient le regard pour mater Albus sans retenue, mais occultant complètement les deux Potter qui papotaient discrètement. En écoutant le récit du pourquoi son frère était là, Lily esquissa un sourire moqueur. Oh, Merlin, mais pourquoi n’avait-elle pas pris le même cours que son cousin Fred ?! Elle aurait adoré le voir se balader en caleçon ! Se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à rigoler, elle se concentra sur ses phrases, jusqu’à ce que l’image ténue de Fred Weasley en caleçon blanc à cœurs roses disparaisse de son esprit. Et en fait il s’était vautré en matant Alice qui passait dans le couloir. Mais pourquoi diable n’allait-il pas lui parler, enfin ?! Il l’aime, elle l’aime, qu’ils sortent ensemble au lieu de se tourner autour comme deux toupies ! Bon bien sûr, tout le monde n’y va pas franco, comme Lily Potter qui roule une pelle à un mec devant tout Poudlard et dans le silence le plus total puisqu’un prof a coupé la musique. Ah, cette fête ! D’ailleurs, bizarre qu’Albus n’y soit pas allé. Oh, il était certainement occupé à ce moment-là.

« Et tu attends quoi pour aller déclarer ta flamme à Alice ? Ce n’est pas elle qui le fera, et tu le sais aussi bien que moi, elle est trop timide pour aller te parler. Mais pour ce qui est de te mater discrètement … Personne n’échappe aux yeux de Lily Potter. »

Esquissant un sourire moqueur, Lily se concentra à nouveau sur ses phrases, tout en racontant à son frère comment elle était arrivée ici, à cause de ce connard de roskove qui l’avait provoquée en insultant Aleera sous ses yeux. N’empêche, elle aurait adoré que Meghan et Miranda soient là, pour refaire le portrait à ce prototype imparfait et gluant d’être humain de base. Quelle gentillesse dans ses propos. Quand son frère grogna dans un murmure qu’il allait s’occuper de son cas, la rouquine esquissa un sourire mi-figue mi-raisin. Elle aurait bien aimé s’occuper de ce connard de russe avant, mais c’est toujours tellement attendrissant de voir son grand frère se mettre à grogner comme un méchant grizzly quand un mec mal intentionné approche sa petite sœur. Alors elle allait le laisser faire, exactement. Ah, prendre Lily par les sentiments, c’est facile quand on est son grand frère, bravo Albus. Elle lui donna un coup de poing amical et discret pou marquer son accord, et se pencha vers ses lignes quand le concierge tourna la tête vers eux. Eh bah, elle vient de tomber une page entière, sans s’en rendre compte, mais quelle belle gosse. Tournant sa copie, elle leva les yeux vers le concierge pour s’assurer qu’il regardait ailleurs, et tourna la tête vers Mikhaïl qui massait déjà son poignet endolori par toutes ces lignes. Tsssk. Petite nature. Retournant à ses lignes, elle esquissa un nouveau sourire quand son frère reprit la parole dans un murmure discret. Faire des conneries à deux ? Ouais, trop génial, ça fait tellement longtemps en plus.

« On va voler l’épée de Godric Gryffondor dans le bureau d’Ombrage ? »

Private joke. Comment tu veux faire une chose pareille, hein ?

« Ou bien on pourrait s’occuper du roskove et en faire de la chair à pâtée pour mon chat ? Salem adore la viande, on va voir s’il aime la viande russe. »

Ou alors … OH MAIS OUI. MAIS QUELLE IDEE GENIALE. Esquissant un véritable sourire perfide, Lily cessa d’écrire de la main gauche et passa la plume à sa main droite. Le pouvoir de l’ambidextrie dans toute sa splendeur. Une fois bien sûre que le concierge avait détourné le regard, elle se pencha un peu vers son frère, excitée comme une puce.

« Eh, et si on s’occupait du chat du concierge ? On le repeint en orange fluo, avec du vernis vert pomme sur les griffes, et on a toujours le vieux pull qui change de couleur que nous a envoyé tonton Georges … Ca te branche ? »

[Camp :]

Bon, puisqu’elle était collée avec son beau gosse de frère, l’heure allait avancer bien plus rapidement que prévu. Passant en mode automatique, elle laissa sa main recopier la phrase de quarante mètres de long et se mit à papoter à voix basse avec Albus, sans le regarder outre mesure. Le concierge, assis sur l’estrade, surveillait les élèves de son regard d’aigle, fusillant celles qui détournaient le regard pour mater Albus sans retenue, mais occultant complètement les deux Potter qui papotaient discrètement. En écoutant le récit du pourquoi son frère était là, Lily esquissa un sourire moqueur. Oh, Merlin, mais pourquoi n’avait-elle pas pris le même cours que son cousin Fred ?! Elle aurait adoré le voir se balader en caleçon ! Se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à rigoler, elle se concentra sur ses phrases, jusqu’à ce que l’image ténue de Fred Weasley en caleçon blanc à cœurs roses disparaisse de son esprit. Et en fait il s’était vautré en matant Alice qui passait dans le couloir. Mais pourquoi diable n’allait-il pas lui parler, enfin ?! Il l’aime, elle l’aime, qu’ils sortent ensemble au lieu de se tourner autour comme deux toupies ! Bon bien sûr, tout le monde n’y va pas franco, comme Lily Potter qui roule une pelle à un mec devant tout Poudlard et dans le silence le plus total puisqu’un prof a coupé la musique. Ah, cette fête ! D’ailleurs, bizarre qu’Albus n’y soit pas allé. Oh, il était certainement occupé à ce moment-là.

« Et tu attends quoi pour aller déclarer ta flamme à Alice ? Ce n’est pas elle qui le fera, et tu le sais aussi bien que moi, elle est trop timide pour aller te parler. Mais pour ce qui est de te mater discrètement … Personne n’échappe aux yeux de Lily Potter. »

Esquissant un sourire moqueur, Lily se concentra à nouveau sur ses phrases, tout en racontant à son frère comment elle était arrivée ici, à cause de ce connard de roskove qui l’avait provoquée en insultant Aleera sous ses yeux. N’empêche, elle aurait adoré que Meghan et Miranda soient là, pour refaire le portrait à ce prototype imparfait et gluant d’être humain de base. Quelle gentillesse dans ses propos. Quand son frère grogna dans un murmure qu’il allait s’occuper de son cas, la rouquine esquissa un sourire mi-figue mi-raisin. Elle aurait bien aimé s’occuper de ce connard de russe avant, mais c’est toujours tellement attendrissant de voir son grand frère se mettre à grogner comme un méchant grizzly quand un mec mal intentionné approche sa petite sœur. Alors elle allait le laisser faire, exactement. Ah, prendre Lily par les sentiments, c’est facile quand on est son grand frère, bravo Albus. Elle lui donna un coup de poing amical et discret pou marquer son accord, et se pencha vers ses lignes quand le concierge tourna la tête vers eux. Eh bah, elle vient de tomber une page entière, sans s’en rendre compte, mais quelle belle gosse. Tournant sa copie, elle leva les yeux vers le concierge pour s’assurer qu’il regardait ailleurs, et tourna la tête vers Mikhaïl qui massait déjà son poignet endolori par toutes ces lignes. Tsssk. Petite nature. Retournant à ses lignes, elle esquissa un nouveau sourire quand son frère reprit la parole dans un murmure discret. Faire des conneries à deux ? Ouais, trop génial, ça fait tellement longtemps en plus.

« On va voler l’épée de Godric Gryffondor dans le bureau d’Ombrage ? »

Private joke. Comment tu veux faire une chose pareille, hein ?

« Ou bien on pourrait s’occuper du roskove et en faire de la chair à pâtée pour mon chat ? Salem adore la viande, on va voir s’il aime la viande russe. »

Ou alors … OH MAIS OUI. MAIS QUELLE IDEE GENIALE. Esquissant un véritable sourire perfide, Lily cessa d’écrire de la main gauche et passa la plume à sa main droite. Le pouvoir de l’ambidextrie dans toute sa splendeur. Une fois bien sûre que le concierge avait détourné le regard, elle se pencha un peu vers son frère, excitée comme une puce.

« Eh, et si on s’occupait du chat du concierge ? On le repeint en orange fluo, avec du vernis vert pomme sur les griffes, et on a toujours le vieux pull qui change de couleur que nous a envoyé tonton Georges … Ca te branche ? »

[Vie du personnage :]

Bon, puisqu’elle était collée avec son beau gosse de frère, l’heure allait avancer bien plus rapidement que prévu. Passant en mode automatique, elle laissa sa main recopier la phrase de quarante mètres de long et se mit à papoter à voix basse avec Albus, sans le regarder outre mesure. Le concierge, assis sur l’estrade, surveillait les élèves de son regard d’aigle, fusillant celles qui détournaient le regard pour mater Albus sans retenue, mais occultant complètement les deux Potter qui papotaient discrètement. En écoutant le récit du pourquoi son frère était là, Lily esquissa un sourire moqueur. Oh, Merlin, mais pourquoi n’avait-elle pas pris le même cours que son cousin Fred ?! Elle aurait adoré le voir se balader en caleçon ! Se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à rigoler, elle se concentra sur ses phrases, jusqu’à ce que l’image ténue de Fred Weasley en caleçon blanc à cœurs roses disparaisse de son esprit. Et en fait il s’était vautré en matant Alice qui passait dans le couloir. Mais pourquoi diable n’allait-il pas lui parler, enfin ?! Il l’aime, elle l’aime, qu’ils sortent ensemble au lieu de se tourner autour comme deux toupies ! Bon bien sûr, tout le monde n’y va pas franco, comme Lily Potter qui roule une pelle à un mec devant tout Poudlard et dans le silence le plus total puisqu’un prof a coupé la musique. Ah, cette fête ! D’ailleurs, bizarre qu’Albus n’y soit pas allé. Oh, il était certainement occupé à ce moment-là.

« Et tu attends quoi pour aller déclarer ta flamme à Alice ? Ce n’est pas elle qui le fera, et tu le sais aussi bien que moi, elle est trop timide pour aller te parler. Mais pour ce qui est de te mater discrètement … Personne n’échappe aux yeux de Lily Potter. »

Esquissant un sourire moqueur, Lily se concentra à nouveau sur ses phrases, tout en racontant à son frère comment elle était arrivée ici, à cause de ce connard de roskove qui l’avait provoquée en insultant Aleera sous ses yeux. N’empêche, elle aurait adoré que Meghan et Miranda soient là, pour refaire le portrait à ce prototype imparfait et gluant d’être humain de base. Quelle gentillesse dans ses propos. Quand son frère grogna dans un murmure qu’il allait s’occuper de son cas, la rouquine esquissa un sourire mi-figue mi-raisin. Elle aurait bien aimé s’occuper de ce connard de russe avant, mais c’est toujours tellement attendrissant de voir son grand frère se mettre à grogner comme un méchant grizzly quand un mec mal intentionné approche sa petite sœur. Alors elle allait le laisser faire, exactement. Ah, prendre Lily par les sentiments, c’est facile quand on est son grand frère, bravo Albus. Elle lui donna un coup de poing amical et discret pou marquer son accord, et se pencha vers ses lignes quand le concierge tourna la tête vers eux. Eh bah, elle vient de tomber une page entière, sans s’en rendre compte, mais quelle belle gosse. Tournant sa copie, elle leva les yeux vers le concierge pour s’assurer qu’il regardait ailleurs, et tourna la tête vers Mikhaïl qui massait déjà son poignet endolori par toutes ces lignes. Tsssk. Petite nature. Retournant à ses lignes, elle esquissa un nouveau sourire quand son frère reprit la parole dans un murmure discret. Faire des conneries à deux ? Ouais, trop génial, ça fait tellement longtemps en plus.

« On va voler l’épée de Godric Gryffondor dans le bureau d’Ombrage ? »

Private joke. Comment tu veux faire une chose pareille, hein ?

« Ou bien on pourrait s’occuper du roskove et en faire de la chair à pâtée pour mon chat ? Salem adore la viande, on va voir s’il aime la viande russe. »

Ou alors … OH MAIS OUI. MAIS QUELLE IDEE GENIALE. Esquissant un véritable sourire perfide, Lily cessa d’écrire de la main gauche et passa la plume à sa main droite. Le pouvoir de l’ambidextrie dans toute sa splendeur. Une fois bien sûre que le concierge avait détourné le regard, elle se pencha un peu vers son frère, excitée comme une puce.

« Eh, et si on s’occupait du chat du concierge ? On le repeint en orange fluo, avec du vernis vert pomme sur les griffes, et on a toujours le vieux pull qui change de couleur que nous a envoyé tonton Georges … Ca te branche ? »

[Truc en plus :]

Bon, puisqu’elle était collée avec son beau gosse de frère, l’heure allait avancer bien plus rapidement que prévu. Passant en mode automatique, elle laissa sa main recopier la phrase de quarante mètres de long et se mit à papoter à voix basse avec Albus, sans le regarder outre mesure. Le concierge, assis sur l’estrade, surveillait les élèves de son regard d’aigle, fusillant celles qui détournaient le regard pour mater Albus sans retenue, mais occultant complètement les deux Potter qui papotaient discrètement. En écoutant le récit du pourquoi son frère était là, Lily esquissa un sourire moqueur. Oh, Merlin, mais pourquoi n’avait-elle pas pris le même cours que son cousin Fred ?! Elle aurait adoré le voir se balader en caleçon ! Se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à rigoler, elle se concentra sur ses phrases, jusqu’à ce que l’image ténue de Fred Weasley en caleçon blanc à cœurs roses disparaisse de son esprit. Et en fait il s’était vautré en matant Alice qui passait dans le couloir. Mais pourquoi diable n’allait-il pas lui parler, enfin ?! Il l’aime, elle l’aime, qu’ils sortent ensemble au lieu de se tourner autour comme deux toupies ! Bon bien sûr, tout le monde n’y va pas franco, comme Lily Potter qui roule une pelle à un mec devant tout Poudlard et dans le silence le plus total puisqu’un prof a coupé la musique. Ah, cette fête ! D’ailleurs, bizarre qu’Albus n’y soit pas allé. Oh, il était certainement occupé à ce moment-là.

« Et tu attends quoi pour aller déclarer ta flamme à Alice ? Ce n’est pas elle qui le fera, et tu le sais aussi bien que moi, elle est trop timide pour aller te parler. Mais pour ce qui est de te mater discrètement … Personne n’échappe aux yeux de Lily Potter. »

Esquissant un sourire moqueur, Lily se concentra à nouveau sur ses phrases, tout en racontant à son frère comment elle était arrivée ici, à cause de ce connard de roskove qui l’avait provoquée en insultant Aleera sous ses yeux. N’empêche, elle aurait adoré que Meghan et Miranda soient là, pour refaire le portrait à ce prototype imparfait et gluant d’être humain de base. Quelle gentillesse dans ses propos. Quand son frère grogna dans un murmure qu’il allait s’occuper de son cas, la rouquine esquissa un sourire mi-figue mi-raisin. Elle aurait bien aimé s’occuper de ce connard de russe avant, mais c’est toujours tellement attendrissant de voir son grand frère se mettre à grogner comme un méchant grizzly quand un mec mal intentionné approche sa petite sœur. Alors elle allait le laisser faire, exactement. Ah, prendre Lily par les sentiments, c’est facile quand on est son grand frère, bravo Albus. Elle lui donna un coup de poing amical et discret pou marquer son accord, et se pencha vers ses lignes quand le concierge tourna la tête vers eux. Eh bah, elle vient de tomber une page entière, sans s’en rendre compte, mais quelle belle gosse. Tournant sa copie, elle leva les yeux vers le concierge pour s’assurer qu’il regardait ailleurs, et tourna la tête vers Mikhaïl qui massait déjà son poignet endolori par toutes ces lignes. Tsssk. Petite nature. Retournant à ses lignes, elle esquissa un nouveau sourire quand son frère reprit la parole dans un murmure discret. Faire des conneries à deux ? Ouais, trop génial, ça fait tellement longtemps en plus.

« On va voler l’épée de Godric Gryffondor dans le bureau d’Ombrage ? »

Private joke. Comment tu veux faire une chose pareille, hein ?

« Ou bien on pourrait s’occuper du roskove et en faire de la chair à pâtée pour mon chat ? Salem adore la viande, on va voir s’il aime la viande russe. »

Ou alors … OH MAIS OUI. MAIS QUELLE IDEE GENIALE. Esquissant un véritable sourire perfide, Lily cessa d’écrire de la main gauche et passa la plume à sa main droite. Le pouvoir de l’ambidextrie dans toute sa splendeur. Une fois bien sûre que le concierge avait détourné le regard, elle se pencha un peu vers son frère, excitée comme une puce.

« Eh, et si on s’occupait du chat du concierge ? On le repeint en orange fluo, avec du vernis vert pomme sur les griffes, et on a toujours le vieux pull qui change de couleur que nous a envoyé tonton Georges … Ca te branche ? »

[Doubles-Comptes :]

Bon, puisqu’elle était collée avec son beau gosse de frère, l’heure allait avancer bien plus rapidement que prévu. Passant en mode automatique, elle laissa sa main recopier la phrase de quarante mètres de long et se mit à papoter à voix basse avec Albus, sans le regarder outre mesure. Le concierge, assis sur l’estrade, surveillait les élèves de son regard d’aigle, fusillant celles qui détournaient le regard pour mater Albus sans retenue, mais occultant complètement les deux Potter qui papotaient discrètement. En écoutant le récit du pourquoi son frère était là, Lily esquissa un sourire moqueur. Oh, Merlin, mais pourquoi n’avait-elle pas pris le même cours que son cousin Fred ?! Elle aurait adoré le voir se balader en caleçon ! Se mordant la lèvre pour ne pas se mettre à rigoler, elle se concentra sur ses phrases, jusqu’à ce que l’image ténue de Fred Weasley en caleçon blanc à cœurs roses disparaisse de son esprit. Et en fait il s’était vautré en matant Alice qui passait dans le couloir. Mais pourquoi diable n’allait-il pas lui parler, enfin ?! Il l’aime, elle l’aime, qu’ils sortent ensemble au lieu de se tourner autour comme deux toupies ! Bon bien sûr, tout le monde n’y va pas franco, comme Lily Potter qui roule une pelle à un mec devant tout Poudlard et dans le silence le plus total puisqu’un prof a coupé la musique. Ah, cette fête ! D’ailleurs, bizarre qu’Albus n’y soit pas allé. Oh, il était certainement occupé à ce moment-là.

« Et tu attends quoi pour aller déclarer ta flamme à Alice ? Ce n’est pas elle qui le fera, et tu le sais aussi bien que moi, elle est trop timide pour aller te parler. Mais pour ce qui est de te mater discrètement … Personne n’échappe aux yeux de Lily Potter. »

Esquissant un sourire moqueur, Lily se concentra à nouveau sur ses phrases, tout en racontant à son frère comment elle était arrivée ici, à cause de ce connard de roskove qui l’avait provoquée en insultant Aleera sous ses yeux. N’empêche, elle aurait adoré que Meghan et Miranda soient là, pour refaire le portrait à ce prototype imparfait et gluant d’être humain de base. Quelle gentillesse dans ses propos. Quand son frère grogna dans un murmure qu’il allait s’occuper de son cas, la rouquine esquissa un sourire mi-figue mi-raisin. Elle aurait bien aimé s’occuper de ce connard de russe avant, mais c’est toujours tellement attendrissant de voir son grand frère se mettre à grogner comme un méchant grizzly quand un mec mal intentionné approche sa petite sœur. Alors elle allait le laisser faire, exactement. Ah, prendre Lily par les sentiments, c’est facile quand on est son grand frère, bravo Albus. Elle lui donna un coup de poing amical et discret pou marquer son accord, et se pencha vers ses lignes quand le concierge tourna la tête vers eux. Eh bah, elle vient de tomber une page entière, sans s’en rendre compte, mais quelle belle gosse. Tournant sa copie, elle leva les yeux vers le concierge pour s’assurer qu’il regardait ailleurs, et tourna la tête vers Mikhaïl qui massait déjà son poignet endolori par toutes ces lignes. Tsssk. Petite nature. Retournant à ses lignes, elle esquissa un nouveau sourire quand son frère reprit la parole dans un murmure discret. Faire des conneries à deux ? Ouais, trop génial, ça fait tellement longtemps en plus.

« On va voler l’épée de Godric Gryffondor dans le bureau d’Ombrage ? »

Private joke. Comment tu veux faire une chose pareille, hein ?

« Ou bien on pourrait s’occuper du roskove et en faire de la chair à pâtée pour mon chat ? Salem adore la viande, on va voir s’il aime la viande russe. »

Ou alors … OH MAIS OUI. MAIS QUELLE IDEE GENIALE. Esquissant un véritable sourire perfide, Lily cessa d’écrire de la main gauche et passa la plume à sa main droite. Le pouvoir de l’ambidextrie dans toute sa splendeur. Une fois bien sûre que le concierge avait détourné le regard, elle se pencha un peu vers son frère, excitée comme une puce.

« Eh, et si on s’occupait du chat du concierge ? On le repeint en orange fluo, avec du vernis vert pomme sur les griffes, et on a toujours le vieux pull qui change de couleur que nous a envoyé tonton Georges … Ca te branche ? »