Premier cours de métamorphose

par Ted Lupin

Libre à tous ceux qui sont inscrits.
Vous pouvez encore vous inscrire ici

Ce matin Ted s’était réveillé nerveux, ce qui chez lui est quand même plus que surprenant. Le beau gosse d’ordinaire si calme et détendu était nerveux ! Ce jour était à inscrire sur le calendrier ! Bon d’accord, il n’était pas non plus au stade de ne plus manger, d’avoir les mains moites et tous les symptômes qui vont avec. Non, bien sur que non. En le croisant dans les couloirs on ne remarquait rien. Toujours cet air nonchalant, détendu sans oublier la bonne humeur apparente. Bref, le petit Teddy ne laissait rien paraître et c’était tant mieux. Cela n’avait aucun rapport avec ses cours, c’était juste une amie à qui il avait écrit depuis une semaine déjà mais qui ne lui avait toujours pas répondu. Ce qui était pour le moins surprenant puisqu’elle était d’ordinaire très ponctuelle. Sa nervosité augmenta encore plus lorsqu’il ne vit pas sa chouette arriver ce matin encore.

En arrivant dans sa salle, il admira une fois de plus le travail qu’il avait accompli au début de l’année. Il ne voulait surtout pas avoir le même environnement que lorsqu’il était encore élève et il avait réussi ! McGonagal avait toujours aimé les décorations neutres et impersonnelles mais lui n’était pas comme son ancien professeur. Ted entra après s’être immobilisé quelques instants sur le seuil de la porte. Il referma la porte derrière lui et avança jusqu'à l’estrade. Il savait qu’il avait directement eut le respect de ses élèves. De toute façon le respect ca s’impose directement sinon après, c’est foutu.

Le jeune professeur se retourna pour faire face à sa salle. Il se souvint qu’il s’était déjà occupé des tables et les chaises. D’un coup de baguette, il leur avait redonné un coup de neuf. Elle n’était maintenant plus couverte de trous, de saletés diverses et de graffitis laissés par les anciens élèves et elles brillaient presque. Ensuite, il avait aspiré grâce à la magie toutes les poussières qui s’étaient accumulées au fil des ans dans les recoins les plus inaccessibles de la pièce. Après, Ted avait enlevé tous les rideaux défraichis qui pendaient aux fenêtres. Le monsieur détestait les salles sombres. Il avait mis encore quelques éléments de décorations qu’il affectionnait particulièrement et installé quelques posters au mur. Bien sur, ceux-ci portaient sur la métamorphose mais ils étaient colorés et accrochaient le regard. Rien de mieux que quelques affiches à contempler lorsqu’on s’ennuie en cours. Evidemment, il avait accroché aussi une grande Mapp Monde, chose qu’il adorait. C’est vrai quoi ! Rien de tel que regarder une Mapp Monde pour voyager !

Pour finir il avait fait apparaitre un tapis bien moelleux à l’entrée de la salle pour accueillir les élèves. Bon d’accord il n’avait pas fait grand-chose mais c’était beaucoup mieux. La salle de classe était beaucoup plus lumineuse qu’auparavant et donnait une impression de propre. Les quelques éléments de décorations rendaient le tout très accueillant. Simple mais efficace comme dirait l’autre ! Ted revint à la réalité et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était un peu en avance et il en profita pour mettre se temps à profil pour jeter un dernier coup d’œil au programme de son cours histoire de ne pas avoir de gros trou au milieu de son speech mais cela ne servait à rien. Il connaissait son truc par cœur et savait parfaitement qu’il ferait son cours au feeling.

Il espérait juste que la vieille dame en rose ne vienne pas surveiller durant son cours. Ca par contre ca le ferait chier. Bon, encore quelque minutes à attendre avant que la sonnerie retentisse et qu’il n’ouvre sa porte. Ted s’approcha de la fenêtre et regarda au dehors. Le soleil était au rendez vous. On ne voyait que lui dans un ciel si parfaitement bleu. En bas la neige recouvrait tout de son duvet blanc, laissant derrière elle un paysage sans contraste de couleur. En tout cas, la journée s’annonçait très belle mais malgré ca, aucun élève n’était dehors pour la pur et simple raison que les cours allaient commencer dans quelques minutes. Que dis-je ? Maintenant puisque la douce mélodie de la sonnerie parvint à ses oreilles. L’attente était enfin terminée et son cours allait enfin pouvoir commencer. Ce qu’il trouvait tout de même regrettable c’était qu’il devait donner cours à des élèves d’années différentes en même temps. Alors comme la majorité de ses élèves étaient en cinquième année, Ted avait élaboré son programme ainsi et puis il ne fallait pas oublier les BUSES dans quelques mois.

Le jeune professeur traversa une nouvelle fois sa salle pour aller ouvrir la porte à ses élèves. Le flot des élèves commença à envahir sa salle si savamment décorée. Il lançait à chaque élève un bonjour chaleureux agrémenté d’un superbe sourire. Faut dire que ce n’est pas compliqué quand on est beau gosse comme lui ! Puis il s’en retourna sur l’estrade en attendant que tous les élèves arrivent et s’installent.

[Messages :]

Premier cours de métamorphose

par Ted Lupin

Libre à tous ceux qui sont inscrits.
Vous pouvez encore vous inscrire ici

Ce matin Ted s’était réveillé nerveux, ce qui chez lui est quand même plus que surprenant. Le beau gosse d’ordinaire si calme et détendu était nerveux ! Ce jour était à inscrire sur le calendrier ! Bon d’accord, il n’était pas non plus au stade de ne plus manger, d’avoir les mains moites et tous les symptômes qui vont avec. Non, bien sur que non. En le croisant dans les couloirs on ne remarquait rien. Toujours cet air nonchalant, détendu sans oublier la bonne humeur apparente. Bref, le petit Teddy ne laissait rien paraître et c’était tant mieux. Cela n’avait aucun rapport avec ses cours, c’était juste une amie à qui il avait écrit depuis une semaine déjà mais qui ne lui avait toujours pas répondu. Ce qui était pour le moins surprenant puisqu’elle était d’ordinaire très ponctuelle. Sa nervosité augmenta encore plus lorsqu’il ne vit pas sa chouette arriver ce matin encore.

En arrivant dans sa salle, il admira une fois de plus le travail qu’il avait accompli au début de l’année. Il ne voulait surtout pas avoir le même environnement que lorsqu’il était encore élève et il avait réussi ! McGonagal avait toujours aimé les décorations neutres et impersonnelles mais lui n’était pas comme son ancien professeur. Ted entra après s’être immobilisé quelques instants sur le seuil de la porte. Il referma la porte derrière lui et avança jusqu'à l’estrade. Il savait qu’il avait directement eut le respect de ses élèves. De toute façon le respect ca s’impose directement sinon après, c’est foutu.

Le jeune professeur se retourna pour faire face à sa salle. Il se souvint qu’il s’était déjà occupé des tables et les chaises. D’un coup de baguette, il leur avait redonné un coup de neuf. Elle n’était maintenant plus couverte de trous, de saletés diverses et de graffitis laissés par les anciens élèves et elles brillaient presque. Ensuite, il avait aspiré grâce à la magie toutes les poussières qui s’étaient accumulées au fil des ans dans les recoins les plus inaccessibles de la pièce. Après, Ted avait enlevé tous les rideaux défraichis qui pendaient aux fenêtres. Le monsieur détestait les salles sombres. Il avait mis encore quelques éléments de décorations qu’il affectionnait particulièrement et installé quelques posters au mur. Bien sur, ceux-ci portaient sur la métamorphose mais ils étaient colorés et accrochaient le regard. Rien de mieux que quelques affiches à contempler lorsqu’on s’ennuie en cours. Evidemment, il avait accroché aussi une grande Mapp Monde, chose qu’il adorait. C’est vrai quoi ! Rien de tel que regarder une Mapp Monde pour voyager !

Pour finir il avait fait apparaitre un tapis bien moelleux à l’entrée de la salle pour accueillir les élèves. Bon d’accord il n’avait pas fait grand-chose mais c’était beaucoup mieux. La salle de classe était beaucoup plus lumineuse qu’auparavant et donnait une impression de propre. Les quelques éléments de décorations rendaient le tout très accueillant. Simple mais efficace comme dirait l’autre ! Ted revint à la réalité et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était un peu en avance et il en profita pour mettre se temps à profil pour jeter un dernier coup d’œil au programme de son cours histoire de ne pas avoir de gros trou au milieu de son speech mais cela ne servait à rien. Il connaissait son truc par cœur et savait parfaitement qu’il ferait son cours au feeling.

Il espérait juste que la vieille dame en rose ne vienne pas surveiller durant son cours. Ca par contre ca le ferait chier. Bon, encore quelque minutes à attendre avant que la sonnerie retentisse et qu’il n’ouvre sa porte. Ted s’approcha de la fenêtre et regarda au dehors. Le soleil était au rendez vous. On ne voyait que lui dans un ciel si parfaitement bleu. En bas la neige recouvrait tout de son duvet blanc, laissant derrière elle un paysage sans contraste de couleur. En tout cas, la journée s’annonçait très belle mais malgré ca, aucun élève n’était dehors pour la pur et simple raison que les cours allaient commencer dans quelques minutes. Que dis-je ? Maintenant puisque la douce mélodie de la sonnerie parvint à ses oreilles. L’attente était enfin terminée et son cours allait enfin pouvoir commencer. Ce qu’il trouvait tout de même regrettable c’était qu’il devait donner cours à des élèves d’années différentes en même temps. Alors comme la majorité de ses élèves étaient en cinquième année, Ted avait élaboré son programme ainsi et puis il ne fallait pas oublier les BUSES dans quelques mois.

Le jeune professeur traversa une nouvelle fois sa salle pour aller ouvrir la porte à ses élèves. Le flot des élèves commença à envahir sa salle si savamment décorée. Il lançait à chaque élève un bonjour chaleureux agrémenté d’un superbe sourire. Faut dire que ce n’est pas compliqué quand on est beau gosse comme lui ! Puis il s’en retourna sur l’estrade en attendant que tous les élèves arrivent et s’installent.

[Points :]

Premier cours de métamorphose

par Ted Lupin

Libre à tous ceux qui sont inscrits.
Vous pouvez encore vous inscrire ici

Ce matin Ted s’était réveillé nerveux, ce qui chez lui est quand même plus que surprenant. Le beau gosse d’ordinaire si calme et détendu était nerveux ! Ce jour était à inscrire sur le calendrier ! Bon d’accord, il n’était pas non plus au stade de ne plus manger, d’avoir les mains moites et tous les symptômes qui vont avec. Non, bien sur que non. En le croisant dans les couloirs on ne remarquait rien. Toujours cet air nonchalant, détendu sans oublier la bonne humeur apparente. Bref, le petit Teddy ne laissait rien paraître et c’était tant mieux. Cela n’avait aucun rapport avec ses cours, c’était juste une amie à qui il avait écrit depuis une semaine déjà mais qui ne lui avait toujours pas répondu. Ce qui était pour le moins surprenant puisqu’elle était d’ordinaire très ponctuelle. Sa nervosité augmenta encore plus lorsqu’il ne vit pas sa chouette arriver ce matin encore.

En arrivant dans sa salle, il admira une fois de plus le travail qu’il avait accompli au début de l’année. Il ne voulait surtout pas avoir le même environnement que lorsqu’il était encore élève et il avait réussi ! McGonagal avait toujours aimé les décorations neutres et impersonnelles mais lui n’était pas comme son ancien professeur. Ted entra après s’être immobilisé quelques instants sur le seuil de la porte. Il referma la porte derrière lui et avança jusqu'à l’estrade. Il savait qu’il avait directement eut le respect de ses élèves. De toute façon le respect ca s’impose directement sinon après, c’est foutu.

Le jeune professeur se retourna pour faire face à sa salle. Il se souvint qu’il s’était déjà occupé des tables et les chaises. D’un coup de baguette, il leur avait redonné un coup de neuf. Elle n’était maintenant plus couverte de trous, de saletés diverses et de graffitis laissés par les anciens élèves et elles brillaient presque. Ensuite, il avait aspiré grâce à la magie toutes les poussières qui s’étaient accumulées au fil des ans dans les recoins les plus inaccessibles de la pièce. Après, Ted avait enlevé tous les rideaux défraichis qui pendaient aux fenêtres. Le monsieur détestait les salles sombres. Il avait mis encore quelques éléments de décorations qu’il affectionnait particulièrement et installé quelques posters au mur. Bien sur, ceux-ci portaient sur la métamorphose mais ils étaient colorés et accrochaient le regard. Rien de mieux que quelques affiches à contempler lorsqu’on s’ennuie en cours. Evidemment, il avait accroché aussi une grande Mapp Monde, chose qu’il adorait. C’est vrai quoi ! Rien de tel que regarder une Mapp Monde pour voyager !

Pour finir il avait fait apparaitre un tapis bien moelleux à l’entrée de la salle pour accueillir les élèves. Bon d’accord il n’avait pas fait grand-chose mais c’était beaucoup mieux. La salle de classe était beaucoup plus lumineuse qu’auparavant et donnait une impression de propre. Les quelques éléments de décorations rendaient le tout très accueillant. Simple mais efficace comme dirait l’autre ! Ted revint à la réalité et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était un peu en avance et il en profita pour mettre se temps à profil pour jeter un dernier coup d’œil au programme de son cours histoire de ne pas avoir de gros trou au milieu de son speech mais cela ne servait à rien. Il connaissait son truc par cœur et savait parfaitement qu’il ferait son cours au feeling.

Il espérait juste que la vieille dame en rose ne vienne pas surveiller durant son cours. Ca par contre ca le ferait chier. Bon, encore quelque minutes à attendre avant que la sonnerie retentisse et qu’il n’ouvre sa porte. Ted s’approcha de la fenêtre et regarda au dehors. Le soleil était au rendez vous. On ne voyait que lui dans un ciel si parfaitement bleu. En bas la neige recouvrait tout de son duvet blanc, laissant derrière elle un paysage sans contraste de couleur. En tout cas, la journée s’annonçait très belle mais malgré ca, aucun élève n’était dehors pour la pur et simple raison que les cours allaient commencer dans quelques minutes. Que dis-je ? Maintenant puisque la douce mélodie de la sonnerie parvint à ses oreilles. L’attente était enfin terminée et son cours allait enfin pouvoir commencer. Ce qu’il trouvait tout de même regrettable c’était qu’il devait donner cours à des élèves d’années différentes en même temps. Alors comme la majorité de ses élèves étaient en cinquième année, Ted avait élaboré son programme ainsi et puis il ne fallait pas oublier les BUSES dans quelques mois.

Le jeune professeur traversa une nouvelle fois sa salle pour aller ouvrir la porte à ses élèves. Le flot des élèves commença à envahir sa salle si savamment décorée. Il lançait à chaque élève un bonjour chaleureux agrémenté d’un superbe sourire. Faut dire que ce n’est pas compliqué quand on est beau gosse comme lui ! Puis il s’en retourna sur l’estrade en attendant que tous les élèves arrivent et s’installent.

[Avatar :]

Premier cours de métamorphose

par Ted Lupin

Libre à tous ceux qui sont inscrits.
Vous pouvez encore vous inscrire ici

Ce matin Ted s’était réveillé nerveux, ce qui chez lui est quand même plus que surprenant. Le beau gosse d’ordinaire si calme et détendu était nerveux ! Ce jour était à inscrire sur le calendrier ! Bon d’accord, il n’était pas non plus au stade de ne plus manger, d’avoir les mains moites et tous les symptômes qui vont avec. Non, bien sur que non. En le croisant dans les couloirs on ne remarquait rien. Toujours cet air nonchalant, détendu sans oublier la bonne humeur apparente. Bref, le petit Teddy ne laissait rien paraître et c’était tant mieux. Cela n’avait aucun rapport avec ses cours, c’était juste une amie à qui il avait écrit depuis une semaine déjà mais qui ne lui avait toujours pas répondu. Ce qui était pour le moins surprenant puisqu’elle était d’ordinaire très ponctuelle. Sa nervosité augmenta encore plus lorsqu’il ne vit pas sa chouette arriver ce matin encore.

En arrivant dans sa salle, il admira une fois de plus le travail qu’il avait accompli au début de l’année. Il ne voulait surtout pas avoir le même environnement que lorsqu’il était encore élève et il avait réussi ! McGonagal avait toujours aimé les décorations neutres et impersonnelles mais lui n’était pas comme son ancien professeur. Ted entra après s’être immobilisé quelques instants sur le seuil de la porte. Il referma la porte derrière lui et avança jusqu'à l’estrade. Il savait qu’il avait directement eut le respect de ses élèves. De toute façon le respect ca s’impose directement sinon après, c’est foutu.

Le jeune professeur se retourna pour faire face à sa salle. Il se souvint qu’il s’était déjà occupé des tables et les chaises. D’un coup de baguette, il leur avait redonné un coup de neuf. Elle n’était maintenant plus couverte de trous, de saletés diverses et de graffitis laissés par les anciens élèves et elles brillaient presque. Ensuite, il avait aspiré grâce à la magie toutes les poussières qui s’étaient accumulées au fil des ans dans les recoins les plus inaccessibles de la pièce. Après, Ted avait enlevé tous les rideaux défraichis qui pendaient aux fenêtres. Le monsieur détestait les salles sombres. Il avait mis encore quelques éléments de décorations qu’il affectionnait particulièrement et installé quelques posters au mur. Bien sur, ceux-ci portaient sur la métamorphose mais ils étaient colorés et accrochaient le regard. Rien de mieux que quelques affiches à contempler lorsqu’on s’ennuie en cours. Evidemment, il avait accroché aussi une grande Mapp Monde, chose qu’il adorait. C’est vrai quoi ! Rien de tel que regarder une Mapp Monde pour voyager !

Pour finir il avait fait apparaitre un tapis bien moelleux à l’entrée de la salle pour accueillir les élèves. Bon d’accord il n’avait pas fait grand-chose mais c’était beaucoup mieux. La salle de classe était beaucoup plus lumineuse qu’auparavant et donnait une impression de propre. Les quelques éléments de décorations rendaient le tout très accueillant. Simple mais efficace comme dirait l’autre ! Ted revint à la réalité et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était un peu en avance et il en profita pour mettre se temps à profil pour jeter un dernier coup d’œil au programme de son cours histoire de ne pas avoir de gros trou au milieu de son speech mais cela ne servait à rien. Il connaissait son truc par cœur et savait parfaitement qu’il ferait son cours au feeling.

Il espérait juste que la vieille dame en rose ne vienne pas surveiller durant son cours. Ca par contre ca le ferait chier. Bon, encore quelque minutes à attendre avant que la sonnerie retentisse et qu’il n’ouvre sa porte. Ted s’approcha de la fenêtre et regarda au dehors. Le soleil était au rendez vous. On ne voyait que lui dans un ciel si parfaitement bleu. En bas la neige recouvrait tout de son duvet blanc, laissant derrière elle un paysage sans contraste de couleur. En tout cas, la journée s’annonçait très belle mais malgré ca, aucun élève n’était dehors pour la pur et simple raison que les cours allaient commencer dans quelques minutes. Que dis-je ? Maintenant puisque la douce mélodie de la sonnerie parvint à ses oreilles. L’attente était enfin terminée et son cours allait enfin pouvoir commencer. Ce qu’il trouvait tout de même regrettable c’était qu’il devait donner cours à des élèves d’années différentes en même temps. Alors comme la majorité de ses élèves étaient en cinquième année, Ted avait élaboré son programme ainsi et puis il ne fallait pas oublier les BUSES dans quelques mois.

Le jeune professeur traversa une nouvelle fois sa salle pour aller ouvrir la porte à ses élèves. Le flot des élèves commença à envahir sa salle si savamment décorée. Il lançait à chaque élève un bonjour chaleureux agrémenté d’un superbe sourire. Faut dire que ce n’est pas compliqué quand on est beau gosse comme lui ! Puis il s’en retourna sur l’estrade en attendant que tous les élèves arrivent et s’installent.

[Crédits :]

Premier cours de métamorphose

par Ted Lupin

Libre à tous ceux qui sont inscrits.
Vous pouvez encore vous inscrire ici

Ce matin Ted s’était réveillé nerveux, ce qui chez lui est quand même plus que surprenant. Le beau gosse d’ordinaire si calme et détendu était nerveux ! Ce jour était à inscrire sur le calendrier ! Bon d’accord, il n’était pas non plus au stade de ne plus manger, d’avoir les mains moites et tous les symptômes qui vont avec. Non, bien sur que non. En le croisant dans les couloirs on ne remarquait rien. Toujours cet air nonchalant, détendu sans oublier la bonne humeur apparente. Bref, le petit Teddy ne laissait rien paraître et c’était tant mieux. Cela n’avait aucun rapport avec ses cours, c’était juste une amie à qui il avait écrit depuis une semaine déjà mais qui ne lui avait toujours pas répondu. Ce qui était pour le moins surprenant puisqu’elle était d’ordinaire très ponctuelle. Sa nervosité augmenta encore plus lorsqu’il ne vit pas sa chouette arriver ce matin encore.

En arrivant dans sa salle, il admira une fois de plus le travail qu’il avait accompli au début de l’année. Il ne voulait surtout pas avoir le même environnement que lorsqu’il était encore élève et il avait réussi ! McGonagal avait toujours aimé les décorations neutres et impersonnelles mais lui n’était pas comme son ancien professeur. Ted entra après s’être immobilisé quelques instants sur le seuil de la porte. Il referma la porte derrière lui et avança jusqu'à l’estrade. Il savait qu’il avait directement eut le respect de ses élèves. De toute façon le respect ca s’impose directement sinon après, c’est foutu.

Le jeune professeur se retourna pour faire face à sa salle. Il se souvint qu’il s’était déjà occupé des tables et les chaises. D’un coup de baguette, il leur avait redonné un coup de neuf. Elle n’était maintenant plus couverte de trous, de saletés diverses et de graffitis laissés par les anciens élèves et elles brillaient presque. Ensuite, il avait aspiré grâce à la magie toutes les poussières qui s’étaient accumulées au fil des ans dans les recoins les plus inaccessibles de la pièce. Après, Ted avait enlevé tous les rideaux défraichis qui pendaient aux fenêtres. Le monsieur détestait les salles sombres. Il avait mis encore quelques éléments de décorations qu’il affectionnait particulièrement et installé quelques posters au mur. Bien sur, ceux-ci portaient sur la métamorphose mais ils étaient colorés et accrochaient le regard. Rien de mieux que quelques affiches à contempler lorsqu’on s’ennuie en cours. Evidemment, il avait accroché aussi une grande Mapp Monde, chose qu’il adorait. C’est vrai quoi ! Rien de tel que regarder une Mapp Monde pour voyager !

Pour finir il avait fait apparaitre un tapis bien moelleux à l’entrée de la salle pour accueillir les élèves. Bon d’accord il n’avait pas fait grand-chose mais c’était beaucoup mieux. La salle de classe était beaucoup plus lumineuse qu’auparavant et donnait une impression de propre. Les quelques éléments de décorations rendaient le tout très accueillant. Simple mais efficace comme dirait l’autre ! Ted revint à la réalité et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était un peu en avance et il en profita pour mettre se temps à profil pour jeter un dernier coup d’œil au programme de son cours histoire de ne pas avoir de gros trou au milieu de son speech mais cela ne servait à rien. Il connaissait son truc par cœur et savait parfaitement qu’il ferait son cours au feeling.

Il espérait juste que la vieille dame en rose ne vienne pas surveiller durant son cours. Ca par contre ca le ferait chier. Bon, encore quelque minutes à attendre avant que la sonnerie retentisse et qu’il n’ouvre sa porte. Ted s’approcha de la fenêtre et regarda au dehors. Le soleil était au rendez vous. On ne voyait que lui dans un ciel si parfaitement bleu. En bas la neige recouvrait tout de son duvet blanc, laissant derrière elle un paysage sans contraste de couleur. En tout cas, la journée s’annonçait très belle mais malgré ca, aucun élève n’était dehors pour la pur et simple raison que les cours allaient commencer dans quelques minutes. Que dis-je ? Maintenant puisque la douce mélodie de la sonnerie parvint à ses oreilles. L’attente était enfin terminée et son cours allait enfin pouvoir commencer. Ce qu’il trouvait tout de même regrettable c’était qu’il devait donner cours à des élèves d’années différentes en même temps. Alors comme la majorité de ses élèves étaient en cinquième année, Ted avait élaboré son programme ainsi et puis il ne fallait pas oublier les BUSES dans quelques mois.

Le jeune professeur traversa une nouvelle fois sa salle pour aller ouvrir la porte à ses élèves. Le flot des élèves commença à envahir sa salle si savamment décorée. Il lançait à chaque élève un bonjour chaleureux agrémenté d’un superbe sourire. Faut dire que ce n’est pas compliqué quand on est beau gosse comme lui ! Puis il s’en retourna sur l’estrade en attendant que tous les élèves arrivent et s’installent.

[Age RPG :]

Premier cours de métamorphose

par Ted Lupin

Libre à tous ceux qui sont inscrits.
Vous pouvez encore vous inscrire ici

Ce matin Ted s’était réveillé nerveux, ce qui chez lui est quand même plus que surprenant. Le beau gosse d’ordinaire si calme et détendu était nerveux ! Ce jour était à inscrire sur le calendrier ! Bon d’accord, il n’était pas non plus au stade de ne plus manger, d’avoir les mains moites et tous les symptômes qui vont avec. Non, bien sur que non. En le croisant dans les couloirs on ne remarquait rien. Toujours cet air nonchalant, détendu sans oublier la bonne humeur apparente. Bref, le petit Teddy ne laissait rien paraître et c’était tant mieux. Cela n’avait aucun rapport avec ses cours, c’était juste une amie à qui il avait écrit depuis une semaine déjà mais qui ne lui avait toujours pas répondu. Ce qui était pour le moins surprenant puisqu’elle était d’ordinaire très ponctuelle. Sa nervosité augmenta encore plus lorsqu’il ne vit pas sa chouette arriver ce matin encore.

En arrivant dans sa salle, il admira une fois de plus le travail qu’il avait accompli au début de l’année. Il ne voulait surtout pas avoir le même environnement que lorsqu’il était encore élève et il avait réussi ! McGonagal avait toujours aimé les décorations neutres et impersonnelles mais lui n’était pas comme son ancien professeur. Ted entra après s’être immobilisé quelques instants sur le seuil de la porte. Il referma la porte derrière lui et avança jusqu'à l’estrade. Il savait qu’il avait directement eut le respect de ses élèves. De toute façon le respect ca s’impose directement sinon après, c’est foutu.

Le jeune professeur se retourna pour faire face à sa salle. Il se souvint qu’il s’était déjà occupé des tables et les chaises. D’un coup de baguette, il leur avait redonné un coup de neuf. Elle n’était maintenant plus couverte de trous, de saletés diverses et de graffitis laissés par les anciens élèves et elles brillaient presque. Ensuite, il avait aspiré grâce à la magie toutes les poussières qui s’étaient accumulées au fil des ans dans les recoins les plus inaccessibles de la pièce. Après, Ted avait enlevé tous les rideaux défraichis qui pendaient aux fenêtres. Le monsieur détestait les salles sombres. Il avait mis encore quelques éléments de décorations qu’il affectionnait particulièrement et installé quelques posters au mur. Bien sur, ceux-ci portaient sur la métamorphose mais ils étaient colorés et accrochaient le regard. Rien de mieux que quelques affiches à contempler lorsqu’on s’ennuie en cours. Evidemment, il avait accroché aussi une grande Mapp Monde, chose qu’il adorait. C’est vrai quoi ! Rien de tel que regarder une Mapp Monde pour voyager !

Pour finir il avait fait apparaitre un tapis bien moelleux à l’entrée de la salle pour accueillir les élèves. Bon d’accord il n’avait pas fait grand-chose mais c’était beaucoup mieux. La salle de classe était beaucoup plus lumineuse qu’auparavant et donnait une impression de propre. Les quelques éléments de décorations rendaient le tout très accueillant. Simple mais efficace comme dirait l’autre ! Ted revint à la réalité et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était un peu en avance et il en profita pour mettre se temps à profil pour jeter un dernier coup d’œil au programme de son cours histoire de ne pas avoir de gros trou au milieu de son speech mais cela ne servait à rien. Il connaissait son truc par cœur et savait parfaitement qu’il ferait son cours au feeling.

Il espérait juste que la vieille dame en rose ne vienne pas surveiller durant son cours. Ca par contre ca le ferait chier. Bon, encore quelque minutes à attendre avant que la sonnerie retentisse et qu’il n’ouvre sa porte. Ted s’approcha de la fenêtre et regarda au dehors. Le soleil était au rendez vous. On ne voyait que lui dans un ciel si parfaitement bleu. En bas la neige recouvrait tout de son duvet blanc, laissant derrière elle un paysage sans contraste de couleur. En tout cas, la journée s’annonçait très belle mais malgré ca, aucun élève n’était dehors pour la pur et simple raison que les cours allaient commencer dans quelques minutes. Que dis-je ? Maintenant puisque la douce mélodie de la sonnerie parvint à ses oreilles. L’attente était enfin terminée et son cours allait enfin pouvoir commencer. Ce qu’il trouvait tout de même regrettable c’était qu’il devait donner cours à des élèves d’années différentes en même temps. Alors comme la majorité de ses élèves étaient en cinquième année, Ted avait élaboré son programme ainsi et puis il ne fallait pas oublier les BUSES dans quelques mois.

Le jeune professeur traversa une nouvelle fois sa salle pour aller ouvrir la porte à ses élèves. Le flot des élèves commença à envahir sa salle si savamment décorée. Il lançait à chaque élève un bonjour chaleureux agrémenté d’un superbe sourire. Faut dire que ce n’est pas compliqué quand on est beau gosse comme lui ! Puis il s’en retourna sur l’estrade en attendant que tous les élèves arrivent et s’installent.

[Sang :]

Premier cours de métamorphose

par Ted Lupin

Libre à tous ceux qui sont inscrits.
Vous pouvez encore vous inscrire ici

Ce matin Ted s’était réveillé nerveux, ce qui chez lui est quand même plus que surprenant. Le beau gosse d’ordinaire si calme et détendu était nerveux ! Ce jour était à inscrire sur le calendrier ! Bon d’accord, il n’était pas non plus au stade de ne plus manger, d’avoir les mains moites et tous les symptômes qui vont avec. Non, bien sur que non. En le croisant dans les couloirs on ne remarquait rien. Toujours cet air nonchalant, détendu sans oublier la bonne humeur apparente. Bref, le petit Teddy ne laissait rien paraître et c’était tant mieux. Cela n’avait aucun rapport avec ses cours, c’était juste une amie à qui il avait écrit depuis une semaine déjà mais qui ne lui avait toujours pas répondu. Ce qui était pour le moins surprenant puisqu’elle était d’ordinaire très ponctuelle. Sa nervosité augmenta encore plus lorsqu’il ne vit pas sa chouette arriver ce matin encore.

En arrivant dans sa salle, il admira une fois de plus le travail qu’il avait accompli au début de l’année. Il ne voulait surtout pas avoir le même environnement que lorsqu’il était encore élève et il avait réussi ! McGonagal avait toujours aimé les décorations neutres et impersonnelles mais lui n’était pas comme son ancien professeur. Ted entra après s’être immobilisé quelques instants sur le seuil de la porte. Il referma la porte derrière lui et avança jusqu'à l’estrade. Il savait qu’il avait directement eut le respect de ses élèves. De toute façon le respect ca s’impose directement sinon après, c’est foutu.

Le jeune professeur se retourna pour faire face à sa salle. Il se souvint qu’il s’était déjà occupé des tables et les chaises. D’un coup de baguette, il leur avait redonné un coup de neuf. Elle n’était maintenant plus couverte de trous, de saletés diverses et de graffitis laissés par les anciens élèves et elles brillaient presque. Ensuite, il avait aspiré grâce à la magie toutes les poussières qui s’étaient accumulées au fil des ans dans les recoins les plus inaccessibles de la pièce. Après, Ted avait enlevé tous les rideaux défraichis qui pendaient aux fenêtres. Le monsieur détestait les salles sombres. Il avait mis encore quelques éléments de décorations qu’il affectionnait particulièrement et installé quelques posters au mur. Bien sur, ceux-ci portaient sur la métamorphose mais ils étaient colorés et accrochaient le regard. Rien de mieux que quelques affiches à contempler lorsqu’on s’ennuie en cours. Evidemment, il avait accroché aussi une grande Mapp Monde, chose qu’il adorait. C’est vrai quoi ! Rien de tel que regarder une Mapp Monde pour voyager !

Pour finir il avait fait apparaitre un tapis bien moelleux à l’entrée de la salle pour accueillir les élèves. Bon d’accord il n’avait pas fait grand-chose mais c’était beaucoup mieux. La salle de classe était beaucoup plus lumineuse qu’auparavant et donnait une impression de propre. Les quelques éléments de décorations rendaient le tout très accueillant. Simple mais efficace comme dirait l’autre ! Ted revint à la réalité et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était un peu en avance et il en profita pour mettre se temps à profil pour jeter un dernier coup d’œil au programme de son cours histoire de ne pas avoir de gros trou au milieu de son speech mais cela ne servait à rien. Il connaissait son truc par cœur et savait parfaitement qu’il ferait son cours au feeling.

Il espérait juste que la vieille dame en rose ne vienne pas surveiller durant son cours. Ca par contre ca le ferait chier. Bon, encore quelque minutes à attendre avant que la sonnerie retentisse et qu’il n’ouvre sa porte. Ted s’approcha de la fenêtre et regarda au dehors. Le soleil était au rendez vous. On ne voyait que lui dans un ciel si parfaitement bleu. En bas la neige recouvrait tout de son duvet blanc, laissant derrière elle un paysage sans contraste de couleur. En tout cas, la journée s’annonçait très belle mais malgré ca, aucun élève n’était dehors pour la pur et simple raison que les cours allaient commencer dans quelques minutes. Que dis-je ? Maintenant puisque la douce mélodie de la sonnerie parvint à ses oreilles. L’attente était enfin terminée et son cours allait enfin pouvoir commencer. Ce qu’il trouvait tout de même regrettable c’était qu’il devait donner cours à des élèves d’années différentes en même temps. Alors comme la majorité de ses élèves étaient en cinquième année, Ted avait élaboré son programme ainsi et puis il ne fallait pas oublier les BUSES dans quelques mois.

Le jeune professeur traversa une nouvelle fois sa salle pour aller ouvrir la porte à ses élèves. Le flot des élèves commença à envahir sa salle si savamment décorée. Il lançait à chaque élève un bonjour chaleureux agrémenté d’un superbe sourire. Faut dire que ce n’est pas compliqué quand on est beau gosse comme lui ! Puis il s’en retourna sur l’estrade en attendant que tous les élèves arrivent et s’installent.

[Camp :]

Premier cours de métamorphose

par Ted Lupin

Libre à tous ceux qui sont inscrits.
Vous pouvez encore vous inscrire ici

Ce matin Ted s’était réveillé nerveux, ce qui chez lui est quand même plus que surprenant. Le beau gosse d’ordinaire si calme et détendu était nerveux ! Ce jour était à inscrire sur le calendrier ! Bon d’accord, il n’était pas non plus au stade de ne plus manger, d’avoir les mains moites et tous les symptômes qui vont avec. Non, bien sur que non. En le croisant dans les couloirs on ne remarquait rien. Toujours cet air nonchalant, détendu sans oublier la bonne humeur apparente. Bref, le petit Teddy ne laissait rien paraître et c’était tant mieux. Cela n’avait aucun rapport avec ses cours, c’était juste une amie à qui il avait écrit depuis une semaine déjà mais qui ne lui avait toujours pas répondu. Ce qui était pour le moins surprenant puisqu’elle était d’ordinaire très ponctuelle. Sa nervosité augmenta encore plus lorsqu’il ne vit pas sa chouette arriver ce matin encore.

En arrivant dans sa salle, il admira une fois de plus le travail qu’il avait accompli au début de l’année. Il ne voulait surtout pas avoir le même environnement que lorsqu’il était encore élève et il avait réussi ! McGonagal avait toujours aimé les décorations neutres et impersonnelles mais lui n’était pas comme son ancien professeur. Ted entra après s’être immobilisé quelques instants sur le seuil de la porte. Il referma la porte derrière lui et avança jusqu'à l’estrade. Il savait qu’il avait directement eut le respect de ses élèves. De toute façon le respect ca s’impose directement sinon après, c’est foutu.

Le jeune professeur se retourna pour faire face à sa salle. Il se souvint qu’il s’était déjà occupé des tables et les chaises. D’un coup de baguette, il leur avait redonné un coup de neuf. Elle n’était maintenant plus couverte de trous, de saletés diverses et de graffitis laissés par les anciens élèves et elles brillaient presque. Ensuite, il avait aspiré grâce à la magie toutes les poussières qui s’étaient accumulées au fil des ans dans les recoins les plus inaccessibles de la pièce. Après, Ted avait enlevé tous les rideaux défraichis qui pendaient aux fenêtres. Le monsieur détestait les salles sombres. Il avait mis encore quelques éléments de décorations qu’il affectionnait particulièrement et installé quelques posters au mur. Bien sur, ceux-ci portaient sur la métamorphose mais ils étaient colorés et accrochaient le regard. Rien de mieux que quelques affiches à contempler lorsqu’on s’ennuie en cours. Evidemment, il avait accroché aussi une grande Mapp Monde, chose qu’il adorait. C’est vrai quoi ! Rien de tel que regarder une Mapp Monde pour voyager !

Pour finir il avait fait apparaitre un tapis bien moelleux à l’entrée de la salle pour accueillir les élèves. Bon d’accord il n’avait pas fait grand-chose mais c’était beaucoup mieux. La salle de classe était beaucoup plus lumineuse qu’auparavant et donnait une impression de propre. Les quelques éléments de décorations rendaient le tout très accueillant. Simple mais efficace comme dirait l’autre ! Ted revint à la réalité et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était un peu en avance et il en profita pour mettre se temps à profil pour jeter un dernier coup d’œil au programme de son cours histoire de ne pas avoir de gros trou au milieu de son speech mais cela ne servait à rien. Il connaissait son truc par cœur et savait parfaitement qu’il ferait son cours au feeling.

Il espérait juste que la vieille dame en rose ne vienne pas surveiller durant son cours. Ca par contre ca le ferait chier. Bon, encore quelque minutes à attendre avant que la sonnerie retentisse et qu’il n’ouvre sa porte. Ted s’approcha de la fenêtre et regarda au dehors. Le soleil était au rendez vous. On ne voyait que lui dans un ciel si parfaitement bleu. En bas la neige recouvrait tout de son duvet blanc, laissant derrière elle un paysage sans contraste de couleur. En tout cas, la journée s’annonçait très belle mais malgré ca, aucun élève n’était dehors pour la pur et simple raison que les cours allaient commencer dans quelques minutes. Que dis-je ? Maintenant puisque la douce mélodie de la sonnerie parvint à ses oreilles. L’attente était enfin terminée et son cours allait enfin pouvoir commencer. Ce qu’il trouvait tout de même regrettable c’était qu’il devait donner cours à des élèves d’années différentes en même temps. Alors comme la majorité de ses élèves étaient en cinquième année, Ted avait élaboré son programme ainsi et puis il ne fallait pas oublier les BUSES dans quelques mois.

Le jeune professeur traversa une nouvelle fois sa salle pour aller ouvrir la porte à ses élèves. Le flot des élèves commença à envahir sa salle si savamment décorée. Il lançait à chaque élève un bonjour chaleureux agrémenté d’un superbe sourire. Faut dire que ce n’est pas compliqué quand on est beau gosse comme lui ! Puis il s’en retourna sur l’estrade en attendant que tous les élèves arrivent et s’installent.

[Vie du personnage :]

Premier cours de métamorphose

par Ted Lupin

Libre à tous ceux qui sont inscrits.
Vous pouvez encore vous inscrire ici

Ce matin Ted s’était réveillé nerveux, ce qui chez lui est quand même plus que surprenant. Le beau gosse d’ordinaire si calme et détendu était nerveux ! Ce jour était à inscrire sur le calendrier ! Bon d’accord, il n’était pas non plus au stade de ne plus manger, d’avoir les mains moites et tous les symptômes qui vont avec. Non, bien sur que non. En le croisant dans les couloirs on ne remarquait rien. Toujours cet air nonchalant, détendu sans oublier la bonne humeur apparente. Bref, le petit Teddy ne laissait rien paraître et c’était tant mieux. Cela n’avait aucun rapport avec ses cours, c’était juste une amie à qui il avait écrit depuis une semaine déjà mais qui ne lui avait toujours pas répondu. Ce qui était pour le moins surprenant puisqu’elle était d’ordinaire très ponctuelle. Sa nervosité augmenta encore plus lorsqu’il ne vit pas sa chouette arriver ce matin encore.

En arrivant dans sa salle, il admira une fois de plus le travail qu’il avait accompli au début de l’année. Il ne voulait surtout pas avoir le même environnement que lorsqu’il était encore élève et il avait réussi ! McGonagal avait toujours aimé les décorations neutres et impersonnelles mais lui n’était pas comme son ancien professeur. Ted entra après s’être immobilisé quelques instants sur le seuil de la porte. Il referma la porte derrière lui et avança jusqu'à l’estrade. Il savait qu’il avait directement eut le respect de ses élèves. De toute façon le respect ca s’impose directement sinon après, c’est foutu.

Le jeune professeur se retourna pour faire face à sa salle. Il se souvint qu’il s’était déjà occupé des tables et les chaises. D’un coup de baguette, il leur avait redonné un coup de neuf. Elle n’était maintenant plus couverte de trous, de saletés diverses et de graffitis laissés par les anciens élèves et elles brillaient presque. Ensuite, il avait aspiré grâce à la magie toutes les poussières qui s’étaient accumulées au fil des ans dans les recoins les plus inaccessibles de la pièce. Après, Ted avait enlevé tous les rideaux défraichis qui pendaient aux fenêtres. Le monsieur détestait les salles sombres. Il avait mis encore quelques éléments de décorations qu’il affectionnait particulièrement et installé quelques posters au mur. Bien sur, ceux-ci portaient sur la métamorphose mais ils étaient colorés et accrochaient le regard. Rien de mieux que quelques affiches à contempler lorsqu’on s’ennuie en cours. Evidemment, il avait accroché aussi une grande Mapp Monde, chose qu’il adorait. C’est vrai quoi ! Rien de tel que regarder une Mapp Monde pour voyager !

Pour finir il avait fait apparaitre un tapis bien moelleux à l’entrée de la salle pour accueillir les élèves. Bon d’accord il n’avait pas fait grand-chose mais c’était beaucoup mieux. La salle de classe était beaucoup plus lumineuse qu’auparavant et donnait une impression de propre. Les quelques éléments de décorations rendaient le tout très accueillant. Simple mais efficace comme dirait l’autre ! Ted revint à la réalité et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était un peu en avance et il en profita pour mettre se temps à profil pour jeter un dernier coup d’œil au programme de son cours histoire de ne pas avoir de gros trou au milieu de son speech mais cela ne servait à rien. Il connaissait son truc par cœur et savait parfaitement qu’il ferait son cours au feeling.

Il espérait juste que la vieille dame en rose ne vienne pas surveiller durant son cours. Ca par contre ca le ferait chier. Bon, encore quelque minutes à attendre avant que la sonnerie retentisse et qu’il n’ouvre sa porte. Ted s’approcha de la fenêtre et regarda au dehors. Le soleil était au rendez vous. On ne voyait que lui dans un ciel si parfaitement bleu. En bas la neige recouvrait tout de son duvet blanc, laissant derrière elle un paysage sans contraste de couleur. En tout cas, la journée s’annonçait très belle mais malgré ca, aucun élève n’était dehors pour la pur et simple raison que les cours allaient commencer dans quelques minutes. Que dis-je ? Maintenant puisque la douce mélodie de la sonnerie parvint à ses oreilles. L’attente était enfin terminée et son cours allait enfin pouvoir commencer. Ce qu’il trouvait tout de même regrettable c’était qu’il devait donner cours à des élèves d’années différentes en même temps. Alors comme la majorité de ses élèves étaient en cinquième année, Ted avait élaboré son programme ainsi et puis il ne fallait pas oublier les BUSES dans quelques mois.

Le jeune professeur traversa une nouvelle fois sa salle pour aller ouvrir la porte à ses élèves. Le flot des élèves commença à envahir sa salle si savamment décorée. Il lançait à chaque élève un bonjour chaleureux agrémenté d’un superbe sourire. Faut dire que ce n’est pas compliqué quand on est beau gosse comme lui ! Puis il s’en retourna sur l’estrade en attendant que tous les élèves arrivent et s’installent.

[Truc en plus :]

Premier cours de métamorphose

par Ted Lupin

Libre à tous ceux qui sont inscrits.
Vous pouvez encore vous inscrire ici

Ce matin Ted s’était réveillé nerveux, ce qui chez lui est quand même plus que surprenant. Le beau gosse d’ordinaire si calme et détendu était nerveux ! Ce jour était à inscrire sur le calendrier ! Bon d’accord, il n’était pas non plus au stade de ne plus manger, d’avoir les mains moites et tous les symptômes qui vont avec. Non, bien sur que non. En le croisant dans les couloirs on ne remarquait rien. Toujours cet air nonchalant, détendu sans oublier la bonne humeur apparente. Bref, le petit Teddy ne laissait rien paraître et c’était tant mieux. Cela n’avait aucun rapport avec ses cours, c’était juste une amie à qui il avait écrit depuis une semaine déjà mais qui ne lui avait toujours pas répondu. Ce qui était pour le moins surprenant puisqu’elle était d’ordinaire très ponctuelle. Sa nervosité augmenta encore plus lorsqu’il ne vit pas sa chouette arriver ce matin encore.

En arrivant dans sa salle, il admira une fois de plus le travail qu’il avait accompli au début de l’année. Il ne voulait surtout pas avoir le même environnement que lorsqu’il était encore élève et il avait réussi ! McGonagal avait toujours aimé les décorations neutres et impersonnelles mais lui n’était pas comme son ancien professeur. Ted entra après s’être immobilisé quelques instants sur le seuil de la porte. Il referma la porte derrière lui et avança jusqu'à l’estrade. Il savait qu’il avait directement eut le respect de ses élèves. De toute façon le respect ca s’impose directement sinon après, c’est foutu.

Le jeune professeur se retourna pour faire face à sa salle. Il se souvint qu’il s’était déjà occupé des tables et les chaises. D’un coup de baguette, il leur avait redonné un coup de neuf. Elle n’était maintenant plus couverte de trous, de saletés diverses et de graffitis laissés par les anciens élèves et elles brillaient presque. Ensuite, il avait aspiré grâce à la magie toutes les poussières qui s’étaient accumulées au fil des ans dans les recoins les plus inaccessibles de la pièce. Après, Ted avait enlevé tous les rideaux défraichis qui pendaient aux fenêtres. Le monsieur détestait les salles sombres. Il avait mis encore quelques éléments de décorations qu’il affectionnait particulièrement et installé quelques posters au mur. Bien sur, ceux-ci portaient sur la métamorphose mais ils étaient colorés et accrochaient le regard. Rien de mieux que quelques affiches à contempler lorsqu’on s’ennuie en cours. Evidemment, il avait accroché aussi une grande Mapp Monde, chose qu’il adorait. C’est vrai quoi ! Rien de tel que regarder une Mapp Monde pour voyager !

Pour finir il avait fait apparaitre un tapis bien moelleux à l’entrée de la salle pour accueillir les élèves. Bon d’accord il n’avait pas fait grand-chose mais c’était beaucoup mieux. La salle de classe était beaucoup plus lumineuse qu’auparavant et donnait une impression de propre. Les quelques éléments de décorations rendaient le tout très accueillant. Simple mais efficace comme dirait l’autre ! Ted revint à la réalité et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était un peu en avance et il en profita pour mettre se temps à profil pour jeter un dernier coup d’œil au programme de son cours histoire de ne pas avoir de gros trou au milieu de son speech mais cela ne servait à rien. Il connaissait son truc par cœur et savait parfaitement qu’il ferait son cours au feeling.

Il espérait juste que la vieille dame en rose ne vienne pas surveiller durant son cours. Ca par contre ca le ferait chier. Bon, encore quelque minutes à attendre avant que la sonnerie retentisse et qu’il n’ouvre sa porte. Ted s’approcha de la fenêtre et regarda au dehors. Le soleil était au rendez vous. On ne voyait que lui dans un ciel si parfaitement bleu. En bas la neige recouvrait tout de son duvet blanc, laissant derrière elle un paysage sans contraste de couleur. En tout cas, la journée s’annonçait très belle mais malgré ca, aucun élève n’était dehors pour la pur et simple raison que les cours allaient commencer dans quelques minutes. Que dis-je ? Maintenant puisque la douce mélodie de la sonnerie parvint à ses oreilles. L’attente était enfin terminée et son cours allait enfin pouvoir commencer. Ce qu’il trouvait tout de même regrettable c’était qu’il devait donner cours à des élèves d’années différentes en même temps. Alors comme la majorité de ses élèves étaient en cinquième année, Ted avait élaboré son programme ainsi et puis il ne fallait pas oublier les BUSES dans quelques mois.

Le jeune professeur traversa une nouvelle fois sa salle pour aller ouvrir la porte à ses élèves. Le flot des élèves commença à envahir sa salle si savamment décorée. Il lançait à chaque élève un bonjour chaleureux agrémenté d’un superbe sourire. Faut dire que ce n’est pas compliqué quand on est beau gosse comme lui ! Puis il s’en retourna sur l’estrade en attendant que tous les élèves arrivent et s’installent.

[Doubles-Comptes :]

Premier cours de métamorphose

par Ted Lupin

Libre à tous ceux qui sont inscrits.
Vous pouvez encore vous inscrire ici

Ce matin Ted s’était réveillé nerveux, ce qui chez lui est quand même plus que surprenant. Le beau gosse d’ordinaire si calme et détendu était nerveux ! Ce jour était à inscrire sur le calendrier ! Bon d’accord, il n’était pas non plus au stade de ne plus manger, d’avoir les mains moites et tous les symptômes qui vont avec. Non, bien sur que non. En le croisant dans les couloirs on ne remarquait rien. Toujours cet air nonchalant, détendu sans oublier la bonne humeur apparente. Bref, le petit Teddy ne laissait rien paraître et c’était tant mieux. Cela n’avait aucun rapport avec ses cours, c’était juste une amie à qui il avait écrit depuis une semaine déjà mais qui ne lui avait toujours pas répondu. Ce qui était pour le moins surprenant puisqu’elle était d’ordinaire très ponctuelle. Sa nervosité augmenta encore plus lorsqu’il ne vit pas sa chouette arriver ce matin encore.

En arrivant dans sa salle, il admira une fois de plus le travail qu’il avait accompli au début de l’année. Il ne voulait surtout pas avoir le même environnement que lorsqu’il était encore élève et il avait réussi ! McGonagal avait toujours aimé les décorations neutres et impersonnelles mais lui n’était pas comme son ancien professeur. Ted entra après s’être immobilisé quelques instants sur le seuil de la porte. Il referma la porte derrière lui et avança jusqu'à l’estrade. Il savait qu’il avait directement eut le respect de ses élèves. De toute façon le respect ca s’impose directement sinon après, c’est foutu.

Le jeune professeur se retourna pour faire face à sa salle. Il se souvint qu’il s’était déjà occupé des tables et les chaises. D’un coup de baguette, il leur avait redonné un coup de neuf. Elle n’était maintenant plus couverte de trous, de saletés diverses et de graffitis laissés par les anciens élèves et elles brillaient presque. Ensuite, il avait aspiré grâce à la magie toutes les poussières qui s’étaient accumulées au fil des ans dans les recoins les plus inaccessibles de la pièce. Après, Ted avait enlevé tous les rideaux défraichis qui pendaient aux fenêtres. Le monsieur détestait les salles sombres. Il avait mis encore quelques éléments de décorations qu’il affectionnait particulièrement et installé quelques posters au mur. Bien sur, ceux-ci portaient sur la métamorphose mais ils étaient colorés et accrochaient le regard. Rien de mieux que quelques affiches à contempler lorsqu’on s’ennuie en cours. Evidemment, il avait accroché aussi une grande Mapp Monde, chose qu’il adorait. C’est vrai quoi ! Rien de tel que regarder une Mapp Monde pour voyager !

Pour finir il avait fait apparaitre un tapis bien moelleux à l’entrée de la salle pour accueillir les élèves. Bon d’accord il n’avait pas fait grand-chose mais c’était beaucoup mieux. La salle de classe était beaucoup plus lumineuse qu’auparavant et donnait une impression de propre. Les quelques éléments de décorations rendaient le tout très accueillant. Simple mais efficace comme dirait l’autre ! Ted revint à la réalité et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était un peu en avance et il en profita pour mettre se temps à profil pour jeter un dernier coup d’œil au programme de son cours histoire de ne pas avoir de gros trou au milieu de son speech mais cela ne servait à rien. Il connaissait son truc par cœur et savait parfaitement qu’il ferait son cours au feeling.

Il espérait juste que la vieille dame en rose ne vienne pas surveiller durant son cours. Ca par contre ca le ferait chier. Bon, encore quelque minutes à attendre avant que la sonnerie retentisse et qu’il n’ouvre sa porte. Ted s’approcha de la fenêtre et regarda au dehors. Le soleil était au rendez vous. On ne voyait que lui dans un ciel si parfaitement bleu. En bas la neige recouvrait tout de son duvet blanc, laissant derrière elle un paysage sans contraste de couleur. En tout cas, la journée s’annonçait très belle mais malgré ca, aucun élève n’était dehors pour la pur et simple raison que les cours allaient commencer dans quelques minutes. Que dis-je ? Maintenant puisque la douce mélodie de la sonnerie parvint à ses oreilles. L’attente était enfin terminée et son cours allait enfin pouvoir commencer. Ce qu’il trouvait tout de même regrettable c’était qu’il devait donner cours à des élèves d’années différentes en même temps. Alors comme la majorité de ses élèves étaient en cinquième année, Ted avait élaboré son programme ainsi et puis il ne fallait pas oublier les BUSES dans quelques mois.

Le jeune professeur traversa une nouvelle fois sa salle pour aller ouvrir la porte à ses élèves. Le flot des élèves commença à envahir sa salle si savamment décorée. Il lançait à chaque élève un bonjour chaleureux agrémenté d’un superbe sourire. Faut dire que ce n’est pas compliqué quand on est beau gosse comme lui ! Puis il s’en retourna sur l’estrade en attendant que tous les élèves arrivent et s’installent.

« Now I've had the time of my life
No I never felt like this before
Yes I swear it's the truth
and I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I owe it all to youuuuuu ! »
« Oh Lily, baisse d’un ton … »
« Pourquoi donc, petit poussin, tu es tombé de ton nid un peu trop tôt ? »
« Et toi donc … »
« Oui, mais moi c’est un pari, gueuler du Dirty Dancing en plein milieu de ma salle commune. Là, je viens de gagner quarante gallions tu vois ! »

La rouquine envoya un grand sourire réjoui à son camarade de cinquième année. Levée, lavée, maquillée, Lily respirait la bonne humeur. Habillée du traditionnel uniforme de Poudlard, qui comportait la robe de sorcière, la cape, l’écharpe de sa maison, elle l’avait agrémenté de mitaines noires à rayures vertes pour protéger ses mains du froid, parce que oui, il fait atrocement froid en ce mois de Janvier. S’étirant comme un chat, elle fit craquer ses muscles engourdis de sommeil et rejoignit une de ses amies pour se diriger vers la grande salle. Elles traversèrent les cachots en papotant allègrement, son amie la mettant au défi de gueuler à nouveau Dirty Dancing dans la grande salle. Ce qui ne dérangeait pas du tout Lily, qui pouvait même y ajouter la chorégraphie si on lui trouvait un mec capable de faire un porté sans qu’elle ne se vautre au sol. Lily adorait ce film qui, même s’il était très con et très niais et très dégoulinant de bons sentiments, reflétait pour elle ce qu’elle passait son temps à faire, la recherche DU garçon. Le romantique de base qui serait assez tordu pour accepter tous ses vices, comme par exemple celui de ronronner comme un chat, ou d’être aussi libérée que … Pas de comparaisons possibles, vu tout ce que Lily était capable de faire. Rouler une pelle à un gars – ou une fille – devant tout le monde ne lui posait strictement aucun souci, gueuler devant tout le monde non plus parce que, comme on dit, le ridicule ne tue pas, ou bien … Enfin bref, Lily est une espèce de tarée anticonformiste, on l’aura compris. Elles grimpèrent jusqu’au hall, et sa camarade alla jeter un petit coup d’œil par la fenêtre, pour constater qu’il neigeait à gros flocons. Ouf, heureusement qu’elles n’avaient pas botanique aujourd’hui, la rouquine aurait certainement refusé de sortir par un temps pareil. Elles entrèrent dans la grande salle et allèrent se vautrer à la table des Serpentard, non sans que Lily ait fait un détour par chaque table pour saluer sa smalla. La rouquine se servit rapidement du jus de citrouille qu’elle se siffla en vitesse, puis elle se laissa bercer par les conversations autour d’elle, baillant de temps à autres. Jusqu’à ce que son amie lui tire la manche pour lui signifier qu’elle avait perdu son pari. Ah oui mince, elle devait chanter Time of my life !

« I've had the time of my life
No I never felt this way before
Yes I swear it's the truth
And I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I've searched through every open door
'Til I found the truth
And I owe it all to you »

De la table des Gryffondor, elle vit son frère applaudir, accompagné de son cousin Fred, puis de Rose quand elle posa sa tartine pour taper dans ses mains. Rapidement rejoints par Hugo qui siffla et lui adressa un clin d’œil complice. Lily s’inclina avec emphase et théâtralité, puis se rassit pour finir son jus de citrouille, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Se tournant vers sa camarade, elle lui signala avec un sourire qu’elle lui devait cinquante gallions. Ne jamais parier avec Lily Potter, sauf si vous êtes riches. Une fois le petit-déjeuner fini, les deux filles se levèrent pour se diriger vers leurs salles de cours. Lily, qui depuis près d’une demi-heure essayait d’apercevoir la tignasse brune de Nathan, déclara forfait et sortit en faisant la gueule, déçue de ne pas l’avoir vue. Elle aurait adoré le chauffer devant tout le monde … Et il aurait adoré répliquer avec sa chaude voix habituelle de pur beau gosse. Elles se dirigèrent vers la salle de métamorphoses, Lily parlant du professeur de métamorphoses avec des étoiles dans les yeux, comme si elle était raide dingue du beau Ted Lupin. En fait, elle était plutôt en train d’imiter grossièrement toutes les filles qui le regardaient passer avec de gros yeux énamourés. Pour Lily, Ted c’était son presque cousin, celui qui venait à la maison tous les jours, qui était fiancé à sa cousine Victoire et qui attendait l’Apocalypse future pour la demander en mariage et faire d’elle une madame Victoire Lupin. Avant qu’elles n’arrivent devant la salle, son amie lui lança un nouveau pari, celui de gueuler dans la salle que Ted est un beau gosse. Lily accepta avec un sourire, contente de gagner dix gallions de plus. Quarante plus cinquante plus dix, ça fait cent gallions en même pas deux heures ça ! En arrivant devant la salle, Lily s’aperçut avec déplaisir que Narwyn Strange se tenait devant elle. Elle lui envoya un regard glacial et assassin, se rappelant les coups et les insultes qu’elle avait échangé avec cette pétasse pro sang-pur. Heureusement, avant que ça ne dégénère – Lily ne pouvant pas s’empêcher de balancer des piques toxiques quand elle se retrouve face à des ennemis – Ted eut la bonne idée d’ouvrir la porte pour leur demander de rentrer. Lily salua son presque cousin d’un « Saluuuut Ted =D » très chaleureux et pas du tout professoral, avant d’aller se vautrer en milieu de salle, du côté gauche, à côté du mur. Et, renvoyant un clin d’œil à son amie assise un peu plus loin, elle se leva.

« Votre attention s’il vous plaît ! Il est demandé à tous de ne pas baver sur le pur beau gosse qui nous sert de prof de métamorphoses, car la future madame Victoire Lupin risque de ne pas apprécier que des élèves reluquent son beau Ted ! Merci de votre compréhension. Anna, tu me dois dix gallions. Merci de me faire gagner cent gallions en moins de deux heures, n’hésites pas à parier avec moi quand tu le désires. »

La jeune brune éclata de rire, rapidement suivie par quelques autres, tandis que les ‘groupies’ du beau Ted Lupin la fusillaient du regard. Elle sortit rapidement sa trousse, au bout de laquelle pendouillait un petit ours marron tout pelucheux, qui la fit fondre comme un glaçon. Bon sang, et Nathan n’était même pas là pour voir dans quel état il réussissait à la mettre alors qu’elle ne faisait que penser à lui. Etouffant un nouveau bâillement, Lily s’appuya au mur, et tourna la tête vers la porte pour voir qui étaient les autres qui allaient rentrer, et si, éventuellement, elle n’en connaîtrait pas quelques-uns.

[Messages :]

« Now I've had the time of my life
No I never felt like this before
Yes I swear it's the truth
and I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I owe it all to youuuuuu ! »
« Oh Lily, baisse d’un ton … »
« Pourquoi donc, petit poussin, tu es tombé de ton nid un peu trop tôt ? »
« Et toi donc … »
« Oui, mais moi c’est un pari, gueuler du Dirty Dancing en plein milieu de ma salle commune. Là, je viens de gagner quarante gallions tu vois ! »

La rouquine envoya un grand sourire réjoui à son camarade de cinquième année. Levée, lavée, maquillée, Lily respirait la bonne humeur. Habillée du traditionnel uniforme de Poudlard, qui comportait la robe de sorcière, la cape, l’écharpe de sa maison, elle l’avait agrémenté de mitaines noires à rayures vertes pour protéger ses mains du froid, parce que oui, il fait atrocement froid en ce mois de Janvier. S’étirant comme un chat, elle fit craquer ses muscles engourdis de sommeil et rejoignit une de ses amies pour se diriger vers la grande salle. Elles traversèrent les cachots en papotant allègrement, son amie la mettant au défi de gueuler à nouveau Dirty Dancing dans la grande salle. Ce qui ne dérangeait pas du tout Lily, qui pouvait même y ajouter la chorégraphie si on lui trouvait un mec capable de faire un porté sans qu’elle ne se vautre au sol. Lily adorait ce film qui, même s’il était très con et très niais et très dégoulinant de bons sentiments, reflétait pour elle ce qu’elle passait son temps à faire, la recherche DU garçon. Le romantique de base qui serait assez tordu pour accepter tous ses vices, comme par exemple celui de ronronner comme un chat, ou d’être aussi libérée que … Pas de comparaisons possibles, vu tout ce que Lily était capable de faire. Rouler une pelle à un gars – ou une fille – devant tout le monde ne lui posait strictement aucun souci, gueuler devant tout le monde non plus parce que, comme on dit, le ridicule ne tue pas, ou bien … Enfin bref, Lily est une espèce de tarée anticonformiste, on l’aura compris. Elles grimpèrent jusqu’au hall, et sa camarade alla jeter un petit coup d’œil par la fenêtre, pour constater qu’il neigeait à gros flocons. Ouf, heureusement qu’elles n’avaient pas botanique aujourd’hui, la rouquine aurait certainement refusé de sortir par un temps pareil. Elles entrèrent dans la grande salle et allèrent se vautrer à la table des Serpentard, non sans que Lily ait fait un détour par chaque table pour saluer sa smalla. La rouquine se servit rapidement du jus de citrouille qu’elle se siffla en vitesse, puis elle se laissa bercer par les conversations autour d’elle, baillant de temps à autres. Jusqu’à ce que son amie lui tire la manche pour lui signifier qu’elle avait perdu son pari. Ah oui mince, elle devait chanter Time of my life !

« I've had the time of my life
No I never felt this way before
Yes I swear it's the truth
And I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I've searched through every open door
'Til I found the truth
And I owe it all to you »

De la table des Gryffondor, elle vit son frère applaudir, accompagné de son cousin Fred, puis de Rose quand elle posa sa tartine pour taper dans ses mains. Rapidement rejoints par Hugo qui siffla et lui adressa un clin d’œil complice. Lily s’inclina avec emphase et théâtralité, puis se rassit pour finir son jus de citrouille, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Se tournant vers sa camarade, elle lui signala avec un sourire qu’elle lui devait cinquante gallions. Ne jamais parier avec Lily Potter, sauf si vous êtes riches. Une fois le petit-déjeuner fini, les deux filles se levèrent pour se diriger vers leurs salles de cours. Lily, qui depuis près d’une demi-heure essayait d’apercevoir la tignasse brune de Nathan, déclara forfait et sortit en faisant la gueule, déçue de ne pas l’avoir vue. Elle aurait adoré le chauffer devant tout le monde … Et il aurait adoré répliquer avec sa chaude voix habituelle de pur beau gosse. Elles se dirigèrent vers la salle de métamorphoses, Lily parlant du professeur de métamorphoses avec des étoiles dans les yeux, comme si elle était raide dingue du beau Ted Lupin. En fait, elle était plutôt en train d’imiter grossièrement toutes les filles qui le regardaient passer avec de gros yeux énamourés. Pour Lily, Ted c’était son presque cousin, celui qui venait à la maison tous les jours, qui était fiancé à sa cousine Victoire et qui attendait l’Apocalypse future pour la demander en mariage et faire d’elle une madame Victoire Lupin. Avant qu’elles n’arrivent devant la salle, son amie lui lança un nouveau pari, celui de gueuler dans la salle que Ted est un beau gosse. Lily accepta avec un sourire, contente de gagner dix gallions de plus. Quarante plus cinquante plus dix, ça fait cent gallions en même pas deux heures ça ! En arrivant devant la salle, Lily s’aperçut avec déplaisir que Narwyn Strange se tenait devant elle. Elle lui envoya un regard glacial et assassin, se rappelant les coups et les insultes qu’elle avait échangé avec cette pétasse pro sang-pur. Heureusement, avant que ça ne dégénère – Lily ne pouvant pas s’empêcher de balancer des piques toxiques quand elle se retrouve face à des ennemis – Ted eut la bonne idée d’ouvrir la porte pour leur demander de rentrer. Lily salua son presque cousin d’un « Saluuuut Ted =D » très chaleureux et pas du tout professoral, avant d’aller se vautrer en milieu de salle, du côté gauche, à côté du mur. Et, renvoyant un clin d’œil à son amie assise un peu plus loin, elle se leva.

« Votre attention s’il vous plaît ! Il est demandé à tous de ne pas baver sur le pur beau gosse qui nous sert de prof de métamorphoses, car la future madame Victoire Lupin risque de ne pas apprécier que des élèves reluquent son beau Ted ! Merci de votre compréhension. Anna, tu me dois dix gallions. Merci de me faire gagner cent gallions en moins de deux heures, n’hésites pas à parier avec moi quand tu le désires. »

La jeune brune éclata de rire, rapidement suivie par quelques autres, tandis que les ‘groupies’ du beau Ted Lupin la fusillaient du regard. Elle sortit rapidement sa trousse, au bout de laquelle pendouillait un petit ours marron tout pelucheux, qui la fit fondre comme un glaçon. Bon sang, et Nathan n’était même pas là pour voir dans quel état il réussissait à la mettre alors qu’elle ne faisait que penser à lui. Etouffant un nouveau bâillement, Lily s’appuya au mur, et tourna la tête vers la porte pour voir qui étaient les autres qui allaient rentrer, et si, éventuellement, elle n’en connaîtrait pas quelques-uns.

[Points :]

« Now I've had the time of my life
No I never felt like this before
Yes I swear it's the truth
and I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I owe it all to youuuuuu ! »
« Oh Lily, baisse d’un ton … »
« Pourquoi donc, petit poussin, tu es tombé de ton nid un peu trop tôt ? »
« Et toi donc … »
« Oui, mais moi c’est un pari, gueuler du Dirty Dancing en plein milieu de ma salle commune. Là, je viens de gagner quarante gallions tu vois ! »

La rouquine envoya un grand sourire réjoui à son camarade de cinquième année. Levée, lavée, maquillée, Lily respirait la bonne humeur. Habillée du traditionnel uniforme de Poudlard, qui comportait la robe de sorcière, la cape, l’écharpe de sa maison, elle l’avait agrémenté de mitaines noires à rayures vertes pour protéger ses mains du froid, parce que oui, il fait atrocement froid en ce mois de Janvier. S’étirant comme un chat, elle fit craquer ses muscles engourdis de sommeil et rejoignit une de ses amies pour se diriger vers la grande salle. Elles traversèrent les cachots en papotant allègrement, son amie la mettant au défi de gueuler à nouveau Dirty Dancing dans la grande salle. Ce qui ne dérangeait pas du tout Lily, qui pouvait même y ajouter la chorégraphie si on lui trouvait un mec capable de faire un porté sans qu’elle ne se vautre au sol. Lily adorait ce film qui, même s’il était très con et très niais et très dégoulinant de bons sentiments, reflétait pour elle ce qu’elle passait son temps à faire, la recherche DU garçon. Le romantique de base qui serait assez tordu pour accepter tous ses vices, comme par exemple celui de ronronner comme un chat, ou d’être aussi libérée que … Pas de comparaisons possibles, vu tout ce que Lily était capable de faire. Rouler une pelle à un gars – ou une fille – devant tout le monde ne lui posait strictement aucun souci, gueuler devant tout le monde non plus parce que, comme on dit, le ridicule ne tue pas, ou bien … Enfin bref, Lily est une espèce de tarée anticonformiste, on l’aura compris. Elles grimpèrent jusqu’au hall, et sa camarade alla jeter un petit coup d’œil par la fenêtre, pour constater qu’il neigeait à gros flocons. Ouf, heureusement qu’elles n’avaient pas botanique aujourd’hui, la rouquine aurait certainement refusé de sortir par un temps pareil. Elles entrèrent dans la grande salle et allèrent se vautrer à la table des Serpentard, non sans que Lily ait fait un détour par chaque table pour saluer sa smalla. La rouquine se servit rapidement du jus de citrouille qu’elle se siffla en vitesse, puis elle se laissa bercer par les conversations autour d’elle, baillant de temps à autres. Jusqu’à ce que son amie lui tire la manche pour lui signifier qu’elle avait perdu son pari. Ah oui mince, elle devait chanter Time of my life !

« I've had the time of my life
No I never felt this way before
Yes I swear it's the truth
And I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I've searched through every open door
'Til I found the truth
And I owe it all to you »

De la table des Gryffondor, elle vit son frère applaudir, accompagné de son cousin Fred, puis de Rose quand elle posa sa tartine pour taper dans ses mains. Rapidement rejoints par Hugo qui siffla et lui adressa un clin d’œil complice. Lily s’inclina avec emphase et théâtralité, puis se rassit pour finir son jus de citrouille, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Se tournant vers sa camarade, elle lui signala avec un sourire qu’elle lui devait cinquante gallions. Ne jamais parier avec Lily Potter, sauf si vous êtes riches. Une fois le petit-déjeuner fini, les deux filles se levèrent pour se diriger vers leurs salles de cours. Lily, qui depuis près d’une demi-heure essayait d’apercevoir la tignasse brune de Nathan, déclara forfait et sortit en faisant la gueule, déçue de ne pas l’avoir vue. Elle aurait adoré le chauffer devant tout le monde … Et il aurait adoré répliquer avec sa chaude voix habituelle de pur beau gosse. Elles se dirigèrent vers la salle de métamorphoses, Lily parlant du professeur de métamorphoses avec des étoiles dans les yeux, comme si elle était raide dingue du beau Ted Lupin. En fait, elle était plutôt en train d’imiter grossièrement toutes les filles qui le regardaient passer avec de gros yeux énamourés. Pour Lily, Ted c’était son presque cousin, celui qui venait à la maison tous les jours, qui était fiancé à sa cousine Victoire et qui attendait l’Apocalypse future pour la demander en mariage et faire d’elle une madame Victoire Lupin. Avant qu’elles n’arrivent devant la salle, son amie lui lança un nouveau pari, celui de gueuler dans la salle que Ted est un beau gosse. Lily accepta avec un sourire, contente de gagner dix gallions de plus. Quarante plus cinquante plus dix, ça fait cent gallions en même pas deux heures ça ! En arrivant devant la salle, Lily s’aperçut avec déplaisir que Narwyn Strange se tenait devant elle. Elle lui envoya un regard glacial et assassin, se rappelant les coups et les insultes qu’elle avait échangé avec cette pétasse pro sang-pur. Heureusement, avant que ça ne dégénère – Lily ne pouvant pas s’empêcher de balancer des piques toxiques quand elle se retrouve face à des ennemis – Ted eut la bonne idée d’ouvrir la porte pour leur demander de rentrer. Lily salua son presque cousin d’un « Saluuuut Ted =D » très chaleureux et pas du tout professoral, avant d’aller se vautrer en milieu de salle, du côté gauche, à côté du mur. Et, renvoyant un clin d’œil à son amie assise un peu plus loin, elle se leva.

« Votre attention s’il vous plaît ! Il est demandé à tous de ne pas baver sur le pur beau gosse qui nous sert de prof de métamorphoses, car la future madame Victoire Lupin risque de ne pas apprécier que des élèves reluquent son beau Ted ! Merci de votre compréhension. Anna, tu me dois dix gallions. Merci de me faire gagner cent gallions en moins de deux heures, n’hésites pas à parier avec moi quand tu le désires. »

La jeune brune éclata de rire, rapidement suivie par quelques autres, tandis que les ‘groupies’ du beau Ted Lupin la fusillaient du regard. Elle sortit rapidement sa trousse, au bout de laquelle pendouillait un petit ours marron tout pelucheux, qui la fit fondre comme un glaçon. Bon sang, et Nathan n’était même pas là pour voir dans quel état il réussissait à la mettre alors qu’elle ne faisait que penser à lui. Etouffant un nouveau bâillement, Lily s’appuya au mur, et tourna la tête vers la porte pour voir qui étaient les autres qui allaient rentrer, et si, éventuellement, elle n’en connaîtrait pas quelques-uns.

[Avatar :]

« Now I've had the time of my life
No I never felt like this before
Yes I swear it's the truth
and I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I owe it all to youuuuuu ! »
« Oh Lily, baisse d’un ton … »
« Pourquoi donc, petit poussin, tu es tombé de ton nid un peu trop tôt ? »
« Et toi donc … »
« Oui, mais moi c’est un pari, gueuler du Dirty Dancing en plein milieu de ma salle commune. Là, je viens de gagner quarante gallions tu vois ! »

La rouquine envoya un grand sourire réjoui à son camarade de cinquième année. Levée, lavée, maquillée, Lily respirait la bonne humeur. Habillée du traditionnel uniforme de Poudlard, qui comportait la robe de sorcière, la cape, l’écharpe de sa maison, elle l’avait agrémenté de mitaines noires à rayures vertes pour protéger ses mains du froid, parce que oui, il fait atrocement froid en ce mois de Janvier. S’étirant comme un chat, elle fit craquer ses muscles engourdis de sommeil et rejoignit une de ses amies pour se diriger vers la grande salle. Elles traversèrent les cachots en papotant allègrement, son amie la mettant au défi de gueuler à nouveau Dirty Dancing dans la grande salle. Ce qui ne dérangeait pas du tout Lily, qui pouvait même y ajouter la chorégraphie si on lui trouvait un mec capable de faire un porté sans qu’elle ne se vautre au sol. Lily adorait ce film qui, même s’il était très con et très niais et très dégoulinant de bons sentiments, reflétait pour elle ce qu’elle passait son temps à faire, la recherche DU garçon. Le romantique de base qui serait assez tordu pour accepter tous ses vices, comme par exemple celui de ronronner comme un chat, ou d’être aussi libérée que … Pas de comparaisons possibles, vu tout ce que Lily était capable de faire. Rouler une pelle à un gars – ou une fille – devant tout le monde ne lui posait strictement aucun souci, gueuler devant tout le monde non plus parce que, comme on dit, le ridicule ne tue pas, ou bien … Enfin bref, Lily est une espèce de tarée anticonformiste, on l’aura compris. Elles grimpèrent jusqu’au hall, et sa camarade alla jeter un petit coup d’œil par la fenêtre, pour constater qu’il neigeait à gros flocons. Ouf, heureusement qu’elles n’avaient pas botanique aujourd’hui, la rouquine aurait certainement refusé de sortir par un temps pareil. Elles entrèrent dans la grande salle et allèrent se vautrer à la table des Serpentard, non sans que Lily ait fait un détour par chaque table pour saluer sa smalla. La rouquine se servit rapidement du jus de citrouille qu’elle se siffla en vitesse, puis elle se laissa bercer par les conversations autour d’elle, baillant de temps à autres. Jusqu’à ce que son amie lui tire la manche pour lui signifier qu’elle avait perdu son pari. Ah oui mince, elle devait chanter Time of my life !

« I've had the time of my life
No I never felt this way before
Yes I swear it's the truth
And I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I've searched through every open door
'Til I found the truth
And I owe it all to you »

De la table des Gryffondor, elle vit son frère applaudir, accompagné de son cousin Fred, puis de Rose quand elle posa sa tartine pour taper dans ses mains. Rapidement rejoints par Hugo qui siffla et lui adressa un clin d’œil complice. Lily s’inclina avec emphase et théâtralité, puis se rassit pour finir son jus de citrouille, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Se tournant vers sa camarade, elle lui signala avec un sourire qu’elle lui devait cinquante gallions. Ne jamais parier avec Lily Potter, sauf si vous êtes riches. Une fois le petit-déjeuner fini, les deux filles se levèrent pour se diriger vers leurs salles de cours. Lily, qui depuis près d’une demi-heure essayait d’apercevoir la tignasse brune de Nathan, déclara forfait et sortit en faisant la gueule, déçue de ne pas l’avoir vue. Elle aurait adoré le chauffer devant tout le monde … Et il aurait adoré répliquer avec sa chaude voix habituelle de pur beau gosse. Elles se dirigèrent vers la salle de métamorphoses, Lily parlant du professeur de métamorphoses avec des étoiles dans les yeux, comme si elle était raide dingue du beau Ted Lupin. En fait, elle était plutôt en train d’imiter grossièrement toutes les filles qui le regardaient passer avec de gros yeux énamourés. Pour Lily, Ted c’était son presque cousin, celui qui venait à la maison tous les jours, qui était fiancé à sa cousine Victoire et qui attendait l’Apocalypse future pour la demander en mariage et faire d’elle une madame Victoire Lupin. Avant qu’elles n’arrivent devant la salle, son amie lui lança un nouveau pari, celui de gueuler dans la salle que Ted est un beau gosse. Lily accepta avec un sourire, contente de gagner dix gallions de plus. Quarante plus cinquante plus dix, ça fait cent gallions en même pas deux heures ça ! En arrivant devant la salle, Lily s’aperçut avec déplaisir que Narwyn Strange se tenait devant elle. Elle lui envoya un regard glacial et assassin, se rappelant les coups et les insultes qu’elle avait échangé avec cette pétasse pro sang-pur. Heureusement, avant que ça ne dégénère – Lily ne pouvant pas s’empêcher de balancer des piques toxiques quand elle se retrouve face à des ennemis – Ted eut la bonne idée d’ouvrir la porte pour leur demander de rentrer. Lily salua son presque cousin d’un « Saluuuut Ted =D » très chaleureux et pas du tout professoral, avant d’aller se vautrer en milieu de salle, du côté gauche, à côté du mur. Et, renvoyant un clin d’œil à son amie assise un peu plus loin, elle se leva.

« Votre attention s’il vous plaît ! Il est demandé à tous de ne pas baver sur le pur beau gosse qui nous sert de prof de métamorphoses, car la future madame Victoire Lupin risque de ne pas apprécier que des élèves reluquent son beau Ted ! Merci de votre compréhension. Anna, tu me dois dix gallions. Merci de me faire gagner cent gallions en moins de deux heures, n’hésites pas à parier avec moi quand tu le désires. »

La jeune brune éclata de rire, rapidement suivie par quelques autres, tandis que les ‘groupies’ du beau Ted Lupin la fusillaient du regard. Elle sortit rapidement sa trousse, au bout de laquelle pendouillait un petit ours marron tout pelucheux, qui la fit fondre comme un glaçon. Bon sang, et Nathan n’était même pas là pour voir dans quel état il réussissait à la mettre alors qu’elle ne faisait que penser à lui. Etouffant un nouveau bâillement, Lily s’appuya au mur, et tourna la tête vers la porte pour voir qui étaient les autres qui allaient rentrer, et si, éventuellement, elle n’en connaîtrait pas quelques-uns.

[Crédits :]

« Now I've had the time of my life
No I never felt like this before
Yes I swear it's the truth
and I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I owe it all to youuuuuu ! »
« Oh Lily, baisse d’un ton … »
« Pourquoi donc, petit poussin, tu es tombé de ton nid un peu trop tôt ? »
« Et toi donc … »
« Oui, mais moi c’est un pari, gueuler du Dirty Dancing en plein milieu de ma salle commune. Là, je viens de gagner quarante gallions tu vois ! »

La rouquine envoya un grand sourire réjoui à son camarade de cinquième année. Levée, lavée, maquillée, Lily respirait la bonne humeur. Habillée du traditionnel uniforme de Poudlard, qui comportait la robe de sorcière, la cape, l’écharpe de sa maison, elle l’avait agrémenté de mitaines noires à rayures vertes pour protéger ses mains du froid, parce que oui, il fait atrocement froid en ce mois de Janvier. S’étirant comme un chat, elle fit craquer ses muscles engourdis de sommeil et rejoignit une de ses amies pour se diriger vers la grande salle. Elles traversèrent les cachots en papotant allègrement, son amie la mettant au défi de gueuler à nouveau Dirty Dancing dans la grande salle. Ce qui ne dérangeait pas du tout Lily, qui pouvait même y ajouter la chorégraphie si on lui trouvait un mec capable de faire un porté sans qu’elle ne se vautre au sol. Lily adorait ce film qui, même s’il était très con et très niais et très dégoulinant de bons sentiments, reflétait pour elle ce qu’elle passait son temps à faire, la recherche DU garçon. Le romantique de base qui serait assez tordu pour accepter tous ses vices, comme par exemple celui de ronronner comme un chat, ou d’être aussi libérée que … Pas de comparaisons possibles, vu tout ce que Lily était capable de faire. Rouler une pelle à un gars – ou une fille – devant tout le monde ne lui posait strictement aucun souci, gueuler devant tout le monde non plus parce que, comme on dit, le ridicule ne tue pas, ou bien … Enfin bref, Lily est une espèce de tarée anticonformiste, on l’aura compris. Elles grimpèrent jusqu’au hall, et sa camarade alla jeter un petit coup d’œil par la fenêtre, pour constater qu’il neigeait à gros flocons. Ouf, heureusement qu’elles n’avaient pas botanique aujourd’hui, la rouquine aurait certainement refusé de sortir par un temps pareil. Elles entrèrent dans la grande salle et allèrent se vautrer à la table des Serpentard, non sans que Lily ait fait un détour par chaque table pour saluer sa smalla. La rouquine se servit rapidement du jus de citrouille qu’elle se siffla en vitesse, puis elle se laissa bercer par les conversations autour d’elle, baillant de temps à autres. Jusqu’à ce que son amie lui tire la manche pour lui signifier qu’elle avait perdu son pari. Ah oui mince, elle devait chanter Time of my life !

« I've had the time of my life
No I never felt this way before
Yes I swear it's the truth
And I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I've searched through every open door
'Til I found the truth
And I owe it all to you »

De la table des Gryffondor, elle vit son frère applaudir, accompagné de son cousin Fred, puis de Rose quand elle posa sa tartine pour taper dans ses mains. Rapidement rejoints par Hugo qui siffla et lui adressa un clin d’œil complice. Lily s’inclina avec emphase et théâtralité, puis se rassit pour finir son jus de citrouille, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Se tournant vers sa camarade, elle lui signala avec un sourire qu’elle lui devait cinquante gallions. Ne jamais parier avec Lily Potter, sauf si vous êtes riches. Une fois le petit-déjeuner fini, les deux filles se levèrent pour se diriger vers leurs salles de cours. Lily, qui depuis près d’une demi-heure essayait d’apercevoir la tignasse brune de Nathan, déclara forfait et sortit en faisant la gueule, déçue de ne pas l’avoir vue. Elle aurait adoré le chauffer devant tout le monde … Et il aurait adoré répliquer avec sa chaude voix habituelle de pur beau gosse. Elles se dirigèrent vers la salle de métamorphoses, Lily parlant du professeur de métamorphoses avec des étoiles dans les yeux, comme si elle était raide dingue du beau Ted Lupin. En fait, elle était plutôt en train d’imiter grossièrement toutes les filles qui le regardaient passer avec de gros yeux énamourés. Pour Lily, Ted c’était son presque cousin, celui qui venait à la maison tous les jours, qui était fiancé à sa cousine Victoire et qui attendait l’Apocalypse future pour la demander en mariage et faire d’elle une madame Victoire Lupin. Avant qu’elles n’arrivent devant la salle, son amie lui lança un nouveau pari, celui de gueuler dans la salle que Ted est un beau gosse. Lily accepta avec un sourire, contente de gagner dix gallions de plus. Quarante plus cinquante plus dix, ça fait cent gallions en même pas deux heures ça ! En arrivant devant la salle, Lily s’aperçut avec déplaisir que Narwyn Strange se tenait devant elle. Elle lui envoya un regard glacial et assassin, se rappelant les coups et les insultes qu’elle avait échangé avec cette pétasse pro sang-pur. Heureusement, avant que ça ne dégénère – Lily ne pouvant pas s’empêcher de balancer des piques toxiques quand elle se retrouve face à des ennemis – Ted eut la bonne idée d’ouvrir la porte pour leur demander de rentrer. Lily salua son presque cousin d’un « Saluuuut Ted =D » très chaleureux et pas du tout professoral, avant d’aller se vautrer en milieu de salle, du côté gauche, à côté du mur. Et, renvoyant un clin d’œil à son amie assise un peu plus loin, elle se leva.

« Votre attention s’il vous plaît ! Il est demandé à tous de ne pas baver sur le pur beau gosse qui nous sert de prof de métamorphoses, car la future madame Victoire Lupin risque de ne pas apprécier que des élèves reluquent son beau Ted ! Merci de votre compréhension. Anna, tu me dois dix gallions. Merci de me faire gagner cent gallions en moins de deux heures, n’hésites pas à parier avec moi quand tu le désires. »

La jeune brune éclata de rire, rapidement suivie par quelques autres, tandis que les ‘groupies’ du beau Ted Lupin la fusillaient du regard. Elle sortit rapidement sa trousse, au bout de laquelle pendouillait un petit ours marron tout pelucheux, qui la fit fondre comme un glaçon. Bon sang, et Nathan n’était même pas là pour voir dans quel état il réussissait à la mettre alors qu’elle ne faisait que penser à lui. Etouffant un nouveau bâillement, Lily s’appuya au mur, et tourna la tête vers la porte pour voir qui étaient les autres qui allaient rentrer, et si, éventuellement, elle n’en connaîtrait pas quelques-uns.

[Age RPG :]

« Now I've had the time of my life
No I never felt like this before
Yes I swear it's the truth
and I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I owe it all to youuuuuu ! »
« Oh Lily, baisse d’un ton … »
« Pourquoi donc, petit poussin, tu es tombé de ton nid un peu trop tôt ? »
« Et toi donc … »
« Oui, mais moi c’est un pari, gueuler du Dirty Dancing en plein milieu de ma salle commune. Là, je viens de gagner quarante gallions tu vois ! »

La rouquine envoya un grand sourire réjoui à son camarade de cinquième année. Levée, lavée, maquillée, Lily respirait la bonne humeur. Habillée du traditionnel uniforme de Poudlard, qui comportait la robe de sorcière, la cape, l’écharpe de sa maison, elle l’avait agrémenté de mitaines noires à rayures vertes pour protéger ses mains du froid, parce que oui, il fait atrocement froid en ce mois de Janvier. S’étirant comme un chat, elle fit craquer ses muscles engourdis de sommeil et rejoignit une de ses amies pour se diriger vers la grande salle. Elles traversèrent les cachots en papotant allègrement, son amie la mettant au défi de gueuler à nouveau Dirty Dancing dans la grande salle. Ce qui ne dérangeait pas du tout Lily, qui pouvait même y ajouter la chorégraphie si on lui trouvait un mec capable de faire un porté sans qu’elle ne se vautre au sol. Lily adorait ce film qui, même s’il était très con et très niais et très dégoulinant de bons sentiments, reflétait pour elle ce qu’elle passait son temps à faire, la recherche DU garçon. Le romantique de base qui serait assez tordu pour accepter tous ses vices, comme par exemple celui de ronronner comme un chat, ou d’être aussi libérée que … Pas de comparaisons possibles, vu tout ce que Lily était capable de faire. Rouler une pelle à un gars – ou une fille – devant tout le monde ne lui posait strictement aucun souci, gueuler devant tout le monde non plus parce que, comme on dit, le ridicule ne tue pas, ou bien … Enfin bref, Lily est une espèce de tarée anticonformiste, on l’aura compris. Elles grimpèrent jusqu’au hall, et sa camarade alla jeter un petit coup d’œil par la fenêtre, pour constater qu’il neigeait à gros flocons. Ouf, heureusement qu’elles n’avaient pas botanique aujourd’hui, la rouquine aurait certainement refusé de sortir par un temps pareil. Elles entrèrent dans la grande salle et allèrent se vautrer à la table des Serpentard, non sans que Lily ait fait un détour par chaque table pour saluer sa smalla. La rouquine se servit rapidement du jus de citrouille qu’elle se siffla en vitesse, puis elle se laissa bercer par les conversations autour d’elle, baillant de temps à autres. Jusqu’à ce que son amie lui tire la manche pour lui signifier qu’elle avait perdu son pari. Ah oui mince, elle devait chanter Time of my life !

« I've had the time of my life
No I never felt this way before
Yes I swear it's the truth
And I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I've searched through every open door
'Til I found the truth
And I owe it all to you »

De la table des Gryffondor, elle vit son frère applaudir, accompagné de son cousin Fred, puis de Rose quand elle posa sa tartine pour taper dans ses mains. Rapidement rejoints par Hugo qui siffla et lui adressa un clin d’œil complice. Lily s’inclina avec emphase et théâtralité, puis se rassit pour finir son jus de citrouille, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Se tournant vers sa camarade, elle lui signala avec un sourire qu’elle lui devait cinquante gallions. Ne jamais parier avec Lily Potter, sauf si vous êtes riches. Une fois le petit-déjeuner fini, les deux filles se levèrent pour se diriger vers leurs salles de cours. Lily, qui depuis près d’une demi-heure essayait d’apercevoir la tignasse brune de Nathan, déclara forfait et sortit en faisant la gueule, déçue de ne pas l’avoir vue. Elle aurait adoré le chauffer devant tout le monde … Et il aurait adoré répliquer avec sa chaude voix habituelle de pur beau gosse. Elles se dirigèrent vers la salle de métamorphoses, Lily parlant du professeur de métamorphoses avec des étoiles dans les yeux, comme si elle était raide dingue du beau Ted Lupin. En fait, elle était plutôt en train d’imiter grossièrement toutes les filles qui le regardaient passer avec de gros yeux énamourés. Pour Lily, Ted c’était son presque cousin, celui qui venait à la maison tous les jours, qui était fiancé à sa cousine Victoire et qui attendait l’Apocalypse future pour la demander en mariage et faire d’elle une madame Victoire Lupin. Avant qu’elles n’arrivent devant la salle, son amie lui lança un nouveau pari, celui de gueuler dans la salle que Ted est un beau gosse. Lily accepta avec un sourire, contente de gagner dix gallions de plus. Quarante plus cinquante plus dix, ça fait cent gallions en même pas deux heures ça ! En arrivant devant la salle, Lily s’aperçut avec déplaisir que Narwyn Strange se tenait devant elle. Elle lui envoya un regard glacial et assassin, se rappelant les coups et les insultes qu’elle avait échangé avec cette pétasse pro sang-pur. Heureusement, avant que ça ne dégénère – Lily ne pouvant pas s’empêcher de balancer des piques toxiques quand elle se retrouve face à des ennemis – Ted eut la bonne idée d’ouvrir la porte pour leur demander de rentrer. Lily salua son presque cousin d’un « Saluuuut Ted =D » très chaleureux et pas du tout professoral, avant d’aller se vautrer en milieu de salle, du côté gauche, à côté du mur. Et, renvoyant un clin d’œil à son amie assise un peu plus loin, elle se leva.

« Votre attention s’il vous plaît ! Il est demandé à tous de ne pas baver sur le pur beau gosse qui nous sert de prof de métamorphoses, car la future madame Victoire Lupin risque de ne pas apprécier que des élèves reluquent son beau Ted ! Merci de votre compréhension. Anna, tu me dois dix gallions. Merci de me faire gagner cent gallions en moins de deux heures, n’hésites pas à parier avec moi quand tu le désires. »

La jeune brune éclata de rire, rapidement suivie par quelques autres, tandis que les ‘groupies’ du beau Ted Lupin la fusillaient du regard. Elle sortit rapidement sa trousse, au bout de laquelle pendouillait un petit ours marron tout pelucheux, qui la fit fondre comme un glaçon. Bon sang, et Nathan n’était même pas là pour voir dans quel état il réussissait à la mettre alors qu’elle ne faisait que penser à lui. Etouffant un nouveau bâillement, Lily s’appuya au mur, et tourna la tête vers la porte pour voir qui étaient les autres qui allaient rentrer, et si, éventuellement, elle n’en connaîtrait pas quelques-uns.

[Sang :]

« Now I've had the time of my life
No I never felt like this before
Yes I swear it's the truth
and I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I owe it all to youuuuuu ! »
« Oh Lily, baisse d’un ton … »
« Pourquoi donc, petit poussin, tu es tombé de ton nid un peu trop tôt ? »
« Et toi donc … »
« Oui, mais moi c’est un pari, gueuler du Dirty Dancing en plein milieu de ma salle commune. Là, je viens de gagner quarante gallions tu vois ! »

La rouquine envoya un grand sourire réjoui à son camarade de cinquième année. Levée, lavée, maquillée, Lily respirait la bonne humeur. Habillée du traditionnel uniforme de Poudlard, qui comportait la robe de sorcière, la cape, l’écharpe de sa maison, elle l’avait agrémenté de mitaines noires à rayures vertes pour protéger ses mains du froid, parce que oui, il fait atrocement froid en ce mois de Janvier. S’étirant comme un chat, elle fit craquer ses muscles engourdis de sommeil et rejoignit une de ses amies pour se diriger vers la grande salle. Elles traversèrent les cachots en papotant allègrement, son amie la mettant au défi de gueuler à nouveau Dirty Dancing dans la grande salle. Ce qui ne dérangeait pas du tout Lily, qui pouvait même y ajouter la chorégraphie si on lui trouvait un mec capable de faire un porté sans qu’elle ne se vautre au sol. Lily adorait ce film qui, même s’il était très con et très niais et très dégoulinant de bons sentiments, reflétait pour elle ce qu’elle passait son temps à faire, la recherche DU garçon. Le romantique de base qui serait assez tordu pour accepter tous ses vices, comme par exemple celui de ronronner comme un chat, ou d’être aussi libérée que … Pas de comparaisons possibles, vu tout ce que Lily était capable de faire. Rouler une pelle à un gars – ou une fille – devant tout le monde ne lui posait strictement aucun souci, gueuler devant tout le monde non plus parce que, comme on dit, le ridicule ne tue pas, ou bien … Enfin bref, Lily est une espèce de tarée anticonformiste, on l’aura compris. Elles grimpèrent jusqu’au hall, et sa camarade alla jeter un petit coup d’œil par la fenêtre, pour constater qu’il neigeait à gros flocons. Ouf, heureusement qu’elles n’avaient pas botanique aujourd’hui, la rouquine aurait certainement refusé de sortir par un temps pareil. Elles entrèrent dans la grande salle et allèrent se vautrer à la table des Serpentard, non sans que Lily ait fait un détour par chaque table pour saluer sa smalla. La rouquine se servit rapidement du jus de citrouille qu’elle se siffla en vitesse, puis elle se laissa bercer par les conversations autour d’elle, baillant de temps à autres. Jusqu’à ce que son amie lui tire la manche pour lui signifier qu’elle avait perdu son pari. Ah oui mince, elle devait chanter Time of my life !

« I've had the time of my life
No I never felt this way before
Yes I swear it's the truth
And I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I've searched through every open door
'Til I found the truth
And I owe it all to you »

De la table des Gryffondor, elle vit son frère applaudir, accompagné de son cousin Fred, puis de Rose quand elle posa sa tartine pour taper dans ses mains. Rapidement rejoints par Hugo qui siffla et lui adressa un clin d’œil complice. Lily s’inclina avec emphase et théâtralité, puis se rassit pour finir son jus de citrouille, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Se tournant vers sa camarade, elle lui signala avec un sourire qu’elle lui devait cinquante gallions. Ne jamais parier avec Lily Potter, sauf si vous êtes riches. Une fois le petit-déjeuner fini, les deux filles se levèrent pour se diriger vers leurs salles de cours. Lily, qui depuis près d’une demi-heure essayait d’apercevoir la tignasse brune de Nathan, déclara forfait et sortit en faisant la gueule, déçue de ne pas l’avoir vue. Elle aurait adoré le chauffer devant tout le monde … Et il aurait adoré répliquer avec sa chaude voix habituelle de pur beau gosse. Elles se dirigèrent vers la salle de métamorphoses, Lily parlant du professeur de métamorphoses avec des étoiles dans les yeux, comme si elle était raide dingue du beau Ted Lupin. En fait, elle était plutôt en train d’imiter grossièrement toutes les filles qui le regardaient passer avec de gros yeux énamourés. Pour Lily, Ted c’était son presque cousin, celui qui venait à la maison tous les jours, qui était fiancé à sa cousine Victoire et qui attendait l’Apocalypse future pour la demander en mariage et faire d’elle une madame Victoire Lupin. Avant qu’elles n’arrivent devant la salle, son amie lui lança un nouveau pari, celui de gueuler dans la salle que Ted est un beau gosse. Lily accepta avec un sourire, contente de gagner dix gallions de plus. Quarante plus cinquante plus dix, ça fait cent gallions en même pas deux heures ça ! En arrivant devant la salle, Lily s’aperçut avec déplaisir que Narwyn Strange se tenait devant elle. Elle lui envoya un regard glacial et assassin, se rappelant les coups et les insultes qu’elle avait échangé avec cette pétasse pro sang-pur. Heureusement, avant que ça ne dégénère – Lily ne pouvant pas s’empêcher de balancer des piques toxiques quand elle se retrouve face à des ennemis – Ted eut la bonne idée d’ouvrir la porte pour leur demander de rentrer. Lily salua son presque cousin d’un « Saluuuut Ted =D » très chaleureux et pas du tout professoral, avant d’aller se vautrer en milieu de salle, du côté gauche, à côté du mur. Et, renvoyant un clin d’œil à son amie assise un peu plus loin, elle se leva.

« Votre attention s’il vous plaît ! Il est demandé à tous de ne pas baver sur le pur beau gosse qui nous sert de prof de métamorphoses, car la future madame Victoire Lupin risque de ne pas apprécier que des élèves reluquent son beau Ted ! Merci de votre compréhension. Anna, tu me dois dix gallions. Merci de me faire gagner cent gallions en moins de deux heures, n’hésites pas à parier avec moi quand tu le désires. »

La jeune brune éclata de rire, rapidement suivie par quelques autres, tandis que les ‘groupies’ du beau Ted Lupin la fusillaient du regard. Elle sortit rapidement sa trousse, au bout de laquelle pendouillait un petit ours marron tout pelucheux, qui la fit fondre comme un glaçon. Bon sang, et Nathan n’était même pas là pour voir dans quel état il réussissait à la mettre alors qu’elle ne faisait que penser à lui. Etouffant un nouveau bâillement, Lily s’appuya au mur, et tourna la tête vers la porte pour voir qui étaient les autres qui allaient rentrer, et si, éventuellement, elle n’en connaîtrait pas quelques-uns.

[Camp :]

« Now I've had the time of my life
No I never felt like this before
Yes I swear it's the truth
and I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I owe it all to youuuuuu ! »
« Oh Lily, baisse d’un ton … »
« Pourquoi donc, petit poussin, tu es tombé de ton nid un peu trop tôt ? »
« Et toi donc … »
« Oui, mais moi c’est un pari, gueuler du Dirty Dancing en plein milieu de ma salle commune. Là, je viens de gagner quarante gallions tu vois ! »

La rouquine envoya un grand sourire réjoui à son camarade de cinquième année. Levée, lavée, maquillée, Lily respirait la bonne humeur. Habillée du traditionnel uniforme de Poudlard, qui comportait la robe de sorcière, la cape, l’écharpe de sa maison, elle l’avait agrémenté de mitaines noires à rayures vertes pour protéger ses mains du froid, parce que oui, il fait atrocement froid en ce mois de Janvier. S’étirant comme un chat, elle fit craquer ses muscles engourdis de sommeil et rejoignit une de ses amies pour se diriger vers la grande salle. Elles traversèrent les cachots en papotant allègrement, son amie la mettant au défi de gueuler à nouveau Dirty Dancing dans la grande salle. Ce qui ne dérangeait pas du tout Lily, qui pouvait même y ajouter la chorégraphie si on lui trouvait un mec capable de faire un porté sans qu’elle ne se vautre au sol. Lily adorait ce film qui, même s’il était très con et très niais et très dégoulinant de bons sentiments, reflétait pour elle ce qu’elle passait son temps à faire, la recherche DU garçon. Le romantique de base qui serait assez tordu pour accepter tous ses vices, comme par exemple celui de ronronner comme un chat, ou d’être aussi libérée que … Pas de comparaisons possibles, vu tout ce que Lily était capable de faire. Rouler une pelle à un gars – ou une fille – devant tout le monde ne lui posait strictement aucun souci, gueuler devant tout le monde non plus parce que, comme on dit, le ridicule ne tue pas, ou bien … Enfin bref, Lily est une espèce de tarée anticonformiste, on l’aura compris. Elles grimpèrent jusqu’au hall, et sa camarade alla jeter un petit coup d’œil par la fenêtre, pour constater qu’il neigeait à gros flocons. Ouf, heureusement qu’elles n’avaient pas botanique aujourd’hui, la rouquine aurait certainement refusé de sortir par un temps pareil. Elles entrèrent dans la grande salle et allèrent se vautrer à la table des Serpentard, non sans que Lily ait fait un détour par chaque table pour saluer sa smalla. La rouquine se servit rapidement du jus de citrouille qu’elle se siffla en vitesse, puis elle se laissa bercer par les conversations autour d’elle, baillant de temps à autres. Jusqu’à ce que son amie lui tire la manche pour lui signifier qu’elle avait perdu son pari. Ah oui mince, elle devait chanter Time of my life !

« I've had the time of my life
No I never felt this way before
Yes I swear it's the truth
And I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I've searched through every open door
'Til I found the truth
And I owe it all to you »

De la table des Gryffondor, elle vit son frère applaudir, accompagné de son cousin Fred, puis de Rose quand elle posa sa tartine pour taper dans ses mains. Rapidement rejoints par Hugo qui siffla et lui adressa un clin d’œil complice. Lily s’inclina avec emphase et théâtralité, puis se rassit pour finir son jus de citrouille, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Se tournant vers sa camarade, elle lui signala avec un sourire qu’elle lui devait cinquante gallions. Ne jamais parier avec Lily Potter, sauf si vous êtes riches. Une fois le petit-déjeuner fini, les deux filles se levèrent pour se diriger vers leurs salles de cours. Lily, qui depuis près d’une demi-heure essayait d’apercevoir la tignasse brune de Nathan, déclara forfait et sortit en faisant la gueule, déçue de ne pas l’avoir vue. Elle aurait adoré le chauffer devant tout le monde … Et il aurait adoré répliquer avec sa chaude voix habituelle de pur beau gosse. Elles se dirigèrent vers la salle de métamorphoses, Lily parlant du professeur de métamorphoses avec des étoiles dans les yeux, comme si elle était raide dingue du beau Ted Lupin. En fait, elle était plutôt en train d’imiter grossièrement toutes les filles qui le regardaient passer avec de gros yeux énamourés. Pour Lily, Ted c’était son presque cousin, celui qui venait à la maison tous les jours, qui était fiancé à sa cousine Victoire et qui attendait l’Apocalypse future pour la demander en mariage et faire d’elle une madame Victoire Lupin. Avant qu’elles n’arrivent devant la salle, son amie lui lança un nouveau pari, celui de gueuler dans la salle que Ted est un beau gosse. Lily accepta avec un sourire, contente de gagner dix gallions de plus. Quarante plus cinquante plus dix, ça fait cent gallions en même pas deux heures ça ! En arrivant devant la salle, Lily s’aperçut avec déplaisir que Narwyn Strange se tenait devant elle. Elle lui envoya un regard glacial et assassin, se rappelant les coups et les insultes qu’elle avait échangé avec cette pétasse pro sang-pur. Heureusement, avant que ça ne dégénère – Lily ne pouvant pas s’empêcher de balancer des piques toxiques quand elle se retrouve face à des ennemis – Ted eut la bonne idée d’ouvrir la porte pour leur demander de rentrer. Lily salua son presque cousin d’un « Saluuuut Ted =D » très chaleureux et pas du tout professoral, avant d’aller se vautrer en milieu de salle, du côté gauche, à côté du mur. Et, renvoyant un clin d’œil à son amie assise un peu plus loin, elle se leva.

« Votre attention s’il vous plaît ! Il est demandé à tous de ne pas baver sur le pur beau gosse qui nous sert de prof de métamorphoses, car la future madame Victoire Lupin risque de ne pas apprécier que des élèves reluquent son beau Ted ! Merci de votre compréhension. Anna, tu me dois dix gallions. Merci de me faire gagner cent gallions en moins de deux heures, n’hésites pas à parier avec moi quand tu le désires. »

La jeune brune éclata de rire, rapidement suivie par quelques autres, tandis que les ‘groupies’ du beau Ted Lupin la fusillaient du regard. Elle sortit rapidement sa trousse, au bout de laquelle pendouillait un petit ours marron tout pelucheux, qui la fit fondre comme un glaçon. Bon sang, et Nathan n’était même pas là pour voir dans quel état il réussissait à la mettre alors qu’elle ne faisait que penser à lui. Etouffant un nouveau bâillement, Lily s’appuya au mur, et tourna la tête vers la porte pour voir qui étaient les autres qui allaient rentrer, et si, éventuellement, elle n’en connaîtrait pas quelques-uns.

[Vie du personnage :]

« Now I've had the time of my life
No I never felt like this before
Yes I swear it's the truth
and I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I owe it all to youuuuuu ! »
« Oh Lily, baisse d’un ton … »
« Pourquoi donc, petit poussin, tu es tombé de ton nid un peu trop tôt ? »
« Et toi donc … »
« Oui, mais moi c’est un pari, gueuler du Dirty Dancing en plein milieu de ma salle commune. Là, je viens de gagner quarante gallions tu vois ! »

La rouquine envoya un grand sourire réjoui à son camarade de cinquième année. Levée, lavée, maquillée, Lily respirait la bonne humeur. Habillée du traditionnel uniforme de Poudlard, qui comportait la robe de sorcière, la cape, l’écharpe de sa maison, elle l’avait agrémenté de mitaines noires à rayures vertes pour protéger ses mains du froid, parce que oui, il fait atrocement froid en ce mois de Janvier. S’étirant comme un chat, elle fit craquer ses muscles engourdis de sommeil et rejoignit une de ses amies pour se diriger vers la grande salle. Elles traversèrent les cachots en papotant allègrement, son amie la mettant au défi de gueuler à nouveau Dirty Dancing dans la grande salle. Ce qui ne dérangeait pas du tout Lily, qui pouvait même y ajouter la chorégraphie si on lui trouvait un mec capable de faire un porté sans qu’elle ne se vautre au sol. Lily adorait ce film qui, même s’il était très con et très niais et très dégoulinant de bons sentiments, reflétait pour elle ce qu’elle passait son temps à faire, la recherche DU garçon. Le romantique de base qui serait assez tordu pour accepter tous ses vices, comme par exemple celui de ronronner comme un chat, ou d’être aussi libérée que … Pas de comparaisons possibles, vu tout ce que Lily était capable de faire. Rouler une pelle à un gars – ou une fille – devant tout le monde ne lui posait strictement aucun souci, gueuler devant tout le monde non plus parce que, comme on dit, le ridicule ne tue pas, ou bien … Enfin bref, Lily est une espèce de tarée anticonformiste, on l’aura compris. Elles grimpèrent jusqu’au hall, et sa camarade alla jeter un petit coup d’œil par la fenêtre, pour constater qu’il neigeait à gros flocons. Ouf, heureusement qu’elles n’avaient pas botanique aujourd’hui, la rouquine aurait certainement refusé de sortir par un temps pareil. Elles entrèrent dans la grande salle et allèrent se vautrer à la table des Serpentard, non sans que Lily ait fait un détour par chaque table pour saluer sa smalla. La rouquine se servit rapidement du jus de citrouille qu’elle se siffla en vitesse, puis elle se laissa bercer par les conversations autour d’elle, baillant de temps à autres. Jusqu’à ce que son amie lui tire la manche pour lui signifier qu’elle avait perdu son pari. Ah oui mince, elle devait chanter Time of my life !

« I've had the time of my life
No I never felt this way before
Yes I swear it's the truth
And I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I've searched through every open door
'Til I found the truth
And I owe it all to you »

De la table des Gryffondor, elle vit son frère applaudir, accompagné de son cousin Fred, puis de Rose quand elle posa sa tartine pour taper dans ses mains. Rapidement rejoints par Hugo qui siffla et lui adressa un clin d’œil complice. Lily s’inclina avec emphase et théâtralité, puis se rassit pour finir son jus de citrouille, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Se tournant vers sa camarade, elle lui signala avec un sourire qu’elle lui devait cinquante gallions. Ne jamais parier avec Lily Potter, sauf si vous êtes riches. Une fois le petit-déjeuner fini, les deux filles se levèrent pour se diriger vers leurs salles de cours. Lily, qui depuis près d’une demi-heure essayait d’apercevoir la tignasse brune de Nathan, déclara forfait et sortit en faisant la gueule, déçue de ne pas l’avoir vue. Elle aurait adoré le chauffer devant tout le monde … Et il aurait adoré répliquer avec sa chaude voix habituelle de pur beau gosse. Elles se dirigèrent vers la salle de métamorphoses, Lily parlant du professeur de métamorphoses avec des étoiles dans les yeux, comme si elle était raide dingue du beau Ted Lupin. En fait, elle était plutôt en train d’imiter grossièrement toutes les filles qui le regardaient passer avec de gros yeux énamourés. Pour Lily, Ted c’était son presque cousin, celui qui venait à la maison tous les jours, qui était fiancé à sa cousine Victoire et qui attendait l’Apocalypse future pour la demander en mariage et faire d’elle une madame Victoire Lupin. Avant qu’elles n’arrivent devant la salle, son amie lui lança un nouveau pari, celui de gueuler dans la salle que Ted est un beau gosse. Lily accepta avec un sourire, contente de gagner dix gallions de plus. Quarante plus cinquante plus dix, ça fait cent gallions en même pas deux heures ça ! En arrivant devant la salle, Lily s’aperçut avec déplaisir que Narwyn Strange se tenait devant elle. Elle lui envoya un regard glacial et assassin, se rappelant les coups et les insultes qu’elle avait échangé avec cette pétasse pro sang-pur. Heureusement, avant que ça ne dégénère – Lily ne pouvant pas s’empêcher de balancer des piques toxiques quand elle se retrouve face à des ennemis – Ted eut la bonne idée d’ouvrir la porte pour leur demander de rentrer. Lily salua son presque cousin d’un « Saluuuut Ted =D » très chaleureux et pas du tout professoral, avant d’aller se vautrer en milieu de salle, du côté gauche, à côté du mur. Et, renvoyant un clin d’œil à son amie assise un peu plus loin, elle se leva.

« Votre attention s’il vous plaît ! Il est demandé à tous de ne pas baver sur le pur beau gosse qui nous sert de prof de métamorphoses, car la future madame Victoire Lupin risque de ne pas apprécier que des élèves reluquent son beau Ted ! Merci de votre compréhension. Anna, tu me dois dix gallions. Merci de me faire gagner cent gallions en moins de deux heures, n’hésites pas à parier avec moi quand tu le désires. »

La jeune brune éclata de rire, rapidement suivie par quelques autres, tandis que les ‘groupies’ du beau Ted Lupin la fusillaient du regard. Elle sortit rapidement sa trousse, au bout de laquelle pendouillait un petit ours marron tout pelucheux, qui la fit fondre comme un glaçon. Bon sang, et Nathan n’était même pas là pour voir dans quel état il réussissait à la mettre alors qu’elle ne faisait que penser à lui. Etouffant un nouveau bâillement, Lily s’appuya au mur, et tourna la tête vers la porte pour voir qui étaient les autres qui allaient rentrer, et si, éventuellement, elle n’en connaîtrait pas quelques-uns.

[Truc en plus :]

« Now I've had the time of my life
No I never felt like this before
Yes I swear it's the truth
and I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I owe it all to youuuuuu ! »
« Oh Lily, baisse d’un ton … »
« Pourquoi donc, petit poussin, tu es tombé de ton nid un peu trop tôt ? »
« Et toi donc … »
« Oui, mais moi c’est un pari, gueuler du Dirty Dancing en plein milieu de ma salle commune. Là, je viens de gagner quarante gallions tu vois ! »

La rouquine envoya un grand sourire réjoui à son camarade de cinquième année. Levée, lavée, maquillée, Lily respirait la bonne humeur. Habillée du traditionnel uniforme de Poudlard, qui comportait la robe de sorcière, la cape, l’écharpe de sa maison, elle l’avait agrémenté de mitaines noires à rayures vertes pour protéger ses mains du froid, parce que oui, il fait atrocement froid en ce mois de Janvier. S’étirant comme un chat, elle fit craquer ses muscles engourdis de sommeil et rejoignit une de ses amies pour se diriger vers la grande salle. Elles traversèrent les cachots en papotant allègrement, son amie la mettant au défi de gueuler à nouveau Dirty Dancing dans la grande salle. Ce qui ne dérangeait pas du tout Lily, qui pouvait même y ajouter la chorégraphie si on lui trouvait un mec capable de faire un porté sans qu’elle ne se vautre au sol. Lily adorait ce film qui, même s’il était très con et très niais et très dégoulinant de bons sentiments, reflétait pour elle ce qu’elle passait son temps à faire, la recherche DU garçon. Le romantique de base qui serait assez tordu pour accepter tous ses vices, comme par exemple celui de ronronner comme un chat, ou d’être aussi libérée que … Pas de comparaisons possibles, vu tout ce que Lily était capable de faire. Rouler une pelle à un gars – ou une fille – devant tout le monde ne lui posait strictement aucun souci, gueuler devant tout le monde non plus parce que, comme on dit, le ridicule ne tue pas, ou bien … Enfin bref, Lily est une espèce de tarée anticonformiste, on l’aura compris. Elles grimpèrent jusqu’au hall, et sa camarade alla jeter un petit coup d’œil par la fenêtre, pour constater qu’il neigeait à gros flocons. Ouf, heureusement qu’elles n’avaient pas botanique aujourd’hui, la rouquine aurait certainement refusé de sortir par un temps pareil. Elles entrèrent dans la grande salle et allèrent se vautrer à la table des Serpentard, non sans que Lily ait fait un détour par chaque table pour saluer sa smalla. La rouquine se servit rapidement du jus de citrouille qu’elle se siffla en vitesse, puis elle se laissa bercer par les conversations autour d’elle, baillant de temps à autres. Jusqu’à ce que son amie lui tire la manche pour lui signifier qu’elle avait perdu son pari. Ah oui mince, elle devait chanter Time of my life !

« I've had the time of my life
No I never felt this way before
Yes I swear it's the truth
And I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I've searched through every open door
'Til I found the truth
And I owe it all to you »

De la table des Gryffondor, elle vit son frère applaudir, accompagné de son cousin Fred, puis de Rose quand elle posa sa tartine pour taper dans ses mains. Rapidement rejoints par Hugo qui siffla et lui adressa un clin d’œil complice. Lily s’inclina avec emphase et théâtralité, puis se rassit pour finir son jus de citrouille, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Se tournant vers sa camarade, elle lui signala avec un sourire qu’elle lui devait cinquante gallions. Ne jamais parier avec Lily Potter, sauf si vous êtes riches. Une fois le petit-déjeuner fini, les deux filles se levèrent pour se diriger vers leurs salles de cours. Lily, qui depuis près d’une demi-heure essayait d’apercevoir la tignasse brune de Nathan, déclara forfait et sortit en faisant la gueule, déçue de ne pas l’avoir vue. Elle aurait adoré le chauffer devant tout le monde … Et il aurait adoré répliquer avec sa chaude voix habituelle de pur beau gosse. Elles se dirigèrent vers la salle de métamorphoses, Lily parlant du professeur de métamorphoses avec des étoiles dans les yeux, comme si elle était raide dingue du beau Ted Lupin. En fait, elle était plutôt en train d’imiter grossièrement toutes les filles qui le regardaient passer avec de gros yeux énamourés. Pour Lily, Ted c’était son presque cousin, celui qui venait à la maison tous les jours, qui était fiancé à sa cousine Victoire et qui attendait l’Apocalypse future pour la demander en mariage et faire d’elle une madame Victoire Lupin. Avant qu’elles n’arrivent devant la salle, son amie lui lança un nouveau pari, celui de gueuler dans la salle que Ted est un beau gosse. Lily accepta avec un sourire, contente de gagner dix gallions de plus. Quarante plus cinquante plus dix, ça fait cent gallions en même pas deux heures ça ! En arrivant devant la salle, Lily s’aperçut avec déplaisir que Narwyn Strange se tenait devant elle. Elle lui envoya un regard glacial et assassin, se rappelant les coups et les insultes qu’elle avait échangé avec cette pétasse pro sang-pur. Heureusement, avant que ça ne dégénère – Lily ne pouvant pas s’empêcher de balancer des piques toxiques quand elle se retrouve face à des ennemis – Ted eut la bonne idée d’ouvrir la porte pour leur demander de rentrer. Lily salua son presque cousin d’un « Saluuuut Ted =D » très chaleureux et pas du tout professoral, avant d’aller se vautrer en milieu de salle, du côté gauche, à côté du mur. Et, renvoyant un clin d’œil à son amie assise un peu plus loin, elle se leva.

« Votre attention s’il vous plaît ! Il est demandé à tous de ne pas baver sur le pur beau gosse qui nous sert de prof de métamorphoses, car la future madame Victoire Lupin risque de ne pas apprécier que des élèves reluquent son beau Ted ! Merci de votre compréhension. Anna, tu me dois dix gallions. Merci de me faire gagner cent gallions en moins de deux heures, n’hésites pas à parier avec moi quand tu le désires. »

La jeune brune éclata de rire, rapidement suivie par quelques autres, tandis que les ‘groupies’ du beau Ted Lupin la fusillaient du regard. Elle sortit rapidement sa trousse, au bout de laquelle pendouillait un petit ours marron tout pelucheux, qui la fit fondre comme un glaçon. Bon sang, et Nathan n’était même pas là pour voir dans quel état il réussissait à la mettre alors qu’elle ne faisait que penser à lui. Etouffant un nouveau bâillement, Lily s’appuya au mur, et tourna la tête vers la porte pour voir qui étaient les autres qui allaient rentrer, et si, éventuellement, elle n’en connaîtrait pas quelques-uns.

[Doubles-Comptes :]

« Now I've had the time of my life
No I never felt like this before
Yes I swear it's the truth
and I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I owe it all to youuuuuu ! »
« Oh Lily, baisse d’un ton … »
« Pourquoi donc, petit poussin, tu es tombé de ton nid un peu trop tôt ? »
« Et toi donc … »
« Oui, mais moi c’est un pari, gueuler du Dirty Dancing en plein milieu de ma salle commune. Là, je viens de gagner quarante gallions tu vois ! »

La rouquine envoya un grand sourire réjoui à son camarade de cinquième année. Levée, lavée, maquillée, Lily respirait la bonne humeur. Habillée du traditionnel uniforme de Poudlard, qui comportait la robe de sorcière, la cape, l’écharpe de sa maison, elle l’avait agrémenté de mitaines noires à rayures vertes pour protéger ses mains du froid, parce que oui, il fait atrocement froid en ce mois de Janvier. S’étirant comme un chat, elle fit craquer ses muscles engourdis de sommeil et rejoignit une de ses amies pour se diriger vers la grande salle. Elles traversèrent les cachots en papotant allègrement, son amie la mettant au défi de gueuler à nouveau Dirty Dancing dans la grande salle. Ce qui ne dérangeait pas du tout Lily, qui pouvait même y ajouter la chorégraphie si on lui trouvait un mec capable de faire un porté sans qu’elle ne se vautre au sol. Lily adorait ce film qui, même s’il était très con et très niais et très dégoulinant de bons sentiments, reflétait pour elle ce qu’elle passait son temps à faire, la recherche DU garçon. Le romantique de base qui serait assez tordu pour accepter tous ses vices, comme par exemple celui de ronronner comme un chat, ou d’être aussi libérée que … Pas de comparaisons possibles, vu tout ce que Lily était capable de faire. Rouler une pelle à un gars – ou une fille – devant tout le monde ne lui posait strictement aucun souci, gueuler devant tout le monde non plus parce que, comme on dit, le ridicule ne tue pas, ou bien … Enfin bref, Lily est une espèce de tarée anticonformiste, on l’aura compris. Elles grimpèrent jusqu’au hall, et sa camarade alla jeter un petit coup d’œil par la fenêtre, pour constater qu’il neigeait à gros flocons. Ouf, heureusement qu’elles n’avaient pas botanique aujourd’hui, la rouquine aurait certainement refusé de sortir par un temps pareil. Elles entrèrent dans la grande salle et allèrent se vautrer à la table des Serpentard, non sans que Lily ait fait un détour par chaque table pour saluer sa smalla. La rouquine se servit rapidement du jus de citrouille qu’elle se siffla en vitesse, puis elle se laissa bercer par les conversations autour d’elle, baillant de temps à autres. Jusqu’à ce que son amie lui tire la manche pour lui signifier qu’elle avait perdu son pari. Ah oui mince, elle devait chanter Time of my life !

« I've had the time of my life
No I never felt this way before
Yes I swear it's the truth
And I owe it all to you
'Cause I've had the time of my life
And I've searched through every open door
'Til I found the truth
And I owe it all to you »

De la table des Gryffondor, elle vit son frère applaudir, accompagné de son cousin Fred, puis de Rose quand elle posa sa tartine pour taper dans ses mains. Rapidement rejoints par Hugo qui siffla et lui adressa un clin d’œil complice. Lily s’inclina avec emphase et théâtralité, puis se rassit pour finir son jus de citrouille, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Se tournant vers sa camarade, elle lui signala avec un sourire qu’elle lui devait cinquante gallions. Ne jamais parier avec Lily Potter, sauf si vous êtes riches. Une fois le petit-déjeuner fini, les deux filles se levèrent pour se diriger vers leurs salles de cours. Lily, qui depuis près d’une demi-heure essayait d’apercevoir la tignasse brune de Nathan, déclara forfait et sortit en faisant la gueule, déçue de ne pas l’avoir vue. Elle aurait adoré le chauffer devant tout le monde … Et il aurait adoré répliquer avec sa chaude voix habituelle de pur beau gosse. Elles se dirigèrent vers la salle de métamorphoses, Lily parlant du professeur de métamorphoses avec des étoiles dans les yeux, comme si elle était raide dingue du beau Ted Lupin. En fait, elle était plutôt en train d’imiter grossièrement toutes les filles qui le regardaient passer avec de gros yeux énamourés. Pour Lily, Ted c’était son presque cousin, celui qui venait à la maison tous les jours, qui était fiancé à sa cousine Victoire et qui attendait l’Apocalypse future pour la demander en mariage et faire d’elle une madame Victoire Lupin. Avant qu’elles n’arrivent devant la salle, son amie lui lança un nouveau pari, celui de gueuler dans la salle que Ted est un beau gosse. Lily accepta avec un sourire, contente de gagner dix gallions de plus. Quarante plus cinquante plus dix, ça fait cent gallions en même pas deux heures ça ! En arrivant devant la salle, Lily s’aperçut avec déplaisir que Narwyn Strange se tenait devant elle. Elle lui envoya un regard glacial et assassin, se rappelant les coups et les insultes qu’elle avait échangé avec cette pétasse pro sang-pur. Heureusement, avant que ça ne dégénère – Lily ne pouvant pas s’empêcher de balancer des piques toxiques quand elle se retrouve face à des ennemis – Ted eut la bonne idée d’ouvrir la porte pour leur demander de rentrer. Lily salua son presque cousin d’un « Saluuuut Ted =D » très chaleureux et pas du tout professoral, avant d’aller se vautrer en milieu de salle, du côté gauche, à côté du mur. Et, renvoyant un clin d’œil à son amie assise un peu plus loin, elle se leva.

« Votre attention s’il vous plaît ! Il est demandé à tous de ne pas baver sur le pur beau gosse qui nous sert de prof de métamorphoses, car la future madame Victoire Lupin risque de ne pas apprécier que des élèves reluquent son beau Ted ! Merci de votre compréhension. Anna, tu me dois dix gallions. Merci de me faire gagner cent gallions en moins de deux heures, n’hésites pas à parier avec moi quand tu le désires. »

La jeune brune éclata de rire, rapidement suivie par quelques autres, tandis que les ‘groupies’ du beau Ted Lupin la fusillaient du regard. Elle sortit rapidement sa trousse, au bout de laquelle pendouillait un petit ours marron tout pelucheux, qui la fit fondre comme un glaçon. Bon sang, et Nathan n’était même pas là pour voir dans quel état il réussissait à la mettre alors qu’elle ne faisait que penser à lui. Etouffant un nouveau bâillement, Lily s’appuya au mur, et tourna la tête vers la porte pour voir qui étaient les autres qui allaient rentrer, et si, éventuellement, elle n’en connaîtrait pas quelques-uns.

Elle marchait dans un couloir sombre et glauque, un couloir aux murs suintants et à la lumière vacillante. Inquiète, elle attrapa sa baguette et murmura une formule afin que son innocent bout de bois se transforme en lampe torche aussi brillante que sa soeur l'était en cours. La formule avait été bien prononcée, pourtant la clarté qu'émettait la baguette était faible, si faible...trop faible. La jeune fille voulut s'avancer vers le noir qui s'étendait entre les murs puis se reprit, craignant de se faire peur, et s'arrêta là un instant. L'horloge au-dessus d'elle était étrange, elle tournait à l'envers et les chiffres n'étaient pas fiables, ils changeaient de place... Un bruit la fit sursauter, elle recula, s'appuya contre un bouton qui s'enfonça sous son épaule. Une sonnerie retentit.

Ce fut son réveil qui la tira du sommeil. Lucy, encore toute à son rêve, en fut si surprise qu'elle sursauta et marmonna bêtement, persuadée que c'était en appuyant sur le bouton de son songe qu'elle avait déclenché la sonnerie:

"Ah merde, désolée..."

Puis referma les yeux. Mais la sonnerie ne cessait pas du tout. Nan, carrément pas...Lucy bailla en grommelant, c'était quoi ce rêve là, hein? Elle allait contacter le service après-vente elle...en attendant son réveil était passé d'un calme "bip bip" à "bibibibip". Dans un soupir, la jeune Poufsouffle tapa avec puissance l'innocent objet, puis attrapa un cahier d'apparence quelconque et y consigna son rêve du jour. Eh oui, Lucy notait ses rêves...d'abord parce qu'elle aimait bien les relire et ensuite parce qu'elle s'était aperçue qu'ainsi, elle s'en souvenait bien mieux. Des bribes du début aux scénari accomplis qu'elle consignait maintenant et qui prenait une ou deux pages, il y avait un monde! Et l'univers fantasmagorique qu'elle découvrait en songe valait bien la peine de se lever une demi-heure plus tôt pour noter ses rêves, non? En attendant...d'ordinaire, Lucy se réveillait seule, ouvrant les yeux à six heures et demie, et le réveil ne venait que par sécurité, si jamais elle oubliait d'émerger. ah, le pouvoir de l'autosuggestion...mais aujourd'hui, l'appareil venait de la réveiller. Etonnant...non. Lucy comprit brutalement la raison de ce réveil en fanfare: pour coller avec le soleil, des crétins avaient décidé que deux fois par an on changerait d'heure. Et elle avait changé d'heure et donc, son horloge biologique était décalée. Rhaaah...Lucy referma son cahier, se leva et entreprit de se débarbouille r-elle préférait se doucher le soir-, de s'habiller et de se maquiller. Enfin, maquiller, pas trop non plus, un petit trait de noir suffisait à souligner la transparence de son regard gris.
La suite fut classique, Grande Salle, saluts amicaux à ceux de ses cousins qui mangeaient déjà. Les chevelures rousses flamboyaient à toutes les tables, oh là là, les Weasley avaient colonisé Poudlard...A la table des professeurs, trois personnes qu'elle connaissait aussi mangeaient tranquillement, l'infirmière Victoire, Neville qu'elle connaissait comme étant un ami des Potter et des Weasley, Ted aussi, le filleul de Harry, le père de sa cousine Lily...Stooop, on demande un arbre généalogique! eh oui, les Weasley domineraient le mooonde un jour u__u.
En attendant Lucy dévora tranquillement, beau pléonasme, son petit déjeuner et, attrapant son sac, se prépara à aller en cours. Sauf que...ouais, elle était sacrément en avance...D'ailleurs Ted, son prof du jour, n'avait pas quitté sa table. Alors merde hein. Lucy reposa son sac et entreprit de répondre à un de ses condisciples de troisième année, qui venait innocemment de lui demander comment on aborde un hippogriffe. Oups, Lucy se lança aussitôt dans un cours magistral qui fut suivi avec attention par l'innocent petit gars en jaune. Lorsqu'elle eut fini il la remercia et fila en cours...eh oui, elle était comme ça Lucy, toujours prête à aider son prochain, mais pas bonne poire pour autant. D'ailleurs celui qui venait de lui demander comment communiquent les Veracrasses se fit élégamment remballer. On ne se moque pas de Lucy, du moins, on ne la piège pas. Car elle était intelligente quoique moyenne en cours.

D'ailleurs, cours! Elle attrapa son sac et cette fois, fila vers la salle de métamorphose, impatiente de voir ce que Ted, qu'elle avait souvent croisé aux réunions de famille ou au sein de l'Ordre du Phénix, dont ses deux parents étaient membres, allait donner pour son premier cours. Marchant à grands pas, elle vit soudain un groupe de Serpentards lui emboîter le pas. Autrefois, Lucy aurait pris peur et couru, là elle passa tête autre sans se poser de questions, sachant bien que le lycéen moyen ne devient prédateur que lorsqu'on lui montre sa peur. Un quolibet parvint à ses oreilles, une fois de plus, et la Poufsouffle ignora le coup en avançant. Lorsqu'ils se firent plus pénibles, elle se retourna, gueula un bon coup en balançant à la volée quelques allusions crues ou juste ironiques, et repartit. Merde quoi.
Elle parvint à la salle de Métamorphose alors qu'arrivait une des personnes qu'elle estimait le plus à Poudlard, Lily, sa cousine adorée. Cette dernière venait de faire un coup d'éclat en commençant par expliquer aux élèves qu'on ne reluque pas Ted, attention, Lily défendait les intérêts de Victoire hein, et en ajoutant qu'elle avait gagné un pari. Voyant sa cousine s'arrêter contre le mur pour voir qui entrait, Lucy la rejoignit. Passant devant Ted elle lui adressa un petit sourire gentil, genre "je suis contente que tu sois notre prof" et, moins familière que la jeune Potter, se contenta d'un gentil:

"Bonjour Ted!"

Eh ouais, elle le connaissait depuis assez longtemps maintenant pour l'appeler par son prénom, nan? Et puis c'était presque le grand cousin de Lily, alors, c'était aussi le sien...quand je vous dis que les Weasley-Potter ont colonisé le monde. Puis, allant vers sa cousine, elle lui adressa un grand sourire:

"Moi, en tous cas, je ne me risquerais jamais à parier avec toi, c'est un coup à finir ruinée...d'ailleurs, qu'est ce que tu avais parié, pour gagner cent Gallions en deux heures, dis-moi?"

[Messages :]

Elle marchait dans un couloir sombre et glauque, un couloir aux murs suintants et à la lumière vacillante. Inquiète, elle attrapa sa baguette et murmura une formule afin que son innocent bout de bois se transforme en lampe torche aussi brillante que sa soeur l'était en cours. La formule avait été bien prononcée, pourtant la clarté qu'émettait la baguette était faible, si faible...trop faible. La jeune fille voulut s'avancer vers le noir qui s'étendait entre les murs puis se reprit, craignant de se faire peur, et s'arrêta là un instant. L'horloge au-dessus d'elle était étrange, elle tournait à l'envers et les chiffres n'étaient pas fiables, ils changeaient de place... Un bruit la fit sursauter, elle recula, s'appuya contre un bouton qui s'enfonça sous son épaule. Une sonnerie retentit.

Ce fut son réveil qui la tira du sommeil. Lucy, encore toute à son rêve, en fut si surprise qu'elle sursauta et marmonna bêtement, persuadée que c'était en appuyant sur le bouton de son songe qu'elle avait déclenché la sonnerie:

"Ah merde, désolée..."

Puis referma les yeux. Mais la sonnerie ne cessait pas du tout. Nan, carrément pas...Lucy bailla en grommelant, c'était quoi ce rêve là, hein? Elle allait contacter le service après-vente elle...en attendant son réveil était passé d'un calme "bip bip" à "bibibibip". Dans un soupir, la jeune Poufsouffle tapa avec puissance l'innocent objet, puis attrapa un cahier d'apparence quelconque et y consigna son rêve du jour. Eh oui, Lucy notait ses rêves...d'abord parce qu'elle aimait bien les relire et ensuite parce qu'elle s'était aperçue qu'ainsi, elle s'en souvenait bien mieux. Des bribes du début aux scénari accomplis qu'elle consignait maintenant et qui prenait une ou deux pages, il y avait un monde! Et l'univers fantasmagorique qu'elle découvrait en songe valait bien la peine de se lever une demi-heure plus tôt pour noter ses rêves, non? En attendant...d'ordinaire, Lucy se réveillait seule, ouvrant les yeux à six heures et demie, et le réveil ne venait que par sécurité, si jamais elle oubliait d'émerger. ah, le pouvoir de l'autosuggestion...mais aujourd'hui, l'appareil venait de la réveiller. Etonnant...non. Lucy comprit brutalement la raison de ce réveil en fanfare: pour coller avec le soleil, des crétins avaient décidé que deux fois par an on changerait d'heure. Et elle avait changé d'heure et donc, son horloge biologique était décalée. Rhaaah...Lucy referma son cahier, se leva et entreprit de se débarbouille r-elle préférait se doucher le soir-, de s'habiller et de se maquiller. Enfin, maquiller, pas trop non plus, un petit trait de noir suffisait à souligner la transparence de son regard gris.
La suite fut classique, Grande Salle, saluts amicaux à ceux de ses cousins qui mangeaient déjà. Les chevelures rousses flamboyaient à toutes les tables, oh là là, les Weasley avaient colonisé Poudlard...A la table des professeurs, trois personnes qu'elle connaissait aussi mangeaient tranquillement, l'infirmière Victoire, Neville qu'elle connaissait comme étant un ami des Potter et des Weasley, Ted aussi, le filleul de Harry, le père de sa cousine Lily...Stooop, on demande un arbre généalogique! eh oui, les Weasley domineraient le mooonde un jour u__u.
En attendant Lucy dévora tranquillement, beau pléonasme, son petit déjeuner et, attrapant son sac, se prépara à aller en cours. Sauf que...ouais, elle était sacrément en avance...D'ailleurs Ted, son prof du jour, n'avait pas quitté sa table. Alors merde hein. Lucy reposa son sac et entreprit de répondre à un de ses condisciples de troisième année, qui venait innocemment de lui demander comment on aborde un hippogriffe. Oups, Lucy se lança aussitôt dans un cours magistral qui fut suivi avec attention par l'innocent petit gars en jaune. Lorsqu'elle eut fini il la remercia et fila en cours...eh oui, elle était comme ça Lucy, toujours prête à aider son prochain, mais pas bonne poire pour autant. D'ailleurs celui qui venait de lui demander comment communiquent les Veracrasses se fit élégamment remballer. On ne se moque pas de Lucy, du moins, on ne la piège pas. Car elle était intelligente quoique moyenne en cours.

D'ailleurs, cours! Elle attrapa son sac et cette fois, fila vers la salle de métamorphose, impatiente de voir ce que Ted, qu'elle avait souvent croisé aux réunions de famille ou au sein de l'Ordre du Phénix, dont ses deux parents étaient membres, allait donner pour son premier cours. Marchant à grands pas, elle vit soudain un groupe de Serpentards lui emboîter le pas. Autrefois, Lucy aurait pris peur et couru, là elle passa tête autre sans se poser de questions, sachant bien que le lycéen moyen ne devient prédateur que lorsqu'on lui montre sa peur. Un quolibet parvint à ses oreilles, une fois de plus, et la Poufsouffle ignora le coup en avançant. Lorsqu'ils se firent plus pénibles, elle se retourna, gueula un bon coup en balançant à la volée quelques allusions crues ou juste ironiques, et repartit. Merde quoi.
Elle parvint à la salle de Métamorphose alors qu'arrivait une des personnes qu'elle estimait le plus à Poudlard, Lily, sa cousine adorée. Cette dernière venait de faire un coup d'éclat en commençant par expliquer aux élèves qu'on ne reluque pas Ted, attention, Lily défendait les intérêts de Victoire hein, et en ajoutant qu'elle avait gagné un pari. Voyant sa cousine s'arrêter contre le mur pour voir qui entrait, Lucy la rejoignit. Passant devant Ted elle lui adressa un petit sourire gentil, genre "je suis contente que tu sois notre prof" et, moins familière que la jeune Potter, se contenta d'un gentil:

"Bonjour Ted!"

Eh ouais, elle le connaissait depuis assez longtemps maintenant pour l'appeler par son prénom, nan? Et puis c'était presque le grand cousin de Lily, alors, c'était aussi le sien...quand je vous dis que les Weasley-Potter ont colonisé le monde. Puis, allant vers sa cousine, elle lui adressa un grand sourire:

"Moi, en tous cas, je ne me risquerais jamais à parier avec toi, c'est un coup à finir ruinée...d'ailleurs, qu'est ce que tu avais parié, pour gagner cent Gallions en deux heures, dis-moi?"

[Points :]

Elle marchait dans un couloir sombre et glauque, un couloir aux murs suintants et à la lumière vacillante. Inquiète, elle attrapa sa baguette et murmura une formule afin que son innocent bout de bois se transforme en lampe torche aussi brillante que sa soeur l'était en cours. La formule avait été bien prononcée, pourtant la clarté qu'émettait la baguette était faible, si faible...trop faible. La jeune fille voulut s'avancer vers le noir qui s'étendait entre les murs puis se reprit, craignant de se faire peur, et s'arrêta là un instant. L'horloge au-dessus d'elle était étrange, elle tournait à l'envers et les chiffres n'étaient pas fiables, ils changeaient de place... Un bruit la fit sursauter, elle recula, s'appuya contre un bouton qui s'enfonça sous son épaule. Une sonnerie retentit.

Ce fut son réveil qui la tira du sommeil. Lucy, encore toute à son rêve, en fut si surprise qu'elle sursauta et marmonna bêtement, persuadée que c'était en appuyant sur le bouton de son songe qu'elle avait déclenché la sonnerie:

"Ah merde, désolée..."

Puis referma les yeux. Mais la sonnerie ne cessait pas du tout. Nan, carrément pas...Lucy bailla en grommelant, c'était quoi ce rêve là, hein? Elle allait contacter le service après-vente elle...en attendant son réveil était passé d'un calme "bip bip" à "bibibibip". Dans un soupir, la jeune Poufsouffle tapa avec puissance l'innocent objet, puis attrapa un cahier d'apparence quelconque et y consigna son rêve du jour. Eh oui, Lucy notait ses rêves...d'abord parce qu'elle aimait bien les relire et ensuite parce qu'elle s'était aperçue qu'ainsi, elle s'en souvenait bien mieux. Des bribes du début aux scénari accomplis qu'elle consignait maintenant et qui prenait une ou deux pages, il y avait un monde! Et l'univers fantasmagorique qu'elle découvrait en songe valait bien la peine de se lever une demi-heure plus tôt pour noter ses rêves, non? En attendant...d'ordinaire, Lucy se réveillait seule, ouvrant les yeux à six heures et demie, et le réveil ne venait que par sécurité, si jamais elle oubliait d'émerger. ah, le pouvoir de l'autosuggestion...mais aujourd'hui, l'appareil venait de la réveiller. Etonnant...non. Lucy comprit brutalement la raison de ce réveil en fanfare: pour coller avec le soleil, des crétins avaient décidé que deux fois par an on changerait d'heure. Et elle avait changé d'heure et donc, son horloge biologique était décalée. Rhaaah...Lucy referma son cahier, se leva et entreprit de se débarbouille r-elle préférait se doucher le soir-, de s'habiller et de se maquiller. Enfin, maquiller, pas trop non plus, un petit trait de noir suffisait à souligner la transparence de son regard gris.
La suite fut classique, Grande Salle, saluts amicaux à ceux de ses cousins qui mangeaient déjà. Les chevelures rousses flamboyaient à toutes les tables, oh là là, les Weasley avaient colonisé Poudlard...A la table des professeurs, trois personnes qu'elle connaissait aussi mangeaient tranquillement, l'infirmière Victoire, Neville qu'elle connaissait comme étant un ami des Potter et des Weasley, Ted aussi, le filleul de Harry, le père de sa cousine Lily...Stooop, on demande un arbre généalogique! eh oui, les Weasley domineraient le mooonde un jour u__u.
En attendant Lucy dévora tranquillement, beau pléonasme, son petit déjeuner et, attrapant son sac, se prépara à aller en cours. Sauf que...ouais, elle était sacrément en avance...D'ailleurs Ted, son prof du jour, n'avait pas quitté sa table. Alors merde hein. Lucy reposa son sac et entreprit de répondre à un de ses condisciples de troisième année, qui venait innocemment de lui demander comment on aborde un hippogriffe. Oups, Lucy se lança aussitôt dans un cours magistral qui fut suivi avec attention par l'innocent petit gars en jaune. Lorsqu'elle eut fini il la remercia et fila en cours...eh oui, elle était comme ça Lucy, toujours prête à aider son prochain, mais pas bonne poire pour autant. D'ailleurs celui qui venait de lui demander comment communiquent les Veracrasses se fit élégamment remballer. On ne se moque pas de Lucy, du moins, on ne la piège pas. Car elle était intelligente quoique moyenne en cours.

D'ailleurs, cours! Elle attrapa son sac et cette fois, fila vers la salle de métamorphose, impatiente de voir ce que Ted, qu'elle avait souvent croisé aux réunions de famille ou au sein de l'Ordre du Phénix, dont ses deux parents étaient membres, allait donner pour son premier cours. Marchant à grands pas, elle vit soudain un groupe de Serpentards lui emboîter le pas. Autrefois, Lucy aurait pris peur et couru, là elle passa tête autre sans se poser de questions, sachant bien que le lycéen moyen ne devient prédateur que lorsqu'on lui montre sa peur. Un quolibet parvint à ses oreilles, une fois de plus, et la Poufsouffle ignora le coup en avançant. Lorsqu'ils se firent plus pénibles, elle se retourna, gueula un bon coup en balançant à la volée quelques allusions crues ou juste ironiques, et repartit. Merde quoi.
Elle parvint à la salle de Métamorphose alors qu'arrivait une des personnes qu'elle estimait le plus à Poudlard, Lily, sa cousine adorée. Cette dernière venait de faire un coup d'éclat en commençant par expliquer aux élèves qu'on ne reluque pas Ted, attention, Lily défendait les intérêts de Victoire hein, et en ajoutant qu'elle avait gagné un pari. Voyant sa cousine s'arrêter contre le mur pour voir qui entrait, Lucy la rejoignit. Passant devant Ted elle lui adressa un petit sourire gentil, genre "je suis contente que tu sois notre prof" et, moins familière que la jeune Potter, se contenta d'un gentil:

"Bonjour Ted!"

Eh ouais, elle le connaissait depuis assez longtemps maintenant pour l'appeler par son prénom, nan? Et puis c'était presque le grand cousin de Lily, alors, c'était aussi le sien...quand je vous dis que les Weasley-Potter ont colonisé le monde. Puis, allant vers sa cousine, elle lui adressa un grand sourire:

"Moi, en tous cas, je ne me risquerais jamais à parier avec toi, c'est un coup à finir ruinée...d'ailleurs, qu'est ce que tu avais parié, pour gagner cent Gallions en deux heures, dis-moi?"

[Avatar :]

Elle marchait dans un couloir sombre et glauque, un couloir aux murs suintants et à la lumière vacillante. Inquiète, elle attrapa sa baguette et murmura une formule afin que son innocent bout de bois se transforme en lampe torche aussi brillante que sa soeur l'était en cours. La formule avait été bien prononcée, pourtant la clarté qu'émettait la baguette était faible, si faible...trop faible. La jeune fille voulut s'avancer vers le noir qui s'étendait entre les murs puis se reprit, craignant de se faire peur, et s'arrêta là un instant. L'horloge au-dessus d'elle était étrange, elle tournait à l'envers et les chiffres n'étaient pas fiables, ils changeaient de place... Un bruit la fit sursauter, elle recula, s'appuya contre un bouton qui s'enfonça sous son épaule. Une sonnerie retentit.

Ce fut son réveil qui la tira du sommeil. Lucy, encore toute à son rêve, en fut si surprise qu'elle sursauta et marmonna bêtement, persuadée que c'était en appuyant sur le bouton de son songe qu'elle avait déclenché la sonnerie:

"Ah merde, désolée..."

Puis referma les yeux. Mais la sonnerie ne cessait pas du tout. Nan, carrément pas...Lucy bailla en grommelant, c'était quoi ce rêve là, hein? Elle allait contacter le service après-vente elle...en attendant son réveil était passé d'un calme "bip bip" à "bibibibip". Dans un soupir, la jeune Poufsouffle tapa avec puissance l'innocent objet, puis attrapa un cahier d'apparence quelconque et y consigna son rêve du jour. Eh oui, Lucy notait ses rêves...d'abord parce qu'elle aimait bien les relire et ensuite parce qu'elle s'était aperçue qu'ainsi, elle s'en souvenait bien mieux. Des bribes du début aux scénari accomplis qu'elle consignait maintenant et qui prenait une ou deux pages, il y avait un monde! Et l'univers fantasmagorique qu'elle découvrait en songe valait bien la peine de se lever une demi-heure plus tôt pour noter ses rêves, non? En attendant...d'ordinaire, Lucy se réveillait seule, ouvrant les yeux à six heures et demie, et le réveil ne venait que par sécurité, si jamais elle oubliait d'émerger. ah, le pouvoir de l'autosuggestion...mais aujourd'hui, l'appareil venait de la réveiller. Etonnant...non. Lucy comprit brutalement la raison de ce réveil en fanfare: pour coller avec le soleil, des crétins avaient décidé que deux fois par an on changerait d'heure. Et elle avait changé d'heure et donc, son horloge biologique était décalée. Rhaaah...Lucy referma son cahier, se leva et entreprit de se débarbouille r-elle préférait se doucher le soir-, de s'habiller et de se maquiller. Enfin, maquiller, pas trop non plus, un petit trait de noir suffisait à souligner la transparence de son regard gris.
La suite fut classique, Grande Salle, saluts amicaux à ceux de ses cousins qui mangeaient déjà. Les chevelures rousses flamboyaient à toutes les tables, oh là là, les Weasley avaient colonisé Poudlard...A la table des professeurs, trois personnes qu'elle connaissait aussi mangeaient tranquillement, l'infirmière Victoire, Neville qu'elle connaissait comme étant un ami des Potter et des Weasley, Ted aussi, le filleul de Harry, le père de sa cousine Lily...Stooop, on demande un arbre généalogique! eh oui, les Weasley domineraient le mooonde un jour u__u.
En attendant Lucy dévora tranquillement, beau pléonasme, son petit déjeuner et, attrapant son sac, se prépara à aller en cours. Sauf que...ouais, elle était sacrément en avance...D'ailleurs Ted, son prof du jour, n'avait pas quitté sa table. Alors merde hein. Lucy reposa son sac et entreprit de répondre à un de ses condisciples de troisième année, qui venait innocemment de lui demander comment on aborde un hippogriffe. Oups, Lucy se lança aussitôt dans un cours magistral qui fut suivi avec attention par l'innocent petit gars en jaune. Lorsqu'elle eut fini il la remercia et fila en cours...eh oui, elle était comme ça Lucy, toujours prête à aider son prochain, mais pas bonne poire pour autant. D'ailleurs celui qui venait de lui demander comment communiquent les Veracrasses se fit élégamment remballer. On ne se moque pas de Lucy, du moins, on ne la piège pas. Car elle était intelligente quoique moyenne en cours.

D'ailleurs, cours! Elle attrapa son sac et cette fois, fila vers la salle de métamorphose, impatiente de voir ce que Ted, qu'elle avait souvent croisé aux réunions de famille ou au sein de l'Ordre du Phénix, dont ses deux parents étaient membres, allait donner pour son premier cours. Marchant à grands pas, elle vit soudain un groupe de Serpentards lui emboîter le pas. Autrefois, Lucy aurait pris peur et couru, là elle passa tête autre sans se poser de questions, sachant bien que le lycéen moyen ne devient prédateur que lorsqu'on lui montre sa peur. Un quolibet parvint à ses oreilles, une fois de plus, et la Poufsouffle ignora le coup en avançant. Lorsqu'ils se firent plus pénibles, elle se retourna, gueula un bon coup en balançant à la volée quelques allusions crues ou juste ironiques, et repartit. Merde quoi.
Elle parvint à la salle de Métamorphose alors qu'arrivait une des personnes qu'elle estimait le plus à Poudlard, Lily, sa cousine adorée. Cette dernière venait de faire un coup d'éclat en commençant par expliquer aux élèves qu'on ne reluque pas Ted, attention, Lily défendait les intérêts de Victoire hein, et en ajoutant qu'elle avait gagné un pari. Voyant sa cousine s'arrêter contre le mur pour voir qui entrait, Lucy la rejoignit. Passant devant Ted elle lui adressa un petit sourire gentil, genre "je suis contente que tu sois notre prof" et, moins familière que la jeune Potter, se contenta d'un gentil:

"Bonjour Ted!"

Eh ouais, elle le connaissait depuis assez longtemps maintenant pour l'appeler par son prénom, nan? Et puis c'était presque le grand cousin de Lily, alors, c'était aussi le sien...quand je vous dis que les Weasley-Potter ont colonisé le monde. Puis, allant vers sa cousine, elle lui adressa un grand sourire:

"Moi, en tous cas, je ne me risquerais jamais à parier avec toi, c'est un coup à finir ruinée...d'ailleurs, qu'est ce que tu avais parié, pour gagner cent Gallions en deux heures, dis-moi?"

[Crédits :]

Elle marchait dans un couloir sombre et glauque, un couloir aux murs suintants et à la lumière vacillante. Inquiète, elle attrapa sa baguette et murmura une formule afin que son innocent bout de bois se transforme en lampe torche aussi brillante que sa soeur l'était en cours. La formule avait été bien prononcée, pourtant la clarté qu'émettait la baguette était faible, si faible...trop faible. La jeune fille voulut s'avancer vers le noir qui s'étendait entre les murs puis se reprit, craignant de se faire peur, et s'arrêta là un instant. L'horloge au-dessus d'elle était étrange, elle tournait à l'envers et les chiffres n'étaient pas fiables, ils changeaient de place... Un bruit la fit sursauter, elle recula, s'appuya contre un bouton qui s'enfonça sous son épaule. Une sonnerie retentit.

Ce fut son réveil qui la tira du sommeil. Lucy, encore toute à son rêve, en fut si surprise qu'elle sursauta et marmonna bêtement, persuadée que c'était en appuyant sur le bouton de son songe qu'elle avait déclenché la sonnerie:

"Ah merde, désolée..."

Puis referma les yeux. Mais la sonnerie ne cessait pas du tout. Nan, carrément pas...Lucy bailla en grommelant, c'était quoi ce rêve là, hein? Elle allait contacter le service après-vente elle...en attendant son réveil était passé d'un calme "bip bip" à "bibibibip". Dans un soupir, la jeune Poufsouffle tapa avec puissance l'innocent objet, puis attrapa un cahier d'apparence quelconque et y consigna son rêve du jour. Eh oui, Lucy notait ses rêves...d'abord parce qu'elle aimait bien les relire et ensuite parce qu'elle s'était aperçue qu'ainsi, elle s'en souvenait bien mieux. Des bribes du début aux scénari accomplis qu'elle consignait maintenant et qui prenait une ou deux pages, il y avait un monde! Et l'univers fantasmagorique qu'elle découvrait en songe valait bien la peine de se lever une demi-heure plus tôt pour noter ses rêves, non? En attendant...d'ordinaire, Lucy se réveillait seule, ouvrant les yeux à six heures et demie, et le réveil ne venait que par sécurité, si jamais elle oubliait d'émerger. ah, le pouvoir de l'autosuggestion...mais aujourd'hui, l'appareil venait de la réveiller. Etonnant...non. Lucy comprit brutalement la raison de ce réveil en fanfare: pour coller avec le soleil, des crétins avaient décidé que deux fois par an on changerait d'heure. Et elle avait changé d'heure et donc, son horloge biologique était décalée. Rhaaah...Lucy referma son cahier, se leva et entreprit de se débarbouille r-elle préférait se doucher le soir-, de s'habiller et de se maquiller. Enfin, maquiller, pas trop non plus, un petit trait de noir suffisait à souligner la transparence de son regard gris.
La suite fut classique, Grande Salle, saluts amicaux à ceux de ses cousins qui mangeaient déjà. Les chevelures rousses flamboyaient à toutes les tables, oh là là, les Weasley avaient colonisé Poudlard...A la table des professeurs, trois personnes qu'elle connaissait aussi mangeaient tranquillement, l'infirmière Victoire, Neville qu'elle connaissait comme étant un ami des Potter et des Weasley, Ted aussi, le filleul de Harry, le père de sa cousine Lily...Stooop, on demande un arbre généalogique! eh oui, les Weasley domineraient le mooonde un jour u__u.
En attendant Lucy dévora tranquillement, beau pléonasme, son petit déjeuner et, attrapant son sac, se prépara à aller en cours. Sauf que...ouais, elle était sacrément en avance...D'ailleurs Ted, son prof du jour, n'avait pas quitté sa table. Alors merde hein. Lucy reposa son sac et entreprit de répondre à un de ses condisciples de troisième année, qui venait innocemment de lui demander comment on aborde un hippogriffe. Oups, Lucy se lança aussitôt dans un cours magistral qui fut suivi avec attention par l'innocent petit gars en jaune. Lorsqu'elle eut fini il la remercia et fila en cours...eh oui, elle était comme ça Lucy, toujours prête à aider son prochain, mais pas bonne poire pour autant. D'ailleurs celui qui venait de lui demander comment communiquent les Veracrasses se fit élégamment remballer. On ne se moque pas de Lucy, du moins, on ne la piège pas. Car elle était intelligente quoique moyenne en cours.

D'ailleurs, cours! Elle attrapa son sac et cette fois, fila vers la salle de métamorphose, impatiente de voir ce que Ted, qu'elle avait souvent croisé aux réunions de famille ou au sein de l'Ordre du Phénix, dont ses deux parents étaient membres, allait donner pour son premier cours. Marchant à grands pas, elle vit soudain un groupe de Serpentards lui emboîter le pas. Autrefois, Lucy aurait pris peur et couru, là elle passa tête autre sans se poser de questions, sachant bien que le lycéen moyen ne devient prédateur que lorsqu'on lui montre sa peur. Un quolibet parvint à ses oreilles, une fois de plus, et la Poufsouffle ignora le coup en avançant. Lorsqu'ils se firent plus pénibles, elle se retourna, gueula un bon coup en balançant à la volée quelques allusions crues ou juste ironiques, et repartit. Merde quoi.
Elle parvint à la salle de Métamorphose alors qu'arrivait une des personnes qu'elle estimait le plus à Poudlard, Lily, sa cousine adorée. Cette dernière venait de faire un coup d'éclat en commençant par expliquer aux élèves qu'on ne reluque pas Ted, attention, Lily défendait les intérêts de Victoire hein, et en ajoutant qu'elle avait gagné un pari. Voyant sa cousine s'arrêter contre le mur pour voir qui entrait, Lucy la rejoignit. Passant devant Ted elle lui adressa un petit sourire gentil, genre "je suis contente que tu sois notre prof" et, moins familière que la jeune Potter, se contenta d'un gentil:

"Bonjour Ted!"

Eh ouais, elle le connaissait depuis assez longtemps maintenant pour l'appeler par son prénom, nan? Et puis c'était presque le grand cousin de Lily, alors, c'était aussi le sien...quand je vous dis que les Weasley-Potter ont colonisé le monde. Puis, allant vers sa cousine, elle lui adressa un grand sourire:

"Moi, en tous cas, je ne me risquerais jamais à parier avec toi, c'est un coup à finir ruinée...d'ailleurs, qu'est ce que tu avais parié, pour gagner cent Gallions en deux heures, dis-moi?"

[Age RPG :]

Elle marchait dans un couloir sombre et glauque, un couloir aux murs suintants et à la lumière vacillante. Inquiète, elle attrapa sa baguette et murmura une formule afin que son innocent bout de bois se transforme en lampe torche aussi brillante que sa soeur l'était en cours. La formule avait été bien prononcée, pourtant la clarté qu'émettait la baguette était faible, si faible...trop faible. La jeune fille voulut s'avancer vers le noir qui s'étendait entre les murs puis se reprit, craignant de se faire peur, et s'arrêta là un instant. L'horloge au-dessus d'elle était étrange, elle tournait à l'envers et les chiffres n'étaient pas fiables, ils changeaient de place... Un bruit la fit sursauter, elle recula, s'appuya contre un bouton qui s'enfonça sous son épaule. Une sonnerie retentit.

Ce fut son réveil qui la tira du sommeil. Lucy, encore toute à son rêve, en fut si surprise qu'elle sursauta et marmonna bêtement, persuadée que c'était en appuyant sur le bouton de son songe qu'elle avait déclenché la sonnerie:

"Ah merde, désolée..."

Puis referma les yeux. Mais la sonnerie ne cessait pas du tout. Nan, carrément pas...Lucy bailla en grommelant, c'était quoi ce rêve là, hein? Elle allait contacter le service après-vente elle...en attendant son réveil était passé d'un calme "bip bip" à "bibibibip". Dans un soupir, la jeune Poufsouffle tapa avec puissance l'innocent objet, puis attrapa un cahier d'apparence quelconque et y consigna son rêve du jour. Eh oui, Lucy notait ses rêves...d'abord parce qu'elle aimait bien les relire et ensuite parce qu'elle s'était aperçue qu'ainsi, elle s'en souvenait bien mieux. Des bribes du début aux scénari accomplis qu'elle consignait maintenant et qui prenait une ou deux pages, il y avait un monde! Et l'univers fantasmagorique qu'elle découvrait en songe valait bien la peine de se lever une demi-heure plus tôt pour noter ses rêves, non? En attendant...d'ordinaire, Lucy se réveillait seule, ouvrant les yeux à six heures et demie, et le réveil ne venait que par sécurité, si jamais elle oubliait d'émerger. ah, le pouvoir de l'autosuggestion...mais aujourd'hui, l'appareil venait de la réveiller. Etonnant...non. Lucy comprit brutalement la raison de ce réveil en fanfare: pour coller avec le soleil, des crétins avaient décidé que deux fois par an on changerait d'heure. Et elle avait changé d'heure et donc, son horloge biologique était décalée. Rhaaah...Lucy referma son cahier, se leva et entreprit de se débarbouille r-elle préférait se doucher le soir-, de s'habiller et de se maquiller. Enfin, maquiller, pas trop non plus, un petit trait de noir suffisait à souligner la transparence de son regard gris.
La suite fut classique, Grande Salle, saluts amicaux à ceux de ses cousins qui mangeaient déjà. Les chevelures rousses flamboyaient à toutes les tables, oh là là, les Weasley avaient colonisé Poudlard...A la table des professeurs, trois personnes qu'elle connaissait aussi mangeaient tranquillement, l'infirmière Victoire, Neville qu'elle connaissait comme étant un ami des Potter et des Weasley, Ted aussi, le filleul de Harry, le père de sa cousine Lily...Stooop, on demande un arbre généalogique! eh oui, les Weasley domineraient le mooonde un jour u__u.
En attendant Lucy dévora tranquillement, beau pléonasme, son petit déjeuner et, attrapant son sac, se prépara à aller en cours. Sauf que...ouais, elle était sacrément en avance...D'ailleurs Ted, son prof du jour, n'avait pas quitté sa table. Alors merde hein. Lucy reposa son sac et entreprit de répondre à un de ses condisciples de troisième année, qui venait innocemment de lui demander comment on aborde un hippogriffe. Oups, Lucy se lança aussitôt dans un cours magistral qui fut suivi avec attention par l'innocent petit gars en jaune. Lorsqu'elle eut fini il la remercia et fila en cours...eh oui, elle était comme ça Lucy, toujours prête à aider son prochain, mais pas bonne poire pour autant. D'ailleurs celui qui venait de lui demander comment communiquent les Veracrasses se fit élégamment remballer. On ne se moque pas de Lucy, du moins, on ne la piège pas. Car elle était intelligente quoique moyenne en cours.

D'ailleurs, cours! Elle attrapa son sac et cette fois, fila vers la salle de métamorphose, impatiente de voir ce que Ted, qu'elle avait souvent croisé aux réunions de famille ou au sein de l'Ordre du Phénix, dont ses deux parents étaient membres, allait donner pour son premier cours. Marchant à grands pas, elle vit soudain un groupe de Serpentards lui emboîter le pas. Autrefois, Lucy aurait pris peur et couru, là elle passa tête autre sans se poser de questions, sachant bien que le lycéen moyen ne devient prédateur que lorsqu'on lui montre sa peur. Un quolibet parvint à ses oreilles, une fois de plus, et la Poufsouffle ignora le coup en avançant. Lorsqu'ils se firent plus pénibles, elle se retourna, gueula un bon coup en balançant à la volée quelques allusions crues ou juste ironiques, et repartit. Merde quoi.
Elle parvint à la salle de Métamorphose alors qu'arrivait une des personnes qu'elle estimait le plus à Poudlard, Lily, sa cousine adorée. Cette dernière venait de faire un coup d'éclat en commençant par expliquer aux élèves qu'on ne reluque pas Ted, attention, Lily défendait les intérêts de Victoire hein, et en ajoutant qu'elle avait gagné un pari. Voyant sa cousine s'arrêter contre le mur pour voir qui entrait, Lucy la rejoignit. Passant devant Ted elle lui adressa un petit sourire gentil, genre "je suis contente que tu sois notre prof" et, moins familière que la jeune Potter, se contenta d'un gentil:

"Bonjour Ted!"

Eh ouais, elle le connaissait depuis assez longtemps maintenant pour l'appeler par son prénom, nan? Et puis c'était presque le grand cousin de Lily, alors, c'était aussi le sien...quand je vous dis que les Weasley-Potter ont colonisé le monde. Puis, allant vers sa cousine, elle lui adressa un grand sourire:

"Moi, en tous cas, je ne me risquerais jamais à parier avec toi, c'est un coup à finir ruinée...d'ailleurs, qu'est ce que tu avais parié, pour gagner cent Gallions en deux heures, dis-moi?"

[Sang :]

Elle marchait dans un couloir sombre et glauque, un couloir aux murs suintants et à la lumière vacillante. Inquiète, elle attrapa sa baguette et murmura une formule afin que son innocent bout de bois se transforme en lampe torche aussi brillante que sa soeur l'était en cours. La formule avait été bien prononcée, pourtant la clarté qu'émettait la baguette était faible, si faible...trop faible. La jeune fille voulut s'avancer vers le noir qui s'étendait entre les murs puis se reprit, craignant de se faire peur, et s'arrêta là un instant. L'horloge au-dessus d'elle était étrange, elle tournait à l'envers et les chiffres n'étaient pas fiables, ils changeaient de place... Un bruit la fit sursauter, elle recula, s'appuya contre un bouton qui s'enfonça sous son épaule. Une sonnerie retentit.

Ce fut son réveil qui la tira du sommeil. Lucy, encore toute à son rêve, en fut si surprise qu'elle sursauta et marmonna bêtement, persuadée que c'était en appuyant sur le bouton de son songe qu'elle avait déclenché la sonnerie:

"Ah merde, désolée..."

Puis referma les yeux. Mais la sonnerie ne cessait pas du tout. Nan, carrément pas...Lucy bailla en grommelant, c'était quoi ce rêve là, hein? Elle allait contacter le service après-vente elle...en attendant son réveil était passé d'un calme "bip bip" à "bibibibip". Dans un soupir, la jeune Poufsouffle tapa avec puissance l'innocent objet, puis attrapa un cahier d'apparence quelconque et y consigna son rêve du jour. Eh oui, Lucy notait ses rêves...d'abord parce qu'elle aimait bien les relire et ensuite parce qu'elle s'était aperçue qu'ainsi, elle s'en souvenait bien mieux. Des bribes du début aux scénari accomplis qu'elle consignait maintenant et qui prenait une ou deux pages, il y avait un monde! Et l'univers fantasmagorique qu'elle découvrait en songe valait bien la peine de se lever une demi-heure plus tôt pour noter ses rêves, non? En attendant...d'ordinaire, Lucy se réveillait seule, ouvrant les yeux à six heures et demie, et le réveil ne venait que par sécurité, si jamais elle oubliait d'émerger. ah, le pouvoir de l'autosuggestion...mais aujourd'hui, l'appareil venait de la réveiller. Etonnant...non. Lucy comprit brutalement la raison de ce réveil en fanfare: pour coller avec le soleil, des crétins avaient décidé que deux fois par an on changerait d'heure. Et elle avait changé d'heure et donc, son horloge biologique était décalée. Rhaaah...Lucy referma son cahier, se leva et entreprit de se débarbouille r-elle préférait se doucher le soir-, de s'habiller et de se maquiller. Enfin, maquiller, pas trop non plus, un petit trait de noir suffisait à souligner la transparence de son regard gris.
La suite fut classique, Grande Salle, saluts amicaux à ceux de ses cousins qui mangeaient déjà. Les chevelures rousses flamboyaient à toutes les tables, oh là là, les Weasley avaient colonisé Poudlard...A la table des professeurs, trois personnes qu'elle connaissait aussi mangeaient tranquillement, l'infirmière Victoire, Neville qu'elle connaissait comme étant un ami des Potter et des Weasley, Ted aussi, le filleul de Harry, le père de sa cousine Lily...Stooop, on demande un arbre généalogique! eh oui, les Weasley domineraient le mooonde un jour u__u.
En attendant Lucy dévora tranquillement, beau pléonasme, son petit déjeuner et, attrapant son sac, se prépara à aller en cours. Sauf que...ouais, elle était sacrément en avance...D'ailleurs Ted, son prof du jour, n'avait pas quitté sa table. Alors merde hein. Lucy reposa son sac et entreprit de répondre à un de ses condisciples de troisième année, qui venait innocemment de lui demander comment on aborde un hippogriffe. Oups, Lucy se lança aussitôt dans un cours magistral qui fut suivi avec attention par l'innocent petit gars en jaune. Lorsqu'elle eut fini il la remercia et fila en cours...eh oui, elle était comme ça Lucy, toujours prête à aider son prochain, mais pas bonne poire pour autant. D'ailleurs celui qui venait de lui demander comment communiquent les Veracrasses se fit élégamment remballer. On ne se moque pas de Lucy, du moins, on ne la piège pas. Car elle était intelligente quoique moyenne en cours.

D'ailleurs, cours! Elle attrapa son sac et cette fois, fila vers la salle de métamorphose, impatiente de voir ce que Ted, qu'elle avait souvent croisé aux réunions de famille ou au sein de l'Ordre du Phénix, dont ses deux parents étaient membres, allait donner pour son premier cours. Marchant à grands pas, elle vit soudain un groupe de Serpentards lui emboîter le pas. Autrefois, Lucy aurait pris peur et couru, là elle passa tête autre sans se poser de questions, sachant bien que le lycéen moyen ne devient prédateur que lorsqu'on lui montre sa peur. Un quolibet parvint à ses oreilles, une fois de plus, et la Poufsouffle ignora le coup en avançant. Lorsqu'ils se firent plus pénibles, elle se retourna, gueula un bon coup en balançant à la volée quelques allusions crues ou juste ironiques, et repartit. Merde quoi.
Elle parvint à la salle de Métamorphose alors qu'arrivait une des personnes qu'elle estimait le plus à Poudlard, Lily, sa cousine adorée. Cette dernière venait de faire un coup d'éclat en commençant par expliquer aux élèves qu'on ne reluque pas Ted, attention, Lily défendait les intérêts de Victoire hein, et en ajoutant qu'elle avait gagné un pari. Voyant sa cousine s'arrêter contre le mur pour voir qui entrait, Lucy la rejoignit. Passant devant Ted elle lui adressa un petit sourire gentil, genre "je suis contente que tu sois notre prof" et, moins familière que la jeune Potter, se contenta d'un gentil:

"Bonjour Ted!"

Eh ouais, elle le connaissait depuis assez longtemps maintenant pour l'appeler par son prénom, nan? Et puis c'était presque le grand cousin de Lily, alors, c'était aussi le sien...quand je vous dis que les Weasley-Potter ont colonisé le monde. Puis, allant vers sa cousine, elle lui adressa un grand sourire:

"Moi, en tous cas, je ne me risquerais jamais à parier avec toi, c'est un coup à finir ruinée...d'ailleurs, qu'est ce que tu avais parié, pour gagner cent Gallions en deux heures, dis-moi?"

[Camp :]

Elle marchait dans un couloir sombre et glauque, un couloir aux murs suintants et à la lumière vacillante. Inquiète, elle attrapa sa baguette et murmura une formule afin que son innocent bout de bois se transforme en lampe torche aussi brillante que sa soeur l'était en cours. La formule avait été bien prononcée, pourtant la clarté qu'émettait la baguette était faible, si faible...trop faible. La jeune fille voulut s'avancer vers le noir qui s'étendait entre les murs puis se reprit, craignant de se faire peur, et s'arrêta là un instant. L'horloge au-dessus d'elle était étrange, elle tournait à l'envers et les chiffres n'étaient pas fiables, ils changeaient de place... Un bruit la fit sursauter, elle recula, s'appuya contre un bouton qui s'enfonça sous son épaule. Une sonnerie retentit.

Ce fut son réveil qui la tira du sommeil. Lucy, encore toute à son rêve, en fut si surprise qu'elle sursauta et marmonna bêtement, persuadée que c'était en appuyant sur le bouton de son songe qu'elle avait déclenché la sonnerie:

"Ah merde, désolée..."

Puis referma les yeux. Mais la sonnerie ne cessait pas du tout. Nan, carrément pas...Lucy bailla en grommelant, c'était quoi ce rêve là, hein? Elle allait contacter le service après-vente elle...en attendant son réveil était passé d'un calme "bip bip" à "bibibibip". Dans un soupir, la jeune Poufsouffle tapa avec puissance l'innocent objet, puis attrapa un cahier d'apparence quelconque et y consigna son rêve du jour. Eh oui, Lucy notait ses rêves...d'abord parce qu'elle aimait bien les relire et ensuite parce qu'elle s'était aperçue qu'ainsi, elle s'en souvenait bien mieux. Des bribes du début aux scénari accomplis qu'elle consignait maintenant et qui prenait une ou deux pages, il y avait un monde! Et l'univers fantasmagorique qu'elle découvrait en songe valait bien la peine de se lever une demi-heure plus tôt pour noter ses rêves, non? En attendant...d'ordinaire, Lucy se réveillait seule, ouvrant les yeux à six heures et demie, et le réveil ne venait que par sécurité, si jamais elle oubliait d'émerger. ah, le pouvoir de l'autosuggestion...mais aujourd'hui, l'appareil venait de la réveiller. Etonnant...non. Lucy comprit brutalement la raison de ce réveil en fanfare: pour coller avec le soleil, des crétins avaient décidé que deux fois par an on changerait d'heure. Et elle avait changé d'heure et donc, son horloge biologique était décalée. Rhaaah...Lucy referma son cahier, se leva et entreprit de se débarbouille r-elle préférait se doucher le soir-, de s'habiller et de se maquiller. Enfin, maquiller, pas trop non plus, un petit trait de noir suffisait à souligner la transparence de son regard gris.
La suite fut classique, Grande Salle, saluts amicaux à ceux de ses cousins qui mangeaient déjà. Les chevelures rousses flamboyaient à toutes les tables, oh là là, les Weasley avaient colonisé Poudlard...A la table des professeurs, trois personnes qu'elle connaissait aussi mangeaient tranquillement, l'infirmière Victoire, Neville qu'elle connaissait comme étant un ami des Potter et des Weasley, Ted aussi, le filleul de Harry, le père de sa cousine Lily...Stooop, on demande un arbre généalogique! eh oui, les Weasley domineraient le mooonde un jour u__u.
En attendant Lucy dévora tranquillement, beau pléonasme, son petit déjeuner et, attrapant son sac, se prépara à aller en cours. Sauf que...ouais, elle était sacrément en avance...D'ailleurs Ted, son prof du jour, n'avait pas quitté sa table. Alors merde hein. Lucy reposa son sac et entreprit de répondre à un de ses condisciples de troisième année, qui venait innocemment de lui demander comment on aborde un hippogriffe. Oups, Lucy se lança aussitôt dans un cours magistral qui fut suivi avec attention par l'innocent petit gars en jaune. Lorsqu'elle eut fini il la remercia et fila en cours...eh oui, elle était comme ça Lucy, toujours prête à aider son prochain, mais pas bonne poire pour autant. D'ailleurs celui qui venait de lui demander comment communiquent les Veracrasses se fit élégamment remballer. On ne se moque pas de Lucy, du moins, on ne la piège pas. Car elle était intelligente quoique moyenne en cours.

D'ailleurs, cours! Elle attrapa son sac et cette fois, fila vers la salle de métamorphose, impatiente de voir ce que Ted, qu'elle avait souvent croisé aux réunions de famille ou au sein de l'Ordre du Phénix, dont ses deux parents étaient membres, allait donner pour son premier cours. Marchant à grands pas, elle vit soudain un groupe de Serpentards lui emboîter le pas. Autrefois, Lucy aurait pris peur et couru, là elle passa tête autre sans se poser de questions, sachant bien que le lycéen moyen ne devient prédateur que lorsqu'on lui montre sa peur. Un quolibet parvint à ses oreilles, une fois de plus, et la Poufsouffle ignora le coup en avançant. Lorsqu'ils se firent plus pénibles, elle se retourna, gueula un bon coup en balançant à la volée quelques allusions crues ou juste ironiques, et repartit. Merde quoi.
Elle parvint à la salle de Métamorphose alors qu'arrivait une des personnes qu'elle estimait le plus à Poudlard, Lily, sa cousine adorée. Cette dernière venait de faire un coup d'éclat en commençant par expliquer aux élèves qu'on ne reluque pas Ted, attention, Lily défendait les intérêts de Victoire hein, et en ajoutant qu'elle avait gagné un pari. Voyant sa cousine s'arrêter contre le mur pour voir qui entrait, Lucy la rejoignit. Passant devant Ted elle lui adressa un petit sourire gentil, genre "je suis contente que tu sois notre prof" et, moins familière que la jeune Potter, se contenta d'un gentil:

"Bonjour Ted!"

Eh ouais, elle le connaissait depuis assez longtemps maintenant pour l'appeler par son prénom, nan? Et puis c'était presque le grand cousin de Lily, alors, c'était aussi le sien...quand je vous dis que les Weasley-Potter ont colonisé le monde. Puis, allant vers sa cousine, elle lui adressa un grand sourire:

"Moi, en tous cas, je ne me risquerais jamais à parier avec toi, c'est un coup à finir ruinée...d'ailleurs, qu'est ce que tu avais parié, pour gagner cent Gallions en deux heures, dis-moi?"

[Vie du personnage :]

Elle marchait dans un couloir sombre et glauque, un couloir aux murs suintants et à la lumière vacillante. Inquiète, elle attrapa sa baguette et murmura une formule afin que son innocent bout de bois se transforme en lampe torche aussi brillante que sa soeur l'était en cours. La formule avait été bien prononcée, pourtant la clarté qu'émettait la baguette était faible, si faible...trop faible. La jeune fille voulut s'avancer vers le noir qui s'étendait entre les murs puis se reprit, craignant de se faire peur, et s'arrêta là un instant. L'horloge au-dessus d'elle était étrange, elle tournait à l'envers et les chiffres n'étaient pas fiables, ils changeaient de place... Un bruit la fit sursauter, elle recula, s'appuya contre un bouton qui s'enfonça sous son épaule. Une sonnerie retentit.

Ce fut son réveil qui la tira du sommeil. Lucy, encore toute à son rêve, en fut si surprise qu'elle sursauta et marmonna bêtement, persuadée que c'était en appuyant sur le bouton de son songe qu'elle avait déclenché la sonnerie:

"Ah merde, désolée..."

Puis referma les yeux. Mais la sonnerie ne cessait pas du tout. Nan, carrément pas...Lucy bailla en grommelant, c'était quoi ce rêve là, hein? Elle allait contacter le service après-vente elle...en attendant son réveil était passé d'un calme "bip bip" à "bibibibip". Dans un soupir, la jeune Poufsouffle tapa avec puissance l'innocent objet, puis attrapa un cahier d'apparence quelconque et y consigna son rêve du jour. Eh oui, Lucy notait ses rêves...d'abord parce qu'elle aimait bien les relire et ensuite parce qu'elle s'était aperçue qu'ainsi, elle s'en souvenait bien mieux. Des bribes du début aux scénari accomplis qu'elle consignait maintenant et qui prenait une ou deux pages, il y avait un monde! Et l'univers fantasmagorique qu'elle découvrait en songe valait bien la peine de se lever une demi-heure plus tôt pour noter ses rêves, non? En attendant...d'ordinaire, Lucy se réveillait seule, ouvrant les yeux à six heures et demie, et le réveil ne venait que par sécurité, si jamais elle oubliait d'émerger. ah, le pouvoir de l'autosuggestion...mais aujourd'hui, l'appareil venait de la réveiller. Etonnant...non. Lucy comprit brutalement la raison de ce réveil en fanfare: pour coller avec le soleil, des crétins avaient décidé que deux fois par an on changerait d'heure. Et elle avait changé d'heure et donc, son horloge biologique était décalée. Rhaaah...Lucy referma son cahier, se leva et entreprit de se débarbouille r-elle préférait se doucher le soir-, de s'habiller et de se maquiller. Enfin, maquiller, pas trop non plus, un petit trait de noir suffisait à souligner la transparence de son regard gris.
La suite fut classique, Grande Salle, saluts amicaux à ceux de ses cousins qui mangeaient déjà. Les chevelures rousses flamboyaient à toutes les tables, oh là là, les Weasley avaient colonisé Poudlard...A la table des professeurs, trois personnes qu'elle connaissait aussi mangeaient tranquillement, l'infirmière Victoire, Neville qu'elle connaissait comme étant un ami des Potter et des Weasley, Ted aussi, le filleul de Harry, le père de sa cousine Lily...Stooop, on demande un arbre généalogique! eh oui, les Weasley domineraient le mooonde un jour u__u.
En attendant Lucy dévora tranquillement, beau pléonasme, son petit déjeuner et, attrapant son sac, se prépara à aller en cours. Sauf que...ouais, elle était sacrément en avance...D'ailleurs Ted, son prof du jour, n'avait pas quitté sa table. Alors merde hein. Lucy reposa son sac et entreprit de répondre à un de ses condisciples de troisième année, qui venait innocemment de lui demander comment on aborde un hippogriffe. Oups, Lucy se lança aussitôt dans un cours magistral qui fut suivi avec attention par l'innocent petit gars en jaune. Lorsqu'elle eut fini il la remercia et fila en cours...eh oui, elle était comme ça Lucy, toujours prête à aider son prochain, mais pas bonne poire pour autant. D'ailleurs celui qui venait de lui demander comment communiquent les Veracrasses se fit élégamment remballer. On ne se moque pas de Lucy, du moins, on ne la piège pas. Car elle était intelligente quoique moyenne en cours.

D'ailleurs, cours! Elle attrapa son sac et cette fois, fila vers la salle de métamorphose, impatiente de voir ce que Ted, qu'elle avait souvent croisé aux réunions de famille ou au sein de l'Ordre du Phénix, dont ses deux parents étaient membres, allait donner pour son premier cours. Marchant à grands pas, elle vit soudain un groupe de Serpentards lui emboîter le pas. Autrefois, Lucy aurait pris peur et couru, là elle passa tête autre sans se poser de questions, sachant bien que le lycéen moyen ne devient prédateur que lorsqu'on lui montre sa peur. Un quolibet parvint à ses oreilles, une fois de plus, et la Poufsouffle ignora le coup en avançant. Lorsqu'ils se firent plus pénibles, elle se retourna, gueula un bon coup en balançant à la volée quelques allusions crues ou juste ironiques, et repartit. Merde quoi.
Elle parvint à la salle de Métamorphose alors qu'arrivait une des personnes qu'elle estimait le plus à Poudlard, Lily, sa cousine adorée. Cette dernière venait de faire un coup d'éclat en commençant par expliquer aux élèves qu'on ne reluque pas Ted, attention, Lily défendait les intérêts de Victoire hein, et en ajoutant qu'elle avait gagné un pari. Voyant sa cousine s'arrêter contre le mur pour voir qui entrait, Lucy la rejoignit. Passant devant Ted elle lui adressa un petit sourire gentil, genre "je suis contente que tu sois notre prof" et, moins familière que la jeune Potter, se contenta d'un gentil:

"Bonjour Ted!"

Eh ouais, elle le connaissait depuis assez longtemps maintenant pour l'appeler par son prénom, nan? Et puis c'était presque le grand cousin de Lily, alors, c'était aussi le sien...quand je vous dis que les Weasley-Potter ont colonisé le monde. Puis, allant vers sa cousine, elle lui adressa un grand sourire:

"Moi, en tous cas, je ne me risquerais jamais à parier avec toi, c'est un coup à finir ruinée...d'ailleurs, qu'est ce que tu avais parié, pour gagner cent Gallions en deux heures, dis-moi?"

[Truc en plus :]

Elle marchait dans un couloir sombre et glauque, un couloir aux murs suintants et à la lumière vacillante. Inquiète, elle attrapa sa baguette et murmura une formule afin que son innocent bout de bois se transforme en lampe torche aussi brillante que sa soeur l'était en cours. La formule avait été bien prononcée, pourtant la clarté qu'émettait la baguette était faible, si faible...trop faible. La jeune fille voulut s'avancer vers le noir qui s'étendait entre les murs puis se reprit, craignant de se faire peur, et s'arrêta là un instant. L'horloge au-dessus d'elle était étrange, elle tournait à l'envers et les chiffres n'étaient pas fiables, ils changeaient de place... Un bruit la fit sursauter, elle recula, s'appuya contre un bouton qui s'enfonça sous son épaule. Une sonnerie retentit.

Ce fut son réveil qui la tira du sommeil. Lucy, encore toute à son rêve, en fut si surprise qu'elle sursauta et marmonna bêtement, persuadée que c'était en appuyant sur le bouton de son songe qu'elle avait déclenché la sonnerie:

"Ah merde, désolée..."

Puis referma les yeux. Mais la sonnerie ne cessait pas du tout. Nan, carrément pas...Lucy bailla en grommelant, c'était quoi ce rêve là, hein? Elle allait contacter le service après-vente elle...en attendant son réveil était passé d'un calme "bip bip" à "bibibibip". Dans un soupir, la jeune Poufsouffle tapa avec puissance l'innocent objet, puis attrapa un cahier d'apparence quelconque et y consigna son rêve du jour. Eh oui, Lucy notait ses rêves...d'abord parce qu'elle aimait bien les relire et ensuite parce qu'elle s'était aperçue qu'ainsi, elle s'en souvenait bien mieux. Des bribes du début aux scénari accomplis qu'elle consignait maintenant et qui prenait une ou deux pages, il y avait un monde! Et l'univers fantasmagorique qu'elle découvrait en songe valait bien la peine de se lever une demi-heure plus tôt pour noter ses rêves, non? En attendant...d'ordinaire, Lucy se réveillait seule, ouvrant les yeux à six heures et demie, et le réveil ne venait que par sécurité, si jamais elle oubliait d'émerger. ah, le pouvoir de l'autosuggestion...mais aujourd'hui, l'appareil venait de la réveiller. Etonnant...non. Lucy comprit brutalement la raison de ce réveil en fanfare: pour coller avec le soleil, des crétins avaient décidé que deux fois par an on changerait d'heure. Et elle avait changé d'heure et donc, son horloge biologique était décalée. Rhaaah...Lucy referma son cahier, se leva et entreprit de se débarbouille r-elle préférait se doucher le soir-, de s'habiller et de se maquiller. Enfin, maquiller, pas trop non plus, un petit trait de noir suffisait à souligner la transparence de son regard gris.
La suite fut classique, Grande Salle, saluts amicaux à ceux de ses cousins qui mangeaient déjà. Les chevelures rousses flamboyaient à toutes les tables, oh là là, les Weasley avaient colonisé Poudlard...A la table des professeurs, trois personnes qu'elle connaissait aussi mangeaient tranquillement, l'infirmière Victoire, Neville qu'elle connaissait comme étant un ami des Potter et des Weasley, Ted aussi, le filleul de Harry, le père de sa cousine Lily...Stooop, on demande un arbre généalogique! eh oui, les Weasley domineraient le mooonde un jour u__u.
En attendant Lucy dévora tranquillement, beau pléonasme, son petit déjeuner et, attrapant son sac, se prépara à aller en cours. Sauf que...ouais, elle était sacrément en avance...D'ailleurs Ted, son prof du jour, n'avait pas quitté sa table. Alors merde hein. Lucy reposa son sac et entreprit de répondre à un de ses condisciples de troisième année, qui venait innocemment de lui demander comment on aborde un hippogriffe. Oups, Lucy se lança aussitôt dans un cours magistral qui fut suivi avec attention par l'innocent petit gars en jaune. Lorsqu'elle eut fini il la remercia et fila en cours...eh oui, elle était comme ça Lucy, toujours prête à aider son prochain, mais pas bonne poire pour autant. D'ailleurs celui qui venait de lui demander comment communiquent les Veracrasses se fit élégamment remballer. On ne se moque pas de Lucy, du moins, on ne la piège pas. Car elle était intelligente quoique moyenne en cours.

D'ailleurs, cours! Elle attrapa son sac et cette fois, fila vers la salle de métamorphose, impatiente de voir ce que Ted, qu'elle avait souvent croisé aux réunions de famille ou au sein de l'Ordre du Phénix, dont ses deux parents étaient membres, allait donner pour son premier cours. Marchant à grands pas, elle vit soudain un groupe de Serpentards lui emboîter le pas. Autrefois, Lucy aurait pris peur et couru, là elle passa tête autre sans se poser de questions, sachant bien que le lycéen moyen ne devient prédateur que lorsqu'on lui montre sa peur. Un quolibet parvint à ses oreilles, une fois de plus, et la Poufsouffle ignora le coup en avançant. Lorsqu'ils se firent plus pénibles, elle se retourna, gueula un bon coup en balançant à la volée quelques allusions crues ou juste ironiques, et repartit. Merde quoi.
Elle parvint à la salle de Métamorphose alors qu'arrivait une des personnes qu'elle estimait le plus à Poudlard, Lily, sa cousine adorée. Cette dernière venait de faire un coup d'éclat en commençant par expliquer aux élèves qu'on ne reluque pas Ted, attention, Lily défendait les intérêts de Victoire hein, et en ajoutant qu'elle avait gagné un pari. Voyant sa cousine s'arrêter contre le mur pour voir qui entrait, Lucy la rejoignit. Passant devant Ted elle lui adressa un petit sourire gentil, genre "je suis contente que tu sois notre prof" et, moins familière que la jeune Potter, se contenta d'un gentil:

"Bonjour Ted!"

Eh ouais, elle le connaissait depuis assez longtemps maintenant pour l'appeler par son prénom, nan? Et puis c'était presque le grand cousin de Lily, alors, c'était aussi le sien...quand je vous dis que les Weasley-Potter ont colonisé le monde. Puis, allant vers sa cousine, elle lui adressa un grand sourire:

"Moi, en tous cas, je ne me risquerais jamais à parier avec toi, c'est un coup à finir ruinée...d'ailleurs, qu'est ce que tu avais parié, pour gagner cent Gallions en deux heures, dis-moi?"

[Doubles-Comptes :]

Elle marchait dans un couloir sombre et glauque, un couloir aux murs suintants et à la lumière vacillante. Inquiète, elle attrapa sa baguette et murmura une formule afin que son innocent bout de bois se transforme en lampe torche aussi brillante que sa soeur l'était en cours. La formule avait été bien prononcée, pourtant la clarté qu'émettait la baguette était faible, si faible...trop faible. La jeune fille voulut s'avancer vers le noir qui s'étendait entre les murs puis se reprit, craignant de se faire peur, et s'arrêta là un instant. L'horloge au-dessus d'elle était étrange, elle tournait à l'envers et les chiffres n'étaient pas fiables, ils changeaient de place... Un bruit la fit sursauter, elle recula, s'appuya contre un bouton qui s'enfonça sous son épaule. Une sonnerie retentit.

Ce fut son réveil qui la tira du sommeil. Lucy, encore toute à son rêve, en fut si surprise qu'elle sursauta et marmonna bêtement, persuadée que c'était en appuyant sur le bouton de son songe qu'elle avait déclenché la sonnerie:

"Ah merde, désolée..."

Puis referma les yeux. Mais la sonnerie ne cessait pas du tout. Nan, carrément pas...Lucy bailla en grommelant, c'était quoi ce rêve là, hein? Elle allait contacter le service après-vente elle...en attendant son réveil était passé d'un calme "bip bip" à "bibibibip". Dans un soupir, la jeune Poufsouffle tapa avec puissance l'innocent objet, puis attrapa un cahier d'apparence quelconque et y consigna son rêve du jour. Eh oui, Lucy notait ses rêves...d'abord parce qu'elle aimait bien les relire et ensuite parce qu'elle s'était aperçue qu'ainsi, elle s'en souvenait bien mieux. Des bribes du début aux scénari accomplis qu'elle consignait maintenant et qui prenait une ou deux pages, il y avait un monde! Et l'univers fantasmagorique qu'elle découvrait en songe valait bien la peine de se lever une demi-heure plus tôt pour noter ses rêves, non? En attendant...d'ordinaire, Lucy se réveillait seule, ouvrant les yeux à six heures et demie, et le réveil ne venait que par sécurité, si jamais elle oubliait d'émerger. ah, le pouvoir de l'autosuggestion...mais aujourd'hui, l'appareil venait de la réveiller. Etonnant...non. Lucy comprit brutalement la raison de ce réveil en fanfare: pour coller avec le soleil, des crétins avaient décidé que deux fois par an on changerait d'heure. Et elle avait changé d'heure et donc, son horloge biologique était décalée. Rhaaah...Lucy referma son cahier, se leva et entreprit de se débarbouille r-elle préférait se doucher le soir-, de s'habiller et de se maquiller. Enfin, maquiller, pas trop non plus, un petit trait de noir suffisait à souligner la transparence de son regard gris.
La suite fut classique, Grande Salle, saluts amicaux à ceux de ses cousins qui mangeaient déjà. Les chevelures rousses flamboyaient à toutes les tables, oh là là, les Weasley avaient colonisé Poudlard...A la table des professeurs, trois personnes qu'elle connaissait aussi mangeaient tranquillement, l'infirmière Victoire, Neville qu'elle connaissait comme étant un ami des Potter et des Weasley, Ted aussi, le filleul de Harry, le père de sa cousine Lily...Stooop, on demande un arbre généalogique! eh oui, les Weasley domineraient le mooonde un jour u__u.
En attendant Lucy dévora tranquillement, beau pléonasme, son petit déjeuner et, attrapant son sac, se prépara à aller en cours. Sauf que...ouais, elle était sacrément en avance...D'ailleurs Ted, son prof du jour, n'avait pas quitté sa table. Alors merde hein. Lucy reposa son sac et entreprit de répondre à un de ses condisciples de troisième année, qui venait innocemment de lui demander comment on aborde un hippogriffe. Oups, Lucy se lança aussitôt dans un cours magistral qui fut suivi avec attention par l'innocent petit gars en jaune. Lorsqu'elle eut fini il la remercia et fila en cours...eh oui, elle était comme ça Lucy, toujours prête à aider son prochain, mais pas bonne poire pour autant. D'ailleurs celui qui venait de lui demander comment communiquent les Veracrasses se fit élégamment remballer. On ne se moque pas de Lucy, du moins, on ne la piège pas. Car elle était intelligente quoique moyenne en cours.

D'ailleurs, cours! Elle attrapa son sac et cette fois, fila vers la salle de métamorphose, impatiente de voir ce que Ted, qu'elle avait souvent croisé aux réunions de famille ou au sein de l'Ordre du Phénix, dont ses deux parents étaient membres, allait donner pour son premier cours. Marchant à grands pas, elle vit soudain un groupe de Serpentards lui emboîter le pas. Autrefois, Lucy aurait pris peur et couru, là elle passa tête autre sans se poser de questions, sachant bien que le lycéen moyen ne devient prédateur que lorsqu'on lui montre sa peur. Un quolibet parvint à ses oreilles, une fois de plus, et la Poufsouffle ignora le coup en avançant. Lorsqu'ils se firent plus pénibles, elle se retourna, gueula un bon coup en balançant à la volée quelques allusions crues ou juste ironiques, et repartit. Merde quoi.
Elle parvint à la salle de Métamorphose alors qu'arrivait une des personnes qu'elle estimait le plus à Poudlard, Lily, sa cousine adorée. Cette dernière venait de faire un coup d'éclat en commençant par expliquer aux élèves qu'on ne reluque pas Ted, attention, Lily défendait les intérêts de Victoire hein, et en ajoutant qu'elle avait gagné un pari. Voyant sa cousine s'arrêter contre le mur pour voir qui entrait, Lucy la rejoignit. Passant devant Ted elle lui adressa un petit sourire gentil, genre "je suis contente que tu sois notre prof" et, moins familière que la jeune Potter, se contenta d'un gentil:

"Bonjour Ted!"

Eh ouais, elle le connaissait depuis assez longtemps maintenant pour l'appeler par son prénom, nan? Et puis c'était presque le grand cousin de Lily, alors, c'était aussi le sien...quand je vous dis que les Weasley-Potter ont colonisé le monde. Puis, allant vers sa cousine, elle lui adressa un grand sourire:

"Moi, en tous cas, je ne me risquerais jamais à parier avec toi, c'est un coup à finir ruinée...d'ailleurs, qu'est ce que tu avais parié, pour gagner cent Gallions en deux heures, dis-moi?"

Tudududut, tudududut… Réveil matin six heures et demi, Lysander se réveille comme une fleur. N’y comprenez pas là que le jeune homme arrache ses couettes, la jette à la manière d’un acteur de film, et se précipite pour sauver le monde toujours vêtu du plus beau des pyjamas. Non, Lysander Dragonneau, élève de sixième année à l’école des sorciers, garda les yeux fermés un instant, se servant de ses oreilles. Il y en avait déjà qui s’activaient dans le dortoir masculin des Serdaigle. Mais il savait qu’il n’était pas le dernier. Il décida d’ouvrir les yeux et se laissa éblouir. Haaa qu’on était bien dans son l…
« Alors la belle au bois dormant, bien dormi ? » fit une voix malicieuse et bien réveillée.
Lysander, avant de répondre, émit un grognement bestial plutôt étrange.
« Hugo, t’as pas quelqu’un d’autre à aller faire chier ? »
« Non, rétorqua l’intéressé, aujourd’hui c’est toi mon petit dragon. Allez, magne-toi, faut qu’on aille manger. J’ai trop faim. »
Ah oui, le petit déjeuner. C’était mieux de partir pour deux heures intensives de cours avec quelque chose dans le ventre. Lysander se voyait mal louper le premier repas de la journée. De toute manière, avec Hugo Weasley qui avait décidé de lui coller aux basques, il n’avait pas le choix. Il devait y aller… Ou rien du tout, j’ai dit qu’il n’avait pas le choix.
Sous les remarques pressées du Weasley, le Seraigle enfila sa robe de sorcier et tous les accessoires avec de jeter un coup d’œil à ses cheveux. C’était pas la gloire ce matin. On aurait dit qu’il avait dormi avec les cheveux mouillés. Ce n’était pas net du tout. Et qui dit cheveux mouillés en train de sécher, dis cheveux en train de friser. En clair, Lysander avait des bouclettes sur les pointes. C’était trop chou. Et de toute façon, il ne pouvait rien faire. L’autre gars l’avait déjà attrapé par le col de sa chemise et l’entraînait inévitablement vers la salle commune. Quand il fut certainement que Lysander n’allait pas s’enfuir comme un toutou apeuré s’il le lâchait, il le libéra de son emprise et entama la conversation. Lysander écouta d’une oreille distraite les dernières nouvelles du matin. À vrai dire, il n’en avait pas grand chose à faire qu’untel ait largué untelle mais il aimait être au courant. Déjà, ça lui évitait de passer pour un paumé de la vie. Et ça lui donnait de la matière à converser.

Quand les deux Serdaigle arrivèrent dans la Grande Salle, beaucoup d’élève avait déjà commencé à manger, et les plus pressés étaient même déjà repartis. Se casant sur un banc, les deux amis engagèrent la conversation avec les autres tout en se servant de quoi tenir jusqu’au déjeuner, après les cours.
Ils discutaient de choses et d’autres quand une voix s’éleva. Elle ne parlait pas, elle chantait. Lysander souri en reconnaissant cette voix. C’était celle de Lily Potter. Le jeune homme se demanda avec amusement ce que cette fille avait encore bien pu inventer pour devenir chanter cette chanson en plein milieu du petit déjeuner. Sa prestation fut saluée, notamment par Hugo qui tapa dans ses mains et siffla. Lily, parfaite dans son rôle, s’inclina et se rassit. Le spectacle était terminé pour ce matin.
« Pourquoi tu ferais pas un truc comme ça toi demain ? Chante nous un petit air d’opéra ! » fit Lysander avec malice, appuyé par d’autres. C’était bien le genre d’Hugo, de faire des trucs dans ce genre là.
Le repas se termina sans autre interruption et les élèves levèrent les voiles vers leurs salles respectives. Pour bien commence la journée, Lysander avait un cours de métamorphose avec Ted Lupin. Il était toujours un peu déconcerté en entrant dans cette salle. Premièrement, le prof était plutôt jeune, par rapport aux autres. Et il avait aménagé sa salle avec des affiches et des posters. La salle était toujours propre et arborait un aspect très moderne. Et à l’entre, il y avait… Un gros tapis tout mou. Le genre de tapis dans lequel on s’enfonce, sur lequel on s’assoit et dont on ne se relève jamais. LE tapis, complètement in. Mais dommage pour les élèves, on n’y dormait pas, sur ce tapis. Il n’était juste là que pour la décoration.

Lysander passa donc l’étape du tapis de l’entrée. Dans la salle, il y avait déjà un peu de monde venant de toutes les maisons. Il y retrouva Lily, toujours au poste, accompagnée d’une amie, et de Lucy Weasley, sa cousine (à Lily la cousine, pas à Lys’) et une Gryffondor installée en fond de classe, semblant refuser la compagnie des autres. Lysander alla s’asseoir en milieu de rangées et se tourna sur sa chaise pour regarder Lily, qui avait – encore ! – quelque chose à dire. Et hop, elle fit un bref speech sur pourquoi il ne fallait pas mater le beau professeur de métamorphose, ce message s’adressant principalement aux groupies du prof. Puis, avec un naturel presque déconcertant, la jeune fille empocha dix Gallions, faisant un total, d’après ses dires, de cent Gallions.
Toujours retourné sur sa chaise, Lysander lança en souriant :

« Pas mal Lily, tu nous chantes quoi demain ? L’air de Flashdance ? »

Jetant un bref coup d’œil derrière lui, ce qui revenait au devant de la classe puisque Mônsieur s’était installé à l’envers, il constata que les cours n’avait pas encore commencé, et que les élèves continuaient toujours à arriver et à prendre place un peu partout.

[Messages :]

Tudududut, tudududut… Réveil matin six heures et demi, Lysander se réveille comme une fleur. N’y comprenez pas là que le jeune homme arrache ses couettes, la jette à la manière d’un acteur de film, et se précipite pour sauver le monde toujours vêtu du plus beau des pyjamas. Non, Lysander Dragonneau, élève de sixième année à l’école des sorciers, garda les yeux fermés un instant, se servant de ses oreilles. Il y en avait déjà qui s’activaient dans le dortoir masculin des Serdaigle. Mais il savait qu’il n’était pas le dernier. Il décida d’ouvrir les yeux et se laissa éblouir. Haaa qu’on était bien dans son l…
« Alors la belle au bois dormant, bien dormi ? » fit une voix malicieuse et bien réveillée.
Lysander, avant de répondre, émit un grognement bestial plutôt étrange.
« Hugo, t’as pas quelqu’un d’autre à aller faire chier ? »
« Non, rétorqua l’intéressé, aujourd’hui c’est toi mon petit dragon. Allez, magne-toi, faut qu’on aille manger. J’ai trop faim. »
Ah oui, le petit déjeuner. C’était mieux de partir pour deux heures intensives de cours avec quelque chose dans le ventre. Lysander se voyait mal louper le premier repas de la journée. De toute manière, avec Hugo Weasley qui avait décidé de lui coller aux basques, il n’avait pas le choix. Il devait y aller… Ou rien du tout, j’ai dit qu’il n’avait pas le choix.
Sous les remarques pressées du Weasley, le Seraigle enfila sa robe de sorcier et tous les accessoires avec de jeter un coup d’œil à ses cheveux. C’était pas la gloire ce matin. On aurait dit qu’il avait dormi avec les cheveux mouillés. Ce n’était pas net du tout. Et qui dit cheveux mouillés en train de sécher, dis cheveux en train de friser. En clair, Lysander avait des bouclettes sur les pointes. C’était trop chou. Et de toute façon, il ne pouvait rien faire. L’autre gars l’avait déjà attrapé par le col de sa chemise et l’entraînait inévitablement vers la salle commune. Quand il fut certainement que Lysander n’allait pas s’enfuir comme un toutou apeuré s’il le lâchait, il le libéra de son emprise et entama la conversation. Lysander écouta d’une oreille distraite les dernières nouvelles du matin. À vrai dire, il n’en avait pas grand chose à faire qu’untel ait largué untelle mais il aimait être au courant. Déjà, ça lui évitait de passer pour un paumé de la vie. Et ça lui donnait de la matière à converser.

Quand les deux Serdaigle arrivèrent dans la Grande Salle, beaucoup d’élève avait déjà commencé à manger, et les plus pressés étaient même déjà repartis. Se casant sur un banc, les deux amis engagèrent la conversation avec les autres tout en se servant de quoi tenir jusqu’au déjeuner, après les cours.
Ils discutaient de choses et d’autres quand une voix s’éleva. Elle ne parlait pas, elle chantait. Lysander souri en reconnaissant cette voix. C’était celle de Lily Potter. Le jeune homme se demanda avec amusement ce que cette fille avait encore bien pu inventer pour devenir chanter cette chanson en plein milieu du petit déjeuner. Sa prestation fut saluée, notamment par Hugo qui tapa dans ses mains et siffla. Lily, parfaite dans son rôle, s’inclina et se rassit. Le spectacle était terminé pour ce matin.
« Pourquoi tu ferais pas un truc comme ça toi demain ? Chante nous un petit air d’opéra ! » fit Lysander avec malice, appuyé par d’autres. C’était bien le genre d’Hugo, de faire des trucs dans ce genre là.
Le repas se termina sans autre interruption et les élèves levèrent les voiles vers leurs salles respectives. Pour bien commence la journée, Lysander avait un cours de métamorphose avec Ted Lupin. Il était toujours un peu déconcerté en entrant dans cette salle. Premièrement, le prof était plutôt jeune, par rapport aux autres. Et il avait aménagé sa salle avec des affiches et des posters. La salle était toujours propre et arborait un aspect très moderne. Et à l’entre, il y avait… Un gros tapis tout mou. Le genre de tapis dans lequel on s’enfonce, sur lequel on s’assoit et dont on ne se relève jamais. LE tapis, complètement in. Mais dommage pour les élèves, on n’y dormait pas, sur ce tapis. Il n’était juste là que pour la décoration.

Lysander passa donc l’étape du tapis de l’entrée. Dans la salle, il y avait déjà un peu de monde venant de toutes les maisons. Il y retrouva Lily, toujours au poste, accompagnée d’une amie, et de Lucy Weasley, sa cousine (à Lily la cousine, pas à Lys’) et une Gryffondor installée en fond de classe, semblant refuser la compagnie des autres. Lysander alla s’asseoir en milieu de rangées et se tourna sur sa chaise pour regarder Lily, qui avait – encore ! – quelque chose à dire. Et hop, elle fit un bref speech sur pourquoi il ne fallait pas mater le beau professeur de métamorphose, ce message s’adressant principalement aux groupies du prof. Puis, avec un naturel presque déconcertant, la jeune fille empocha dix Gallions, faisant un total, d’après ses dires, de cent Gallions.
Toujours retourné sur sa chaise, Lysander lança en souriant :

« Pas mal Lily, tu nous chantes quoi demain ? L’air de Flashdance ? »

Jetant un bref coup d’œil derrière lui, ce qui revenait au devant de la classe puisque Mônsieur s’était installé à l’envers, il constata que les cours n’avait pas encore commencé, et que les élèves continuaient toujours à arriver et à prendre place un peu partout.

[Points :]

Tudududut, tudududut… Réveil matin six heures et demi, Lysander se réveille comme une fleur. N’y comprenez pas là que le jeune homme arrache ses couettes, la jette à la manière d’un acteur de film, et se précipite pour sauver le monde toujours vêtu du plus beau des pyjamas. Non, Lysander Dragonneau, élève de sixième année à l’école des sorciers, garda les yeux fermés un instant, se servant de ses oreilles. Il y en avait déjà qui s’activaient dans le dortoir masculin des Serdaigle. Mais il savait qu’il n’était pas le dernier. Il décida d’ouvrir les yeux et se laissa éblouir. Haaa qu’on était bien dans son l…
« Alors la belle au bois dormant, bien dormi ? » fit une voix malicieuse et bien réveillée.
Lysander, avant de répondre, émit un grognement bestial plutôt étrange.
« Hugo, t’as pas quelqu’un d’autre à aller faire chier ? »
« Non, rétorqua l’intéressé, aujourd’hui c’est toi mon petit dragon. Allez, magne-toi, faut qu’on aille manger. J’ai trop faim. »
Ah oui, le petit déjeuner. C’était mieux de partir pour deux heures intensives de cours avec quelque chose dans le ventre. Lysander se voyait mal louper le premier repas de la journée. De toute manière, avec Hugo Weasley qui avait décidé de lui coller aux basques, il n’avait pas le choix. Il devait y aller… Ou rien du tout, j’ai dit qu’il n’avait pas le choix.
Sous les remarques pressées du Weasley, le Seraigle enfila sa robe de sorcier et tous les accessoires avec de jeter un coup d’œil à ses cheveux. C’était pas la gloire ce matin. On aurait dit qu’il avait dormi avec les cheveux mouillés. Ce n’était pas net du tout. Et qui dit cheveux mouillés en train de sécher, dis cheveux en train de friser. En clair, Lysander avait des bouclettes sur les pointes. C’était trop chou. Et de toute façon, il ne pouvait rien faire. L’autre gars l’avait déjà attrapé par le col de sa chemise et l’entraînait inévitablement vers la salle commune. Quand il fut certainement que Lysander n’allait pas s’enfuir comme un toutou apeuré s’il le lâchait, il le libéra de son emprise et entama la conversation. Lysander écouta d’une oreille distraite les dernières nouvelles du matin. À vrai dire, il n’en avait pas grand chose à faire qu’untel ait largué untelle mais il aimait être au courant. Déjà, ça lui évitait de passer pour un paumé de la vie. Et ça lui donnait de la matière à converser.

Quand les deux Serdaigle arrivèrent dans la Grande Salle, beaucoup d’élève avait déjà commencé à manger, et les plus pressés étaient même déjà repartis. Se casant sur un banc, les deux amis engagèrent la conversation avec les autres tout en se servant de quoi tenir jusqu’au déjeuner, après les cours.
Ils discutaient de choses et d’autres quand une voix s’éleva. Elle ne parlait pas, elle chantait. Lysander souri en reconnaissant cette voix. C’était celle de Lily Potter. Le jeune homme se demanda avec amusement ce que cette fille avait encore bien pu inventer pour devenir chanter cette chanson en plein milieu du petit déjeuner. Sa prestation fut saluée, notamment par Hugo qui tapa dans ses mains et siffla. Lily, parfaite dans son rôle, s’inclina et se rassit. Le spectacle était terminé pour ce matin.
« Pourquoi tu ferais pas un truc comme ça toi demain ? Chante nous un petit air d’opéra ! » fit Lysander avec malice, appuyé par d’autres. C’était bien le genre d’Hugo, de faire des trucs dans ce genre là.
Le repas se termina sans autre interruption et les élèves levèrent les voiles vers leurs salles respectives. Pour bien commence la journée, Lysander avait un cours de métamorphose avec Ted Lupin. Il était toujours un peu déconcerté en entrant dans cette salle. Premièrement, le prof était plutôt jeune, par rapport aux autres. Et il avait aménagé sa salle avec des affiches et des posters. La salle était toujours propre et arborait un aspect très moderne. Et à l’entre, il y avait… Un gros tapis tout mou. Le genre de tapis dans lequel on s’enfonce, sur lequel on s’assoit et dont on ne se relève jamais. LE tapis, complètement in. Mais dommage pour les élèves, on n’y dormait pas, sur ce tapis. Il n’était juste là que pour la décoration.

Lysander passa donc l’étape du tapis de l’entrée. Dans la salle, il y avait déjà un peu de monde venant de toutes les maisons. Il y retrouva Lily, toujours au poste, accompagnée d’une amie, et de Lucy Weasley, sa cousine (à Lily la cousine, pas à Lys’) et une Gryffondor installée en fond de classe, semblant refuser la compagnie des autres. Lysander alla s’asseoir en milieu de rangées et se tourna sur sa chaise pour regarder Lily, qui avait – encore ! – quelque chose à dire. Et hop, elle fit un bref speech sur pourquoi il ne fallait pas mater le beau professeur de métamorphose, ce message s’adressant principalement aux groupies du prof. Puis, avec un naturel presque déconcertant, la jeune fille empocha dix Gallions, faisant un total, d’après ses dires, de cent Gallions.
Toujours retourné sur sa chaise, Lysander lança en souriant :

« Pas mal Lily, tu nous chantes quoi demain ? L’air de Flashdance ? »

Jetant un bref coup d’œil derrière lui, ce qui revenait au devant de la classe puisque Mônsieur s’était installé à l’envers, il constata que les cours n’avait pas encore commencé, et que les élèves continuaient toujours à arriver et à prendre place un peu partout.

[Avatar :]

Tudududut, tudududut… Réveil matin six heures et demi, Lysander se réveille comme une fleur. N’y comprenez pas là que le jeune homme arrache ses couettes, la jette à la manière d’un acteur de film, et se précipite pour sauver le monde toujours vêtu du plus beau des pyjamas. Non, Lysander Dragonneau, élève de sixième année à l’école des sorciers, garda les yeux fermés un instant, se servant de ses oreilles. Il y en avait déjà qui s’activaient dans le dortoir masculin des Serdaigle. Mais il savait qu’il n’était pas le dernier. Il décida d’ouvrir les yeux et se laissa éblouir. Haaa qu’on était bien dans son l…
« Alors la belle au bois dormant, bien dormi ? » fit une voix malicieuse et bien réveillée.
Lysander, avant de répondre, émit un grognement bestial plutôt étrange.
« Hugo, t’as pas quelqu’un d’autre à aller faire chier ? »
« Non, rétorqua l’intéressé, aujourd’hui c’est toi mon petit dragon. Allez, magne-toi, faut qu’on aille manger. J’ai trop faim. »
Ah oui, le petit déjeuner. C’était mieux de partir pour deux heures intensives de cours avec quelque chose dans le ventre. Lysander se voyait mal louper le premier repas de la journée. De toute manière, avec Hugo Weasley qui avait décidé de lui coller aux basques, il n’avait pas le choix. Il devait y aller… Ou rien du tout, j’ai dit qu’il n’avait pas le choix.
Sous les remarques pressées du Weasley, le Seraigle enfila sa robe de sorcier et tous les accessoires avec de jeter un coup d’œil à ses cheveux. C’était pas la gloire ce matin. On aurait dit qu’il avait dormi avec les cheveux mouillés. Ce n’était pas net du tout. Et qui dit cheveux mouillés en train de sécher, dis cheveux en train de friser. En clair, Lysander avait des bouclettes sur les pointes. C’était trop chou. Et de toute façon, il ne pouvait rien faire. L’autre gars l’avait déjà attrapé par le col de sa chemise et l’entraînait inévitablement vers la salle commune. Quand il fut certainement que Lysander n’allait pas s’enfuir comme un toutou apeuré s’il le lâchait, il le libéra de son emprise et entama la conversation. Lysander écouta d’une oreille distraite les dernières nouvelles du matin. À vrai dire, il n’en avait pas grand chose à faire qu’untel ait largué untelle mais il aimait être au courant. Déjà, ça lui évitait de passer pour un paumé de la vie. Et ça lui donnait de la matière à converser.

Quand les deux Serdaigle arrivèrent dans la Grande Salle, beaucoup d’élève avait déjà commencé à manger, et les plus pressés étaient même déjà repartis. Se casant sur un banc, les deux amis engagèrent la conversation avec les autres tout en se servant de quoi tenir jusqu’au déjeuner, après les cours.
Ils discutaient de choses et d’autres quand une voix s’éleva. Elle ne parlait pas, elle chantait. Lysander souri en reconnaissant cette voix. C’était celle de Lily Potter. Le jeune homme se demanda avec amusement ce que cette fille avait encore bien pu inventer pour devenir chanter cette chanson en plein milieu du petit déjeuner. Sa prestation fut saluée, notamment par Hugo qui tapa dans ses mains et siffla. Lily, parfaite dans son rôle, s’inclina et se rassit. Le spectacle était terminé pour ce matin.
« Pourquoi tu ferais pas un truc comme ça toi demain ? Chante nous un petit air d’opéra ! » fit Lysander avec malice, appuyé par d’autres. C’était bien le genre d’Hugo, de faire des trucs dans ce genre là.
Le repas se termina sans autre interruption et les élèves levèrent les voiles vers leurs salles respectives. Pour bien commence la journée, Lysander avait un cours de métamorphose avec Ted Lupin. Il était toujours un peu déconcerté en entrant dans cette salle. Premièrement, le prof était plutôt jeune, par rapport aux autres. Et il avait aménagé sa salle avec des affiches et des posters. La salle était toujours propre et arborait un aspect très moderne. Et à l’entre, il y avait… Un gros tapis tout mou. Le genre de tapis dans lequel on s’enfonce, sur lequel on s’assoit et dont on ne se relève jamais. LE tapis, complètement in. Mais dommage pour les élèves, on n’y dormait pas, sur ce tapis. Il n’était juste là que pour la décoration.

Lysander passa donc l’étape du tapis de l’entrée. Dans la salle, il y avait déjà un peu de monde venant de toutes les maisons. Il y retrouva Lily, toujours au poste, accompagnée d’une amie, et de Lucy Weasley, sa cousine (à Lily la cousine, pas à Lys’) et une Gryffondor installée en fond de classe, semblant refuser la compagnie des autres. Lysander alla s’asseoir en milieu de rangées et se tourna sur sa chaise pour regarder Lily, qui avait – encore ! – quelque chose à dire. Et hop, elle fit un bref speech sur pourquoi il ne fallait pas mater le beau professeur de métamorphose, ce message s’adressant principalement aux groupies du prof. Puis, avec un naturel presque déconcertant, la jeune fille empocha dix Gallions, faisant un total, d’après ses dires, de cent Gallions.
Toujours retourné sur sa chaise, Lysander lança en souriant :

« Pas mal Lily, tu nous chantes quoi demain ? L’air de Flashdance ? »

Jetant un bref coup d’œil derrière lui, ce qui revenait au devant de la classe puisque Mônsieur s’était installé à l’envers, il constata que les cours n’avait pas encore commencé, et que les élèves continuaient toujours à arriver et à prendre place un peu partout.

[Crédits :]

Tudududut, tudududut… Réveil matin six heures et demi, Lysander se réveille comme une fleur. N’y comprenez pas là que le jeune homme arrache ses couettes, la jette à la manière d’un acteur de film, et se précipite pour sauver le monde toujours vêtu du plus beau des pyjamas. Non, Lysander Dragonneau, élève de sixième année à l’école des sorciers, garda les yeux fermés un instant, se servant de ses oreilles. Il y en avait déjà qui s’activaient dans le dortoir masculin des Serdaigle. Mais il savait qu’il n’était pas le dernier. Il décida d’ouvrir les yeux et se laissa éblouir. Haaa qu’on était bien dans son l…
« Alors la belle au bois dormant, bien dormi ? » fit une voix malicieuse et bien réveillée.
Lysander, avant de répondre, émit un grognement bestial plutôt étrange.
« Hugo, t’as pas quelqu’un d’autre à aller faire chier ? »
« Non, rétorqua l’intéressé, aujourd’hui c’est toi mon petit dragon. Allez, magne-toi, faut qu’on aille manger. J’ai trop faim. »
Ah oui, le petit déjeuner. C’était mieux de partir pour deux heures intensives de cours avec quelque chose dans le ventre. Lysander se voyait mal louper le premier repas de la journée. De toute manière, avec Hugo Weasley qui avait décidé de lui coller aux basques, il n’avait pas le choix. Il devait y aller… Ou rien du tout, j’ai dit qu’il n’avait pas le choix.
Sous les remarques pressées du Weasley, le Seraigle enfila sa robe de sorcier et tous les accessoires avec de jeter un coup d’œil à ses cheveux. C’était pas la gloire ce matin. On aurait dit qu’il avait dormi avec les cheveux mouillés. Ce n’était pas net du tout. Et qui dit cheveux mouillés en train de sécher, dis cheveux en train de friser. En clair, Lysander avait des bouclettes sur les pointes. C’était trop chou. Et de toute façon, il ne pouvait rien faire. L’autre gars l’avait déjà attrapé par le col de sa chemise et l’entraînait inévitablement vers la salle commune. Quand il fut certainement que Lysander n’allait pas s’enfuir comme un toutou apeuré s’il le lâchait, il le libéra de son emprise et entama la conversation. Lysander écouta d’une oreille distraite les dernières nouvelles du matin. À vrai dire, il n’en avait pas grand chose à faire qu’untel ait largué untelle mais il aimait être au courant. Déjà, ça lui évitait de passer pour un paumé de la vie. Et ça lui donnait de la matière à converser.

Quand les deux Serdaigle arrivèrent dans la Grande Salle, beaucoup d’élève avait déjà commencé à manger, et les plus pressés étaient même déjà repartis. Se casant sur un banc, les deux amis engagèrent la conversation avec les autres tout en se servant de quoi tenir jusqu’au déjeuner, après les cours.
Ils discutaient de choses et d’autres quand une voix s’éleva. Elle ne parlait pas, elle chantait. Lysander souri en reconnaissant cette voix. C’était celle de Lily Potter. Le jeune homme se demanda avec amusement ce que cette fille avait encore bien pu inventer pour devenir chanter cette chanson en plein milieu du petit déjeuner. Sa prestation fut saluée, notamment par Hugo qui tapa dans ses mains et siffla. Lily, parfaite dans son rôle, s’inclina et se rassit. Le spectacle était terminé pour ce matin.
« Pourquoi tu ferais pas un truc comme ça toi demain ? Chante nous un petit air d’opéra ! » fit Lysander avec malice, appuyé par d’autres. C’était bien le genre d’Hugo, de faire des trucs dans ce genre là.
Le repas se termina sans autre interruption et les élèves levèrent les voiles vers leurs salles respectives. Pour bien commence la journée, Lysander avait un cours de métamorphose avec Ted Lupin. Il était toujours un peu déconcerté en entrant dans cette salle. Premièrement, le prof était plutôt jeune, par rapport aux autres. Et il avait aménagé sa salle avec des affiches et des posters. La salle était toujours propre et arborait un aspect très moderne. Et à l’entre, il y avait… Un gros tapis tout mou. Le genre de tapis dans lequel on s’enfonce, sur lequel on s’assoit et dont on ne se relève jamais. LE tapis, complètement in. Mais dommage pour les élèves, on n’y dormait pas, sur ce tapis. Il n’était juste là que pour la décoration.

Lysander passa donc l’étape du tapis de l’entrée. Dans la salle, il y avait déjà un peu de monde venant de toutes les maisons. Il y retrouva Lily, toujours au poste, accompagnée d’une amie, et de Lucy Weasley, sa cousine (à Lily la cousine, pas à Lys’) et une Gryffondor installée en fond de classe, semblant refuser la compagnie des autres. Lysander alla s’asseoir en milieu de rangées et se tourna sur sa chaise pour regarder Lily, qui avait – encore ! – quelque chose à dire. Et hop, elle fit un bref speech sur pourquoi il ne fallait pas mater le beau professeur de métamorphose, ce message s’adressant principalement aux groupies du prof. Puis, avec un naturel presque déconcertant, la jeune fille empocha dix Gallions, faisant un total, d’après ses dires, de cent Gallions.
Toujours retourné sur sa chaise, Lysander lança en souriant :

« Pas mal Lily, tu nous chantes quoi demain ? L’air de Flashdance ? »

Jetant un bref coup d’œil derrière lui, ce qui revenait au devant de la classe puisque Mônsieur s’était installé à l’envers, il constata que les cours n’avait pas encore commencé, et que les élèves continuaient toujours à arriver et à prendre place un peu partout.

[Age RPG :]

Tudududut, tudududut… Réveil matin six heures et demi, Lysander se réveille comme une fleur. N’y comprenez pas là que le jeune homme arrache ses couettes, la jette à la manière d’un acteur de film, et se précipite pour sauver le monde toujours vêtu du plus beau des pyjamas. Non, Lysander Dragonneau, élève de sixième année à l’école des sorciers, garda les yeux fermés un instant, se servant de ses oreilles. Il y en avait déjà qui s’activaient dans le dortoir masculin des Serdaigle. Mais il savait qu’il n’était pas le dernier. Il décida d’ouvrir les yeux et se laissa éblouir. Haaa qu’on était bien dans son l…
« Alors la belle au bois dormant, bien dormi ? » fit une voix malicieuse et bien réveillée.
Lysander, avant de répondre, émit un grognement bestial plutôt étrange.
« Hugo, t’as pas quelqu’un d’autre à aller faire chier ? »
« Non, rétorqua l’intéressé, aujourd’hui c’est toi mon petit dragon. Allez, magne-toi, faut qu’on aille manger. J’ai trop faim. »
Ah oui, le petit déjeuner. C’était mieux de partir pour deux heures intensives de cours avec quelque chose dans le ventre. Lysander se voyait mal louper le premier repas de la journée. De toute manière, avec Hugo Weasley qui avait décidé de lui coller aux basques, il n’avait pas le choix. Il devait y aller… Ou rien du tout, j’ai dit qu’il n’avait pas le choix.
Sous les remarques pressées du Weasley, le Seraigle enfila sa robe de sorcier et tous les accessoires avec de jeter un coup d’œil à ses cheveux. C’était pas la gloire ce matin. On aurait dit qu’il avait dormi avec les cheveux mouillés. Ce n’était pas net du tout. Et qui dit cheveux mouillés en train de sécher, dis cheveux en train de friser. En clair, Lysander avait des bouclettes sur les pointes. C’était trop chou. Et de toute façon, il ne pouvait rien faire. L’autre gars l’avait déjà attrapé par le col de sa chemise et l’entraînait inévitablement vers la salle commune. Quand il fut certainement que Lysander n’allait pas s’enfuir comme un toutou apeuré s’il le lâchait, il le libéra de son emprise et entama la conversation. Lysander écouta d’une oreille distraite les dernières nouvelles du matin. À vrai dire, il n’en avait pas grand chose à faire qu’untel ait largué untelle mais il aimait être au courant. Déjà, ça lui évitait de passer pour un paumé de la vie. Et ça lui donnait de la matière à converser.

Quand les deux Serdaigle arrivèrent dans la Grande Salle, beaucoup d’élève avait déjà commencé à manger, et les plus pressés étaient même déjà repartis. Se casant sur un banc, les deux amis engagèrent la conversation avec les autres tout en se servant de quoi tenir jusqu’au déjeuner, après les cours.
Ils discutaient de choses et d’autres quand une voix s’éleva. Elle ne parlait pas, elle chantait. Lysander souri en reconnaissant cette voix. C’était celle de Lily Potter. Le jeune homme se demanda avec amusement ce que cette fille avait encore bien pu inventer pour devenir chanter cette chanson en plein milieu du petit déjeuner. Sa prestation fut saluée, notamment par Hugo qui tapa dans ses mains et siffla. Lily, parfaite dans son rôle, s’inclina et se rassit. Le spectacle était terminé pour ce matin.
« Pourquoi tu ferais pas un truc comme ça toi demain ? Chante nous un petit air d’opéra ! » fit Lysander avec malice, appuyé par d’autres. C’était bien le genre d’Hugo, de faire des trucs dans ce genre là.
Le repas se termina sans autre interruption et les élèves levèrent les voiles vers leurs salles respectives. Pour bien commence la journée, Lysander avait un cours de métamorphose avec Ted Lupin. Il était toujours un peu déconcerté en entrant dans cette salle. Premièrement, le prof était plutôt jeune, par rapport aux autres. Et il avait aménagé sa salle avec des affiches et des posters. La salle était toujours propre et arborait un aspect très moderne. Et à l’entre, il y avait… Un gros tapis tout mou. Le genre de tapis dans lequel on s’enfonce, sur lequel on s’assoit et dont on ne se relève jamais. LE tapis, complètement in. Mais dommage pour les élèves, on n’y dormait pas, sur ce tapis. Il n’était juste là que pour la décoration.

Lysander passa donc l’étape du tapis de l’entrée. Dans la salle, il y avait déjà un peu de monde venant de toutes les maisons. Il y retrouva Lily, toujours au poste, accompagnée d’une amie, et de Lucy Weasley, sa cousine (à Lily la cousine, pas à Lys’) et une Gryffondor installée en fond de classe, semblant refuser la compagnie des autres. Lysander alla s’asseoir en milieu de rangées et se tourna sur sa chaise pour regarder Lily, qui avait – encore ! – quelque chose à dire. Et hop, elle fit un bref speech sur pourquoi il ne fallait pas mater le beau professeur de métamorphose, ce message s’adressant principalement aux groupies du prof. Puis, avec un naturel presque déconcertant, la jeune fille empocha dix Gallions, faisant un total, d’après ses dires, de cent Gallions.
Toujours retourné sur sa chaise, Lysander lança en souriant :

« Pas mal Lily, tu nous chantes quoi demain ? L’air de Flashdance ? »

Jetant un bref coup d’œil derrière lui, ce qui revenait au devant de la classe puisque Mônsieur s’était installé à l’envers, il constata que les cours n’avait pas encore commencé, et que les élèves continuaient toujours à arriver et à prendre place un peu partout.

[Sang :]

Tudududut, tudududut… Réveil matin six heures et demi, Lysander se réveille comme une fleur. N’y comprenez pas là que le jeune homme arrache ses couettes, la jette à la manière d’un acteur de film, et se précipite pour sauver le monde toujours vêtu du plus beau des pyjamas. Non, Lysander Dragonneau, élève de sixième année à l’école des sorciers, garda les yeux fermés un instant, se servant de ses oreilles. Il y en avait déjà qui s’activaient dans le dortoir masculin des Serdaigle. Mais il savait qu’il n’était pas le dernier. Il décida d’ouvrir les yeux et se laissa éblouir. Haaa qu’on était bien dans son l…
« Alors la belle au bois dormant, bien dormi ? » fit une voix malicieuse et bien réveillée.
Lysander, avant de répondre, émit un grognement bestial plutôt étrange.
« Hugo, t’as pas quelqu’un d’autre à aller faire chier ? »
« Non, rétorqua l’intéressé, aujourd’hui c’est toi mon petit dragon. Allez, magne-toi, faut qu’on aille manger. J’ai trop faim. »
Ah oui, le petit déjeuner. C’était mieux de partir pour deux heures intensives de cours avec quelque chose dans le ventre. Lysander se voyait mal louper le premier repas de la journée. De toute manière, avec Hugo Weasley qui avait décidé de lui coller aux basques, il n’avait pas le choix. Il devait y aller… Ou rien du tout, j’ai dit qu’il n’avait pas le choix.
Sous les remarques pressées du Weasley, le Seraigle enfila sa robe de sorcier et tous les accessoires avec de jeter un coup d’œil à ses cheveux. C’était pas la gloire ce matin. On aurait dit qu’il avait dormi avec les cheveux mouillés. Ce n’était pas net du tout. Et qui dit cheveux mouillés en train de sécher, dis cheveux en train de friser. En clair, Lysander avait des bouclettes sur les pointes. C’était trop chou. Et de toute façon, il ne pouvait rien faire. L’autre gars l’avait déjà attrapé par le col de sa chemise et l’entraînait inévitablement vers la salle commune. Quand il fut certainement que Lysander n’allait pas s’enfuir comme un toutou apeuré s’il le lâchait, il le libéra de son emprise et entama la conversation. Lysander écouta d’une oreille distraite les dernières nouvelles du matin. À vrai dire, il n’en avait pas grand chose à faire qu’untel ait largué untelle mais il aimait être au courant. Déjà, ça lui évitait de passer pour un paumé de la vie. Et ça lui donnait de la matière à converser.

Quand les deux Serdaigle arrivèrent dans la Grande Salle, beaucoup d’élève avait déjà commencé à manger, et les plus pressés étaient même déjà repartis. Se casant sur un banc, les deux amis engagèrent la conversation avec les autres tout en se servant de quoi tenir jusqu’au déjeuner, après les cours.
Ils discutaient de choses et d’autres quand une voix s’éleva. Elle ne parlait pas, elle chantait. Lysander souri en reconnaissant cette voix. C’était celle de Lily Potter. Le jeune homme se demanda avec amusement ce que cette fille avait encore bien pu inventer pour devenir chanter cette chanson en plein milieu du petit déjeuner. Sa prestation fut saluée, notamment par Hugo qui tapa dans ses mains et siffla. Lily, parfaite dans son rôle, s’inclina et se rassit. Le spectacle était terminé pour ce matin.
« Pourquoi tu ferais pas un truc comme ça toi demain ? Chante nous un petit air d’opéra ! » fit Lysander avec malice, appuyé par d’autres. C’était bien le genre d’Hugo, de faire des trucs dans ce genre là.
Le repas se termina sans autre interruption et les élèves levèrent les voiles vers leurs salles respectives. Pour bien commence la journée, Lysander avait un cours de métamorphose avec Ted Lupin. Il était toujours un peu déconcerté en entrant dans cette salle. Premièrement, le prof était plutôt jeune, par rapport aux autres. Et il avait aménagé sa salle avec des affiches et des posters. La salle était toujours propre et arborait un aspect très moderne. Et à l’entre, il y avait… Un gros tapis tout mou. Le genre de tapis dans lequel on s’enfonce, sur lequel on s’assoit et dont on ne se relève jamais. LE tapis, complètement in. Mais dommage pour les élèves, on n’y dormait pas, sur ce tapis. Il n’était juste là que pour la décoration.

Lysander passa donc l’étape du tapis de l’entrée. Dans la salle, il y avait déjà un peu de monde venant de toutes les maisons. Il y retrouva Lily, toujours au poste, accompagnée d’une amie, et de Lucy Weasley, sa cousine (à Lily la cousine, pas à Lys’) et une Gryffondor installée en fond de classe, semblant refuser la compagnie des autres. Lysander alla s’asseoir en milieu de rangées et se tourna sur sa chaise pour regarder Lily, qui avait – encore ! – quelque chose à dire. Et hop, elle fit un bref speech sur pourquoi il ne fallait pas mater le beau professeur de métamorphose, ce message s’adressant principalement aux groupies du prof. Puis, avec un naturel presque déconcertant, la jeune fille empocha dix Gallions, faisant un total, d’après ses dires, de cent Gallions.
Toujours retourné sur sa chaise, Lysander lança en souriant :

« Pas mal Lily, tu nous chantes quoi demain ? L’air de Flashdance ? »

Jetant un bref coup d’œil derrière lui, ce qui revenait au devant de la classe puisque Mônsieur s’était installé à l’envers, il constata que les cours n’avait pas encore commencé, et que les élèves continuaient toujours à arriver et à prendre place un peu partout.

[Camp :]

Tudududut, tudududut… Réveil matin six heures et demi, Lysander se réveille comme une fleur. N’y comprenez pas là que le jeune homme arrache ses couettes, la jette à la manière d’un acteur de film, et se précipite pour sauver le monde toujours vêtu du plus beau des pyjamas. Non, Lysander Dragonneau, élève de sixième année à l’école des sorciers, garda les yeux fermés un instant, se servant de ses oreilles. Il y en avait déjà qui s’activaient dans le dortoir masculin des Serdaigle. Mais il savait qu’il n’était pas le dernier. Il décida d’ouvrir les yeux et se laissa éblouir. Haaa qu’on était bien dans son l…
« Alors la belle au bois dormant, bien dormi ? » fit une voix malicieuse et bien réveillée.
Lysander, avant de répondre, émit un grognement bestial plutôt étrange.
« Hugo, t’as pas quelqu’un d’autre à aller faire chier ? »
« Non, rétorqua l’intéressé, aujourd’hui c’est toi mon petit dragon. Allez, magne-toi, faut qu’on aille manger. J’ai trop faim. »
Ah oui, le petit déjeuner. C’était mieux de partir pour deux heures intensives de cours avec quelque chose dans le ventre. Lysander se voyait mal louper le premier repas de la journée. De toute manière, avec Hugo Weasley qui avait décidé de lui coller aux basques, il n’avait pas le choix. Il devait y aller… Ou rien du tout, j’ai dit qu’il n’avait pas le choix.
Sous les remarques pressées du Weasley, le Seraigle enfila sa robe de sorcier et tous les accessoires avec de jeter un coup d’œil à ses cheveux. C’était pas la gloire ce matin. On aurait dit qu’il avait dormi avec les cheveux mouillés. Ce n’était pas net du tout. Et qui dit cheveux mouillés en train de sécher, dis cheveux en train de friser. En clair, Lysander avait des bouclettes sur les pointes. C’était trop chou. Et de toute façon, il ne pouvait rien faire. L’autre gars l’avait déjà attrapé par le col de sa chemise et l’entraînait inévitablement vers la salle commune. Quand il fut certainement que Lysander n’allait pas s’enfuir comme un toutou apeuré s’il le lâchait, il le libéra de son emprise et entama la conversation. Lysander écouta d’une oreille distraite les dernières nouvelles du matin. À vrai dire, il n’en avait pas grand chose à faire qu’untel ait largué untelle mais il aimait être au courant. Déjà, ça lui évitait de passer pour un paumé de la vie. Et ça lui donnait de la matière à converser.

Quand les deux Serdaigle arrivèrent dans la Grande Salle, beaucoup d’élève avait déjà commencé à manger, et les plus pressés étaient même déjà repartis. Se casant sur un banc, les deux amis engagèrent la conversation avec les autres tout en se servant de quoi tenir jusqu’au déjeuner, après les cours.
Ils discutaient de choses et d’autres quand une voix s’éleva. Elle ne parlait pas, elle chantait. Lysander souri en reconnaissant cette voix. C’était celle de Lily Potter. Le jeune homme se demanda avec amusement ce que cette fille avait encore bien pu inventer pour devenir chanter cette chanson en plein milieu du petit déjeuner. Sa prestation fut saluée, notamment par Hugo qui tapa dans ses mains et siffla. Lily, parfaite dans son rôle, s’inclina et se rassit. Le spectacle était terminé pour ce matin.
« Pourquoi tu ferais pas un truc comme ça toi demain ? Chante nous un petit air d’opéra ! » fit Lysander avec malice, appuyé par d’autres. C’était bien le genre d’Hugo, de faire des trucs dans ce genre là.
Le repas se termina sans autre interruption et les élèves levèrent les voiles vers leurs salles respectives. Pour bien commence la journée, Lysander avait un cours de métamorphose avec Ted Lupin. Il était toujours un peu déconcerté en entrant dans cette salle. Premièrement, le prof était plutôt jeune, par rapport aux autres. Et il avait aménagé sa salle avec des affiches et des posters. La salle était toujours propre et arborait un aspect très moderne. Et à l’entre, il y avait… Un gros tapis tout mou. Le genre de tapis dans lequel on s’enfonce, sur lequel on s’assoit et dont on ne se relève jamais. LE tapis, complètement in. Mais dommage pour les élèves, on n’y dormait pas, sur ce tapis. Il n’était juste là que pour la décoration.

Lysander passa donc l’étape du tapis de l’entrée. Dans la salle, il y avait déjà un peu de monde venant de toutes les maisons. Il y retrouva Lily, toujours au poste, accompagnée d’une amie, et de Lucy Weasley, sa cousine (à Lily la cousine, pas à Lys’) et une Gryffondor installée en fond de classe, semblant refuser la compagnie des autres. Lysander alla s’asseoir en milieu de rangées et se tourna sur sa chaise pour regarder Lily, qui avait – encore ! – quelque chose à dire. Et hop, elle fit un bref speech sur pourquoi il ne fallait pas mater le beau professeur de métamorphose, ce message s’adressant principalement aux groupies du prof. Puis, avec un naturel presque déconcertant, la jeune fille empocha dix Gallions, faisant un total, d’après ses dires, de cent Gallions.
Toujours retourné sur sa chaise, Lysander lança en souriant :

« Pas mal Lily, tu nous chantes quoi demain ? L’air de Flashdance ? »

Jetant un bref coup d’œil derrière lui, ce qui revenait au devant de la classe puisque Mônsieur s’était installé à l’envers, il constata que les cours n’avait pas encore commencé, et que les élèves continuaient toujours à arriver et à prendre place un peu partout.

[Vie du personnage :]

Tudududut, tudududut… Réveil matin six heures et demi, Lysander se réveille comme une fleur. N’y comprenez pas là que le jeune homme arrache ses couettes, la jette à la manière d’un acteur de film, et se précipite pour sauver le monde toujours vêtu du plus beau des pyjamas. Non, Lysander Dragonneau, élève de sixième année à l’école des sorciers, garda les yeux fermés un instant, se servant de ses oreilles. Il y en avait déjà qui s’activaient dans le dortoir masculin des Serdaigle. Mais il savait qu’il n’était pas le dernier. Il décida d’ouvrir les yeux et se laissa éblouir. Haaa qu’on était bien dans son l…
« Alors la belle au bois dormant, bien dormi ? » fit une voix malicieuse et bien réveillée.
Lysander, avant de répondre, émit un grognement bestial plutôt étrange.
« Hugo, t’as pas quelqu’un d’autre à aller faire chier ? »
« Non, rétorqua l’intéressé, aujourd’hui c’est toi mon petit dragon. Allez, magne-toi, faut qu’on aille manger. J’ai trop faim. »
Ah oui, le petit déjeuner. C’était mieux de partir pour deux heures intensives de cours avec quelque chose dans le ventre. Lysander se voyait mal louper le premier repas de la journée. De toute manière, avec Hugo Weasley qui avait décidé de lui coller aux basques, il n’avait pas le choix. Il devait y aller… Ou rien du tout, j’ai dit qu’il n’avait pas le choix.
Sous les remarques pressées du Weasley, le Seraigle enfila sa robe de sorcier et tous les accessoires avec de jeter un coup d’œil à ses cheveux. C’était pas la gloire ce matin. On aurait dit qu’il avait dormi avec les cheveux mouillés. Ce n’était pas net du tout. Et qui dit cheveux mouillés en train de sécher, dis cheveux en train de friser. En clair, Lysander avait des bouclettes sur les pointes. C’était trop chou. Et de toute façon, il ne pouvait rien faire. L’autre gars l’avait déjà attrapé par le col de sa chemise et l’entraînait inévitablement vers la salle commune. Quand il fut certainement que Lysander n’allait pas s’enfuir comme un toutou apeuré s’il le lâchait, il le libéra de son emprise et entama la conversation. Lysander écouta d’une oreille distraite les dernières nouvelles du matin. À vrai dire, il n’en avait pas grand chose à faire qu’untel ait largué untelle mais il aimait être au courant. Déjà, ça lui évitait de passer pour un paumé de la vie. Et ça lui donnait de la matière à converser.

Quand les deux Serdaigle arrivèrent dans la Grande Salle, beaucoup d’élève avait déjà commencé à manger, et les plus pressés étaient même déjà repartis. Se casant sur un banc, les deux amis engagèrent la conversation avec les autres tout en se servant de quoi tenir jusqu’au déjeuner, après les cours.
Ils discutaient de choses et d’autres quand une voix s’éleva. Elle ne parlait pas, elle chantait. Lysander souri en reconnaissant cette voix. C’était celle de Lily Potter. Le jeune homme se demanda avec amusement ce que cette fille avait encore bien pu inventer pour devenir chanter cette chanson en plein milieu du petit déjeuner. Sa prestation fut saluée, notamment par Hugo qui tapa dans ses mains et siffla. Lily, parfaite dans son rôle, s’inclina et se rassit. Le spectacle était terminé pour ce matin.
« Pourquoi tu ferais pas un truc comme ça toi demain ? Chante nous un petit air d’opéra ! » fit Lysander avec malice, appuyé par d’autres. C’était bien le genre d’Hugo, de faire des trucs dans ce genre là.
Le repas se termina sans autre interruption et les élèves levèrent les voiles vers leurs salles respectives. Pour bien commence la journée, Lysander avait un cours de métamorphose avec Ted Lupin. Il était toujours un peu déconcerté en entrant dans cette salle. Premièrement, le prof était plutôt jeune, par rapport aux autres. Et il avait aménagé sa salle avec des affiches et des posters. La salle était toujours propre et arborait un aspect très moderne. Et à l’entre, il y avait… Un gros tapis tout mou. Le genre de tapis dans lequel on s’enfonce, sur lequel on s’assoit et dont on ne se relève jamais. LE tapis, complètement in. Mais dommage pour les élèves, on n’y dormait pas, sur ce tapis. Il n’était juste là que pour la décoration.

Lysander passa donc l’étape du tapis de l’entrée. Dans la salle, il y avait déjà un peu de monde venant de toutes les maisons. Il y retrouva Lily, toujours au poste, accompagnée d’une amie, et de Lucy Weasley, sa cousine (à Lily la cousine, pas à Lys’) et une Gryffondor installée en fond de classe, semblant refuser la compagnie des autres. Lysander alla s’asseoir en milieu de rangées et se tourna sur sa chaise pour regarder Lily, qui avait – encore ! – quelque chose à dire. Et hop, elle fit un bref speech sur pourquoi il ne fallait pas mater le beau professeur de métamorphose, ce message s’adressant principalement aux groupies du prof. Puis, avec un naturel presque déconcertant, la jeune fille empocha dix Gallions, faisant un total, d’après ses dires, de cent Gallions.
Toujours retourné sur sa chaise, Lysander lança en souriant :

« Pas mal Lily, tu nous chantes quoi demain ? L’air de Flashdance ? »

Jetant un bref coup d’œil derrière lui, ce qui revenait au devant de la classe puisque Mônsieur s’était installé à l’envers, il constata que les cours n’avait pas encore commencé, et que les élèves continuaient toujours à arriver et à prendre place un peu partout.

[Doubles-Comptes :]

Tudududut, tudududut… Réveil matin six heures et demi, Lysander se réveille comme une fleur. N’y comprenez pas là que le jeune homme arrache ses couettes, la jette à la manière d’un acteur de film, et se précipite pour sauver le monde toujours vêtu du plus beau des pyjamas. Non, Lysander Dragonneau, élève de sixième année à l’école des sorciers, garda les yeux fermés un instant, se servant de ses oreilles. Il y en avait déjà qui s’activaient dans le dortoir masculin des Serdaigle. Mais il savait qu’il n’était pas le dernier. Il décida d’ouvrir les yeux et se laissa éblouir. Haaa qu’on était bien dans son l…
« Alors la belle au bois dormant, bien dormi ? » fit une voix malicieuse et bien réveillée.
Lysander, avant de répondre, émit un grognement bestial plutôt étrange.
« Hugo, t’as pas quelqu’un d’autre à aller faire chier ? »
« Non, rétorqua l’intéressé, aujourd’hui c’est toi mon petit dragon. Allez, magne-toi, faut qu’on aille manger. J’ai trop faim. »
Ah oui, le petit déjeuner. C’était mieux de partir pour deux heures intensives de cours avec quelque chose dans le ventre. Lysander se voyait mal louper le premier repas de la journée. De toute manière, avec Hugo Weasley qui avait décidé de lui coller aux basques, il n’avait pas le choix. Il devait y aller… Ou rien du tout, j’ai dit qu’il n’avait pas le choix.
Sous les remarques pressées du Weasley, le Seraigle enfila sa robe de sorcier et tous les accessoires avec de jeter un coup d’œil à ses cheveux. C’était pas la gloire ce matin. On aurait dit qu’il avait dormi avec les cheveux mouillés. Ce n’était pas net du tout. Et qui dit cheveux mouillés en train de sécher, dis cheveux en train de friser. En clair, Lysander avait des bouclettes sur les pointes. C’était trop chou. Et de toute façon, il ne pouvait rien faire. L’autre gars l’avait déjà attrapé par le col de sa chemise et l’entraînait inévitablement vers la salle commune. Quand il fut certainement que Lysander n’allait pas s’enfuir comme un toutou apeuré s’il le lâchait, il le libéra de son emprise et entama la conversation. Lysander écouta d’une oreille distraite les dernières nouvelles du matin. À vrai dire, il n’en avait pas grand chose à faire qu’untel ait largué untelle mais il aimait être au courant. Déjà, ça lui évitait de passer pour un paumé de la vie. Et ça lui donnait de la matière à converser.

Quand les deux Serdaigle arrivèrent dans la Grande Salle, beaucoup d’élève avait déjà commencé à manger, et les plus pressés étaient même déjà repartis. Se casant sur un banc, les deux amis engagèrent la conversation avec les autres tout en se servant de quoi tenir jusqu’au déjeuner, après les cours.
Ils discutaient de choses et d’autres quand une voix s’éleva. Elle ne parlait pas, elle chantait. Lysander souri en reconnaissant cette voix. C’était celle de Lily Potter. Le jeune homme se demanda avec amusement ce que cette fille avait encore bien pu inventer pour devenir chanter cette chanson en plein milieu du petit déjeuner. Sa prestation fut saluée, notamment par Hugo qui tapa dans ses mains et siffla. Lily, parfaite dans son rôle, s’inclina et se rassit. Le spectacle était terminé pour ce matin.
« Pourquoi tu ferais pas un truc comme ça toi demain ? Chante nous un petit air d’opéra ! » fit Lysander avec malice, appuyé par d’autres. C’était bien le genre d’Hugo, de faire des trucs dans ce genre là.
Le repas se termina sans autre interruption et les élèves levèrent les voiles vers leurs salles respectives. Pour bien commence la journée, Lysander avait un cours de métamorphose avec Ted Lupin. Il était toujours un peu déconcerté en entrant dans cette salle. Premièrement, le prof était plutôt jeune, par rapport aux autres. Et il avait aménagé sa salle avec des affiches et des posters. La salle était toujours propre et arborait un aspect très moderne. Et à l’entre, il y avait… Un gros tapis tout mou. Le genre de tapis dans lequel on s’enfonce, sur lequel on s’assoit et dont on ne se relève jamais. LE tapis, complètement in. Mais dommage pour les élèves, on n’y dormait pas, sur ce tapis. Il n’était juste là que pour la décoration.

Lysander passa donc l’étape du tapis de l’entrée. Dans la salle, il y avait déjà un peu de monde venant de toutes les maisons. Il y retrouva Lily, toujours au poste, accompagnée d’une amie, et de Lucy Weasley, sa cousine (à Lily la cousine, pas à Lys’) et une Gryffondor installée en fond de classe, semblant refuser la compagnie des autres. Lysander alla s’asseoir en milieu de rangées et se tourna sur sa chaise pour regarder Lily, qui avait – encore ! – quelque chose à dire. Et hop, elle fit un bref speech sur pourquoi il ne fallait pas mater le beau professeur de métamorphose, ce message s’adressant principalement aux groupies du prof. Puis, avec un naturel presque déconcertant, la jeune fille empocha dix Gallions, faisant un total, d’après ses dires, de cent Gallions.
Toujours retourné sur sa chaise, Lysander lança en souriant :

« Pas mal Lily, tu nous chantes quoi demain ? L’air de Flashdance ? »

Jetant un bref coup d’œil derrière lui, ce qui revenait au devant de la classe puisque Mônsieur s’était installé à l’envers, il constata que les cours n’avait pas encore commencé, et que les élèves continuaient toujours à arriver et à prendre place un peu partout.

Tout se passait bien. Ses élèves rentraient calmement dans la classe. Enfin plus ou moins mais en globalité ça allait. Certains – comme Lily – se permettaient d’un peu plus de familiarité mais cela ne le dérangeait pas. Il la connaissait depuis qu’elle était toute petite et puis il se connaissait très bien. Avant il allait manger presque tous les jours chez son parrains et voyait donc toujours Lily, Albus et James. Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos élèves, l’expression ne correspondant pas à notre situation actuelle. Les élèves donc arrivaient au compte goutte s’installant tantôt devant, tantôt derrière. La sonnerie n’avait pas encore sonné pour la seconde fois donc Ted laissait ses élèves papoter « gentiment » entre eux.

Mais comme chacun sait, Lily ne peux jamais tenir sa langue et se leva pour faire une petite tirade qui eut un effet négatif sur les filles qui aimait bien le mater. Oh il était au courant, elles n’étaient pas très discrète, mais il n’aurait pas tellement apprécié qu’un élève hurle devant Victoire « Et tu sais pas quoi ? Il veut te demander en mariage mais il n’ose même pas ! ». Ca c’est sur et certain, il l’aurait très très mal pris. Mais en même temps, il fallait bien avouer que les paroles de sa ‘cousine’ l’avait bien fait rigoler. Intérieurement il était mort de rire mais un professeur n’est pas censé montrer ses émotions. Il l’aurait surement fait si le crapaud rose du ministère ne risquait pas de rentrer dans sa salle à chaque instant. Le bogosse le savait, elle attendait le moindre faux pas de sa part pour le renvoyer. Ce n 'est pas pour autant qu'il prit un air agressif. Il garda son air de nonchalance mais son ton était ferme, quoi que toujours cordial. Pourtant sa conscience et son cœur lui disait de rigoler à cette petite plaisanterie.

« Lily, généralement on ne cris pas la beauté d’un professeur en plein cours et encore moins lorsque ledit prof est la. »

Le terme prof lui avait échappé mais bon qu’importe. Il n’était pas le genre de prof à se prendre au sérieux et considérer qu’il était au dessus de tout puisqu’il était un prof et par conséquent, la source même de la connaissance. Ted lança un coup d’œil à la porte. Un dernier élève rentrait lorsque la sonnerie retentit. D’un discret mouvement de baguette, le métamorphomage fit claquer la porte. Ceux qui arriveraient en retard n’avaient pas intérêt à se la ramener parce qu’il ne les appréciait pas même s’il les tolérait. Pour une unique raison d’ailleurs. Il se rappelait de ses années à Poudlard alors qu’il était encore un élève et arrivait la plupart du temps en retard à sa première heure de cours. L’ancien Gryffondor aimait rester jusqu’au dernier moment au lit et chaque jour il repoussait le moment de se lever ce qui lui avait fait perdre pas mal de point. Il souri intérieurement à ce souvenir puis reporta son attention sur la Serpentard.

« Je ne retire pas de point à Serpentard car le cours n’avait pas commencé mais la prochaine fois, évite de faire tes paris pour le moins déplacés en cours. Libre à toi de les faire dans les couloirs mais pas en cours. »

Le jeune professeur regarda l’ensemble de ses élèves. Ils s’étaient tous installés et s’étaient tut. Il avait capté l’attention de ses élèves. Il pouvait donc annoncer le programme du cours.

«Bien, aujourd’hui nous allons voir le sortilège Disparitum Inverteberum. »

Tandis que Ted parlait, le nom du sortilège s’écrivit au tableau, la craie bougeant seule.

« Comme son nom l’indique, ce sortilège permet de faire disparaitre un invertébré. Il suffit de faire un mouvement simple de la baguette tout en énonçant la formule. Vous devrez faire un geste de la forme d’un S. Regardez, je vais vous montrer. »

Le beau gosse, sous les yeux grands ouverts de ses groupies, attrapa un escargot dans la caisse et le posa sur son bureau puis dit clairement la formule tout en exagérant le geste correspondant. L’escargot disparut tout à coup mais on pouvait quand même voir les traces de baves avancer lentement seule.

« Vous pouvez voir que ce sortilège possède ses limites. On ne peut effacer la trace de l’escargot et les effets prennent fin rapidement. Au bout de dix minutes maximum votre escargot va réapparaitre. Bien, la partie théorique est déjà finie. Nous allons passer à la partie travaux pratiques. Tiens, Lily, puisque tu as l’air en forme, viens mettre tes talents à profil pour distribuer un escargot à chacun. Vous avez une heure pour réussir ce sortilège au moins une fois. Je vais passer vous voir et si jamais vous avez une question, faites moi signe. »

Alors que toute sa petite classe s’agitait, il les regarda d’un air satisfait. Ils avaient tous plus ou moins l’air motivé ce qui était une bonne chose. Maintenant il ne lui manquait plus qu’à les voir à l’œuvre !

Ceux qui ne sont pas inscrit peuvent toujours s’inscrire ici. Vous groupez votre message en une seule fois au lieu de deux fois. Vous pouvez faire comme si vous étiez depuis le début ou arriver en retard, à votre guise.

[Messages :]

Tout se passait bien. Ses élèves rentraient calmement dans la classe. Enfin plus ou moins mais en globalité ça allait. Certains – comme Lily – se permettaient d’un peu plus de familiarité mais cela ne le dérangeait pas. Il la connaissait depuis qu’elle était toute petite et puis il se connaissait très bien. Avant il allait manger presque tous les jours chez son parrains et voyait donc toujours Lily, Albus et James. Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos élèves, l’expression ne correspondant pas à notre situation actuelle. Les élèves donc arrivaient au compte goutte s’installant tantôt devant, tantôt derrière. La sonnerie n’avait pas encore sonné pour la seconde fois donc Ted laissait ses élèves papoter « gentiment » entre eux.

Mais comme chacun sait, Lily ne peux jamais tenir sa langue et se leva pour faire une petite tirade qui eut un effet négatif sur les filles qui aimait bien le mater. Oh il était au courant, elles n’étaient pas très discrète, mais il n’aurait pas tellement apprécié qu’un élève hurle devant Victoire « Et tu sais pas quoi ? Il veut te demander en mariage mais il n’ose même pas ! ». Ca c’est sur et certain, il l’aurait très très mal pris. Mais en même temps, il fallait bien avouer que les paroles de sa ‘cousine’ l’avait bien fait rigoler. Intérieurement il était mort de rire mais un professeur n’est pas censé montrer ses émotions. Il l’aurait surement fait si le crapaud rose du ministère ne risquait pas de rentrer dans sa salle à chaque instant. Le bogosse le savait, elle attendait le moindre faux pas de sa part pour le renvoyer. Ce n 'est pas pour autant qu'il prit un air agressif. Il garda son air de nonchalance mais son ton était ferme, quoi que toujours cordial. Pourtant sa conscience et son cœur lui disait de rigoler à cette petite plaisanterie.

« Lily, généralement on ne cris pas la beauté d’un professeur en plein cours et encore moins lorsque ledit prof est la. »

Le terme prof lui avait échappé mais bon qu’importe. Il n’était pas le genre de prof à se prendre au sérieux et considérer qu’il était au dessus de tout puisqu’il était un prof et par conséquent, la source même de la connaissance. Ted lança un coup d’œil à la porte. Un dernier élève rentrait lorsque la sonnerie retentit. D’un discret mouvement de baguette, le métamorphomage fit claquer la porte. Ceux qui arriveraient en retard n’avaient pas intérêt à se la ramener parce qu’il ne les appréciait pas même s’il les tolérait. Pour une unique raison d’ailleurs. Il se rappelait de ses années à Poudlard alors qu’il était encore un élève et arrivait la plupart du temps en retard à sa première heure de cours. L’ancien Gryffondor aimait rester jusqu’au dernier moment au lit et chaque jour il repoussait le moment de se lever ce qui lui avait fait perdre pas mal de point. Il souri intérieurement à ce souvenir puis reporta son attention sur la Serpentard.

« Je ne retire pas de point à Serpentard car le cours n’avait pas commencé mais la prochaine fois, évite de faire tes paris pour le moins déplacés en cours. Libre à toi de les faire dans les couloirs mais pas en cours. »

Le jeune professeur regarda l’ensemble de ses élèves. Ils s’étaient tous installés et s’étaient tut. Il avait capté l’attention de ses élèves. Il pouvait donc annoncer le programme du cours.

«Bien, aujourd’hui nous allons voir le sortilège Disparitum Inverteberum. »

Tandis que Ted parlait, le nom du sortilège s’écrivit au tableau, la craie bougeant seule.

« Comme son nom l’indique, ce sortilège permet de faire disparaitre un invertébré. Il suffit de faire un mouvement simple de la baguette tout en énonçant la formule. Vous devrez faire un geste de la forme d’un S. Regardez, je vais vous montrer. »

Le beau gosse, sous les yeux grands ouverts de ses groupies, attrapa un escargot dans la caisse et le posa sur son bureau puis dit clairement la formule tout en exagérant le geste correspondant. L’escargot disparut tout à coup mais on pouvait quand même voir les traces de baves avancer lentement seule.

« Vous pouvez voir que ce sortilège possède ses limites. On ne peut effacer la trace de l’escargot et les effets prennent fin rapidement. Au bout de dix minutes maximum votre escargot va réapparaitre. Bien, la partie théorique est déjà finie. Nous allons passer à la partie travaux pratiques. Tiens, Lily, puisque tu as l’air en forme, viens mettre tes talents à profil pour distribuer un escargot à chacun. Vous avez une heure pour réussir ce sortilège au moins une fois. Je vais passer vous voir et si jamais vous avez une question, faites moi signe. »

Alors que toute sa petite classe s’agitait, il les regarda d’un air satisfait. Ils avaient tous plus ou moins l’air motivé ce qui était une bonne chose. Maintenant il ne lui manquait plus qu’à les voir à l’œuvre !

Ceux qui ne sont pas inscrit peuvent toujours s’inscrire ici. Vous groupez votre message en une seule fois au lieu de deux fois. Vous pouvez faire comme si vous étiez depuis le début ou arriver en retard, à votre guise.

[Points :]

Tout se passait bien. Ses élèves rentraient calmement dans la classe. Enfin plus ou moins mais en globalité ça allait. Certains – comme Lily – se permettaient d’un peu plus de familiarité mais cela ne le dérangeait pas. Il la connaissait depuis qu’elle était toute petite et puis il se connaissait très bien. Avant il allait manger presque tous les jours chez son parrains et voyait donc toujours Lily, Albus et James. Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos élèves, l’expression ne correspondant pas à notre situation actuelle. Les élèves donc arrivaient au compte goutte s’installant tantôt devant, tantôt derrière. La sonnerie n’avait pas encore sonné pour la seconde fois donc Ted laissait ses élèves papoter « gentiment » entre eux.

Mais comme chacun sait, Lily ne peux jamais tenir sa langue et se leva pour faire une petite tirade qui eut un effet négatif sur les filles qui aimait bien le mater. Oh il était au courant, elles n’étaient pas très discrète, mais il n’aurait pas tellement apprécié qu’un élève hurle devant Victoire « Et tu sais pas quoi ? Il veut te demander en mariage mais il n’ose même pas ! ». Ca c’est sur et certain, il l’aurait très très mal pris. Mais en même temps, il fallait bien avouer que les paroles de sa ‘cousine’ l’avait bien fait rigoler. Intérieurement il était mort de rire mais un professeur n’est pas censé montrer ses émotions. Il l’aurait surement fait si le crapaud rose du ministère ne risquait pas de rentrer dans sa salle à chaque instant. Le bogosse le savait, elle attendait le moindre faux pas de sa part pour le renvoyer. Ce n 'est pas pour autant qu'il prit un air agressif. Il garda son air de nonchalance mais son ton était ferme, quoi que toujours cordial. Pourtant sa conscience et son cœur lui disait de rigoler à cette petite plaisanterie.

« Lily, généralement on ne cris pas la beauté d’un professeur en plein cours et encore moins lorsque ledit prof est la. »

Le terme prof lui avait échappé mais bon qu’importe. Il n’était pas le genre de prof à se prendre au sérieux et considérer qu’il était au dessus de tout puisqu’il était un prof et par conséquent, la source même de la connaissance. Ted lança un coup d’œil à la porte. Un dernier élève rentrait lorsque la sonnerie retentit. D’un discret mouvement de baguette, le métamorphomage fit claquer la porte. Ceux qui arriveraient en retard n’avaient pas intérêt à se la ramener parce qu’il ne les appréciait pas même s’il les tolérait. Pour une unique raison d’ailleurs. Il se rappelait de ses années à Poudlard alors qu’il était encore un élève et arrivait la plupart du temps en retard à sa première heure de cours. L’ancien Gryffondor aimait rester jusqu’au dernier moment au lit et chaque jour il repoussait le moment de se lever ce qui lui avait fait perdre pas mal de point. Il souri intérieurement à ce souvenir puis reporta son attention sur la Serpentard.

« Je ne retire pas de point à Serpentard car le cours n’avait pas commencé mais la prochaine fois, évite de faire tes paris pour le moins déplacés en cours. Libre à toi de les faire dans les couloirs mais pas en cours. »

Le jeune professeur regarda l’ensemble de ses élèves. Ils s’étaient tous installés et s’étaient tut. Il avait capté l’attention de ses élèves. Il pouvait donc annoncer le programme du cours.

«Bien, aujourd’hui nous allons voir le sortilège Disparitum Inverteberum. »

Tandis que Ted parlait, le nom du sortilège s’écrivit au tableau, la craie bougeant seule.

« Comme son nom l’indique, ce sortilège permet de faire disparaitre un invertébré. Il suffit de faire un mouvement simple de la baguette tout en énonçant la formule. Vous devrez faire un geste de la forme d’un S. Regardez, je vais vous montrer. »

Le beau gosse, sous les yeux grands ouverts de ses groupies, attrapa un escargot dans la caisse et le posa sur son bureau puis dit clairement la formule tout en exagérant le geste correspondant. L’escargot disparut tout à coup mais on pouvait quand même voir les traces de baves avancer lentement seule.

« Vous pouvez voir que ce sortilège possède ses limites. On ne peut effacer la trace de l’escargot et les effets prennent fin rapidement. Au bout de dix minutes maximum votre escargot va réapparaitre. Bien, la partie théorique est déjà finie. Nous allons passer à la partie travaux pratiques. Tiens, Lily, puisque tu as l’air en forme, viens mettre tes talents à profil pour distribuer un escargot à chacun. Vous avez une heure pour réussir ce sortilège au moins une fois. Je vais passer vous voir et si jamais vous avez une question, faites moi signe. »

Alors que toute sa petite classe s’agitait, il les regarda d’un air satisfait. Ils avaient tous plus ou moins l’air motivé ce qui était une bonne chose. Maintenant il ne lui manquait plus qu’à les voir à l’œuvre !

Ceux qui ne sont pas inscrit peuvent toujours s’inscrire ici. Vous groupez votre message en une seule fois au lieu de deux fois. Vous pouvez faire comme si vous étiez depuis le début ou arriver en retard, à votre guise.

[Avatar :]

Tout se passait bien. Ses élèves rentraient calmement dans la classe. Enfin plus ou moins mais en globalité ça allait. Certains – comme Lily – se permettaient d’un peu plus de familiarité mais cela ne le dérangeait pas. Il la connaissait depuis qu’elle était toute petite et puis il se connaissait très bien. Avant il allait manger presque tous les jours chez son parrains et voyait donc toujours Lily, Albus et James. Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos élèves, l’expression ne correspondant pas à notre situation actuelle. Les élèves donc arrivaient au compte goutte s’installant tantôt devant, tantôt derrière. La sonnerie n’avait pas encore sonné pour la seconde fois donc Ted laissait ses élèves papoter « gentiment » entre eux.

Mais comme chacun sait, Lily ne peux jamais tenir sa langue et se leva pour faire une petite tirade qui eut un effet négatif sur les filles qui aimait bien le mater. Oh il était au courant, elles n’étaient pas très discrète, mais il n’aurait pas tellement apprécié qu’un élève hurle devant Victoire « Et tu sais pas quoi ? Il veut te demander en mariage mais il n’ose même pas ! ». Ca c’est sur et certain, il l’aurait très très mal pris. Mais en même temps, il fallait bien avouer que les paroles de sa ‘cousine’ l’avait bien fait rigoler. Intérieurement il était mort de rire mais un professeur n’est pas censé montrer ses émotions. Il l’aurait surement fait si le crapaud rose du ministère ne risquait pas de rentrer dans sa salle à chaque instant. Le bogosse le savait, elle attendait le moindre faux pas de sa part pour le renvoyer. Ce n 'est pas pour autant qu'il prit un air agressif. Il garda son air de nonchalance mais son ton était ferme, quoi que toujours cordial. Pourtant sa conscience et son cœur lui disait de rigoler à cette petite plaisanterie.

« Lily, généralement on ne cris pas la beauté d’un professeur en plein cours et encore moins lorsque ledit prof est la. »

Le terme prof lui avait échappé mais bon qu’importe. Il n’était pas le genre de prof à se prendre au sérieux et considérer qu’il était au dessus de tout puisqu’il était un prof et par conséquent, la source même de la connaissance. Ted lança un coup d’œil à la porte. Un dernier élève rentrait lorsque la sonnerie retentit. D’un discret mouvement de baguette, le métamorphomage fit claquer la porte. Ceux qui arriveraient en retard n’avaient pas intérêt à se la ramener parce qu’il ne les appréciait pas même s’il les tolérait. Pour une unique raison d’ailleurs. Il se rappelait de ses années à Poudlard alors qu’il était encore un élève et arrivait la plupart du temps en retard à sa première heure de cours. L’ancien Gryffondor aimait rester jusqu’au dernier moment au lit et chaque jour il repoussait le moment de se lever ce qui lui avait fait perdre pas mal de point. Il souri intérieurement à ce souvenir puis reporta son attention sur la Serpentard.

« Je ne retire pas de point à Serpentard car le cours n’avait pas commencé mais la prochaine fois, évite de faire tes paris pour le moins déplacés en cours. Libre à toi de les faire dans les couloirs mais pas en cours. »

Le jeune professeur regarda l’ensemble de ses élèves. Ils s’étaient tous installés et s’étaient tut. Il avait capté l’attention de ses élèves. Il pouvait donc annoncer le programme du cours.

«Bien, aujourd’hui nous allons voir le sortilège Disparitum Inverteberum. »

Tandis que Ted parlait, le nom du sortilège s’écrivit au tableau, la craie bougeant seule.

« Comme son nom l’indique, ce sortilège permet de faire disparaitre un invertébré. Il suffit de faire un mouvement simple de la baguette tout en énonçant la formule. Vous devrez faire un geste de la forme d’un S. Regardez, je vais vous montrer. »

Le beau gosse, sous les yeux grands ouverts de ses groupies, attrapa un escargot dans la caisse et le posa sur son bureau puis dit clairement la formule tout en exagérant le geste correspondant. L’escargot disparut tout à coup mais on pouvait quand même voir les traces de baves avancer lentement seule.

« Vous pouvez voir que ce sortilège possède ses limites. On ne peut effacer la trace de l’escargot et les effets prennent fin rapidement. Au bout de dix minutes maximum votre escargot va réapparaitre. Bien, la partie théorique est déjà finie. Nous allons passer à la partie travaux pratiques. Tiens, Lily, puisque tu as l’air en forme, viens mettre tes talents à profil pour distribuer un escargot à chacun. Vous avez une heure pour réussir ce sortilège au moins une fois. Je vais passer vous voir et si jamais vous avez une question, faites moi signe. »

Alors que toute sa petite classe s’agitait, il les regarda d’un air satisfait. Ils avaient tous plus ou moins l’air motivé ce qui était une bonne chose. Maintenant il ne lui manquait plus qu’à les voir à l’œuvre !

Ceux qui ne sont pas inscrit peuvent toujours s’inscrire ici. Vous groupez votre message en une seule fois au lieu de deux fois. Vous pouvez faire comme si vous étiez depuis le début ou arriver en retard, à votre guise.

[Crédits :]

Tout se passait bien. Ses élèves rentraient calmement dans la classe. Enfin plus ou moins mais en globalité ça allait. Certains – comme Lily – se permettaient d’un peu plus de familiarité mais cela ne le dérangeait pas. Il la connaissait depuis qu’elle était toute petite et puis il se connaissait très bien. Avant il allait manger presque tous les jours chez son parrains et voyait donc toujours Lily, Albus et James. Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos élèves, l’expression ne correspondant pas à notre situation actuelle. Les élèves donc arrivaient au compte goutte s’installant tantôt devant, tantôt derrière. La sonnerie n’avait pas encore sonné pour la seconde fois donc Ted laissait ses élèves papoter « gentiment » entre eux.

Mais comme chacun sait, Lily ne peux jamais tenir sa langue et se leva pour faire une petite tirade qui eut un effet négatif sur les filles qui aimait bien le mater. Oh il était au courant, elles n’étaient pas très discrète, mais il n’aurait pas tellement apprécié qu’un élève hurle devant Victoire « Et tu sais pas quoi ? Il veut te demander en mariage mais il n’ose même pas ! ». Ca c’est sur et certain, il l’aurait très très mal pris. Mais en même temps, il fallait bien avouer que les paroles de sa ‘cousine’ l’avait bien fait rigoler. Intérieurement il était mort de rire mais un professeur n’est pas censé montrer ses émotions. Il l’aurait surement fait si le crapaud rose du ministère ne risquait pas de rentrer dans sa salle à chaque instant. Le bogosse le savait, elle attendait le moindre faux pas de sa part pour le renvoyer. Ce n 'est pas pour autant qu'il prit un air agressif. Il garda son air de nonchalance mais son ton était ferme, quoi que toujours cordial. Pourtant sa conscience et son cœur lui disait de rigoler à cette petite plaisanterie.

« Lily, généralement on ne cris pas la beauté d’un professeur en plein cours et encore moins lorsque ledit prof est la. »

Le terme prof lui avait échappé mais bon qu’importe. Il n’était pas le genre de prof à se prendre au sérieux et considérer qu’il était au dessus de tout puisqu’il était un prof et par conséquent, la source même de la connaissance. Ted lança un coup d’œil à la porte. Un dernier élève rentrait lorsque la sonnerie retentit. D’un discret mouvement de baguette, le métamorphomage fit claquer la porte. Ceux qui arriveraient en retard n’avaient pas intérêt à se la ramener parce qu’il ne les appréciait pas même s’il les tolérait. Pour une unique raison d’ailleurs. Il se rappelait de ses années à Poudlard alors qu’il était encore un élève et arrivait la plupart du temps en retard à sa première heure de cours. L’ancien Gryffondor aimait rester jusqu’au dernier moment au lit et chaque jour il repoussait le moment de se lever ce qui lui avait fait perdre pas mal de point. Il souri intérieurement à ce souvenir puis reporta son attention sur la Serpentard.

« Je ne retire pas de point à Serpentard car le cours n’avait pas commencé mais la prochaine fois, évite de faire tes paris pour le moins déplacés en cours. Libre à toi de les faire dans les couloirs mais pas en cours. »

Le jeune professeur regarda l’ensemble de ses élèves. Ils s’étaient tous installés et s’étaient tut. Il avait capté l’attention de ses élèves. Il pouvait donc annoncer le programme du cours.

«Bien, aujourd’hui nous allons voir le sortilège Disparitum Inverteberum. »

Tandis que Ted parlait, le nom du sortilège s’écrivit au tableau, la craie bougeant seule.

« Comme son nom l’indique, ce sortilège permet de faire disparaitre un invertébré. Il suffit de faire un mouvement simple de la baguette tout en énonçant la formule. Vous devrez faire un geste de la forme d’un S. Regardez, je vais vous montrer. »

Le beau gosse, sous les yeux grands ouverts de ses groupies, attrapa un escargot dans la caisse et le posa sur son bureau puis dit clairement la formule tout en exagérant le geste correspondant. L’escargot disparut tout à coup mais on pouvait quand même voir les traces de baves avancer lentement seule.

« Vous pouvez voir que ce sortilège possède ses limites. On ne peut effacer la trace de l’escargot et les effets prennent fin rapidement. Au bout de dix minutes maximum votre escargot va réapparaitre. Bien, la partie théorique est déjà finie. Nous allons passer à la partie travaux pratiques. Tiens, Lily, puisque tu as l’air en forme, viens mettre tes talents à profil pour distribuer un escargot à chacun. Vous avez une heure pour réussir ce sortilège au moins une fois. Je vais passer vous voir et si jamais vous avez une question, faites moi signe. »

Alors que toute sa petite classe s’agitait, il les regarda d’un air satisfait. Ils avaient tous plus ou moins l’air motivé ce qui était une bonne chose. Maintenant il ne lui manquait plus qu’à les voir à l’œuvre !

Ceux qui ne sont pas inscrit peuvent toujours s’inscrire ici. Vous groupez votre message en une seule fois au lieu de deux fois. Vous pouvez faire comme si vous étiez depuis le début ou arriver en retard, à votre guise.

[Age RPG :]

Tout se passait bien. Ses élèves rentraient calmement dans la classe. Enfin plus ou moins mais en globalité ça allait. Certains – comme Lily – se permettaient d’un peu plus de familiarité mais cela ne le dérangeait pas. Il la connaissait depuis qu’elle était toute petite et puis il se connaissait très bien. Avant il allait manger presque tous les jours chez son parrains et voyait donc toujours Lily, Albus et James. Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos élèves, l’expression ne correspondant pas à notre situation actuelle. Les élèves donc arrivaient au compte goutte s’installant tantôt devant, tantôt derrière. La sonnerie n’avait pas encore sonné pour la seconde fois donc Ted laissait ses élèves papoter « gentiment » entre eux.

Mais comme chacun sait, Lily ne peux jamais tenir sa langue et se leva pour faire une petite tirade qui eut un effet négatif sur les filles qui aimait bien le mater. Oh il était au courant, elles n’étaient pas très discrète, mais il n’aurait pas tellement apprécié qu’un élève hurle devant Victoire « Et tu sais pas quoi ? Il veut te demander en mariage mais il n’ose même pas ! ». Ca c’est sur et certain, il l’aurait très très mal pris. Mais en même temps, il fallait bien avouer que les paroles de sa ‘cousine’ l’avait bien fait rigoler. Intérieurement il était mort de rire mais un professeur n’est pas censé montrer ses émotions. Il l’aurait surement fait si le crapaud rose du ministère ne risquait pas de rentrer dans sa salle à chaque instant. Le bogosse le savait, elle attendait le moindre faux pas de sa part pour le renvoyer. Ce n 'est pas pour autant qu'il prit un air agressif. Il garda son air de nonchalance mais son ton était ferme, quoi que toujours cordial. Pourtant sa conscience et son cœur lui disait de rigoler à cette petite plaisanterie.

« Lily, généralement on ne cris pas la beauté d’un professeur en plein cours et encore moins lorsque ledit prof est la. »

Le terme prof lui avait échappé mais bon qu’importe. Il n’était pas le genre de prof à se prendre au sérieux et considérer qu’il était au dessus de tout puisqu’il était un prof et par conséquent, la source même de la connaissance. Ted lança un coup d’œil à la porte. Un dernier élève rentrait lorsque la sonnerie retentit. D’un discret mouvement de baguette, le métamorphomage fit claquer la porte. Ceux qui arriveraient en retard n’avaient pas intérêt à se la ramener parce qu’il ne les appréciait pas même s’il les tolérait. Pour une unique raison d’ailleurs. Il se rappelait de ses années à Poudlard alors qu’il était encore un élève et arrivait la plupart du temps en retard à sa première heure de cours. L’ancien Gryffondor aimait rester jusqu’au dernier moment au lit et chaque jour il repoussait le moment de se lever ce qui lui avait fait perdre pas mal de point. Il souri intérieurement à ce souvenir puis reporta son attention sur la Serpentard.

« Je ne retire pas de point à Serpentard car le cours n’avait pas commencé mais la prochaine fois, évite de faire tes paris pour le moins déplacés en cours. Libre à toi de les faire dans les couloirs mais pas en cours. »

Le jeune professeur regarda l’ensemble de ses élèves. Ils s’étaient tous installés et s’étaient tut. Il avait capté l’attention de ses élèves. Il pouvait donc annoncer le programme du cours.

«Bien, aujourd’hui nous allons voir le sortilège Disparitum Inverteberum. »

Tandis que Ted parlait, le nom du sortilège s’écrivit au tableau, la craie bougeant seule.

« Comme son nom l’indique, ce sortilège permet de faire disparaitre un invertébré. Il suffit de faire un mouvement simple de la baguette tout en énonçant la formule. Vous devrez faire un geste de la forme d’un S. Regardez, je vais vous montrer. »

Le beau gosse, sous les yeux grands ouverts de ses groupies, attrapa un escargot dans la caisse et le posa sur son bureau puis dit clairement la formule tout en exagérant le geste correspondant. L’escargot disparut tout à coup mais on pouvait quand même voir les traces de baves avancer lentement seule.

« Vous pouvez voir que ce sortilège possède ses limites. On ne peut effacer la trace de l’escargot et les effets prennent fin rapidement. Au bout de dix minutes maximum votre escargot va réapparaitre. Bien, la partie théorique est déjà finie. Nous allons passer à la partie travaux pratiques. Tiens, Lily, puisque tu as l’air en forme, viens mettre tes talents à profil pour distribuer un escargot à chacun. Vous avez une heure pour réussir ce sortilège au moins une fois. Je vais passer vous voir et si jamais vous avez une question, faites moi signe. »

Alors que toute sa petite classe s’agitait, il les regarda d’un air satisfait. Ils avaient tous plus ou moins l’air motivé ce qui était une bonne chose. Maintenant il ne lui manquait plus qu’à les voir à l’œuvre !

Ceux qui ne sont pas inscrit peuvent toujours s’inscrire ici. Vous groupez votre message en une seule fois au lieu de deux fois. Vous pouvez faire comme si vous étiez depuis le début ou arriver en retard, à votre guise.

[Sang :]

Tout se passait bien. Ses élèves rentraient calmement dans la classe. Enfin plus ou moins mais en globalité ça allait. Certains – comme Lily – se permettaient d’un peu plus de familiarité mais cela ne le dérangeait pas. Il la connaissait depuis qu’elle était toute petite et puis il se connaissait très bien. Avant il allait manger presque tous les jours chez son parrains et voyait donc toujours Lily, Albus et James. Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos élèves, l’expression ne correspondant pas à notre situation actuelle. Les élèves donc arrivaient au compte goutte s’installant tantôt devant, tantôt derrière. La sonnerie n’avait pas encore sonné pour la seconde fois donc Ted laissait ses élèves papoter « gentiment » entre eux.

Mais comme chacun sait, Lily ne peux jamais tenir sa langue et se leva pour faire une petite tirade qui eut un effet négatif sur les filles qui aimait bien le mater. Oh il était au courant, elles n’étaient pas très discrète, mais il n’aurait pas tellement apprécié qu’un élève hurle devant Victoire « Et tu sais pas quoi ? Il veut te demander en mariage mais il n’ose même pas ! ». Ca c’est sur et certain, il l’aurait très très mal pris. Mais en même temps, il fallait bien avouer que les paroles de sa ‘cousine’ l’avait bien fait rigoler. Intérieurement il était mort de rire mais un professeur n’est pas censé montrer ses émotions. Il l’aurait surement fait si le crapaud rose du ministère ne risquait pas de rentrer dans sa salle à chaque instant. Le bogosse le savait, elle attendait le moindre faux pas de sa part pour le renvoyer. Ce n 'est pas pour autant qu'il prit un air agressif. Il garda son air de nonchalance mais son ton était ferme, quoi que toujours cordial. Pourtant sa conscience et son cœur lui disait de rigoler à cette petite plaisanterie.

« Lily, généralement on ne cris pas la beauté d’un professeur en plein cours et encore moins lorsque ledit prof est la. »

Le terme prof lui avait échappé mais bon qu’importe. Il n’était pas le genre de prof à se prendre au sérieux et considérer qu’il était au dessus de tout puisqu’il était un prof et par conséquent, la source même de la connaissance. Ted lança un coup d’œil à la porte. Un dernier élève rentrait lorsque la sonnerie retentit. D’un discret mouvement de baguette, le métamorphomage fit claquer la porte. Ceux qui arriveraient en retard n’avaient pas intérêt à se la ramener parce qu’il ne les appréciait pas même s’il les tolérait. Pour une unique raison d’ailleurs. Il se rappelait de ses années à Poudlard alors qu’il était encore un élève et arrivait la plupart du temps en retard à sa première heure de cours. L’ancien Gryffondor aimait rester jusqu’au dernier moment au lit et chaque jour il repoussait le moment de se lever ce qui lui avait fait perdre pas mal de point. Il souri intérieurement à ce souvenir puis reporta son attention sur la Serpentard.

« Je ne retire pas de point à Serpentard car le cours n’avait pas commencé mais la prochaine fois, évite de faire tes paris pour le moins déplacés en cours. Libre à toi de les faire dans les couloirs mais pas en cours. »

Le jeune professeur regarda l’ensemble de ses élèves. Ils s’étaient tous installés et s’étaient tut. Il avait capté l’attention de ses élèves. Il pouvait donc annoncer le programme du cours.

«Bien, aujourd’hui nous allons voir le sortilège Disparitum Inverteberum. »

Tandis que Ted parlait, le nom du sortilège s’écrivit au tableau, la craie bougeant seule.

« Comme son nom l’indique, ce sortilège permet de faire disparaitre un invertébré. Il suffit de faire un mouvement simple de la baguette tout en énonçant la formule. Vous devrez faire un geste de la forme d’un S. Regardez, je vais vous montrer. »

Le beau gosse, sous les yeux grands ouverts de ses groupies, attrapa un escargot dans la caisse et le posa sur son bureau puis dit clairement la formule tout en exagérant le geste correspondant. L’escargot disparut tout à coup mais on pouvait quand même voir les traces de baves avancer lentement seule.

« Vous pouvez voir que ce sortilège possède ses limites. On ne peut effacer la trace de l’escargot et les effets prennent fin rapidement. Au bout de dix minutes maximum votre escargot va réapparaitre. Bien, la partie théorique est déjà finie. Nous allons passer à la partie travaux pratiques. Tiens, Lily, puisque tu as l’air en forme, viens mettre tes talents à profil pour distribuer un escargot à chacun. Vous avez une heure pour réussir ce sortilège au moins une fois. Je vais passer vous voir et si jamais vous avez une question, faites moi signe. »

Alors que toute sa petite classe s’agitait, il les regarda d’un air satisfait. Ils avaient tous plus ou moins l’air motivé ce qui était une bonne chose. Maintenant il ne lui manquait plus qu’à les voir à l’œuvre !

Ceux qui ne sont pas inscrit peuvent toujours s’inscrire ici. Vous groupez votre message en une seule fois au lieu de deux fois. Vous pouvez faire comme si vous étiez depuis le début ou arriver en retard, à votre guise.

[Camp :]

Tout se passait bien. Ses élèves rentraient calmement dans la classe. Enfin plus ou moins mais en globalité ça allait. Certains – comme Lily – se permettaient d’un peu plus de familiarité mais cela ne le dérangeait pas. Il la connaissait depuis qu’elle était toute petite et puis il se connaissait très bien. Avant il allait manger presque tous les jours chez son parrains et voyait donc toujours Lily, Albus et James. Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos élèves, l’expression ne correspondant pas à notre situation actuelle. Les élèves donc arrivaient au compte goutte s’installant tantôt devant, tantôt derrière. La sonnerie n’avait pas encore sonné pour la seconde fois donc Ted laissait ses élèves papoter « gentiment » entre eux.

Mais comme chacun sait, Lily ne peux jamais tenir sa langue et se leva pour faire une petite tirade qui eut un effet négatif sur les filles qui aimait bien le mater. Oh il était au courant, elles n’étaient pas très discrète, mais il n’aurait pas tellement apprécié qu’un élève hurle devant Victoire « Et tu sais pas quoi ? Il veut te demander en mariage mais il n’ose même pas ! ». Ca c’est sur et certain, il l’aurait très très mal pris. Mais en même temps, il fallait bien avouer que les paroles de sa ‘cousine’ l’avait bien fait rigoler. Intérieurement il était mort de rire mais un professeur n’est pas censé montrer ses émotions. Il l’aurait surement fait si le crapaud rose du ministère ne risquait pas de rentrer dans sa salle à chaque instant. Le bogosse le savait, elle attendait le moindre faux pas de sa part pour le renvoyer. Ce n 'est pas pour autant qu'il prit un air agressif. Il garda son air de nonchalance mais son ton était ferme, quoi que toujours cordial. Pourtant sa conscience et son cœur lui disait de rigoler à cette petite plaisanterie.

« Lily, généralement on ne cris pas la beauté d’un professeur en plein cours et encore moins lorsque ledit prof est la. »

Le terme prof lui avait échappé mais bon qu’importe. Il n’était pas le genre de prof à se prendre au sérieux et considérer qu’il était au dessus de tout puisqu’il était un prof et par conséquent, la source même de la connaissance. Ted lança un coup d’œil à la porte. Un dernier élève rentrait lorsque la sonnerie retentit. D’un discret mouvement de baguette, le métamorphomage fit claquer la porte. Ceux qui arriveraient en retard n’avaient pas intérêt à se la ramener parce qu’il ne les appréciait pas même s’il les tolérait. Pour une unique raison d’ailleurs. Il se rappelait de ses années à Poudlard alors qu’il était encore un élève et arrivait la plupart du temps en retard à sa première heure de cours. L’ancien Gryffondor aimait rester jusqu’au dernier moment au lit et chaque jour il repoussait le moment de se lever ce qui lui avait fait perdre pas mal de point. Il souri intérieurement à ce souvenir puis reporta son attention sur la Serpentard.

« Je ne retire pas de point à Serpentard car le cours n’avait pas commencé mais la prochaine fois, évite de faire tes paris pour le moins déplacés en cours. Libre à toi de les faire dans les couloirs mais pas en cours. »

Le jeune professeur regarda l’ensemble de ses élèves. Ils s’étaient tous installés et s’étaient tut. Il avait capté l’attention de ses élèves. Il pouvait donc annoncer le programme du cours.

«Bien, aujourd’hui nous allons voir le sortilège Disparitum Inverteberum. »

Tandis que Ted parlait, le nom du sortilège s’écrivit au tableau, la craie bougeant seule.

« Comme son nom l’indique, ce sortilège permet de faire disparaitre un invertébré. Il suffit de faire un mouvement simple de la baguette tout en énonçant la formule. Vous devrez faire un geste de la forme d’un S. Regardez, je vais vous montrer. »

Le beau gosse, sous les yeux grands ouverts de ses groupies, attrapa un escargot dans la caisse et le posa sur son bureau puis dit clairement la formule tout en exagérant le geste correspondant. L’escargot disparut tout à coup mais on pouvait quand même voir les traces de baves avancer lentement seule.

« Vous pouvez voir que ce sortilège possède ses limites. On ne peut effacer la trace de l’escargot et les effets prennent fin rapidement. Au bout de dix minutes maximum votre escargot va réapparaitre. Bien, la partie théorique est déjà finie. Nous allons passer à la partie travaux pratiques. Tiens, Lily, puisque tu as l’air en forme, viens mettre tes talents à profil pour distribuer un escargot à chacun. Vous avez une heure pour réussir ce sortilège au moins une fois. Je vais passer vous voir et si jamais vous avez une question, faites moi signe. »

Alors que toute sa petite classe s’agitait, il les regarda d’un air satisfait. Ils avaient tous plus ou moins l’air motivé ce qui était une bonne chose. Maintenant il ne lui manquait plus qu’à les voir à l’œuvre !

Ceux qui ne sont pas inscrit peuvent toujours s’inscrire ici. Vous groupez votre message en une seule fois au lieu de deux fois. Vous pouvez faire comme si vous étiez depuis le début ou arriver en retard, à votre guise.

[Vie du personnage :]

Tout se passait bien. Ses élèves rentraient calmement dans la classe. Enfin plus ou moins mais en globalité ça allait. Certains – comme Lily – se permettaient d’un peu plus de familiarité mais cela ne le dérangeait pas. Il la connaissait depuis qu’elle était toute petite et puis il se connaissait très bien. Avant il allait manger presque tous les jours chez son parrains et voyait donc toujours Lily, Albus et James. Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos élèves, l’expression ne correspondant pas à notre situation actuelle. Les élèves donc arrivaient au compte goutte s’installant tantôt devant, tantôt derrière. La sonnerie n’avait pas encore sonné pour la seconde fois donc Ted laissait ses élèves papoter « gentiment » entre eux.

Mais comme chacun sait, Lily ne peux jamais tenir sa langue et se leva pour faire une petite tirade qui eut un effet négatif sur les filles qui aimait bien le mater. Oh il était au courant, elles n’étaient pas très discrète, mais il n’aurait pas tellement apprécié qu’un élève hurle devant Victoire « Et tu sais pas quoi ? Il veut te demander en mariage mais il n’ose même pas ! ». Ca c’est sur et certain, il l’aurait très très mal pris. Mais en même temps, il fallait bien avouer que les paroles de sa ‘cousine’ l’avait bien fait rigoler. Intérieurement il était mort de rire mais un professeur n’est pas censé montrer ses émotions. Il l’aurait surement fait si le crapaud rose du ministère ne risquait pas de rentrer dans sa salle à chaque instant. Le bogosse le savait, elle attendait le moindre faux pas de sa part pour le renvoyer. Ce n 'est pas pour autant qu'il prit un air agressif. Il garda son air de nonchalance mais son ton était ferme, quoi que toujours cordial. Pourtant sa conscience et son cœur lui disait de rigoler à cette petite plaisanterie.

« Lily, généralement on ne cris pas la beauté d’un professeur en plein cours et encore moins lorsque ledit prof est la. »

Le terme prof lui avait échappé mais bon qu’importe. Il n’était pas le genre de prof à se prendre au sérieux et considérer qu’il était au dessus de tout puisqu’il était un prof et par conséquent, la source même de la connaissance. Ted lança un coup d’œil à la porte. Un dernier élève rentrait lorsque la sonnerie retentit. D’un discret mouvement de baguette, le métamorphomage fit claquer la porte. Ceux qui arriveraient en retard n’avaient pas intérêt à se la ramener parce qu’il ne les appréciait pas même s’il les tolérait. Pour une unique raison d’ailleurs. Il se rappelait de ses années à Poudlard alors qu’il était encore un élève et arrivait la plupart du temps en retard à sa première heure de cours. L’ancien Gryffondor aimait rester jusqu’au dernier moment au lit et chaque jour il repoussait le moment de se lever ce qui lui avait fait perdre pas mal de point. Il souri intérieurement à ce souvenir puis reporta son attention sur la Serpentard.

« Je ne retire pas de point à Serpentard car le cours n’avait pas commencé mais la prochaine fois, évite de faire tes paris pour le moins déplacés en cours. Libre à toi de les faire dans les couloirs mais pas en cours. »

Le jeune professeur regarda l’ensemble de ses élèves. Ils s’étaient tous installés et s’étaient tut. Il avait capté l’attention de ses élèves. Il pouvait donc annoncer le programme du cours.

«Bien, aujourd’hui nous allons voir le sortilège Disparitum Inverteberum. »

Tandis que Ted parlait, le nom du sortilège s’écrivit au tableau, la craie bougeant seule.

« Comme son nom l’indique, ce sortilège permet de faire disparaitre un invertébré. Il suffit de faire un mouvement simple de la baguette tout en énonçant la formule. Vous devrez faire un geste de la forme d’un S. Regardez, je vais vous montrer. »

Le beau gosse, sous les yeux grands ouverts de ses groupies, attrapa un escargot dans la caisse et le posa sur son bureau puis dit clairement la formule tout en exagérant le geste correspondant. L’escargot disparut tout à coup mais on pouvait quand même voir les traces de baves avancer lentement seule.

« Vous pouvez voir que ce sortilège possède ses limites. On ne peut effacer la trace de l’escargot et les effets prennent fin rapidement. Au bout de dix minutes maximum votre escargot va réapparaitre. Bien, la partie théorique est déjà finie. Nous allons passer à la partie travaux pratiques. Tiens, Lily, puisque tu as l’air en forme, viens mettre tes talents à profil pour distribuer un escargot à chacun. Vous avez une heure pour réussir ce sortilège au moins une fois. Je vais passer vous voir et si jamais vous avez une question, faites moi signe. »

Alors que toute sa petite classe s’agitait, il les regarda d’un air satisfait. Ils avaient tous plus ou moins l’air motivé ce qui était une bonne chose. Maintenant il ne lui manquait plus qu’à les voir à l’œuvre !

Ceux qui ne sont pas inscrit peuvent toujours s’inscrire ici. Vous groupez votre message en une seule fois au lieu de deux fois. Vous pouvez faire comme si vous étiez depuis le début ou arriver en retard, à votre guise.

[Truc en plus :]

Tout se passait bien. Ses élèves rentraient calmement dans la classe. Enfin plus ou moins mais en globalité ça allait. Certains – comme Lily – se permettaient d’un peu plus de familiarité mais cela ne le dérangeait pas. Il la connaissait depuis qu’elle était toute petite et puis il se connaissait très bien. Avant il allait manger presque tous les jours chez son parrains et voyait donc toujours Lily, Albus et James. Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos élèves, l’expression ne correspondant pas à notre situation actuelle. Les élèves donc arrivaient au compte goutte s’installant tantôt devant, tantôt derrière. La sonnerie n’avait pas encore sonné pour la seconde fois donc Ted laissait ses élèves papoter « gentiment » entre eux.

Mais comme chacun sait, Lily ne peux jamais tenir sa langue et se leva pour faire une petite tirade qui eut un effet négatif sur les filles qui aimait bien le mater. Oh il était au courant, elles n’étaient pas très discrète, mais il n’aurait pas tellement apprécié qu’un élève hurle devant Victoire « Et tu sais pas quoi ? Il veut te demander en mariage mais il n’ose même pas ! ». Ca c’est sur et certain, il l’aurait très très mal pris. Mais en même temps, il fallait bien avouer que les paroles de sa ‘cousine’ l’avait bien fait rigoler. Intérieurement il était mort de rire mais un professeur n’est pas censé montrer ses émotions. Il l’aurait surement fait si le crapaud rose du ministère ne risquait pas de rentrer dans sa salle à chaque instant. Le bogosse le savait, elle attendait le moindre faux pas de sa part pour le renvoyer. Ce n 'est pas pour autant qu'il prit un air agressif. Il garda son air de nonchalance mais son ton était ferme, quoi que toujours cordial. Pourtant sa conscience et son cœur lui disait de rigoler à cette petite plaisanterie.

« Lily, généralement on ne cris pas la beauté d’un professeur en plein cours et encore moins lorsque ledit prof est la. »

Le terme prof lui avait échappé mais bon qu’importe. Il n’était pas le genre de prof à se prendre au sérieux et considérer qu’il était au dessus de tout puisqu’il était un prof et par conséquent, la source même de la connaissance. Ted lança un coup d’œil à la porte. Un dernier élève rentrait lorsque la sonnerie retentit. D’un discret mouvement de baguette, le métamorphomage fit claquer la porte. Ceux qui arriveraient en retard n’avaient pas intérêt à se la ramener parce qu’il ne les appréciait pas même s’il les tolérait. Pour une unique raison d’ailleurs. Il se rappelait de ses années à Poudlard alors qu’il était encore un élève et arrivait la plupart du temps en retard à sa première heure de cours. L’ancien Gryffondor aimait rester jusqu’au dernier moment au lit et chaque jour il repoussait le moment de se lever ce qui lui avait fait perdre pas mal de point. Il souri intérieurement à ce souvenir puis reporta son attention sur la Serpentard.

« Je ne retire pas de point à Serpentard car le cours n’avait pas commencé mais la prochaine fois, évite de faire tes paris pour le moins déplacés en cours. Libre à toi de les faire dans les couloirs mais pas en cours. »

Le jeune professeur regarda l’ensemble de ses élèves. Ils s’étaient tous installés et s’étaient tut. Il avait capté l’attention de ses élèves. Il pouvait donc annoncer le programme du cours.

«Bien, aujourd’hui nous allons voir le sortilège Disparitum Inverteberum. »

Tandis que Ted parlait, le nom du sortilège s’écrivit au tableau, la craie bougeant seule.

« Comme son nom l’indique, ce sortilège permet de faire disparaitre un invertébré. Il suffit de faire un mouvement simple de la baguette tout en énonçant la formule. Vous devrez faire un geste de la forme d’un S. Regardez, je vais vous montrer. »

Le beau gosse, sous les yeux grands ouverts de ses groupies, attrapa un escargot dans la caisse et le posa sur son bureau puis dit clairement la formule tout en exagérant le geste correspondant. L’escargot disparut tout à coup mais on pouvait quand même voir les traces de baves avancer lentement seule.

« Vous pouvez voir que ce sortilège possède ses limites. On ne peut effacer la trace de l’escargot et les effets prennent fin rapidement. Au bout de dix minutes maximum votre escargot va réapparaitre. Bien, la partie théorique est déjà finie. Nous allons passer à la partie travaux pratiques. Tiens, Lily, puisque tu as l’air en forme, viens mettre tes talents à profil pour distribuer un escargot à chacun. Vous avez une heure pour réussir ce sortilège au moins une fois. Je vais passer vous voir et si jamais vous avez une question, faites moi signe. »

Alors que toute sa petite classe s’agitait, il les regarda d’un air satisfait. Ils avaient tous plus ou moins l’air motivé ce qui était une bonne chose. Maintenant il ne lui manquait plus qu’à les voir à l’œuvre !

Ceux qui ne sont pas inscrit peuvent toujours s’inscrire ici. Vous groupez votre message en une seule fois au lieu de deux fois. Vous pouvez faire comme si vous étiez depuis le début ou arriver en retard, à votre guise.

[Doubles-Comptes :]

Tout se passait bien. Ses élèves rentraient calmement dans la classe. Enfin plus ou moins mais en globalité ça allait. Certains – comme Lily – se permettaient d’un peu plus de familiarité mais cela ne le dérangeait pas. Il la connaissait depuis qu’elle était toute petite et puis il se connaissait très bien. Avant il allait manger presque tous les jours chez son parrains et voyait donc toujours Lily, Albus et James. Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos élèves, l’expression ne correspondant pas à notre situation actuelle. Les élèves donc arrivaient au compte goutte s’installant tantôt devant, tantôt derrière. La sonnerie n’avait pas encore sonné pour la seconde fois donc Ted laissait ses élèves papoter « gentiment » entre eux.

Mais comme chacun sait, Lily ne peux jamais tenir sa langue et se leva pour faire une petite tirade qui eut un effet négatif sur les filles qui aimait bien le mater. Oh il était au courant, elles n’étaient pas très discrète, mais il n’aurait pas tellement apprécié qu’un élève hurle devant Victoire « Et tu sais pas quoi ? Il veut te demander en mariage mais il n’ose même pas ! ». Ca c’est sur et certain, il l’aurait très très mal pris. Mais en même temps, il fallait bien avouer que les paroles de sa ‘cousine’ l’avait bien fait rigoler. Intérieurement il était mort de rire mais un professeur n’est pas censé montrer ses émotions. Il l’aurait surement fait si le crapaud rose du ministère ne risquait pas de rentrer dans sa salle à chaque instant. Le bogosse le savait, elle attendait le moindre faux pas de sa part pour le renvoyer. Ce n 'est pas pour autant qu'il prit un air agressif. Il garda son air de nonchalance mais son ton était ferme, quoi que toujours cordial. Pourtant sa conscience et son cœur lui disait de rigoler à cette petite plaisanterie.

« Lily, généralement on ne cris pas la beauté d’un professeur en plein cours et encore moins lorsque ledit prof est la. »

Le terme prof lui avait échappé mais bon qu’importe. Il n’était pas le genre de prof à se prendre au sérieux et considérer qu’il était au dessus de tout puisqu’il était un prof et par conséquent, la source même de la connaissance. Ted lança un coup d’œil à la porte. Un dernier élève rentrait lorsque la sonnerie retentit. D’un discret mouvement de baguette, le métamorphomage fit claquer la porte. Ceux qui arriveraient en retard n’avaient pas intérêt à se la ramener parce qu’il ne les appréciait pas même s’il les tolérait. Pour une unique raison d’ailleurs. Il se rappelait de ses années à Poudlard alors qu’il était encore un élève et arrivait la plupart du temps en retard à sa première heure de cours. L’ancien Gryffondor aimait rester jusqu’au dernier moment au lit et chaque jour il repoussait le moment de se lever ce qui lui avait fait perdre pas mal de point. Il souri intérieurement à ce souvenir puis reporta son attention sur la Serpentard.

« Je ne retire pas de point à Serpentard car le cours n’avait pas commencé mais la prochaine fois, évite de faire tes paris pour le moins déplacés en cours. Libre à toi de les faire dans les couloirs mais pas en cours. »

Le jeune professeur regarda l’ensemble de ses élèves. Ils s’étaient tous installés et s’étaient tut. Il avait capté l’attention de ses élèves. Il pouvait donc annoncer le programme du cours.

«Bien, aujourd’hui nous allons voir le sortilège Disparitum Inverteberum. »

Tandis que Ted parlait, le nom du sortilège s’écrivit au tableau, la craie bougeant seule.

« Comme son nom l’indique, ce sortilège permet de faire disparaitre un invertébré. Il suffit de faire un mouvement simple de la baguette tout en énonçant la formule. Vous devrez faire un geste de la forme d’un S. Regardez, je vais vous montrer. »

Le beau gosse, sous les yeux grands ouverts de ses groupies, attrapa un escargot dans la caisse et le posa sur son bureau puis dit clairement la formule tout en exagérant le geste correspondant. L’escargot disparut tout à coup mais on pouvait quand même voir les traces de baves avancer lentement seule.

« Vous pouvez voir que ce sortilège possède ses limites. On ne peut effacer la trace de l’escargot et les effets prennent fin rapidement. Au bout de dix minutes maximum votre escargot va réapparaitre. Bien, la partie théorique est déjà finie. Nous allons passer à la partie travaux pratiques. Tiens, Lily, puisque tu as l’air en forme, viens mettre tes talents à profil pour distribuer un escargot à chacun. Vous avez une heure pour réussir ce sortilège au moins une fois. Je vais passer vous voir et si jamais vous avez une question, faites moi signe. »

Alors que toute sa petite classe s’agitait, il les regarda d’un air satisfait. Ils avaient tous plus ou moins l’air motivé ce qui était une bonne chose. Maintenant il ne lui manquait plus qu’à les voir à l’œuvre !

Ceux qui ne sont pas inscrit peuvent toujours s’inscrire ici. Vous groupez votre message en une seule fois au lieu de deux fois. Vous pouvez faire comme si vous étiez depuis le début ou arriver en retard, à votre guise.

Un jour, peut-être, Lily serait moins familière avec ses profs. Enfin j’avoue que c’est beau de rêver. Triturant le nounours accroché à sa trousse, Lily regarda les gens arriver et s’installer un à un, mais nota surtout Lucy qui alla s’asseoir à côté d’elle, Lys qui s’installa en milieu de classe, Mélanie préféra se mettre derrière elle pour discuter un peu. Tout ça après son superbe coup d’éclat – du moins ses deux superbes coups d’éclats – lui faisant gagner cent petits gallions sonnants et trébuchants. Son balai allait arriver plus vite que prévu … Surtout que c’est vachement cher, une Pointe d’Asgard, en plus. Lucy fut la première à entrer pour aller s’asseoir à côté d’elle, avec le sourire de celle qui a loupé le changement d’heure – qui a tout de même lieu fin Octobre quand nous sommes fin Janvier XD – et qui s’est platement excusé à son réveil de lui taper dessus aussi familièrement. Lily, pour sa part, lui fit le grand sourire de celle qui aurait bien dormi trois mois de plus mais qui est debout, mais ça, les forces de la nature seules savent où elle a trouvé la force de se lever. Mais surtout où elle trouve la force de ne pas retourner direct dans sa couette toute chaude et toute moelleuse. Oh mon Dieu, cessons de parler de ça ou Lily va s’écrouler sur son bureau.

« Eh bien, j’ai parié quarante gallions avec une fille que je ne pourrai pas chanter Dirty Dancing dans la salle commune des Serpentard, puis cinquante gallions que je ne pourrai pas refaire la même chose dans la grande salle, et enfin dix gallions que je ne pourrai pas dire que Ted est un beau gosse. Moi, tant qu’on me parie pas de me rouler dans la neige ou de rester dehors quand il pleut, je peux presque tout faire. »

Et à ce moment précis, Lys, qui venait de se vautrer avec charisme et élégance sur sa chaise, se tourna vers elle et lui lança avec humour si elle comptait chanter du Flashdance. Hm, elle le connaissait lui ? Si elle l’apprenait, ça ne lui poserait, techniquement, aucun souci. Renvoyant un sourire éclatant et provocateur à son ex petit-ami, Lily pencha la tête sur le côté, laissant tomber quelques mèches rousses.

« Laquelle ? What a Feeling ou Closing ? Chiche que je la chante, rien que pour voir ! Combien tu es prêt à parier, trésor ? »

Niark, parier avec Lily est mauvais pour la sécurité du porte-monnaie. Tournant la tête vers Lucy tout en faisant mumuse du bout des doigts avec son petit nounours, la rouquine s’apprêta à réengager la conversation. Ce qu’elle aurait fait si Mélanie ne s’était pas vautrée derrière elle en lui avouant à demi-mot avoir refait son vieux cauchemar un peu moisi, celui dans lequel son père lui faisait la peau. Puis elle continua en parlant de son nounours. Mince, alors tout le monde avait capté qu’elle en pinçait pour Nathan ? Aussi, quelle discrétion, c’est vachement difficile de deviner ce que tu as derrière la tête quand il s’agit d’amour, vile rouquine punk en manque de sommeil. Lily tira très infantilement la langue à Mélanie, puis se pencha pour choper de quoi manger dans son sac – une petite barre de merdouille qui cale l’estomac quoi – et posa la bouffe sur le bureau de Mélanie, avec un clin d’œil complice.

« Tiens, faut manger quand ça ne va pas. Manger, c’est le meilleur des remèdes. Quant au nounours … Il semblerait qu’il ne se soit pas réveillé ce matin, alors je compte sur mon truc en peluche et sur mes amis pour me servir d’anti-dodo pendant tout le cours. »

Et hop, Lily qui lève sa trousse pour montrer à Mélanie le nounours marron pelucheux et un peu vieillot qui pendouille. La réplique du professeur lui faisant tourner la tête, Lily reposa sa trousse et envoya un sourire faussement contrit à Ted. Ouais, ça se voyait qu’il était mort de rire, mais intérieurement. Quand on a une menace comme Dolores Ombrage au-dessus de la tête, on évite de la laisser tomber. La menace. Hm, ça doit être lourd, Ombrage qui nous tombe dessus … Quel super airbarg. Glauque ça XD. A la deuxième réplique de Ted – du professeur Lupin XD – Lily se retint pour ne pas lever les yeux au ciel. Mais quel pas marrant, ce Ted, quand il est prof. Vivement qu’il revienne manger à la maison. Parcourant la salle du regard pour voir si sa tirade avait eu effet, elle remarqua que quelques donzelles la tuaient du regard. Chouette, encore des ennemis ! Mais quelle grosse tordue cette Lily, bon Dieu. Le cours commençant enfin, la Serpentard reposa son regard sur Ted, qui leur montrait l’utilité du sort tellement long qu’à huit heures du matin elle avait déjà oublié son nom, et lança ledit sort sur un escargot qui disparut en laissant derrière lui une mignonne petite traînée de bave. Puis au final, ce fut elle que Ted appela pour distribuer les escargots. Eh ! Nan mais je note, je note. Tsssk. Haussant les yeux au ciel avec amusement, Lily se leva et fit le tour de la table – elle aurait pu passer par-dessus comme son papi James mais n’exagérons rien non plus – et alla jusqu’au bureau du prof pour choper la boîte d’escargots. Elle lui aurait bien balancé avec amusement que ses talents ne se limitent pas qu’à distribuer des escargots, mais tint sa langue, se contentant d’esquisser une ombre de sourire, et distribua les bestioles baveuses avant de reposer la boîte sur le bureau et retourner à sa place.

« Faire disparaître un invertébré. Hm, on peut peut-être faire disparaître Mikhaïl ou Nicolas avec un sortilège pareil … Donc il faut que je l’apprenne. »

Ok, alors ça c’est fait XD. Sortant sa baguette, Lily fit le superbe S que leur avait montré le professeur, et ne fut pas surprise de voir l’escargot lui tenir tête en traçant insolemment son chemin de bave devant elle. Non mais tu vas voir ce que tu vas voir toi, tu vas prendre cher sale bestiole qui fait sprouitch quand on l’écrabouille. Recommençant le mouvement, Lily vit la carapace de l’immonde bête trembloter et devenir opaque. Ah mais c’est glauque O__O.

« Regarde Lucy, ça a marché, mais juste un peu. Le truc de fou … »

[Messages :]

Un jour, peut-être, Lily serait moins familière avec ses profs. Enfin j’avoue que c’est beau de rêver. Triturant le nounours accroché à sa trousse, Lily regarda les gens arriver et s’installer un à un, mais nota surtout Lucy qui alla s’asseoir à côté d’elle, Lys qui s’installa en milieu de classe, Mélanie préféra se mettre derrière elle pour discuter un peu. Tout ça après son superbe coup d’éclat – du moins ses deux superbes coups d’éclats – lui faisant gagner cent petits gallions sonnants et trébuchants. Son balai allait arriver plus vite que prévu … Surtout que c’est vachement cher, une Pointe d’Asgard, en plus. Lucy fut la première à entrer pour aller s’asseoir à côté d’elle, avec le sourire de celle qui a loupé le changement d’heure – qui a tout de même lieu fin Octobre quand nous sommes fin Janvier XD – et qui s’est platement excusé à son réveil de lui taper dessus aussi familièrement. Lily, pour sa part, lui fit le grand sourire de celle qui aurait bien dormi trois mois de plus mais qui est debout, mais ça, les forces de la nature seules savent où elle a trouvé la force de se lever. Mais surtout où elle trouve la force de ne pas retourner direct dans sa couette toute chaude et toute moelleuse. Oh mon Dieu, cessons de parler de ça ou Lily va s’écrouler sur son bureau.

« Eh bien, j’ai parié quarante gallions avec une fille que je ne pourrai pas chanter Dirty Dancing dans la salle commune des Serpentard, puis cinquante gallions que je ne pourrai pas refaire la même chose dans la grande salle, et enfin dix gallions que je ne pourrai pas dire que Ted est un beau gosse. Moi, tant qu’on me parie pas de me rouler dans la neige ou de rester dehors quand il pleut, je peux presque tout faire. »

Et à ce moment précis, Lys, qui venait de se vautrer avec charisme et élégance sur sa chaise, se tourna vers elle et lui lança avec humour si elle comptait chanter du Flashdance. Hm, elle le connaissait lui ? Si elle l’apprenait, ça ne lui poserait, techniquement, aucun souci. Renvoyant un sourire éclatant et provocateur à son ex petit-ami, Lily pencha la tête sur le côté, laissant tomber quelques mèches rousses.

« Laquelle ? What a Feeling ou Closing ? Chiche que je la chante, rien que pour voir ! Combien tu es prêt à parier, trésor ? »

Niark, parier avec Lily est mauvais pour la sécurité du porte-monnaie. Tournant la tête vers Lucy tout en faisant mumuse du bout des doigts avec son petit nounours, la rouquine s’apprêta à réengager la conversation. Ce qu’elle aurait fait si Mélanie ne s’était pas vautrée derrière elle en lui avouant à demi-mot avoir refait son vieux cauchemar un peu moisi, celui dans lequel son père lui faisait la peau. Puis elle continua en parlant de son nounours. Mince, alors tout le monde avait capté qu’elle en pinçait pour Nathan ? Aussi, quelle discrétion, c’est vachement difficile de deviner ce que tu as derrière la tête quand il s’agit d’amour, vile rouquine punk en manque de sommeil. Lily tira très infantilement la langue à Mélanie, puis se pencha pour choper de quoi manger dans son sac – une petite barre de merdouille qui cale l’estomac quoi – et posa la bouffe sur le bureau de Mélanie, avec un clin d’œil complice.

« Tiens, faut manger quand ça ne va pas. Manger, c’est le meilleur des remèdes. Quant au nounours … Il semblerait qu’il ne se soit pas réveillé ce matin, alors je compte sur mon truc en peluche et sur mes amis pour me servir d’anti-dodo pendant tout le cours. »

Et hop, Lily qui lève sa trousse pour montrer à Mélanie le nounours marron pelucheux et un peu vieillot qui pendouille. La réplique du professeur lui faisant tourner la tête, Lily reposa sa trousse et envoya un sourire faussement contrit à Ted. Ouais, ça se voyait qu’il était mort de rire, mais intérieurement. Quand on a une menace comme Dolores Ombrage au-dessus de la tête, on évite de la laisser tomber. La menace. Hm, ça doit être lourd, Ombrage qui nous tombe dessus … Quel super airbarg. Glauque ça XD. A la deuxième réplique de Ted – du professeur Lupin XD – Lily se retint pour ne pas lever les yeux au ciel. Mais quel pas marrant, ce Ted, quand il est prof. Vivement qu’il revienne manger à la maison. Parcourant la salle du regard pour voir si sa tirade avait eu effet, elle remarqua que quelques donzelles la tuaient du regard. Chouette, encore des ennemis ! Mais quelle grosse tordue cette Lily, bon Dieu. Le cours commençant enfin, la Serpentard reposa son regard sur Ted, qui leur montrait l’utilité du sort tellement long qu’à huit heures du matin elle avait déjà oublié son nom, et lança ledit sort sur un escargot qui disparut en laissant derrière lui une mignonne petite traînée de bave. Puis au final, ce fut elle que Ted appela pour distribuer les escargots. Eh ! Nan mais je note, je note. Tsssk. Haussant les yeux au ciel avec amusement, Lily se leva et fit le tour de la table – elle aurait pu passer par-dessus comme son papi James mais n’exagérons rien non plus – et alla jusqu’au bureau du prof pour choper la boîte d’escargots. Elle lui aurait bien balancé avec amusement que ses talents ne se limitent pas qu’à distribuer des escargots, mais tint sa langue, se contentant d’esquisser une ombre de sourire, et distribua les bestioles baveuses avant de reposer la boîte sur le bureau et retourner à sa place.

« Faire disparaître un invertébré. Hm, on peut peut-être faire disparaître Mikhaïl ou Nicolas avec un sortilège pareil … Donc il faut que je l’apprenne. »

Ok, alors ça c’est fait XD. Sortant sa baguette, Lily fit le superbe S que leur avait montré le professeur, et ne fut pas surprise de voir l’escargot lui tenir tête en traçant insolemment son chemin de bave devant elle. Non mais tu vas voir ce que tu vas voir toi, tu vas prendre cher sale bestiole qui fait sprouitch quand on l’écrabouille. Recommençant le mouvement, Lily vit la carapace de l’immonde bête trembloter et devenir opaque. Ah mais c’est glauque O__O.

« Regarde Lucy, ça a marché, mais juste un peu. Le truc de fou … »

[Points :]

Un jour, peut-être, Lily serait moins familière avec ses profs. Enfin j’avoue que c’est beau de rêver. Triturant le nounours accroché à sa trousse, Lily regarda les gens arriver et s’installer un à un, mais nota surtout Lucy qui alla s’asseoir à côté d’elle, Lys qui s’installa en milieu de classe, Mélanie préféra se mettre derrière elle pour discuter un peu. Tout ça après son superbe coup d’éclat – du moins ses deux superbes coups d’éclats – lui faisant gagner cent petits gallions sonnants et trébuchants. Son balai allait arriver plus vite que prévu … Surtout que c’est vachement cher, une Pointe d’Asgard, en plus. Lucy fut la première à entrer pour aller s’asseoir à côté d’elle, avec le sourire de celle qui a loupé le changement d’heure – qui a tout de même lieu fin Octobre quand nous sommes fin Janvier XD – et qui s’est platement excusé à son réveil de lui taper dessus aussi familièrement. Lily, pour sa part, lui fit le grand sourire de celle qui aurait bien dormi trois mois de plus mais qui est debout, mais ça, les forces de la nature seules savent où elle a trouvé la force de se lever. Mais surtout où elle trouve la force de ne pas retourner direct dans sa couette toute chaude et toute moelleuse. Oh mon Dieu, cessons de parler de ça ou Lily va s’écrouler sur son bureau.

« Eh bien, j’ai parié quarante gallions avec une fille que je ne pourrai pas chanter Dirty Dancing dans la salle commune des Serpentard, puis cinquante gallions que je ne pourrai pas refaire la même chose dans la grande salle, et enfin dix gallions que je ne pourrai pas dire que Ted est un beau gosse. Moi, tant qu’on me parie pas de me rouler dans la neige ou de rester dehors quand il pleut, je peux presque tout faire. »

Et à ce moment précis, Lys, qui venait de se vautrer avec charisme et élégance sur sa chaise, se tourna vers elle et lui lança avec humour si elle comptait chanter du Flashdance. Hm, elle le connaissait lui ? Si elle l’apprenait, ça ne lui poserait, techniquement, aucun souci. Renvoyant un sourire éclatant et provocateur à son ex petit-ami, Lily pencha la tête sur le côté, laissant tomber quelques mèches rousses.

« Laquelle ? What a Feeling ou Closing ? Chiche que je la chante, rien que pour voir ! Combien tu es prêt à parier, trésor ? »

Niark, parier avec Lily est mauvais pour la sécurité du porte-monnaie. Tournant la tête vers Lucy tout en faisant mumuse du bout des doigts avec son petit nounours, la rouquine s’apprêta à réengager la conversation. Ce qu’elle aurait fait si Mélanie ne s’était pas vautrée derrière elle en lui avouant à demi-mot avoir refait son vieux cauchemar un peu moisi, celui dans lequel son père lui faisait la peau. Puis elle continua en parlant de son nounours. Mince, alors tout le monde avait capté qu’elle en pinçait pour Nathan ? Aussi, quelle discrétion, c’est vachement difficile de deviner ce que tu as derrière la tête quand il s’agit d’amour, vile rouquine punk en manque de sommeil. Lily tira très infantilement la langue à Mélanie, puis se pencha pour choper de quoi manger dans son sac – une petite barre de merdouille qui cale l’estomac quoi – et posa la bouffe sur le bureau de Mélanie, avec un clin d’œil complice.

« Tiens, faut manger quand ça ne va pas. Manger, c’est le meilleur des remèdes. Quant au nounours … Il semblerait qu’il ne se soit pas réveillé ce matin, alors je compte sur mon truc en peluche et sur mes amis pour me servir d’anti-dodo pendant tout le cours. »

Et hop, Lily qui lève sa trousse pour montrer à Mélanie le nounours marron pelucheux et un peu vieillot qui pendouille. La réplique du professeur lui faisant tourner la tête, Lily reposa sa trousse et envoya un sourire faussement contrit à Ted. Ouais, ça se voyait qu’il était mort de rire, mais intérieurement. Quand on a une menace comme Dolores Ombrage au-dessus de la tête, on évite de la laisser tomber. La menace. Hm, ça doit être lourd, Ombrage qui nous tombe dessus … Quel super airbarg. Glauque ça XD. A la deuxième réplique de Ted – du professeur Lupin XD – Lily se retint pour ne pas lever les yeux au ciel. Mais quel pas marrant, ce Ted, quand il est prof. Vivement qu’il revienne manger à la maison. Parcourant la salle du regard pour voir si sa tirade avait eu effet, elle remarqua que quelques donzelles la tuaient du regard. Chouette, encore des ennemis ! Mais quelle grosse tordue cette Lily, bon Dieu. Le cours commençant enfin, la Serpentard reposa son regard sur Ted, qui leur montrait l’utilité du sort tellement long qu’à huit heures du matin elle avait déjà oublié son nom, et lança ledit sort sur un escargot qui disparut en laissant derrière lui une mignonne petite traînée de bave. Puis au final, ce fut elle que Ted appela pour distribuer les escargots. Eh ! Nan mais je note, je note. Tsssk. Haussant les yeux au ciel avec amusement, Lily se leva et fit le tour de la table – elle aurait pu passer par-dessus comme son papi James mais n’exagérons rien non plus – et alla jusqu’au bureau du prof pour choper la boîte d’escargots. Elle lui aurait bien balancé avec amusement que ses talents ne se limitent pas qu’à distribuer des escargots, mais tint sa langue, se contentant d’esquisser une ombre de sourire, et distribua les bestioles baveuses avant de reposer la boîte sur le bureau et retourner à sa place.

« Faire disparaître un invertébré. Hm, on peut peut-être faire disparaître Mikhaïl ou Nicolas avec un sortilège pareil … Donc il faut que je l’apprenne. »

Ok, alors ça c’est fait XD. Sortant sa baguette, Lily fit le superbe S que leur avait montré le professeur, et ne fut pas surprise de voir l’escargot lui tenir tête en traçant insolemment son chemin de bave devant elle. Non mais tu vas voir ce que tu vas voir toi, tu vas prendre cher sale bestiole qui fait sprouitch quand on l’écrabouille. Recommençant le mouvement, Lily vit la carapace de l’immonde bête trembloter et devenir opaque. Ah mais c’est glauque O__O.

« Regarde Lucy, ça a marché, mais juste un peu. Le truc de fou … »

[Avatar :]

Un jour, peut-être, Lily serait moins familière avec ses profs. Enfin j’avoue que c’est beau de rêver. Triturant le nounours accroché à sa trousse, Lily regarda les gens arriver et s’installer un à un, mais nota surtout Lucy qui alla s’asseoir à côté d’elle, Lys qui s’installa en milieu de classe, Mélanie préféra se mettre derrière elle pour discuter un peu. Tout ça après son superbe coup d’éclat – du moins ses deux superbes coups d’éclats – lui faisant gagner cent petits gallions sonnants et trébuchants. Son balai allait arriver plus vite que prévu … Surtout que c’est vachement cher, une Pointe d’Asgard, en plus. Lucy fut la première à entrer pour aller s’asseoir à côté d’elle, avec le sourire de celle qui a loupé le changement d’heure – qui a tout de même lieu fin Octobre quand nous sommes fin Janvier XD – et qui s’est platement excusé à son réveil de lui taper dessus aussi familièrement. Lily, pour sa part, lui fit le grand sourire de celle qui aurait bien dormi trois mois de plus mais qui est debout, mais ça, les forces de la nature seules savent où elle a trouvé la force de se lever. Mais surtout où elle trouve la force de ne pas retourner direct dans sa couette toute chaude et toute moelleuse. Oh mon Dieu, cessons de parler de ça ou Lily va s’écrouler sur son bureau.

« Eh bien, j’ai parié quarante gallions avec une fille que je ne pourrai pas chanter Dirty Dancing dans la salle commune des Serpentard, puis cinquante gallions que je ne pourrai pas refaire la même chose dans la grande salle, et enfin dix gallions que je ne pourrai pas dire que Ted est un beau gosse. Moi, tant qu’on me parie pas de me rouler dans la neige ou de rester dehors quand il pleut, je peux presque tout faire. »

Et à ce moment précis, Lys, qui venait de se vautrer avec charisme et élégance sur sa chaise, se tourna vers elle et lui lança avec humour si elle comptait chanter du Flashdance. Hm, elle le connaissait lui ? Si elle l’apprenait, ça ne lui poserait, techniquement, aucun souci. Renvoyant un sourire éclatant et provocateur à son ex petit-ami, Lily pencha la tête sur le côté, laissant tomber quelques mèches rousses.

« Laquelle ? What a Feeling ou Closing ? Chiche que je la chante, rien que pour voir ! Combien tu es prêt à parier, trésor ? »

Niark, parier avec Lily est mauvais pour la sécurité du porte-monnaie. Tournant la tête vers Lucy tout en faisant mumuse du bout des doigts avec son petit nounours, la rouquine s’apprêta à réengager la conversation. Ce qu’elle aurait fait si Mélanie ne s’était pas vautrée derrière elle en lui avouant à demi-mot avoir refait son vieux cauchemar un peu moisi, celui dans lequel son père lui faisait la peau. Puis elle continua en parlant de son nounours. Mince, alors tout le monde avait capté qu’elle en pinçait pour Nathan ? Aussi, quelle discrétion, c’est vachement difficile de deviner ce que tu as derrière la tête quand il s’agit d’amour, vile rouquine punk en manque de sommeil. Lily tira très infantilement la langue à Mélanie, puis se pencha pour choper de quoi manger dans son sac – une petite barre de merdouille qui cale l’estomac quoi – et posa la bouffe sur le bureau de Mélanie, avec un clin d’œil complice.

« Tiens, faut manger quand ça ne va pas. Manger, c’est le meilleur des remèdes. Quant au nounours … Il semblerait qu’il ne se soit pas réveillé ce matin, alors je compte sur mon truc en peluche et sur mes amis pour me servir d’anti-dodo pendant tout le cours. »

Et hop, Lily qui lève sa trousse pour montrer à Mélanie le nounours marron pelucheux et un peu vieillot qui pendouille. La réplique du professeur lui faisant tourner la tête, Lily reposa sa trousse et envoya un sourire faussement contrit à Ted. Ouais, ça se voyait qu’il était mort de rire, mais intérieurement. Quand on a une menace comme Dolores Ombrage au-dessus de la tête, on évite de la laisser tomber. La menace. Hm, ça doit être lourd, Ombrage qui nous tombe dessus … Quel super airbarg. Glauque ça XD. A la deuxième réplique de Ted – du professeur Lupin XD – Lily se retint pour ne pas lever les yeux au ciel. Mais quel pas marrant, ce Ted, quand il est prof. Vivement qu’il revienne manger à la maison. Parcourant la salle du regard pour voir si sa tirade avait eu effet, elle remarqua que quelques donzelles la tuaient du regard. Chouette, encore des ennemis ! Mais quelle grosse tordue cette Lily, bon Dieu. Le cours commençant enfin, la Serpentard reposa son regard sur Ted, qui leur montrait l’utilité du sort tellement long qu’à huit heures du matin elle avait déjà oublié son nom, et lança ledit sort sur un escargot qui disparut en laissant derrière lui une mignonne petite traînée de bave. Puis au final, ce fut elle que Ted appela pour distribuer les escargots. Eh ! Nan mais je note, je note. Tsssk. Haussant les yeux au ciel avec amusement, Lily se leva et fit le tour de la table – elle aurait pu passer par-dessus comme son papi James mais n’exagérons rien non plus – et alla jusqu’au bureau du prof pour choper la boîte d’escargots. Elle lui aurait bien balancé avec amusement que ses talents ne se limitent pas qu’à distribuer des escargots, mais tint sa langue, se contentant d’esquisser une ombre de sourire, et distribua les bestioles baveuses avant de reposer la boîte sur le bureau et retourner à sa place.

« Faire disparaître un invertébré. Hm, on peut peut-être faire disparaître Mikhaïl ou Nicolas avec un sortilège pareil … Donc il faut que je l’apprenne. »

Ok, alors ça c’est fait XD. Sortant sa baguette, Lily fit le superbe S que leur avait montré le professeur, et ne fut pas surprise de voir l’escargot lui tenir tête en traçant insolemment son chemin de bave devant elle. Non mais tu vas voir ce que tu vas voir toi, tu vas prendre cher sale bestiole qui fait sprouitch quand on l’écrabouille. Recommençant le mouvement, Lily vit la carapace de l’immonde bête trembloter et devenir opaque. Ah mais c’est glauque O__O.

« Regarde Lucy, ça a marché, mais juste un peu. Le truc de fou … »

[Crédits :]

Un jour, peut-être, Lily serait moins familière avec ses profs. Enfin j’avoue que c’est beau de rêver. Triturant le nounours accroché à sa trousse, Lily regarda les gens arriver et s’installer un à un, mais nota surtout Lucy qui alla s’asseoir à côté d’elle, Lys qui s’installa en milieu de classe, Mélanie préféra se mettre derrière elle pour discuter un peu. Tout ça après son superbe coup d’éclat – du moins ses deux superbes coups d’éclats – lui faisant gagner cent petits gallions sonnants et trébuchants. Son balai allait arriver plus vite que prévu … Surtout que c’est vachement cher, une Pointe d’Asgard, en plus. Lucy fut la première à entrer pour aller s’asseoir à côté d’elle, avec le sourire de celle qui a loupé le changement d’heure – qui a tout de même lieu fin Octobre quand nous sommes fin Janvier XD – et qui s’est platement excusé à son réveil de lui taper dessus aussi familièrement. Lily, pour sa part, lui fit le grand sourire de celle qui aurait bien dormi trois mois de plus mais qui est debout, mais ça, les forces de la nature seules savent où elle a trouvé la force de se lever. Mais surtout où elle trouve la force de ne pas retourner direct dans sa couette toute chaude et toute moelleuse. Oh mon Dieu, cessons de parler de ça ou Lily va s’écrouler sur son bureau.

« Eh bien, j’ai parié quarante gallions avec une fille que je ne pourrai pas chanter Dirty Dancing dans la salle commune des Serpentard, puis cinquante gallions que je ne pourrai pas refaire la même chose dans la grande salle, et enfin dix gallions que je ne pourrai pas dire que Ted est un beau gosse. Moi, tant qu’on me parie pas de me rouler dans la neige ou de rester dehors quand il pleut, je peux presque tout faire. »

Et à ce moment précis, Lys, qui venait de se vautrer avec charisme et élégance sur sa chaise, se tourna vers elle et lui lança avec humour si elle comptait chanter du Flashdance. Hm, elle le connaissait lui ? Si elle l’apprenait, ça ne lui poserait, techniquement, aucun souci. Renvoyant un sourire éclatant et provocateur à son ex petit-ami, Lily pencha la tête sur le côté, laissant tomber quelques mèches rousses.

« Laquelle ? What a Feeling ou Closing ? Chiche que je la chante, rien que pour voir ! Combien tu es prêt à parier, trésor ? »

Niark, parier avec Lily est mauvais pour la sécurité du porte-monnaie. Tournant la tête vers Lucy tout en faisant mumuse du bout des doigts avec son petit nounours, la rouquine s’apprêta à réengager la conversation. Ce qu’elle aurait fait si Mélanie ne s’était pas vautrée derrière elle en lui avouant à demi-mot avoir refait son vieux cauchemar un peu moisi, celui dans lequel son père lui faisait la peau. Puis elle continua en parlant de son nounours. Mince, alors tout le monde avait capté qu’elle en pinçait pour Nathan ? Aussi, quelle discrétion, c’est vachement difficile de deviner ce que tu as derrière la tête quand il s’agit d’amour, vile rouquine punk en manque de sommeil. Lily tira très infantilement la langue à Mélanie, puis se pencha pour choper de quoi manger dans son sac – une petite barre de merdouille qui cale l’estomac quoi – et posa la bouffe sur le bureau de Mélanie, avec un clin d’œil complice.

« Tiens, faut manger quand ça ne va pas. Manger, c’est le meilleur des remèdes. Quant au nounours … Il semblerait qu’il ne se soit pas réveillé ce matin, alors je compte sur mon truc en peluche et sur mes amis pour me servir d’anti-dodo pendant tout le cours. »

Et hop, Lily qui lève sa trousse pour montrer à Mélanie le nounours marron pelucheux et un peu vieillot qui pendouille. La réplique du professeur lui faisant tourner la tête, Lily reposa sa trousse et envoya un sourire faussement contrit à Ted. Ouais, ça se voyait qu’il était mort de rire, mais intérieurement. Quand on a une menace comme Dolores Ombrage au-dessus de la tête, on évite de la laisser tomber. La menace. Hm, ça doit être lourd, Ombrage qui nous tombe dessus … Quel super airbarg. Glauque ça XD. A la deuxième réplique de Ted – du professeur Lupin XD – Lily se retint pour ne pas lever les yeux au ciel. Mais quel pas marrant, ce Ted, quand il est prof. Vivement qu’il revienne manger à la maison. Parcourant la salle du regard pour voir si sa tirade avait eu effet, elle remarqua que quelques donzelles la tuaient du regard. Chouette, encore des ennemis ! Mais quelle grosse tordue cette Lily, bon Dieu. Le cours commençant enfin, la Serpentard reposa son regard sur Ted, qui leur montrait l’utilité du sort tellement long qu’à huit heures du matin elle avait déjà oublié son nom, et lança ledit sort sur un escargot qui disparut en laissant derrière lui une mignonne petite traînée de bave. Puis au final, ce fut elle que Ted appela pour distribuer les escargots. Eh ! Nan mais je note, je note. Tsssk. Haussant les yeux au ciel avec amusement, Lily se leva et fit le tour de la table – elle aurait pu passer par-dessus comme son papi James mais n’exagérons rien non plus – et alla jusqu’au bureau du prof pour choper la boîte d’escargots. Elle lui aurait bien balancé avec amusement que ses talents ne se limitent pas qu’à distribuer des escargots, mais tint sa langue, se contentant d’esquisser une ombre de sourire, et distribua les bestioles baveuses avant de reposer la boîte sur le bureau et retourner à sa place.

« Faire disparaître un invertébré. Hm, on peut peut-être faire disparaître Mikhaïl ou Nicolas avec un sortilège pareil … Donc il faut que je l’apprenne. »

Ok, alors ça c’est fait XD. Sortant sa baguette, Lily fit le superbe S que leur avait montré le professeur, et ne fut pas surprise de voir l’escargot lui tenir tête en traçant insolemment son chemin de bave devant elle. Non mais tu vas voir ce que tu vas voir toi, tu vas prendre cher sale bestiole qui fait sprouitch quand on l’écrabouille. Recommençant le mouvement, Lily vit la carapace de l’immonde bête trembloter et devenir opaque. Ah mais c’est glauque O__O.

« Regarde Lucy, ça a marché, mais juste un peu. Le truc de fou … »

[Age RPG :]

Un jour, peut-être, Lily serait moins familière avec ses profs. Enfin j’avoue que c’est beau de rêver. Triturant le nounours accroché à sa trousse, Lily regarda les gens arriver et s’installer un à un, mais nota surtout Lucy qui alla s’asseoir à côté d’elle, Lys qui s’installa en milieu de classe, Mélanie préféra se mettre derrière elle pour discuter un peu. Tout ça après son superbe coup d’éclat – du moins ses deux superbes coups d’éclats – lui faisant gagner cent petits gallions sonnants et trébuchants. Son balai allait arriver plus vite que prévu … Surtout que c’est vachement cher, une Pointe d’Asgard, en plus. Lucy fut la première à entrer pour aller s’asseoir à côté d’elle, avec le sourire de celle qui a loupé le changement d’heure – qui a tout de même lieu fin Octobre quand nous sommes fin Janvier XD – et qui s’est platement excusé à son réveil de lui taper dessus aussi familièrement. Lily, pour sa part, lui fit le grand sourire de celle qui aurait bien dormi trois mois de plus mais qui est debout, mais ça, les forces de la nature seules savent où elle a trouvé la force de se lever. Mais surtout où elle trouve la force de ne pas retourner direct dans sa couette toute chaude et toute moelleuse. Oh mon Dieu, cessons de parler de ça ou Lily va s’écrouler sur son bureau.

« Eh bien, j’ai parié quarante gallions avec une fille que je ne pourrai pas chanter Dirty Dancing dans la salle commune des Serpentard, puis cinquante gallions que je ne pourrai pas refaire la même chose dans la grande salle, et enfin dix gallions que je ne pourrai pas dire que Ted est un beau gosse. Moi, tant qu’on me parie pas de me rouler dans la neige ou de rester dehors quand il pleut, je peux presque tout faire. »

Et à ce moment précis, Lys, qui venait de se vautrer avec charisme et élégance sur sa chaise, se tourna vers elle et lui lança avec humour si elle comptait chanter du Flashdance. Hm, elle le connaissait lui ? Si elle l’apprenait, ça ne lui poserait, techniquement, aucun souci. Renvoyant un sourire éclatant et provocateur à son ex petit-ami, Lily pencha la tête sur le côté, laissant tomber quelques mèches rousses.

« Laquelle ? What a Feeling ou Closing ? Chiche que je la chante, rien que pour voir ! Combien tu es prêt à parier, trésor ? »

Niark, parier avec Lily est mauvais pour la sécurité du porte-monnaie. Tournant la tête vers Lucy tout en faisant mumuse du bout des doigts avec son petit nounours, la rouquine s’apprêta à réengager la conversation. Ce qu’elle aurait fait si Mélanie ne s’était pas vautrée derrière elle en lui avouant à demi-mot avoir refait son vieux cauchemar un peu moisi, celui dans lequel son père lui faisait la peau. Puis elle continua en parlant de son nounours. Mince, alors tout le monde avait capté qu’elle en pinçait pour Nathan ? Aussi, quelle discrétion, c’est vachement difficile de deviner ce que tu as derrière la tête quand il s’agit d’amour, vile rouquine punk en manque de sommeil. Lily tira très infantilement la langue à Mélanie, puis se pencha pour choper de quoi manger dans son sac – une petite barre de merdouille qui cale l’estomac quoi – et posa la bouffe sur le bureau de Mélanie, avec un clin d’œil complice.

« Tiens, faut manger quand ça ne va pas. Manger, c’est le meilleur des remèdes. Quant au nounours … Il semblerait qu’il ne se soit pas réveillé ce matin, alors je compte sur mon truc en peluche et sur mes amis pour me servir d’anti-dodo pendant tout le cours. »

Et hop, Lily qui lève sa trousse pour montrer à Mélanie le nounours marron pelucheux et un peu vieillot qui pendouille. La réplique du professeur lui faisant tourner la tête, Lily reposa sa trousse et envoya un sourire faussement contrit à Ted. Ouais, ça se voyait qu’il était mort de rire, mais intérieurement. Quand on a une menace comme Dolores Ombrage au-dessus de la tête, on évite de la laisser tomber. La menace. Hm, ça doit être lourd, Ombrage qui nous tombe dessus … Quel super airbarg. Glauque ça XD. A la deuxième réplique de Ted – du professeur Lupin XD – Lily se retint pour ne pas lever les yeux au ciel. Mais quel pas marrant, ce Ted, quand il est prof. Vivement qu’il revienne manger à la maison. Parcourant la salle du regard pour voir si sa tirade avait eu effet, elle remarqua que quelques donzelles la tuaient du regard. Chouette, encore des ennemis ! Mais quelle grosse tordue cette Lily, bon Dieu. Le cours commençant enfin, la Serpentard reposa son regard sur Ted, qui leur montrait l’utilité du sort tellement long qu’à huit heures du matin elle avait déjà oublié son nom, et lança ledit sort sur un escargot qui disparut en laissant derrière lui une mignonne petite traînée de bave. Puis au final, ce fut elle que Ted appela pour distribuer les escargots. Eh ! Nan mais je note, je note. Tsssk. Haussant les yeux au ciel avec amusement, Lily se leva et fit le tour de la table – elle aurait pu passer par-dessus comme son papi James mais n’exagérons rien non plus – et alla jusqu’au bureau du prof pour choper la boîte d’escargots. Elle lui aurait bien balancé avec amusement que ses talents ne se limitent pas qu’à distribuer des escargots, mais tint sa langue, se contentant d’esquisser une ombre de sourire, et distribua les bestioles baveuses avant de reposer la boîte sur le bureau et retourner à sa place.

« Faire disparaître un invertébré. Hm, on peut peut-être faire disparaître Mikhaïl ou Nicolas avec un sortilège pareil … Donc il faut que je l’apprenne. »

Ok, alors ça c’est fait XD. Sortant sa baguette, Lily fit le superbe S que leur avait montré le professeur, et ne fut pas surprise de voir l’escargot lui tenir tête en traçant insolemment son chemin de bave devant elle. Non mais tu vas voir ce que tu vas voir toi, tu vas prendre cher sale bestiole qui fait sprouitch quand on l’écrabouille. Recommençant le mouvement, Lily vit la carapace de l’immonde bête trembloter et devenir opaque. Ah mais c’est glauque O__O.

« Regarde Lucy, ça a marché, mais juste un peu. Le truc de fou … »

[Sang :]

Un jour, peut-être, Lily serait moins familière avec ses profs. Enfin j’avoue que c’est beau de rêver. Triturant le nounours accroché à sa trousse, Lily regarda les gens arriver et s’installer un à un, mais nota surtout Lucy qui alla s’asseoir à côté d’elle, Lys qui s’installa en milieu de classe, Mélanie préféra se mettre derrière elle pour discuter un peu. Tout ça après son superbe coup d’éclat – du moins ses deux superbes coups d’éclats – lui faisant gagner cent petits gallions sonnants et trébuchants. Son balai allait arriver plus vite que prévu … Surtout que c’est vachement cher, une Pointe d’Asgard, en plus. Lucy fut la première à entrer pour aller s’asseoir à côté d’elle, avec le sourire de celle qui a loupé le changement d’heure – qui a tout de même lieu fin Octobre quand nous sommes fin Janvier XD – et qui s’est platement excusé à son réveil de lui taper dessus aussi familièrement. Lily, pour sa part, lui fit le grand sourire de celle qui aurait bien dormi trois mois de plus mais qui est debout, mais ça, les forces de la nature seules savent où elle a trouvé la force de se lever. Mais surtout où elle trouve la force de ne pas retourner direct dans sa couette toute chaude et toute moelleuse. Oh mon Dieu, cessons de parler de ça ou Lily va s’écrouler sur son bureau.

« Eh bien, j’ai parié quarante gallions avec une fille que je ne pourrai pas chanter Dirty Dancing dans la salle commune des Serpentard, puis cinquante gallions que je ne pourrai pas refaire la même chose dans la grande salle, et enfin dix gallions que je ne pourrai pas dire que Ted est un beau gosse. Moi, tant qu’on me parie pas de me rouler dans la neige ou de rester dehors quand il pleut, je peux presque tout faire. »

Et à ce moment précis, Lys, qui venait de se vautrer avec charisme et élégance sur sa chaise, se tourna vers elle et lui lança avec humour si elle comptait chanter du Flashdance. Hm, elle le connaissait lui ? Si elle l’apprenait, ça ne lui poserait, techniquement, aucun souci. Renvoyant un sourire éclatant et provocateur à son ex petit-ami, Lily pencha la tête sur le côté, laissant tomber quelques mèches rousses.

« Laquelle ? What a Feeling ou Closing ? Chiche que je la chante, rien que pour voir ! Combien tu es prêt à parier, trésor ? »

Niark, parier avec Lily est mauvais pour la sécurité du porte-monnaie. Tournant la tête vers Lucy tout en faisant mumuse du bout des doigts avec son petit nounours, la rouquine s’apprêta à réengager la conversation. Ce qu’elle aurait fait si Mélanie ne s’était pas vautrée derrière elle en lui avouant à demi-mot avoir refait son vieux cauchemar un peu moisi, celui dans lequel son père lui faisait la peau. Puis elle continua en parlant de son nounours. Mince, alors tout le monde avait capté qu’elle en pinçait pour Nathan ? Aussi, quelle discrétion, c’est vachement difficile de deviner ce que tu as derrière la tête quand il s’agit d’amour, vile rouquine punk en manque de sommeil. Lily tira très infantilement la langue à Mélanie, puis se pencha pour choper de quoi manger dans son sac – une petite barre de merdouille qui cale l’estomac quoi – et posa la bouffe sur le bureau de Mélanie, avec un clin d’œil complice.

« Tiens, faut manger quand ça ne va pas. Manger, c’est le meilleur des remèdes. Quant au nounours … Il semblerait qu’il ne se soit pas réveillé ce matin, alors je compte sur mon truc en peluche et sur mes amis pour me servir d’anti-dodo pendant tout le cours. »

Et hop, Lily qui lève sa trousse pour montrer à Mélanie le nounours marron pelucheux et un peu vieillot qui pendouille. La réplique du professeur lui faisant tourner la tête, Lily reposa sa trousse et envoya un sourire faussement contrit à Ted. Ouais, ça se voyait qu’il était mort de rire, mais intérieurement. Quand on a une menace comme Dolores Ombrage au-dessus de la tête, on évite de la laisser tomber. La menace. Hm, ça doit être lourd, Ombrage qui nous tombe dessus … Quel super airbarg. Glauque ça XD. A la deuxième réplique de Ted – du professeur Lupin XD – Lily se retint pour ne pas lever les yeux au ciel. Mais quel pas marrant, ce Ted, quand il est prof. Vivement qu’il revienne manger à la maison. Parcourant la salle du regard pour voir si sa tirade avait eu effet, elle remarqua que quelques donzelles la tuaient du regard. Chouette, encore des ennemis ! Mais quelle grosse tordue cette Lily, bon Dieu. Le cours commençant enfin, la Serpentard reposa son regard sur Ted, qui leur montrait l’utilité du sort tellement long qu’à huit heures du matin elle avait déjà oublié son nom, et lança ledit sort sur un escargot qui disparut en laissant derrière lui une mignonne petite traînée de bave. Puis au final, ce fut elle que Ted appela pour distribuer les escargots. Eh ! Nan mais je note, je note. Tsssk. Haussant les yeux au ciel avec amusement, Lily se leva et fit le tour de la table – elle aurait pu passer par-dessus comme son papi James mais n’exagérons rien non plus – et alla jusqu’au bureau du prof pour choper la boîte d’escargots. Elle lui aurait bien balancé avec amusement que ses talents ne se limitent pas qu’à distribuer des escargots, mais tint sa langue, se contentant d’esquisser une ombre de sourire, et distribua les bestioles baveuses avant de reposer la boîte sur le bureau et retourner à sa place.

« Faire disparaître un invertébré. Hm, on peut peut-être faire disparaître Mikhaïl ou Nicolas avec un sortilège pareil … Donc il faut que je l’apprenne. »

Ok, alors ça c’est fait XD. Sortant sa baguette, Lily fit le superbe S que leur avait montré le professeur, et ne fut pas surprise de voir l’escargot lui tenir tête en traçant insolemment son chemin de bave devant elle. Non mais tu vas voir ce que tu vas voir toi, tu vas prendre cher sale bestiole qui fait sprouitch quand on l’écrabouille. Recommençant le mouvement, Lily vit la carapace de l’immonde bête trembloter et devenir opaque. Ah mais c’est glauque O__O.

« Regarde Lucy, ça a marché, mais juste un peu. Le truc de fou … »

[Camp :]

Un jour, peut-être, Lily serait moins familière avec ses profs. Enfin j’avoue que c’est beau de rêver. Triturant le nounours accroché à sa trousse, Lily regarda les gens arriver et s’installer un à un, mais nota surtout Lucy qui alla s’asseoir à côté d’elle, Lys qui s’installa en milieu de classe, Mélanie préféra se mettre derrière elle pour discuter un peu. Tout ça après son superbe coup d’éclat – du moins ses deux superbes coups d’éclats – lui faisant gagner cent petits gallions sonnants et trébuchants. Son balai allait arriver plus vite que prévu … Surtout que c’est vachement cher, une Pointe d’Asgard, en plus. Lucy fut la première à entrer pour aller s’asseoir à côté d’elle, avec le sourire de celle qui a loupé le changement d’heure – qui a tout de même lieu fin Octobre quand nous sommes fin Janvier XD – et qui s’est platement excusé à son réveil de lui taper dessus aussi familièrement. Lily, pour sa part, lui fit le grand sourire de celle qui aurait bien dormi trois mois de plus mais qui est debout, mais ça, les forces de la nature seules savent où elle a trouvé la force de se lever. Mais surtout où elle trouve la force de ne pas retourner direct dans sa couette toute chaude et toute moelleuse. Oh mon Dieu, cessons de parler de ça ou Lily va s’écrouler sur son bureau.

« Eh bien, j’ai parié quarante gallions avec une fille que je ne pourrai pas chanter Dirty Dancing dans la salle commune des Serpentard, puis cinquante gallions que je ne pourrai pas refaire la même chose dans la grande salle, et enfin dix gallions que je ne pourrai pas dire que Ted est un beau gosse. Moi, tant qu’on me parie pas de me rouler dans la neige ou de rester dehors quand il pleut, je peux presque tout faire. »

Et à ce moment précis, Lys, qui venait de se vautrer avec charisme et élégance sur sa chaise, se tourna vers elle et lui lança avec humour si elle comptait chanter du Flashdance. Hm, elle le connaissait lui ? Si elle l’apprenait, ça ne lui poserait, techniquement, aucun souci. Renvoyant un sourire éclatant et provocateur à son ex petit-ami, Lily pencha la tête sur le côté, laissant tomber quelques mèches rousses.

« Laquelle ? What a Feeling ou Closing ? Chiche que je la chante, rien que pour voir ! Combien tu es prêt à parier, trésor ? »

Niark, parier avec Lily est mauvais pour la sécurité du porte-monnaie. Tournant la tête vers Lucy tout en faisant mumuse du bout des doigts avec son petit nounours, la rouquine s’apprêta à réengager la conversation. Ce qu’elle aurait fait si Mélanie ne s’était pas vautrée derrière elle en lui avouant à demi-mot avoir refait son vieux cauchemar un peu moisi, celui dans lequel son père lui faisait la peau. Puis elle continua en parlant de son nounours. Mince, alors tout le monde avait capté qu’elle en pinçait pour Nathan ? Aussi, quelle discrétion, c’est vachement difficile de deviner ce que tu as derrière la tête quand il s’agit d’amour, vile rouquine punk en manque de sommeil. Lily tira très infantilement la langue à Mélanie, puis se pencha pour choper de quoi manger dans son sac – une petite barre de merdouille qui cale l’estomac quoi – et posa la bouffe sur le bureau de Mélanie, avec un clin d’œil complice.

« Tiens, faut manger quand ça ne va pas. Manger, c’est le meilleur des remèdes. Quant au nounours … Il semblerait qu’il ne se soit pas réveillé ce matin, alors je compte sur mon truc en peluche et sur mes amis pour me servir d’anti-dodo pendant tout le cours. »

Et hop, Lily qui lève sa trousse pour montrer à Mélanie le nounours marron pelucheux et un peu vieillot qui pendouille. La réplique du professeur lui faisant tourner la tête, Lily reposa sa trousse et envoya un sourire faussement contrit à Ted. Ouais, ça se voyait qu’il était mort de rire, mais intérieurement. Quand on a une menace comme Dolores Ombrage au-dessus de la tête, on évite de la laisser tomber. La menace. Hm, ça doit être lourd, Ombrage qui nous tombe dessus … Quel super airbarg. Glauque ça XD. A la deuxième réplique de Ted – du professeur Lupin XD – Lily se retint pour ne pas lever les yeux au ciel. Mais quel pas marrant, ce Ted, quand il est prof. Vivement qu’il revienne manger à la maison. Parcourant la salle du regard pour voir si sa tirade avait eu effet, elle remarqua que quelques donzelles la tuaient du regard. Chouette, encore des ennemis ! Mais quelle grosse tordue cette Lily, bon Dieu. Le cours commençant enfin, la Serpentard reposa son regard sur Ted, qui leur montrait l’utilité du sort tellement long qu’à huit heures du matin elle avait déjà oublié son nom, et lança ledit sort sur un escargot qui disparut en laissant derrière lui une mignonne petite traînée de bave. Puis au final, ce fut elle que Ted appela pour distribuer les escargots. Eh ! Nan mais je note, je note. Tsssk. Haussant les yeux au ciel avec amusement, Lily se leva et fit le tour de la table – elle aurait pu passer par-dessus comme son papi James mais n’exagérons rien non plus – et alla jusqu’au bureau du prof pour choper la boîte d’escargots. Elle lui aurait bien balancé avec amusement que ses talents ne se limitent pas qu’à distribuer des escargots, mais tint sa langue, se contentant d’esquisser une ombre de sourire, et distribua les bestioles baveuses avant de reposer la boîte sur le bureau et retourner à sa place.

« Faire disparaître un invertébré. Hm, on peut peut-être faire disparaître Mikhaïl ou Nicolas avec un sortilège pareil … Donc il faut que je l’apprenne. »

Ok, alors ça c’est fait XD. Sortant sa baguette, Lily fit le superbe S que leur avait montré le professeur, et ne fut pas surprise de voir l’escargot lui tenir tête en traçant insolemment son chemin de bave devant elle. Non mais tu vas voir ce que tu vas voir toi, tu vas prendre cher sale bestiole qui fait sprouitch quand on l’écrabouille. Recommençant le mouvement, Lily vit la carapace de l’immonde bête trembloter et devenir opaque. Ah mais c’est glauque O__O.

« Regarde Lucy, ça a marché, mais juste un peu. Le truc de fou … »

[Vie du personnage :]

Un jour, peut-être, Lily serait moins familière avec ses profs. Enfin j’avoue que c’est beau de rêver. Triturant le nounours accroché à sa trousse, Lily regarda les gens arriver et s’installer un à un, mais nota surtout Lucy qui alla s’asseoir à côté d’elle, Lys qui s’installa en milieu de classe, Mélanie préféra se mettre derrière elle pour discuter un peu. Tout ça après son superbe coup d’éclat – du moins ses deux superbes coups d’éclats – lui faisant gagner cent petits gallions sonnants et trébuchants. Son balai allait arriver plus vite que prévu … Surtout que c’est vachement cher, une Pointe d’Asgard, en plus. Lucy fut la première à entrer pour aller s’asseoir à côté d’elle, avec le sourire de celle qui a loupé le changement d’heure – qui a tout de même lieu fin Octobre quand nous sommes fin Janvier XD – et qui s’est platement excusé à son réveil de lui taper dessus aussi familièrement. Lily, pour sa part, lui fit le grand sourire de celle qui aurait bien dormi trois mois de plus mais qui est debout, mais ça, les forces de la nature seules savent où elle a trouvé la force de se lever. Mais surtout où elle trouve la force de ne pas retourner direct dans sa couette toute chaude et toute moelleuse. Oh mon Dieu, cessons de parler de ça ou Lily va s’écrouler sur son bureau.

« Eh bien, j’ai parié quarante gallions avec une fille que je ne pourrai pas chanter Dirty Dancing dans la salle commune des Serpentard, puis cinquante gallions que je ne pourrai pas refaire la même chose dans la grande salle, et enfin dix gallions que je ne pourrai pas dire que Ted est un beau gosse. Moi, tant qu’on me parie pas de me rouler dans la neige ou de rester dehors quand il pleut, je peux presque tout faire. »

Et à ce moment précis, Lys, qui venait de se vautrer avec charisme et élégance sur sa chaise, se tourna vers elle et lui lança avec humour si elle comptait chanter du Flashdance. Hm, elle le connaissait lui ? Si elle l’apprenait, ça ne lui poserait, techniquement, aucun souci. Renvoyant un sourire éclatant et provocateur à son ex petit-ami, Lily pencha la tête sur le côté, laissant tomber quelques mèches rousses.

« Laquelle ? What a Feeling ou Closing ? Chiche que je la chante, rien que pour voir ! Combien tu es prêt à parier, trésor ? »

Niark, parier avec Lily est mauvais pour la sécurité du porte-monnaie. Tournant la tête vers Lucy tout en faisant mumuse du bout des doigts avec son petit nounours, la rouquine s’apprêta à réengager la conversation. Ce qu’elle aurait fait si Mélanie ne s’était pas vautrée derrière elle en lui avouant à demi-mot avoir refait son vieux cauchemar un peu moisi, celui dans lequel son père lui faisait la peau. Puis elle continua en parlant de son nounours. Mince, alors tout le monde avait capté qu’elle en pinçait pour Nathan ? Aussi, quelle discrétion, c’est vachement difficile de deviner ce que tu as derrière la tête quand il s’agit d’amour, vile rouquine punk en manque de sommeil. Lily tira très infantilement la langue à Mélanie, puis se pencha pour choper de quoi manger dans son sac – une petite barre de merdouille qui cale l’estomac quoi – et posa la bouffe sur le bureau de Mélanie, avec un clin d’œil complice.

« Tiens, faut manger quand ça ne va pas. Manger, c’est le meilleur des remèdes. Quant au nounours … Il semblerait qu’il ne se soit pas réveillé ce matin, alors je compte sur mon truc en peluche et sur mes amis pour me servir d’anti-dodo pendant tout le cours. »

Et hop, Lily qui lève sa trousse pour montrer à Mélanie le nounours marron pelucheux et un peu vieillot qui pendouille. La réplique du professeur lui faisant tourner la tête, Lily reposa sa trousse et envoya un sourire faussement contrit à Ted. Ouais, ça se voyait qu’il était mort de rire, mais intérieurement. Quand on a une menace comme Dolores Ombrage au-dessus de la tête, on évite de la laisser tomber. La menace. Hm, ça doit être lourd, Ombrage qui nous tombe dessus … Quel super airbarg. Glauque ça XD. A la deuxième réplique de Ted – du professeur Lupin XD – Lily se retint pour ne pas lever les yeux au ciel. Mais quel pas marrant, ce Ted, quand il est prof. Vivement qu’il revienne manger à la maison. Parcourant la salle du regard pour voir si sa tirade avait eu effet, elle remarqua que quelques donzelles la tuaient du regard. Chouette, encore des ennemis ! Mais quelle grosse tordue cette Lily, bon Dieu. Le cours commençant enfin, la Serpentard reposa son regard sur Ted, qui leur montrait l’utilité du sort tellement long qu’à huit heures du matin elle avait déjà oublié son nom, et lança ledit sort sur un escargot qui disparut en laissant derrière lui une mignonne petite traînée de bave. Puis au final, ce fut elle que Ted appela pour distribuer les escargots. Eh ! Nan mais je note, je note. Tsssk. Haussant les yeux au ciel avec amusement, Lily se leva et fit le tour de la table – elle aurait pu passer par-dessus comme son papi James mais n’exagérons rien non plus – et alla jusqu’au bureau du prof pour choper la boîte d’escargots. Elle lui aurait bien balancé avec amusement que ses talents ne se limitent pas qu’à distribuer des escargots, mais tint sa langue, se contentant d’esquisser une ombre de sourire, et distribua les bestioles baveuses avant de reposer la boîte sur le bureau et retourner à sa place.

« Faire disparaître un invertébré. Hm, on peut peut-être faire disparaître Mikhaïl ou Nicolas avec un sortilège pareil … Donc il faut que je l’apprenne. »

Ok, alors ça c’est fait XD. Sortant sa baguette, Lily fit le superbe S que leur avait montré le professeur, et ne fut pas surprise de voir l’escargot lui tenir tête en traçant insolemment son chemin de bave devant elle. Non mais tu vas voir ce que tu vas voir toi, tu vas prendre cher sale bestiole qui fait sprouitch quand on l’écrabouille. Recommençant le mouvement, Lily vit la carapace de l’immonde bête trembloter et devenir opaque. Ah mais c’est glauque O__O.

« Regarde Lucy, ça a marché, mais juste un peu. Le truc de fou … »

[Truc en plus :]

Un jour, peut-être, Lily serait moins familière avec ses profs. Enfin j’avoue que c’est beau de rêver. Triturant le nounours accroché à sa trousse, Lily regarda les gens arriver et s’installer un à un, mais nota surtout Lucy qui alla s’asseoir à côté d’elle, Lys qui s’installa en milieu de classe, Mélanie préféra se mettre derrière elle pour discuter un peu. Tout ça après son superbe coup d’éclat – du moins ses deux superbes coups d’éclats – lui faisant gagner cent petits gallions sonnants et trébuchants. Son balai allait arriver plus vite que prévu … Surtout que c’est vachement cher, une Pointe d’Asgard, en plus. Lucy fut la première à entrer pour aller s’asseoir à côté d’elle, avec le sourire de celle qui a loupé le changement d’heure – qui a tout de même lieu fin Octobre quand nous sommes fin Janvier XD – et qui s’est platement excusé à son réveil de lui taper dessus aussi familièrement. Lily, pour sa part, lui fit le grand sourire de celle qui aurait bien dormi trois mois de plus mais qui est debout, mais ça, les forces de la nature seules savent où elle a trouvé la force de se lever. Mais surtout où elle trouve la force de ne pas retourner direct dans sa couette toute chaude et toute moelleuse. Oh mon Dieu, cessons de parler de ça ou Lily va s’écrouler sur son bureau.

« Eh bien, j’ai parié quarante gallions avec une fille que je ne pourrai pas chanter Dirty Dancing dans la salle commune des Serpentard, puis cinquante gallions que je ne pourrai pas refaire la même chose dans la grande salle, et enfin dix gallions que je ne pourrai pas dire que Ted est un beau gosse. Moi, tant qu’on me parie pas de me rouler dans la neige ou de rester dehors quand il pleut, je peux presque tout faire. »

Et à ce moment précis, Lys, qui venait de se vautrer avec charisme et élégance sur sa chaise, se tourna vers elle et lui lança avec humour si elle comptait chanter du Flashdance. Hm, elle le connaissait lui ? Si elle l’apprenait, ça ne lui poserait, techniquement, aucun souci. Renvoyant un sourire éclatant et provocateur à son ex petit-ami, Lily pencha la tête sur le côté, laissant tomber quelques mèches rousses.

« Laquelle ? What a Feeling ou Closing ? Chiche que je la chante, rien que pour voir ! Combien tu es prêt à parier, trésor ? »

Niark, parier avec Lily est mauvais pour la sécurité du porte-monnaie. Tournant la tête vers Lucy tout en faisant mumuse du bout des doigts avec son petit nounours, la rouquine s’apprêta à réengager la conversation. Ce qu’elle aurait fait si Mélanie ne s’était pas vautrée derrière elle en lui avouant à demi-mot avoir refait son vieux cauchemar un peu moisi, celui dans lequel son père lui faisait la peau. Puis elle continua en parlant de son nounours. Mince, alors tout le monde avait capté qu’elle en pinçait pour Nathan ? Aussi, quelle discrétion, c’est vachement difficile de deviner ce que tu as derrière la tête quand il s’agit d’amour, vile rouquine punk en manque de sommeil. Lily tira très infantilement la langue à Mélanie, puis se pencha pour choper de quoi manger dans son sac – une petite barre de merdouille qui cale l’estomac quoi – et posa la bouffe sur le bureau de Mélanie, avec un clin d’œil complice.

« Tiens, faut manger quand ça ne va pas. Manger, c’est le meilleur des remèdes. Quant au nounours … Il semblerait qu’il ne se soit pas réveillé ce matin, alors je compte sur mon truc en peluche et sur mes amis pour me servir d’anti-dodo pendant tout le cours. »

Et hop, Lily qui lève sa trousse pour montrer à Mélanie le nounours marron pelucheux et un peu vieillot qui pendouille. La réplique du professeur lui faisant tourner la tête, Lily reposa sa trousse et envoya un sourire faussement contrit à Ted. Ouais, ça se voyait qu’il était mort de rire, mais intérieurement. Quand on a une menace comme Dolores Ombrage au-dessus de la tête, on évite de la laisser tomber. La menace. Hm, ça doit être lourd, Ombrage qui nous tombe dessus … Quel super airbarg. Glauque ça XD. A la deuxième réplique de Ted – du professeur Lupin XD – Lily se retint pour ne pas lever les yeux au ciel. Mais quel pas marrant, ce Ted, quand il est prof. Vivement qu’il revienne manger à la maison. Parcourant la salle du regard pour voir si sa tirade avait eu effet, elle remarqua que quelques donzelles la tuaient du regard. Chouette, encore des ennemis ! Mais quelle grosse tordue cette Lily, bon Dieu. Le cours commençant enfin, la Serpentard reposa son regard sur Ted, qui leur montrait l’utilité du sort tellement long qu’à huit heures du matin elle avait déjà oublié son nom, et lança ledit sort sur un escargot qui disparut en laissant derrière lui une mignonne petite traînée de bave. Puis au final, ce fut elle que Ted appela pour distribuer les escargots. Eh ! Nan mais je note, je note. Tsssk. Haussant les yeux au ciel avec amusement, Lily se leva et fit le tour de la table – elle aurait pu passer par-dessus comme son papi James mais n’exagérons rien non plus – et alla jusqu’au bureau du prof pour choper la boîte d’escargots. Elle lui aurait bien balancé avec amusement que ses talents ne se limitent pas qu’à distribuer des escargots, mais tint sa langue, se contentant d’esquisser une ombre de sourire, et distribua les bestioles baveuses avant de reposer la boîte sur le bureau et retourner à sa place.

« Faire disparaître un invertébré. Hm, on peut peut-être faire disparaître Mikhaïl ou Nicolas avec un sortilège pareil … Donc il faut que je l’apprenne. »

Ok, alors ça c’est fait XD. Sortant sa baguette, Lily fit le superbe S que leur avait montré le professeur, et ne fut pas surprise de voir l’escargot lui tenir tête en traçant insolemment son chemin de bave devant elle. Non mais tu vas voir ce que tu vas voir toi, tu vas prendre cher sale bestiole qui fait sprouitch quand on l’écrabouille. Recommençant le mouvement, Lily vit la carapace de l’immonde bête trembloter et devenir opaque. Ah mais c’est glauque O__O.

« Regarde Lucy, ça a marché, mais juste un peu. Le truc de fou … »

[Doubles-Comptes :]

Un jour, peut-être, Lily serait moins familière avec ses profs. Enfin j’avoue que c’est beau de rêver. Triturant le nounours accroché à sa trousse, Lily regarda les gens arriver et s’installer un à un, mais nota surtout Lucy qui alla s’asseoir à côté d’elle, Lys qui s’installa en milieu de classe, Mélanie préféra se mettre derrière elle pour discuter un peu. Tout ça après son superbe coup d’éclat – du moins ses deux superbes coups d’éclats – lui faisant gagner cent petits gallions sonnants et trébuchants. Son balai allait arriver plus vite que prévu … Surtout que c’est vachement cher, une Pointe d’Asgard, en plus. Lucy fut la première à entrer pour aller s’asseoir à côté d’elle, avec le sourire de celle qui a loupé le changement d’heure – qui a tout de même lieu fin Octobre quand nous sommes fin Janvier XD – et qui s’est platement excusé à son réveil de lui taper dessus aussi familièrement. Lily, pour sa part, lui fit le grand sourire de celle qui aurait bien dormi trois mois de plus mais qui est debout, mais ça, les forces de la nature seules savent où elle a trouvé la force de se lever. Mais surtout où elle trouve la force de ne pas retourner direct dans sa couette toute chaude et toute moelleuse. Oh mon Dieu, cessons de parler de ça ou Lily va s’écrouler sur son bureau.

« Eh bien, j’ai parié quarante gallions avec une fille que je ne pourrai pas chanter Dirty Dancing dans la salle commune des Serpentard, puis cinquante gallions que je ne pourrai pas refaire la même chose dans la grande salle, et enfin dix gallions que je ne pourrai pas dire que Ted est un beau gosse. Moi, tant qu’on me parie pas de me rouler dans la neige ou de rester dehors quand il pleut, je peux presque tout faire. »

Et à ce moment précis, Lys, qui venait de se vautrer avec charisme et élégance sur sa chaise, se tourna vers elle et lui lança avec humour si elle comptait chanter du Flashdance. Hm, elle le connaissait lui ? Si elle l’apprenait, ça ne lui poserait, techniquement, aucun souci. Renvoyant un sourire éclatant et provocateur à son ex petit-ami, Lily pencha la tête sur le côté, laissant tomber quelques mèches rousses.

« Laquelle ? What a Feeling ou Closing ? Chiche que je la chante, rien que pour voir ! Combien tu es prêt à parier, trésor ? »

Niark, parier avec Lily est mauvais pour la sécurité du porte-monnaie. Tournant la tête vers Lucy tout en faisant mumuse du bout des doigts avec son petit nounours, la rouquine s’apprêta à réengager la conversation. Ce qu’elle aurait fait si Mélanie ne s’était pas vautrée derrière elle en lui avouant à demi-mot avoir refait son vieux cauchemar un peu moisi, celui dans lequel son père lui faisait la peau. Puis elle continua en parlant de son nounours. Mince, alors tout le monde avait capté qu’elle en pinçait pour Nathan ? Aussi, quelle discrétion, c’est vachement difficile de deviner ce que tu as derrière la tête quand il s’agit d’amour, vile rouquine punk en manque de sommeil. Lily tira très infantilement la langue à Mélanie, puis se pencha pour choper de quoi manger dans son sac – une petite barre de merdouille qui cale l’estomac quoi – et posa la bouffe sur le bureau de Mélanie, avec un clin d’œil complice.

« Tiens, faut manger quand ça ne va pas. Manger, c’est le meilleur des remèdes. Quant au nounours … Il semblerait qu’il ne se soit pas réveillé ce matin, alors je compte sur mon truc en peluche et sur mes amis pour me servir d’anti-dodo pendant tout le cours. »

Et hop, Lily qui lève sa trousse pour montrer à Mélanie le nounours marron pelucheux et un peu vieillot qui pendouille. La réplique du professeur lui faisant tourner la tête, Lily reposa sa trousse et envoya un sourire faussement contrit à Ted. Ouais, ça se voyait qu’il était mort de rire, mais intérieurement. Quand on a une menace comme Dolores Ombrage au-dessus de la tête, on évite de la laisser tomber. La menace. Hm, ça doit être lourd, Ombrage qui nous tombe dessus … Quel super airbarg. Glauque ça XD. A la deuxième réplique de Ted – du professeur Lupin XD – Lily se retint pour ne pas lever les yeux au ciel. Mais quel pas marrant, ce Ted, quand il est prof. Vivement qu’il revienne manger à la maison. Parcourant la salle du regard pour voir si sa tirade avait eu effet, elle remarqua que quelques donzelles la tuaient du regard. Chouette, encore des ennemis ! Mais quelle grosse tordue cette Lily, bon Dieu. Le cours commençant enfin, la Serpentard reposa son regard sur Ted, qui leur montrait l’utilité du sort tellement long qu’à huit heures du matin elle avait déjà oublié son nom, et lança ledit sort sur un escargot qui disparut en laissant derrière lui une mignonne petite traînée de bave. Puis au final, ce fut elle que Ted appela pour distribuer les escargots. Eh ! Nan mais je note, je note. Tsssk. Haussant les yeux au ciel avec amusement, Lily se leva et fit le tour de la table – elle aurait pu passer par-dessus comme son papi James mais n’exagérons rien non plus – et alla jusqu’au bureau du prof pour choper la boîte d’escargots. Elle lui aurait bien balancé avec amusement que ses talents ne se limitent pas qu’à distribuer des escargots, mais tint sa langue, se contentant d’esquisser une ombre de sourire, et distribua les bestioles baveuses avant de reposer la boîte sur le bureau et retourner à sa place.

« Faire disparaître un invertébré. Hm, on peut peut-être faire disparaître Mikhaïl ou Nicolas avec un sortilège pareil … Donc il faut que je l’apprenne. »

Ok, alors ça c’est fait XD. Sortant sa baguette, Lily fit le superbe S que leur avait montré le professeur, et ne fut pas surprise de voir l’escargot lui tenir tête en traçant insolemment son chemin de bave devant elle. Non mais tu vas voir ce que tu vas voir toi, tu vas prendre cher sale bestiole qui fait sprouitch quand on l’écrabouille. Recommençant le mouvement, Lily vit la carapace de l’immonde bête trembloter et devenir opaque. Ah mais c’est glauque O__O.

« Regarde Lucy, ça a marché, mais juste un peu. Le truc de fou … »