They said all teenagers scare the living shit out of me, They could care less as long as someone'll bleed ! So darken your clothes or strike a violent pose, Maybe they'll leave you alone, but not me !
Ah, putain. Mais quelle garce cette fille. Non seulement Emmie avait déballé l’histoire de la fête clandestine comme une saucisse Basque qui tombe d’une colline, mais en plus cette petite faux-cul avait été promue préfète avant l’âge réglementaire. Comme quoi, avec de la lèche, on peut tout obtenir. Ou presque. Parce que pour récupérer l’estime de ses camarades et ne plus être l’objet de leur haine, la Serdaigle pouvait toujours se gratter. Ou aller se faire une partouze avec le violeur de détraqueur et des pucerons, mais ça c’est facultatif. Bref. Guillaume était encore entrain de trainasser dans les couloirs, et s’amusait à faire crisser les semelles de ses Rangers sur le sol marbré des couloirs. Les personnages des tableaux lui lançaient des insultes et des regards assassins. Vous comprenez, c’était l’heure de la sieste, et il est interdit de réveiller des tableaux faisant leur sieste. Instant sacré, quoi. Sans se formaliser plus que de nécessaire des jurons de ces messieurs les peintures, le jeune Poufsouffle se dirigea vers le parc, espérant que le froid matinal arriverait à le réveiller … Et à lui faire passer cet horrible mal de tête qu’il avait depuis son réveil. Vêtu de son habituel manteau long, noir de surcroît – ewaih solaklass – et d’une chemise blanche – pour une fois, hein -, le jeune homme sortit dehors. Mais, n’étant pas habitué au froid de l’hiver, le pauvre commença à frissonner, et décida de marcher jusqu’au parc pour se réchauffer. Ses lourdes chaussures laissaient de grosses marques dans l’herbe gelée – un chasseur aurait pu le suivre à la trace sans difficulté, de ça il en était sûr et certain.
Ah lala, finalement le tabac sera toujours le gagnant. Au bout de quelques minutes, Guillaume sortit presque instinctivement une cigarette de son paquet, qui était fourré au fond de son sac. Il l’alluma et tira quelques bouffées. Au bout d’une dizaine de minutes, son mal de tête commença à se dissiper. Comme quoi, la cigarette est un antidépresseur, un calmant et un antidouleur surpuissant. C’est trop la classe, ces petites choses. Même s’il est vrai que ça pourrit la santé, mais bon, on n’est pas là pour se taper un cours de prévention contre le tabagisme. Parce qu’ils sont marrants, fumer tue c’est chouette, mais alors pourquoi ils en vendent encore ? Con XD. Bref, monsieur le blaireau fuma à la vitesse de la lumière et finit par sortir tout son paquet pour continuer son massacre pulmonaire autant qu’il le souhaitera. Au bout d’un moment, le jeune homme décida d’aller squatter un banc – parce que rester debout c’est bien beau, mais la flemme quoi – et ne se fit pas prier pour s’avachir littéralement dessus … Avant de se relever en vitesse, pestant contre la morsure glacée de l’objet. Il donna un coup dans le banc et teudaaah, se fit atrocement mal. Alors, comme tout être humain normalement constitué – ou pas, il gueula des insultes au banc. Mais oui Guillaume, vas-y éclate toi.
Après avoir copieusement injurié le pauvre banc, le Poufsouffle partit déverser son mécontentement ailleurs, sûr que les pigeons polaires qui l’entouraient ne le prendrait pas pour un taré inconditionnel, comme le chaton du Poipoi, vous savez, celle qu’elle surnomme la moche, la poilue ou encore la sauvage. Parce qu’elle est tout ça à la fois, ewaih. Trois en un, comme le liquide décapant le Canard, quoi ;D. Où comme Décapfour, qui décape le four de … Bref de bref – si, je vous assure que ça veut dire quelque chose, même que bientôt ça sera dans le dico, comme ça personne ne viendra faire chier hé – Guillaume descendit à peu près la moitié de son paquet, pour calmer ses nerfs, son pied et pour passer le temps. Et lorsque son regard passa sur l’inscription « Fumer tue », il rétorqua par un magnifique « Et moi je fais rouler des BNs, tu le savais ça ? », qui n’avait à peu près … Aucun rapport avec le sujet. Mais c’est Guillaume, quoi. Faut pas chercher plus loin. Même qu’un jour, il fera breveter ses expressions, parce que sinon c’est pas la classe. Finalement, fatigué de tourner en rond dans le parc, le jeune homme revint vers ledit banc et s’installa dessus sans broncher.
Le silence environnent était de plus en plus lourd ; difficile à supporter. Il n’y avait pas Dorian pour crier et courir partout ; ni Mark pour rire des facéties de son ami. Il était seul, cette fois. Ses deux amis étaient encore entrain de dormir dans leur lit, préférant la chaleur de leurs draps à la morsure glacée du vent. Un soupir franchit ses lèvres, tandis que son regard fixait le ciel, qui était d’une blancheur immaculée. Guillaume ferma les yeux, laissant le froid rougir ses joues et insensibiliser ses oreilles. Bon, j’avoue que ça casse un peu tout, mais bon XD. C’est que la vérité, d’abord. Parce que sinon Bonnie elle sort son Guns et elle le plaque sur la tempe à Clyde en gueulant « QUI C’EEEST ? » avec un maxi sourire à la Kinder. Totalement bouteille à patte, ah lala. Parce que oui, mes petits bigoudis volants, les bouteilles à pattes existent. C’est prouvé, contrairement au mythe des Elhauquitis et des Pis-à-pieds. Quoi que les pieds-à-pieds, oups pardon je suis fatiguée, les pis-à-pieds, on sait qu’ils existent. Bawih, ils sont à Wonderland, HOHOHOO. Mmh, non. Ca, ça s’appelle un bide, un gros bide, de ceux qu’on se tape une fois tous les siècles. Même que le lama a été témoin, parce que tout le monde sait que les lamas sont immortels. Ewaih, c’est que la vérité d’abord.
Bref, revenons à nos poireauchons. A nos poireaux et nos moucherons, quoi. Mais je dis poireauchons pour aller plus vite. Rebref, en espérant que quelqu’un, n’importe qui que ce soit une merde, un chien, un pigeon volant, un cartable délateur se pointe bientôt, parce que là ça devenait franchement l’emmerde. Vous vous dites : « bah alors mon pote, pourquoi tu lèves pas tes miches pour aller à l’intérieur ? » et lui il se dit : « La flemme, et puis je suis collé au banc, vous voyez pas qu’on fait un échange de protéines, rohlala ? » Ewaih. Guillaume attitude, si vous voulez. Note à ceux qui voulaient l’approcher : revenez sur votre décision. Surtout si fréquenter ce cas social revient à devenir une mouche embrochée, ce qui est probablement ce qu’il se passera, au bout de quelques jours. Si, si, je vous l’assure, la petite mouche embrochée qui est face au violeur de détraqueur vous l’assurera ! Avant c’était un joli papillon, puis elle a rencontré l’esprit débauché de notre double-G national et est devenue une mouche embrochée, qui vole par les vœux du Saint-Esprits. Si c’est pas la classe, ça. Ah lala. Limite on se croirait dans Oggy et les Cafards - hin n’est-ce-pas, mini-mouche alias moucheron pour les intimes ? – genre Guillaume c’est Oggy qui fait trop pitié TTwTT et les trois cafards c’est la fille qui contrôle son Oggy-sorcier depuis son écran d’ordi, oh lala mais qu’est-ce qu’elle est trop forte, franchement. Et même que bébé moucheron, sa maman elle a une broche dans le cul.
Bon. Et là, le petit diable sur son épaule, vous le voyez ?
Non ?
Meghan A. Prewett
« Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. »
"Just gonna stand there and watch me burn Well that's alright because I like the way it hurts Just gonna stand there and hear me cry Well that's alright because I love the way you lie I love the way you lie, I love the way you lie..."
Assise sur un des canapés de la salle commune tout en terminant de lacer ses bottes en daim, Meg n'entendit même pas que l'on criait son nom en lui demandant de couper sa musique. Après toutn les rares Serpentards autour n'avaient pas été dérangé quand elle avait décidé d'écouter un peu d'Eminem. Certes, ils adoraient le rock, mais les rares fois ou Meg demandait à mettre autre chose, cela ne les gênaient pas outre mesure. Mais même. Quand on est Prewett, on à ses privilèges persos. Ce ne fût qu'à l'arrivée d'une espèce de blondasse à poitrine débordante d'un petit t-shirt rose vif que la brunette réalisa qu'il y avait d'autres personnes qu'elle dans la salle commune en cette heure de la matinée. Et l'espèce de Paris Hilton en petite tenu ne se gêna pas pour lui couper la radio.
-Tu te prends pour qui à mettre cette nullité? Tu peux pas l'écouter en sourdine nan ?
Un long silence regna dans la salle Commune. A croire que l'autre péroxydée qui pensait pouvoir battre Lee avec des cheveux blonds et une poitrine refaite espérait que Meg allait bafouiller des excuses en éteignant le poste ? Hum, grave erreur mes agneaux. La brunette se releva en ignorant le regard que certains mâles de l'assemblée lancèrent à sa taille aux formes généreuses. Vêtue d'une petite robe marron s'arrêtant à mi cuisse, la jeune femme posa une main sur sa hanche en observant avec arrogance la blondasse de sixième année du haut de son regard chocolat souligné d'un épais trait d'eye liner. Ah bawi, la classe, ou l'a en toute circonstance ou ne l'as pas!
-Premièrement Deborah, sache que cette "nullitée" comme tu dis, ne gênait personne avant que tu ne daigne débarquer toi et ta tignasse de bimbo. Ensuite, je te ferais remarquer qu'avant de traiter un quelconque chanteur de nullité, tu ferais mieux de te rappeler que toi, en dehors de tes simulations au lit et de cris de hyène en chaleur, tu ne sais pas dire grand chose. Alors non. Je ne mettrais pas cette radio en sourdine, et si tu vois un truc à redire, je te rappellerais juste que je suis Meghan Prewett.
La blondasse du nom de Deborah devint blanche après cette tirade dénigrant ses capacités de séduction, et ne sût quoi répondre en dehors d'un tas de nom d'oiseaux qui ne plurent pas exactement à la belle brune. Mais pourquoi répliquer. Elle avait gagné de toute manière. Tournant le dos à la blonde comme si elle n'avait jamais existé, Meghan ralluma le poste avant de rajouter une dernière remarque.
- Insulte moi encore une fois, et je te montrerais ce que "refaire un visage" signifie pour de bon.
Elle n'eut même pas besoin de mettre sa menace à éxécution de toute manière. Attrapant un manteau long et son écharpe, la brunette quitta finalement la salle commune quelques instants plus tards. Lily était encore ou ne savait ou, et sa rusquove adorée lui manquait. Putain, mais pourquoi Ombrage l'avait virée franchement ? Poudlard ce n'était vraiment pas la même chose depuis! Elle croisa bien Ellundril et Dan dans le couloir, leur offrant un rapide bisou sur la joue avant de continuer sa route; Son jumeau et sa petite soeur semblaient en pleine discussion sur le dernier match de Quidditch de l'équipe d'Angleterre contre la Tchécoslovaquie. Arrivant dans le parc en marchant d'un pas tranquille, sa cigarette dans la main gauche,Meghan aurait volontier continué d'écouter du Mozart dans son baladeur si elle n'avait pas reconnu Oggy Guillaume perché sur un banc. Guillaume, elle ne conaissait pas si bien que ça. Mais ilavait l'air carrément sympa. Mignon, dans son monde, et sympa. Trois atouts pour que l'héritière n'ait envie de l'apprécier en somme! Il nesemblat même pas remarquer sa présence tandis qu'elle se rapprochait deson point de méditation, etce fût d'un grand sourire amical qu'elle le salua. Bon la elle était juste en face de lui il avait forcément dû la voir xD
-Tu trouve pas qu'il fait un peu frisquet pour rester dehors en totale immobilité ?
Traduction: "bon-jouuuuur! Tu as passé une bonne journée ? <3 " Restant toujours en face de lu isans pour autant s'asseoir -le banc devait être aussi chaud qu'un petit bain de minuit dans le Titanic quelque part au fond de l'Océan- la brunette rajouta avec un petit sourire.
-Alors ? Que raconte la palpitante vie du parc de Poudlard ?
ironie quand tu nous tiens! Tendant une cigarette au jeune homme pour qu'il se serve, Meghan jeta la sienne au sol, consummée.
Teenagers, Meghan.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Accueil
